J’anticipe : c’est vrai, c’est de la psychanalyse collective de bazar !
Je sais : c’est le point de vue d’un citoyen qui est agacé par des attitudes et des comportements qui en général laissent les autres citoyens indifférents.
Je confirme : nous votons pour un président de la République et on a le droit de s’estimer, sans doute pour une part minime, dépossédé de son choix quand derrière le paysage officiel il y a des coulisses même les plus touchantes du monde qui révèlent qu’ils sont deux à penser, à s’influencer, à sélectionner et à prendre parti (et je ne vais pas radoter sur Eric Dupond-Moretti !!).
Ce n’est pas d’aujourd’hui que je ressens cette impression de délaissement qui ne situe pas le couple Macron avec le peuple français mais ailleurs, à côté de lui. Il n’est pas un portrait intime du président ou de son épouse ou des deux ensemble qui n’ait pas mis en évidence, telle une donnée « non négociable » comme dirait Emmanuel Macron, le caractère fusionnel de leur complicité, de leur entente, non seulement acquis mais affiché, lancé tel un défi à la face d’un peuple demeuré plus ordinaire, clairement moins ostentatoire dans son bonheur ou au pire désespéré.
Aussi bien le livre de Gaël Tchakaloff « Tant qu’on est tous les deux » ou la récente et remarquable analyse de la personnalité de Brigitte Macron dans M le Magazine du Monde « L’influenceuse », confirment, pour qui se passionne pour la psychologie des êtres qu’ils soient modestes ou au sommet, qu’Emmanuel Macron et son épouse ont besoin de se vivre et d’exister dans une forteresse soyeuse et totalement rassurante parce que personne n’y entre et que peu ou prou, elle est délibérément conçue comme une distance, un éloignement.
Si mon analyse n’était pas la bonne, il y a des épisodes graves ou dérisoires, des réalités anodines, des indifférences, des hostilités, voire d’inadmissibles haines qui n’auraient pas vu le jour.
Par exemple la relative banalité de l’univers amical et artistique dont le couple raffole ne risquera jamais de porter atteinte au culte de cette solitude à deux. Celle-ci demeure intangible, telle une sorte de roc, quel que soit l’environnement. Pas de risque de contagion puisque le commun n’est pas son genre.
Par exemple la péripétie avortée dans la station de ski de La Mongie, en pleine crise des Gilets Jaunes ; comment aurait-elle pu être conçue si l’intuition républicaine n’avait pas été dominée par le caractère impérieux d’une obligation sentimentale d’un tout autre registre ?
Mais aussi la révolte de ces Gilets jaunes tournant si rapidement, si odieusement à la fureur contre un couple « royal » parce que à tort ou à raison celui-ci (et cela continue sur un monde toujours aussi éclatant mais plus paisible dans son septième ciel amoureux) non seulement ne regrette jamais l’impression qu’il donne de n’être pas concerné par le quotidien de la multitude mais semble au contraire s’en délecter: nous sommes seuls contre le reste du monde. Mais dans ce reste, il y a la France.
La terrible et éclairante effervescence des Gilets jaunes était aussi porteuse de beaucoup de dépit républicain. Puisque Emmanuel et Brigitte Macron battaient froid un certain peuple négligé parce que socialement invisible, on allait attirer leur attention sur lui.
Bien au-delà du dissentiment politique, cette singularité que je juge détestable, car induisant inévitablement, à partir d’elle, un narcissisme présidentiel et dramatiquement solitaire, est la raison principale de ma déception.
Comme si nous étions des laissés-pour-compte.
C’est à cause de cela que le président n’a jamais su ni voulu rassembler. Le seul rassemblement qui ait du sens, qui justifie sa vie, qui vaut la peine d’être porté à son comble chaque jour est celui qu’avec son épouse il crée, et tant pis pour les pisse-froid qui jugent une telle sentimentalité excessive et pour tout dire, aussi élégante qu’elle veuille apparaître, un peu vulgaire.
On pourrait me rétorquer que mon billet aurait pu concerner tous les couples présidentiels mais la réplique est trop aisée. Je n’évoque même pas les bruits de divorce, les multiples mariages, liaisons, infidélités, inconstances et virilités surjouées qui, à partir de Georges Pompidou, n’ont jamais pu inspirer aux citoyens la moindre jalousie. Ils avaient pu être de médiocres ou de bons présidents mais jamais aucun d’eux ne nous avait donné l’impression de nous oublier parce qu’il était trop heureux et que son couple pesait plus que tout le reste.
Et cette fidélité, qui est une force, vient ajouter à la conscience un peu condescendante et exagérée qu’Emmanuel et Brigitte Macron ont d’être uniques.
Et le peuple passera après.
Si celui-ci en est venu à se sentir abandonné par le couple Macron, si cette fusion sur tout et tout le temps lui fait mal parce qu’elle donne le sentiment de le rejeter, je ne crois pas qu’il faille lui donner totalement tort.
La campagne anti-Macron de Philippe Bilger prend de la hauteur. Le voilà qui se demande si le peuple français se sent abandonné par le couple Macron. Question fondamentale on en conviendra.
J’adore les gens qui prétendent parler au nom du « peuple » ou traduire ses interrogations, ses inquiétudes. Il faut avoir une haute estime du « peuple » pour l’imaginer se levant le matin en se posant la question : suis-je abandonné par le couple Macron ? Je pense que les citoyens, je n’ai rencontré que des citoyens, je n’ai jamais vu le « peuple », ont d’autres préoccupations à l’esprit.
Mais peut-être que l’auteur de ce billet projette sur le « peuple » ses propres fantasmes. On comprendrait alors le dépit qu’il éprouve à l’égard du Président.
Et M. Bern, dernier ami du couple, qui vient de quitter Paris dans une poubelle, comme tous les attentistes déçus par Madame Godot, Maire de la ville, mince…
Emmanuel Macron aurait-il transformé l’Élysée en palais à Amarna, nouvelle capitale d’Akhenaton, un pharaon qu’il incarnerait dans la clandestinité, seul le ministre des Affaires étrangères – portrait craché de Yul Brynner dans Les Dix commandements de DeMille, 1956 – semblant dans la confidence, avec Néfertiti, bien sûr, son épouse monogame ?
Il vient de perdre Hubert Germain avec lequel il noua une solide amitié digne de la chronique de Bayeux.
M. Macron connaissait de vive voix tout ce que la 13e Demi-Brigade de la Légion dut au savoir-faire de Susan Travers, derrière le volant du command-car qui avait extrait la compagnie tout entière, ou presque, de la mâchoire de crocodile du général Rommel, dans les sables nuiteux de Bir-Hakeim, sous les yeux de Pierre Kœnig assis à la place du mort ressuscité, raide amoureux, lui aussi.
Selon vous, la France ferait tapisserie, drame un peu élimé, qu’elle reste dans le récit ne serait déjà pas mal, drôle de trame ou pas.
Ne jamais perdre le fil dentaire de l’oralité.
Je crois que le souverain, bien mis de sa personne, Macron, est dans l’intimidation, non pas des scribes en pagnes jaunes, ni des militaires sur leurs chars à Rambouillet, ni des anti-sérum de cobra, ni des pharmaciennes, ni des pistards de Val-d’Isère, mais de l’Unique, son Dieu, celui de son vrai père en politique, François Amehnotep III, dit Mitterrandaton.
Comme s’il fallait doctement lui faire rendre gorge en public et pour les annales, les siècles des siècles, pour de rire, dans un simulacre élaboré, sachant faire peur, mais pas à fond.
Lui, a réussi sa mue sur le coup du premier lever de soleil, bien sûr, il aurait pu faire comme papa, multiplier les conjoints, se jeter comme sur du bon pain sur cette grande sauterelle de plaie du Louvre, la belle blonde de Paris Match au cartouche de nom néo-russe, gravable dans la pierre, aussitôt effaçable à la lime en carton, mais ça sentait trop à plein nez le transfert commun à beaucoup de psychanalyses contemporaines un peu rustiques, de celles que vous fuyez, banales.
Buckingham Palace va bientôt fermer, lui aussi. Peut-être une place qu’il pourrait combler, l’espace d’un spasme, pour donner du temps au temps anglais.
Pourquoi le peuple français en pinça-t-il autant pour le germanolâtre Édouard VIII en 36 ?
La jouissance cachée d’un pouvoir gâché sur le champ de l’amour, en plein jour.
Faites passer le kleenex, lady Bridget.
Naughty prince Philippe.
Macron abandonne peu à peu la chose publique, la res publica. La chose du peuple constituée de tous les citoyens, de tout le peuple. Macron se rapproche de l’Europe et s’éloigne des Français. Il a changé la couleur bleue du drapeau français en choisissant un bleu plus proche de celui de l’Union européenne. En catimini, dans le secret des bureaux fermés du palais de l’Elysée, le symbole international de la France a été modifié sans que les citoyens qui constituent le peuple ne soient informés.
@ Marc Ghinsberg | 15 novembre 2021 à 00:39
Je n’aurais pas mieux dit.
Ainsi donc le peuple français se sentirait abandonné par le couple Macron. Le pauvre bichon !
On sent vraiment que notre hôte traverse une crise existentielle et qu’il la reporte sur « le peuple français » !
C’est sans doute cela le spleen du Gilet jaune. 🙂
« Comme si nous étions laissés-pour-compte. » (PB)
Je me demandais aussi pourquoi depuis quelque temps, je ne me sentais pas très bien…
Me retrouver dans le même état de désespérance que vous me rassure quelque peu…
Le bonheur fusionnel de ce couple est insupportable !
Billet d’une pauvreté affligeante… Je ne pensais pas lire Voici ou autre journal à ragots en allant sur ce blog. Désolé de vous écrire cela.
Bonjour Philippe,
Je me fiche du couple Macron. Qu’elle ait ou non une influence sur ce qu’il fait… ou pas, en tant que président, n’a d’importance que si, comme moi, on apprécie peu, doux euphémisme, et son action et son comportement.
Je les verrais bien jouer à la maîtresse.
Brigitte : Manu tu n’as pas été sage aujourd’hui, tu as oublié une petite phrase méprisante envers les sujets de notre pays.
Manu : oh maikresse zai oublié, ze mérite une petite fessée déculottée.
Vous parlez pour ceux qui s’emballent, ont un comportement de fan. Si ce n’est pas le cas il ne peut y avoir ce rapport affectif à un représentant de l’Etat, quel qu’il soit.
Les Français sont toujours dans cette idée d’homme providentiel, dans un rapport enamouré à celui qu’ils pensent devoir les représenter. Pas de différence entre les supporters abrutis de Jean-Cul Méchancon et ceux de Zemmour. L’adoration de l’Homme providentiel qui va sauver not’bon pays.
C’est d’un ridicule consommé.
Il en va de même pour Emmanuel « Kadyrov » Macron. Le nombre de sous-neuronaux que j’ai entendu dire en 2017 : il est jeune, ça va changer, comme motivation de leur vote, ne se compte plus. L’admiration. D’où le dépit.
Excepté ceux qui y trouvent leur compte, retraités aisés, bobos parigots têtes de veau, banquiers et autres zommes daffères.
