Fragments épars d’une France déprimée…

Vous vous rendez compte de la vie politique française selon M. Bilger ?
Le président n’a plus le droit d’aller skier où il veut sans être critiqué par le peuple et « Brizitte » qui est occupée à redécorer l’Elysée a bien voulu s’interrompre pour prendre le temps de rencontrer Campion entre deux rendez-vous avec les décorateurs de l’Elysée pour refaire la moquette.
Faut-il rajouter quoi que ce soit ?… Ah si pardon.
ALLOOOO, MONSIEUR BILGER ?! TOC, TOC,TOC, QUAND ON TAPE DESSUS, IL Y A QUELQU’UN DANS CE CERVEAU ?
Au bout d’un moment ça devient préoccupant.

Entre les débordements/saccages des Gilets jaunes et les passeports diplomatiques de Benalla, ça commence à nous les briser menu comme aurait dit Lino Ventura.
La France est déprimée, Jupiter et sa dame privés de ski le sont aussi, les forces de l’ordre n’en peuvent plus.
À quand une reprise en main ou un changement de gouvernement pour remettre de l’ordre dans ce b**del ?
Ce nouveau monde est loin d’être à la hauteur, alors, qu’il en tire toutes les conséquences !
Et pour couronner ce marasme, bonjour le prélèvement à la source en janvier !
En conclusion, on n’a pas fini de collectionner les « emmerdes » qui selon Chirac volent en escadrilles.
Bon courage à tous.

« Brigitte Macron, quant à elle, a été obligée de se justifier parce qu’elle s’est laissée photographier avec Marcel Campion et qu’elle n’a pas su lui dire non. Le bon sens a déserté le pays. »
Brigitte Macron est certainement la « Première dame de France » la plus détestée de la Ve République. Aucune autre n’aura été autant l’objet de propos dégoulinants de méchanceté.
Ses faits et gestes sont surveillés à la loupe et aucune erreur ne lui est tolérée.
Son erreur impardonnable : avoir été prise en photo, non pas avec Alain Soral ou encore Dieudonné M’Bala M’Bala, non, avec « le roi des forains » Marcel Campion, considéré comme « persona non grata » par la communauté LGBT pour avoir tenu des propos clairement homophobes.
Paroles malheureuses destinées à Bruno Julliard, suite à la décision de la Mairie de Paris de retirer sa grande roue installée depuis des années place de la Concorde.
Ces gens à l’indignation à fleur de peau qui s’offusquent de cette photo de Brigitte Macron en compagnie de Marcel Campion ont décidément la mémoire courte.
Ils semblent déjà avoir oublié que lors de la fête de la musique organisée à l’Elysée, elle s’est fait photographier entourée des danseurs du DJ Kiddy Smile. Ce fameux danseur qui arborait un t-shirt sur lequel était affiché «Fils d’immigré, noir et pédé».
Brigitte Macron homophobe parce qu’elle a accepté une invitation de Marcel Campion ? C’est du pur délire.
https://www.lexpress.fr/actualite/politique/photo-avec-campion-brigitte-macron-n-a-pas-ose-dire-non_2054844.html
Une question que l’on peut se poser. Va-t-il falloir demander une autorisation à un tribunal de la morale pour pouvoir poser sur une photo désormais ? On va où là ?

La France n’est pas déprimée. La France est exaspérée ce n’est pas la même chose.

De toute façon pour ce qui est de La Mongie, c’est foutu. On soupçonne le FSB.
http://www.hauteurdeneige.com/hauteur-de-neige/la-mongie.html
Je ne vois qu’une solution: installer une piste de ski artificiel à la Lanterne.

Des gendarmes viennent de déloger des Gilets jaunes qui s’étaient introduits dans le fort de Brégançon.
Sans doute avaient-ils l’intention de tester le pédiluve des Macron.
Rien ne les arrête et ce n’est pas fini.

Les Gilets jaunes prônent le référendum d’initiative citoyenne. C’est faux. Ils prônent le référendum d’initiative Gilets jaunes. Ils veulent que l’on pose les bonnes questions c’est-à-dire les questions qui leur conviennent. Et si, par impossible, la réponse à la question posée ne leur sied pas, eh bien les gilets jaunes « révoqueront » le peuple.

@ Patrice Charoulet
« Quand vous écrivez : « A l’an que vé se sian pas mai, que sian pas mens ! », qui peut vous comprendre ? »
Veuillez me permettre de trouver surprenant qu’un fin lettré comme vous n’ait pas reconnu ici du provençal…
« À l’année prochaine, que si nous ne sommes pas plus, nous ne soyons pas moins ! »
———————————————–
@ Claude Luçon
« Il faut communiquer le fichier S au Gilets jaunes pour leurs contrôles sur nos routes et ronds-points ! »
Vous plaisantez, toujours est-il qu’il leur est arrivé d’intercepter un camion véhiculant des immigrés illégaux…
Un syndicat de douaniers en était vert de rage.
Ces gens-là feraient mieux de faire leur travail s’ils ne veulent pas que les Français le fassent eux-mêmes.

Mme Ségolène Royal a échoué dans sa tentative d’incrustation dans la liste des « verts-écologistes-européens-et-tout-ce-qui-va-avec.(e).(s) ». Pourtant, la démarche ne manquait pas de panache. Elle voulait bien figurer sur la liste électorale tout en précisant qu’elle accepterait éventuellement d’être numéro deux sur cette liste pour débloquer la situation, sous-entendant par là qu’elle considérait que la tête de la liste lui revenait de droit, non mais sans blague.
L’écologiste numéro un de la liste a signifié à l’une des anciennes concubines de M. Hollande qu’il n’était pas question qu’elle soit numéro deux, ni même numéro trois ou tout autre numéro d’ailleurs.
Pauvre Ségolène, la plus belle femme du monde ne peut offrir que ce qu’elle a et ne peut pas prendre ce que le monde ne veut pas lui donner.

@ duvent
Grand merci de votre aimable traduction.
Vous écrivez : « Veuillez me permettre de trouver surprenant qu’un fin lettré comme vous n’ait pas reconnu ici du provençal… »
Grand merci, derechef, pour « fin lettré ». Je ne connais ni le picard, ni le breton, ni le basque, ni le corse, ni le provençal.
Je suis d’un naturel curieux. Permettez-moi une question. Genau, sbriglia, et quelques autres sont d’excellents latinistes, sans l’avoir l’enseigné. Etes-vous ou étiez-vous comme eux ?

« Tu voulais être roi !?…
Chiche ! Mais alors… désolé… notre rôle, à nous le peuple, ou à nous la foule, est de vouloir ta mort. »
C’est en effet comme cela que ça fonctionne. Le roi sacré des tribus primitives, le roi de droit divin de l’Ancien Régime, sont des victimes en instance de sacrifice. Ce qui se passe sur les ronds-points français depuis quelques semaines est une parfaite illustration des écrits anthropologiques de René Girard sur le sujet. Tu te voulais roi, la France a cru en toi, elle s’est même enflammée pour toi et t’a élu ; profondément déçue elle t’insulte désormais, te crache à la figure, te pend en effigie ou te décapite. Pouvait-on s’attendre à autre chose ?
Capet est mort sur l’échafaud et Robespierre le justifia ainsi : « Louis doit mourir parce qu’il faut que la patrie vive ».
C’était l’ordre normal des choses d’avant. Nous n’en sommes jamais complètement sortis, c’est vrai, mais pourquoi diable y être aussi délibérément retourné ?
La légitimité du Pouvoir, depuis la Révolution, ne réside plus, ou ne devrait plus résider, en la personne d’un individu sacré, elle réside, ou devrait résider, en la Constitution de la République, et nulle part ailleurs.
En application de son article 5, Monsieur le Président, en fidèle « gardien de l’indépendance nationale », attaché à « veiller au respect de la Constitution », vous devriez décider de redonner à la France son indépendance, son indépendance militaire en nous sortant de l’organisation intégrée de l’OTAN, son indépendance budgétaire en nous sortant de la soumission à Bruxelles et Berlin, son indépendance monétaire en nous sortant de l’euro.
De telles décisions seraient une sorte d’électrochoc, un électrochoc bénéfique car nous en avons assez de ces semblants de changement, de ces faux remèdes, de ces soi-disant panacées, de ces vaines recettes et promesses jetées à tous vents, de ces efforts et sacrifices sans but, de toutes ces mensongères certitudes idéologiques, de cette perte complète de sens. Il nous faut revenir aux principes fondamentaux : si les mots ont un sens, si nous croyons en eux, en République le peuple est souverain et la légitimité procède de la Constitution.

Je n’oserais qualifier l’état que vous faites de la France politique de cette fin d’année 2018 d’inventaire à la Prévert, mais cependant cette confusion tient à l’état même de la France.
Votre conclusion (« Faut-il, pour faire surgir un peu d’enthousiasme artificiel, se rappeler que notre pays a besoin de s’approcher des catastrophes pour les éviter, de maudire ses dirigeants pour finir par les aimer et de craindre la révolution pour accepter les rares réformes indispensables ? ») cependant me semble optimiste.
De fait, la France n’a pas su éviter la Révolution en 1789, non plus que les affres de l’occupation étrangère en 1815, 1870 et surtout 1940… Entre ces trois dates, 1940 est sans doute la pire des années dans la mesure où moralement la France n’a pas encore digéré cette potion amère qui nous laisse encore des relents désagréables. Seul le général de Gaulle avait su la rétablir dans son honneur en masquant par ses choix l’honneur perdu des années de guerre sur le territoire métropolitain. Alors que l’Allemagne n’a plus les mêmes pruderies pour s’imposer comme la puissance dominante de l’Union européenne à laquelle la France n’a rien à opposer et ne sait ou fait que se soumettre contre ses propres intérêts.
Quant à monsieur Macron, le silence est sans doute la meilleure attitude à adopter dans la situation actuelle. D’autant que lorsqu’il peut espérer voir la sortie du tunnel dans l’affaire des Gilets jaunes, c’est l’affaire Benalla qui lui revient en boomerang avec l’histoire opportune des passeports diplomatiques.
Ce qui ne fera qu’accentuer la suspicion car qu’est-ce qui a pu empêcher de traiter cet ex-collaborateur parmi les plus proches avec une certaine rigueur si ce n’est qu’il a été trop près du maître pour ne pas avoir quelques capacités de nuisance. Cela entraînera une surenchère des Gilets jaunes à la rentrée en janvier. Je crains que les cérémonies traditionnelles de vœux présidentiels qui s’égrènent tout le mois de janvier ne doivent elles aussi subir quelques avanies.
Je voudrais compléter par une lecture que je viens de faire d’un très long, très argumenté et excellent entretien qu’Emmanuel Todd a accordé au site Atlantico sur la situation actuelle de la France et celle de monsieur Macron.
En voici un extrait qui me semble très représentatif :
« Et, de fait, lorsqu’on entend les gens parler de lui, les manifestants ou même les journalistes, il est clair qu’il a maintenant pour nous tous Français une image d’enfant. « C’est un gamin » « C’est un gamin mal élevé, vicieux ». L’exemple le plus étonnant que j’ai vu a été Vanessa Schneider, dans une émission de télévision, qui disait en gros qu’il faisait semblant d’avoir l’air d’un enfant, c’est-à-dire qu’elle-même le percevait comme un enfant mais voulait toujours adhérer au mythe d’Emmanuel Macron bon comédien et dans la maîtrise des choses.
Or la possibilité théorique d’une incarnation stable de l’État par un enfant n’existe pas. Dans la fonction dirigeante, il y a la fonction paternelle, cela est d’une banalité qui n’a pas attendu Freud et la psychanalyse. Le Roi, le président, le chef, doit être un père. Et aujourd’hui, nous sommes dans une situation inversée structurellement où le chef est un enfant et où il n’est pas impossible que, symétriquement, les Gilets jaunes représentent une forme de père collectif. Parce ce que ce qui est était très frappant, sur ces ronds-points, c’était l’âge des gens. Ils étaient occupés, entre autres, par des gens à cheveux blancs, des retraités, des pères au sens générique du terme. Un pays ne peut pas vivre avec une contestation qui représente une image paternelle et un leader qui représente une image d’enfant. C’est un élément nouveau d’instabilité psycho-politique, métaphysique même, avec lequel il va falloir compter. »
Le texte peut être lu ici : https://www.atlantico.fr/decryptage/3561820/emmanuel-todd–l-etat-ne-peut-pas-etre-incarne-par-un-enfant–or-emmanuel-macron-est-desormais-percu-comme-un-gamin-par-les-francais-emmanuel-todd
Un autre extrait permet d’avoir une idée de sa pensée, avec une approche qui complète ce que j’ai écrit quant à la soumission de nos élites à l’Allemagne suite au traumatisme de 1940 :
« La plus importante d’entre elle est la violence en France de l’affrontement entre un monde populaire et de classes moyennes qui aspirent à la renationalisation, et des classes supérieures qui atteignent un niveau d’universalisme post-national exceptionnel. Je perçois ce dernier comme une perversion de l’universalisme français par ses classes supérieures, un rêve d’homme universel pour les puissants seuls. « Éduqués supérieurs de tous les pays, unissez-vous », c’est bien sûr en général le rêve de la globalisation mais il est probable qu’en France, avec notre concept d’homme universel, ce mythe a pris une forme hystérisée, qui se mélange d’ailleurs d’une façon subtile à notre besoin de soumission à l’Allemagne. « Homme universel bourgeois plus traumatisme de 1940 » : la voie royale pour une dénationalisation des classes dirigeantes française. Oh, et puis autant dire « leur trahison ». »
L’on mesure ici la difficulté que monsieur Macron éprouvera pour sortir la France de l’ornière dans laquelle elle se trouve et dont il n’est pas le seul responsable, mais bien un des acteurs par les choix européistes qu’il a faits et qu’il voudrait ou espèrerait encore imposer à une France qui se rebelle.

« Christophe Guilluy qu’on dit victime de « l’universitairement correct » a été heureusement médiatiquement omniprésent »
M. Guilly a peut-être tout simplement tort dans son analyse géographique…

Constitution française, partie de 1958
Article 3.

• La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum.
  Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice.

