Emmanuel Macron : le combattant intermittent…

Dans le livre où j’avais eu le front de faire monologuer Emmanuel Macron comme si j’étais lui, je lui avais fait cesser son propos au mois de septembre 2017. Quand c’était encore le temps des espérances. Avant que l’exercice du pouvoir vienne, avec ses limites et la résistance du réel, les dégrader.

Non pas que tout soit négatif dans ce que le président de la République nous a donné à voir depuis son élection. Bien au contraire. Mais il me semble qu’Emmanuel Macron est lui-même trop riche et trop complexe pour qu’on lui fasse l’affront d’une admiration éperdue – certains n’en démordent pas – ou d’une hostilité systématique – elle a ses partisans.

Maintenant que sa première année de mandat a été accomplie et que le surgissement du renouveau promis a épuisé ses effets, on perçoit mieux ce qu’il en est. Comme si, une forme de tension disparue, dorénavant le président de la République se laissait davantage aller dans la forme et révélait par ailleurs une appréhension du fond qui ne permettait plus de le considérer comme un inlassable activiste, un constant homme d’action mais plutôt pour un combattant intermittent. Dont le rapport avec le réel et la volonté d’entreprendre n’était pas uniforme.

Sur le plan du style et de ce que les débuts ont eu de remarquable, il y a depuis quelques semaines une libération, une attitude plus débridée, un comportement et des saillies voulus plus vulgaires pour « faire peuple », un abandon au festif présenté comme un signe de modernité et une preuve de jeunesse – je ne parle pas des bras levés dans les jardins de l’Elysée pour applaudir la victoire contre l’Uruguay -, bref un laisser-aller présidentiel.

Faut-il admettre tristement qu’à la longue, chez n’importe quel président, il y a toujours un peu de Sarkozy qui survient, quel que soit le registre à peu près acceptable ou indécent de la posture ?

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Pour l’action elle-même, même si le Premier ministre a bien raison de vanter « la ténacité » de son gouvernement, sinon qui le ferait ?, le recul permet d’analyser et de nuancer. Une première impression cherchait à instiller l’idée que ce pouvoir n’était pas celui d’un « roi fainéant » mais une invention et une énergie toujours en mouvement.

Aujourd’hui il paraît plus pertinent de distinguer, chez Emmanuel Macron – personne ne discute qu’il est à la source de tout au point de minimiser dans l’esprit public même l’aura de ses quelques excellents ministres – les réussites opératoires et menées à terme, les attitudes peu ou prou de désintérêt, enfin les atermoiements manifestant que le président est confronté à des problématiques où il risque de mécontenter tout le monde en préférant alors nous faire attendre que nous décevoir.

Le décrochage qu’il subit dans les sondages, à droite comme à gauche, n’est peut-être pas étranger à ce sentiment que le président fait ses choix et a son rythme et qu’ils peuvent nous surprendre ou nous désappointer.

Pour les premières – les succès -, il y a eu la réforme du droit du travail et celle de la SNCF. Les processus avaient été clairement conçus, les adversaires étaient du côté de la régression et de l’inefficacité, la constance serait récompensée et une France majoritaire applaudirait ces changements. Emmanuel Macron a pu, pour ces évolutions capitales même si d’aucuns – souvent ceux qui ne font rien – auraient aspiré à beaucoup plus, endosser le costume du combattant, imposer, tenir et vaincre. Ce sont des circonstances qui l’ont mis à l’aise : l’action comme démonstration de ce qu’il est.

Pour les deuxièmes – qui l’indifférent -, il y a eu la réduction à 80 kilomètres de la vitesse sur les routes secondaires. Il a laissé faire son Premier ministre sans l’ombre d’un enthousiasme, au bord de la dénégation, et pas loin à mon sens de la position qu’il avait prise sur le vin. Il aurait été capable, un peu poussé, de reprendre la fameuse formule de Georges Pompidou qui souhaitait vraiment qu’on laisse les Français en paix.

Il y a aussi, malgré les apparences, la préoccupation très relative qu’il affiche au sujet de la Justice, des peines et des prisons. Certes il ne serait pas honnête d’oublier quelques interventions de haute volée avec un projet mêlant le clair et l’obscur, un réalisme froid de droite, un humanisme confortable de gauche. Mais j’incline à penser que sa faiblesse sur le judiciaire ne tient pas seulement – et il est loin d’être le seul en politique avec cette disposition – à son désintérêt mais surtout au fait qu’il refuse de prendre en compte le lien pourtant avéré chaque jour entre le judiciaire ordinaire et le terrorisme. Négliger le premier comme il le fait revient à se priver de moyens décisifs pour lutter contre le second.

L’absence d’implication comme démonstration de sa hiérarchie des priorités.

Enfin il y a les hésitations – moins celles du caractère que celles du politique qui ne voudrait franchir le Rubicon qu’à coup sûr. Le report du plan sur la pauvreté – malgré la maladresse d’Agnès Buzyn – n’a évidemment rien à voir avec la Coupe du monde mais tout avec le constat que les processus et les nécessités qui ne le confrontent pas à des ennemis désignés ne le mobilisent pas vite, le laissent dans l’expectative ou l’incitent à des accommodements qui stérilisent l’essentiel. On l’a vu avec les banlieues, on l’a relevé avec la politique migratoire. Ce sera sans doute la même chose avec la PMA, ces sujets de société et de savoir vivre ensemble où il n’y a que des coups à prendre (Le Parisien).

L’absence de décision comme démonstration de ce qu’il tarde aussi à se mettre en marche.

Emmanuel Macron est un combattant intermittent.

En effet il fait parler la poudre démocratique et politique. Ou reste dans son coin comme un observateur sans doute de moins en moins bienveillant. Ou garde l’arme au pied parce qu’il ne sait pas comment accorder les désaccords et donc quelle bataille livrer.

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Voir les Commentaires (210)
  1. Je n’aime guère Macron mais il y a ceci a dire en sa faveur :
    « Pour les deuxièmes – qui l’indifférent -, il y a eu la réduction à 80 kilomètres de la vitesse sur les routes secondaires. Il a laissé faire son Premier ministre sans l’ombre d’un enthousiasme, au bord de la dénégation, et pas loin à mon sens de la position qu’il avait prise sur le vin. Il aurait été capable, un peu poussé, de reprendre la fameuse formule de Georges Pompidou qui souhaitait vraiment laisser les Français en paix. »
    Il est logique, on ne peut pas dire en marche aux gens et en même temps leur interdire la vitesse. A une époque où on veut la rapidité, la punir me dépasse… Mais c’est pour sa non agression contre le vin que je l’apprécie surtout, les gens étant ce qu’ils sont, quand ils ne vont pas contre une liberté et le bonheur des autres, on peut presque dire qu’ils sont touchés par la grâce.
    Ce lien s’inquiète de l’avenir de certains vins dans un monde de brutes :
    https://www.lemonde.fr/m-gastronomie/article/2016/10/24/des-vins-trop-doux-pour-ce-monde-de-brut_5019253_4497540.html
    Mais on peut le craindre pour tous les vins ! Entre les gens qui veulent se défoncer avec des alcools forts et les hygiénistes prohibitionnistes, quel avenir du vin pourrait-on lire, par exemple dans le vin ?
    Je ne crois pas qu’on puisse lire l’avenir, mais qu’on peut développer son intuition de différentes manières, et par exemple, en buvant. Plus le monde est normalisé et plus il y aura de gens à vouloir encadrer, il faudrait dire encager les gens davantage, plus d’autres s’y opposeront.
    « Buvez toujours, vous ne mourrez jamais ».
    Rabelais.

  2. Bonjour,
    Certes tout n’est pas bon dans le Macron. Certains lui reprochent son côté « monarque ». Je leur ferai juste remarquer que, dans le genre, Giscard d’Estaing et François Mitterrand n’avaient rien à lui envier. Pour Giscard cela frôlait parfois le ridicule.
    C’est le régime présidentiel voulu par le Général qui a conduit à ce type de comportement du genre « l’Etat c’est moi ». Régime préférable au régime parlementaire qui a largement montré ses faiblesses dans les années cinquante où la France changeait de gouvernement tous les six mois.
    EM a malgré tout le mérite de garder le cap qu’il s’est fixé sans céder aux sirènes des sondages, contrairement à ses deux prédécesseurs (ce qui au passage ne les a pas empêchés de ne pas pouvoir prétendre à un second mandat).
    Après un an à l’Elysée, EM commence à commettre quelques petites erreurs de communication. Sans doute un coup de fatigue dû au surmenage. La vie d’un président de la République n’est pas de tout repos. Il est sollicité en permanence, certaines décisions sont souvent difficiles à prendre, voire carrément impopulaires.
    Comme dans un marathon, EM doit maintenant trouver son second souffle, celui qui lui permet de tenir la distance en ménageant ses forces.
    Pour l’instant la meute de ses détracteurs aboie beaucoup, mais la caravane passe.

