Rien de plus facile que les compétences et les vigilances rétrospectives, en reconstruisant une magistrature idéale quand on ne s’y trouve plus et que les contraintes du métier vous sont devenues étrangères.
Pourtant on peut s’interroger sur des désastres criminels qui ne conduisent pas seulement à incriminer les carences de la police et de la gendarmerie mais aussi les erreurs et négligences liées aux pratiques judiciaires.
Sur le plan des violences conjugales, un rapport alarmant de l’inspection générale de la justice souligne « de graves dysfonctionnements dans la chaîne pénale » et formule vingt-quatre propositions « pour améliorer la prévention ». Aucune n’est dérisoire, inutile ou dénuée de fondement (Le Figaro).
Mais, à lire la remarquable et effrayante double page consacrée par le Monde aux « Féminicides ; une justice trop souvent en échec face aux agresseurs », l’essentiel n’est pas là.
Les exemples divers tirés d’une quotidienneté pénale où la justice a apparemment failli et qui concernent des juridictions de taille différente font apparaître des aberrations qui devraient mériter au moins une réflexion ministérielle de haut niveau.
Car, s’il est exclu de jeter la première pierre judiciaire à qui que ce soit, à quelque parquet ou juge des libertés et de la détention (JLD) se trouvant impliqué dans un processus choquant, on est pourtant obligé d’aller au bout d’une vérité que le corporatisme répugne à admettre.
Le ver n’est pas toujours en dehors du fruit mais aussi dans le fruit. Et cette constatation d’évidence explique pourquoi, en s’obstinant à ne pas toucher le coeur du problème, on fuit les possibles solutions.
Quand le procureur de Marseille énonce : « Prises isolément, les choses ont été faites correctement. Dès lors qu’on les aligne par rapport au drame, des points ont été mis en évidence qui pouvaient être améliorés », il s’agit d’un triomphe de l’euphémisation.
D’abord, sans arrogance, il y a des décisions singulières qui ne laissent pas de surprendre, pour demeurer poli.
Ensuite, ce ne sont pas des petites touches qui sont nécessaires pour favoriser une amélioration mais une véritable révolution.
« La mauvaise circulation de l’information est un terrible facteur d’aveuglement des institutions face aux crimes conjugaux » : il s’agit de la tare fondamentale. On relève que le pire advient quand chaque décision est prise en autarcie. Des données capitales qui auraient dû éclairer n’ont pas été transmises. Au lieu d’être confronté à une histoire et à un passé, le magistrat est trop souvent conduit à statuer sur un épisode semblant isolé. De sorte qu’au lieu d’être de plus en plus perçue, une dangerosité est réduite à un acte unique qui n’est pas connecté à celui qui précède et n’éclairera pas le suivant.
Il y a d’autres motifs qui viennent ici ou là perturber le fonctionnement normal de la Justice. Et il serait malhonnête d’éluder le fait que certaines personnalités ont une propension incoercible à l’erreur, par idéologie ou par insuffisance. Il y a, par exemple, des refus de détention par tel ou tel JLD qui font froid dans le dos !
Il paraît difficile de s’illusionner : face à une charge de travail considérable et infiniment pluraliste dans sa matière, même le procureur le plus attentif et consciencieux ne pourra pas toujours échapper à une négligence, un oubli, une légèreté dont les conséquences pourraient être redoutables dans le domaine qui nous préoccupe. Il est donc essentiel de créer autant qu’on le peut une spécialisation. La curiosité intellectuelle y perdra mais l’efficacité judiciaire y gagnera. Avec une telle méthode, aucun manquement ne devra être toléré.
Il est évidemment exclu qu’un tel dispositif puisse être mis en place partout mais cela implique une hiérarchisation des priorités qui pourra d’ailleurs évoluer au fil du temps. S’il est hors de question de négliger la délinquance banale – trop de classements par facilité -, reste qu’actuellement, pour combattre le fléau des violences conjugales, il convient qu’un magistrat à temps plein s’en occupe ou bien soit le coordonnateur à une plus vaste échelle de tout ce qui se rapporte à ces délits et à ces crimes.
L’imparfaite, voire inexistante, circulation de l’information impose ce qui dans la pratique est trop souvent négligé : le coeur du réacteur pénal est le bureau d’ordre, le lieu où doivent être centralisées toutes les informatives relatives à une personne ou à une affaire, à quelque niveau que ce soit. Le ou la fonctionnaire responsable de ce service capital ne pourra pas se permettre d’être médiocre mais exemplaire. Sans la moindre faille ni incurie. Rigueur et vigilance. Je suis toutefois un peu inquiet: au regard de mon expérience passée, de telles compétences et fiabilités ne pullulent pas…
Si on veille à instaurer rapidement de tels changements, nous ne devrions avoir aucun scrupule à imposer un contrôle professionnel qui ciblera les magistrats qui, du parquet et/ou du siège (j’entends déjà les hauts cris mais il y a des juges dont les décisions sont tellement absurdes qu’elles ne devraient plus relever des seules voies de recours), ont failli sans la moindre excuse.
Pourquoi les institutions françaises donnent-elles souvent le sentiment d’un délitement, de pratiques approximatives et d’une médiocre conscience professionnelle ? On a trop peur de les mettre en cause et d’incriminer les agents directement responsables de fiascos dénoncés comme s’ils n’émanaient de personne ! On préfère les dénonciations abstraites aux accusations personnalisées. Ce qui revient à tout laisser en l’état.
Il y a pourtant des ennemis de l’intérieur.
Le massacre judiciaire est évitable.
Ne pas oublier que nombre de femmes ayant dans un premier temps porté plainte contre un conjoint violent, abandonnent ensuite toute poursuite pour peu que le mis en cause ait réussi à montrer un semblant de repentir et promette mordicus de s’amender et ne plus récidiver.
Ce qui est bien souvent pure manœuvre pour se tirer d’affaire !
Ne pas s’étonner ensuite si le mari ou le concubin maltraitant et qui aurait nécessité un suivi psychologique récidive, jusqu’à parfois porter le coup fatal.
Et comment dans ce cas incriminer police ou gendarmerie qui n’auraient, prétendument, pas fait leur travail, alors que la plaignante elle-même dans un second temps va jusqu’à refuser de poursuivre un conjoint violent ou maltraitant, fait capoter l’enquête en cours et finit par s’en prendre à des policiers et témoins qui ont essayé de l’aider ou la soutenir comme j’en ai fait hélas un jour l’expérience ?
…il y a des juges dont les décisions sont tellement absurdes (…)
Nooon… Pas possible !
Aux tendres assauts de votre mari. Dès le lendemain, vous serez tranquille, Je ne serai plus là pour vous gronder. Vous pourrez alors, femme d’imbécile, Prendre autant d’amants que vous le voudrez.
Exaspérations qui poussent aux crimes :
– la pilule
– l’avortement
– la minijupe
– la société
– la liberté sexuelle
– la liberté de plaire
et surtout
– les différences de cultures
– le refus de se voiler
– le refus d’être cloîtrée
– les fourberies de l’autre
– la haine de l’autre
– la précarité
– l’ennui
– la bêtise
– la jalousie
– la folie
– l’absence du refuge familial
– la condition humaine
Féminicide, féminicide…
Et si, avant d’aller plus loin, nous commencions par essayer de comprendre ce que signifie ce charabia ?
S’agit-il uniquement du meurtre d’une femme par son « conjoint » (nous sommes à une époque qui a évacué la notion de mari ou d’époux, il ne reste plus que des « copains » ou des « conjoints ») ?
Mais, par exemple, les femmes qui sont importunées par un homme de leur voisinage et que ce dernier finit parfois par occire, alors que malgré les plaintes qu’elles ont déposées, aucune mesure d’éloignement n’a été prise ou respectée, entrent-elles également dans cette catégorie ?
Policiers, gendarmes, magistrats ont des torts, oui certes ! Le système judiciaire est grippé, oui certes !
Mais comment croire que ces drames privés pourront être évités par des réformes de nos institutions publiques ?
Le mariage, la famille, la filiation, le rôle des parents… sont systématiquement et délibérément, depuis des décennies, critiqués, affaiblis, démolis. Faut-il vraiment s’étonner que cela ait des conséquences, et parfois dramatiques ? Il ne s’agit pas de s’abriter derrière le « c’était mieux avant » mais au moins de tirer les enseignements du passé.
On connaît la réponse de Toto à son professeur : « À la maison, c’est papa qui décide… c’est maman qui l’a dit ». Derrière cette petite blague il y avait toute la subtilité de l’asymétrie et de la complémentarité du couple père/mère, base d’un équilibre séculaire. Pour des raisons idéologiques, nous l’avons mis à bas. Nous pouvons demander à la justice de réparer les morceaux, elle en est bien incapable. Mais je ne suis bien sûr qu’un vieux ronchon réactionnaire…
P.S.: Pourquoi d’ailleurs sommes-nous passés du « crime passionnel » au « féminicide » ? Les mots ne sont pas innocents. Il y a de la délectation, de la sombre délectation, dans la désignation du Mal et de ceux qui le commettent…
Excellent billet, mais il pourrait s’appliquer à l’ensemble de la justice, et non seulement à ce qui concerne les violences conjugales.
Concernant ces dernières, nous vivons certes à l’époque triomphante de la franc-maçonnerie qui nie la différence entre l’homme et la femme, mais la nature a la peau dure.
Tout d’abord, si l’homme tend à la violence physique, la femme tend à la violence verbale.
Or, il est une règle de droit pénal concernant la provocation notamment en matière d’injure, et qui devrait concerner les violences conjugales.
Par exemple: si le père de famille, désespéré d’être en état d’échec professionnel, est accueilli le soir par son épouse lui disant en guise d’encouragement qu’il est un pauvre type et patati et patata, une violence physique serait certes condamnable, mais provoquée.
D’autre part, la notion d’honneur est fort différente pour l’homme et la femme. La sexualité est physique pour l’un, physique et spirituelle pour l’autre, et l’adultère n’a par conséquent pas la même portée.
C’est ainsi qu’à Rome, et en fait quasiment dans le monde entier jusqu’à une époque récente y compris napoléonienne, et encore dans une grande partie de celui-ci, le mari a quasiment le droit de tuer l’épouse adultère.
Alors, il est facile de gommer les millénaires de civilisation qui nous ont précédés comme en tous domaines au nom de la raison, mais la raison ne peut avoir raison de la nature humaine.
Un fils n’en voudra pas autant à son père d’avoir trompé sa mère que l’inverse. Il pourra se remettre que son père ait été un salaud, jamais que sa mère ait été une traînée.
Alors, on ne veut rien savoir à supposer qu’on ait le droit de savoir dans notre dictature totalitaire du politiquement correct, et ce serait au juge d’assumer la dépravation de notre civilisation.
C’est trop facile.
Votre billet, cher hôte, demande un peu de mise en perspective.
D’abord, je crois pouvoir déduire de vos écrits qu’il faudrait créer un juge du féminicide afin d’avoir une vision coordonnée et une jurisprudence cohérente. Ceci suppose, en conséquence, une organisation de la procédure, sur les circonstances, les moyens, les motifs, voire les causes de l’acte, i.e. faire de cette action un crime à part après avoir déblayé le terrain et déterminé que l’auteur a tué une femme à raison de sa féminité, et non pas par le hasard de circonstances indistinctes. On peut très bien tuer sa femme parce qu’elle est horrible, « la poison », outrageusement adultère et insultante, voire avoir une réaction funeste face à une harceleuse qui détruit cyniquement un ménage.
