La Dolly à laquelle je consacre ce billet n’est pas celle de la célèbre comédie musicale mais Dolly Parton, la reine incontestée du country, une idole américaine adulée par tout le pays. Âgée de 79 ans, son parcours, ses succès, son immense réussite, sa personnalité à la fois talentueuse, rassembleuse et singulière, l’ont rendue consensuelle. Comme un mythe auquel chacun adhère.
Pourtant ce qu’on aurait pu craindre ne s’est pas produit. Elle a échappé au vertige de la gloire, à la folie des grandeurs.
Si j’ai eu envie d’écrire ce post, ce n’est pas seulement pour la vanter comme elle le mériterait. Mais parce qu’elle a eu récemment une attitude et tenu des propos qui, dépassant son cas personnel, font réfléchir et pourraient constituer un exemple pour ces femmes ou ces hommes projetés dans une lumière éclatante, qui en deviennent grisés et en perdent tout sens commun.
Quand on est couvert d’encens et que l’hyperbole vous est médiatiquement ou politiquement adressée, chaque jour, il est extrêmement difficile de résister à la vanité. Il y a certes plusieurs manières de sembler ne pas y succomber, notamment avec la fausse modestie, mais on s’y trompe peu. Le vrai vaniteux est démasqué ; tandis que l’authentique modeste est perçu comme tel.
Républicains et Démocrates de l’État du Tennessee s’étaient accordés sur une proposition de loi pour faire ériger une statue de Dolly Parton sur un piédestal à Nashville. Elle a refusé cet honneur tout en remerciant pour cet hommage qu’on désirait lui rendre. Elle a déclaré que « compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde, je ne pense pas qu’il soit convenable de me poser sur un piédestal en ce moment » (Le Figaro).
Ce n’est tout de se dérober à une initiative destinée à manifester l’affection publique qu’on vous porte, encore faut-il le faire avec cette simplicité et cette grâce tranquille, avec ce bon sens qui, conscients de l’état du monde et de l’Amérique, savent hiérarchiser ce qui est essentiel aujourd’hui, et ce qui ne le serait pas.
Cette délicatesse dans le refus n’est pas pour elle un acte extraordinaire puisqu’elle a déjà, à deux reprises, décliné la médaille de la Liberté, la plus haute distinction américaine, que Donald Trump désirait lui remettre. Parce qu’apolitique et qu’elle s’y tient.
Dolly Parton se veut la représentante du peuple américain, des gens simples et modestes, et elle demeure fidèle, par une éthique chevillée au coeur, à sa volonté d’être des leurs. Sans ostentation ni idéologie.
Cela ne l’empêche pas de faire preuve d’une immense générosité pour des oeuvres caritatives et en aidant des programmes de recherche, notamment pour le coronavirus.
J’avoue mon admiration, au-delà de la chanteuse dont je connaissais certains tubes, à l’égard de cette femme dont la modestie et la classe représentent tout ce que j’aime.
Et qui devrait être un modèle pour beaucoup de nos « people », artistes et politiques.
Hello, Dolly…
Pourquoi la country française qui existe bel et bien est-elle absente des médias ?
Réponse : parce qu’il est Impossible d’être une figure de nos racines en ayant la tête d’un étranger.
L’antiracisme interdit la référence aux racines. Et en le faisant à notre insu, la pègre qui nous gouverne prouve qu’elle est aussi une mafia.
De tous les arts, l’Art de la simplicité est le plus difficile, car il ne s’apprend pas.
Il est un cadeau des fées à la naissance, on le reçoit ou pas.
Il est des existences qui brillent si fort qu’on les croirait vouées à l’éblouissement, puis à la combustion. Dolly Parton aurait dû disparaître dans l’aveuglant tourbillon de sa propre célébrité. Elle en a fait au contraire une source de chaleur, non de feu. Dans un monde où la célébrité a valeur d’absolu, elle incarne un paradoxe rare : celui d’une star invulnérable à la vanité, d’une « bimbo » devenue légende sans se perdre, ni se hausser.