  3. Marc GHINSBERG

    La gauche modérée s’est mise hors jeu d’elle-même, la gauche radicale commence à connaître ses premières dissensions sérieuses à l’occasion de la préparation des européennes. La bataille politique se situe donc à droite.
    Pendant que Laurent Wauquiez cherche à pomper les électeurs du RN, Emmanuel Macron cherche à pomper ceux de LR. Dans ce jeu de Shadoks, EM n’a bien entendu aucun intérêt à se fâcher avec les électeurs de droite, très chatouilleux sur les sujets sociétaux.
    Effectivement Jupiter aurait beaucoup à perdre à les aborder.

  4. J’ai bien peur que ce ne soit la France qui est intermittente, et que son désir de détestation nécessaire à l’expression de son ressentiment n’ait un besoin archaïque d’icône à fracasser, le président contrariant cet atavisme en mettant aux postes décisifs des personnes plus compétentes que prêtes à satisfaire cette soif, indiquant la modernisation du comportement commun, obligeant aux résultats dont le moindre ne sera pas cette impérieuse obligation à l’élévation du niveau général d’éducation démocratique et de respect du différent, sans faire système de la différence.
    La posture est éminemment gaullienne et permettra l’édification, le président prenant sur lui tout l’opprobre, de l’indispensable révélation du passage de Jupiter à Jésus, où chacun aura l’occasion, imitant l’exemple qui imite l’exemple, d’accéder enfin à ce royaume de la démocratie, qui est prise de conscience individuelle du phénomène : nous n’avons d’empire que sur nous-même.

  5. Bonjour monsieur Philippe Bilger,
    « Emmanuel Macron est un combattant intermittent. »
    Battant n’est pas certain, mais intermittent du spectacle c’est probable.
    Sa voracité à dénigrer les Français blancs de souche est patente. Pour le reste c’est un profiteur de plus à l’Elysée et rien d’autre.
    Vive Houellebecq et vivement 2022 à moins qu’avant la chance nous sourie.

  6. @ Achille | 08 juillet 2018 à 08:37
    « Certes tout n’est pas bon dans le Macron »
    Attendons avec gourmandise le commentaire de la pétomane Breizmabro qui a déjà révélé au monde entier, et avec son élégance coutumière, que Macron « avait un ami pédé ».
    Peut-être sent-il des pieds et qu’il se bouffe les crottes de nez ?
    On va savoir… Mais avant, abritons-nous de la « Tanceuse » de service qui nous assène que les hommes ne comprennent rien à l’humour féminin…

  7. Macron n’est pas un combattant intermittent à propos du pouvoir d’achat.
    C’est en cela qu’une partie de la population déchante : hausse des taxes sur les carburants, CSG, prélèvement à la source IRPP plus élevé en raison de la non prise en compte des crédits d’impôts, etc. La suppression de la taxe d’habitation tarde à venir et en attendant, le fisc encaisse… Le plan pauvreté attendra.
    « Dans le même temps », des cadeaux sont faits aux investisseurs, donc aux riches. On attendra donc l’effet ruissellement induit par les premiers de cordée. Le taux de chômage ne baisse pas. Un doute s’installe accentué par le fait que le pouvoir manque sérieusement d’imagination pour amorcer la baisse des dépenses publiques.
    Enfin, j’observe aussi que parfois Macron dérape. Il tient des propos choquants. Même s’il lui arrive d’avoir raison sur le fond, la forme employée détruit tout. A cet égard, Edouard Philippe est un exemple dont Macron devrait s’inspirer.
    Est-ce que Macron est déjà dans une tour d’ivoire d’où aucune critique constructive ne lui parvient plus, ou bien est-il encore capable de redonner la pleine sérénité à la fonction qu’il exerce.
    Macron a recadré le jeune qui l’avait interpellé « Manu ». Alors aujourd’hui, nous sommes en droit de lui dire « Manu, ne dérape plus ».

  8. « Emmanuel Macron : le combattant intermittent… » du spectacle.
    Voilà, selon votre texte, cher P. Bilger, comment aurait dû s’intituler votre billet.
    Pour la énième fois, vous nous emmenez « Au théâtre ce soir » avec un texte de Macron, une mise en scène de Macron, des décors de Macron, des dialogues de Macron, une musique de Macron, dans le rôle principal Macron, dans les rôles secondaires : personne !
    Apparaissent, au bout de quelques mois, les lacunes de Jupiter : une méconnaissance absolue du rôle de l’Etat dans ses principaux domaines régaliens : la Justice, les Polices, la sécurité, l’immigration, la Justice sociale, les retraites… Méconnaissance – malgré une intelligence (exxxxceptionnelle) – doublée d’un certain mépris : c’est le marché et la finance qui doivent dominer tout.
    Ce que vous appelez des « succès » en matières de réformes sont – notamment les deux que vous citez – de l’enfumage remarquable présenté.
    Vous restez dans la forme alors que nous attendons le fond. Du spectacle, du spectacle ou mot plus conforme de la com’.
    Un exemple de plus, cher P. Bilger de l’incroyable paranoïa de Macron : lors de la présentation officielle de l’accord sur la réforme (sic) SNCF, le président en majesté pour la signature dans le salon de l’Elysée avait invité à ses côtés Mme Borne et M Griveaux. Or Griveaux, plus grand que Macron, paraît plus petit que lui une fois assis : et pour cause, sa majesté a fait changer la hauteur des fauteuils respectifs pour qu’il ne paraisse pas plus petit que son ministre !
    Incroyable. A voir sur le Huffpost !
    https://www.huffingtonpost.fr/2018/06/27/lastuce-demmanuel-macron-pour-avoir-lair-plus-grand-que-benjamin-griveaux_a_23469499/
    A côté de Macron, en matière de paranoïa, Louis II de Bavière fut un gentil petit Prince !
    A méditer cher P. Bilger.
    Cordialement.

  9. Intermittent du combat ? certes.
    Mais pas intermittent du spectacle !
    Cependant que les Français auraient voulu écouter les sobres silences du chef et voir édifier les digues pour faire obstacle à la montée des dépenses et dettes publiques, et celles pour enrayer la venue des indésirables prêts à forcer nos frontières.

  10. @ Aliocha
    « La posture est éminemment gaullienne et permettra l’édification, le président prenant sur lui tout l’opprobre, de l’indispensable révélation du passage de Jupiter à Jésus »
    Je ne pense pas que Macron fasse, comment dire ? le sacrifice de sa personne… En l’admettant, merci, mais il sacrifie aussi tous les Français les plus pauvres, et d’autre part, notre liberté, en non seulement ne réformant pas la Constitution vers ce qui fait l’équilibre des pouvoirs mais en accroissant encore les siens.
    N’attendons d’autre salut que de l’intelligence et de la vertu, exprimées par le rejet d’institutions déséquilibrées et déséquilibrantes, qui induisent une mauvaise répartition des pouvoirs et une soif de sauveur toujours déresponsabilisante et parfois liberticide.
    Macron n’est ni une solution ni un problème mais un symptôme.