On se lance alors dans une course qui fait penser aux âneries de Mme de Haas qui, dépourvue d’humour, demande à la Justice de dire si Finkielkraut fait de l’humour ou non, réserve faite de l’échelle de gravité.
Ensuite et enfin; si un crime existe, il faudra aussi l’accompagner de ses épigones inférieurs, i.e. les délits mettant une femme en cause, voire les contraventions, car rien ne dit que l’intention féminophobe n’est pas sous-jacente. Je sais que c’est exagéré, il appartiendra à la Justice de dire si je suis condamnable ou non.
En conclusion, on s’achemine vers un traitement particulier à chaque sexe, ce qui ne laissera pas de poser la question pour tou.s.tes qui sont entre les deux et dont je vous laisse le soin de dresser la bible.
Rappelez-vous l’affaire du changement d’état civil, depuis l’affaire de la lavandière, sautant imprudemment par-dessus une haie, exposée par la PG Dupin, le sexe apparent, le sexe psychologique, le caryotype, l’état de nécessité, et les arrêts de la Cour de cass, cinq ensemble concernant trois hommes et deux femmes, rendus le même jour et affirmant, avec humour mais détermination, qu’en fin de compte, un homme était un homme et une femme, une femme.
Sans doute, des magistrats errent dans votre domaine, sans doute, la France s’enfonce dans un administrativisme pointilleux qui détruit petit à petit toute indépendance et se retrouve prête à sombrer dans le hadithisme se référant à l’interprétation de l’interprétation et c’est ainsi que nous arriverons, laïcs impénitents, à faire de notre culture une kabbale.
En est témoin ce déplorable incident de la religieuse retoquée à la porte d’une maison de retraite pour refus de quitter son habit religieux ce qui ne me paraît pas conforme aux termes de la Loi, mais baste, ce n’est qu’une chrétienne, après tout, et elle porte un voile.
Une femme qui est battue pas son mari que ce soit sous l’emprise de la colère ou de l’alcool (souvent les deux) doit immédiatement le quitter avant qu’il ne commette le geste irréparable. Ses regrets et promesses de ne plus recommencer n’y feront rien, il recommencera car la violence est dans sa nature profonde.
Faire constater les traces de coups à un médecin, entamer une procédure de séparation et prendre un avocat pour avoir la charge des enfants s’il y en a. Car un homme qui bat sa femme battra également ses enfants.
Reste également la responsabilité de l’entourage de la victime qui doit avoir le courage d’intervenir quand celle-ci est tellement désemparée qu’elle ne sait plus quoi faire.
Quant à la Justice il est temps qu’elle se montre inflexible face à ce type de comportement qui est un fléau de notre société…
Tout d’abord l’augmentation rapide et importante des féminicides tient en grande majorité à la diversité de notre société, aux mariages mixtes où deux cultures s’affrontent bel et bien… mais il est interdit de le dire voire de le penser.
La justice du coup reste très timide là-dessus sans doute par peur d’être taxée de racisme ou d’islamophobie et que sais-je encore.
Ce qui me conforte dans cette idée c’est le classement sans suite par cette même justice de l’affaire Nick (le bien nommé, pardonnez la vulgarité mais je m’égare par énervement) Conrad qui avait des propos insupportables contre la France et les Français.
A contrario d’autres journalistes sont traduits devant les tribunaux et sanctionnés parce qu’ils sont blancs et franco-français.
Il y a là un vrai problème.
Par ailleurs je trouve étonnant qu’avec l’informatisation de tous les services administratifs, la justice en soit encore à ne pouvoir suivre le dossier complet d’un multirécidiviste de Lille à Marseille en passant par Paris. La police le fait, pourquoi les juges non ? manque d’effectifs ou désir de rester dans l’ignorance ??
Les femmes battues sont en l’occurrence les canaris dans la mine.
La mauvaise gestion de leurs plaintes n’est que le reflet de la mauvaise gestion des plaintes en général et du manque de disparité de traitement entre des infractions ne mettant pas la vie d’autrui en danger et les violences qui tuent. Je pense aux enfants maltraités sinon torturés, aux soignants brutalisés dans les hôpitaux, aux cambriolages avec présence des habitants dans les lieux (ça m’est arrivé). On finit par croire que sont parfois incarcérés des gens peu dangereux, quand on les tient, alors qu’il y aurait d’autres moyens de les pénaliser, et qu’on laisse en liberté des monstres. Je ne connais pas les taux d’élucidation des meurtres, mais je ne crois pas qu’il soit brillant. Alors la prévention… Mais on me dit que c’est une fausse impression tout juste bonne pour le Café du Commerce.
Je me demande jusqu’à quel point cet élan de protection soudainement demandé à la justice par le gouvernement n’est pas électoraliste. Les femmes ne sont pas une catégorie à part, aucune plainte ne devrait être négligée.
Le statut de la femme en « Islamie ».
Macron vient d’autoriser des listes communautaires. Nous allons, enfin, savoir clairement ce qu’ils ont dans le ventre… Pour les « bisounours » du « vivre-ensemble » qui ne veulent rien voir… bonne lecture !
Houellebecq était en dessous de la réalité dans son livre : « Soumission »…
« La supériorité de l’homme sur la femme dans l’islam
C’est sur cette inégalité fondamentale que se fonde la différence entre les hommes et les femmes dans le droit islamique.
1) Devant l’héritage : « Dieu vous ordonne d’attribuer au garçon une part égale à celle de deux filles » (4, 11). De manière plus large la femme est considérée par le droit musulman comme une mineure à vie, qui nécessite l’autorisation d’un tuteur, à savoir l’homme le plus proche de sa parentelle (son mari, son père, son frère…).
2) Sur le témoignage en justice : « Demandez le témoignage de deux témoins parmi vos hommes. Si vous ne trouvez pas deux hommes, choisissez un homme et deux femmes, parmi ceux que vous agréez comme témoins. Si l’une des deux femmes se trompe, l’autre lui rappellera ce qu’elle aura oublié » (2, 282). Il en ressort que les professions juridiques sont souvent impossibles aux femmes en pays musulmans.
3) Dans le cadre du mariage : la polygamie est autorisée. En revanche, la polyandrie ne l’est pas. « Épousez les femmes qui vous plaisent, deux, trois ou quatre, mais si vous craignez de n’être pas équitables envers celles-ci, alors n’en prenez qu’une, ou les esclaves que vous possédez » (4, 3). S’appuyant sur un autre verset du Coran qui affirme l’impossibilité d’être équitable : « Vous ne pourrez pas être équitables envers vos femmes, même si vous en êtes soucieux » (4, 129), certains Etats musulmans ont imposé la monogamie. Cependant, en raison du caractère divin du Coran, la permission polygamique ne peut être totalement supprimée.
Le musulman possède le droit de répudiation, mais pas la femme. Même s’il est « pour Dieu l’acte licite le plus abominable », selon Muhammed, il reste un droit dont l’homme n’a pas à se justifier. Son devoir unique est de verser une pension convenable à sa femme (2, 241).
• Il a enfin le droit de la battre : « Admonestez celles dont vous craignez l’infidélité ; reléguez-les dans des chambres à part et frappez-les » (4, 34).
4) Par rapport aux obligations religieuses : si l’homme et la femme sont tenus aux cinq piliers (profession de foi, prière, aumône, ramadan, pèlerinage à La Mecque), les femmes ne sont pas obligées ni encouragées à aller à la mosquée ; et si elles y vont, elles doivent rester dans un espace réservé. Et l’accès leur est interdit dans les moments d’impureté légale (après un accouchement, pendant les menstruations…).
Dans l’ensemble du Coran, on constate une méfiance vis-à-vis de la femme. Il en découle la volonté d’éviter la mixité sociale – l’affaire des horaires séparés des piscines municipales l’illustre – ou encore de voiler les femmes.
Les inégalités ne sont cependant pas totales. Ainsi, même si les délices sexuels du paradis sont décrits pour les hommes uniquement, il est aussi promis aux femmes une bonne vie : « Certes, nous assurerons une vie agréable à tout croyant, homme ou femme, qui fait le bien » (16, 97). De plus, rien n’interdit dans le Coran à une femme d’être scolarisée ou de participer aux affaires politiques. Elles peuvent aussi travailler. « Une part de ce que les hommes auront acquis par leurs oeuvres leur reviendra ; une part de ce que les femmes auront acquis par leurs oeuvres leur reviendra » (4, 32) »
http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2019/11/le-communautarisme-effet-dune-.html
Cher monsieur Philippe Bilger,
Vous avez parfois des phrases qui me mettent en joie :
« J’entends déjà les hauts cris mais il y a des juges dont les décisions sont tellement absurdes qu’elles ne devraient plus relever des seules voies de recours »
Ne faudrait-il pas retirer à ces juges le pouvoir de juger ? Nous manquons de main-d’oeuvre et il vaut mieux faire d’un homme un mauvais technicien de surface qu’un mauvais juge.
Il y a aussi beaucoup de crimes qui pourraient être évités si notre société voulait arrêter le métissage de notre population ; il suffirait déjà d’interdire la mixité dans l’enseignement car les lycées et les facs fabriquent des flopées de futures malheureuses.
« En évoquant l’homosexualité comme cause partielle voire annexe, du désastre d’une société nationale qui devrait le rester – pour peu qu’on soit nationaliste – je crois que j’ai enfin touché chez vous, comment dire… un point sensible ! »
Rédigé par : Zonzon | 20 novembre 2019 à 10:58
« Quand elle sera morte nous aurons la satisfaction de conserver les syndicats et les nanarques homosexuels incompétents ! »
Rédigé par : Nathalie DP | 19 novembre 2019 à 10:36 «
La bisexualité se porte bien sur ce blog… où l’on ne manquera pas de s’interroger sur ce transformisme étrange…
Comme on ne manquera pas de s’interroger sur le fait qu’une cohorte de femmes aux seins nus, échappées de « La nuit des morts vivants », soit la plus appropriée pour dénoncer les « fémenicides… ».
Les femmes battues pleurent. Macron, le « gamin » qui nous gouverne ému aux larmes après une séance de cinéma…
« À ce sujet, il est à déplorer que celui ayant suscité l’émoi présidentiel n’ait pas été précédé d’un avertissement informant des mesures en faveur de la Seine-Saint-Denis annoncées par Édouard Philippe, le 31 octobre dernier. Un choc émotionnel aurait pu être évité.
Néanmoins, Ladj Ly, le réalisateur de z’y va Les Misérables, a épargné la fragilité psychologique de son spectateur élyséen en évitant de montrer des images de blocs de béton tombant des fenêtres sur des policiers, de voitures de pompiers incendiées sans raison, d’agressions de médecins, de tabassages à mort pour mauvais regard et autres scènes qui auraient laissé Emmanuel Macron marqué à vie. Le titre Les misérables aurait pris un tout autre sens, n’est-il pas ? » Jany Leroy (Bd Voltaire)
https://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-bouleverse-par-zy-va-les-miserables/
Nous sommes, en effet, dans un pays de « misérables ». Pauvres de nous !