Peut-être que le problème, de vous les élites, mon Honorable Honoraire, c’est que vous êtes convaincu soit que la pauvreté est génétique, soit que c’est un choix.
Vous voulez soit criminaliser les pauvres, soit les exterminer.
Vous êtes enfermés dans vos classes, vos écoles, collèges, lycées, universités, vous ne savez pas que les autres existent, de temps en temps les autres se rappellent à vous et cela vous bouscule.
Vous ne vivez qu’entre vous et il ne peut rien en sortir de bon, puisque la France est une Nation, une fédération de plusieurs peuples, de plusieurs classes sociales.
Vous êtes ségrégationnistes, c’est votre dogme, votre horizon absolu pour vous maintenir au pouvoir.
Vous êtes intimement convaincu que Dieu vous a mis sur terre, que vous êtes, vous uniquement, ses élus et que vous devez nous guider, de là a découlé le colonialisme, l’esclavagisme, le servage ce que l’on appelle le paternalisme.
Comment parler au peuple autoproclamé élu, si ce n’est qu’en vous cassant la figure ou en vous tirant dessus ?
C’est l’Église catholique qui a décidé que les Frekkrs (Francs) étaient élus par dieu, qu’ils étaient les héritiers des Hébreux mystérieusement disparus, fondant ainsi une classe sociale : la noblesse, basé sur le mythe des envahisseurs Frekkrs venant de Suède et sous la houlette de Clovis.
Là, il y a eu un grand remplacement sur ce que l’on appelle aujourd’hui la France.
Votre économie est construite sur l’immoralité ; finit par réapparaître le véritable théoricien du libéralisme économique, l’inspirateur de l’École de Chicago : Bernard de Mandeville.
Qui a affirmé que si les élites d’une société ne sont pas corrompues, vicieuses, cette société n’existe plus, que l’économie ne doit fonctionner que sur l’immoralité, le vice, la fraude et la corruption qui permettent le ruissellement et la grandeur d’une société.
Emmanuel Macron le pense aussi avec son premier de cordée, ancien associé gérant de la banque d’affaires Rothschild & Cie, chargé des fusions acquisitions, donc du licenciement.
https://www.universalis.fr/encyclopedie/bernard-de-mandeville/
Rothschild & Cie n’a rien à voir avec la Banque Rothschild absorbé par la Barclays, ni avec une autre banque Edmond de Rothschild, les gens confondent souvent les trois.
François Henrot qui a recruté comme associé-gérant Macron disait de lui dans une entrevue à France 3, grosso modo, que Macron sa force était de savoir baratiner, d’entourlouper.
https://www.youtube.com/watch?v=w4zFA3oH5dY
À cale s’ajoute le graphe extraordinaire qui montre que Macron est bien le président des riches.
Source le journal Le Monde et l’Institut des politiques publiques, le graphe parle de lui-même : https://frama.link/UWW7R797
Et vous vous étonnez que certaines de vos victimes finissent par se défendre ?!

Hollande a bien savonné la planche de Macron en affirmant haut et fort que Macron est le président des « très riches ». Hollande avait pourtant infléchi sa politique et mis en place le CICE (crédit d’impôt compétitivité emploi) au bénéfice des ‘riches’ entreprises et, dans le même esprit, fait voter la loi El Khomri pour décorseter le droit du travail des classes laborieuses. Macron poursuit le travail de Hollande et il a aussi ses frondeurs. Mais d’une autre ampleur.
Macron a raison de ne pas réinstaurer l’ISF : les capitaux doivent rester en France pour l’investissement productif et créateur d’emploi. Il a aussi raison de ne pas augmenter le SMIC qui est un frein à l’emploi, une trappe à bas salaires et une mesure qui favorise le chômage. Le gain de pouvoir d’achat par la prime d’activité est une mesure sage qui fait reposer le coût sur la solidarité.
Macron n’a pas vu venir la tempête. La hausse exagérée du prix des carburants n’a pas été admise par ceux dont le pouvoir d’achat est modeste. Les conseillers de Macron et des ministres ont failli. Mais c’est Macron, et lui seul, qui devient la cible et déclenche la haine de certains. Au surplus sa communication personnelle a été un peu brutale. Elle déclenche donc un rejet.
Cependant, on ‘sait ce que l’on perd, mais on ne sait pas ce que l’on gagne’. Est-ce que les Gilets jaunes voudraient nous faire croire au paradis de Marine Le Pen ou bien à celui de Jean-Luc Mélenchon ? Illusion qui retomberait bien vite et conduirait à des déconvenues encore plus graves.
Par conséquent, il convient de saisir la phase de discussion au sein du grand débat national. On devrait pouvoir examiner les propositions et voir ce qui est réalisable, réaliste ou pas.
Les illuminés qui voudraient faire tomber les Institutions devraient en être pour leur frais. Après le défoulement des fantaisistes, des casseurs, passons aux choses sérieuses.

Le télésiège est resté désespérément triste, les temps ont changé et la liesse n’y est plus :
https://www.ladepeche.fr/article/2018/03/02/2752058-clin-oeil-mongie-telesiege-brigitte-emmanuel-macron-bleu-blanc-rouge.html
Jaune triste pour les jours à venir. Une affaire Benalla qui ressurgit au plus mauvais moment.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire et remettre votre permis en cas d’infraction, ce Bibi Fricotin se permet toutes les audaces, s’est moqué et joue à cache-cache.
Personne ne sait rien, personne ne bronche, tous découvrent la lune, la maison s’écroule il suffit de souffler dessus.
Quel ministre va avoir suffisamment les crocs pour enfin secouer cette nullité ambiante, qui peut imaginer une seconde François Mitterrand tourné en ridicule par un morveux ?
Jamais sous Dieu une telle bévue aurait pu être commise, le problème aurait été vite réglé, enfants de chœur pour diriger le pays ce qui les rend encore plus déconnectés des réalités.
Qui croire et que penser, comment a-t-il pu garder impunément des documents d’une telle sensibilité, n’importe qui aurait eu les gendarmes à sa porte.
Le pied nickelé de la République est en train de la tourner en ridicule, nous allons être la risée pour quelques passeports de plus.
Gérard Collomb devait sentir la poudre du baril sur lequel il était assis au milieu de ces incapables, il a donc pris celle d’escampette et plus tôt que prévu, il n’était pas un foudre de guerre, la retraite fut sa stratégie – bien lui en a pris semble-t-il, courageux mais pas téméraire non plus faut-il croire.

Un président de la République épuisé se voit empêché d’aller skier quelques jours à La Mongie parce que des Gilets jaunes seraient encore mobilisés et que cette accalmie pourrait les exciter.
La fonction d’un président de la République, surtout en France, où elle est presque royale, n’est pas une fonction comme les autres avec d’énormes avantages mais aussi des difficultés évidentes.
M. Macron et son épouse n’iront pas au ski, mais personne ne les empêche de se reposer dans les résidences officielles de la République, dans la villa de Mme Macron ou dans leur famille. Le problème avec ce Président c’est qu’il cherche constamment à se montrer et à faire le buzz. S’il n’a pas compris au bout de 18 mois que cela ne lui suffira pas pour éblouir les Français ou pour reprendre la main, c’est qu’il n’a aucune solution pour son pays.
En cette fin d’année, la France est déprimée pour toutes sortes de raisons. Les GJ continuent de faire des actions, toutefois, ceux qui restent ressemblent maintenant plus à des zadistes qu’à de véritables Français en colère. Car s’il fallait que tous les mécontents soient dans la rue, il y a aurait vraiment du monde et M. Castaner aurait du mal à les décompter, lui qui les compte au péquin près.
Les Français ont été éblouis par Emmanuel Macron, comme des lapins devant des phares de voiture, mais la voiture passée, ils réalisent avec inquiétude que rien ne s’arrange et que les grandes réformes de fond promises n’ont été que des taxations nouvelles ou transformées.
2018 finit difficilement pour le Président avec l’ineffable affaire Benalla qui rebondit. L’amateurisme politique associé aux copinages éclate au grand jour. 2019 va être difficile, ceci dit sans vouloir ressembler à Cassandre.

@ breizmabro | 28 décembre 2018 à 16:15
▬ « Quatorze milliards d’euros par an […] selon la sénatrice centriste Nathalie Goulet »
Mais quel est le rapport entre numéro de sécurité sociale et argent ?
Le fait de posséder un numéro de sécurité sociale ne donne pas le droit d’obtenir de l’argent.
De plus ce sont des suppositions, c’est hypothétique, mais basé sur quoi ?
Sur des documents qui posent problème à la Cnav ; donc les individus qui avancent le chiffre de 1,8 million de numéros de sécurité sociale se sont basés sur quoi ?
Sur le pourcentage de documents qui posent problème et ils l’ont multiplié au nombre de numéro de la Sécurité sociale, de fait le chiffre n’est pas fiable, puisque plusieurs documents qui posent problème peuvent être rattachés à un même numéro, à un même dossier, à une même affaire.
Et pour balancer les 14 milliards d’€uros, ils ont multiplié le budget de la Sécurité sociale, avec un prorata de 1,8 million, ce qui est illogique, irrationnel, absurde, aberrant, du fait qu’un numéro de sécurité sociale ne donne pas droit à obtenir de l’argent.
À qui donne-t-on de l’argent en France, parce qu’il aurait un numéro de Sécurité sociale ?
▬ « Jean-Claude Juncker, ancien Président de la Commission européenne. »
Mais Jean-Claude Juncker est toujours Président de la Commission européenne !!
▬ « La dimension de la fraude fiscale couverte par le Luxembourg fait froid dans le dos. Selon l’excellent livre de Gabriel Zucman […] »
Ainsi vous parlez d’un livre que vous n’avez pas lu, y compris ceux que vous citez citant le livre, vu la tournure de la phrase.
Moi je l’ai lu ! Ce n’est pas un livre, c’est sa thèse de doctorat soutenue en 2013 sous la Direction de Thomas Piketty et republié pour le grand public.
https://www.theses.fr/2013EHES0071
Il ne parle pas que du Luxembourg, mais également de la Suisse et explique les magouilles entre la Suisse et le Luxembourg ; le Luxembourg ne sert pas de banque, mais à ouvrir de fausses sociétés, fausses holding, qui auront un compte en Suisse ; il parle également d’autres places financières, Hong Kong, la City of London, etc.

Commençons par le plus grave. Macron en est à la fuite à Varennes. A son sujet, j’oscille entre mes derniers réflexes légitimistes et une envie d’en finir avec un président dont tout ce qu’il touche se démembre sous sa main.
Je me serais volontiers laissé prendre au piège de son discours de réponse aux Gilets jaunes, même si j’avais peu goûté le ton martial et punitif de l’exorde. Or que se révèlent à l’examen les deux promesses impréparées qu’il y a faites ? L’augmentation de la prime d’activité pour tous les smicards ne sera consentie qu’à un peu plus de la moitié d’entre eux grâce à la prime d’activité. Les retraités devront commencer par avancer la CSG dont le président promettait de les exonérer. Pour quelqu’un qui voulait calmer le jeu, il va exciter contre lui le mécontentement, car il ne faut pas mentir ou être approximatif par temps d’orage.
Je viens d’écouter « Les informés » sur France Info supputant à propos des vœux qu’Emmanuel Macron va former pour la nation. L’année de Macron commence sous trois mauvais auspices: la persévérance des Gilets jaunes, le retour de l’affaire Benalla qui a été autant surestimée cet été qu’elle est sous-estimée cet hiver, et le prélèvement à la source, qui sera un moins-disant de pouvoir d’achat, un moindre net en pleine révolte des Gilets jaunes, prélevé par les chefs d’entreprise dont on ne fait plus seulement des percepteurs, des publicains et des collecteurs d’impôt pour leurs clients, mais aussi pour leurs salariés, de quoi développer, en plein réchauffement climatique, un climat malsain sur les lieux de travail. Sur ce seul point, le président de la République a eu de l’intuition: il ne fallait pas faire le prélèvement à la source. Il fonctionne à l’étranger parce que les prélèvements obligatoires y sont moindres.
Un de mes proches, qui est un type à peu près complet de bobo, quelle que soit l’affection que je lui porte, m’a dit qu’il détestait les micro-révolutions et qu’Emmanuel Macron était certainement « trop génial pour nous ». Lui-même le croit. On lui a répété pendant toute son enfance qu’il était un prodige et ça a fini par déteindre sur son image de lui-même. Une « informée » de l’émission de ce soir, maîtresse (sic) de conférence à Sciences Po, a souhaité qu’il soit moins emphatique et plus empathique. En est-il capable ? Et y est-il aidé par une société qui considère que la pitié n’est plus, comme du temps de Rousseau, le ressort principal, avec l’instinct de conservation, de la nature humaine ? Le contraire d’une société qui sait avoir pitié est une société impitoyable. Comme la politique de Macron est impitoyable par manque d’empathie.
Un autre journaliste a exhumé les vœux de Giscard en 1975, ceux qu’il présentait aux côtés d’Anémone, Giscard à qui on a souvent comparé Macron. Or Giscard présentait « des vœux affectueux » et Anémone des « vœux chaleureux » aux Français. De Macron ne se dégage pas une telle chaleur qui nous ferait sentir son affection si elle existe en dehors du registre lyrique et mauvais-théâtral dont il raffole.
Vous parlez, cher Philippe, de François Hollande et Ségolène Royal. Arnaud Montebourg avait raison: autrefois le parti socialiste et aujourd’hui la France sont les otages d’un problème de couple. En 2007, un ami m’avait fait découvrir un article de François Bousquet où il écrivait que Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy étaient à la France ce que les élèves qui se cachent au fond de la classe ou près du radiateur sont à celle-ci. Sauf que les voilà qui se réveillent et ils ne s’arrêtent plus de parler. Surtout, Ségolène était soûlante. Carla Bruni avait raison de trouver qu’elle « parlait faux ». Et dire que j’ai voté et fait voter pour elle, pensant qu’elle serait climatiquement plus correcte que Sarkozy et qu’elle qui croyait à l’Europe par la preuve, promettait de nous faire ratifier ce qui n’était pas encore le traité de Lisbonne par voie référendaire.
Deux jours de suite, j’ai assisté à un formidable dialogue de sourds entre Gilets jaunes et experts. Le premier était sur LCI et mettait un Gilet jaune aux prises avec Michèle Cotta et François de Closets. Ils montraient la même morgue envers les Gilets jaunes, excepté ce parti pris minoritaire dans son milieu de Michèle Cotta contre l’Europe (mais Michèle Cotta est la soeur d’Alain Cotta, qui est un opposant de toujours au traité de Maastricht malgré son appartenance à la Trilatérale), alors que François de Closets, qui finit par se prendre pour Einstein parce qu’il a rédigé sa biographie, est à fond pour l’Europe de Bruxelles.
Ce soir, sur Europe 1, un autre Gilet jaune faisait face à l’incompréhension de la même Michèle Cotta et de Jacques Lévy, un géographe qui a théorisé une « fracture territoriale », mais ne voulait pas entendre parler de démocratie directe, après avoir quitté la Suisse où il avait vécu pendant quelques années en n’appréciant pas le modèle. « Tout le pays rêve d’une vraie démocratie parlementaire », affirmait-il contre l’évidence. Au Gilet jaune qui débattait avec lui, il faisait l’apologie des centres-villes et trouvait qu’avoir libéré la France de 70 % de ses radars était du vol. Que dire de la privatisation des autoroutes financées à leur construction par « la vignette des vieux » ? Michèle Cotta était particulièrement offusquée par le référendum d’initiative citoyenne (RIC) qui devient, à la demande de la pétitionnaire qui l’a popularisé, la principale revendication des Gilets jaunes, celle sur laquelle ils se retrouvent parce qu’à partir d’elle, toutes les autres revendications seront émondées.
Quelles que soient mes propres réserves, déjà partiellement décrites ici, sur certains aspects du RIC, il était estomaquant de voir comment l’ancienne présidente de la haute autorité de l’audiovisuel, puis directrice des programmes de TF1 et de France 2, qui y a installé ceux que Guy Lux appelait des « pourrisseurs », à la suite de Jean-Pierre Elkabbach, comme animateurs-producteurs de beaucoup d’émissions, était hérissée par une démocratie directe qui aurait rendu impossible toute une vie d’abus de pouvoir et de responsabilités confiées à cette enfant gâtée pas autrement brillante, fille du maire de Nice, errant entre le service public et la télévision privée, et qui dépensait à son gré l’argent de la redevance sur l’audiovisuel.
Pourquoi les médias ont-ils le réflexe de faire commenter par des représentants épuisés de l’ancien monde qui a échoué la révolte d’un monde alternatif ? Est-ce excès de paresse ou aveu de faiblesse ? Quelqu’un organise même une « marche pour Macron » et voudrait nous rejouer le 30 mai 1968 pour défendre ce De Gaulle au petit pied qui n’aime pas la chienlit des Gilets jaunes, mais a commémoré le cinquantenaire de Mai 68. L’histoire ne se répète pas et ce nouveau monde est décidément bien peu original.