  11. …personne ne discute qu’il est à la source de tout au point de minimiser dans l’esprit public même l’aura de ses quelques excellents ministres (…)
    Ah, je reconnais bien là le style inimitable de Philippe Biger, qui restera en ce qui concerne le règne de Macronus Imperator l’hagiographe préféré des historiens du futur – du moins de ceux qui comprendront la langue morte que sera devenu le français – quand il évoque un peu à la façon de Saint-Simon les derniers développements de l’actualité du microcosme élyséen et de son pivot central, dans une atmosphère un tantinet surréaliste et décalée par rapport à la réalité, en analysant le pourquoi du comment d’une façon que les théologiens byzantins n’auraient pas reniée, avec une pointe de ce conformisme sirupeux inimitable d’usage sur les plateaux de télévision bien-pensants.
    Pendant ce temps-là, à l’extérieur du bunker, dans la vraie France, ou ce qu’il en reste, la bataille fait rage, les voitures à pétrole brûlent – c’est leur fonction diront les habitués – , les pensionnaires des prisons s’offrent des promenades gratuites en hélicoptère grâce à quelques excellents ministres qui n’ont absolument aucune, mais vraiment aucune raison de démissionner, les Sages délirent, la France est devenue un open bar où ce que le monde entier ne recèle pas de meilleur se précipite sans s’essuyer les pieds, les élus d’un département abritant une importante immigration viennent de découvrir, affolés, que le Golem qu’ils ont eux-mêmes élevé venait d’atteindre une taille impressionnante le rendant incontrôlable, un peu comme des Lilliputiens qui n’auraient pas su quoi faire de Gulliver ni su trouver de quoi l’alimenter.
    Mais tant que Macron peut encore causer et en même temps faire la bamb… la fiesta, tout va bien.
    Continuons de danser sur un volcan.

  12. @ Deviro | 08 juillet 2018 à 10:26
    Pourquoi répétez-vous sans cesse « la pétomane Breizmabro », je ne comprends pas ni cette insulte, ni ce radotage… seriez-vous malade ?

  13. @ Achille 8 juillet à 08:37
    Manifestement le style Macron est un style qui heurte.
    On lui reproche un exercice monarchique du pouvoir et une ignorance dédaigneuse du peuple. Ses récentes maladresses lui coûtent une baisse sensible de points d’indices positifs.
    Demain il doit s’attacher au Congrès de Versailles à éteindre la mèche sinon une nouvelle baisse dans les sondages va compliquer sa tâche.
    Les corps constitués ne sauraient lui pardonner une certaine arrogance qui passe de plus en plus mal.
    Et pourtant il a tout pour bien faire !

  14. Mary Preud'homme

    @ Deviro | 08 juillet 2018 à 10:26
    Devriez relire les différents fils avant de vous en prendre une fois de plus à Breizmabro au sujet de ses prétendues remarques sur l’humour féminin non appréciées (selon vous) par les mâles en général et vous en particulier (affirmations purement gratuites et fausses bien sûr destinées à vous abriter derrière des généralités de gros beaufs de café du commerce !)
    Or les dames ont tout autant que vous droit à l’humour pour faire passer leurs idées et critiques, y compris au sujet de l’homosexualité qui, se voulant normale, s’expose à tout vent, y compris celle d’être contrée par des moqueries ou des arguments de bon sens. En particulier lorsque certains homos militants évoquent sans rire leur droit à l’enfant, ce qui relève de l’absurde absolu s’agissant d’un couple constitué de deux personnes de même sexe !
    N’en déplaise à ceux qui nous gonflent à longueur de temps avec leurs problèmes personnels, inversions, anomalies en tout genre, exigeant de la Nation au nom de l’équité « ripoublicaine » un égalitarisme de façade où la technique viendrait pallier de prétendues « injustices » de la nature, accordant ainsi aux homos un nouveau droit, ce qui a pour conséquence de priver l’enfant (artificiel) des siens.
    Au nom de l’homo roi qui a désormais pignon sur rue et plus encore sur médias et dont nul ne pourrait désormais citer les outrances, les exigences ridicules et revendications inhumaines (s’agissant de la procréation) sans s’exposer à être qualifié illico d’homophobe et traqué comme tel…

  15. Claude Luçon

    Pourquoi « intermittent » !?
    Soyons sérieux, Emmanuel Macron continue son combat ailleurs !
    Il est plus important qu’il consacre son temps à la coupe du monde de foot, il y va de l’honneur de la France.
    Le défilé du 14 Juillet suivi le 15 d’une manif gigantesque au cas où les Bleus gagnent la Coupe ont de quoi occuper un président de la République sérieux et patriote !
    Ce sont deux problèmes imminents !
    Les autres problèmes sont vieux, usés et perdurent depuis Mitterrand.
    D’ailleurs les Français ont d’autres soucis, par exemple où aller en vacances ? Quel trajet choisir pour y aller avec des routes où on est limité à 80 km/heure ? Par où passer ? Le Tour de France bloquant 21 parcours, dont tous les accès aux plages de l’Atlantique et de la Méditerranée !!
    En plus de tout cela : drapeaux et autres gadgets pour la coupe, péages, essence et diesel, hôtels et restaurants en pleine activité, pensons à la TVA que tout cela va générer ! Il y va des finances du pays !
    Enfin, gloire suprême, la coupe du monde est en or ! Un symbole à la hauteur de Jupiter !
    Tout cela vous occupe un Président sérieux et soucieux de la dignité de la France, les « affaires » peuvent attendre, elles ont l’habitude.
    On est en vacances oui ou non ?
    On s’enflamme pour les Bleus oui ou non ?
    Ce blog manque de sérieux et de patriotisme 🙂
    Quant aux LR ils n’ont toujours rien compris après la déculottée de la présidentielle, Wauquiez et l’incontournable Ciotti en particulier !
    On ne parle pas de politique pendant le Tour de France, surtout avec la coupe du monde de foot en cours.
    S’occuper du foot et du Tour de France tout en célébrant le 14 Juillet voilà qui est patriotique, surtout en partant en vacances, qui prétend que nous sommes fauchés et que l’économie va mal ?
    En plus on en oublie le communautarisme, tout le monde redevient Gaulois pendant au moins un mois !

  16. Patrice Charoulet

    REFLEXIONS GENERALES SUR LA LIBERTE D’EXPRESSION
    Je ne m’adresse pas à l’un d’entre vous, ni à deux d’entre vous, mais à tout le monde.
    Mais ceux qui se situent eux-mêmes très à droite de l’échiquier politique sont plutôt concernés par ce que je vais dire.
    Si vous vous situez politiquement dans cette zone, libre à vous. Vous pouvez exprimer votre inquiétude en songeant à la délinquance, à l’immigration, à telle religion, à la misère immobilière de la police ou à son manque de moyens, à l’insuffisance de la réponse pénale, à l’impossibilité d’accueillir sur notre sol tous ceux qui veulent y venir, à la porosité des frontières, aux conditions d’accession aux allocations pour les nouveaux arrivants…
    La Code pénal s’applique partout, ce n’est pas à un ancien haut magistrat que je vais l’apprendre.
    Partout, même sur un blog où règne la liberté d’expression.
    Deux articles du Code pénal, notamment, ne peuvent être bafoués.
    D’une part l’article condamnant l’injure publique. Quand un fantôme injurie publiquement une personne à patronyme, le maître du blog, qui possède l’identité de l’insulteur, peut effacer l’injure ou le prier de ne plus récidiver.
    En second lieu, nous ne sommes pas aux Etats-Unis, mais en France. Dans notre heureux pays, l’incitation à la haine raciale n’est pas considérée par notre Code pénal comme une opinion, mais comme un délit. Pour ne pas contrevenir à la loi, nul ici comme ailleurs (mais ailleurs le maître du blog peut ignorer la loi n’ayant pas eu la formation du maître d’ici) ne doit pouvoir se permettre d’écrire : « Je suis raciste ». « Vive le racisme ! » Si ce n’est pas de l’incitation à la haine raciale, c’est quoi ?

  17. Vos avez tort, Noblejoué, Macron fait ce qu’il peut avec ce qu’il a, personnellement je trouve que ses moyens ne sont pas minces, pour sauver un système social à l’agonie, flattant son flanc droit, et préserver ainsi le plus faible, flattant alors le gauche, et présentant à l’Allemagne une vision renouvelée de l’Europe qui permettra, mais l’œuvre est immensément ambitieuse et donc aléatoire, de définir les bornes du capitalisme et de l’économie de marché, de les ramener à la raison du réel qui ne saurait délaisser, par pur pragmatisme, les plus faibles.
    C’est à mon sens la seule réponse plausible aux populismes que nos actionnaires flattent, les inconscients fauteurs de guerre, détruisant tout pour mieux reconstruire, mieux vendre leur sauce indigeste et mortifère.