Le « féminicide ». Encore une belle chausse-trappe sociétale, qu’il ne fait pas bon commenter à rebrousse-poil. Il faudra qu’on m’explique en quoi occire une femme serait plus grave, que réserver le même sort à un homme ? Encore une hiérarchisation des victimes, dont on devrait pourtant savoir vers quelles impasses elle conduit.
Selon les usagers de cette nouvelle terminologie, il ne conviendrait pas de mettre sur un pied d’égalité la gravité que constitue un « androcide » ou « hominicide »; c à d: quand c’est l’homme qui trépasse sous l’agressivité d’une femme.
Surtout pas ! La pensée dominante du moment, n’enjoint de pleurer que les féminicides. Nos JT y consacrent force rubriques quotidiennes.
Ayant avoir visionné un certain nombre de reportages sur les… violences faites aux femmes, j’ai vu un tas de jérémiades féminines, pudiquement rebaptisées… »témoignages » sur les violences qu’elle endurent, sous le joug d’un conjoint. Pourtant, jamais aucune d’elle n’a donné une raison éventuelle, pouvant expliquer (ne parlons pas de justifier, malheureux !) le comportement du compagnon. Pire, jamais aucun témoignage de la victime (donc) n’a été opposé à la version de l’agresseur. Ce qui à bien y repenser devrait nous rappeler que… testis unus, testis nullus. Du moins, en théorie et a fortiori quand le témoin est aussi la victime.
Oui, je sais ! Selon les hordes féministes: RIEN ne saurait justifier… etc. etc. Mais alors la femme aurait tous les droits ? Toutes les latitudes ? On a dépassé le stade trompeur de la simple égalité femmes-hommes, initialement revendiquée.
Jamais je ne nierai que des femmes sont victimes de la violence masculine. Je connais hélas des cas, dans mon entourage plus ou moins proche. Néanmoins, il convient par objectivité, de distinguer au moins deux catégories de femmes violentées.
Celles, les réellement malheureuses, qui souffrent sous les coups d’un compagnon frustré, aliéné ou alcoolique, qui cogne sans lui-même savoir pourquoi. Pour évacuer ses problèmes personnels.
Mais il ne faut pas passer pour autant sous silence, l’existence de quelques… créatures déjantées, qui maîtrisent à la perfection l’art de pousser le « méchant macho » à bout. Et celles-là n’auront jamais l’honnêteté intellectuelle d’admettre qu’elles l’ont bien cherché.
Le danger de cette hiérarchisation de la victimologie ne peut qu’empoisonner la mission de ceux qui sont appelés à juger SEREINEMENT (qu’ils disaient…) les violences conjugales. C’est sans doute ce qui explique que les peines sont si lourdes pour les hommes qui ont tué leur femme, alors que dans la situation inverse les assassines sont finalement graciées. À force d’interventions corporatistes, qui influencent la justice. Car la sacro-sainte égalité, revendiquée par les femmes, ne doit surtout pas aller jusqu’à l’égalité d’assumer les actes…
Triste société clivante, qui feint de ne pas réaliser dans quel chaos généralisé elle s’enfonce chaque jour un peu plus…
@ Achille | 20 novembre 2019 à 11:30
Cher Achille,
Vous oubliez juste une petite chose, à savoir qu’une femme faible, dominée et amoureuse de son mari ou de son compagnon sera prête à lui pardonner et à lui donner une seconde, voire une troisième chance, et davantage, pour peu qu’il manifeste un repentir apparemment sincère et lui promette monts et merveilles et de ne plus recommencer.
Certaines femmes iront même jusqu’à parler de véritable « lune de miel » après des épisodes de violence, où l’homme reviendrait pour un temps transformé et doux comme un agneau. Jusqu’à la prochaine crise et parfois le geste fatal !
Un crime est un crime, point barre, qu’il soit le crime contre une femme ou qu’il soit le crime contre un homme.
L’expression féminicide est ridicule mais, bien de notre temps, également ridiculement gnagnan.
Pour qu’il y ait moins de « féminicides », il suffirait que les parents des femmes leur apprennent qu’après la première gifle du mari, conjoint ou je ne sais qui, « s’il recommence, tu lui dis d’un ton déterminé : « Si tu me retouches, la prochaine fois je te tue ». »
Car c’est aussi simple de tuer un homme que de tuer une femme, c’est juste une question de motivation.
@ breizmabro | 20 novembre 2019 à 17:56
Ailleurs, un autre blogueur explique que si on veut féminiser le mot « homicide », il faudrait dire « fémicide », « féminicide » ayant plutôt le sens d’assassinat de féministe…
Billet du 18/11 « E. Macron… » : 104 commentaires
Billet du 20/11 « Féminicides… » : 17 commentaires
….sans commentaire !
En fait, on trouve un peu de « Macron bashing » et la tonalité générale : c’est de leur faute si elles sont tuées…
@ Mary Preud’homme
« Vous oubliez juste une petite chose, à savoir qu’une femme faible, dominée et amoureuse de son mari ou de son compagnon sera prête à lui pardonner et à lui donner une seconde, voire une troisième chance, et davantage, pour peu qu’il manifeste un repentir apparemment sincère et lui promette monts et merveilles et de ne plus recommencer. »
Tout à fait ! D’un côté cela me laisse parfaitement pantois devant certains aspects de la mentalité féminine, qui manifestent pour moi des contradictions internes de certaines idéologies féministes. De l’autre côté, c’est une réalité objective que nous ne pouvons pas nier et à laquelle nous devrions chercher à apporter des solutions pragmatiques.
Je ne sais juste pas lesquelles… Simplement, faire des leçons en autonomie aux femmes battues me paraît d’un simplisme aveugle et coupable.
@ GERARD R. | 20 novembre 2019 à 17:25
Vous vous êtes relu en parlant de victimes de leur conjoint (peu importe le sexe mais hélas à plus de 90 % féminin) et qui l’auraient bien cherché ? Qui ne viennent pas s’en vanter et pour cause n’étant plus là pour témoigner ?
Sans oublier les enfants victimes des mêmes et qui ont pu aussi se montrer « énervants » aux yeux d’un père (ou d’une mère) irascible, incapable de contrôler ses nerfs et sa violence, allant jusqu’à porter le coup fatal ?
Autant de circonstances atténuantes à vos yeux, censées relativiser, voire excuser l’assassinat dans le cadre conjugal ou familial où les conflits sont inévitables !
——————————————————————-
@ breizmabro | 20 novembre 2019 à 17:56
C’est avec raison que vous soulignez la singularité du terme féminicide, alors que son équivalent terminologique au masculin (à savoir masculinicide) n’existe pas à ce jour.
Autrement dit un homme coupable d’avoir assassiné sa femme et qualifié désormais de féminicide, se verrait catalogué et jugé différemment (en plus mauvaise part) qu’une femme dans la même situation ?
La clémence parfois incompréhensible de la justice, existe bien dans tous les domaines :
http://www.lepoint.fr/societe/la-fichee-s-qui-espionnait-les-policiers-relaxee-19-11-2019-2348210_23.php?M_BT=2578449122902
@ Mary Preud’homme | 20 novembre 2019 à 17:53
Je sais bien que le cœur a ses raisons que la raison ignore comme disait Pascal.
Néanmoins j’ai du mal à imaginer une femme encore amoureuse une fois qu’elle s’est pris une torgnole par son conjoint.
Qu’elle passe l’éponge pour la première soit, mais au bout de la deuxième ou de la troisième je pense que la raison doit prendre le pas sur l’amour.
Mais je ne suis qu’un homme il est vrai et donc je raisonne comme tel.
@ Sophie 20 novembre 2019 15:02
Si j’étais jeune je vous dirais MDR mais comme je ne le suis pas (jeune) je dis que Manu est pitoyable (malgré sa grande intelligence, of course).
Il suffirait donc que Manu visionne un film pour découvrir qu’il n’est pas QUE le président du 4ème (le Marais), du 8ème (l’Elysée et sa banque) et du 16ème, de Paris. Grave, non ?
En même temps, comme il aime à dire, Chirac nous a fait le même coup avec le film Indigènes en 2006…
La prochaine fois Manu ira voir le film « J’veux du soleil » et il comprendra le monde de la province. Wouaaah la province ! C’est une île ? Mais où se situe t-elle ?
De rire mon coeur va s’arrêter (MDR).
Il y a vraiment peu de matheux sur ce blog !
D’après Libé :
https://www.liberation.fr/checknews/2019/05/01/est-il-vrai-qu-en-france-un-homme-meurt-tous-les-treize-jours-sous-les-coups-de-sa-conjointe_1724283
Sur les cinq années 2013 à 2017
572 femmes furent tuées par leur conjoint.
111 hommes furent tués par leur conjointe.
Soit cinq fois plus de femmes tuées que d’hommes !
A partir de quel niveau pouvons-nous utiliser le terme « féminicide » ?
@ E pericoloso sporgersi le 20 à 14 h 32
Votre pseudo me ravit ! Ah l’Italie ! Et la ferroviaire en plus !
La bisexualité, je ne sais… pour les autres formules d’association encore moins.
J’informerai mon épouse que vous lui avez fait l’honneur de la citer !
Bien à vous
Féminicide !
Il y a le crime et le concept qui veut définir le crime.
Le crime est le même qu’il s’agisse de la mort d’un homme ou d’une femme.
On peut évidemment considérer que la femme est plus faible et qu’elle mérite une compassion plus grande.
C’est le point de vue des féministes, qui revendiquent par ailleurs l’égalité absolue entre femmes et hommes.
Je ne discuterai pas de cette contradiction.
Mais le concept de féminicide qui recouvre la mort violente de femmes mérite qu’on s’y penche un peu.
Il y avait déjà le concept d’infanticide, assassinat d’enfants, qui est admis depuis très longtemps. Accepté sans problème, l’enfant est faible par nature et on peut comprendre qu’il y ait un mot qui recouvre un tel assassinat.
Pour la femme, et dans les conditions du féminisme exacerbé actuel, il ne s’agit pas seulement de souligner un crime de personnes faibles, mais de créer une séparation supplémentaire, de rentrer dans un processus genré, pour affirmer une minorité qui n’en n’est pas une explicitement, mais dont on veut qu’elle fasse partie des groupes exploités, brimés.
La mort utilisée dans le cadre de la lutte des genres, argument sordide mais efficace dans le contexte émotionnel de la société présente.
Après le concept de féminicide, qui rentre dans les moeurs des médias, et donc dans le langage populaire, il est à craindre qu’on en arrive à parler de homonicide, pour l’assassinat d’homosexuels, de noiricide pour celui d’un noir, ou de LGBTicide, en attendant qu’on nomme les assassinats en fonction de la tranche d’âge de la victime.
L’hypothèse est moins farfelue qu’elle paraît.
Déjà la société est divisée en enfants, ados, jeunes, juniors, seniors, vieillards du troisième, du quatrième âge, auxquels il faut ajouter les djeuns de banlieues, les adultes de la diversité, elle-même multiple, etc.
Le communautarisme est en marche pour le pire et même pour le sordide de la mort.
Déjà dans nos cimetières des grandes villes, il y a des carrés réservés aux musulmans, verra-t-on des carrés réservés aux femmes, aux LGBT, aux noirs ?
@ Mary Preud’homme
« Vous oubliez juste une petite chose, à savoir qu’une femme faible, dominée et amoureuse de son mari ou de son compagnon sera prête à lui pardonner »
Il faut que les femmes cessent de se voir ou d’être perçues comme de petites choses fragiles, sinon, elles seront toujours piétinées.