Il est un proverbe qui dit « Protégez-moi de mes amis, mes ennemis je m’en charge ».
Il s’applique parfaitement à Alexandre Benalla qui apparaît de plus en plus comme un gros caillou dans la chaussure d’Emmanuel Macron.
On croyait en avoir fini avec l’affaire Benalla vu que celle des Gilets jaunes avait pris le relais. Eh bien non ! Voilà qu’elle ressurgit soudain avec cette histoire abracadabrante de passeport diplomatique et les relations particulières que Benalla entretient avec certains pays africains ainsi qu’avec Israël.
Alors Benalla agent double, ou espion pour le compte d’une puissance étrangère ? Désormais tout est possible.
Benalla… Gilets jaunes… Benalla… Gilets jaunes… Benalla…
On n’en sort plus de ce cycle infernal qui finit par donner le tournis.
Comme le dit excellemment Bernard Pivot sur Twitter :
« On sent qu’avec Benalla on est parti pour un feuilleton. Le mystère Benalla… Le passeport de Benalla… La fiancée de Benalla… Le procès de Benalla… Le retour de Benalla… Les mémoires de Benalla… »

@ duvent
Merci pour votre souhait dédié à « l’an qué vé… »
Hum ! cet instant de soleil me combla.
Sinon et concernant le billet, d’accord avec le PR CALGUES.

Christophe Guilluy qu’on dit victime de « l’universitairement correct » a été heureusement médiatiquement omniprésent.
Cet « universitairement correct » qui a été depuis plusieurs dizaines d’années une plaie de l’enseignement universitaire français et qui n’est guère qu’une variante du terrorisme intellectuel, ne fait hélas que s’étendre à la plupart des disciplines, en créant de nombreuses victimes collatérales dont des enseignants mis au placard ou bien des étudiants contraints d’entrer dans le moule idéologique qui leur est imposé.
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/09/07/31003-20180907ARTFIG00344-comment-le-racialisme-indigeniste-gangrene-l-universite.php
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/12/13/31003-20181213ARTFIG00216-eviction-d-un-professeur-oppose-au-decolonialisme-l-universite-en-peril.php
Le contribuable est donc une fois de plus obligé d’entretenir des terroristes qui en forment d’autres afin qu’une fois entrés dans la vie active, ils lui pourrissent la vie…

@ Julien WEINZAEPLFEN 29 décembre 2018 22:37
Emission sur LCI
J’ai également regardé cette émission avec les deux « vieux croûtons » Michelle Cotta et François de Closets.
L’incroyable morgue de ces deux représentants des « élites » contrastait avec le calme du Gilet jaune.
J’ai même cru un instant que de Closets, tellement énervé, allait gifler le Gilet jaune comme on giflait autrefois à l’école un élève soi-disant attardé !
Ces deux-là suintaient le racisme social de façon tellement évidente que c’en était gênant !
Quand je vois Michelle Cotta encore à l’antenne, je ne peux m’empêcher de me remémorer la phrase prononcée lors d’un débat dans les jours qui suivirent l’arrestation de Strauss-Kahn à New York. Interrogée sur la morale en politique à propos de cette affaire, elle avait répondu « la morale, ça m’emmerde ». Tout un programme qu’elle a appliqué à la lettre.
Effectivement, d’alcôve en alcôve, elle s’est construit une belle carrière dans l’audiovisuel et les petits minets qui l’entouraient à l’époque de sa gloire lui renvoient maintenant l’ascenseur, arrivés qu’ils sont aux plus hauts postes des médias.
Ainsi va le monde.
Cordialement.

@ Exilé | 29 décembre 2018 à 10:14
« Mais encore faudrait-il commencer par comprendre le malaise vécu par les Français qui, sans pour autant porter de gilet fluo, se sentent concernés par la révolte exprimée par ce mouvement de fond, face à un système qui les rejette. »
Je comprends surtout le malaise de ceux qui ont soutenu les Gilets jaunes au début de leur action en novembre et qui aujourd’hui sont des petits patrons au bord de la faillite ou encore des smicards qui se retrouvent en chômage technique et qui ont depuis jeté leur gilet jaune au feu.

Oui, bien sûr, on va aussi lyncher les journalistes, ça détendra les frustrés du bulbe qui ne se connaissent même pas eux-mêmes.
Que le président continue à mettre le pays face à lui-même, la responsabilité des errances invraisemblables que nous vivons est collective, désigner l’idole émissaire n’est qu’un autre moyen pour ne pas s’envisager et apprendre à se connaître.

@ Savonarole
Pas d’accord avec vous sur Ségolène Royal mante religieuse. D’après moi, elle a été la perdante de son couple avec Hollande. Tous deux avaient les dents longues. Il lui a été sans doute utile pour lancer sa carrière au début. C’était sans risque pour lui. À une époque elle a publiquement dit qu’elle aurait aimé se marier avec lui, ce qui montre en passant qu’elle ne comprend pas grand-chose à la psychologie masculine, ni aux vertus de la tradition. Contrairement à elle, il n’avait aucune envie de s’engager, et il l’a amplement prouvé. Il l’a laissée tomber avec les enfants comme une vieille chaussette.
Il trimballe sans élégance les femmes avec qui il sort, sa fréquentation ne les met aucunement en valeur. Vous me direz, cela n’en fait pas un don Juan… SR a joué le mauvais cheval, peut-être par arrivisme politique. Mais une chose est sûre, elle n’en a pas fait qu’une bouchée. Il est naturellement protégé par une force d’inertie assez impressionnante.
Et elle recommence maintenant à faire des propositions et à se faire éjecter. Ça lui colle à la peau.

@ Julien WEINZAEPFLEN | 28 décembre 2018 à 23:55
Votre intervention tranche un peu vis-à-vis des autres intervenants dans le sens qu’elle n’est pas superficielle, il va de soi que je parle de la première relative à sa seconde partie, sur ce que nous avons fait de la Constitution et de la démocratie.
Mais ne vous attendez pas à trop de réactions sur ce sujet, le reste est plus dans les cordes des blogueurs qui très individualistes ne réagissent qu’à ce qui est parfaitement conforme à leurs préjugés ou complètement à l’opposé sans prendre soin de réanalyser leur position.
Ils ne se rendent plus compte de l’essentiel que vous voulez faire passer
* que la Constitution est bafouée depuis que l’exécutif légifère et l’Assemblée est au pied de l’exécutif
* la démocratie n’est plus le bien commun et l’intérêt général mais la recherche de majorité d’opinion pour donner du pouvoir à une dictature majoritaire issue des urnes soumise aux aléas du nombre de votants et du nombre de candidats à un deuxième tour et des affaires du moment.
Dans ces conditions où l’humeur a plus de poids que la réflexion, l’intérêt commun n’a pas le poids de l’intérêt général. Si le référendum est peu usité aujourd’hui c’est que face aux humeurs les questions qui ont du sens ne peuvent se poser.
Il nous faut un minimum à connaître pour que le Français atteigne le niveau des Suisses qui s’expriment par votations.
– Un peuple qui ignore l’essence nationale de sa démocratie n’est pas un peuple au sens citoyen du terme.
Quand il m’arrive de soumettre à référendum le partage de la richesse nationale, on me répond que ce n’est pas possible de faire cette demande à des gens qui n’ont que pour ambition  »moi y en a vouloir des sous ».
En fait ceux qui rejettent la votation n’en rejettent pas l’usage, mais l’efficacité sur le progrès à attendre du RIC ou du RIP quand l’essentiel de notre vie en société est une recherche d’équité dans la production, puis le partage de notre richesse nationale : c’est-à-dire ce que nous appelons : le PIB national.
Sans rien connaître du PIB : le RIC ou le RIP n’a pas d’avenir.
La démonstration sur la difficulté à comprendre du Français est manifeste en dehors du droit de demander la tête de Jupiter ou de faire payer les riches.
Oui c’est ainsi que la votation chez nous est vue, mais la tête tombée, le riche devenu pauvre, que faisons-nous ?
La votation n’est pas faite pour assouvir ses humeurs mais rechercher l’intérêt général. Ce n’est pas parce qu’une majorité s’accorde sur un intérêt particulier que cet intérêt particulier devient instantanément l’intérêt général.
La votation doit être précédée par une éducation citoyenne dont le premier théorème devrait être  »la consommation des uns devient la consommation des autres » ce qui nous oblige à produire pour les autres autant que les autres produisent pour satisfaire nos besoins propres.
Donc si votation il y a besoin c’est d’abord de définir notre devoir de produire équitablement la richesse nationale et une fois défine cette richesse, en déterminer le partage équitable.
On peut aussi soumettre à référendum l’écologie, ou la migration, mais cela sera peine perdue si les citoyens, pour les adeptes du RIC, ou le peuple, pour les adeptes du RIP, qui ne se comprennent pas entre eux, ne comprennent pas que l’économie, l’écologie sont intimement liées entre elles et encore davantage à la surnatalité, dans notre monde, d’une espèce vorace en consommations produites par les autres et en consommations naturelles non renouvelables.
Ce qui manque aussi dans notre éducation c’est ce pouvoir de reconnaître ses erreurs, du plus bas de l’échelle jusqu’à son haut, si bien qu’il a fallu attendre la destruction de patrimoine et de notre économie pour que notre gouvernement comprenne que la fiscalité punitive va toucher davantage les plus fragiles, pour les laisser au bord de la route et les obliger à enfiler leur gilet jaune pour se prévenir de sur-accidents.

@ genau 29 décembre 2018 à 12:27
L’escroquerie au CO² supposé nuisible fait concurrence à l’avion renifleur de Giscard dont les médias ont eu l’idée rigolote de comparer Manu à ce dernier.
Je crains que Manu soit « fixé » sur l’époque heureuse où il vivait chez sa grand-mère.
Adéo genau

Quand je vois qu’un pékin peut infiltrer les partis, s’amuser avec la représentation d’une commission d’enquête, le pied nickelé Benalla est dans son rôle, que peut-on lui reprocher au fond ?
Il a molesté un petit peu, certes à la limite, il utilise des passeports qui ne lui sont pas retirés, à qui la faute ?
En face un bazooka pour tuer une mouche et lui se déplacer d’un coche à un autre, après tout il n’est inculpé de rien du tout, et voilà que tout le monde s’insurge.
Une commission qui n’a servi à rien, nada, que pouic, d’ailleurs pour quels résultats ? Il n’a rien fait, que peut-on lui reprocher, de faire des affaires ? Et alors ? D’autres font les mêmes affaires.
Un tribunal grandiloquent qui accouche d’une souris, il vaque à ses nouvelles occupations, après tout il est consultant il se sert de ce qu’on lui a permis d’utiliser.
Si cela continue il va me paraître bien sympathique, récupérer les passeports était un jeu d’enfant, mais il sait qu’en face ils ne sont que des enfants empêtrés dans des commissions. Des enfants qui ne se servent que très mal des outils magnifiques qu’ils ont à disposition pour punir ou réprimander.
Société de hâbleurs et de mollassons habitués au feutré des couloirs, pas aguerris aux combats rapprochés que de tels énergumènes méritent, le policé a ses limites, celui d’un Benalla justement et lui sait tout cela justement.
Alexandre Benalla devrait faire partie de la prochaine promotion pour ses états de service, il nous fait découvrir tous les trous béants qui existent dans la raquette et l’inutilité de commissions d’enquête qui ne sont que la caisse de résonance médiatique qui ne sert strictement à rien, mais à rien.
Le patron du Crédit Lyonnais avait lui aussi juré la main sur le cœur que les paradis fiscaux c’était fini et Braouezec de découvrir la tête enfarinée que c’était faux.

@ S Carioca 29 décembre 2018 à 15:15
Elusen, sors de ce corps !

Quand va-t-on cesser ce mauvais feuilleton que sont les soi-disant affaires Benalla !
Vous ne croyez pas qu’avec la situation actuelle, cette pulsion mortifère des Gilets jaunes qui menacent notre République et notre démocratie, il y a autre chose à traiter et à s’inquiéter ?
La première affaire Benalla n’a existé que parce que des âmes bien intentionnées ont divulgué la vidéo de ce que l’on sait. Que ce monsieur ait un peu molesté sans conséquences médicales un manifestant qui lançait des objets dangereux sur les forces de l’ordre et dont on a appris ensuite qu’il était loin d’être un simple touriste, ne me choque pas.
Ce qui me choque le plus, c’est tout ce cirque fait autour, les interrogatoires à l’Assemblée nationale demandés par l’opposition évidemment trop heureuse de trouver des raison de discréditer E. Macron.
De plus, qu’un président de la République se choisisse lui-même un garde du corps en qui il a entière confiance ne me choque pas non plus !
Il y va de sa vie tout de même et les images montrées de M. Benalla dans l’exercice de cette mission me sont toujours apparues comme démonstratives de son expérience, de son savoir-faire et de son professionnalisme.
Curieux quand même alors que tous les médias et les politiques ont mis en doute ses compétences que celles-ci n’aient pas été soulignées car elles crèvent les écrans !
Pourquoi d’ailleurs ces qualificatifs « sulfureux », « inquiétant » etc.
Il me semble qu’il a suffisamment démontré qu’il avait des diplômes et des formations ad hoc.
Pourquoi ceux-ci sont-ils toujours ou oubliés ou dévalués ?
Autre question : pourquoi des documents intimes et personnels sont-ils diffusés dans la presse comme « il a payé en CB » mais on s’en fiche et ça veut dire quoi ?
Comme le numéro de son passeport…
Il y a bien quelqu’un derrière toute cette affaire qui cherche à lui nuire ou nuire au chef de l’Etat !
Edwy Plenel, notre inquisiteur en chef qui lave plus blanc que blanc, en a fait une affaire personnelle.
On peut se demander pourquoi ?