Vous m’objecterez, à raison, que son programme tenant sur un timbre-poste il était difficile pour le populo de faire un choix motivé par autre chose que le sentiment de. Pour ceux du sérail, la certitude d’en profiter suffit.
Ce qui me questionne vous concernant, est ce que vous pensez être la France et ce qui doit en être aimé ?
On peut en apprécier les Hommes qui en ont fait l’Histoire, Pétain et sa génération, Clovis, Jeââânneu au secours, la gastronomie, du potjevleesch à la piperade en passant par le Kounia manm… pardon, le kouign-amann et surtout le salers et tous ces bons vins, les paysages, les ambiances de troquets de village…
Parce qu’il me semble, ce n’est peut-être qu’une impression, qu’avec l’âge, respect, vous êtes plus dans la contemption de ce qui vous disconvient que dans la proclamation de ce que vous aimez ?
Votre côté procureur qui refait surface sans doute.
Trêve de bavardages inutiles, le Manu, c’est un pur gandin qui pense avoir été élu par le peuple. Erreur fatale, sur l’ensemble du corps électoral il a recueilli au premier tour 18 % des voix, pas les 24 du corps de votants.
Sur ces 8 millions de crétins 7 999 999 ont voté sans savoir, comme ça, pour voir. Il n’avait aucun programme.
Il lui revient, s’il est fin, ce qu’il n’est pas, de le prendre en considération, et, s’il était démocrate, ce qu’il n’est pas, de discuter, négocier, pas faire semblant. Puis seulement faire des choix.
D’où le décalage.
Vérification de l’influence de son histoire personnelle sur la personnalité de Macron et sur son inclination spontanée à un individualisme libéral-libertaire : son objurgation répétitive, devant des étudiants africains, américains, indiens (pas en France) : « N’obéissez à aucune règle ».
@ Marc Ghinsberg | 15 novembre 2021 à 00:39
« Je pense que les citoyens, je n’ai rencontré que des citoyens, je n’ai jamais vu le « peuple », ont d’autres préoccupations à l’esprit. »
Vous voulez que je vous le présente ?
Sommes-nous sûrs que dans le cas de figure actuel (comme dans quelques autres antérieurs d’ailleurs), le vrai président imposant certains thèmes, surtout dans le domaine sociétal, n’est pas la « présidente » ?
Je ne sais pas si je fais partie du peuple, mais je me fiche du couple Macron comme de ma première paire de chaussettes.
Le billet de PB ne tient pas compte de l’extrême individualisme de notre société tout juste équilibré par l’idée d’appartenance à une nation qui s’incarne parfois dans des dirigeants ayant une colonne vertébrale ou qui ont payé de leur personne pour que notre pays ne soit pas une serpillère pour le reste du monde.
Tel n’est pas le cas aujourd’hui où un ancien président a fermé les yeux sur l’afflux de « migrants » qui constituaient une menace pour la France !
Ils ont dû aller chez Tati ou au Marché Saint-Pierre.
« Madame » a changé les tentures qui sentaient le tabac froid et « Monsieur » le bleu du drapeau.
Le peuple va apprécier, c’est sûr.
Il va falloir que ces deux architectes d’intérieur dégagent fissa.
« Il n’est pas un portrait intime du président ou de son épouse ou des deux ensemble qui n’ait pas mis en évidence, telle une donnée « non négociable » comme dirait Emmanuel Macron, le caractère fusionnel de leur complicité, de leur entente, non seulement acquis mais affiché, lancé tel un défi à la face d’un peuple demeuré plus ordinaire, clairement moins ostentatoire dans son bonheur ou au pire désespéré. »
On regrette le temps où à peine désigné président de la République, Cécilia quittait Nicolas Sarkozy pour rejoindre son amant. Ou encore lorsque Valérie Trierweiler balançait la vaisselle, propriété de l’État, à la tête de François Hollande et ne parlons même pas des infidélités de François Mitterrand ou de Jacques Chirac que la presse people faisait semblant d’ignorer mais qui faisaient les gorges chaudes des gens bien informés.
Ainsi donc, un couple présidentiel devrait cacher sa belle entente au peuple car c’est indécent d’exposer son bonheur, sa complicité avec son épouse quand on est président de la République?
Je veux bien admettre que, depuis quelque temps, règne un climat détestable, soigneusement entretenu par certains média pisse-vinaigre, mais franchement, Philippe Bilger, croyez-vous vraiment que le peuple est aigri au point d’en arriver à considérer que le président et son épouse le méprisent car ils sont heureux ?
À force de fréquenter des gens qui vous disent du matin au soir, sur CNews ou ailleurs, que les gens sont malheureux, vous êtes en train de faire une grosse déprime. Ressaisissez-vous où alors changez vos fréquentations.
Vous avez une épouse charmante et attentionnée, vos enfants ont tous une bonne situation, vous avez votre rond de serviette dans tous les médias en vogue. Bref, vous avez tout pour être heureux, alors profitez de votre vie et sans vous apitoyer sur la misère du monde. De toute façon vous ne pourrez pas le changer. Beaucoup ont essayé avant vous, en vain !
« Mon billet aurait pu concerner tous les couples présidentiels »
Pas seulement, car le mal vient de plus loin. Les relations conjugales que vous évoquez, et qui sont notoires, ont été récemment résumées par un hebdomadaire sérieux :
« Les ministres laissent entendre que son avis compte, qu’elle est coéquipière et première conseillère du président. Il lui arrive de participer à des dîners politiques, entre grands barons, où elle écoute beaucoup et ne parle que si elle est sollicitée. Un avis clair, toujours direct, évidemment précieux dans cet univers vicié par la courtisanerie. Et qui fait parfois fléchir la décision présidentielle : Gérard Collomb, l’ancien ministre de l’Intérieur, en a fait l’expérience : « On voyait que le point de vue d’Emmanuel pouvait évoluer entre deux rendez-vous. Et on se disait, tiens, Brigitte est passée par là… »
À l’Élysée, Brigitte Macron n’est jamais bien loin du président ».
En était-il de même jadis ? Assurément, si l’on en croit la chronique :
« Les suites, les succès de Madame de Maintenon, l’entière confiance, la rare dépendance, la toute-puissance, l’adoration publique, universelle, les ministres, les généraux d’armée, la famille royale la plus proche, tout en un mot à ses pieds; tout bon et tout bien par elle, tout réprouvé sans elle; les hommes, les affaires, les choses, les choix, les justices, les grâces, la religion, tout sans exception en sa main, et le roi et l’État ses victimes; quelle elle fut, cette fée incroyable, et comment elle gouverna sans lacune, sans obstacle, sans nuage le plus léger ; c’est l’incomparable spectacle qu’il s’agit de se retracer ».
Il est certain que les journalistes du Point sont plus prudents que ne l’était Saint-Simon. Il faut dire que ce dernier avait l’avantage d’être duc et pair, et surtout de publier à titre posthume… Ira principis mors est.
@ hameau dans les nuages (@ Marc Ghinsberg)
« Je pense que les citoyens, je n’ai rencontré que des citoyens, je n’ai jamais vu le « peuple », ont d’autres préoccupations à l’esprit. » (MG)
« Vous voulez que je vous le présente ? »
—-
Avec plaisir ! Le problème, c’est que « votre peuple » ne sera certainement pas le même que le nôtre…
Le peuple ! Cette entité évanescente et fantasmée au nom de laquelle on peut se permettre de dire n’importe quoi et de se livrer à toutes les exactions.
J’aime bien la comparaison avec Akhenaton. C’est vrai que Macron a voulu donner un grand coup de pied dans la fourmilière des partis politiques français. Et il a réussi.
Quant au couple « fusionnel » qu’il forme avec son épouse, c’est à la fois sa force et son échec. Sa force parce qu’il a une confiance totale en elle, l’assurant de sa loyauté sans faille. En politique c’est extrêmement rare. D’autant que lui-même a largement trahi son prédécesseur. La complicité de Brizitte avec Mimi Marchand a assuré la publicité d’un grand amour affiché sans vergogne sur les couvertures sans cesse renouvelées de Paris Match, Voici et autres magazines populaires.
C’est également son échec parce qu’elle l’a « enfermé » à Paris pendant son parcours vers la réussite : Sciences Po, ENA, l’Elysée, la banque Rothschild et enfin l’élection présidentielle. C’est ainsi que les Français ont élu un homme qui ne connaissait ni la France ni le peuple français. D’où son incompréhension totale de la révolte des Gilets jaunes, des « gueux » dressés contre leur couple quasi royal.
Je me souviens qu’à peine son mari élu, on avait demandé à Madame s’il comptait se représenter en 2022. Ce à quoi elle avait répondu : Oh non, j’aurai 70 ans !
Souvent femme varie…
@ Marc Ghinsberg
« Je pense que les citoyens, je n’ai rencontré que des citoyens, je n’ai jamais vu le « peuple », ont d’autres préoccupations à l’esprit. »
Citoyens…
Quel horrible mot, faisant immanquablement penser aux ignobles coupeurs de têtes qui en raffolaient…
Au fait, les enfants ayant le bonheur de ne pas être encore désignés par ce triste sobriquet sont-ils donc selon vous indignes d’être considérés comme des enfants de la France et de sa civilisation plus que millénaire ?
@ hameau dans les nuages | 15 novembre 2021 à 09:42
Excellent !
Dans un pays qui compte 10 000 000 de citoyens qui vivent sous le seuil de pauvreté, déjà comme référentiel du peuple, celui de la Révolution, ce n’est pas mal.
J’ai bu du petit lait hier au soir, j’ai écouté Louis Gallois, j’étais avec lui (par l’écoute) pour les propositions, écrire, lire, compter… Les métiers industriels, je l’ai pris au sens large, tout ce que sont les métiers « manuels » est à reconstruire, l’industrie est un ascenseur social extraordinaire, dans tous les métiers de production.
Il m’est arrivé de l’écrire ici, avec les opérations de base un gamin un peu dégourdi serait capable de construire la Tour Eiffel.
Il ne faut pas se tromper non plus, il a dit que nous avions perdu du savoir-faire sur le nucléaire, et qu’il était temps de le remettre en route, et créer des alliances avec l’Italie industrielle encore – je peux en témoigner – et l’Espagne pour ses usines – je peux en témoigner aussi -, qui devraient être des partenaires essentiels.
L’Allemagne a un trésor de guerre tous les ans avec ses exportations, les bagnoles et les machines, seuls les Italiens rivalisent avec leurs voitures – je peux en témoigner aussi -qui se vendent comme des petits pains à des prix stratosphériques, et une industrie de PME florissante, industriels dans l’âme mais méconnus.
L’Allemagne a fait son choix, elle s’adossera toujours aux USA et ménagera les nouveaux riches chinois et russes.
Vingt ans encore pour reconstruire une industrie compétitive, j’ai bien dit compétitive, pas pour fabriquer des masques sanitaires.
Pour vendre cher il faut être les meilleurs.
Stupéfaction ! Macron a changé le bleu de notre drapeau. Et dire qu’il y en a qui prétendent que nous ne sommes pas gouvernés.
Voilà bien une exception culturelle française que d’accorder une importance politique non négligeable à l’épouse du Président ! « Accorder » dans le sens de « tenir pour vrai » tout autant que dans celui de « consentir ».