On n’arrête pas de dire que les drogues sont mauvaises, l’amour bon, mais on peut ne pas être souillé par les drogues et être souillé par l’amour, tout dépend de l’objet de la rencontre, de ses intentions et des rapports entre soi et ce qui advient.
Le pardon est considéré comme un bien mais il permet la perpétuation des abus. Encore, au niveau individuel, si quelqu’un veut être esclave, cela ne regarde que lui, mais promouvoir cette dérive au niveau collectif risque de faire de nous des doulos.
« …voire une troisième chance, et davantage, pour peu qu’il manifeste un repentir apparemment sincère et lui promette monts et merveilles et de ne plus recommencer. »
Les femmes se font fort d’éduquer des brutes et des pervers.
C’est se croire moins et plus qu’on est. Pourquoi des gens devraient-ils servir de professeurs bénévoles à des nuls ? Sont-ils si peu de servir de choses sur lesquelles se purger avec le mince espoir d’une amélioration ? Ou si malins qu’ils vont changer du plomb en or ?
Les femmes ne sont pas des bêtes, et pas non plus des anges rédempteurs.
En vérité, des gens un tant soit peu supérieurs, il y en a peu, hommes ou femmes, et ils ne peuvent répandre leurs lumières que sur des gens disposés à les recevoir.
Attention toutefois à ceux qui se présentant comme porteurs de quelque bien n’emmènent en vérité que des maux, comme les mauvais parents, amants ou professeurs, il faut les jeter aussi sec.
Sans se dire, je n’ai que ça, je le garde. Si pour raison mondaine, on est obligé d’être avec des mauvais, il faut se détacher d’eux, et en profiter pour le faire du monde mauvais, où nous subissons souffrance et mort.
Souvent, les gens qui n’ont pas été aimés réclament d’autant plus un amour qui se dérobera à eux, et qui, même s’il vient, ne rédimera pas l’enfance.
Si les enfances maltraitées ou délaissées ou les gens battus par leur amour ne dissuadent pas de se jeter pieds et poings liés, que dire ?
Qu’il est faux qu’on reste toujours l’enfant de mauvais parents si la dette pour de bons est incommensurable, que si l’amour réciproque est comparable à une partition bien lue, un amour a sens unique voire bafoué n’est pas un amour maudit, un chef-d’oeuvre incompris, mais une absurdité pure et simple, une erreur de se déprendre comme on ne réédite par les fausses notes.
Enfin, attendre que l’autre change vient aussi de cette erreur profonde et addictive, l’espoir, dont il faut, autant que possible, se déprendre.
Je dis autant que possible, car la chose vient malgré soi, et est, de plus, follement valorisé dans notre société.
Comme le disent ceux qui méditent, on ne peut empêcher les pensées de survenir, mais le tout est de ne pas s’y attacher.
A plus forte raison, l’erreur doit être abandonnée. Elle est pire qu’une agitation, elle est une facilité enfermant dans la dépendance de processus mentaux délétères et une domination par le transgresseur.
On a une préférence pour le martyr ou les histoires de libération, distrayants, mais mieux vaut prévenir que guérir.
En fait, d’ailleurs, il n’est nulle guérison à un amour souillé, mais disons que la personne abusée peut ne pas rester avec l’auteur de ses maux.
Philippe Bilger vous êtes ici très évasif, allusif mais à quoi, et imprécis.
Quelque chose vous retient.
Ce qui fait peur c’est que peut-être le scandale est majoré par la considération particulièrement scandaleuse des femmes (menteuses, hystériques, etc.), mais il est infiniment probable que la « fiasquisation » des actions de la « Justice » ne soit pas réservée à ce domaine.
Et impunité garantie en cas d’erreur et de drame. Comment voulez-vous que ça aille bien ?
@ Fleurs du mâle
Vous avez oublié :
– Transatlantique
– VéloSoleX
C’est marrant de faire un texte qui se veut sans doute très profond et très intelligent sur le sujet des violences conjugales et de leur traitement judiciaire voire médiatique, mais qui ne se pose aucune question sur le terme totalement absurde de « féminicide ».
C’est du Bilger tout craché.
Il y a quelques mois il aurait dit ou disait que ce terme était totalement débile parce qu’aucun conjoint ne tue sa conjointe parce qu’elle est une femme mais pour diverses raisons tout autres, mais là, il veut tellement plaire à Marlène Schiappa parce que Macron est un ignare fini qui croit les pires bêtises qu’il voit à la TV tellement il ne connaît rien à la France et que M.B. veut tellement avoir le grade supérieur de sa Légion d’honneur pour services non rendus qu’il préfère ne même plus se poser la question de la pertinence du terme, qu’il ne se pose même plus la question.
Vaut mieux pas, ça dérange.
A propos de l’ignorance ou même de l' »ignardise » de Macron sur la France, la dernière en date est qu’après le visionnage du film « les Misérables » à l’Elysée, Macron, tellement ému, a de suite appelé je ne sais quel conseiller pour lui dire qu’il fallait faire une réunion de crise pour résoudre les problèmes des « quartiers ». HAHAHA !
On attend donc un film sur les suicides paysans pour que not’ bon Roy se penche sur la question de l’abandon des campagnes françaises, qui elles n’ont pas eu la chance de recevoir 100 milliards de subventions en trente ans pour financer le trafic de drogue que les bobos parisiens leur ont délégué.
Moralité, il faut vraiment être le dernier des crétins pour croire un seul mot sortant de la bouche de ce petit arriviste.
Ça fait beaucoup de crétins mais qui en doutait…
@ Achille
« Néanmoins j’ai du mal à imaginer une femme encore amoureuse une fois qu’elle s’est pris une torgnole par son conjoint. Qu’elle passe l’éponge pour la première soit, mais au bout de la deuxième ou de la troisième je pense que la raison doit prendre le pas sur l’amour. »
Je vous assure que j’en ai vu des bien gratinées, des femmes battues. Je ne saurais pas comment résumer fidèlement ce que j’ai eu l’occasion d’observer, mais je pense que je peux au moins émettre deux observations compte tenu de ce que j’ai vu:
1. Forme d’emprisonnement dans la relation. Que ce soit des raisons financières ou des questions relatives aux enfants.
2. Syndrome du sauveur. J’ai l’impression que les femmes ont plus tendance à tomber dans ce travers que les hommes. Et ça peut aller très très loin, ce syndrome du sauveur.
Les cas où le type 2 est particulièrement fort sont quasiment insolubles. Cela dépasse pour moi la question de la responsabilité personnelle, ou de la loi. Cela relève de la psychiatrie assez lourde, à mon avis (bien que je ne fasse aucune confiance à la psychiatrie pour réellement solutionner ces situations).
Je ne sais pas si la loi le permet, mais il y a des situations où il faudrait « dissoudre » un mariage ou un concubinage même si les participants ne le souhaitent pas. Voir des situations se dégrader avec le même niveau de déterminisme et d’inéluctabilité qu’un cancer au stade 4 alors qu’on pourrait y mettre un terme de force, cela ne me plaît que moyennement.
@ Wil | 21 novembre 2019 à 01:07
L’aigreur est le mépris que l’on éprouve pour soi-même et que l’on reporte sur une personne qui représente tout ce qu’on aurait aimé obtenir et que l’on n’a jamais pu atteindre parce que l’on en est tout simplement incapable.
Vos propos sur Philippe Bilger sont la démonstration de votre grande frustration, de votre jalousie et de votre méchanceté gratuite.
Je ne partage pas toutes les idées de notre hôte, mas il ne me viendrait pas à l’idée de l’insulter comme vous le faites.
Vous, c’est à la personne que vous vous en prenez. Comportement d’autant plus lâche que vous utilisez un pseudo pour le faire.
Vous profitez du fait que Philippe Bilger accorde une grande importance à la liberté d’expression pour en abuser.
Vous pensez que votre condition d’alcoolique notoire, que vous revendiquez avec une sorte de fierté pathétique, vous autorise à déballer votre rancœur. Ce faisant vous ne faites que vous vautrer encore un peu plus dans votre vomi verbal.
Vous faites pitié. Mais sans doute est-ce ce que vous recherchez. Pauvre type !
@ F68.10 | 21 novembre 2019 à 02:54
« Il y a des situations où il faudrait « dissoudre » un mariage ou un concubinage même si les participants ne le souhaitent pas. »
Faire le bonheur des gens malgré eux.
Le plus bel idéal qui soit.
Celui qui ne souffre pas contestation se contente de faire souffrir à sa façon ceux qui voudraient souffrir à la leur !
Misère et calamités, quand donc sera-t-on débarrassé de ces bien-pensants malfaisants ?
@ Sophie
Ce sujet est bien triste mais il est nécessaire pour ouvrir les consciences aux malheurs des autres.
Je propose la lecture d’un livre d’Albert Londres, « le Chemin de Buenos-Aires » (la traite des blanches) disponible gratuitement en PDF chez Wikisource – c’est toujours d’actualité d’ailleurs un homme en blanc plaide ces jours-ci en Thaïlande.
https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Chemin_de_Buenos-Aires
Ce n’est juste qu’un rappel sur la misère des femmes, des enfants dans le monde et sur les manières d’opérer des prédateurs – ils existent toujours : Jeffrey Epstein par exemple et ses riches clients.
A propos de ces prédateurs il en existe d’autres qui gagnent injustement beaucoup d’argent (car l’argent est la cause des malheurs) sur le dos des salariés : « les grands patrons » comme celui qui est en vedette actuellement au Japon et que son pote Sarkozy voudrait faire rapatrier en France.
Mais il y a plus fort encore : les prédateurs des peuples. Nous en avons un qui aurait pu débuter comme mac et qui s’acharne à nous faire disparaître pour satisfaire son orgueil et pour de l’argent.
Quel peut bien être l’intérêt d’employer ce mot de féminicide inventé par les féministes ?
Ce mot n’est entré dans la langue française qu’en 2014, il n’existait pas avant.
Dorénavant vous allez dire : masculinicide ?!
Sortir le féminin de l’homicide, c’est hiérarchiser, affirmer publiquement que de tuer une femme serait plus grave que de tuer un homme ou un enfant.
Inventer des mots traduit une intention idéologique, Le Pen l’avait fait avec le mot sidaïque, alors que l’on dit sidéen ; son invention, amalgamer la maladie aux laïcs et aux hébraïques.
Forcer les gens à les utiliser, c’est les amener à entrer dans ce discours idéologique et finir par accepter cette hiérarchisation.
Des groupes de pression peuvent arbitrairement inventer des mots pour convaincre de leur idéologie et c’est validé au Journal Officiel, affligeant !
Homicide, le préfixe ‘omo’ signifie : semblable ou être humain.
L’homicide veut dire : tuer son semblable ou un être humain, cela n’a jamais mis l’accent sur un pénis.
Auriez-vous la preuve que les meurtres de femmes sont dus au fait qu’elles soient génétiquement, organiquement des femelles ?
Que c’eut été consubstantiel à cela ?
Que les mâles assassins ont crié : « je tue parce que tu es… »
En 2018, il y a eu 845 homicides en France, dont 63 % des victimes sont des hommes.
172 femmes/1050 personnes ont été mises en cause dans ces 845 homicides !
Au sein du couple, parmi les personnes victimes d’un homicide, il y a en moyenne de 2008 à 2017, 24 hommes victimes, selon la Délégation d’aide aux victimes, Étude sur les morts violentes au sein du couple, 2017.