@ genau
Sans aucun doute !
Et donc il en est ainsi, qu’en cheminant sous le soleil, en faisant des vœux (sans pataquès, solécismes, latin macaronique, ou barbarismes), nous ne perdrions pas des yeux la règle d’or !
C’est pourquoi il est plaisant de vivre en France, où l’on peut évoquer la « masculinité » quand les hommes et les femmes se prostituent à qui mieux mieux, ou à l’envi, et que le résultat détestable laisse coi…
Oui en effet, c’est étonnant et drôle de voir ce monde affreusement pourri, faisandé et fétide, laisser encore pousser des roses en un hiver doux et suave, tandis que le blé de la Sainte-Barbe foisonne !
Peu importe, il est toujours flatteur de se croire meilleur, et encore plus de penser les autres pires, cela nous laisse le loisir de faire mal ce que l’on pourrait faire bien, de penser de travers et d’attendre la récompense, car toujours une récompense doit venir pour ceux qui sont méritants… (La liste est disponible au Jardin des délices, ou pour les plus affûtés dans le livre 6 de l’ Enéide !)
Donc, je redis encore à toutes et tous, à l’an qui approche d’un pas lourd et menaçant, qu’il nous épargne et nous apporte la félicité !

@ Monarose | 29 décembre 2018 à 16:13
« Quand va-t-on cesser ce mauvais feuilleton que sont les soi-disant affaires Benalla ! »
– usurpation de signes réservés à l’autorité publique : un an de prison.
– usurpation de fonction : trois ans de prison.
– destruction de preuve et autres entraves à la Justice : trois ans de prison.
– intrusion dans un système de traitement automatisé de données : deux ans de prison.
– atteintes à la liberté individuelle : sept ans de prison.
– mentir sous serment au Sénat : cinq ans de prison.
Circonstance aggravante car commis par une personne en mission de service public.
Possible enlèvement et séquestration, ce ne sont plus des délits, mais des crimes de cour d’assises, 20 ans de prison ; etc.
Il y a deux affaires et non une ; une sur une place contre un homme et une femme.
Et une autre dans un parc où il a enlevé et séquestré une personne, puis détruit des preuves dans un cellulaire. La personne n’avait rien fait, elle était avec des amis dans un parc, Messieurs Crase et Benalla l’ont enlevé, séquestrée, puis ont menti à l’autorité où il a été placé en garde à vue 48 heures, cette personne a été relâchée car elle n’avait rien fait.
À 24 ans, promu au grade de colonel alors qu’il n’a jamais fait l’armée et qu’il n’est même pas militaire.
Délit du président de la République qui savait tout, mais a couvert, il ne l’a pas signalé au Procureur, article 40 du Code de procédure pénale.
Et maintenant usage d’un passeport diplomatique de la part d’une personne virée de la fonction publique, alors qu’il a affirmé sous serment au Sénat qu’il ne possédait plus de passeport diplomatique.
Seriez-vous le genre à nous parler de point de détail ?
———————————————-
@ Achille | 29 décembre 2018 à 08:55
Le mot connerie n’existant pas en anglais et en allemand, Albert Einstein ne risque pas de l’avoir employé.

• Deux choses sont infinies : l’univers et la bêtise humaine, en ce qui concerne l’univers, je n’en ai pas acquis la certitude absolue.

• Un être humain est une partie du tout que nous appelons «Univers»… Une partie limitée dans le Temps et dans l’Espace.

@ du côté de chez WEINS aliosque
Le pouvoir judiciaire est devenu autorité avec de Gaulle. Le Premier Président de la Cour de cass n’est que le neuvième personnage de l’Etat et encore, je pense, depuis M. Drai.
Les raisons en sont multiples, on peut deviser à l’infini sur le sujet mais il se révèlera rapidement que c’est un problème de gestion. Quand Macron parle de simplifier l’administration, il défie le bon sens, car, pour cela, il devrait mettre au régime sec les clans, clubs, coteries et autres guildes qui la constituent.
Les juges, après la WW2 étaient de pauvres hères, il a fallu doubler leur traitement en 1958, la machine à écrire était un luxe et la voiture un accessoire de police. Il n’y avait plus d’équation entre l’Etat et la fonction.
Le prestige des juges datait de leur bénévolat sous l’Empire, pour les plus hauts grades, et les juges de province sont bien décrits par André Toulemon, qui les voyait à bicyclette quand l’avocat roulait cabriolet.
Le juge Magnaud, célébrissime magistrat, auteur de l’état de nécessité, possédait une fortune personnelle, il faut relire Balzac sur le sujet et notre hôte en sait plus que moi.
Malgré cela, elle n’a démérité qu’en de rares circonstances et encore sous la pression d’événements dont elle n’avait aucun des leviers de commande. Pourtant, le pouvoir exécutif conçu pour et par de Gaulle a le privilège de restaurer la confiance dans un pouvoir identifiable. C’est un peu ce que disait Peyrefitte dans « la Société de confiance ». Mais, lorsque le Roi se dévêt et exhibe son « voyage aux Pays-Bas », il rétrograde et n’arrive plus à imposer sa vision de la société. Lorsque, en outre, il dépend d’une coterie surreprésentée dans l’appareil d’Etat, il n’est plus qu’un chef de clan. C’est devenu progressivement le cas de Giscard à Macron, sans omettre Sarkozy.
Il n’y a là aucune malédiction, puisque c’est le régime gaullien par Debré qui a engendré son propre poison, l’hyper-administration.
Tout cela n’a rien de secret, ce n’est que le délitement normal d’une institution qui ne fonctionne plus très bien. Sous la IIIe République même un finasseur pas politique du tout, comme Léautaud, décelait l’influence majoritaire et néfaste des Sciences Po qui étaient à l’époque des brasseurs de vent.
Cela dit, y a-t-il un remède ? En faut-il un ? Les métastases de la satisfaction repue n’empêchent-elles pas toute réaction ?
On peut s’asseoir sur le coteau et boire son verre en regardant ce casse-tête de haut, ou s’engager dans les corps francs et casser de la structure. Mais il faut alors s’attendre à rencontrer le dernier bastion de la justification républicaine: la justice qui redevient alors le pouvoir judiciaire. Pardon pour cette boucle récursive.

Ben oui la France est déprimée, la moyenne d’âge des Français est de 42 ans, on est en pleine crise de la quarantaine. Le souvenir de l’âge d’or des Trente Glorieuses est vif, et les craintes devant les changements de la mondialisation réelles, et mon Dieu quand on voit ce qui se dessine, a-t-on tort d’être pessimiste ?
Trop rares sont ceux encore qui savent la chance qu’ils ont d’être Français en 2018, il faut sans doute avoir voyagé un peu pour s’en rendre compte… la société de consommation a en effet fabriqué beaucoup des frustrations qui s’expriment, et c’est bien pour ça que M. Macron ne pourra pas aller à La Mongie, vous résumez bien en effet: « ce qu’on ne peut pas avoir, lui n’y aura pas droit » !
Macron n’a qu’une chose raisonnable à faire pour lui et le pays: dissoudre. Ou ne plus rien faire en espérant que les indicateurs économiques resteront au vert assez longtemps pour entrer enfin dans la trajectoire de désendettement attendue par Bruxelles et Berlin. Ou espérer qu’il y ait des Gilets jaunes partout en Europe l’an prochain, car ça va faire des émules !

@ Claude Luçon | 29 décembre 2018 à 13:22
Pour Ségolène vous me rassurez !
Belle page d’histoire des sixties, à peu d’années près nous avons vécu la même chose.
Sauf que j’étais déjà en Afrique, on n’y trouvait sur routes et pistes que des Peugeot ou Berliet, puis soudain sous Giscard on a vu arriver les Toyota et Mitsubishi. Une page se tournait…

@ Mary Preud’homme
« Sans compter celle du Vietnam que j’ai vécue au plus près, mais c’est une autre histoire… »
Si cela ne vous est pas trop douloureux ou risque de nuire à des innocents, pouvez-vous en dire quelques mots ?

@ Noblejoué | 29 décembre 2018 à 20:22
Si un jour notre hôte Philippe Bilger en faisait le sujet d’un billet, je pourrais peut-être (conditionnel) en dire un peu plus, mais pas avant.
D’autant que contrairement à vous je publie sous mon patronyme.

[Le PRESIDENT et Madame]
Ah bon vous savez dans quelle « grande villa » ils sont allés ?
Vos propos dégoulinent de jalousie.
J’ai honte pour vous.
Si on n’avait pas tous ces jaloux et ces aigris pour hurler au scandale dès que Macron et sa dame mettent un orteil dehors, qu’est-ce qu’on s’ennuierait ! C’est devenu un divertissement à part entière, les commentaires dénigrants sur le couple présidentiel quoi qu’il prétende faire, une espèce de genre littéraire à soi tout seul !
J’espère sincèrement que les vacances présidentielles empêchent ces commentateurs de dormir mais je n’en crois rien, c’est plutôt devenu un réflexe pavlovien, on prononce le nom de Macron et une bordée de critiques s’ensuit sans même qu’ils en aient conscience.
Ça sort tout seul et ça soulage, pour un temps.
Le président Macron comme tout un chacun a le droit de prendre des vacances là où il l’entend.
D’autant plus que ce séjour est privé.
Etre opposant à la politique de Macron ne veut pas dire être haineux.
Au contraire, qu’il profite bien, car il a un sacré travail devant lui s’il veut sauver son quinquennat et redresser les finances publiques.
En cette période où chaque Français aspire à trouver une certaine paix en famille ou ailleurs, il serait digne de laisser le Président Macron profiter en toute tranquillité d’un certain repos.
A trop en faire contre le Président de la REPUBLIQUE Emmanuel Macron, les râleurs finissent par en devenir complètement nuls.

« Ils se reconnaîtront »
Vous êtes si malheureux et si désespérés que ça pour être autant aigris, râleurs, jaloux de la réussite d’un jeune homme comme M. Macron, qui je vous le rappelle est le premier des Français aux yeux du monde ?
Eh oui ! Lui est arrivé au sommet, vous il n’y a que vos petits salaires, vos petites retraites et vos aides sociales qui vous intéressent.
Sa vie, on se la fait soi-même sans l’aide de personne et surtout sans toutes vos aides sociales, vos aides diverses et variées généreusement données par votre État-providence.
Personnellement j’aurais honte de quémander la moindre aide si, si.
Après vos études, vous auriez mieux fait de vous bouger les fesses, le monde vous était offert sur un plateau.
Aujourd’hui c’est trop tard !
Arrêtez de pleureur, c’est indécent !

A MESDAMES ET MESSIEURS LES GILETS JAUNES DE CE BLOG
J’ai dit et je redis que je ne suis pas macroniste et que je ne voterai ni pour lui ni pour les siens à toutes les élections à venir.
Vous aviez déjà fait très fort au cours des semaines écoulées, pas seulement à l’Arc de Triomphe. Ce samedi, des gens à gilet jaune ont mis le feu au portail métallique de la Banque de France de Rouen.
Qui parmi vous approuve cela ? Les auteurs sont-ils des anarchistes, des anticapitalistes, des haïsseurs de la banque, de l’économie française, de la France, sont-ils des communistes, des mélenchonistes, des poutouistes, ou des cervelles de colibri ?
Si vous me répondez, épargnez-moi la ritournelle entendue sur tous les plateaux télé : « Nous sommes contre la violence », et le reste.

« Emmanuel Macron joue de sa relation amicale avec Nicolas Sarkozy pour flatter ce dernier qui d’agité d’hier se campe en « vieux sage d’aujourd’hui » et surtout ruiner toute progression de Laurent Wauquiez à la tête des LR. Ce sont des manoeuvres qui ne sont pas très saines et qui ne suffiront pas au président pour remonter la pente. »
Et si c’était l’inverse ?
Que Sarko joue le « vieux sage », c’est indiscutable, ils vont tous lui baiser la main comme au Parrain pour se faire bien voir et prendre conseil mais justement je pense que Sarko qui n’a jamais avalé d’avoir perdu contre ce berlingot de Hollande parce qu’il a fait une campagne de gauche à cause de Carlita comme conseillère, a empapaouté Macron pour le couler et lui donne les pires conseils possibles de communication, la preuve, et « le gamin » qui ne connaît rien à la vie politique, la vraie, la bien pourrie, n’y voit que du feu et croit que Sarko veut l’aider alors qu’évidemment il ne veut que s’aider lui-même à revenir pour garder Carlita qui veut redevenir la reine de Paris.
« Le gamin ne connaît pas Raoul ! »…
Quant à Wauquiez, tout le monde s’en fout, c’est un cave.

« Le Rassemblement national qu’on imaginait quasiment coulé serait largement en tête aux élections européennes du mois de mai 2019 et il s’offrirait même le luxe de faire diriger sa liste par un jeune de 23 ans quand LR est encore en train d’hésiter entre fraîcheur et expérience.
La France est déprimée. Comment ne le serait-elle pas ? »
– M’en parlez pas ma brave dame !
– Vous vous rendez compte quand même ! Un parti politique dirigé par une femme et dont la liste électorale est dirigée par un minot de 20 piges ?!
– Nooon, c’est terrifiant ! Le monde va vraiment à vau-l’eau. Mais c’est des machins d’extrême gauche ça ? Des communistes ou pire ?
– Presque ! c’est le RN ! Anciennement Front National… et oui Madame.
– Aaah, alors tout s’explique…

@ vamonos | 29 décembre 2018 à 22:29
« 1 000 000 000 de litres d’eau fondra dès que la température aura atteint 0°C. »
Eh bien non cela ne fonctionne pas tout à fait comme cela, vous confondez avec le glaçon de votre whisky, forcément le raccourci est flatteur et sans doute Lavoisier vous aurait suivi pour trinquer.
Allez je vous livre quelques pistes, les bien nommées, bonne lecture.
Quant à la production d’énergie consommée c’est du délire par les temps d’économie qui courent.
Le directeur de la station chère au Président déclarait très récemment dans La Dépêche qu’un modèle économique était à bout de souffle…
https://www.ladepeche.fr/article/2018/12/24/2930299-directeur-grand-tourmalet-arrive-bout-modele-economique.html
https://www.bastamag.net/Boire-de-l-eau-ou-skier-faudra-t-il-bientot-choisir
Comme partout il existe des exceptions, les plus huppées, inabordables aux roturiers, exploitent un filon de clients russes ou autres pays exotiques où les fortunes des milliardaires poussent comme bonhommes de neige en période de Noël. Mais là est une autre histoire.