Avant la Ve République, l’épouse du Président n’était pas « Première Dame » et vaquait à ses occupations sans presque jamais une meute de photographes à ses trousses. Mais la nouvelle Constitution, en instituant un régime quasiment présidentiel, a changé la donne. Au fil des septennats et des quinquennats, le « couple présidentiel » s’est installé à l’Elysée… Et les Français, éternels royalistes depuis l’exécution de Louis XIV, ont laissé faire, sans se poser la moindre question.
Le Général n’avait nullement imaginé cette conséquence tant Tante Yvonne était le modèle de l’épouse semblant effacée, toujours discrète et silencieuse. Influente dans l’intimité ? Certainement, mais nul ne saura jamais à quel degré. Dès son départ, l’épouse du Président a changé de statut public. Elle est apparue dans la lumière, l’une lissant la stature d’un président trop intellectuel, l’autre construisant l’image d’Epinal d’un couple uni (déjà…). Puis vinrent les épouses « politiques », qui agissaient au grand jour, l’une plus virulente, et plus sincère, que son mari, l’autre licenciant des conseillers trop influents.
L’histoire de l’étape suivante – Sarkozy, Hollande – relève tout autant des colonnes de la presse politique que de celles de Gala ou Closer. Au final, les péripéties plus ou moins croustillantes de leurs amours et de leurs ruptures, somme toute banales, ont contribué à endommager le piédestal – le trône ? – sur lequel, depuis toujours, les Français plaçaient leur Guide.
La verticalité du pouvoir voulue par Macron aurait probablement pu quelque peu restaurer à elle seule l’édifice si lui-même, dès son arrivée à l’Elysée, n’avait pas voulu institutionnaliser le rôle de la Première Dame. Une première certes précautionneuse, mais qui, néanmoins, a mis au grand jour une pratique jusqu’alors informelle. C’était à coup sûr inciter les observateurs à disséquer la nature exacte des relations entre le Président et son épouse, et ce sous tous les angles, y compris privés.
Le terrain était d’autant plus propice à ces investigations que le couple n’est pas ordinaire : différence d’âge rare en ce sens, idylle née entre prof et élève, amour fusionnel ostentatoire, amitiés parfois encombrantes… Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que la presse people se passionne. Rien d’étonnant non plus à ce que l’on s’interroge sur la capacité du Président à s’extraire de ce huis-clos. Ce à quoi, apparemment – et ses propres déclarations en font foi de temps à autre – il ne parvient pas.
Alors, pour ma part, je ne m’interroge pas sur le sentiment d’abandon ou, en quelque sorte, la jalousie qu’éprouverait le peuple à l’encontre de celle qui lui « vole » son Président. Mais sur l’entorse à la démocratie que représente ce statut hors normes de Brigitte Macron. Elle n’est pas élue, pas nommée, mais est plus puissante que les ministres, les nomme parfois, au risque non seulement de l’erreur de choix, mais surtout de l’autorité du chef de l’Etat, qui, pourtant, ne doit subir aucune contrainte… visible.
Que faire ? Accepter cette situation et en jouer en courtisant l’épouse pour atteindre le mari ? Ou éloigner le plus possible l’épouse des centres de décision en la confinant dans un rôle de maîtresse de maison muette s’occupant des bonnes œuvres et de l’intendance du Palais ? Le second choix est irréaliste, le premier n’est pas démocratiquement correct… Il n’y a pas de troisième voie sauf à admettre officiellement la notion de « couple royal ». Elle plaît déjà, semble-t-il, à une majorité d’entre nous, citoyens républicains…
Il est vraiment temps de supprimer l’élection du président de la République au suffrage universel. Cette personnalisation maniaque du pouvoir commence à prendre un tour malsain.
Un homme subit l’influence de son épouse : grande découverte ! Un homme de pouvoir s’appuie sur sa femme, sans laquelle il n’aurait pas eu la force de tracer son chemin : ça n’est jamais arrivé ! Aucun dirigeant politique, aucun chef d’entreprise n’a jamais connu telle situation !
Le jour où les Français considéreront leurs hommes politiques comme des responsables ordinaires, et non comme des dieux vivants chargés de pouvoirs magiques, on aura fait un grand pas.
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@ guzet | 15 novembre 2021 à 09:05
« […] L’inclination spontanée [de Macron] à un individualisme libéral-libertaire : son objurgation répétitive, devant des étudiants africains, américains, indiens (pas en France) : ‘N’obéissez à aucune règle’. »
Oui. Il a raison. Vous ne pouvez pas comprendre.
Engoncé que vous êtes dans votre franchouillardise de gâteux chauvin à l’esprit fonctionnaire, vous ne comprenez pas le contexte de cette déclaration, qui est une banalité pour quiconque connaît un tant soit peu l’univers de la création d’entreprise. Et celui de la jeunesse, qui semble pour vous un lointain souvenir.
C’est une banalité de dire, à des étudiants que l’on espère brillants dans des universités d’élite, qu’ils doivent avoir le courage de prendre des risques, d’inventer des choses nouvelles et de penser hors des sentiers battus.
Figurez-vous que c’est ainsi qu’on fait de grandes choses. Pas en cochant les cases dans le formulaire Cerfa numéro machin. Et en bramant de Gôl, de Gôl, de Gôl.
Si l’on veut que la France devienne à nouveau une « puissance », ainsi que je l’ai entendu dire par la brochette d’ahuris qui nous servent de candidats LR à la candidature, il va bien falloir suivre l’objurgation de briser les règles en vigueur.
Vous êtes trop ignorant pour connaître la filiation historique de cette déclaration. En incitant des jeunes au seuil de leur vie à penser différemment et à suivre leur voie, il fait manifestement allusion au célèbre discours de Steve Jobs devant les étudiants de l’université de Stanford, en 2005.
Le fondateur d’Apple, l’une des plus entreprises les plus innovantes du monde, avait six ans à vivre lorsqu’il expliqua, à ces jeunes dont un certain nombre créeront sans doute les Apple de demain, comment lui, abandonné par sa mère à sa naissance, renvoyé de l’université, marchant dix kilomètres pour obtenir, grâce à une organisation de charité, son seul repas correct de la semaine, mis à la porte de l’entreprise qu’il avait fondée, diagnostiqué avec un cancer mortel — comment lui, donc, est devenu Steve Jobs.
Il leur dit : « C’est en ayant toujours en tête ma mort prochaine que j’ai pu trouver la force de faire les choix les plus importants qui ont guidé ma vie. […] Votre temps ici-bas est limité. Ne le perdez pas à vivre la vie de quelqu’un d’autre. Ne vous laissez piéger par aucun dogme — votre vie serait esclave du fruit de la pensée des autres. Ne laissez pas le ronronnement de l’opinion d’autrui étouffer votre voix intérieure. »
« Et surtout, ayez le courage de suivre votre cœur et vos intuitions. C’est en eux que vous trouverez l’homme que vous voulez devenir. Tout le reste est secondaire. »
Voilà les pas dans lesquels s’inscrivait Emmanuel Macron en s’adressant aux étudiants de je ne sais quelle université étrangère.
Mais un propagandiste pervers et obscur les a détournés pour leur faire dire tout autre chose, que vous n’avez même pas le courage de mettre noir sur blanc : Macron aurait encouragé des hordes de nègres et de bronzés à venir en France en violation des lois sur l’immigration, afin de se livrer à la délinquance.
Vous sortez des phrases de leur contexte pour les interpréter dans le sens le plus vicieux possible. Vous répétez ce que des millions d’imbéciles et de calomniateurs ont insinué avant vous.
Contrairement à ce que vous prétendez, Macron a aussi tenu ce discours à des étudiants français. On le lui a assez reproché, d’ailleurs. C’était le sens de la fameuse adresse sur « les gens dans les gares qui ne sont rien », autre opération de désinformation communiste consistant à faire dire à Macron l’exact contraire de ce qu’il a dit.
Je suis un adversaire résolu de l’anti-libéral Emmanuel Macron, mais je commence à en avoir plein le dos des paresseux, des pervers et des médiocres qui, incapables du courage nécessaire pour réformer la France, travestissent ainsi les propos de celui qui s’emploie, au moins, à insuffler l’esprit d’initiative et de création aux générations montantes.
En face de lui, la sombre racaille gaullo-communiste pleurniche sur « nos fleurons industriels » qui ont été « bradés » aux Américains, et réclame, vautrée sur son canapé, « les avantages pour lesquels nos ancêtres se sont battus ».
Parce que bien sûr, la France a des « fleurons », elle est née avec, ça lui appartient. S’il a fallu les vendre, ce n’est pas du tout à cause de la CGT et de la Sécurité sociale, c’est parce qu’ils appartiennent au chef de la France et que donc il en fait ce qu’il veut.
Et d’ailleurs il les « brade », il y a un « juste prix » pour nos « fleurons », il est marqué dans le grand livre communiste tenu par les mecs qui sont dans leur canapé, et Macron, il a vendu au-dessous. Pour se mettre l’argent dans la poche, ce qui me laisse perplexe : si ça va dans sa poche, il aurait vendu au-dessus du prix, non ?
Quant aux droits Jacky, c’est un truc qu’on nous doit, il est hors de question de bosser pour.
Il semble échapper à ces sombres abrutis que s’il y eut, un jour, des « fleurons » en France, c’est que des types ont fait ce que préconisent Steve Jobs et Macron : prendre des risques, briser les règles.
Et que si l’on veut créer les « fleurons » de demain, seule façon de générer le fameux « pouvoir d’achat » (qui ne se « restitue » pas, mais se crée), il va bien falloir que des hommes brillants et courageux suivent les conseils des innovateurs libéraux, et non ceux des rentiers étatistes.
Les hommes qui ont créé l’industrie aéronautique et automobile française, au début du XXe siècle, les Farman, les Blériot, les Latécoère, les Panhard, les Michelin, les Renault, ils suivaient les règles de vie de Steve Jobs et d’Emmanuel Macron. Pas celles des guzet.
Ils ne nous aiment pas les politiques, une fois élus ils vont faire ce qu’ils font toujours, mentir, se renier, finasser.
Elle m’a fait pleurer de rire Valérie Pécresse qui montait dans les tours – extrait d’une vidéo -, c’est une bourgeoise, une grande bourgeoise de la politique, la cuillère en argent dans la bouche, les tentures soyeuses des bureaux auxquels elle a toujours été biberonnée.
Les citoyens, au moins ceux qui votent, le font de plus en plus par défaut, parce qu’ils ont peur du changement, les autres 70 % des inscrits s’en tamponnent doucement le coquillard, on peut les comprendre, toujours cocus, les engagements pris foulés aux pieds dès qu’ils passent le perron du Château.
Valérie Pécresse aussi crédible que mon chat devant sa gelée de poisson aux petits légumes. Quand je lui indique que c’est pour plus tard… Je n’ai pas fini de tourner le dos qu’il a tout avalé.
Elle en a toujours vécu, et nous le peuple, celui de Saint-Just, nous en mourrons. Comme Hidalgo, le périphérique est leur frontière, c’est leur mappemonde, le pays n’a pas besoin de ces inutiles.
Il paraît que depuis des décennies nous empruntons chaque fois le mauvais chemin dès que surgit un embranchement qui nous menait vers l’excellence industrielle.