Violences conjugales ayant entraîné la mort en 2017 : 188 homicides.
Sur les 188 : 33 hommes, 25 enfants, 130 femmes.
Pas un mot pour les 25 enfants tués en même temps que l’autre conjoint et les 33 mâles ou hommes !
Pas un ! C’est pas grave mon gars ! Circulez y a rien à voir !
Que vous soyez enfant, homme ou femme, quand on vous tue, ben on obtient le même résultat ; mais non, faut hiérarchiser !
@ Achille 7h15
« Vous, c’est à la personne que vous vous en prenez. Comportement d’autant plus lâche que vous utilisez un pseudo pour le faire.
Vous profitez du fait que Philippe Bilger accorde une grande importance à la liberté d’expression pour en abuser. »
Il me semble que c’est à notre hôte de modérer, s’il le juge utile, les propos des contributeurs et à personne d’autre…
Féminicide, suite :
https://www.franceculture.fr/societe/le-terme-feminicide-interroge-le-droit
« Si le terme n’existe pas dans le code pénal, il existe bien en droit français. Le 16 septembre 2014, il a été ajouté au Vocabulaire du droit et des sciences humaines par la Commission générale de terminologie et de néologie. »
Mais de quoi je me mêle ?
Il faut tout de même rappeler dans le même genre que le terme « racisme » n’avait même pas été encore officiellement défini dans la langue française qu’une avalanche de lois portant sur cette notion aux limites floues s’abattait sur la France, comme si une loi ne devait pas être compréhensible par tous…
Par ailleurs, est-il normal que nous fassions tout un cinéma autour du mot « féminicide » inconnu au bataillon, alors que dans l’art de trucider que l’homme maîtrise il existe d’autres catégories en danger qui n’ont pas l’heur d’attirer l’attention des médias et de leurs perroquets ?
Algicide, biocide, coricide, écocide, déicide, ethnocide, fongicide, insecticide, fratricide, parricide, régicide, génocide, spermicide, suicide, ténicide, raticide, vermicide, tyrannicide, virocide.
Les extra-lucides semblent avoir été oubliés. 😉
@ Tipaza
« Faire le bonheur des gens malgré eux.
Le plus bel idéal qui soit. »
Je sais bien que c’est une belle horreur de vouloir faire le bonheur des gens malgré eux. Et je suis extrêmement critique d’une large gamme de pratiques médico-sociales qui dérivent de cette pulsion.
« En même temps », il n’est possible ni de réfléchir à ce type de sujet, ni de critiquer les actions du corps médico-social ou judiciaire, si on ne comprend pas qu’il y a effectivement des situations à débloquer de force.
Par exemple:
https://m.youtube.com/watch?v=UVLqADEdrig
La qualité de la vidéo de surveillance n’est pas exceptionnelle, mais on voit tout de même quelques nains qui gigotent quand ils ne devraient pas.
Si on n’est pas capable de se résigner au constat que dans certains cas, il faudrait quand même faire quelque chose, alors vous ouvrez un boulevard à vos critiques.
A vous de voir.
@ Achille
Vous êtes sans doute le dernier à prendre la peine de répondre à Wil !
Tout le monde sur ce blog se soucie de ses sanies comme de colin-tampon, y compris notre hôte. Je me demande même si ça ne l’amuse pas quelque peu…
A lire certains commentaires, je ne peux m’empêcher de citer cette saillie de Courteline : « L’homme est le seul mâle qui batte sa femelle. On doit donc en déduire que l’homme est le plus brutal des mâles… à moins que la femme ne soit, de toutes les femelles, la plus insupportable. »
C’est vrai quoi, elles l’ont bien cherché…
« Violences conjugales ayant entraîné la mort en 2017 : 188 homicides.
Sur les 188 : 33 hommes, 25 enfants, 130 femmes.
(Elusen | 21 novembre 2019 à 11:57)
Elusen menteur d’un jour, menteur de toujours…
Les chiffres sont en réalité pour l’année en référence :
. 130 femmes et 25 enfants victimes dans le cadre de violences conjugales, exercées par l’homme (mari, concubin, ex. ou père)
. 21 hommes dont 11 eux-mêmes agresseurs et violents de longue date furent victimes de femmes en état de légitime défense qui ne faisaient que se protéger elle ou leurs enfants.
@ caroff | 21 novembre 2019 à 12:30
« Il me semble que c’est à notre hôte de modérer, s’il le juge utile, les propos des contributeurs et à personne d’autre… »
Si ces propos outranciers ont passé la modération, je suppose que c’était pour inciter les autres intervenants de ce blog à réagir.
Eh bien vous avez eu ma réaction !
« Pourquoi les institutions françaises donnent-elles souvent le sentiment d’un délitement, de pratiques approximatives et d’une médiocre conscience professionnelle ? On a trop peur de les mettre en cause et d’incriminer les agents directement responsables de fiascos dénoncés comme s’ils n’émanaient de personne ! » — Philippe Bilger.
Eh bien, en raison de la religion étatiste poussée à l’extrême, en France plus que partout ailleurs. Quand l’État a le statut de tuteur bienveillant et de sauveur suprême, quand personne ne sait plus faire un pas sans en appeler à lui, lorsque cette attitude est universelle aussi bien parmi les « assujettis » que parmi les fonctionnaires, il ne faut pas s’étonner que ces derniers acquièrent un statut de surhomme. Et qu’ils soient réputés infaillibles, et par conséquent irresponsables.
Quant au « féminicide », je suggère une mesure simple : à chaque fois que la brigade médiatique et intellectuelle forge un mot nouveau pour désigner une réalité ancienne, ignorer systématiquement le prétendu problème. C’est le signe immanquable qu’il n’existe pas.
Il en va ainsi du « changement climatique », du « développement durable », de « l’islamophobie »… et bien entendu du « racisme » (invention plus ancienne, celle-là). Aux États-Unis, le rythme d’invention des nouveaux mots pour désigner des réalités « pabien » est encore plus élevé. On n’a même plus le temps de suivre.
La manipulation est tout de même grossière. Les meurtres conjugaux existent depuis la nuit des temps, des dames acariâtres inventent le mot « féminicide », et soudain le problème prend des proportions inimaginables.
Arnaque dans l’arnaque, l’invention du « féminicide » permet d’enfumer les populations concernant l’éventualité d’un nouveau problème, fort probable, celui-là : la recrudescence des meurtres conjugaux, si recrudescence il y a, ne serait-elle pas, par hasard, liée à l’immigration en masse de certaines populations, dont le livre sacré excuse, voire recommande, les violences conjugales ? La question ne sera pas posée…
La crédulité, voire la complicité de ceux qui se font le véhicule de ces concepts nouveaux défie l’imagination. Il n’y a pas si longtemps, suggérer que toute l’Afrique tentait de débarquer chez nous parce qu’il faisait trop chaud chez eux vous aurait fait passer pour un malade mental. Puis, quelques représentants de la brigade médiatico-intellectuelle ont lancé des ballons d’essai à ce sujet.
Aujourd’hui, les porteurs de micro se sont complètement déboutonnés : on ne compte plus les « journalistes » ou les « professeurs » qui vous expliquent que le « changement climatique » provoque l’immigration, « que vous le vouliez ou non ». Comme si c’était une vérité connue depuis Archimède. Sans se sentir obligés, le moins du monde, d’étayer une affirmation aussi délirante.
Le plus rigolo est quand la caste médiatique se contredit elle-même. Ainsi, le PNUD, machin des Nations Unies consacré au développement (donc impeccablement gauchiste et politiquement correct), a pondu récemment un rapport fort intéressant sur la motivation des immigrés. Pour une fois, on a interrogé les intéressés eux-mêmes, et plus précisément ceux débarqués récemment d’Afrique, illégalement, sur des rafiots.
Sans surprise, le motif « j’ai émigré en raison du changement climatique » a été cité exactement… zéro fois. Le sondage a indiqué le véritable motif : gagner plus de pognon. Et en renvoyer une grande partie à sa famille, privant ainsi le pays d’accueil des retombées potentielles de sa maigre consommation. On s’en doutait un peu, remarquez… (*)
Cela n’a pas empêché les médias de tartiner sur ce rapport… tout en continuant à soutenir, par ailleurs, la thèse manifestement idiote et mensongère de « l’immigration de masse due au changement climatique, et donc vous ne pouvez pas vous y opposer ».
Sans surprise non plus, « l’enquête » du PNUD concluait, elle aussi, que l’Europe devait ouvrir encore davantage ses portes aux immigrés africains, et leur donner des emplois. Que vous le vouliez ou non. C’est inéluctable.
Comme quoi, la conclusion ne change jamais, quels que soient les paramètres de l’équation. Les justifications ne sont là que pour faire joli ; elles sont interchangeables. Ce qui compte, c’est bien l’objectif politique qu’on tente de nous imposer, et celui-là ne change jamais.
Il en va de même avec le « féminicide ». Persécution des hommes et dissimulation de la criminalité musulmane, voilà bien le double objectif de l’opération. Une telle aubaine, ça ne se refuse pas. Vous allez donc beaucoup entendre parler de « féminicide ».
A ce sujet, j’aimerais rappeler qu’il est normal que 1 000 000 000 de femmes meurent tous les jours sous les coups de leur conjoint : depuis la nuit des temps, les hommes s’illustrent infiniment plus que les femmes dans la délinquance, et dans les violences en particulier.
Eh oui, scoop pour tout le monde, les hommes sont différents des femmes, c’est biologique et ça ne risque pas de changer. Ça ne veut pas dire qu’il faille tolérer la criminalité, qui est à peu près synonyme de criminalité masculine (malgré de louables efforts de nos compagnes). Ça veut dire simplement qu’il n’y a pas besoin de créer un crime de « féminicide », et encore moins un problème social imaginaire à ce sujet.
A moins, bien sûr, qu’il y ait réellement une recrudescence de ces crimes, et qu’on ait vérifié que nos amis musulmans ne s’illustrent pas de façon disproportionnée dans ces exploits.
Si le facteur musulman était avéré (et on sait bien que le facteur musulman frappe toujours deux fois, quoique pas forcément à la porte), alors ce ne serait plus du « féminicide », mais l’exercice normal de la religion musulmane. Et cela deviendrait un problème d’immigration, et non un problème de vilenie masculine.
Cependant, si cette hypothèse était avérée, alors il s’agirait « d’islamophobie », et cela est intolérable. Par conséquent, l’hypothèse est à exclure, cela va de soi.
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(*) Autre factoïde rigolo de ce sondage : ce sont les riches qui émigrent illégalement. Pas les pauvres.
Autre factoïde encore plus stupéfiant : le PNUD a maquillé les résultats du sondage… dans un sens politiquement incorrect. Il a, en effet, éliminé d’avance ceux qui ont répondu que leur premier motif d’immigration était la fuite d’un pays en guerre (ou une raison similaire). Ces personnes sont en minorité (36 %), mais elles existent. Pourquoi ont-elles été éliminées du résultat par le PNUD, et donc, bien entendu, par les médias qui ont fait écho à cette étude ? Alors que cela renforce la position immigrationniste des uns et des autres ?