@ Giuseppe 21h28
« Notre Président devra se dépêcher s’il veut à l’avenir faire quelques descentes, bientôt seront les cailloux ; il serait bien inspiré lui et sa transition énergétique qui lui tient à cœur, de lire ce rapport puisqu’il connaît bien ces massifs. Il y apprendrait que l’on consomme tous les quatre ans 1 000 000 000 de litres d’eau que l’on puise dans des réserves EDF, un milliard ! »
Oui vous avez raison de soulever ce point ! On peut aussi ajouter le coût de l’électricité nécessaire pour faire fonctionner les canons. On estime à 500 000 kwh/saison la dépense électrique pour une station utilisant ces dispositifs !
De plus des additifs sont utilisés qui ont eux aussi un coût et un impact potentiel sur la santé humaine (présence de germes).
On va gentiment dans le mur !

Un président de la République épuisé se voit empêché d’aller skier quelques jours à La Mongie parce que des Gilets jaunes seraient encore mobilisés et que cette accalmie pourrait les exciter.
Les vacances de M. Macron et de sa femme font penser à la comptine du furet : « il est passé par ici, il repassera par là ».
Le couple Macron n’est pas allé à La Mongie simplement par manque de neige, et non pas parce que les GJ les en ont empêchés par jalousie.
Mais ils ne pouvaient pas disparaître complètement de la vie politique car le pouvoir aurait été vacant, donc ils réapparaissent, mais ils réapparaissent à Saint-Tropez, et non pas sur un rond-point en province.
Cela a été évidemment encore critiqué. Et encore clivant.
Mais les Macron sont des gens fortunés, ils vivent comme des gens fortunés, en faisant un bras d’honneur à la France des ronds-points, qu’ils n’invitent pas à leur table, mais à un débat.
Avec leurs acolytes du gouvernement, ils font partie de la petite délinquance, ou de la délinquance en col blanc, qui va de Sibeth NDiaye à Muriel Pénicaud, en passant par Benalla et Richard Ferrand.
Avec la réapparition de l’affaire Benalla, on pourrait croire que les ripoux sont de retour.
Pourtant la première loi qui a été votée par le gouvernement Macron, suite à « l’affaire Fillon », a été la loi pour la moralisation de la vie politique. Mais cette loi ne concernait finalement que les petits emplois des assistants parlementaires, mais pas la délinquance ordinaire, aidée par certains juges, qui s’est installée à l’Elysée.

@ Patrice Charoulet 29 décembre 2018 21:53
« A Mesdames et Messieurs les Gilets jaunes de ce blog »
En voilà un, Patrice Charoulet ! Plutôt de coeur que de terrain compte tenu de mon âge et de ma santé !
La réponse à votre phrase péremptoire « Nous sommes contre la violence » n’a pas plus de sens que la phrase posée.
Atterrissez Patrice Charoulet, sortez de votre appartement ou de votre pavillon. La violence physique est partout. Dans la rue, dans le bus, dans le métro, dans les banlieues, dans les relations humaines… et même sur ce blog quand on lit les termes que vous employez vis-à-vis des Gilets jaunes dans vos nombreux commentaires sur ce sujet !
Que ça vous plaise ou non, la grande majorité des Gilets jaunes est pacifique, taraudée par son déclassement et ses difficultés financières.
Tout rassemblement enflamme les esprits et peut provoquer des excès. Mais à un moment, la violence change de camp pour devenir celle du pouvoir. Laquelle est légitime ? Beau sujet de dissertation bien assis dans son fauteuil.
Et quid de la violence politique dont prend conscience peu à peu le peuple : 48 % de votes de la gauche de la gauche et de la droite de la droite (comme on dit depuis peu) et seulement quelques % de députés dans l’Assemblée qui suit. Ce n’est pas une vraie violence ce déni Patrice Charoulet ?
Une porte de la Banque de France qui brûle me semble dérisoire par rapport à la violence de notre démocratie et de nos élites vis-à-vis du Peuple.
Cordialement.

Ce pays:
Champion du monde des taxes et impôts oui !
Mais il faudrait ajouter les champions du monde des aides sociales !
L’un explique l’autre.
Il faudrait donc bien savoir ce que les Français veulent.
Pour mémoire, Hollande a été élu en criant à qui veut l’entendre qu’il fallait taxer, taxer et retaxer et que c’était la seule solution pour conserver un service public de qualité et notre système social le plus élevé du monde.
Le problème est que les seuls « riches » qui sont restés sont ceux qui n’avaient pas les moyens de partir à l’étranger et qu’il ne reste à taxer que ceux qui travaillent.
Les Français ne veulent plus d’impôts mais toujours autant d’aides sociales à présent.
Monsieur Macron qui est un homme très compétent et très intelligent, a fait l’erreur de penser que les Français comprendraient que c’est impossible.
Sa seule erreur est donc d’avoir surestimé la capacité des Français à comprendre la nécessité d’équilibrer les entrées et les sorties.
Il ne reste donc qu’à réduire la dépense publique.
Mais s’il y a toujours autant de taxes et d’aides sociales, plus aucune dépense de l’Etat pour des chantiers qui font travailler le privé, + moins de fonctionnaires et donc moins de pouvoir d’achat.
Comment va-t-on payer les aides sociales ?
Et qui va travailler dans notre beau pays de Bisounours ?

@ jean Prieur | 30 décembre 2018 à 10:05
Puisque vous parlez d’exercice comptable, il faudra expliquer comment un homme si intelligent peut vendre les bijoux de famille:
http://www.youtube.com/watch?v=Ye4NqAiLZjg
Et en parlant de bijoux:
https://www.lepoint.fr/economie/cour-des-comptes-quand-sarkozy-liquidait-un-cinquieme-du-stock-d-or-de-la-france-08-02-2012-1428657_28.php
Heureusement que, ne percevant qu’une retraite forfaitaire d’un peu plus de 800 euros, je ne gère pas mes affaires de cette façon et que d’une façon plus générale les Français sont les champions de l’épargne, cette épargne servant de gage à nos dirigeants pour à nouveau emprunter…
Je continue de mon côté à faire mon Plan d’Epargne Boîtes de Conserve.

@ Mary Preud’homme | 29 décembre 2018 à 20:05
« Vous oubliez la guerre d’Indochine (75 000 morts, 65 000 blessés et 40 000 prisonniers), ensuite celle d’Algérie (25 000 morts, 70 000 blessés et disparus). Sans compter les innombrables victimes civiles.
Vous oubliez enfin nos 700 soldats tués en OPEX (Moyen-Orient, Afrique etc.). »
Je ne les ai pas mentionnées mais ne les ai pas oubliées d’autant plus que je devais partir en Indochine en octobre 54 sur l’Arromanche, ce que Mendès France m’a évité, et ai vécu d’avril 61 à juin 64 en Algérie, au Sahara, à In Amenas, où, à la demande express de l’armée, j’ai dû organiser et présider le bureau de vote pour le référendum de juillet 1962 sous menace de l’OAS.
Mais vous avez raison bien sûr.
J’avais écrit un texte bien plus long, que j’ai raccourci ici et là pour éviter qu’il soit trop barbant, il est déjà fort long, merci de l’avoir lu.
Vous avez vécu cette période et ce qui se passe aujourd’hui, si j’ai bien compris vous voyez le tout à peu près sous le même angle que moi, il y a tellement à dire, un tel gâchis sous yeux.
Nous avons le plus beau pays du monde, je peux en témoigner, pourquoi le réduire à des Leonarda et Benalla ou à des Gilets jaunes sur nos routes ?
Les Français sont capables de bien mieux : d’Emmaüs et des Restos du coeur à Ariane, en passant par une équipe de football qui a fait l’admiration de Barack Obama par sa diversité, son enthousiasme et son talent décontracté…
Nos soldats qui vont justement protéger au Sahel les descendants de ceux qui sont venus nous aider à nous protéger en 14 et en 40 !
Les Français savent faire beaucoup mieux qu’aller « gueuler » sur nos avenues et routes, ils savent s’organiser dans la paix !
Nos jeunes femmes en particulier devraient penser à leurs ancêtres de 14/18 qui ont porté la France à bout de bras, dans les champs, dans les usines, dans les hôpitaux, dans les écoles… pendant que leurs hommes mouraient par centaines de milliers pour nous permettre de conserver notre pays.
Notre gouvernement a le record mondial de taxation, mais les citoyens français ont le record mondial de générosité.
Au cours de l’histoire de ce monde, peu de citoyens ont eu à se battre pour conserver leur patrie !
Peu ont accueilli une telle diversité d’individus et réussi à en faire des Français : des Celtes aux Maghrébins et Africains en passant par les Vikings et les Russes blancs et tant d’autres.
Nos médias voient la France au cours des dernières 48 heures, pas des deux mille ans de son histoire et de sa génétique !

J’aime bien Patrice Charoulet, même si je n’ai pas du tout la même approche que lui sur bien des points. Il dit les choses comme il les pense, sans charabia inutile.
Concernant les Gilets jaunes je le rejoins. Le mouvement s’est sclérosé, ce qui était inévitable vu qu’aucun leader capable de fédérer les revendications de ces gens qui galèrent pour finir le mois n’a réussi à s’imposer. Pire, les porte-parole autoproclamés n’ont cessé de se tirer dans les pattes.
Les médias de leur côté ont joué les pompiers pyromanes en donnant la parole aux plus excités.
Deux exemples parmi tant d’autres :
Eric Drouet, celui qui voulait envahir le palais de l’Elysée, qui parle un français très approximatif et tient un langage qui n’a rien à envier aux djihadistes les plus abrutis.
https://twitter.com/JL7508/status/1079198129579270144
Je vous laisse juge des propos de cette femme qui relève de la psychiatrie pure et dure.
https://twitter.com/Fifi_5769/status/1079106766590394369
Peut-on vraiment imaginer ce genre de fous furieux au pouvoir ? Très peu pour moi !

@J.BOUILLARD
« N’oublions pas que la fameuse réforme des régions voulue par l’ancien héros de la dame, un certain « Calamiteux 1er » et vantée comme une mesure d’économie, a-t-il jamais compris ce que signifiait ce mot, s’est traduite par l’inverse, des dépenses supplémentaires, une nouvelle strate au millefeuille administratif et, bien entendu, l’embauche de nouveaux fonctionnaires.
Ça, ce sont des économies. »
Vous faites bien de rappeler cet exemple de fausses réformes entreprises sous le prétexte de faire des « économies » alors que c’est l’inverse qui en a résulté.
Tout cela, sous le prétexte d’économies, afin de pratiquer un charcutage administratif pour satisfaire les ego de barons locaux.
Ces fausses réformes ne font que compliquer l’usine à gaz existante, la rendre encore plus inefficace et plus ruineuse.
Les réformes s’empilent – nous ne comptons plus celles de l’Ednat – et à chaque fois la situation empire…

Actuellement, 55 % des Français ne paient pas l’impôt sur le revenu.
Les 10 % les plus riches en paient 70 %.
Mathématiquement, un RIC permettra à la majorité d’augmenter les impôts sur la minorité qui paie l’impôt sur le revenu, afin de financer les allocations pour la majorité qui ne paie pas l’impôt sur le revenu.
Donc, progressivement, nous arriverons à concentrer 99 % de l’impôt sur les 1 % les plus riches.
On obtiendra par la fiscalité ce que Lénine à obtenu par les Gardes rouges : la suppression du capitalisme, faute de capitalistes.
Je rappelle le merveilleux résultat obtenu par Lénine dès 1920:
– une chute de 97 % de la production industrielle, de 75 % du niveau de vie, une famine généralisée, des épidémies de typhus et de choléra, et pour finir la guerre civile.
Oscar Wilde disait:
« Les mesures consistant à déshabiller Paul pour habiller Pierre rencontreront toujours le soutien enthousiaste des Pierre ! »
« Arrêtons d’emmerder les Français » disait Pompidou.
Si l’Etat se limitait à définir le cadre dans lequel les Régions peuvent agir, un RIC régional pourrait apporter beaucoup à la vie démocratique du pays. Le premier RIC régional pourrait être sur le 80 km/h.
Un SMIC par région serait aussi le bienvenu car on n’a pas les mêmes besoins en Franche-Comté qu’en Île-de-France.
Un impôt qui ne touche que 300 000 Français ne peut être que plébiscité par les autres.
Et ce d’autant plus que les démagogues de tout poil, Mélenchon en premier, mais des plus modérés aussi, mettent de l’huile sur le feu en développant la haine des riches qui seraient responsables de la situation présente en ne respectant pas leurs engagements fiscaux.
Cet impôt est stupide économiquement, il a participé grandement à créer la disparition des entreprises industrielles en France.
Il faudrait déjà que l’Etat commence enfin à voter des budgets équilibrés, qu’il se penche sur tout ce qui est inefficace, et Dieu sait qu’il y en a.
La France est l’Etat le plus redistributif du monde, mais la redistribution n’est pas synonyme d’efficacité économique.
Le temps passé sur l’ISF est du temps non utilisé pour réfléchir à des sujets bien plus importants, à savoir la réduction des dépenses publiques (gouvernement, élus, ministères et collectivités territoriales), la lutte contre l’immigration clandestine, la prise de distance par rapport à la mondialisation destructrice, etc.
Le côté symbolique de l’ISF est fort, certes, mais récupérer deux ou trois milliards d’euros risque de se traduire aussi par la fuite massive de capitaux dont le pays a besoin pour créer des emplois.
Il y a donc des choses plus urgentes à faire, il y a par exemple beaucoup de niches fiscales qui font perdre encore plus d’argent au pays, avec une utilité que l’on qualifiera de limitée en étant très généreux.

@ Elusen 23h28
« Vu comment il a béni Israël, les Hébreux, les juifs, son fils et sylvain… »
Il a oublié les Arabes musulmans et on voit le triste résultat !!
Sinon abstenez-vous de blagounettes antisémites et antisionistes qui servent de béquilles à votre idiotie !