Nous sommes majeurs dans certains secteurs encore, parce que les capitaines qui étaient à la barre étaient des marins hauturiers, pas navigateurs pour pédalos ou coquilles de noix.
Même Giscard que certains encensent a fait rire toute la communauté dont nous faisions partie, se faire entourlouper comme un gogo par un vendeur d’avions renifleurs, il fallait le faire ! Un polytechnicien ! Et dire qu’il nous a gouvernés, une taupe aurait fait aussi bien que lui, les talents ne manquent pas, mais il est difficile d’exister en dehors des partis.
Vivement samedi !… Là au moins personne ne trichera, les Blacks sont chauds-bouillants, éreintés par des Irlandais en colère, ils vont nous affronter avec les premiers fusils, pas question de se défiler comme ces gonfleurs d’hélices de la politique.
Abandonnés par le couple Macron ? Mais nous ne sommes pas des enfants !
Nous n’attendons rien de Madame Macron, qui n’est que l’épouse du président. Elle n’est pas élue et n’exerce aucune fonction.
Nous attendons, vainement pour ma part, que Monsieur Macron travaille pour la France. Pour l’instant, il ne travaille que pour lui.
Je conseillerai à ce couple au sourire Gibbs de participer plutôt à ces feuilletons photos des magazines de l’actualité heureuse tels les populaires « Nous deux » et « Point de vue » qui ont bercé les couples normaux de l’époque, blancs de souche, hétéros, quand la France était encore une belle nation pas encore déflorée comme on peut le voir aujourd’hui par d’autres populations ayant pour but de venir y pratiquer une épuration ethnique en vue de notre grand remplacement.
Couple double face :
Tantôt Louis XVI – Marie-Antoinette entourés de leurs précieuses ridicules lèche-babouches LREM.
Tantôt Néron avec son zèle machiavélique à incendier le pays et détruire son peuple de souche pour en faire une communauté Wok LGBT hybride fantasmée mix arabo-africain, option « tablettes de chocolat », le dessert préféré de môôôsieu.
Parfois aussi, ce couple me rappelle celui des Ceaucescu, je ne sais pas pourquoi mais ils me paraissent souvent très abattus.
Il faut quand même saluer la performance de notre Macroneron malgré ce crime d’Etat qui se déroule sous nos yeux, une très grande proportion de citoyens, hormis ceux de l’incurable islamogauchisserie, leurrés cocufiés soumis, sont prêts à revoter pour leur bourreau.
Syndrome de Stockholm, padamalgamisme vivrensembliste islamogauchiste aidant, tous ces collabos, tous de gauche et droites chochottes traîtres à la France, ont préféré adopter la position couchée aux pieds de leurs remplaçants arabo-africains les premiers à s’étonner de l’absence de résistance de ce pays où on rentre comme dans du beurre, aux CAF, allocs et aides les plus généreuses de notre système solaire.
Pays connu aussi pour être le plus grand donneur de leçons au monde entier, torse bombé, coups de menton héroïques tel le coq sur le fumier, qui détale, trouille au croupion, au moindre claquement de doigt et qui clame, une fois bien à l’abri du danger, le célébrissime topissime slogan des lâches pleutres trouillards :
« Vous n’aurez pas ma haine ! »
Fermez le ban !
Ce peuple alité et perfusé en coma dépassé mérite son sort funeste, il en est même demandeur, notre président peut aller à la pêche le jour du vote, sa victoire est acquise haut la main, les pieds dans les poches et les doigts dans le nez.
Terrible scène choquante l’autre jour lors des funérailles du dernier héros de la guerre :
Celle du destructeur de la France qui « rend hommage » en se penchant sur le cercueil de ce grand soldat qui s´est battu pour défendre sa France :
Une fable : Le traître et le héros
J’ai pensé à la prochaine affiche d’un remake du film : « J’irai cracher sur vos tombes ».
Bon j´arrête de faire mon Zemmour, le seul dernier héros qui sème la bonne parole face à tous ces traîtres devant le Bataclan.
Nuance : il aurait pu rajouter, toujours devant le Bataclan, concernant Hollande, que son successeur fera pire en épuration ethnique.
P.-S. 1: Encore lui, toujours lui, rien que lui ! La réponse contre les déclarations de Zemmour devant le Bataclan ne s’est pas fait attendre : émeutes et tirs de mortiers à Dreux, en Eure-et-Loir, la nuit dernière et… jours suivants… Zemmour taisez-vous !
P.-S. 2: Par cette nouvelle couleur bleue du drapeau, la même que celle du drapeau européen, encore une super provoc buzz contre cette France qu’il déteste, il confirme son engagement et sa soumission collaboration avec cette UE esclavagiste de migrants, un crime contre l’humanité tout à fait légal, des millions de futures victimes qui devront passer sous la faucheuse islamiste ; mais rien de grave pour la macronie, en ce moment sur CNews la porte-parole LREM Prisca Thévenot cautionne la politique de son gourou tout en attaquant Zemmour le seul responsable désigné d’office volontaire et bénévole coupable du climat de haine et de terreur qui règne sous le coupe de son mentor.
Vous verrez que bientôt il modifiera encore ces couleurs en apposant celles arc-en-ciel des LGBT pour faire plus progressiste woke BLM.
Tout va bien dans le meilleur de l’immonde.
@ Robert Marchenoir
« Les hommes qui ont créé l’industrie aéronautique et automobile française, au début du XXe siècle, les Farman, les Blériot, les Latécoère, les Panhard, les Michelin, les Renault, ils suivaient les règles de vie de Steve Jobs et d’Emmanuel Macron. Pas celles des guzet. »
Comparer Blériot, Steve Jobs et les autres avec Emmanuel Macron, qui est énarque, qui a été le conseiller économique puis le ministre de Hollande et qui n’a jamais rien créé de sa vie, je dois dire que je m’interroge. Je ne vois quasiment que des énarques autour de lui. Il n’a pas été capable de réduire un tant soit peu le nombre de fonctionnaires.
Il peut se donner un genre dans les discours mais dans les faits, il est un véritable technocrate entouré d’autres technocrates, Philippe puis Castex, Le Maire, ou bien de bras cassés genre Castaner, Griveaux.
Ne parlons même pas de ses qualités de chef : il ne sait pas s’entourer, déléguer, prendre de décision. Sa parole « complexe » ne vaut pas grand-chose.
Et tout ce qu’il trouve à faire pour se faire réélire, c’est de distribuer les promesses de dépenses « publiques » comme on dit pudiquement.
Pas de quoi être impressionné.
Je réserve mon admiration pour tous les autres que vous avez cités.
Gaël Tchakaloff « Tant qu’on est tous les deux »… Voilà un livre qui, semble-t-il, a bien du mal à se vendre, les élans amoureux de ce couple atypique ne semblent pas intéresser grand monde.
Toutefois, nous avons élu un Président et quel qu’il soit, s’il a un conjoint, ce dernier ou cette dernière, immanquablement a une influence.
Déjà nos rois subissaient l’influence de leur favorite du moment, souvent bien plus forte que celle de leurs conseillers ou de leurs ministres. Une influence mêlée aux sentiments, forcément, et comme l’homme a envie d’avoir la paix….
Même François Mitterrand pour avoir la paix dans ses foyers, laissait Danielle libre de défendre ses causes grâce à sa Fondation France Libertés, de déclarer ouvertement ses idées castristes et même de s’engager ouvertement sur l’affaire du voile à Creil, libre en général de soutenir ses positions gauchistes et communistes. C’était le prix à payer pour cacher sa double vie, et qui s’en plaignait ?
La seule façon de pallier cette forme de conseil masqué, serait de donner moins de pouvoir à un seul homme (ou femme), de changer le mode d’élection du président de la République au suffrage universel, de revoir nos institutions. Le pire étant d’avoir institué un mandat de 5 ans avec les législatives dans la foulée. Notre Président a gagné en pouvoir absolu.
Depuis 2017, Emmanuel Macron fait partie de ces chefs qui ne font confiance à personne de leur entourage et qui veulent tout superviser. Manque de confiance ou manque d’assurance. On a bien vu qu’il nommait souvent des ministres pour qu’ils ne lui fassent pas d’ombre, comme les députés LREM d’ailleurs. La seule personne en qui il ait confiance c’est Brigitte, à la fois mère et épouse.
Ayant lu un extrait de ce livre concernant ses relations avec Mme Noguès, sa mère, je ne crois pas du tout ce qui est écrit par GT, c’est une interview genre Paris Match ou même Voici. Car si les relations sont apaisées, on voit à l’oeil nu que chacun garde ses distances.
Ce Président aura été une vraie spécificité, il a suscité depuis 5 ans autant d’admiration béate que d’opposition et surtout de détestation. Malgré ou grâce à son caractère provocateur et arrogant, ses fans inconditionnels et zélateurs pensent qu’il est irremplaçable et méprisent tout ceux qui pourraient lui nuire, le plus curieux est qu’il a fidélisé à la fois la gauche avec ses réformes sociétales (les seules) et la droite parce qu’il claironne régulièrement ses idées libérales mondialistes sans pour autant les mettre en application.
Quant à son couple, si Brigitte Macron influe sur la politique en conseillant le choix de ministres ou en poussant à certaines actions, au moins elle a suffisamment d’intelligence et de discrétion pour ne pas se mettre en avant… c’est toujours ça.
Bonsoir Philippe,
Un peuple de braves, autre chose que les froggies
Ireland, Ireland
Together standing tall
Shoulder to shoulder
We’ll answer Ireland’s call
@ Robert Marchenoir | 15 novembre 2021 à 16:01
« les règles de vie de Steve Jobs et d’Emmanuel Macron »
Vous avez vraiment étudié les règles de vie de Steve Jobs et Emmanuel Macron ?
Rien, absolument rien ne les rapproche !
Et si le peuple français se sentait abandonné par Pascal Praud ?
Huuuuu…! Pensant aller regarder ce soir la préparation de l’équipe des Blacks contre la France, je suis tombé sur la chose la plus hallucinante, la plus déjantée, la plus pataphysique sans Boris Vian, la plus… J’en suis encore secoué, le prix Nobel de médecine est chez nous, le futur prix Nobel de médecine sera Pascal Praud, il est à nos portes et je l’ai découvert !
D’emblée, dès les premiers mots… Enfin je ne continue pas parce que je l’ai zappé après quelques minutes…
Que dire ?
Du grand Botul écrit à la sauce Praud, je me pensais chez un chiffonnier de la pensée, incroyable bric-à-brac de raisonnements, un grand moment de brocante et de toc, de sublime et de l’analyse. Du doigt mouillé pour un manchot.
Il alignait, je pense me souvenir tous les samedis, son fatras de vieilleries délabrées sur les trottoirs d’un pont, qui lui servait de vitrine, chiffonnier un métier aujourd’hui disparu. À la place Pascal Praud aujourd’hui a fait bonne figure, il a été à la hauteur de son prédécesseur pour nous expliquer tous les enjeux du vaccin.
C’était à n’y rien comprendre, si quelqu’un fait partie du Collège, le même que Queneau et Vian, alors il nous expliquera.
Un grand professeur d’épidémiologie est né ce soir, alléluia !
Des nouvelles du normalien raté ?