  18. @ Patrice Charoulet
    « Quand un fantôme injurie publiquement une personne à patronyme »
    Dans votre bouche « fantôme » est une insulte comme « transparente » dans celle d’un patronyme.
    Qui du patronyme ou du pseudonyme attaque, je vous le demande.
    Mais je ne suis pas contre les femmes, et encore moins les fantômes ! Puisqu’aucun fantôme ne m’a jamais fait de mal… S’ils existent, il semble que non, mais on ne sait jamais.
    Halte à la discrimination, d’autant que si un tel phénomène existe, nous pouvons tous le devenir. « Un fantôme qui chante, on trouve ça rigolo », dit Trenet. Un fantôme qui commente, ce ne serait pas mal non plus, je trouve.
    Hélas, je pense qu’on les discriminerait, car trop blancs et pas assez de chair, comme maintenant, on s’en prend aux Noirs et aux gros, tout change, rien ne change.
    « « Vive le racisme ! » Si ce n’est pas de l’incitation à la haine raciale, c’est quoi ? »
    Du brahmanisme ? Je rigole, mais en principe, ce qui s’imagine supérieur ne hait pas les inférieurs, vous haïssez les chiens, les Anciens les esclaves, les phallocrates les femmes les brahmanes les hors castes et les nobles les roturiers ?
    En principe, non. Ce qui arrive, c’est que les dominants, racistes et autres, remis en question peuvent haïr, car lutter donne des émotions comme de la sueur, ainsi, la haine et que de toute façon, la lutte prête une certaine égalité à l’autre. Evidemment, normalement, les méprisés rampent comme vers de terre, mais il peut arriver qu’ils… luttent pour la justice, se vengent ? Je ne vais pas trancher, on dira, réagissent, éventuellement avec haine. Ils ne peuvent pas se payer le luxe d’ignorer leurs dominants.
    Mais nous simplifions tout en parlant de haine, et d’amour d’ailleurs, à tous propos quand d’autres choses existent que le noir et le blanc, c’est le cas de le dire. Quoi qu’il en soit, je pense que nous nous alignons sur les Etats-Unis, ce qui est heureux, si nous voulons être libres.
    Suis-je bête ? Non, en France, trop de gens rêvent de prendre le pouvoir sur l’autre bord de l’échiquier politique, d’établir une dictature.
    C’est à mon avis le problème, pas les « fantômes ».
    Les Français n’ont pas d’amour de la liberté, et moi d’éloquence, sinon j’en inspirerais.

  19. @ Patrice Charoulet | 08 juillet 2018 à 16:05
    Filandreux comme toujours, vous insinuez que « le maître du blog » se rendrait coupable par omission en laissant publier certains commentaires.
    C’est bien la peine de l’encenser à chaque billet qu’il publie pour aujourd’hui pointer ses coupables manœuvres s’il persévérait.
    Vous êtes un faux jeton, qui donc vous a attribué ces galons d’adjudant de la Morale ?
    La pauvreté de vos commentaires, l’insignifiance de votre culture générale glanée dans vos dictionnaires ne vous autorise pas à monter en chaire. Vous n’avez pas le calibre de ce blog.
    Restez donc à la place que la vie vous a attribuée, le strapontin.

  20. @ agecanonix 08 juillet 2018 à 12:29
    Idem ! mais en même temps s’il a trouvé un qualificatif qu’il trouve rigolo me concernant SURTOUT ne pas le contrarier, la bête malade 😀
    @ Mary Preud’homme 08 juillet 2018 à 15:25
    Franchement, vous et moi, de sbriglia et Deviro en s’en fiche un peu non ? Laissons-les dans leur… médiocrité ; ignorons-les.
    Adéo.

  21. @ Claude Luçon
    « S’occuper du foot et du Tour de France tout en célébrant le 14 Juillet voilà qui est patriotique, surtout en partant en vacances, qui prétend que nous sommes fauchés et que l’économie va mal ?
    En plus on en oublie le communautarisme, tout le monde redevient Gaulois pendant au moins un mois ! »
    Si le patriotisme se réduit à une tambouille mêlant foute, caravane cycliste, fausse fête et vacances, c’est vraiment le signe que nous sommes tombés bien bas.
    A peu près au niveau de l’Empire romain de la décadence.
    Et je crains que tout le monde ne redevienne pas Gaulois dans ces circonstances, loin s’en faut (pensons à la Promenade des Anglais).

  22. Après le seau, et le bac à sable de Brégançon, le Président a revêtu les crampons, il ne lui restera plus qu’à sauter sur le vélo et nous aurons un triathlète… Euh… C’est bien ça il fait du Sarkozy à ses heures, sauf que celui-ci au moins pédalait, Emmanuel se contente de participer.
    Emmanuel Macron fait aussi un peu de Chirac, gageons quand même qu’il saura tous les noms des joueurs et chaussera des pédales automatiques pour faire sa visite sur le Tour, Nicolas en été resté au cale-pied, et là je suis sûr qu’il aura retenu la leçon.

  23. Quant au fond, je crois, Monsieur Bilger, que votre alinéa de conclusion tente de donner une image de la position actuelle de monsieur Macron : « Il fait parler la poudre démocratique et politique. Ou reste dans son coin comme un observateur sans doute de moins en moins bienveillant. Ou garde l’arme au pied parce qu’il ne sait pas comment accorder les désaccords et donc quelle bataille livrer. »
    De fait nous sommes toujours dans le fameux « en même temps ». Agir sur certains plans, attendre sur d’autres parce ne sachant sans doute pas quoi entreprendre. Monsieur Macron est tout sauf idiot, mais il reste un représentant de sa caste, celle qui l’a poussé à se présenter aux élections présidentielles.
    Quelques transformations qu’il a envisagées se heurtent au principe de réalité. Et là se trouvent ses problèmes que son manque d’expérience politique et de pratique des rouages de l’État l’empêche de résoudre.
    Car sa théorie du premier de cordée, en remplacement de la notion de ruissellement qu’il ne retient pas, est trop fumeuse pour être opératoire quant à des effets bénéfiques pour le peuple français. En réalité, ses choix économiques et fiscaux continuent de pressurer les Français, singulièrement ceux des classes moyennes.
    Il suffit de voir le taux de captation de la richesse nationale par quelques centaines de personnes pour constater que les choix de Monsieur Macron nous conduisent au rétablissement de l’Ancien Régime…
    Par ailleurs, s’il avait eu du courage politique, notamment celui de contrer ses homologues de Bercy, il aurait dû remettre en cause le prélèvement des impôts sur le revenu à la source dès sa prise de fonction au lieu de la reporter d’un an. La plupart des économistes, notamment nombre de ceux de son propre bord, considèrent qu’il aurait été préférable d’en rester au mode de fonctionnement actuel qui, notamment avec la généralisation de la mensualisation, donne satisfaction et garantissait parfaitement la rentrée de l’impôt dans les caisses de l’État.
    De même pour la tenue de son « engagement de campagne » quant à la suppression de la taxe d’habitation qui, outre qu’elle prive les collectivités territoriales de fixer librement une partie de l’impôt, crée un tel trou dans les finances publiques que personne ne sait comment trouver les ressources pour le combler et compenser le manque à gagner du budget desdites collectivités.
    Où l’on voit que, comme les autres candidats à la présidence de la République, l’intelligence de la mesure et de son porteur sont loin d’être prouvées, car alors il n’aurait jamais dû proposer une mesure aussi démagogique, même si cet impôt devait être réformé.
    En revanche, un élément positif que j’ai retenu de la lecture de Marianne : « les Jeudis de l’Élysée » qui sont l’occasion d’inviter des personnes qui œuvrent pour le bien de la collectivité et en sus redonnent à l’orchestre de la Garde républicaine et à la musique leurs lettres de noblesse, n’en déplaise à un certain Torreton…

  24. @ Jabiru | 08 juillet 2018 à 12:54
    « Manifestement le style Macron est un style qui heurte.
    On lui reproche un exercice monarchique du pouvoir et une ignorance dédaigneuse du peuple. Ses récentes maladresses lui coûtent une baisse sensible de points d’indices positifs. »
    C’est le défaut de sa cuirasse. Ce côté impulsif qu’il a du mal à maîtriser. Son côté « c’est moi le chef ! » qui montre qu’il n’a pas encore pris ses marques de chef d’Etat.
    Ses deux prédécesseurs ont eu bien du mal eux aussi. Il faut croire que la tâche n’est pas facile…

