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On découvre au fil de l’entretien une personnalité ouverte mais discrète, et nuancée, avec constamment l’impression que Philippe Grimbert se garde de nous conduire au cœur de l’oignon, pour reprendre son image, et qu’il évite d’être trop personnel pour garder intacte la partie tendre. Il le fait avec finesse, sans opacité, mais il maintient la distance en parant les incursions trop directes avec des remarques qui en disent un peu sans en dire trop. De la sorte il avive l’intérêt pendant qu’il décourage la curiosité et nous redirige vers son œuvre écrite, qui constitue le fruit tangible de la sublimation évoquée un instant.
En voilà un qui n’a pas l’air de prendre Freud pour le dernier des imbéciles. C’est à saluer.
Une remarque histoire de râler un peu : l’appareillage technique qui encombre l’espace entre l’invité et l’auditeur me parait gênant. Sans réclamer nécessairement de gros plan, j’aurais préféré voir le visage en entier, ce qui n’est pas le cas, vu le micro qui en cache une bonne partie. Je pensais que l’angle de prise de vue changerait, mais ça n’a pas été le cas.
Le moment que j’ai préféré : les dernières images où l’on voit Philippe Bilger s’exprimer librement avec son invité, sans entendre ce qu’il dit, et son invité prêter attentivement l’oreille sans le regarder. Vive l’amitié, et merci à tous deux.
Fin psychologue avec un parcours personnel et professionnel de qualité.
Il est en même temps réfléchi et appliqué dans la construction de ses réponses soigneusement éclairées.
Merci.