Un autre monde est possible : un monde ultra-libéral, sans immigration et chrétien. Ce monde existe en Pologne.
En 2020, la dépense publique s’élevait à 48,7 % du PIB dans ce pays, contre 61,6 % en France et 53,1 % dans l’Union européenne en moyenne (notons que ces chiffres sont plus élevés que d’habitude, en raison de la pandémie).
Résultat : lorsque le gouvernement annonce la décision, le 15 novembre, de construire un mur anti-immigrés de 180 kilomètres, à la frontière avec la Biélorussie (pas seulement une barrière de barbelés, comme actuellement), il annonce en même temps que les contrats seront signés avec les fournisseurs le 15 décembre, que les travaux commenceront le même mois, et qu’ils seront achevés au premier semestre de l’année prochaine. Coût : 353 millions de dollars.
Imaginez le temps qu’il aurait fallu en France pour une opération similaire ! En supposant qu’il existe la volonté politique d’y procéder, hein…
______
@ Claude Luçon | 15 novembre 2021 à 20:38
Je n’ai pas besoin « d’étudier » les règles de vie de Steve Jobs et celles d’Emmanuel Macron : je vous les ai retranscrites, dans leurs propres termes.
Évidemment que Macron n’est pas Steve Jobs. Ce n’est pas la question. La question est que des millions d’abrutis présentent comme odieuse une déclaration du Président qui est tout à fait digne d’éloges. La question est que les abrutis en question crachent sur Steve Jobs en déformant les propos de Macron.
Et qu’ils crachent sur les homologues français de Steve Jobs, qui existent.
@ Paul Pedech
« Des nouvelles du normalien raté ? »
Heureusement que ce sont des prix Nobel qui ironisent sur Jupiter, le normalien raté…
Et vous, ça va, les chevilles ?
La cinquième vague du Covid qui va anéantir l’humanité est là ! (Wilfrid Druais)
Ce qui fait que la Poste indonesienne suspend tout echange de courrier avec l’Europe, donc avec la France… peur que le personnel postal d’ici et la-bas contamine et se contamine…
Deja que les lettres entre la France (et autres pays eloignes) mettent quatre semaines pour voyager…
Et Internet qui ne peut me venir en aide…
Festival du Made in France : festival zemmourien.
Le sublissime Zemmour nous a offert un spectacle génial de mannequin essayiste de tous les modèles de vêtements exposés à cette foire.
Un grand moment de génie et d’humour, une belle provoc buzz envers la gauchisserie haineuse trop occupée sur d’autres chaînes à braire, beugler, mugir, rager, grogner, baver sur Zemmour, en vain, la star continuait à les défier avec son sourire inimitable.
Peu importe qu’il se présente ou pas aux élections, qu’il soit ou non élu, cet homme est un surdoué du buzz en plus d’être un électron libre impossible à museler, un bras d’honneur à tous les bien-pensants soumis couchés collabos islamogauchistes.
Perso j’aimerais mieux qu’il reste dans son rôle de lanceur d’alerte, d’éditorialiste, d’écrivain héros résistant au fascisme islamogauchiste woke LGBT progressiste que le voir finir comme carpette paillasson mondialiste à l’Elysée le bâtiment le plus honteux de ce pays dépotoir qu’est devenue la France.
Bonsoir Philippe,
L’idéologie se cache partout. Il y a même des crétins qui osent, par pure volonté d’encenser le babille de Manu « Kadyrov » Macron, des rapprochements que même le plus obtus thuriféraire n’oserait pas.
Steve Job, génial créateur, Apple, les plates-formes Next, lorsqu’il fut évincé de son entreprise, exceptionnelles machines…
Macron, né avec une cuillère d’argent dans la bouche, n’ayant rien fait d’autre de ses dix doigts que de se couler dans des costards d’apparatchiks, en partie grâce à sa succube.
Menteur patenté, prétendant avoir fait Normale sup alors qu’il a échoué à deux reprises, je précise pour les bonnets atrophiés que je me contrefiche des diplômes, c’est le mensonge qui n’est pas acceptable, prétendant avoir été proche de Paul Ricoeur, lire ou écouter Marc Endeweld sur ces sujets, trahissant tout et tous, même ses financeurs, dont il faudra regarder de près si conflit d’intérêt avec le groupe Pfizer…
Il faut être un sacré communiste pour oser des rapprochements pareils entre un apparatchik n’ayant jamais pris aucun risque et un génial créateur.
@ Robert Marchenoir (@ Claude Luçon)
« La question est que les abrutis en question crachent sur Steve Jobs en déformant les propos de Macron. Et qu’ils crachent sur les homologues français de Steve Jobs, qui existent. »
Puis-je dire sans cracher sur personne, que la comparaison entre Steve Jobs et Macron me paraît inadaptée.
La seule chose qui puisse rassembler les deux hommes dans leur biographie est d’être hors normes sociales, mais ce hors normes n’est pas de même nature.
Le hors normes de Steve Jobs est celui de l’intellectuel anglo-saxon dont la règle est le « thinking outside the box », penser hors de la boîte conformiste, ne pas suivre la pensée conventionnelle. Et il l’a prouvé par une conception d’objets de haute technologie, différents de la concurrence à la fois par l’ergonomie, l’efficacité et la beauté.
Cette pensée non conventionnelle est ensuite mise en application de façon conventionnelle, c’est à dire capitaliste à la mode US, et ça a marché.
Le hors normes de Macron ne se situe pas explicitement dans le domaine de la réflexion, ou du moins ce n’est pas ainsi qu’il l’a formulé, mais dans celui de l’action, de la vie sociale.
Il s’est donné en exemple de réussite sociale par une rupture des conventions qui régissaient la politique française. De ce point de vue, on peut effectivement le comparer à Bonaparte.
Je ne me souviens plus si c’est Wellington ou un autre grand politique anglais qui a dit, parlant de Napoléon, que le génie solitaire finissait toujours par échouer dans l’action, face au groupe uni et intelligemment dirigé sans l’être par un génie.
Le groupe versus le génie, et le génie perdrait toujours, c’est d’ailleurs la conception de la démocratie britannique, capable de renvoyer même Churchill dans ses foyers.
La proposition dans l’action de Macron d’un choix hors des sentiers battus, lui a réussi personnellement, il a été élu, mais dans la durée, à l’heure du bilan, on peut dire que celui-ci est faible.
Évidemment, on peut toujours arguer des Gilets jaunes,
dont il est entièrement responsable, du Covid à la gestion plutôt aléatoire et cocasse au début, avec l’histoire des masques inutiles puis indispensables, et autres errements. Et je ne parle pas de l’affaire Benalla, emblématique de l’obstination d’un génie à ne pas reconnaître les erreurs d’un courtisan.
En politique étrangère son bilan est faible également, le Liban, le Mali, et même l’UE dont il n’a pas pu ou su changer les règles qu’il méprise.
Bref, comparaison Steve Jobs et Macron n’est pas raison.
Puisque l’on parle de couple présidentiel, qui connaît les épouses, compagnes, ou encore les maris ou concubins des candidat(e)s à la présidence de la République ?
Apparemment MLP n’a plus de compagnon depuis sa séparation avec Louis Aliot. Donc pas de couple présidentiel en vue si elle venait à être élue.
Qui connaît l’épouse d’Éric Zemmour, Mylène Chichportich, avec qui il est marié depuis quarante ans ? À noter que le prénom est bien français mais le nom beaucoup moins.
Idem pour Xavier Bertrand, Éric Ciotti, Michel Barnier, Philippe Juvin et Valérie Pécresse, pour ne citer que les candidats susceptibles de se retrouver au second tour de la prochaine élection présidentielle.
Seraient-ils, ces messieurs-dames, en mesure de former un couple uni et malgré tout proche du peuple français ? Ce bon peuple qui a un peu trop tendance à tout attendre de l’État-providence… Encore une exception bien française !
@ sylvain | 16 novembre 2021 à 07:18
« Le sublissime Zemmour nous a offert un spectacle génial de mannequin essayiste de tous les modèles de vêtements exposés à cette foire. »
Éric Zemmour mannequin, il fallait y penser. On ne peut pas vraiment dire qu’il a les mensurations pour cela. Arnaud Montebourg, le champion du « made in France », à la rigueur.
Mais EZ peut toujours se lancer dans la carrière publicitaire, vu sa notoriété ça pourrait marcher.
Je le vois bien faire de la pub pour le camembert Président.
C’est le moment ou jamais ! 🙂
Encore une preuve flagrante que Zemmour a eu raison d’aller devant le Bataclan dénoncer l’attitude criminelle de Hollande.
Hollande président, Valls Premier ministre, Squarcini au Renseignement :
Terribles aveux du patron du Renseignement :
La Syrie alerte la France en lui proposant une liste de djihadistes français très dangereux opérationnelle…
Valls la refuse.
Un terroriste capturé par la France explique qu’il devait
attaquer le Bataclan…
Valls n’en a pas tenu compte.
Crime d’Etat par pure idéologie socialiste.
À noter l’hallucinante veulerie des associations des familles de victimes qui houspillent Zemmour et défendent leurs criminels, le monde à l’envers, il faudra s’y habituer, la gauche a toujours prôné l’inversion des valeurs citoyennes : l’excuse aux terroristes et le mépris des victimes.
Rassurons toutes les victimes soumises, le successeur de Hollande a déjà largement battu son score criminel contre son peuple.
@ Achille
Eh oui, Zemmour peut tout faire, même mannequin, plus besoin de mensurations idéales standard comme avant, les feminazies progressistes wok de la kancel kultür ont interdit ce racisme discriminatoire envers les rondes, les maigres, les naines, les mal ba*sées, les tue l’amour, les moches, les laides, les colorées noires grises marron aux nez épatés et aux lèvres ventouses gonflées botoxées, même une chèvre socialo pourrait se présenter c’est dire le nivellement par le bas de la bassesse du casting mannequinat.
Camembert président ? Je préférerais le voir sur les anciennes boîtes des camemberts « Le Moine » avec sa tonsure de moinillon il ferait führeur.
Mais c’est qu’il est raciste, stigmatisant et discriministe notre Achille, c’est pas bien vu ça dans le milieu islamogauchiste, reprenez-vous mon cher !
@ Tipaza | 16 novembre 2021 à 08:50
Steve Jobs et Emmanuel Macron ont ceci en commun que ce sont des personnages hors norme qui ont su rompre, chacun dans leur domaine respectif, avec la « pensée conventionnelle » ainsi que vous le faites remarquer.
Steve Jobs, tout comme Bill Gates, a réussi à rendre accessible l’informatique à monsieur et madame Tout le monde, ceci au nez et à la barbe d’IBM qui n’a rien vu venir.
Quant à Emmanuel Macron il a préféré quitter « le monde de la finance » tant méprisé par son prédécesseur et où il gagnait dix fois plus qu’un président de la République, pour se lancer dans la politique.
Il a cassé le logiciel gauche-droite qui avait grand besoin d’une remise à jour.
C’est cela la marque du génie et surtout de l’audace.
@ Achille | 16 novembre 2021 à 09:08
Je vois que les revues people font des ravages dans le landernau parisien.
« uni » ? Qu’est-ce que vous entendez par là ?
Moi personnellement par là je n’entends rien.