  25. Oui, ça fait balance Roberval, avec un faux poids dans le contre-plateau.
    Ce que personne n’ose dire, c’est que le bilan économique, claironné à grands renforts de faux nez est très mitigé : Macron se singularise par une façon particulièrement vicieuse d’augmenter les impôts et les taxes. Que ce soit par le biais d’amendes routières espérées, de diminution de revenus ou de créations de situations fiscalement manipulées, ce virtuose énarque pompe chaque jour un peu plus dans la vie des Français.
    Bien sûr, il faut s’élever au-dessus de ce raisonnement de boutiquier, mais lorsque le recours à la réglementation contraignante, assortie de toujours plus de contrôles arrive à prélever encore plus de pénalités, on en vient à l’escroquerie morale.
    Bien évident que M.Macron n’a pas fait d’intervention sur le 80 km/h ; il sait très bien que c’est d’une totale inefficacité sauf fiscale. Quant au fléchage des fonds vers les hôpitaux, c’est un propos de maire de ville qui a laissé un trou béant derrière lui, une perversion politique.
    Lorsqu’on compare le régime allemand de l’excès de vitesse au nôtre, on en déduit très vite que la persuasion, l’effort sont totalement étrangers à M.Philippe, qui a affiché un mépris écoeurant envers les citoyens en les assurant qu’il ne prenait pas cette mesure pour les « emm… », tout en laissant affirmer la tolérance zéro. Effectivement, c’est seulement pour les voler.
    Je me souviens d’une tentative de verbalisation par un gendarme un peu… juste, qui n’avait à la bouche que ce mot « Zavékapayé ». Philippe, même chose.
    Comme les pédés à l’Elysée ont enlacé Mme Macron, le cobra Philippe nous crache à la figure. Et Macron lui passe le mouchoir pour l’essuyer.
    Mes petits des banlieues disent souvent « respé », nous, citoyens on dit « mépri ».

  26. @ Savonarole | 08 juillet 2018 à 17:12 08 juillet 2018 à 17:12
    Bien d’accord avec vous (sauf pour les homards bleus 🙁 oooh j’rigole ;)) et pour conclure vous auriez dû dire : Ouste !
    Adéo Savonarole ou qui que vous soyez, votre pseudo me va 😉
    ——————————————–
    @ Achille 08 juillet 2018 à 18:18
    « …qui montre qu’il n’a pas encore pris ses marques de chef d’Etat »
    Admettons, mais pour virer son chef d’Etat-Major il a su faire. Pour faire passer SES lois en force et au pas de charge il a su faire. Maintenant il va falloir qu’il accélère le pas pour « prendre ses marques » car il est entré dans la compétition de sauts de haies (aussi appelé : sauts d’obstacles) et dans cet exercice ce n’est pas comme au foot il n’aura pas onze partenaires pour l’aider, bien au contraire, s’il ne réagit pas à la rentrée, la règle des trois « L » (on lèche, on lâche, on lynche) va se terminer par les deux dernières expressions.
    Mais vous qui êtes macroniste, comme M. Bilger, j’ose espérer que vous ne nous donnerez pas à lire, dans les mois qui viennent, des billets de lâchage et de lynchage.
    Adéo Achille
    —————————————–
    @ Giuseppe 08 juillet 2018 à 18:02
    « …sauf que celui-ci au moins pédalait, Emmanuel se contente de participer »
    Au mieux il marche 😉
    En réalité Manu avait un avenir de théâtreux.
    Bon interprète, bien managé par Bribri, il nous a joué un premier acte pendant un an !
    Il nous a fait du Napoléon un temps, puis du Luchini, s’écoutant parler lorsqu’il parle, citant des auteurs pour faire comprendre à ceux qui ne sont rien que lui savait lire (au moins ses fiches), pas comme toutes ses ouvrières illettrées de chez Gad !
    Puis pour nous faire envier son côté trash (« libéré-délivré-je ne mentirai plus jamais » – la Reine des neiges) il a invité un groupe dont le DJ revendiquait par tee-shirt interposé, qu’il était noir (bon en même temps ça se voyait un peu), fils d’émigré (de son vrai nom Pierre Hache. Bon, j’dis ça…) et pédé. Ca du coup c’était crédible.
    Toutes les BFMTV, CNews, LCI, et autres si affinités institutionnalisées, ont crié au génie de la communication (mauvais signe…)
    En même temps, comme disent les ados « bon, là, ça c’est fait ».
    D’accord, mais maintenant ?
    Du coup il va falloir qu’il trouve d’autres scénaristes que Castaner, Ferrand ou l’ancien maire du Havre pour nous faire vibrer au-dessus des 80 km/h respectables le Manu, et malheureusement Audiard est mort alors que lui, aurait su mettre sur ses fiches les mots qui font peuple dans un discours ! Dommage…
    C’est pas tout ça mais la saison 2 elle commence quand ? En août ou en septembre ? Pasque moi, en juillet, je pars à Ouessant, et question réception télé ya à dire et à redire 😀
    De toutes façons : vive la rentrée ! avec Macron ET Bribri…

  27. @ Yves | 08 juillet 2018 à 11:53
    Vous apparaissez de temps à autre et vos propos s’opposent parfois à ceux de notre hôte. Pourtant nous pensons que vous ne faites qu’un avec lui. Si c’est le cas, et compte tenu de votre commentaire de ce jour, prenez l’étendard et allons combattre ensemble les misères que l’on impose à notre pays.

  28. Mary Preud'homme

    @ breizmabro | 08 juillet 2018 à 17:26
    J’ignore leur âge mais à en juger par de nombreuses remarques acides à l’égard des femmes qui s’expriment ici sans complexe, il me semble qu’ils ont largement dépassé le nôtre et en sont restés à la génération de nos parents, voire grands-parents où les femmes n’avaient pas le droit de faire de l’esprit… Et encore moins à une intelligence trop « voyante » susceptible de faire de l’ombre aux pauvres hommes…
    On en a d’ailleurs ici quelques spécimens qui faute d’arguments solides ramènent tout au sexe et à l’âge présumé de l’intervenante, la qualifiant systématiquement d’ignorante, de sotte, de bas bleu, Bécassine et autres gentillesses pour peu qu’elle se soit permis de les contrer dans leur argumentation, ou même de vulgaire ou de dévoyée si elle est allée jusqu’à ironiser sur quelque commentaire bancal, stupide, malvenu ou sectaire. C’est alors qu’elle est renvoyée systématiquement à sa cuisine et à son tricot, seules activités censées être compatibles (d’après nos phallocrates refoulés) avec son sexe, à plus forte raison si elle a dépassé la soixantaine !
    ——————————————
    @ Achille | 08 juillet 2018 à 18:18
    Pourquoi voulez-vous à tout prix comparer l’actuel président avec ses prédécesseurs ? Autrement dit faire un parallèle entre le tempérament bouillant et volontaire de Sarkozy, la tiédeur fadasse de Hollande, déjà élu par défaut contrairement à Sarko et la froideur calculée et méprisante de Macron qui se retrouva vainqueur au forceps, grâce au concours des médias aux ordres et au détournement de nombre d’électeurs de Fillon abusés par une campagne de dénonciations et de calomnies sans précédent ?
    A en juger par le résultat, ceux qui se sont laissé ainsi abuser ne peuvent pas être fiers et devraient plutôt s’abstenir de tout commentaire et faire profil bas.

  29. @ Robert
    « Par ailleurs, s’il avait eu du courage politique, notamment celui de contrer ses homologues de Bercy… »
    Ah, Bercy, un État dans l’État, des apparatchiks parfois arrogants qui se croient tout permis, y compris de dicter leurs oukases à leur ministre de tutelle, pourtant supposé en principe représenter un pouvoir sorti des urnes…
    Pas très démocratique, tout ça.

  30. Patrice Charoulet

    Un commentateur dont on ne connaît ni le nom ni la profession commente mon commentaire.
    J’y observais que l’injure publique et l’incitation à la haine raciale (pratiquées ici par plusieurs, parfois) enfreignant la loi française, elles ne pouvaient guère être, à mon humble avis, encouragées.
    Peu disert touchant l’incitation à la haine raciale (je n’ose imaginer un seul instant qu’il l’approuve !), il se borne à me gratifier de quelques beaux échantillons d’injures.
    J’ai droit à « faux jeton » (insulte), « adjudant de la morale » (insulte), « la pauvreté de vos commentaires » (insulte), « l’insignifiance de votre culture générale » (insulte). Enfin, ayant exercé plus de quarante ans la profession de professeur de lettres (profession qu’exerce un des fils de Philippe Bilger), notre insulteur dit que j’ai occupé un « strapontin » dans la société française et que je n’ai pas le « calibre » requis pour accéder à ce blog.
    Je laisse aux lecteurs de ce blog le soin de juger ces manières et ces propos.
    N’ayant pas de goût pour l’injure publique, ce commentateur me permettra de ne pas lui en adresser.