Très vraisemblablement, parce que l’objectif politique du PNUD est le soutien au développement des pays du Tiers-monde. Et donc, il fallait présenter des résultats qui permettent d’exiger des pays européens qu’ils accueillent les Africains illégaux « venus travailler ». Ce qui suppose de prodigieuses dépenses d’assistanat préalables, même en admettant la fiction que tous ces gens-là veuillent travailler, soient employables et que nous ayons des emplois à leur offrir.
Le PNUD soutenant la fable, d’ailleurs démentie par le sondage lui-même, que ces immigrés retourneraient en définitive dans leur pays pour le développer (70 % disent le contraire !)…
Il ne faut pas frapper une femme même avec une fleur !
https://www.youtube.com/watch?v=GNoGdN2F8cA
« Si on veille à instaurer rapidement de tels changements… »
Excellentes réformes !
Je trouve bien de perfectionner le fonctionnement du système judiciaire, et pour châtier les transgresseurs, sauver les victimes, dissuader les tentés de battre leurs conjoints, et pour que le tribunal judiciaire prenne la place du tribunal médiatique.
Si des femmes le contournaient, on voit donc que ce n’est pas tout à fait pour rien.
Que les magistrats sachent se remettre en cause.
Que les féministes délaissent un peu le tribunal médiatique pour appuyer les réformes.
Comme tout est lié, on peut en profiter pour prévoir dans le même dispositif l’aide aux hommes battus, les enfants et les couples homosexuels.
Si on attend que les victimes s’aident au lieu de se faire de la concurrence entre catégories, on peut attendre longtemps.
C’est pourquoi je me permets de réclamer que les réformes de notre hôte soient élargies aux gens que j’ai dit.
Je pense que de tels billets, non partisans et proposant des réformes, sont les plus constructifs.
Les toquades successives de notre hôte ne me paraissent pas de la flagornerie mais de l’admiration pour des gens qui n’en valent pas la peine. Je ne pense pas qu’un politique fera des merveilles, mais qu’à force de lancer des idées, notre hôte peut en voir certaines reprises.
Il paraît que les billets de notre hôte sont lus, y compris par des hommes politiques.
S’ils veulent mériter ce beau nom, que de droite ou de gauche, ils appliquent cette réforme, merci.
@ Mary Preud’homme | 21 novembre 2019 à 14:55
Faux !
Il est indiqué qu’il faut comptabiliser les hommes tués parce qu’ils auraient été des rivaux, ils sont au nombre de 7.
Il faut y ajouter les victimes collatérales, un frère, un père, une personne qui porte secours, elles sont au nombre de 5.
Il n’y a eu aucune condamnation, puisque ce sont seulement des faits constatés par la gendarmerie ou la police, donc il n’y a aucune décision judiciaire, de fait pas une fois la notion juridique de légitime défense n’est employée ; ainsi vous l’avez inventée !
Il est indiqué que pour 9 cas sur les 109 homicides sur des femmes en couple commis par des hommes, les 9 hommes étaient eux aussi victimes de violences.
Une personne tuée qu’elle soit un enfant ou un homme, meurt de la même manière qu’une femme ! Cessez la hiérarchisation !
@ Robert Marchenoir | 21 novembre 2019 à 16:00
Il faut de la bonne volonté pour vous suivre dans vos raisonnements, dont une partie est exacte (sans le verbiage qui dissuade de la lecture) ; toutefois notons au passage votre rejet, non pas des mathématiques (c’est trop pour vous), mais de l’arithmétique : « il y aurait 1 000 000 000 de femmes qui meurent chaque jour » ? en 7 jours il n’y aurait plus personne sur la terre. Dieu l’a faite en 7 jours (ou 6) mais Marchenoir fait mieux !
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@ Achille | 21 novembre 2019 à 15:18
En vous lisant je prends mon pied !
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@ Alpi | 21 novembre 2019 à 14:36
Je me demande si le sujet ne dérive pas, vous nous récitez le proverbe arabe : « Bats ta femme tous les matins si tu ne sais pas pourquoi, elle le sait ».
Je crois qu’à l’heure actuelle beaucoup d’hommes mériteraient une bonne raclée tous les matins.
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@ F68.10 | 21 novembre 2019 à 14:17
Vous êtes probablement un copain d’Elusen et vous cherchez à déstabiliser les consciences.
Conseil, avant de sympathiser avec F68.10 il est préférable de le découvrir sur le blog F68.10.
Féminicide certes mais populicide, qu’en pensez-vous ?
L’urgence n’est-elle pas de réparer la France abîmée ?!
http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2019/11/bloc-notes-lurgence-est-de-rep.html
Le désespoir est aussi identitaire.
Quand des Français attachés à leur pays constatent que la culture, la littérature, la musique, le cinéma, la langue française se délitent chaque jour un peu plus, ils ont mal.
Quand des Français attachés à leur pays constatent le manque de courtoisie, d’élégance, d’éthique, de respect, ils ont mal.
Le désespoir, ce n’est pas qu’une question d’argent.
Le désespoir c’est de vivre dans un pays peuplé d’individus, des ayants droit vociférants, hargneux, haineux… Un pays peuplé d’individus frustrés qui en veulent aux autres d’être restés au-dessous d’eux-mêmes… Tellement facile !
« Toutes nos rancunes viennent de ce que, restés au-dessous de nous-mêmes, nous n’avons pu nous rejoindre. Cela nous ne le pardonnerons jamais aux autres. » Cioran.
Le désespoir, c’est de constater que les dirigeants prennent fait et cause pour ces minorités vociférantes au détriment du plus grand nombre qui essaie de vivre encore dans la dignité…
Les plus gueulards et les plus vils sont récompensés par la macronie en place. Les autres sont éborgnés et le président n’a pas versé une seule larme.
Ce président verse des larmes (de crocodile) après une séance de cinéma…
Il a été dit que des hommes frappaient car les femmes leur disaient des choses désagréables.
C’est idiot, un homme a aussi un cerveau.
Il faut s’en servir plutôt que des poings, et j’assure que cela peut être cinglant.
Evidemment, à adapter, mais il y a des classiques :
Si une femme vous reproche de ne pas être un assez bon parti, lui dire que la porte est ouverte… Pas du bluff, qui vous rabaisse ne vous mérite pas.
Il se peut que pris par d’autres soucis, on n’ait pas songé au divorce, mais si elle est aussi motivée que sa langue galope, qu’elle décharge de la corvée de démarche.
Si une femme vous reproche de ne pas la comprendre, dites-lui que vous n’êtes pas télépathe, mais qu’elle n’a qu’à s’exprimer.
L’écouter. Si elle se moque car vous ne la comprenez quand même pas, dites qu’elle n’est pas claire.
Si une femme se moque de vous au lit, dites que dans un tango, les deux doivent s’accorder, et que ce n’est pas en commençant à se dénigrer plutôt que de s’écouter qu’on formera un duo mutuellement satisfaisant.
Rappeler que l’eau est humide est une nécessité, mais ennuyeuse au possible, n’est-ce pas ?
Alors, goûtons à de plus aimables disputes :
https://www.franceculture.fr/emissions/personnages-en-personne/beatrice-et-benedick-ou-la-peur-de-lamour
Dino Risi et son chef-d’oeuvre « Parfum de femme ».
Je les ai côtoyées architectes, dans les bureaux d’études, elles commençaient à se faire de la place, toujours un vrai plaisir, le côté leste de la vision qui emporte toutes les réticences techniques et les autres.
@ Lucile | 20 novembre 2019 à 12:46
« Je ne connais pas les taux d’élucidation des meurtres, mais je ne crois pas qu’il soit brillant. »
Par exemple, où en est-on de celui-ci ? :
https://www.cnews.fr/france/2019-10-24/infirmiere-poignardee-et-retraite-les-mains-coupees-ce-que-lon-sait-du-double
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@ Achille
« Une femme qui est battue pas son mari que ce soit sous l’emprise de la colère ou de l’alcool (souvent les deux) doit immédiatement le quitter avant qu’il ne commette le geste irréparable. »
Ben oui, et elle va où dans nombre de cas ?
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@ Xavier NEBOUT
« Excellent billet, mais il pourrait s’appliquer à l’ensemble de la justice, et non seulement à ce qui concerne les violences conjugales. »
La justice ne peut, en effet, pas réparer, ni même corriger ou si peu, les résultats des innombrables faits et situations qui n’auraient pas dû naître, en tout simplement s’appuyant sur ce que la connaissance du passé nous enseigne. Faute de ne pas les avoir anticipés ni mesurés à l’aulne de leur apparition, il faut et faudra en payer le prix, à quelque niveau que ce soit.
C’est ainsi que parmi des milliers de situations qui pourraient être rapportées chaque jour qui passe, en raison de la démission d’un grand nombre d’adultes, d’où qu’ils viennent, je viens de vivre indirectement celle-ci :
Mon petit-fils de 19 ans en apprentissage a été agressé ce 19/11/2019, ayant refusé de céder à l’intimidation suivante:
– Donne-moi ta sacoche ! (contenant son portable de travail, avec la pomme !)
Prenant ses jambes à son cou (*), il est parti en courant pour échapper à son premier agresseur.
Mais un second larron l’attendait un peu plus loin. Alors, au risque de se faire renverser et tuer, il s’est mis au milieu de la route (en soirée, donc de nuit !…), forçant un véhicule à s’arrêter, dans lequel il s’est réfugié, angoissé et apeuré. Le conducteur a rapidement compris la situation et l’a ramené chez ses parents. Merci à cette personne honorable.
Le problème c’est que l’un des deux voyous lui a alors crié : « On te retrouvera ! ».
Bien entendu une plainte a été déposée – en ligne – à la police. Elle sera sans doute validée dans quelques jours. En attendant, l’ado (certes grand) fait quoi avec ça ?
Il est fort probable qu’ayant été repéré avec son téléphone portable (avec la pomme), sa sacoche de luxe, son habillement haut de gamme, le tout offert (à tort ?) par un entourage aimant – il a alors été suivi sur son parcours connu jusqu’au lieu le plus propice pour lancer la prédation. Pas de témoins évidemment. Et si…
(*) Née en 1618 sous la forme « prendre les jambes sur son col », cette expression signifiait alors que l’on décidait de partir en voyage. La forme et le sens modernes « prendre ses jambes à son cou » indiquent une fuite rapide, une course où ces deux parties du corps seraient alignées grâce à la vitesse avec laquelle on partirait.
Féminicide
Je suis tout sauf misogyne. J’aime depuis 45 ans ma femme et j’entends bien continuer.
Il est proposé d’ajouter à notre langue le mot « féminicide ». Belle inventivité !
Nous avions homicide, infanticide, parricide, fratricide, régicide, insecticide, pesticide…
On pourrait aussi ajouter soricide, onclicide, voisinicide, policide, gileticide, journalisticide, jugicide, députicide, ministricide, présidenticide, douanicide, matonicide, détenuicide, mairicide, restarateuricide, amanticide, proxéniticide, prostitucide, proficide, fonctionnarcide, sans oublier charouleticide.
Pour bien montrer ce poids des mots, c’est l’invention pour obliger à des orientations idéologiques.
L’on invente un mot, si vous en faites usage, vous normalisez l’idéologie sous-jacente, cela renvoie au concept élaboré par Hannah Arendt : la banalité du mal.
« Chômage et chômeur » originellement veulent dire : oisif, paresseux ; ils viennent du verbe chômer, se reposer. Aucune autre grande langue de par le monde ne désigne les personnes sans emploi par un terme qui veut dire : parasite, le taux de parasites.