@ sylvain
« À noter l’hallucinante veulerie des associations des familles de victimes qui houspillent Zemmour et défendent leurs criminels (…) »
Peut-être faut-il voir là la résultante du travail de sape de tous ces individus qui, après un drame de ce genre, se jettent comme la misère sur le pauvre monde sur les victimes et sur leurs proches pour les conditionner en bridant leurs réactions humaines naturelles, afin de les conduire à répéter comme des perroquets : « vous n’aurez pas ma haine » et autres slogans stéréotypés afin d’éteindre en elles tout esprit instinctif de révolte.
Un exemple parmi d’autres de totalitarisme.
Une minorité ne se laisse pas faire, tel Patrick Jardin dont la fille a figuré parmi les victimes du Bataclan et qui a écrit le livre : « Pas devant les caméras ! ».
Après avoir lu votre billet, cher Philippe, je me sens désespéré…
Suis-je réellement abandonné par le couple Macron ? Allons, êtes-vous sage ?
Je me fiche comme de colin-tampon qu’Emmanuel vienne me raconter une histoire avant de dormir ou que Brigitte vienne me border !
Ou qu’il me manifeste de l’empathie, voire de la compassion. Qu’il les garde pour les anciens colonisés et les descendants d’esclaves !
Mais les Français sont ainsi… Ils attendent que le Président leur trouve du boulot, mais bien payé et pas trop fatigant, qu’il baisse leurs impôts et taxes, mais sans réduire les aides et services publics, qu’il soigne leurs Covid et leurs hémorroïdes, mais sans masques et sans contrainte, et qu’en plus, il les plaigne.
Les Français sont des veaux disait de Gaulle. Il était bien gentil le Général…
@ hameau dans les nuages | 16 novembre 2021 à 10:42
« « uni » ? Qu’est-ce que vous entendez par là ?
Moi personnellement par là je n’entends rien. »
C’est pourtant simple. Un couple uni est un couple qui s’aime, qui prend plaisir à partager ses joies et affronter ensemble ses peines.
Rien de plus. Vous êtes marié je présume, je ne devrais rien vous apprendre.
Petite digression mais qui mérite d’être éclairée sur René Dosière. Il avait été égratigné par le Volatile quand il était de la belle cantine de l’Assemblée. Je constate qu’il défend toujours sans doute avec beaucoup de nostalgie ce lieu de douce villégiature.
Hier il a expliqué, en résumé, que les budgets des deux Chambres représentaient une misère – j’ai failli pleurer -, ramené par tranche de 1 000 € au PIB. Il a même poussé le vice à l’éclater en sous-budgets et ainsi descendre sous la barre des 1 €… Mon chat en avait la larme à l’oeil.
Sauf que si l’on prend l’autre bout de la lorgnette, le budget des deux mastodontes représente 900 000 000 € ce qui n’es pas tout à fait la même sensation surtout pour celui qui a la paresse de transformer.
Dosière très patelin, Raminagrobis des comptes, dissimulait les chiffres luxuriants sous une présentation pour faire pleurer dans les chaumières. Il était tellement onctueux sur la misère supposée de ces budgets qu’il en a vendu sa salade de présentation devant des ratatinés du bulbe dont pas un ne lui a fait la remarque. Cercle vertueux de l’entre-soi détestable du journaliste animateur.
Deuxième aspect de cette soirée, René Dosière a présenté le nombre des parlementaires comme étant dans le ventre mou de l’Europe, ce n’est pas faux mais… Mais il y a toujours un mais si on ramène le nombre de nos élus français par habitant il est de 1 élu pour 104 contre 1 élu pour 529 habitants en Allemagne et même 1 élu pour 2603 habitants au Royaume-Uni !
René Dosière est un bien logé, bien nourri toute sa vie par la République, ce n’est pas maintenant qu’il va cracher dans la soupe.
Alors reprenons, si je tenais le même raisonnement que lui, j’enlève 1 % du budget des deux assemblées uniquement, avec cette modique somme on pourrait la diriger vers la vraie misère, pas celle des élus abrités sous les ombrages des palais nationaux:
https://www.fondation-nif.com/renovation-et-amenagement-dun-centre-hospitalier/
René Dosière un repu de la République, fonctionnaire à vie d’une institution qui l’a choyé un peu plus que les Gilets jaunes, 1% monsieur Dosière ce n’est rien du tout et ramené par tranche de 1 000 € du PIB cela n’existe plus.
Sacré Dosière, même pas le prix du verre de vin de la cantine !
Il m’a un peu agacé, ce profiteur malgré lui, à l’écouter les Assemblées seraient à la diète, presque.
@ Exilé | 16 novembre 2021 à 10:49
Je pense que la réaction des familles de victimes est surtout due au fait qu’Éric Zemmour a trouvé « respectable » le fait que des islamistes soient prêts à mourir pour leurs idées (j’aurais dit pour leurs délires), laissant entendre que si des innocents sont morts au Bataclan c’est parce qu’ils étaient au mauvais endroit au mauvais moment… Bref c’est la faute à « pas de chance ».
Je les comprends parfaitement !
J’ignorais que les Français avaient élu un couple…
Rappelons qu’en France, il n’existe pas de statut officiel de première dame.
« Seuls les États-Unis ont véritablement institutionnalisé cette fonction et promu l’expression «First Lady». Conformément aux valeurs familiales érigées en normes suprêmes aux États-Unis, le rôle d’épouse du président est incontournable. Ensemble, lui et sa femme représentent le «first couple». »
https://www.lefigaro.fr/politique/2017/08/07/01002-20170807ARTFIG00205-first-lady-un-statut-presque-officiel-aux-etats-unis.php
Cette manie de se regarder le nombril, d’étaler complaisamment sa « vie privée » (qui n’en est plus une depuis longtemps) tout en copiant servilement les Américains jusqu’à la surdose !
Du people et du m’as-tu-vu matin midi et soir dans tous les médias pour masquer les vrais problèmes. Être ou paraître that is the question ?
Stop !
@ Exilé
Bravo cher Exilé pour votre analyse sur ces familles de victimes formatées par la bien-pensance associative de gauche.
Pauvres victimes du Bataclan, obligées de réciter le catéchisme des associations islamogauchistes repentistes imposé par la gauche progressiste woke collabo islamomacronienne.
Répétez après moi chères victimes :
« Pas d’amalgame, vivre-ensemble, il faut tendre la main aux terroristes, les comprendre, aller vers eux, à leur rencontre, ne pas tomber dans le piège tendu par l’essetrêêêmeuh drouaaaaate, ne pas céder aux provocations fascistes lepénistes zemmouristes… Cépalislam, célepen, cézemmour… »
Voilà comment on formate des victimes auxquelles on ordonne de subir, de se coucher, de ne pas réagir contre leurs bourreaux grâce à cette idéologie sectaire criminelle gauchiste à laquelle ils obéissent, une association c’est de gauche, le camp du Bien, donc ces malheureux lobotomisés formatés par la propagande complice du crime islamiste doivent impérativement leur faire confiance.
Par peur de passer pour des fachos faisant le jeu de Zemmour, ils préfèrent abdiquer tout honneur, fierté, morale et compassion envers leurs familles massacrées au Bataclan.
Zemmour a très bien expliqué cette lâcheté et ces ignobles et odieuses attitudes des associations de famille de victimes.
Recopiez-moi cent fois : « vous n’aurez pas ma haine ».
@ Achille
« Je pense que la réaction des familles de victimes est surtout due au fait qu’Éric Zemmour a trouvé « respectable » le fait que des islamistes soient prêts à mourir pour leurs idées. »
E.Z. n’est pour rien dans l’affaire.
Ce scandale du formatage des réactions des victimes de crimes ou d’actes de terrorisme remonte à plus de vingt ans, bien avant toute intervention publique d’E.Z.
En gros, les victimes ou leurs proches sont chapitrés par des « cellules de soutien psychologique » afin de canaliser leurs réactions et leurs émotions naturelles vers une sorte de « surtout pas de vagues » apathique.
Un bon indicateur est le style de discours gnangnan stéréotypé d’une affaire sur l’autre qu’un de leurs représentants est chargé d’ânonner devant les caméras, ce qui prouve que ce sont des gens de l’extérieur qui l’imposent.
Il faut aussi savoir que des pressions voire des menaces peuvent parfois être exercées à l’encontre des récalcitrants, comme des chantages à l’indemnisation.
Patrick Jardin a aussi dû en subir de son côté.
Qui a intérêt à faire taire les victimes le plus tôt possible ?
Qui ?
Photo amusante, juste sous l’auguste nez de Brigitte une moustache semble se dessiner. Agrandissez la photo, c’est surprenant.
Après tout, Chaplin et Hitler avaient un point commun, tous deux portaient la moustache.
C’est ce que les Américains appellent « pencil thin mustache ». Un léger trait qui semble une moustache, d’où les séjours réguliers de Brigitte à l’hôpital américain de Neuilly.
https://www.youtube.com/watch?v=cXQS4S3vgGA
Ce couple, improbable, demeure une énigme. Ce ne sont pas les parents du président qui me démentiront. D’un naturel curieux, je l’ai déjà dit, je n’ai, pour une fois, aucune envie de savoir de quoi il retourne ni ce qui se passe dans leur chambre à coucher. Très probablement pas grand-chose. Il dort peu et trouve ailleurs, très amplement, de quoi s’occuper.
Au fait, au premier tour, je ne voterai pas pour lui. Au second tour, face à Le Pen ou Zemmour, oui. Sans penser un seul instant à elle.
@ Exilé | 16 novembre 2021 à 13:47
« EZ n’est pour rien dans l’affaire.
Ce scandale du formatage des réactions des victimes de crimes ou d’actes de terrorisme remonte à plus de vingt ans, bien avant toute intervention publique d’EZ »
J’en déduis donc que vous approuvez Zemmour quand il dit que les islamistes qui meurent pour des idées, quitte pour cela à tuer des innocents, sont respectables.
À chacun ses valeurs.
Concernant le « formatage » des victimes avec la formule « Vous n’aurez pas ma haine », elle n’est que l’expression d’une société évoluée qui laisse à la Justice le soin de faire son travail et évite ainsi une escalade de la violence. Ce que ne semble pas bien comprendre votre ami Ninive.
J’avoue bien honnêtement ne m’être jamais posé depuis 2017 cette question existentielle de savoir si, à un quelconque moment, je m’étais senti abandonné par le couple Macron.
Lors d’élections présidentielles, je vote pour un homme ou une femme qui porte un programme en accord avec mes convictions et mes analyses et non pour un couple.
Si j’éprouve par la suite un sentiment de déception, d’abandon, je le ressens beaucoup plus par rapport à la politique mise en œuvre par le président élu et qui peut alors ne pas répondre aux espérances qu’il avait fait naître que par rapport au mode de vie du couple élyséen, même si je reconnais que ce dernier n’est pas forcément sans incidence sur le comportement politique du président. Mais n’en va-t-il pas de même pour chaque locataire de l’Elysée ?
Ne pouvant nourrir un sentiment d’abandon que pour ce que l’on a espéré et qui n’advient pas, je n’éprouve nullement ce sentiment qui vous tiraille Philippe, n’ayant en ce qui me concerne jamais cru dès l’origine en EM.