  31. Dans les décisions du gouvernement il en est une dont je ne comprends pas du tout la raison, le prélèvement à la source.
    Alors que 60% des Français avaient opté pour la mensualisation avec tous les ajustements possibles et prélèvements automatiques, une vraie machine à cash qui ne coûtait pas cher en fonctionnement, demain la vie devrait être plus belle.
    Voilà qu’il est envisagé d’adapter maintenant l’ajustement du crédit d’impôt en cours de route donc on revient à la case départ.
    Incohérence totale, l’argument de prélèvement sur les gains en temps réel non plus.
    « Une première impression cherchait à instiller l’idée que ce pouvoir n’était pas celui d’un « roi fainéant » mais une invention et une énergie toujours en mouvement » (PB).
    C’est un peu vrai, mais le mouvement ne doit pas être de brasser de l’air, et en plus au premier janvier 2019, ce qui devait passer pour un gain de pouvoir d’achat pour les salariés va se transformer sur la feuille de paye par un vrai cauchemar, un écart – relatif et temporaire – qui va psychologiquement provoquer le contraire du but recherché, la colère en bas du total.
    Enarque un jour, énarque toujours, nos voisins qui gèrent à la source n’ont pas tous ces complexités fiscales, alors que notre Etat s’acharne à faire compliqué sur un système très compliqué en voulant le vendre pour simple.

  32. Claude Luçon

    @ Exilé | 08 juillet 2018 à 17:55
    « …c’est vraiment le signe que nous sommes tombés bien bas. A peu près au niveau de l’Empire romain de la décadence. Et je crains que tout le monde ne redevienne pas Gaulois dans ces circonstances, loin s’en faut (pensons à la Promenade des Anglais). »
    Merci !
    C’est ce que je pense mais n’osais pas l’écrire !
    J’ai utilisé l’humour à l’anglaise faute d’avoir la promenade à proximité 🙁
    Promenade que j’ai connue en des temps meilleurs quand des camions de 18 Tonnes ne faisaient pas du slalom dessus.

  33. anne-marie marson

    « @ Deviro
    Pourquoi répétez-vous sans cesse « la pétomane Breizmabro », je ne comprends pas ni cette insulte, ni ce radotage… seriez-vous malade ?
    Rédigé par : agecanonix | 08 juillet 2018 à 12:29″
    Je suis d’accord, Deviro doit être malade.
    Je me souviens que Deviro m’avait interpellée il y a quelques mois parce que j’avais traitée Brigitte Macron de « vieille poule ».
    En plus d’être d’une très grande vulgarité, Deviro est également d’une ignorance crasse.
    Je lui conseille pendant ses vacances de revoir l’ensemble des vidéos de « La Cuisine des Mousquetaires » de Maïté. pour apprendre ce qu’est une vieille poule. Pendant ce temps, Deviro arrêtera peut-être d’insulter tout le monde.

  34. @ Deviro de 19:04
    « …j’ai honteusement plagié Savonarole »
    Je n’ai jamais traité quelqu’un sur ce blog de « pétomane ».
    Mais j’ai utilisé le terme de « pétomane de foire » pour qualifier tel ou tel homme politique.
    D’ailleurs, au point où nous en sommes en politique un orchestre de pétomanes de foire reste à créer…

  35. @ Mary Preud’homme | 08 juillet 2018 à 19:15
    « A en juger par le résultat, ceux qui se sont laissé ainsi abuser ne peuvent pas être fiers et devraient plutôt s’abstenir de tout commentaire et faire profil bas. »
    Mais figurez-vous que j’avais voté Fillon au premier tour. C’est d’ailleurs la première fois, dans ma vie d’électeur qui remonte à 1974, que je votais pour un candidat de droite au premier tour.
    Certes j’ai voté Chirac en 2002, mais au second tour comme la plupart des socialos, ce qui explique d’ailleurs son score digne d’une république bananière.
    Que fallait-il faire au second tour ? S’abstenir et laisser ainsi le champ libre au FN ? Il n’en était pas question.
    EM a certes des défauts, mais il mène les réformes indispensables pour redresser la barre de l’économie en France.
    On n’élit pas un président parce qu’il est sympathique, qu’il aime faire des blagounettes et n’hésite pas à serrer les milliers de mains lors de ses visites dans les villes de province.
    On l’élit pour qu’il sorte le pays du bourbier dans lequel ses prédécesseurs l’ont mis parce qu’ils n’ont pas su prendre les bonnes décisions.
    On le jugera en 2022 en fonction du travail accompli.

  36. Robert Marchenoir

    La médiocrité de l’action du président de la République décourage l’attention. Ce qu’on disait hier de Hollande et avant-hier de Sarkozy, on peut le redire sur Macron en changeant quelque détails.
    L’un sera moqué pour ses T-shirts NYPD, l’autre pour sa capacité à faire tomber la pluie, le petit dernier pour ses pittoresques camarades de la Fête de la musique.
    C’est pourquoi l’insolence de quelques drôles, qui s’emploient, ici, à détourner la conversation avec des énormités plus grosses qu’eux, tend à être plus distrayante que les commentaires les plus intelligents qui puissent se faire sur la politique présidentielle.
    Ainsi, un certain « Patrice Charoulet », fortement inconnu au bataillon, aurais-je tendance à dire, pousse l’impudence jusqu’à venir donner des leçons de droit à… Philippe Bilger, sur son propre blog. Ce serait comique si ce n’était grossier. Le comique de répétition tend à disparaître lorsque l’impolitesse atteint des records. Charoulet Patrice a-t-il fait un pari avec ses copains de bistrot ? Aurait-il juré de décrocher le World Award 2018 des butors, des malpolis et des prétentieux ? Je puis lui assurer que c’est bien parti.
    Une certaine « Mary Preud’homme », tout aussi inconnue, nous assure qu’il serait misogyne de dire d’une femme qu’elle est sotte. Comme s’il n’existait pas des imbéciles des deux sexes. Comme si elle ne venait pas de faire la preuve de son insondable sottise, en n’étant même pas capable de m’insulter sans comprendre complètement de travers le commentaire d’un gazier aussi inconnu qu’elle — et tout également voué à le rester.
    Comme si elle ne faisait pas, à l’instant, derechef la preuve de sa sottise et de sa prétention, en se vantant — tenez-vous bien — d’être pleine d’esprit.
    On ne s’étonnera pas que la même qui affecte de trouver misogyne la rebuffade la plus justifiée envers une femme (Son Altesse parachutiste, en l’occurrence) hurle au « racisme » dès lors qu’on documente les maux sociaux dont les Noirs se rendent coupables.
    Heureusement que ces énergumènes se prétendent de « droite » ; qu’est-ce que ce serait, s’ils étaient à la gauche de l’extrême gauche…

  37. Cher Philippe,
    L’heure est grave.
    Nous ne disposons plus de pouvoir parlementaire puisqu’aucun amendement des oppositions n’est entendu et que le Congrès qui arrive prétend réduire encore le nombre de parlementaires.
    Ce que nous pouvons observer est l’incarnation de la vengeance des Jésuites censurés sous Louis XV qui reviennent signer la mort de notre République.
    Tout va de travers.
    Le droit de vote lui-même est remis en cause, car une bande de bourgeois un peu libertins a détourné le suffrage universel avec la complicité du gouvernement des juges et cela est absolument répugnant. Puant serait le mot exact.
    Devant ces brisures manifestes du rôle des parlementaires et cette déviation perverse orchestrée par quelques juges qui ne sont que des humains, faut-il le rappeler et qui ne peuvent pas peser autant que des millions d’électeurs, devant le gouvernement des juges et l’écrasement des parlementaires nous ne pouvons que constater la mort programmée de la République.
    En aliénant le suffrage universel, en tentant de briser le système parlementaire, en souhaitant briser les partis politiques, les syndicats, nous assistons au sacre de la monarchisation du pouvoir présidentiel que nous refusons. Et pire que ça, une monarchie sans Chambre !
    Le King Emmanuel est né. Le peuple est malheureux. Le roi en est la cause.
    Emmanuel est devenu le bien haï à l’image de Louis XV et ne cherchons plus les duchesses de Pompadour.
    Pour conclure, Macron est le virus mortel de la République et nous devons faire sortir le ver du fruit ou le transformer en papillon.
    françoise et karell Semtob