Aujourd’hui dans le débat public l’on voit bien où nous emmène l’usage de ces deux mots.
Mais surtout le plus effarant, le mot ‘vapoter’ employé de par le monde a été inventé en France par des marchands du produit pour se soustraire à la loi sur l’interdiction de fumer.
Ils sont partis du principe suivant :
– la loi interdit de fumer.
– si nous avons un nouveau produit.
– si nous inventons la sémantique qui va avec, la loi ne s’y appliquera pas.
Un peu comme si des meurtriers inventaient un nouveau mot à la place de ‘homicide’ et finissaient par dire qu’ils n’ont commis aucun homicide nous avons : diabloire l’individu.
Voyons la puissance du truc, car ces marchands ont forcé la représentation nationale à légiférer sur un mot qu’ils avaient inventé, ainsi les députés ont validé la démarche, il suffit qu’un lobby invente un mot et la société sera mise au pas.
Le mot n’est absolument pas entré dans la langue française, il n’a jamais fait l’objet d’une publication au Journal Officiel de la part de la Commission Générale de Terminologie et de Néologie ; mais on le trouve dans le Code de la santé publique.
Un mot qui officiellement n’a aucune existant se trouve à faire l’objet de lois codifiées ?!
Qui a inventé le mot, un certain Franck95, lors du jeu-concours sur le site marchand e-cigarette.
609 personnes ont participé et 139 ont validé le mot pour la France et aujourd’hui la planète.
Là, maintenant, l’homicide devient moins grave, que le féminicide ; il n’y a de fait aucun mot pour désigner le meurtre d’un homme ; le meurtre d’un homme ne se nomme même plus, il n’a aucune existence.
@ agecanonix
« Vous êtes probablement un copain d’Elusen et vous cherchez à déstabiliser les consciences. »
Tiens ! Il paraît qu’on est pote, Elusen…
J’irai pas jusqu’à prétendre cela, mais j’avoue qu’Elusen me distrait beaucoup ; sur un autre billet…
Que voulez-vous dire par « déstabiliser les consciences » ? Les caméras de surveillance du FBI ne sont pas assez factuelles pour vous ?
Sinon, des horreurs, j’en ai contemplé pas mal. L’intérêt d’Internet, c’est effectivement qu’on peut les référencer et les objectiver auprès du grand public. Est-ce cela que vous appelez « déstabiliser les consciences » ?
@ Alpi
« C’est vrai quoi, elles l’ont bien cherché… »
Ça a commencé avec mamie Eve qui a fricoté avec le serpent.
Adam aurait mieux fait de lui donner une avoinée au lieu de croquer la pomme.
Cela aurait même pu être le premier féminicide de l’Histoire…
Enfin, nous n’allons pas refaire le monde, n’est-ce pas ?
@ fugace | 21 novembre 2019 à 19:04
« Ben oui, et elle va où dans nombre de cas ? »
Comment ça elle va où ? Vous voulez dire qu’une femme battue doit rester dans le foyer au motif qu’elle n’a pas d’endroit où aller ?
Elle peut se réfugier chez un membre de sa famille, le temps que les modalités de séparation soient établies. Sinon il existe des foyers pour femmes battues,
Rien de pire pour une femme que de dépendre de son conjoint uniquement pour des raisons alimentaires.
@ Elusen | 21 novembre 2019 à 17:22
Pris en flagrant délit de mensonges, il tente de noyer le problème en niant la réalité, voire en faisant l’impasse sur les véritables chiffres de « la violence conjugale et familiale », effectivement imputables à une majorité d’hommes, chiffres à l’appui, qu’il vient d’être pris la main dans le sac en train de trafiquer.
Même si certaines femmes depuis peu féministes enragées et fort heureusement ultra minoritaires – représentant environ 3 % – tentent de prendre leur revanche, affectées de graves névroses et attestant des mêmes frustrations et impuissances que leurs homologues masculins !
@ Achille | 21 novembre 2019 à 20:13
« Ben oui, et elle va où dans nombre de cas ? » (fugace)
« Comment ça elle va où ? Vous voulez dire qu’une femme battue doit rester dans le foyer au motif qu’elle n’a pas d’endroit où aller ?
Elle peut se réfugier chez un membre de sa famille, le temps que les modalités de séparation soient établies. Sinon il existe des foyers pour femmes battues,
Rien de pire pour une femme que de dépendre de son conjoint uniquement pour des raisons alimentaires. »
—-
Achille, vous êtes parfois confondant de naïveté, dans le bon sens du terme… comme certains députés LREM qui découvrent le monde, et parfois que la France dans sa disparité est peuplée d’une population dont ils ne connaissent rien de son mode d’existence…
En effet, vos solutions sont parfaites dans un contexte « normal »…
Or, puisqu’il est question de « féminicides », avez-vous des éléments statistiques qui vous indiquent dans quels milieux de la société ils se répartissent ?
Moi pas, mais à vue de nez, peu de milieux proches du vôtre pour lesquels la femme battue, connaissant Achille sous son vrai nom, aurait pu trouver refuge chez lui sans que cela ne lui pose le moindre problème… ai-je tort ?
Quoique, les « femmes battues » ancienne appellation se retrouvent dans tous les milieux… même le vôtre !
Si vous répondez franchement à mon interrogation, vous avez le droit de continuer de croire en l’impossible en nous assénant le couplet de l’ex-Monsieur le curé des années passées :
« Elle peut se réfugier chez un membre de sa famille, le temps que les modalités de séparation soient établies. Sinon il existe des foyers pour femmes battues,
Rien de pire pour une femme que de dépendre de son conjoint uniquement pour des raisons alimentaires »
Si tout était si simple, Monsieur Achille, Macron serait dans une meilleure situation aujourd’hui !
@ Noblejoué
« Si on attend que les victimes s’aident au lieu de se faire de la concurrence entre catégories, on peut attendre longtemps. »
Effectivement. Et il faut que cela change le plus vite possible, car la catégorisation permet certes plus de lisibilité publique du problème, mais ne permet pas réellement d’appréhender la réalité de certaines « violences » (terme horrible, par ailleurs). Les frontières entre catégories ne sont pas si nettes que cela…
Quand vous rentrez dans les cases, vous pouvez crier. Quand vous ne rentrez pas dans les cases, vous ne pouvez que crier tout bas.
https://m.youtube.com/watch?v=lEVqmcdA54Y
Et des victimes d’inceste qui ne supportent pas le féminisme médiatique, j’en connais. Tout comme des trans qui ne peuvent pas piffer les mouvements LGBT. Etc. etc.
Ni le problème de la catégorisation, ni le problème de la représentation ne sont réglés. Et ils masquent encore beaucoup d’autres problèmes plus ou moins dicibles.
Ces mouvements autoritaires de victimes catégorielles m’effraient profondément, car les victimes risquent d’en être doublement victimes si leur représentation n’est pas correcte. A leur crédit, c’est leur autoritarisme qui a réussi à libérer la parole. Mais ils écrasent celle des autres. Celle des non-victimes et celle des victimes qui rejettent cette représentation imposée.
Il faut trouver autre chose.
Le débat qui se déroule ici sur le terme « féminicide », sans doute pour le plus grand plaisir de Philippe qui l’a lancé, montre bien que nous sommes toujours un pays de cul-terreux. Les sabots de bois aux pieds, toujours englués dans la bonne glaise de nos campagnes, « pesticides » exclus bien sûr !
Ce qui est étonnant, dans cet esprit, est que personne ne proteste contre le fait que nos ordinateurs fonctionnent à l’aide d’électronique et non à manivelle ou à moulin à vent. Car au fond, d’où sort ce terme : électronique, c’est un « manivellicide » ?
Autre exemple, les anglophones ont des petrophysicists depuis quarante ans (voir SPWLA), dont je fus, doctorat à la clef, alors que chez nous ce n’est encore qu’un adjectif, pas une science !
https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.spwla.org/&prev=search
Eveillez-vous camarades commentateurs ! A vos joggings, adieu aux sabots !
En communication nous avons eu quatre révolutions: le bouche (surtout celle du curé de la paroisse) à oreille (celles des dévots) avant, la presse au 19e siècle (pour ceux qui savaient lire) et celle de la télévision au 20e où, jusque-là, on vous disait ce qu’il fallait penser sans vous laisser réagir, puis, enfin, la toute nouvelle numérisation qui vient de nous donner le droit de communiquer nos pensées au monde entier !
Avec l’aide de Facebook et Twitter !
Dans cette ère nouvelle le citoyen trouve sa place comme n’importe quel propriétaire de media. La communication est enfin dans les deux sens et à la même échelle !
Nous avons enfin la possibilité de changer ce pays, le faire passer du 18e au 21e siècle, profitons-en, en commençant par adapter et moderniser notre langage.
Le temps est venu de rajeunir nos Immortels et peut-être de les élire au suffrage universel !
On ne rajeunira pas la France engluée dans la glaise chère à Michel Onfray sans rajeunir son mode d’expression !
@ Pierre Blanchard | 21 novembre 2019 à 21:04
« Or, puisqu’il est question de « féminicides », avez-vous des éléments statistiques qui vous indiquent dans quels milieux de la société ils se répartissent ? »
Si vous aimez les statistiques sur ce sujet, je vous invite à consulter la fiche Wiki sur les violences conjugales vous devriez y trouver votre bonheur.
Je n’ignore pas que tout n’est pas simple dans les conflits familiaux.
Certaines femmes pensent pouvoir gérer la situation. C’est le cas du drame d’Oberhoffen-sur-Moder qui s’est déroulé le 10 novembre dernier. La victime avait refusé de quitter le domicile familial malgré les recommandations des gendarmes.
Je pense qui si sa fille, qui a appelé les gendarmes et leur a reproché d’être arrivés trop tard, avait pris sa mère chez elle le temps de régler la situation, celle-ci serait encore vivante.
Ainsi que vous le soulignez, c’est ce que j’aurais fait dans ce genre de situation.
Mais je ne suis qu’un naïf macronien, alors évidemment…
@ Achille
« L’aigreur est le mépris que l’on éprouve pour soi-même et que l’on reporte sur une personne qui représente tout ce qu’on aurait aimé obtenir et que l’on n’a jamais pu atteindre parce que l’on en est tout simplement incapable. »
Vous m’amusez Achille, c’est bien.
Pour vous répondre donc sur ma dépression alcoolique qui se porte bien je vous rassure, j’avoue que j’aurais été moins frustré donc moins jaloux si j’avais eu la chance de rencontrer une femme du calibre de Mme Bilger et surtout qu’elle ait bien voulu de moi ce qui aurait été sans nul doute le plus difficile et qui pour votre information est celle qui se donne un mal de clebs à corriger et censurer mes délires soûlographiques depuis des années mais donc également toutes les prétentions intellectuelles de commentateurs dans votre genre qui comme je le dis toujours ne sont pour la plupart que des disques durs vivants : pleins de culture mais vides d’intelligence, et je peux largement comprendre que mes délires soient une sorte de récréation pour elle.
Ah ça y est ! Achille ! Je me souviens vaguement qu’un soir de beuverie je vous ai cité comme un crétin fini il n’y a pas longtemps parce que je disais que le « vrai » Achille, lui, était invincible. C’est pour ça que je m’en souviens tout d’un coup.
C’est comme ça l’alcool.
J’imagine que c’est pour ça que vous m’attaquez aujourd’hui.