Quand on a vendu des centaines de millions de disques, inspiré des comédies musicales, conquis les deux Amériques, et marqué quatre générations par une voix reconnaissable entre mille, il y aurait de quoi croire qu’on est plus qu’un être humain : un symbole. Mais Dolly Parton n’a jamais confondu la gloire avec l’importance, ni la notoriété avec la noblesse du cœur.
C’est pourquoi, en 2021, lorsqu’un projet de loi bipartisan proposa d’élever une statue à son effigie devant le Capitole de l’État du Tennessee, la chanteuse refusa poliment. Elle eût pu se réfugier dans une modestie de façade, s’effacer faussement derrière des discours convenus. Mais son refus fut franc, ancré dans une lucidité morale. Elle fit de la retenue un geste d’élégance. Comme si l’humilité devait toujours primer sur l’honneur, surtout lorsque ce dernier se traduit par un bloc de bronze destiné à l’éternité.
Ce n’était pas un cas isolé. Elle avait déjà décliné, par deux fois, la Presidential Medal of Freedom, distinction suprême aux États-Unis, pourtant offerte par Donald Trump. Elle a refusé encore sous Joe Biden, pour les mêmes raisons : parce qu’elle ne veut pas être instrumentalisée. Parce qu’elle se tient à égale distance des puissants. Parce qu’elle a choisi de demeurer dans la transparence d’un peuple qu’elle aime trop pour le surplomber.
Cette forme de souveraineté intérieure tient sans doute à son enracinement. Fille de fermiers du Tennessee, issue d’une fratrie de douze enfants, elle n’a jamais coupé le lien avec cette enfance modeste qui fut aussi son école de la dignité. Elle ne s’est pas contentée d’en tirer des chansons : elle en a fait un engagement. Depuis 1995, sa Dolly Parton’s Imagination Library a distribué plus de 200 millions de livres aux enfants défavorisés. Le culte du savoir, l’amour de la lecture, la conviction que l’imaginaire construit des vies, l’ont portée à faire don de ce qu’elle avait reçu en silence : une chance de rêver.
C’est sans doute cela, le miracle Dolly. Être restée entière dans un univers de faux-semblants. Être demeurée fidèle, non à une image, mais à un principe : celui que la grandeur authentique se cache dans l’absence de posture. Dans un sourire sans arrière-pensée.
Aujourd’hui, tandis que tant d’artistes ne rêvent que de reconnaissance et de statues, elle incarne une autre grammaire de la célébrité.
Vous pourriez mettre une statue en entrée de votre blog.
J’ai quelques photos de moi, nu, en pied, bouteille de rouge à main.
Le grand tube de Dolly Parton, I Will Always Love You, a explosé les charts quand Whitney Houston l’a repris dans Bodyguard. Et la reprise fut fidèle à l’original, ce qui est en soi un hommage.
Whitney est partie, Dolly nous reste, pour encore longtemps. C’est une belle personne, dirait Trump. Merci monsieur Bilger pour l’hommage et la galanterie qui vous la fait un peu rajeunir.
https://x.com/afpfr/status/1938148123886432335?s=58&t=VD2Ene-M1AwwcyLHd1ncEg
J’aurais pu souhaiter la même chose de cette crapule et dire que ça flambe, c’est élue et ça va se représenter à Paris et son parti ne la vire pas comme une malpropre et elle officie encore au gouvernement.
Je ne veux pas pour mon beau pays une telle infâmie. Quelle belle image de notre pays, d’ailleurs nos voisins considèrent nos politiques comme des « robadores », ils ont du mal à comprendre qu’au pays des Lumières on accepte encore ces misérables, ces voleurs à la tire. Elle est innocente bien sûr, c’est un complot, enfin tout le baratin habituel de tous ces gredins dont les époux infernaux étaient des porte-drapeaux. FUERA ! C’est à vomir.