  38. @ Breizmabro
    Je trouve bien qu’on trouve mal de vous donner un surnom mal sonnant. Pensant à vous, je me suis dit qu’on calomniait parfois les Bretons et qu’en tout cas, le climat breton était souvent dénigré… Cependant, outre les paysages poétiques, au moins un micro-climat permet le meilleur :
    https://www.youtube.com/watch?v=pIDB7Ot9kDE

  39. Il y a des publications sans photo. C’est monstrueux ! Il y en a d’autres où on cherche le texte – enfin, on cherche c’est vite dit – comme Match ou le Fig. de Madame. Et puis il y a l’entredeux, toute la gamme !
    Il fut un temps, celui de Beuve-Méry, où « Le Monde » ce n’était que des lettres enfilées les unes à la suite des autres. Sans la moindre illustration. Verboten ! C’est tout juste si on se permettait parfois un petit graphique en bas de page, une courbe, toujours montante de gauche à droite, il ne faut quand même pas désespérer Billancourt !
    Les gens sérieux le lisaient componctueusement. Il était au programme de l’ENA, cette école qui avait remplacé l’X et Normale dans le cœur des Français. Les jeunes savaient qu’à l’oral ils seraient interrogés sur un « article de fond » de ce quotidien.
    Un jour se produisit un ébranlement considérable. Certains prétendirent qu’ils avaient cru voir en pleine page du journal quelque chose comme une image, un croquis, un dessin, enfin quelque chose qui n’était pas de l’écrit. Ceux qui vécurent ce cataclysme et qui subsistèrent pourront vous raconter.
    La porte était ouverte, le journal « de référence » devint comme les autres et l’on put y voir, comme ailleurs, des pleines pages d’un Monsieur exhibant les chaussures Groll ou d’une dame vantant le parfum Calèche !
    On prit même l’habitude de voir en première page un dessin pour faire rire dont il faut reconnaître que bien des fois il nous dispensait de la lecture du reste de journal !
    Des hebdomadaires, qui se voulaient sérieux dérapèrent pareil et le chaland qui se les procure encore n’achète bien souvent qu’un catalogue de pubs.
    Puis vint le temps des blogs. Des blogs sentencieux j’entends ! Il y en a d’infiniment austère ; que du texte, exemple Rioufolnamo [*]. D’autres se permettent n’importe quoi.
    Notre maître a choisi l’équilibre, le classique, le sûr. Comment s’étonner ?
    Un article d’une longueur moyenne, acceptable – entre Achille et Marchenoir si on peut se permettre -, qu’il est possible d’assimiler dans la journée pour peu que le lecteur n’ait pas un programme trop chargé.
    Un texte coupé généralement en deux morceaux d’égale dimension séparés par une photo de presse dont la qualité technique ne laisse rien à désirer.
    Je dois avouer que cette présentation m’horripilait quelque peu jusqu’au jour où je me rendis compte que ces photos, qui me donnaient de l’eczéma quand elles représentaient un politicien standard, pouvaient être d’un grand intérêt.[**]
    Ainsi en fut-il pour celle où l’on voit l’hôte de l’Elysée en majesté entouré de ses invités lors de la dernière fête dite de la musique. Il était fort possible que cette scène d’anthologie aurait fort bien pu m’échapper.
    Venons-en à la photo de ce jour, laquelle n’est autre que la photo officielle de Monsieur le président de la République actuellement en fonction, et ceci pour encore quatre ans à moins que Dieu ne veuille en décider autrement !
    Avec un petit détail ! Qui n’a échappé à personne ! Trafiquée elle n’a pas été ! Recadrée elle a été ! Et pour être précis on a shunté le bas du « tableau ». Pour qu’elle s’intègre harmonieusement dans l’article car ce talisman officiel est tout en hauteur. C’est l’explication qu’on nous donnerait si nous en demandions une ! Mon œil, que l’on rétorquerait alors, nous savons bien que tout le signifiant, ou presque, est dans la partie enlevée !
    Alors !
    Ce qu’on nous donne à voir c’est un homme qui nous regarde intensément, d’un regard suffisant, froid et dur, glacé-glaçant, une esquisse de sourire méprisant, un personnage en costard correct sans plus – un homme qui travaille et qui donc peut s’en payer un sans recourir aux services de Bourgi – et en arrière-fond un triangle d’azur qui semble sortir de cette noble tête pour se perdre dans l’infini !
    L’intéressant est au-dessous du sternum du bonhomme !
    Rappelez-vous !
    Il y a d’abord ces mains dont les veines, gonflées par l’effort traduisent au plus haut point l’agrippement névrotique du personnage au bureau contre lequel il s’appuie. Tellement saisissant qu’on ne voit que cela !
    Le bureau, c’est celui de l’Etat. L’homme fait corps avec lui, cet homme c’est l’Etat. Il y a manifestement un double attachement – de l’homme vers le bureau, du bureau vers l’homme – une symbolique double. L’homme s’identifie à l’Etat et l’Etat ne pourra fonctionner que grâce à lui. On ne « l’arrachera » pas de sa mission sacrée qu’un pouvoir, probablement surnaturel, lui a confié. Ce n’est pas un humain, il vient d’ailleurs, c’est un prédestiné, dès son plus jeune âge il a été « distingué », un être de lumière !
    Et justement, cela tombe bien, car dans l’anéantissement dans lequel la nation se trouve, seul un être d’exception pourra la sauver.
    Habité par sa mission rien ne l’en détournera, lui seul sait, et sa compagne qui le guide et veille depuis toujours sur sa destinée !
    Il y a aussi les 3 livres, les 3 Pléiades ! Posés négligemment sur le bureau. Dont l’un est posé ouvert, ce qui casse le dos !
    Tout le monde a des Pléiades – enfin peut-être pas le migrant qui vient d’arriver – mais personne ne les montre, ce serait du plus mauvais goût, on les cache au fond des bibliothèques, ce sont des objets fragiles, on ne les lit pas, le papier est impalpable, les pages se tournent avec difficulté. Quand on veut à toute force en lire un, on l’emprunte !
    Montrer ses Pléiades c’est affligeant ! Montrer ceux qu’on lit c’est provocant ! Il y a là de la pédagogie : « Voyez braves gens ce que je suis, ce que je préconise, je suis votre guide, je vous invite à suivre mon chemin, je suis la vérité et la vie ». Obscène !
    3 livres ! Une « trinité » ! Quels ?
    Celui qui est ouvert : Les Mémoires de guerre du Général. Tout le monde les a lus il y a cinquante ans. Quand ils parurent. Aujourd’hui un ouvrage pour les adolescents, ou pour des adultes qui n’ont pas eu l’honneur de porter l’uniforme ; un manque ressenti comme une faiblesse, une blessure qui peut motiver de grandes extravagances jusqu’à se déguiser en Top Gun ! Un chef de guerre !
    Les deux autres. D’abord Stendhal. Une « trinité » de héros : Fabrice, Lucien, Julien.
    Fabrice, le héros romantique par excellence, l’homme d’un amour rêvé jusqu’à la mort. Lucien, un jeune homme sage, respectueux, bon fils, amant fidèle, aurait eu une grande carrière, honoré de tous si le roman avait été achevé.
    Julien, une crapule, arriviste, pris en main par des « forces obscures », un goujat qui détruit une famille, qui séduit une femme qui à l’âge de sa mère – ou presque – et qui trempe dans des machinations politiques viles.
    C’est ce dernier que l’on expose, telle une provocation !
    Le dernier, Gide, est encore « trinitaire ». On l’envisage sous trois aspects. D’abord le littéraire, l’écrivain jusqu’au bout des ongles, probablement la dernière grande écriture « classique » française. Puis le « politique », le courageux qui se dressa contre la colonisation, œuvre maçonnique, et l’URSS, celle des marxistes, les deux forces politiques du XXe siècle.
    Enfin l’homme privé, peu ragoûtant, guide négatif de la jeunesse du début de siècle : celui des nourritures terrestres, ah ! la ! la !
    C’est celui-là que l’on expose !
    Oui ! Finalement, notre hôte a raison, enlevons de cette photo officielle ce que nous ne saurions voir !
    [*] On m’a demandé la signification de Rioufolnamo ! C’est un univers concentrationnaire aux mains d’une coterie très marquée politiquement, d’autant plus virulente qu’elle est désespérée.
    Rioufolnamo comme Guantanamo !
    [**] J’ai dit l’analogie entre deux de ceux-là : Xavier B et Thierry S. Notre camarade « fugace », qui en son temps a su, grâce à sa technique, exhumer une caricature ancienne d’Anastasia, pourrait-il – pour notre plaisir – mettre côte à côte les photos de ces personnages pour qu’on puisse d’un seul coup d’œil vérifier ou infirmer cette hypothèse ?
    Quoi qu’il en soit, je le remercie amicalement.