Si en plus on ajoute le « Si ces propos outranciers ont passé la modération, je suppose que c’était pour inciter les autres intervenants de ce blog à réagir. Eh bien vous avez eu ma réaction ! »
Mais en dehors de vous tout le monde se fiche de votre réaction à mes propos, comme s’ils allaient changer quoi que ce soit à la bonne marche de l’Univers.
Pour qui vous prenez-vous ?
Continuez donc à raconter vos conn*ries et laissez-moi les miennes, M*RDE !
« On ne mélange pas les torchons et les serviettes ».
Sur ce, bonsoir et à la prochaine.
@ Achille
« …je pense que si… »
« …la victime a refusé de quitter le domicile… »
Les gendarmes lui avaient sûrement proposé un logement !?…
Peut-être pourriez-vous avoir la common decency de vous mêler de ce que vous connaissez et de laisser à certaines femmes la liberté de résister en connaissance de cause. Car comme de bien entendu, aux bourreaux délinquants, il ne leur est rien demandé ?!
Il n’y a rien d’autre à trouver que de reconnaître comme la machine humaine fonctionne, sans se perdre dans les catégorisations victimaires qui ne s’expriment que par des associations vengeresses, où la minorité tente d’imposer ses particularismes à une majorité, faisant du victimaire une forme de rentabilisation de la violence discriminatoire, pensant que de tirer un tiroir au fond du tiroir qui lui-même donne sur un autre tiroir pourrait nous permettre d’imaginer des solutions violentes à la violence, alors qu’il est indispensable d’imaginer comment fonctionner hors de la violence en brisant les cercles de la vengeance, et d’accéder au pardon des offenses.
Ainsi, nous serions à même d’utiliser les progrès techniques faramineux que décrit Claude Luçon dans un autre sens que ces éternels et sinistres recommencements mimétiques que nous vivons, sans en faire à l’habitude une catégorisation discriminante de la glaise et du sabot. Si nous savions effectuer ce passage qui est conversion, notre technique merveilleuse pourrait servir à autre chose qu’à notre auto-destruction.
Le couple est en ce sens le laboratoire intime où cette expérience se mène, et les violences conjugales, dans cet Occident citadin où deux unions sur trois finissent, tout orientations sexuelles confondues en cette épouvantable similitude, par un divorce, est le signe que non seulement nous ne progressons pas dans la gestion de la violence intime, mais que nous régressons, qu’aucun système judiciaire ne saura régler ce retour au paganisme tant que les individus n’accèderont pas à la connaissance de leur mode de fonctionnement profond, l’éducation étant le seul facteur d’émancipation qui pourrait permettre de conditionner les zones profondes du cerveau humain.
Or, elles sont hélas aujourd’hui la proie des faiseurs de buzz et des communicants d’une mercatique qui n’a intérêt pour son commerce que de dissimuler le ressort dont il leur est nécessaire qu’il reste caché, alors que toute la philologie, suivie par les neurosciences, sait maintenant le décrire de mieux en mieux.
Lire, écrire, compter, respecter autrui, que les magnats, les superstructures comme les individus, se soumettent donc à la loi si simple qui est à même de nous éduquer, conditionnant nos profondeurs mentales, le garçon ne brutalisera plus la fille, même avec une fleur, la mémoire partagée apparaîtra, non comme une injonction de la vielle morale mais comme le trésor de la vie éternelle, et nous pourrons alors, munis des outils fantastique mis à notre disposition, accéder à la sainte santé de cette innocence élaborée au cours de notre histoire de glaise et de sabot, quels que soient les catégories, les races, les religions ou dieu sait quel tiroirs particuliers qui ne sauront plus jamais enfouir ce qui a été révélé à ceux qui savent lire désormais :
« La haine des Capulet et des Montaigue n’était rien auprès des empêchements de tout genre qui ont été vaincus, des éliminations spéciales que la nature a dû faire subir aux hasards déjà peu communs qui amènent l’amour, avant qu’un ancien giletier, qui comptait partir sagement pour son bureau, titube, ébloui, devant un quinquagénaire bedonnant ; ce Roméo et cette Juliette peuvent croire à bon droit que leur amour n’est pas le caprice d’un instant, mais une véritable prédestination préparée par les harmonies de leur tempérament, non pas seulement par leur tempérament propre, mais par celui de leurs ascendants, par leur plus lointaine hérédité, si bien que l’être qui se conjoint à eux leur appartient avant la naissance, les a attirés par une force comparable à celle qui dirige les mondes où nous avons passé nos vies antérieures. »
https://fr.wikisource.org/wiki/Sodome_et_Gomorrhe/Partie_1
@ Chemins de traverse | 22 novembre 2019 à 03:25
« Les gendarmes lui avaient sûrement proposé un logement !?… »
Les gendarmes n’ont pas vocation à jouer les assistantes sociales.
Ils lui ont sans doute proposé des adresses de foyers pour femmes battues ou encore d’aller habiter provisoirement chez sa fille.
Ensuite, comme vous dites, la décision appartenait à cette femme et à sa fille. On voit le résultat !
Toutes réflexions faites, un couple finit toujours par se réduire à l’unité.
Soit par le fusionnel qu’entraîne la vie commune, soit par l’élimination juridique ou physique d’un des protagonistes.
Faisons en sorte que l’élimination juridique, le divorce, se fasse aussi instantanément que le mariage.
Un « non » aussi facile à prononcer qu’un « oui », et l’élimination physique n’aura plus de raison d’être.
Le soleil brille, malgré le froid, le thé est excellent, ce qui explique mon sophisme matinal.
@ Mary Preud’homme | 21 novembre 2019 à 20:29
Vous êtes très lourdement limitée intellectuellement, peut-être votre travail de traductrice de notices électriques qui vous pousse à interpréter.
Toutes les sources, je les ai données, elles ne viennent que de moi et de personne d’autre, rien n’a été caché.
Je le réaffirme, tuer un enfant, tuer un homme, provoque la même conséquence que de tuer une femme : la mort de la personne !
Hiérarchiser les homicides, c’est du ségrégationnisme, un bon acte de discrimination, comme ils vous plaisent à l’ordinaire.
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@ Claude Luçon | 21 novembre 2019 à 21:53
Quel mot avez-vous pour désigner le meurtre d’un mâle, un individu possédant un pénis ?
Un pénicide, de la pénicilline, un masculinicide, un mâlicide ?
Il n’y a aucun mot pour nommer, du coup, qui est le cul-terreux quand il ne sait nommer ?!
Selon le dictionnaire étymologique de la langue latine, ‘homo’ vient de l’indo-européen ‘humus’, né de la terre, homme au sens général d’être humain, par opposition aux dieux d’ascendance céleste
Selon le Code pénal et son article 221-6, j’y vois écrit : autrui ; faut-il vous en donner la définition ?
‘Autrui’ n’a jamais exclu la femme !
A partir d’un certain moment, il convient de rappeler que l’État n’a pas « vocation à » (comme on dit dans la haute administration) faire la police dans les couples. Son rôle n’est pas de remplacer la famille, les parents, les amis, ni de mettre du plomb dans la tête de ceux (zécelles) qui n’en ont pas.
Si certaines ont été assez stupides pour se mettre à la colle avec des abrutis, c’est à elles d’en supporter les conséquences, passée la condamnation des délits. L’État n’est pas une môman de substitution, chargée de poupougner chacun des 67 millions d’individus peuplant notre beau pays.
Ou alors, il va falloir songer sérieusement à doubler ou tripler le prix de l’essence, et ce n’est pas ça que vous voulez, nous sommes bien d’accord ?
Parce que si l’on poursuit sur la voie consistant à prétendre que le « service public » doit s’occuper préventivement des femmes-pas-encore-battues-mais-on-ne-sait-jamais, alors je vais réclamer la création d’une douzième branche de la Sécurité sociale chargée d’exfiltrer les Français de souche des quartiers « vibrants » de « diversité », de leur procurer logement, nouvelle identité, emploi, assistance psychologique face aux insultes et exactions continuelles, de les doter d’un téléphone spécial « alerte face-de-craie », lequel déclenchera l’intervention immédiate de brigades de police spécialisées réparties sur tout le territoire, etc.
Et là, on va décupler le prix de l’essence, je vous le garantis.
@ Claude Luçon
« On ne rajeunira pas la France engluée dans la glaise chère à Michel Onfray sans rajeunir son mode d’expression ! »
Nos aïeux, qui étaient pour la plupart des paysans, ont tout de même réussi à faire de la civilisation française du XVIIIe siècle la plus brillante au monde car s’ils avaient les pieds sur Terre, ils avaient aussi pour beaucoup la tête dans le Ciel…
Bien entendu, la révolution de France a détruit tout cela, comme beaucoup d’autres choses.
Quant au langage, qui est notre bien commun y compris des plus pauvres et de « ceux qui ne sont rien », il n’est ni la propriété de techniciens en telle ou telle discipline ni celle des manipulateurs idéologues et si nous souhaitons pouvoir continuer de nous comprendre dans la langue française en évitant de tomber dans la babélisation, il est normal qu’il soit placé sous la sauvegarde de sages, à savoir les Académiciens.
Et cessons de croire que le « modernisme » soit nécessairement une qualité.
@ Robert Marchenoir
« Si certaines ont été assez stupides pour se mettre à la colle avec des abrutis, c’est à elles d’en supporter les conséquences, passée la condamnation des délits. »
Les choses ne se passent pas comme cela. Déjà, parce qu’un gosse ne choisit pas sa famille, et quand il finit dans une machine à laver… eh bien seul l’Etat est à même d’éviter cela.
D’autre part, si les gonzesses ne devaient choisir que des non-abrutis, la survie de l’espèce ne serait pas assurée. Ce factoïde implique de nécessaires considérations de politique publiques.
De plus, les gonzesses font pas mal d’effort pour sélectionner négativement les abrutis. Et certains abrutis s’en plaignent d’ailleurs de manière assez vocale.
Par ailleurs, certains deviennent des abrutis au cours même de leur relation conjugale. Il n’est donc pas techniquement légitime de tenir les gonzesses responsables de ce qu’elles ne peuvent pas prévoir.
Par ailleurs, encore, croire que l’Etat n’aurait ne serait-ce qu’un instant l’idée de se désengager de ce domaine psy, c’est profondément méconnaître l’histoire de la médecine. Si on pouvait déjà limiter le mal qu’il fait, ce ne serait déjà pas si mal.
« L’État n’est pas une môman de substitution, chargée de poupougner chacun des 67 millions d’individus peuplant notre beau pays. »
Quand on sait qu’une bonne partie des premières rencontres entre les femmes battues et le monde de l’assistance sociale ressemblent à cela, on peut se demander quelle est la pertinence des concepts de choix et de responsabilité personnelle dans ce domaine…
https://m.youtube.com/watch?v=aagRFjsf9ts
Incroyable !
Achille mais savez-vous d’où j’écris ?
J’explique car la vieille génération de maristes s’imagine toujours avoir inventé le fil à couper la margarine !
Savoir d’où écrit l’interlocuteur cad ne pas le prendre pour un ignorant ici par exemple, de la marche à suivre pour les femmes ou les hommes victimes de violences.
En fait, mon commentaire ne signifie rien puisqu’il a été amputé d’une partie faisant suite à « je pense que si »…
Donc « bonne nuit » dans le blog de l’extrême droite sociale.