Le budget de l’AME va augmenter !
Venez, venez mes frères, et si vous êtes gravement malade ou avez besoin de vous faire opérer, vous serez nourri couché à l’hôpital, tout est gratuit.
Et si vous êtes une soeur qui doit accoucher, une association vous trouvera un père français bidon d’origine du pays pour que le petit soit français. Il aura droit à tout gratis, vous aussi, et ceci fait, le père bidon disparaîtra. Alors là, c’est le jackpot. Vous serez même logée et nourrie gratis. Le vrai père rapplique, et tout le monde il est comme français.
Sauf que les Français bossent, et pas vous. D’ailleurs, si un Français vous emmerde, vous lui filez un bon coup de couteau sans faire exprès pakecété le couteau pour couper le pain, et c’est bon.
L’antiracisme interdit la référence aux racines. racisme/racines, curieuse assonance. La branche commune est ténue : les deux termes sont connotés d’origine.
L’antiracisme est donc une attitude qui cible la référence aux racines utilisée comme une séparation péjorative au bénéfice de chacune des parties en présence, puisque chacune peut être raciste vis-à-vis de l’autre si les deux ont une « razza » différente donc une radix discriminante. Ça devient drôle.
D’autant plus drôle que quantité de bons apôtres manient le racisme comme d’autres la taille des spaghettis. Que tous les groupements humains manient la différence radicale (encore un cousin) les uns envers les autres. Les Chinois sont de grands spécialistes du racisme, comme les Japonais d’ailleurs, mais, chez moi, les habitants de Barnot-le-Bas sont effroyablement racistes vis-à-vis de ceux de Barnot-le-Haut qui leur font bien sentir qu’ils sont du haut.
Il est bon qu’on ne force pas les populations à se mélanger car cela tendrait à faire disparaître la notion de race sauf à faire de subtils distinguos entre les nuances de métissage. Que non, un octavon ne peut pas fréquenter une mulâtre, d’ascendance khmère. Et que dire d’un Esquimau auquel on assimile une glace de cinéma au prétexte que c’est froid et habillé de chocolat ? Quel rapport ? C’est affliger ces populations, en grand danger de noyade dans le whisky, d’un tempérament glacial et d’un aspect gourmand.
Ceci dit, qu’on pourrait écrire « ce sidi », au risque d’un blâme antiraciste, ceci dit donc, obliger les publicitaires à mixer les racines dans les publicités, quelquefois jusqu’au ridicule, revient à un gloubi-boulga où ne sait plus qui a engendré qui.
Alors ? Ben… rien.
@ Xavier NEBOUT 26 juin 2025 17h03
« le budget de l’AME va augmenter »
Où avez-vous vu ça ?
Quel bel hommage ! Merci, c’était leur Piaf !
Je ne pense pas que ce soit à cause de l’antiracisme qu’on voit peu de chanteurs du terroir, mais parce qu’il n’y a pas de country française mais par exemple, bretonne, ce qui renvoie plus à la celtie qu’à la France.
D’ailleurs, dans les défilés de groupes folkloriques celtes, on voit divers ensembles français, mais aussi de pays anglo-saxons et même des celtibères, et ce n’est pas sans raison. Et comme la France n’aime pas les cultures régionales comme on a pu le voir dans l’étouffement des langues locales, les manifestations de celles-ci ne sont pas à l’honneur.
La centralisation n’est pas morte !
La musique bretonne et plus largement celte, doit infiniment à un père et à un fils, inventeur pour l’un, joueur de harpe pour l’autre.
Un peu de musique ?
https://www.youtube.com/watch?v=tg1iQxxjTbY
À d’autres de parler de musique non celtes !
Donc, comme je le disais, ce n’est pas l’antiracisme qui relègue la celtie et d’autres réalités dans l’ombre. Tout au plus peut-on dire qu’être mis dans l’ombre quand ce qui peut être moins enraciné que soi peut exposer à être amer… Cependant, il existe, par exemple, de nombreuses personnes non bretonnes ni même celtes adeptes de cette musique où les vagues et le vent semblent chanter.