@ Claude Luçon | 30 décembre 2018 à 11:07
L’organisation des bureaux de vote était une affaire compliquée. Le résultat du scrutin prouve à lui seul que ce référendum fut une gigantesque opération de désinformation. Au-delà de 95 % de oui, on est sans conteste dans un régime totalitaire.
Les soldats perdus de l’Organisation Armée Secrète ne tuaient pas aveuglément. Un officier de la Royale comme vous ne représentait pas automatiquement une cible. Vous vous sentiez menacé, j’en conviens. Mais qui vous a dit que l’OAS cherchait à vous tuer ? Les cadres du FLN faisaient courir les plus folles rumeurs et les mises en scène faisaient partie de la guerre de l’ombre. Dans une guerre civile, le noir et le blanc se fondent dans un gris glauque.
Sur ce blog, comme ailleurs, la guerre d’Algérie est résumée en quelques mots et quelques notions reprises en boucle. Mais on ne parle pas des exactions du FLN et de la posture générale de l’Algérie. Nous avons actuellement en France des députés et sénateurs qui se vantent publiquement d’avoir des parents qui ont combattu dans les rangs du FLN. Imaginez un seul instant qu’un député algérien ait eu un père qui ait combattu dans les rangs de l’OAS. Vous vous mettez à rire, pas moi.
Je ne suis pas un nostalgique de l’Algérie telle qu’elle était avant l’indépendance. Mon propos n’est pas là. Je demanderai juste un peu d’équité et de respect pour tous ceux qui ont donné beaucoup et n’ont reçu que du mépris en retour.
Alors que M. Macron parle de restituer aux pays africains des sculptures qui se trouvent dans les musées nationaux, j’aimerais que soient évoqués les centaines de tableaux et croquis qui se trouvent au Musée d’Alger. Les tableaux de Degas, Corot ou d’autres peintres impressionnistes ne sont pas représentatifs de l’art algérien. Les accords d’Evian n’ont jamais été respectés par le gouvernement d’Alger.

Je fais partie de la classe moyenne dite aisée et j’étais assujetti à l’ISF alors que les vrais « riches » de ma connaissance avaient trouvé les moyens pour y échapper notamment à l’étranger.
J’ai exercé un métier qui était réputé pour ne pas verser de bonnes retraites ; donc j’ai économisé toute ma vie par prudence pour compenser ma retraite.
Et comme j’avais acheté une maison principale dans un quartier non recherché d’une ville de province, mais qui 25 ans après est devenu prisé, j’avais fini, ces dernières années, par juste dépasser le seuil limite fatidique et donc je payais en ISF deux mois de cette retraite. Que je pompais sur mes économies, ce que je ne trouvais pas juste.
Ouf, avec l’IFI, je repasse en dessous.
Alors, cessons de propager ces annonces motivées par une jalousie aveugle bien française qui incite chacun à la haine pour ceux qui ont quelques euros de plus, et à tous les niveaux.
Et ne vous leurrez pas sur le référendum d’initiative populaire dont les résultats seraient pitoyables et mettraient en danger mortel une démocratie déjà malade.
A la question : « voulez-vous qu’on augmente les impôts des autres » ?
Ou bien à l’école : « voulez-vous plus de vacances » ?
Ou à l’usine : « voulez-vous deux semaines de congés payés en plus » ?
Les réponses seraient un oui massif, et, devant tant de bêtise, le référendum d’imbécillité populaire ne serait pas suivi par le gouvernement quel qu’il soit.
Après tout, tout est possible.
Entre les deux guerres mondiales, Aristide Briand avait déclaré la guerre hors la loi, Hitler ne l’a pas écouté.
Quant à un RIC sur l’ISF (impôt que tous les pays ont abandonné), voilà un bon exemple qui démontre l’absurdité et la démagogie de ce type de consultation.
Tous les économistes sérieux, c’est-à-dire libres et non enfermés dans une idéologie marxiste, affirment que cet impôt coûte plus cher qu’il ne rapporte et qu’il est préférable de revoir les tranches d’imposition pour les gens fortunés.
Croyez-vous que les Français tiendraient compte de ces avis d’experts ?
J’en doute.
Voter avec la raison et en connaissance de cause est un exercice hautement difficile.
En économie, les Français sont nuls ! Et vous n’avez toujours pas compris les principes de l’imposition par exemple son principe universel !… Non seulement l’ISF est absurde mais par ailleurs tout bon économiste est pour la taxe carbone !
Dans trente ans, les Français jugeront les cancres ou ignorants que sont ces Gilets jaunes poujadistes à l’origine de l’abaissement de notre pays ! Une partie d’entre ces Gilets jaunes ne seront plus là ! Ce qui explique leur radicalisation : après moi le déluge !
Si demain le RIC s’impose, je proposerai pour ces gueux un test permettant de savoir s’ils doivent quitter le pays définitivement pour rejoindre l’autre bord de la Méditerranée !

@ Exilé 30 décembre 2018 à 12:16
Les collectivités locales croulent sous le poids d’effectifs pléthoriques qui ne travaillent en moyenne qu’une trentaine d’heures par semaine avec un taux d’absentéisme maladie de l’ordre d’un mois par an en plus de leurs généreux congés. Personne n’ose engager le dégraissage qui s’impose.
Depuis des années c’est la faute au copinage à l’embauche pour mettre à l’abri les amis et la famille sous la houlette de syndicats puissants.
Des postes bidon qui plombent le poids de la dépense publique sans valeur ajoutée. Tout le monde sait et beaucoup en profitent.
Alors une question : C’est pour quand le changement et les mesures d’économies ?

Il aura fallu attendre Macron pour voir débarquer les trolls d’influence politique du pouvoir en place.
Plutôt élaboré, mais tout de même, on les remarque à ce qu’ils pondent les mêmes commentaires.
On reconnaîtra, entre autres, Scarole et Olyphant, qui travaillent souvent en duo.
On espère pour eux que leur tâche est bien rémunérée.
Quant à la valorisation par le travail…

Puisque l’on parle beaucoup d’impôts et de retenue à la source, personne ne semble s’être aperçu d’une énorme erreur concernant les retraités :
Bon nombre de retraités touchent deux sortes de pensions :
– la retraite dite ‘’de la Sécu’’ (CNAVTS) payée le 10 de chaque mois en paiement DU MOIS PRECEDENT (donc le 10 février pour le règlement du mois de janvier par exemple).
– la (ou les) retraite complémentaire, payée le 2 de chaque mois, PAYEE D’AVANCE (donc le 2 février pour le mois de février).
Le prélèvement de l’impôt à la source ne devrait s’appliquer que sur les retraites complémentaires (revenus 2019) et non sur la retraite CNAVTS du 10 janvier (revenus 2018) en ce qui concerne ce mois de janvier.
Serait-ce le premier ‘’bug’’ de l’année ?

@ breizmabro | 29 décembre 2018 à 17:07
Je suis passé ce matin devant la pâtisserie de notre Président bien-aimé, non il n’est pas venu chercher ses gâteaux cette année, les « couillès » lunettes de soleil sur le nez repartiront avec la photo de la devanture, toujours mieux que rien, elle est belle la devanture Art déco.
Après tout, à l’estaminet du coin où nous avions nos habitudes, la neige n’était pas là mais nos exploits d’antan oui, VR17 dans la tête et Picpoul de Pinet à la main, cela s’est prolongé sous le store, tellement le soleil brillait, devant la plus belle des cartes postales, pas de monument, juste la montagne, la sauvage comme on l’aime.
Au fait pourquoi ces lignes, je ne sais plus, et puis au fond cela n’a pas d’importance.
https://i.goopics.net/7Y0vn.png

@ Julien WEINZAEPFLEN
« @ Noblejoué | 29 décembre 2018 à 14:27
« Le juge peut inventer tout ce qu’il veut, il est tenu par l’Exécutif qui veut bien le laisser faire… »
En France, on parle beaucoup d’indépendance de la justice, on parle plus rarement de la dépendance du parquet. On parle aussi beaucoup d’égalité devant la loi, on parle plus rarement d’inégalité devant la justice. Selon que vous serez puissant ou misérable, plus que les jugements de cour qui vous rendront blanc ou noir, vous pourrez ester ou non, parce que vous pourrez ou non vous payer un bon avocat, après l’avoir trouvé, car il n’est pas donné à tout le monde de comprendre que les avocats, qui doivent excéder aujourd’hui le nombre des médecins, l’éloquence étant une science molle »
————-
En France, on parle beaucoup d’indépendance de la justice par déni du réel ; comme je l’ai dit, l’Exécutif veut bien la respecter, en général, mais rien ne l’y contraint, au fond.
C’est très choquant, nous sommes dans une position semblable à quelqu’un qui n’est pas tué par son maître, propriétaire qui ne passe pas ses nerfs sur vous ou ne démontre pas sa richesse ou son pouvoir en gaspillant, mais qui pourrait fort bien le faire, le propriétaire ayant le droit comme le pouvoir d’abuser de la chose.
Bon, l’Exécutif n’a pas le droit d’empiéter sur le judiciaire, mais comme le judiciaire est inférieur, en force voir par exemple le budget, et en légitimité, une autorité, comme celle sur l’audiovisuel, on rit, la situation, de pouvoir à pouvoir (ou pseudo-pouvoir) et du Pouvoir, le vrai, au citoyen, offre certaines ressemblances.
Pour les nier, quoi de mieux que le mantra sur l’indépendance de la Justice ? Comme je dis, autant que l’exécutif le veut bien. Donc on parle d’une indépendance concédée dans les faits sans l’avouer concédée, comme un esclave prétendra son maître bon parce qu’il ne le fera pas fouetter vu que c’est inutile pour qu’il se soumette, en fait, la menace suffit largement, en général. La psychologie que nous faisons du Président est un comportement d’esclave, soit dit en passant, qui doit déchiffrer l’humeur du maître. Dans une démocratie moins malade que la nôtre, on oppose un pouvoir à un autre, on ne tire pas des plans sur la comète sur sa caractérisation mentale. L’exécutif respecte en général l’indépendance de la Justice… parce qu’il le veut bien, et non parce que contraint par le rapport de force et la culture, situation des plus choquantes, il le fait par une certaine inertie de comportement, il a d’autres chats à fouetter. Mais quand il est menacé par les affaires, mais quand il y a quelque chose qui lui tient à cœur, il montre ce qu’il pense du judicaire. Et les Français, aussi, qui réagissent peu, contents par procuration quand un vrai pouvoir judicaire se fait les griffes sur des gens trop puissants pour être égratignés ici, voir DSK aux Etats-Unis et Carlos Ghosn au Japon. Encore un comportement d’esclave : au lieu de vouloir des réformes pour casser les comportements abusifs des transgresseurs ici, au lieu de réhabiliter la Justice, on vit par procuration une vraie justice, et on s’excite sur tel ou tel quand il faut s’en prendre impartialement à tous les abuseurs… Oui, il est d’esclave de rire sous cape d’un problème de son maître plutôt que de le renverser ou d’avoir l’idée d’abolir l’esclavage.
Evidemment nous ne sommes pas sous dictature, pas encore, et pas esclaves, mais je montre, et c’est assez grave, l’arriération de nos institutions ainsi que de notre mentalité. Comparer ne veut pas dire qu’il s’agisse de la même chose. Mais l’existence de ressemblance est grave, et carrément comique quand on songe que notre pays se donne les gants de faire la morale, et pour le fonctionnement de leurs institutions encore, à des démocraties avancées ! Moins de discours, plus de justesse dans nos mots et la correction de nos maux par le discours et l’action… De bonnes résolutions pour la nouvelle année ?
Le parquet ? N’est qu’un détail d’organisation de la Justice. Dans un pays où, comme j’espère l’avoir montré, on ne s’attache guère à l’indépendance de la justice, où on se moque du tableau, comment un des éléments de la perceptive pourrait-il être perçu ? Je ne vois pas… Et de fait, on n’en parle pas. Mais bon, il y a aussi un ministère public aux Etats-Unis. Peut-être vaudrait-il mieux qu’il soit élu pour échapper au Pouvoir en France ?
Non, il est entendu que nous n’avons rien à apprendre des autres, par exemple d’un pays où on a une Constitution à équilibre vrai des pouvoirs, enraciné dans le temps, qui couplé avec le respect du droit, fait qu’elle a une immense autorité… Et puis, on aime bien se croire libre en France, donc le verbe est libre, la plume est serve. Comme ça, on obéi en se disant voir en se pensant libre. Que dire ? Un fonctionnaire, il est vrai, doit servir le Gouvernement légitime, mais quand on parle d’indépendance de la Justice, il peut sembler qu’il y ait comme un os. Ce doit être mon mauvais esprit.
L’inégalité devant la Justice ? Eh bien, mieux vaut pointer l’inégalité tout à fait réelle des Etats-Unis dans ce domaine pour mieux laisser présumer que tout est parfait chez nous.
Si les Etats-Unis n’existaient pas, il faudrait les inventer : droite et gauche, tout le monde aime les détester, Stroheim le grand acteur que tout le monde aimait haïr ? Vraiment pas grand-chose face à cette passion française.
Mais nous pouvons progresser, nom d’une bibliothèque ! J’y ai emprunté « Comment parler à un alien ? – Langage et linguistique dans la science-fiction » de Frédéric Landragin. J’ai plus qu’entamé le livre, instructif et pas rasoir, livre français où on prend un genre littéraire autrefois brillant en France mais diabolisé plus tard, la science-fiction, au sérieux, et d’autre part, quelque chose de plutôt dédaigné aussi ici, la vulgarisation scientifique, au sérieux. Je veux dire qu’on apprend véritablement pas mal de choses sur l’aspect linguistique et fictionnel, pas de démagogie, de mépris, mais pas non plus d’aspect punitif, vous voulez apprendre, prouvez-le ! Il faut en ch… Enfin, je me censure moi-même : souffrir !
Bien, ce jour-là, d’humeur « linguistique », j’avais aussi emprunté « La septième fonction du langage », un roman de Laurent Binet dont j’avais entendu du bien sur France culture. Qu’en dire ? Qu’il me rappelle les romans d’Eco, et pas qu’à moi, ce qui n’est pas un mince compliment, et m’a souvent fait sourire. La France aime les idées, la France aime les romans, c’est bien. C’est un signe d’amour de la vie, de l’intelligence, du monde et de la liberté… Mais il existe des signes défavorables comme je l’ai dit, dans le sens d’un nihilisme qui pour n’être point russe, n’en laisse pas moins d’être inquiétant.
Alors quoi, faudra-t-il qu’un écrivain commette un roman sur la conquête d’institutions forcément supérieures à celles des autres pays par la France, si bien tardive, pour que notre amour platonique de l’équilibre des pouvoirs passe du platonique au charnel ?