@ Savonarole | 16 novembre 2021 à 13:53
Excellente observation et merci de nous l’offrir !
Retournez au billet précédent avec sa triple photo et regardez la tête de Zemmour, c’est encore plus net chez lui ! Confirmant son projet politique !
Brigitte domine le Président réduit à l’obéissance !
Zemmour vise lui la totalité de la population !
Savonarole a le chic pour reluquer les relookées !
Rien n’échappe à son coup d’oeil malicieux !
@ Patrice Charoulet, 16 nov. 14:11
Avant même le début de la campagne présidentielle, déjà un reniement en rase campagne et sans combattre !
Fallait-il que vous m’épatâtes !
https://youtu.be/bZn366Px9jM
@ Tipaza | 16 novembre 2021 à 08:50
@ Jérôme | 16 novembre 2021 à 07:40
@ Claude Luçon | 15 novembre 2021 à 20:38
@ Florence | 15 novembre 2021 à 18:27
Mais enfin, je n’ai pas comparé Emmanuel Macron à Steve Jobs ! C’est vous qui vous acharnez à le faire !
C’est tout de même ahurissant, cette incapacité de gens apparemment intelligents à lire un texte simple de quelques paragraphes et à en comprendre le sens !
Vous partez du principe, dogmatique, fanatique, qu’Emmanuel Macron est une ordure et qu’il convient d’en dire du mal par tous les moyens, et puis cela détruit votre cerveau et vous empêche de penser.
Relisez ce que j’ai écrit, tenez compte du contexte, faites attention à la succession des commentaires et des points de vue, et peut-être cela vous permettra-t-il de comprendre ceci qui est tout de même très simple :
Emmanuel Macron a DIT quelque chose. Ce qu’un président de la République dit est important. Vous passez votre temps, ici, tous autant que vous êtes, à dire pis que pendre de Macron en fonction de ce qu’il dit. Donc reconnaissez que sa parole seule est importante.
On s’en fout, qu’il n’ait pas FAIT tel ou tel truc. C’est une AUTRE discussion.
Macron est président de la République. Jobs était un entrepreneur. Ce n’est pas le même métier. On ne va pas demander à l’un de faire le boulot de l’autre, et d’ailleurs je vous ferai remarquer que Steve Jobs aurait été un exécrable chef d’État. Il était déjà un mauvais manager, alors homme politique, vous pensez… (Oui, oui, Jobs était un très mauvais dirigeant d’équipes. Il était même légendaire pour cela. Il a réussi en dépit de ce trait de personnalité, pas grâce à lui.)
La discussion a démarré parce que guzet (15 novembre 2021 à 09:05) a mis sur le tapis ce morceau de propagande anti-Macron reproduit à des millions d’exemplaires, selon lequel il aurait encouragé des étudiants étrangers à briser toutes les règles, et ce serait très mal, parce que tous les Français réactionnaires qui lisent le blog de Philippe Bilger mettent toujours leur masque, se font vacciner dès qu’on le leur demande et ouvrent grand leur porte aux installateurs de compteurs Linky, comme chacun sait.
Le problème, c’est que c’est un mensonge. C’est de la désinformation. C’est de la propagande. Macron n’a PAS dit ça.
Il a encouragé des étudiants étrangers à devenir des créateurs d’entreprise en bouleversant les façons de faire de leurs prédécesseurs, ce qui est une EXCELLENTE chose.
Êtes-vous d’accord avec ça, oui ou non ? C’est ça la question.
Êtes-vous, oui ou non, d’accord avec la « start-up nation » ? Ou bien êtes-vous du côté de François Hollande, qui a DIT que son ennemi c’était la finance — et peu importe qu’il ait dit que c’était son ennemi ou son adversaire, qu’il ait parlé de la finance ou du monde de la finance, comme je l’ai vu soutenir ici par différents commentateurs qui montrent, une fois de plus, que les Français sont les rois du pinaillage inopérant, intempestif et destiné à obscurcir les vrais problèmes.
Êtes-vous des capitalistes, oui ou non ? Êtes-vous des libéraux, oui ou non ? Reconnaissez-vous qu’il convient de cirer les pompes activement aux start-uppers, de porter aux nues le monde de la finance qui est l’un des piliers de la création d’entreprises (et non de jouer les crypto-communistes en tordant le nez à chaque fois que le mot finance est prononcé), de faire l’éloge nuit et jour de ceux qui tentent de créer des entreprises à croissance explosive et vocation mondialiste et ultra-libérale (ce qui est la définition de la start-up) ?
Êtes-vous prêts à noyer ce blog de commentaires faisant l’éloge de Doctolib, de BlaBlaCar, de Carmat, d’Ynsect, d’Ornikar, de Deezer, voire de la Société d’emboutissage de Bourgogne, d’Essilor, de Carrefour et d’Auchan, qui ne sont pas des start-up, mais des « fleurons » du business français mondialisé ?
Ces commentaires que je ne vois jamais, ici ?
Ou bien les seuls « fleurons » qui trouvent grâce à vos yeux sont-ils ceux qui étaient nationalisés et où la CGT tenait la direction par les parties ?
Êtes-vous prêts à réclamer la création de fonds de pension français, propres à financer les start-up françaises et à améliorer la retraite des Français ?
Ou bien êtes-vous de ceux qui pensent que « fonds de pension » est un gros mot, un truc exclusivement promu par les pédophiles et les nazis ?
Êtes-vous prêts à réclamer la suppression de la Sécurité sociale, sa mise en concurrence avec les assureurs privés à partir du premier euro, afin de baisser massivement le coût du travail, d’augmenter massivement les salaires et de libérer la création d’entreprises ?
Êtes-vous prêts à réclamer la baisse massive de la dépense publique et la suppression massive de postes de fonctionnaires, indispensables pour permettre aux Gilets jaunes de mettre de l’essence dans leur voiture et aux créateurs d’entreprise de ne pas se faire racheter par des Suisses, des Japonais ou des Chinois au bout de cinq ans (avec « bradage » à la clé ?).
Êtes-vous prêts à exiger que l’on mette au pas la racaille syndicale et ouvrière ? Réclamez-vous l’interdiction de la grève dans le prétendu service public ?
Êtes-vous prêts à bloquer les ronds-points pour que la prochaine fois que des ouvriers menaceront de faire sauter leur entreprise parce que leurs justes revendications ne sont pas satisfaites, le dirigeant du syndicat qui les représente soit mis en prison dans les quinze jours ? En compagnie de ceux qui auront proféré ces menaces ?
Êtes-vous pour la concurrence et la destruction créatrice, réclamez-vous l’abolition de la loi scélérate qui permet à l’État de fixer les frais de port des livres vendus par Internet à un niveau artificiellement élevé, afin d’empêcher les Français de s’instruire à bon compte grâce à Amazon, et de s’attirer les voix du lobby des pitits libraires de proximité gauchistes, « anti-racistes » et « indépendants » ?
Êtes-vous prêts à déverser des pétales de roses sous les pas d’Emmanuel Macron, à chaque fois qu’il exprime son soutien et ses encouragements à la création d’entreprise, aux start-up, et aux hommes d’affaires de façon générale ?
Indépendamment de ce qu’il fait par ailleurs, puisqu’en politique, dire, c’est déjà faire ?
Êtes-vous prêt à exiger la même chose de votre candidat favori à l’élection présidentielle, qu’il s’agisse de Philippe Poutou ou d’Éric Zemmour, et promettez-vous de lui remonter les bretelles d’importance s’il omet de le faire ?
Voilà la question.
Un billet sans prétention, j’avais commencé de rédiger, mais l’ordinateur, capricieux, s’est bloqué et la fonction de restauration n’a pas fait son oeuvre. Voilà donc le Génie du Christianisme perdu à tout jamais.
Ça tombe précisément très bien.
Le couple Macron, allocataire de la France, est plutôt joli, surtout la dame, même si, dans la fonction, celle que je préfère, c’est Madame Coty. Oui, je sais, je l’ai déjà dit, mais c’est mieux que de chercher à comprendre pourquoi ces deux lascars sont arrivés là. Sont-ils des héros ? Du cadeau de l’ennemi, ni pardon, ni profit, dit Ajax en enterrant son épée. De la femme du président, ni gloire, ni intérêt, les plus durs, les plus roués des dirigeants sont soumis à la Loi, ce qu’ils ourdissent en secret, par le silence ou la parole, n’a de poids que pour l’Hadès. Brünnhilde se jette dans le feu en saluant Siegfried avec béatitude. Selig grüsst deine weib. Loin, très loin, pendant que les filles du Rhin récupèrent leur or.
Puissent ces aventuriers d’un monde indéchiffrable ne pas être broyés par une de ces colères que le mépris engendre, et qui sous-tend le crépuscule des dieux. Pour l’instant, c’est le peuple qui est méprisable, abonné à la mendicité d’Etat, au bâillonnement de la vindicte, à la roublardise salariée des associations.
Oui, il faut souhaiter la violence musulmane islamiste, la montée de la religion la plus roublarde, pour, enfin, devenir lyrique, à la faveur d’une élection ratée, d’une majorité sans majeur, sans se soucier de l’état du pays, après.
Et voilà pourquoi Macron sera réélu.
Mais où sont passés les sondages ? Nous avions droit à plusieurs sources de sondage par heure jusqu’à quelques jours, on y voyait l’envol de Zemmour vers les cieux électoraux !
Rien, depuis hier, rien, pas un sondage, Zemmour nous manque !
Est-il en orbite ?
Ou serait-il, dans sa lancée propulsée par les médias, cette fusée qui a détruit un satellite russe ?
Naturelle et sans retouches numériques. Par contre trop de peinture collante sur les yeux.
https://img.over-blog-kiwi.com/1/31/14/84/20190819/ob_030676_ob-56cef5-ob-02bb9d-ob-474470-ob-36248.jpg
@ F68.10
“Heureusement que ce sont des prix Nobel qui ironisent sur Jupiter, le normalien raté…“
Je parlais de vous, pas de Jupiter !
Il serait temps d’avaler la pilule, depuis le temps.
Et, soit dit en passant, le 45 rue d’Ulm vous embrasse, F68.10 !
Même Zemmour succombe aux chants des sirènes islamogauchistes.
De rage contre le peu de sondages en sa faveur, on l’aurait entendu s’écrier :
« Vous n’aurez pas ma haine ! »
@ Wilfrid Druais | 16 novembre 2021 à 22:13
Enfilez vos lunettes et relisez ma phrase. Il n’y a rien de désobligeant que de dire que la photo est naturelle.
En avançant en âge, rien de plus naturel que d’être marqué par l’usure de la vie. Ceci n’enlève rien à sa beauté.
En revanche, pour certains, c’est l’abus d’alcool qui accélère l’avancée de l’âge, et c’est là qu’est toute la différence. Vous saisissez ?
Sur la photo, Brigitte Macron a l’air aussi jeune que son mari.
Dans le journal Le Monde de ce week-end, il y a un article sur Brigitte Macron intitulé « La coach de l’Elysée », illustré de nombreuses photos de Madame Macron.
En ce début de campagne électorale, nous allons avoir droit à l’hagiographie habituelle des médias sur Brigitte Macron voire sur le couple Macron, à savoir oyez braves gens voyez comme ce couple est glamour et sympathique.