« Cette délicatesse dans le refus n’est pas pour elle un acte extraordinaire puisqu’elle a déjà, à deux reprises, décliné la médaille de la Liberté, la plus haute distinction américaine, que Donald Trump désirait lui remettre. Parce qu’apolitique et qu’elle s’y tient. » (PB)
Même âge que Donald Trump, une notoriété comparable, mais dans un registre différent, Dolly Parton est l’antithèse de Donald Trump : délicate, modeste au point de refuser les honneurs que Républicains et Démocrates sont prêts à lui accorder.
Bref, rien à voir avec Donald Trump, exubérant, orgueilleux qui se prend vraiment pour le maître du monde.
D’ailleurs il compte bien être le prochain prix Nobel de la paix. Après tout Barack Obama l’a bien eu, à peine investi dans ses fonctions de président des États-Unis, sans que l’on ait vraiment compris pourquoi.
Il serait temps que les dirigeants européens arrêtent de se faire balader par ce mégalomane vibrionnant. C’est en tout cas ce que s’efforce de faire Emmanuel Macron, malgré le bashing de certains médias qui ne supportent pas que notre président veuille faire entendre une voix différente de celle de l’Amérique, qui ne saurait accepter aucune contradiction.
@ Xavier NEBOUT
@ Robert 2
« le budget de l’AME va augmenter » (@Xavier NEBOUT 26 juin 2025 17h03)
« Où avez-vous vu ça ? » (@Robert 2 | 26 juin 2025 à 19:11)
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NEBOUT taisez-vous malheureux, vous tenez des propos racistes, d’ailleurs le budget en cours de grosses nétudes prévoit de ponctionner encore plus les salariés blancs de souche trop nantis afin d’engraisser un peu plus nos invités électeurs 2027 venus à l’insu de leur plein gré « vider les poubelles à Paris »… Chuuuut ! c’est raciiiissse !
D’ailleurs depuis un bon moment déjà, une épidémie de faillites de sociétés immobilières a pour conséquence l’expulsion des résidents non conformes aux statuts macroniens du grand remplacement afin d’y reloger des résidents plus… conformes. Chuuuut c’est raciiissse !
L’épidémie dans l’Aisne ? la boucherie traditionnelle bien blanche de souche qui a été présentée aux infoX est innocente mais le pékin moyen au semi-neurone retiendra que c’est lui le fautif, pensez donc, un boucher bien français et blanc c’est sûrement un extrême droite réac raciste, ben voyons !
Ce sont bien des boucheries halal qui sont coupables mais chuuuut c’est raciste réac facho nazi passiiiiible de cinq ans de prison et 45 000 zeuros d’amende.
Ben voyons ! Zemmour, taisez-vous !
Bel exemple que celui donné par cette belle personne qui apporte avec intelligence la démonstration qu’elle n’ignore point ce qu’elle est tout en sachant parfaitement ce qu’elle n’est pas, refusant un honneur qu’elle juge injuste en regard de ses propres mérites.
Voilà qui contraste bien évidemment, comme le souligne Achille, avec l’arrogance poussée à son paroxysme d’un Donald Trump et qui, chez nous, devrait susciter la réflexion de nombre de récipiendaires de la Légion d’honneur pour lesquels nous nous interrogeons légitimement sur les mérites qui sont réellement les leurs pour justifier une telle distinction.
Du triomphe de la bêtise qui rendrait raciste si c’était possible : dans le courant de MSN, expert en sottises, conformisme et lâcheté, un article sur David Beckam qui s’est cassé le bras, bien, ça meuble.