Bonne et heureuse année 2019 à tous ces fichés S djihadistes qui vont être libérés par centaines et retrouver les joies de la Socialie macronienne généreuse repentante et ses nombreux cadeaux de bienvenue et de réinsertion tels que les CAF RSA CMU APL AME ATE SECU etc., payés par les cochons de payants fachos racistes chrétiens blancs de souche dont je fais partie avec fierté, étant moi-même esclave fiscal de cette secte mafia UE collabo immigrationniste.
Je m’y prends à l’avance car je suis très occupé à préparer les festivités du Nouvel An avec mes potes de l’ultradroite blanche chrétienne qui vit les derniers instants de son histoire, l’ultra gauche noire islamique prenant le relais partout dans le pays et les institutions.

@ Giuseppe 30 décembre 2018 à 21:15
« Au fait pourquoi ces lignes, je ne sais plus »
Pour me faire un p’tit coucou peut-être ? 😉
Adéo Giuseppe

« …dont celle d’une partie des victimes de l’Alsacien.
Tout va bien, dormez braves gens et rendez-vous en 2019 et suivantes pour de nouvelles aventures. »
Rédigé par : Exilé | 31 décembre 2018 à 08:46
Victimes qui figureront en bonne et due place sur le Mur des cons des magistrats gauchistes du SM.
Pour les bébés djihadistes radicalisés, je suggère de créer des crèches dans les prisons mais interdiction de la tétine, arme de 8ème catégorie pouvant occasionner des blessures au maton nounou si d’aventure ces moutards la lui lançaient au visage ; on a eu le cas avec les GJ pris la main dans le sac avec un décapsuleur à bouteille, ou un canif éplucheur de pommes ; il ne faut pas badiner avec la sécurité de la République.

@ Elusen 30 décembre 18:17
Les idéologues ont pour vertu de se dispenser de raisonner. Si bien que leur savoir est essentiellement constitué de préjugés et leurs actes se définissent en fonction d’eux avec :
De l’empathie pour ceux qui partagent la même idéologie.
De la répulsion pour ceux qui contrarient leurs préjugés
Dans ce deuxième cas, par la segmentation de l’information (économique ici) qui doit être un tout, on argumente l’inargumentable.
Cher Elusen, effectivement Olyphant a fait erreur  »la honte ououh » si nous avons 37,889 millions de foyer fiscaux dont 16,344 millions d’imposables soit 43,14 %, cela fait que le nombre de foyers non imposables est de 56,86 % et non 55 %, honte pour cette erreur cher Olyphant et bravo à Elusen pour l’avoir démasquée avec ses 41 % de foyers non imposables.
La honte pour Elusen ? Mais pas du tout il est insensible et va vous expliquer que les six millions environ de foyers qui ont profité d’un crédit d’impôt ce n’est qu’avoir payé un impôt négatif donc d’avoir payé.
Pour le reste l’idéologie des droits acquis ne sert qu’à masquer la réalité, je ne reproduis ici que la pensée de Karl Marx disant : « La monnaie masque la réalité : la production et sa vitesse ».
Notre réalité c’est l’évolution de notre vie en société nationale où :
* la solidarité entre actif et inactif qui se faisait dans la famille a été transférée vers la société nationale où les actifs sont devenus solidaires des inactifs.
* la générosité des foyers riches vers les pauvres a été étatisée pour que les foyers riches soutiennent les foyers plus pauvres.
Pour masquer la première évolution, on dit que le salarié ou le patronat financent alors que c’est nous en payant les consommations qui le faisons puisque la solidarité – actifs envers inactifs – consiste à ce que les actifs ne consomment pas l’équivalent de leurs productions mais environ 746 milliards, laissant le reste aux inactifs pour 582 milliards.
Pour masquer la solidarité entre foyer riches/pauvres, les idéologues disent alors que le financement n’est pas l’impôt des plus riches (IR et ISF) pourtant correspondant aux six classes de redistributions (le mots  »transfert » d’une consommation de l’un à l’autre serait plus approprié), pour un montant de 83 milliards, les idéologues, disions-nous, disent que le financement de la redistribution c’est la sécurité sociale, une cotisation qui n’est pas un impôt dixit Elusen, ou pour d’autres la TVA ou la CSG ; et dans ce cas la solidarité  »riches vers pauvres » n’apparaît plus et la réalité est bafouée pour idolâtrer l’idéologie.
Elusen se plaint que  »ses pauvres » payent la TVA alors que seuls les riches devraient payer mais attention surtout ne pas inclure leurs revenus (avec lesquels ils payent) dans le prix des choses afin que les pauvres ne payent pas. Vous ne comprenez pas ?
Notre monde est fait seulement de solidarités, riche vers pauvres, actif vers inactifs et notre devoir est que cela fonctionne le mieux possible afin que la pauvreté ne soit pas procréatrice de pauvreté et que les attributions faites à nos inactifs ne fassent pas tomber les actifs dans la pauvreté : vous ne comprenez pas ?
Alors méditez ce cher Karl Marx  »La monnaie masque la réalité : la production et la vitesse ». Une fois compris revenez.
Et comprenez que la production nationale (proportionnelle à sa vitesse de production) après exportations et importations devient notre vraie richesse : notre consommation nationale. Que se partagent à 100 % nos actifs et nos inactifs qui eux partagent cette même consommation nationale suivant des %, entre consommation mutuelle, consommation collective laissant un solde à consommer familialement et ces partages ne sont que des mathématiques à partir de rétributions, attributions, contributions et non taxes, cotisations, impôts, prélèvements, aux noms divers et variés, nécessaires à ce que l’idéologie de l’État-providence, les droits acquis, les entreprises payeuses, perdurent pour que ces idéologues se dispensent de raisonner.
Honte à eux, ououh ! pour paraphraser Elusen.

« Vous avez juste oublié votre AAH. »
Rédigé par : Elusen | 31 décembre 2018 à 11:02
La même que vous touchez depuis vos mésaventures dans les presbytères et les sacristies pendant vos stages d’enfants de choeur ?

Si l’économie se résume à sa première définition :
« Ensemble des activités d’une collectivité humaine relatives à la production, à la distribution et à la consommation des richesses », j’adhère !
Mais non ! Nous assistons à l’État BIBERON.
Françaises, Français, nous habitons le plus beau pays du monde.
Liberté : d’expression et surtout de travailler à l’école.
Égalité : notre système éducatif propose à chacun une chance !
Fraternité : cf le montant de nos dépenses pour notre protection sociale.
L’ État BIBERON existe déjà mais personne n’est conscient de cette réalité.
Nous sommes de grands enfants et continuons ainsi, nous allons casser notre plus beau jouet.

@ Lucile 31 décembre 2018 à 15:59
« Suis-je la seule à être troublée(…)aussi que les Macron aient passé Noël auprès d’amis de Madame faisant partie de l’establishment et du monde du spectacle ? Vieux amis de longue date ou amis depuis que la carrière politique d’Emmanuel Macron a atteint les sommets ?  »
Ne vous troublez pas. Au-delà de l’invraisemblance à ce qu’une prof de théâtre dans un lycée de jésuites se soit fait des amis de longue date dans le monde du spectacle et n’ait pas tissé ses réseaux pour que son banquier-philosophe de jeune premier de futur époux puisse avoir aussi ses entrées dans ce monde-là, souvenez-vous que ce qui fut immortalisé par une vidéo-souvenir des cours de Brigitte à la classe du jeune Macron, c’est comment elle leur apprenait à tomber.
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@ Ange LERUAS
« Et comprenez que la production nationale (proportionnelle à sa vitesse de production) après exportations et importations devient notre vraie richesse : notre consommation nationale. »
Il n’y aurait donc de richesse que de consommation ?
Cher Ange,
Pardonnez-moi de ne pas toujours vous comprendre (pour la richesse et la consommation, je blague, bien que ma perfidie soit déductible des deux points par lesquels vous introduisez les mots « consommation nationale » après « richesse nationale »). Vous gagneriez à être plus court et moins alambiqué (et c’est un expert en alambic qui vous le dit d’autant plus gentiment que j’ai bien relevé le compliment que vous avez bien voulu faire à l’endroit d’un de mes commentaires et vous en remercie).
En résumant ce que je comprends de vos interventions que je n’arrive pas toujours à lire en entier, c’est que la strate politique de la démocratie doit exprimer la strate économique de la société, strate qui se définit comme un partage de la production et de la consommation, qui doit tendre vers le plus d’équité possible. Y suis-je ?
Or il s’est produit cet événement considérable concernant la vitesse de la production: c’est que l’ordre de change du capitaliste excède désormais cette vitesse dans des proportions incroyables. Le donneur d’ordre d’une production a déjà vendu son action avant que ce qu’il a ordonné soit produit. La production s’exporte sans respecter les circuits courts comme si elle voulait courir après ce donneur d’ordre. Mobilité du donneur d’ordre et mobilité de la production concourent sans que celle-ci puisse rattraper celui-là. Toutes deux sont mobiles par un effet de la révolution des transports. L’immigration aussi est un effet personnel de la mondialisation. Or l’humanisme tempérant le capitalisme s’allie au cynisme des chercheurs de main-d’oeuvre à bas coût pour ne pas voir comment il serait éthique de tolérer que biens, services et capitaux puissent se déplacer à toute vitesse alors que les personnes en seraient empêchées. Dérégulation à tous les étages.
J’ai bien conscience que ma remarque est marginale par rapport à votre théorie économique, dérivée de Marx, dites-vous ?

@ Vidtonsac | 31 décembre 2018 à 16:38
« Etat biberon »
Vaut mieux un État biberon qu’un État suppositoire ?!
C’est mon choix dans tous les cas !
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@ sylvain | 31 décembre 2018 à 15:39
Personne ne touche d’allocations pour avoir été violé !
Par contre un prêtre, comme vous, après ce qu’il a fait : défroqué, il continue à percevoir sa retraite.
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@ Ange LERUAS | 31 décembre 2018 à 12:47
Hennn, ma déesse, chez certains faut lutter contre la pauvreté intellectuelle !
Hou la la, le zigue ne sait même pas lire le tableau :

• cela fait que le nombre de foyers non imposables est de 56,86 %

M€ : million d’€) – Direction générale des Finances Publiques (DGFiP)

Allez rien que pour lui, faut recommencer :
[ (15 551 861 x 100) / 37 889 181 ] = 41% des foyers fiscaux non imposable.
Il faut le prendre par la main jusqu’au bout là.
Alors :

• Nombre de foyers fiscaux ayant bénéficié d’une restitution : 5 992 536 de foyers fiscaux.

Cela veut dire que ces foyers fiscaux ont payé des impôts, mais trop d’impôts, alors les Finances Publiques leur ont rendu ce qu’ils avaient trop payé, etc :
1°- d’une restitution ;
Dictionnaires depuis 1606 à 1935 : https://frama.link/LzNNN9C5
2°- Le prélèvement automatique par mensualisation cela existe et il est fait sur la base du calcul de l’impôt de l’année précédente, pour le tableau mis en lien, donc 2016.
3°- Et il y a tous les contentieux de 2016, remboursés en 2017.
Tellement dans la pauvreté intellectuelle qu’il va jusqu’à confondre : actifs/inactif avec foyers fiscaux et impôt sur le revenu.
Comme si un foyer fiscal inactif ne payait pas d’impôt sur le revenu, les retraités seraient exonérés d’impôts sur le revenu, les rentiers tout autant, une personne sans emploi percevant une ARE de 4 000€/mois ne paierait pas d’impôt ?!
Puis la théorie sur les gens qui fabriquent doivent consommer ce qu’ils fabriquent, quand même, ceux qui fabriquent de la m… doivent la consommer, à ce stade Lidl et McDo auraient dû faire faillite où au moins les employés se suicider.
Whaou, cela valait vraiment le coup qu’il intervienne lui !
Le pire c’est qu’il arrive à parler d’idéologue, même avec le tableau de la DGFiP sous le nez.

@ Elusen | 01 janvier 2019 à 07:35
« Personne ne touche d’allocations pour avoir été violé !
Par contre un prêtre, comme vous, après ce qu’il a fait : défroqué, il continue à percevoir sa retraite. »
Comment le savez-vous cher Elus-haine ? Il vous l’a dit pendant qu’il se défroquait devant vous ?
Combien percevez-vous d’allocations après cette « intronisation » à l’insu de votre plein gré ?

@ sylvain | 01 janvier 2019 à 18:03
« Combien percevez-vous d’allocations après cette « intronisation » à l’insu de votre plein gré ? »
Ainsi vous établissez qu’un enfant victime de pédophilie, c’est de son plein gré ; il vous faut au moins être tenancier en Thaïlande ; de l’église au bordel, les voix du seigneur sont ainsi pénétrables, c’est comme ça que vous portez votre croix.
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@ Ange LERUAS | 01 janvier 2019 à 18:42
Le lien que vous mettez confirme donc :
[ (15 551 861 x 100) / 37 889 181 ] = 41% des foyers fiscaux non imposable.
Comme quoi votre délire sur les 56% était bien une imbécillité !
Vous avez confondu non-imposable avec restitution.
Mais vous continuez à confondre : impôts avec actif/inactif.
Les inactifs paient des impôts, tant sur le revenu, que la TVA où l’habitation et le foncier, etc.
Veuillez apporter la preuve sourcée du Code général des impôts que les inactifs ne paient pas d’impôts.
Produit Intérieur Brut (PIB) n’a plus à voir avec l’impôt !
https://frama.link/Ax0XABPU
Les inactifs participent également au PIB, vous n’avez même pas compris ce que voulait dire : inactif ; cela n’a jamais voulu dire qui ne produisent aucun rien, mais qui n’exerce aucun emploi salarial.
Source INSEE :

• Les inactifs sont par convention les personnes qui ne sont ni en emploi (BIT) ni au chômage : jeunes de moins de 15 ans, étudiants et retraités ne travaillant pas en complément de leurs études ou de leur retraite, hommes et femmes au foyer, personnes en incapacité de travailler… https://frama.link/BpUYoPg6

Comparer les bébés, les nourrissons, les enfants de quatre ans, les personnes tétraplégiques, dans le coma, en état de mort cérébrale, avec les actifs, c’est bien de la précarité intellectuelle.
Le pire c’est qu’il se présente devant Julien WEINZAEPFLEN comme étant plus intelligent que lui et ayant des capacités hors nomes comparées à lui et qu’il est non soumis à l’arriération du conditionnement social.
Pour aussitôt dire cela publiquement :
« …pas me permettre de vous manquer de respect aussi je vous souhaite mes meilleurs vœux pour 2019 ».
Avec ses meilleurs vœux, si ça c’est pas du conditionnement social ?!