Pourtant on trouve des phrases du type : « Je n’attaque jamais, je ne donne pas la première baffe, mais je suis capable de la rendre ».
Que le couple pratique la fusion (fusion-acquisition, fusion-absorption, fusion nucléaire,…) dans l’intimité cela ne me dérange pas. Mais la pensée à la tête de l’État doit revenir au Président élu.
Philippe Bilger se demande souvent pourquoi Macron n’a pas le sens du régalien.
Parce que, comme le dit Eric Zemmour à propos de Harry et de Meghan, ces gens sont des jean-foutre, petits Rastignac montés à Paris, s’alliant avec la pègre pour prendre le pouvoir, bien plus préoccupée par « la gueule qu’elle aura à 70 ans » que de l’Etat.
Ces gens sont isolés du reste des Français parce qu’ils n’ont aucun sens de l’Etat et qu’ils ne veulent pas l’avoir.
Ils ne sont préoccupés que de leur réussite personnelle.
Ce qui aboutit à des nominations incongrues comme EDM à la justice.
@ Wilfrid Druais | 16 novembre 2021 à 22:35
Et tout ça à 43 ans, vous imaginez ce que ce sera quand il aura l’âge du Général de Gaulle !
C’est Ernst Jünger qui dans son livre « Les Ciseaux », dit : « Personne ne meurt avant l’accomplissement de sa tâche. Le plus souvent elle est méconnue. »
Comme il a l’air en bonne santé, physique tout au moins, ça en dit long sur ce qui nous attend.
Que la Bonne Mère nous vienne en aide.
@ Paul Pedech
« Et, soit dit en passant, le 45 rue d’Ulm vous embrasse, F68.10 ! »
Je ne suis pas ulmien. Mon directeur de thèse, à qui j’ai posé un gros lapin, m’avait par contre dégoté une thèse à Ulm. Mais je ne suis pas ulmien.
Et pour votre gouverne, ce type de snobisme franchouillard m’ulcère.
@ Exilé 16 novembre 2021 à 13:47
« Un bon indicateur est le style de discours gnangnan stéréotypé d’une affaire sur l’autre qu’un de leurs représentants est chargé d’ânonner devant les caméras »
Le discours n’est pas toujours « gnangnan »… Il est parfois très, très orienté…
En lisant de près le communiqué de l’association de victimes des terroristes du Bataclan « Life for Paris » condamnant la prise de parole de Zemmour devant la salle de spectacles, je me posais des questions sur la neutralité politique des dirigeants de celle-ci, le texte dénonçant aussi, un peu tard, l’utilisation de photos de l’attentat au profit de la campagne « nauséabonde » en sa faveur.
Mon doute a grandi en écoutant le vice-président sur BFM TV. Le communiqué précisait : « sans juger du fond de son [EZ] discours (…) »… Mais, cette fois, fi de cette précaution. Sur le ton bien sûr de celui qui entend ne pas polémiquer, il a pris très clairement la défense de Hollande en indiquant que le polémiste, qualifié par lui d’« ignoble » et de « profanateur de sépultures », avait « tronqué » le témoignage de l’ex-président devant le tribunal.
Puis vint, dimanche, les propos abjects de l’avocate apparatchik de Mélenchon (*). Je m’attendais à un même communiqué musclé des dirigeants de « Life for Paris » condamnant sans nuance cette incongruité sans nom. Rien. Pas un mot. Pas une déclaration. Cette gauchiste au casier déjà largement fourni en propos favorables à l’islamisme va bien au-delà du « vous n’aurez pas ma haine ». Il s’agit cette fois de « réconcilier » les victimes avec les terroristes, avec les tueurs de leur frère, de leur sœur, de leur ami ! Comment peuvent-ils se taire ?! Ce silence m’abasourdit… et a totalement fait disparaître mon doute quant à l’opération politique anti-Zemmour dont ils se sont faits pour le moins complices.
(*) Cette pauvre Garrido a décidément quelques problèmes avec le vocabulaire français. Elle n’est pas prête à s’excuser de son ânerie, mais, pour tenter de calmer la tempête qu’elle a déclenchée, elle a admis sur BFM que le mot « réconciliation » était mal… « calibré ». « Calibré » ! Elle a employé ce terme plusieurs fois… Au Bataclan, les terroristes, eux, ont parfaitement « calibré » leurs tirs pour tuer le maximum d’innocents…
@ Wilfrid Druais | 16 novembre 2021 à 23:17
Vos insultes envers tout le monde n’étonnent plus personne. C’est le comportement même d’un alcoolique notoire au cerveau cramé par l’alcool qui vient sur le blog régurgiter son trop-plein de vomi. Tournez-vous vers un hôpital spécialisé pour désintoxiquer votre demi-cerveau, pour ce qu’il en reste. Votre état mental est désastreux ! Évitez de constamment vous attaquer au physique des femmes ! Commencez à vous regardez, vous, dans une glace – « tu t’es vu quand t’as bu ». Certains finissent telle une épave qu’aucune femme n’ose approcher.
« Et si le peuple français se sentait abandonné par le couple Macron ? »
Voilà un couple présidentiel qui ne vous abandonnera pas !
Chiche ? 😊
@ Serge HIREL | 17 novembre 2021 à 01:49
« En lisant de près le communiqué de l’association de victimes des terroristes du Bataclan « Life for Paris » condamnant la prise de parole de Zemmour devant la salle de spectacles, je me posais des questions sur la neutralité politique des dirigeants de celle-ci, le texte dénonçant aussi, un peu tard, l’utilisation de photos de l’attentat au profit de la campagne « nauséabonde » en sa faveur. »
Les sympathies islamo-gauchistes des dirigeants du Bataclan sont une évidence. Le rappeur Médine devait donner des concerts au Bataclan, qu’il a annulés devant le tollé.
Ceci dans Wikipédia:
« Contesté, en raison de certaines paroles de ses chansons, par divers élus de droite et d’extrême droite, ainsi que certaines associations de victimes de l’attentat de 2015, le rappeur Médine annonce le 21 septembre 2018 l’annulation de ses concerts prévus au Bataclan et leur reprogrammation au Zénith de Paris début 2019. »
Il me semble que même les concerts au Zénith ont été annulés.
« Macron se rapproche de l’Europe et s’éloigne des Français. Il a changé la couleur bleue du drapeau français en choisissant un bleu plus proche de celui de l’Union européenne. » (dixit Vamonos 15/11 à 3h37)
Complètement faux, le Président Macron a remis le bleu foncé d’origine du drapeau français. c’est VGE qui avait changé le bleu marine pour une teinte plus claire en adéquation avec le bleu du drapeau européen.
@ anne-marie marson | 18 novembre 2021 à 15:32
« Les sympathies islamo-gauchistes des dirigeants du Bataclan sont une évidence »
Islamogauchistes je ne sais pas mais de gros pervers malades, oui. Le soir de l’attentat il y avait le groupe Eagles of Death Metal, la part du Diable…
Ce fut l’enfer.
@ Wilfrid Druais | 19 novembre 2021 à 04:05
D’après ce que vous dites, une grande partie du monde vous est insupportable. Mais il vous reste le vin et la musique.
La musique. En plus d’en jouer, ne pourriez-vous pas trouver quelques musiciens et amateurs de musique pour communiquer dans « la vraie vie » si cela veut dire quelque chose, ou sur Internet ? Dans des sites musicaux, il y aurait peut-être des gens partageant vos goûts prêts à discuter ? Avez-vous enfin votre casque pour ne pas être incommodé par les voisins ?
Bref, pourquoi ne pas vous rendre la vie plus supportable qu’en rencontrant des gens qui vous déplaisent ? Comme ça, vous auriez deux « chasse-spleen » dans la vie, le vin mais aussi l’évitement d’ennuis qui n’ont même pas l’aspect poétique du spleen.
Ainsi, vous auriez la musique, le vin et le réflexe d’aller où le vent vous mène, donc pas un éventuel abrutissement par le vin que d’autres évoquent et que vous ne niez pas, mais l’ivresse dans ce qu’elle a d’arrachement à toutes les pesanteurs.
Dit autrement, en évitant tout ce qui vous ramène au rôle de Jean Yanne face au cons, soit une relation qui ne semble pas vous apporter grand-chose, vous pourriez accéder à des ivresses plus inspirantes et diversifiées que le vin. Il n’a pas parlé de musique dans le texte que je vous livre, car nobody’s perfect !
« ENIVREZ-VOUS
Il faut être toujours ivre. Tout est là : c’est l’unique question. Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous.
Et si quelquefois, sur les marches d’un palais, sur l’herbe verte d’un fossé, dans la solitude morne de votre chambre, vous vous réveillez, l’ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l’étoile, à l’oiseau, à l’horloge, à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est ; et le vent, la vague, l’étoile, l’oiseau, l’horloge, vous répondront : « Il est l’heure de s’enivrer ! Pour n’être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous ; enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. »
Baudelaire, Le Spleen de Paris, XXXIII
Cette histoire de bleu plus ou moins foncé est dérisoire.
Il y a belle lurette que le bleu du pavillon des navires est de nuance claire, pour des raisons de visibilité à distance, et celui des drapeaux et étendards des corps, plus foncé.
De plus, si une décision a été prise en loucedé, elle ne s’appliquera qu’aux administrations d’Etat ; collectivités et particuliers feront ce qui leur chante.
En tout cas, on peut se féliciter que le Président ait consacré une ou deux dizaines de minutes de son temps à ce dossier ; autant qu’il n’a pas, comme à l’accoutumée, consacré à avilir la France et à insulter les Français !
Il serait même souhaitable qu’il consacre les six prochains mois à se préoccuper exclusivement des nuances de blanc et de rouge de l’emblème national.
@ anne-marie marson 18 novembre 2021 à 15:32
Mon propos concerne les dirigeants de l’association Life for Paris et non ceux du Bataclan. Il est vrai que dans la phrase que vous citez, j’ai commis une faute de grammaire : « celle-ci » se rapporte non à « salle de spectacles », mais à « association ».
Quant à l’attitude des dirigeants du Bataclan, elle relève du « show must go on ». S’il en avait été autrement, ce sont les terroristes qui auraient gagné. Cependant, y accepter un projet de concert d’un suppôt des islamistes est peut-être un peu indécent…
@ Serge HIREL | 19 novembre 2021 à 11:12
« Cependant, y accepter un projet de concert d’un suppôt des islamistes est peut-être un peu indécent… »
Dans ce cas, « peut-être » est un peu indécent.
« Sûrement indécent » conviendrait mieux, comme l’ont pensé les gens qui ont manifesté contre ce concert.
@ anne-marie marson 19 novembre 2021 à 13:59
Dans ce contexte, « peut-être » est un euphémisme. « Sûrement » est plus direct et s’impose bien sûr. Pour ma part, je pense que Médine devrait être poursuivi pour apologie du terrorisme. Né au Havre, il possède des papiers français (grâce au droit du sol…). Petit-fils d’émigrés algériens, s’il est binational, il devrait être immédiatement déchu de la nationalité française et expulsé. Le régime algérien sait, mieux que nous s’occuper (euphémisme) des amis des terroristes…