Mais l’article rappelle que lorsqu’il a été anobli, le grabataire aurait dit qu’il n’aurait « jamais imaginé un tel honneur ». Magnifique, modeste et attachant, sauf qu’en queue d’article il est mentionné que cette décoration est « attendue par son époux depuis plus de dix ans » aux dires de son épouse, aujourd’hui Lady.
Adorable « cuir » ? ou révérence idolâtre ? Aucun reproche au joueur de rugby, pardon, de basket mais un souverain mépris vis-à-vis du journalisme sans culture, sans foi, sans loi, et qui n’est même plus le « Mercure François » (tiens, ça fait deux alexandrins, ou, pour se la péter un peu, archiloquiens).
Demain soir la finale du Top 14 sans le plus magique, le plus inventif et sans doute le plus humble de tous les sportifs de la planète.
Je retiendrais pour l’Histoire sa médaille d’or aux JO à VII venu du XV royal et entrer par le petite porte pour porter toute une équipe qui existait bien avant lui. Il a la noblesse des vrais humbles, il ne se cache pas, non, ses exploits il les assume, ils font partie de son caractère et de ses valeurs :
https://www.facebook.com/ladepeche31/videos/antoine-dupont-nous-re%C3%A7oit-chez-lui-%C3%A0-castelnau-magnoac/1195436844870847/
À une certaine époque quand nous rentrions des phases finales nous nous arrêtions au restaurant des parents, c’était un vrai plaisir, les amoureux du simple et du beau qui ont connu cette période s’en souviennent encore. Accueillis toujours et quel que soit le moment avec la gentillesse qui rend heureux, pas celle condescendante de « il est gentil ».
Bon, il faut aimer le Sud-Ouest ses défauts mais surtout son coeur, leplusbeaupanoramadumonde quand on sort de Capvern, et dire que l’on paye des milliers d’euros un appartement mouchoir de poche qui aperçoit au loin un morceau de zinc des couvertures haussmanniennes… Il faut être un peu fou ou très très riche, en haut de la station thermale chère à Fernandel c’est gratuit et sans limites.
Bon, bon, je m’enflamme, j’espère qu’Achille n’oubliera pas de mettre les crampons, même sur un canapé on peut y croire et à la mi-temps les citrons… Mon voisin pas très éloigné en son temps était le fournisseur officiel de cet agrume magique, avec les oranges. Une autre vie simple, des usages désuets mais tellement affectifs !
Seul Giuseppicpoul connaît la réponse :
Hier soir lors de la finale, alors que, dans les tribunes, tous les joueurs blessés ou simplement non retenus dans l’équipe vivaient intensément ce match, le seul qui semblait avoir la tête ailleurs était celui que l‘on appelle désormais « leplubeaulèchebabouchesmacronien » chef de file de la pétition crétinislamiste contre Jo-la-Tétine du RN, le seul candidat actuellement valable et charismatique pour les prochaines élections.
Avait-il la tête en 2027, se voyait-il déjà en haut de l’affiche dans un bon cabinet ministériel aux sports pour services rendus au gouvernement collabo islamogauchiste macronien ?
Sa carrière ruuubistiqueue inévitablement vouée à son terme par lassitude physique et morale, faut bien penser à se recaser quitte à abandonner toutes les vraies valeurs morales, civiques et honnêtes en se fourvoyant encore dans ce milieu de serpents scorpions crapauds venimeux, une alliance nauséabonde mafieuse, PS-PCF-EELV-LFIHamaSS, pour contrer un ennemi fictif, manœuvre crapuleuse qui fait jouir de rire le mon dentier.
Bien entendu ce sera pour la bonne cause, ben voyons !
SOS Picpoul !
Dolly Parton était également célèbre pour son énorme poitrine, elle était « poitrinaire et culinaire » comme disait Frédéric Dard…
Lors d’un spectacle à Las Vegas, le présentateur, chauffeur de salle, a cru bon d’annoncer Dolly en hurlant « les voici, Dolly Parton ! « Here they are, Dolly Parton ! ». Il s’est fait viré sur-le-champ.