@ Ange LERUAS | 02 janvier 2019 à 22:31
▬ « Un blog permet le contradictoire. »
Non monsieur, ce n’est pas la vocation du blog.
Ce sont les personnes qui tiennent le blog qui le permettent ou non. Le but étant les commentaires, mais la contradiction, certains l’empêchent.
Commission générale de terminologie et de néologie, JORF n°0214 du 16 septembre 2014.

▬ « presque 6 ménages sur 10 ne payent pas d’impôts »
Faux, vous confondez impôts et impôt sur le revenu.
Vous confondez non imposable et restitution.
Les foyers fiscaux non imposables sur le revenu ne représentent que 41%.
Je signale que le docteur es économie Éric Heyer directeur du département analyse et prévision de l’OFCE, laboratoire de recherche de Sciences Po Paris indique que la CSG est un impôt sur le revenu, que tout le monde la paie dès l’instant où il gagne un €uro, mais qu’il est directement prélevé à la source, sur la fiche de paie.
Vidéo de 40 secondes :
https://www.petit-fichier.fr/2019/01/03/eric-heyer/eric-heyer.mp4
De fait les seuls idéologues sont les intervenants qui ont affirmé que 56% des foyers fiscaux ne paient pas d’impôt en France.
▬ « Ainsi donc les adeptes de l’idéologie »
De fait vous ne seriez adepte d’aucune idéologie, alors que vous continuez à affirmer que redistribution et foyer fiscaux non imposables, c’est la même chose.
En ce cas pourquoi la DGFiP fait-elle deux colonnes différentes ?
Pourquoi emploie-t-elle deux terminologies distinctes et non synonymes ?
▬ « la restitution (total) et la déduction (partiel) »
Maintenant restitution et déduction seraient la même chose ?!
En somme vous décidez tout seul de la signification des mots et des concepts.
▬ « le PIB est UNE CONVENTION »
Oui, et ?!
Quel rapport avec qui paie ou non l’impôt sur le revenu, avec actif/inactif ?
Vous passez du coq à l’âne là, c’est de l’inconstance intellectuelle !
À cela s’ajoute vos propos animistes ; vous êtes persuadé que c’est l’idéologie qui agit, alors que ce sont des personnes. L’idéologie n’est pas en vie, c’est un concept qui n’a aucune volonté propre, qui ne décide de rien, c’est soumis à la volonté humaine.

@ Elusen | 03 janvier 2019 à 02:01
Face à votre difficulté à admettre la vérité pour vous noyer dans votre erreur : non ce n’est pas que 41 % des foyers français qui payent des impôts sur le revenu (en terme fiscal IR) votre tableau fourni pour argumenter votre erreur le démontre…
Vous devriez appliquez à vous-même la même rigueur que vous demandez aux autres.
Par exemple quand j’écris : « Un blog permet le contradictoire », vous répondez : « Non monsieur, ce n’est pas la vocation du blog. Ce sont les personnes qui tiennent le blog qui le permettent ou non. »
Donc selon vous, le blog ne permet pas le contradictoire, mais vous vous y adonnez passion et sans retenue.
Votre intervention suit celle de @ Olyphant | 30 décembre 2018 à 13:06.
« Actuellement, 55 % des Français ne paient pas l’impôt sur le revenu. Les 10 % les plus riches en paient 70 %. »
Vous prétendez l’erreur à partir du tableau suivant
(M€ : million d’€) – Direction générale des Finances Publiques (DGFiP)
voir Elusen | 30 décembre 2018 à 18:17
et dites : Mensonge !
[ (15 551 861 x 100) / 37 889 181 ] = 41% des foyers fiscaux, et non 55% des Français.
Quand on vous signale que vous oubliez près de 6 millions de foyers en essayant de vous faire comprendre que vous confondez restitution (totalité) et déduction (partie), vous refusez l’argument sous les prétextes suivants :
« En ce cas pourquoi la DGFiP fait-elle deux colonnes différentes ?
Pourquoi emploie-t-elle deux terminologies distinctes et non synonymes ? »
« presque 6 ménages sur 10 ne payent pas d’impôts
Faux, vous confondez impôts et impôt sur le revenu.
Vous confondez non imposable et restitution.
Les foyers fiscaux non imposables sur le revenu ne représentent que 41%. »
Vous y ajoutez aussi qu’il ne faut pas se limiter à IR mais y ajouter la CSG.
Navré de vous contredire et vous faire remarquer que le contradictoire dans un blog NE PERMET PAS de raconter des sornettes.  
Sur le premier point : deux colonnes différentes non synonymes : foyer non imposé et foyer à qui on a restitué l’impôt (donc en finalité ne paye pas d’impôts) sont synonymes.
Sur l’inclusion de la CSG votre 41 % est aussi faux puisque 100 % les salariés, 100 % les travailleurs indépendants, 100 % de ceux qui ont revenus du capital et 80 % des retraités payent cette CSG ce qui voudrait dire que 41 % des foyers soit 15,551 millions de foyers n’ont pas au moins une de ces quatre catégories qui règle la CSG en son sein.
Avouer avoir fait une erreur d’interprétation de l’affirmation d’Olyphant : « Actuellement, 55 % des Français ne paient pas l’impôt sur le revenu. Les 10 % les plus riches en paient 70 % » dont la majorité des lecteurs avait compris qu’il ne parlait que de l’IR et de foyers fiscaux en France et non de Français.
La rigueur vaut autant pour celui qui rédige un commentaire que celui qui lui répond. La faute de l’un n’excuse pas celle de l’autre mais cependant, la faute de manque de précision est moindre que celle de mauvaise foi que la non reconnaissance d’erreur induit.
Fin de commentaire pour ma part sur ce sujet.

@ Elusen | 06 janvier 2019 à 03:49
Toi être tombé dans le piège de l’erreur en première ligne et toi démontrer de ne pas savoir démontrer que ce n’est pas 41% des foyers fiscaux qui ne payent pas l’impôt sur l’IR c’est plus, presque 6 foyers sur 10 et que ce n’est pas 41% des foyers qui payent IR plus GSG tout deux des impôts sur des revenus mais beaucoup moins environ que 20% et avec la TVA qui est un impôt sur la consommation 100% .
C’est mon dernier mot et tout ce que toi ajouteras ne sera que démontrer que toi pas comprendre que répéter mille fois faux n’en fera pas du vrai.
Mais il t’est permis de satisfaire ton ego en y ajoutant des répépettes.

@ Elusen
Il est temps d’en finir maintenant que vous avez montré votre incapacité à vous amender et reconnaître vos erreurs et croire tellement en vous au point de ne pas retourner aux sources d’où vous avez tronqué le tableau qui suit.
La source est: page 8/22 https://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/dgfip/Rapport/2017/RA2017_cahierstats_0719.pdf
et sur cette source :
* n’y trouvez-vous pas une ligne : Impôts sur le revenu 2017 que vous avez aussi sur votre tableau qui indique bien qu’il ne s’agit que d’IR ?
* n’y trouvez-vous pas (1) (que votre reproduction ne reproduit pas) après nombre de foyers fiscaux imposés ou nombre de foyers fiscaux non imposés
* n’y trouvez-vous pas (2) (que votre reproduction ne reproduit pas) après nombre de foyers fiscaux ayant fait l’objet d’une restitution ?
* puis par la suite ce que (1) et (2) signifient ?
Ce que bien entendu vous vous dispensez de reproduire pour tenter d’arnaquer les lecteurs de vos commentaires.
(1) Depuis 2014, les données sont présentées après neutralisation du crédit d’impôt égal au prélèvement forfaitaire non libératoire
(2) Il s’agit des foyers fiscaux dont le montant d’impôt, calculé à partir des éléments d’assiette, est négatif (indépendamment des acomptes éventuellement versés)
Si (2) signifie FOYERS FISCAUX DONT LE MONTANT D’IMPÔT CALCULE EST NEGATIF, cela vous enlève tout crédit pour dire que ces près de 6 millions de foyers fiscaux sont des foyers fiscaux qui payent l’impôt ou même dire qu’ils auraient dû en payer.
Par contre vous pouvez dire que vos 41 % des foyers fiscaux qui ne payent pas d’impôts n’en paient pas grâce à des mesures d’exonération fiscale permettant de les rendre non imposables.
Donc un retour au source d’Elusen page 8/22 s’impose pour toutes les personnes qui penseraient comme Elusen.
Je ne la reproduis pas ici pour ne pas être accusé d’être incomplète.

@ Elusen
Il y a des esprits torturés qui quand un tableau parle de foyers fiscaux non IMPOSES traduisent par : NON-IMPOSABLES afin de pouvoir à coup de commentaire tromper les autres en prétendant que le foyer non-imposable et un non imposé qui était imposable sans restitution est donc est un foyer fiscal à ajouter aux foyers fiscaux imposés. Si cela n’est pas un esprit torturé qu’est-ce ?
Ces mêmes : quand un commentateur du blog tente de dire que 55 % des foyers fiscaux NE PAYENT PAS D’IMPÔT SUR LE REVENU, disent alors NON seulement 41 % ne sont pas IMPOSABLES puisque la CSG est aussi un IMPÔT sur LE REVENU que seuls payent les foyers imposés et les foyers ayant bénéficié d’une restitution et ne payent pas les 41 % non imposés de la rubrique foyers non imposés du tableau. Alors que, dans la réalité, 80 % des foyers (au bas mot) payent la CSG.
C’est ainsi qu’Elusen ne cesse de répondre pour soutenir l’insoutenable. Et après une page, son dernier commentaire termine ainsi : «  La seule vraie question, c’est : 
– prouvez-moi, votre affirmation du départ, que restitution veut dire non-imposable !
Tentons de le raisonner à nouveau et de satisfaire sa demande.
Quand il est écrit nombre de foyers fiscaux ayant bénéficié d’une restitution (2) et ce (2) précise : Il s’agit des foyers fiscaux dont le montant d’impôt, calculé à partir des éléments d’assiette, est négatif.
Puis sachant que l’impôt sur le revenu dont on parle produit 77, 622 milliards, il faut être tordu de vouloir sortir de ce qui est dit pour nous parler d’autres impôts que ces 77,622 milliards et ergoter entre celui qui est NON IMPOSE (paye pas d’impôts) et NON IMPOSABLE qui aussi ne paye pas d’impôts mais pourrait en payer si le calcul de l’impôt qui tient compte des déclarations n’avait pas été négatif. Si cela n’est pas ergoter, qu’est-ce ?
La formulation de votre question : restitution = non imposable démontre votre peu de capacité à poser des questions uniquement quand vous ne connaissez pas la réponse.
Avant de poser votre question votre démarche aurait dû être : restitution de quoi ? de l’impôt payé ! Donc : plus aucun d’impôt payé et par ailleurs un non imposable n’est-elle pas une personne qui ne paye pas une partie de 77, 622 milliards d’impôt récolté : donc n’est pas imposé à cet impôt ?
Sur la formulation de la question : ce n’est pas la rétribution qui est UN ACTE, qui doit être comparé, supérieur, égal ou inférieur, à UN ETAT de FAIT – de non imposé ou non imposable – mais les effets de l’acte de restitution.
En posant de telles questions pour vous dédouaner de vos erreurs, vous ne faites, petit à petit, que démontrer vos absences de capacités à apporter aux autres des solutions à nos problèmes.
Si j’interviens ce n’est que pour rappeler que notre vie en société est la somme des comportements de chacun et dans ce cas tout comportement idéologique qui déforme la réalité de ce que notre vie en société doit être, doit faire l’objet d’un rejet.
Le laisser faire devient alors un comportement qui autorise des comportements contre l’objectif recherché par une société civilisée.
En principe quand je m’adresse à un expert qui fait une erreur grossière comme la vôtre, beaucoup comme vous ne le reconnaissent pas (ils ne peuvent scier la branche sur laquelle ils sont assis) mais, au bout de trois échanges, il s’arrête de répondre. Si j’en juge votre comportement vous n’êtes pas, à ce titre, un expert : vous n’avez rien à perdre si ce n’est votre respectabilité, combien de temps allez-vous tenir à chercher à justifier injustifiable ?
Mais en plus en voulant faire passer les autres pour ce qu’ils ne sont pas.
Soyons clair votre tableau parle
* uniquement impôt sur le revenu qui rapporte 77,622 milliard donc l’IR
* les foyers fiscaux bénéficiant de restitutions, sont ceux pour qui leur revenu imposable après calcul les dispense de régler une partie des 77,622 milliards d’impôt objet de cette discussion. Donc ne sont pas imposés et ne peuvent comptabiliser avec les imposables à IR.
Tout compte fait, pour en finir, puisque dans son affirmation Olyphant qui au lieu de parler de foyers fiscaux a dit français, et la réponse d’Elusen qui comptabilise ceux qui ne payent pas d’impôts mais auraient pu en payer, sont de ceux qui payent l’impôt : n’avons-nous pas là que de l’incompréhension de l’un des dires des autres ?
Après que Galilée avait été condamné, il a été réhabilité par ses accusateurs en 1992, non pour reconnaître qu’il n’avait pas fait d’erreur mais pour incompréhension entre lui et son accusateur de l’époque.
Puisse, dans cette affaire d’imposé et non imposable, l’accusateur adopter cette attitude de son vivant et pas attendre des siècles.

La DGFiP m’a envoyé une documentation énorme, j’ai donc fini par trouver ce qui concerne la restitution.
La restitution vient de plusieurs sources que vous avez contestées. J’avais raison depuis le début.
1°- des personnes qui ont payé trop d’impôts suite à une erreur, l’année d’avant.
2°- la retenue à la source qui existe déjà dans certains secteurs.

Il y en a encore d’autres, sur des erreurs de trop-versé concernant des taxes et cotisations.
Après, si j’ai bien compris, il y a le Crédit d’Impôt qui peut éventuellement ouvrir droit à restitution, si et seulement si, l’assiette est négative et que le Crédit d’Impôt n’est pas considéré comme une réduction d’impôt :
– appareil pour personne handicapée.
– emploi à domicile pour personne handicapée, âgée, etc.
– amélioration de l’habitat.
– soin de longue durée dans un établissement spécialisé.
– assistance maternelle.
– taux d’intérêt d’un crédit pour faire des études universitaires.
– investissement dans l’innovation.
– investissement dans le cinéma et l’audiovisuel.
– cotisations syndicales, politique, associatifs et humanitaires.
– forestiers.
– hôtellerie sociale, etc.