  40. @ Patrice Charoulet | 08 juillet 2018 à 19:59
    Ceux qui le connaissent bien (dont je suis) auraient dû vous prévenir. Quand Savonarole sort son flingue, c’est Clint Eastwood dans le Bon, la Brute et le Truand. Celui qui est dans sa ligne de mire mord la poussière à tous les coups.
    Votre obstination à vouloir ferrailler avec Marchenoir est assez pathétique. Vous lui donnez l’occasion de vous ridiculiser, ce dont il ne se prive pas.
    Vous n’avez sans doute pas tort sur le fond, car le thème du racisme est une noble cause, surtout en ce moment, mais vos lamentations ont le don d’exaspérer les plus impassibles de ce blog.
    Le mieux pour vous est encore d’éviter la polémique avec ceux qui, sur ce blog, en font commerce et de donner tout simplement votre avis sur le billet du jour.

  41. @ Giuseppe 08 juillet 2018 à 21:21
    Je me pose une question (idiote, forcément idiote puisque je suis une femme..) et à vous de même.
    Puisque les chefs d’entreprises, commerçants et artisans seront missionnés pour procéder à la récolte de l’IRPP, en plus de la TVA (!), que se passera-t-il le jour où l’un de ces professionnels indépendants viendra à être mis en liquidation judiciaire et à cesser son activité professionnelle ? Est-ce le mandataire liquidateur qui deviendra percepteur de l’impôt sur le revenu des salariés durant la procédure et si oui dans quelles conditions ?

  42. Laissez-les, mon cher Patrice, se rouler dans leur fange, chaque volute qu’ils dégagent dessine les contours de leurs échecs, ils n’ont, comme Mme Le Pen pendant ce fameux débat, que le recours aux blagues qui ne sauraient cacher le vide sidéral de leurs assertions.
    En même temps, c’est bien le théâtre des Deux Ânes, ils devraient postuler et y produire leur pièce « Un roi zoulou chez les Gaulois », chef-d’œuvre de finesse et de retour aux vieilles lunes archaïques, ces concepts que toute la littérature que vous avez eu l’honneur d’enseigner a déjà, et depuis si longtemps, envoyés aux lumières du néant.

  43. « Il y a aussi, malgré les apparences, la préoccupation très relative qu’il affiche au sujet de la Justice, des peines et des prisons ».
    Comme Hollande donc… mais finalement n’est-il pas une déclinaison du capitaine de pédalo ?
    Il présente mieux, il parle mieux, mais a-t-on vraiment besoin d’une sorte de curé nous assénant des sermons d’au moins une heure sur tout et n’importe quoi ? Il semble plus dynamique, plus énergique, mais où sont les mesures de réduction des dépenses publiques, où sont les efforts consentis à ce qui ressortit du régalien ?
    Quant au reste, on a droit à des injonctions contradictoires, surtout sur l’immigration : il faut être généreux mais « en même temps » il convient d’être ferme, et sur l’islam c’est « courage fuyons » !!
    On atteint maintenant les limites d’un parfait inconnu, élu sur un coup de chance et sur l’idée d’un renouvellement de la politique alors qu’il ne s’agit que d’une redistribution des rôles comme dans un pièce de théâtre : la technocratie reprend sans conteste le pouvoir, le PM est cantonné au rôle de délégué à la sécurité routière et les parlementaires sont priés de mettre leurs amendements en sourdine.`
    Macron est typiquement de la caste des inspecteurs des finances : gens brillants mais parfaitement hypocrites et sans réelles convictions. L’idée est d’enfourcher un canasson politique auquel on coupera les jarrets le moment venu : c’est ce qu’il a magnifiquement exécuté avec monsieur « petites blagues ».
    Il semblerait, d’après les sondages que les Français ont compris qui était à l’Elysée : un jeune arrogant surtout soucieux d’écouter lui-même et « Brizitte » !

  44. Michelle D-LEROY

    Ce jeune Président-Monarque a d’abord été élu et a vécu une année de tranquillité grâce à une aura médiatique exceptionnelle. Grands patrons, journalistes, artistes et élites en tout genre ont entretenu une illusion depuis le 8 mai 2017 au moins.
    Chaque action, chaque décision, chaque discours ont été adulés et mirifiés par une presse méconnaissable. Des médias qui, de gauche au centre droit, n’avaient de mots assez durs envers François Hollande et Nicolas Sarkozy, et épluchaient et analysaient chacune de leurs actions ou non-actions avec cet esprit critique qui fait le sens et l’attrait de leur profession et qui, depuis un an, se décrédibilisent.
    Les réformes se sont succédé à un rythme endiablé, toujours dans l’illusion, commençant par la transparence en politique, jusqu’à celle de la SNCF.
    Après quarante ans de laisser-aller et de rustinage, les Français étaient dans une telle attente de changement, de justice sociale, de réformes en profondeur qu’ils ont espéré un renouveau au-delà de leur convictions personnelles.
    Malheureusement ce qu’on nous a vendu comme les réformes du siècle a été bâclé et fait a minima.
    Prenons les impôts :
    Robert : « De même pour la tenue de son engagement de campagne quant à la suppression de la taxe d’habitation qui, outre qu’elle prive les collectivités territoriales de fixer librement une partie de l’impôt, crée un tel trou dans les finances publiques que personne ne sait comment trouver les ressources pour le combler et compenser le manque à gagner du budget desdites collectivités ».
    Giuseppe : « le prélèvement à la source.
    Alors que 60% des Français avaient opté pour la mensualisation avec tous les ajustements possibles et prélèvements automatiques.. »
    J’ajouterai la semi-suppression de l’ISF si injuste pour ceux qui ont investi dans l’immobilier.
    Avant même d’enclencher ces mesures non urgentes, il aurait été indispensable de faire une réforme générale des impôts dont les défiscalisations pléthoriques et complexes sont devenues des usines à gaz et pour mieux répartir des taxations qui se font essentiellement sur une classe moyenne étouffée.
    Indispensable encore de réfléchir à l’utilité de ces mesures coûteuses, à une répartition plus juste. Mais, comme le répète Gilles Bouleau, journal après journal : « Le candidat Macron l’avait promis, le Président Macron l’a fait ». Pourtant, entre promesses de campagne démagogiques et réalités, nous savons qu’il y a toujours un fossé et que la réflexion posée aurait été judicieuse et appréciée.
    Les impôts sont un exemple, mais on peut regarder ses réformes, elles sont du même acabit. A la SNCF, par exemple, il a choisi le plus simple. S’il a tenu tête au cheminots, face à des Français archi-fatigués par des grèves régulières depuis quarante ans, il ne risquait pas grand chose. La dette a été reprise par l’Etat, c’est-à-dire nous, et pourtant il n’a ni révoqué ni même désavoué un PDG usé et sans initiatives dignes de son poste, il a encore moins exigé un plan général d’économies drastiques sur l’exploitation des lignes. Il a désigné juste les cheminots comme des nantis face à la vindicte populaire (je n’ai aucun proche à la SNCF, je le précise).
    Bref depuis un an tout est ainsi, M. Macron méprise, tacle ou insulte des catégories de Français, donne l’impression de tout contrôler, de tout savoir et de faire des changements exceptionnels. C’est un grand magicien et surtout on reconnaît les méthodes de management de grandes entreprises, appliquant les conseils tape-à-l’oeil de grands cabinets, trop souvent vendeurs de vent. Des méthodes qui servent généralement à faire des économies sur les petits salariés pour mieux servir les intérêts des plus riches (actionnaires dans le cas des entreprises), détricotant l’existant supposé trop vieillot pour moderniser en façade. Là encore je tiens à préciser que je ne suis pas mélenchoniste mais que j’ai pu faire ce simple constat surtout dans les dernières années de ma vie professionnelle.
    Sauf que si la presse et les admirateurs inconditionnels du Président sont toujours dans le déni, de plus en plus de Français comprennent que la politique d’Emmanuel Macron est un mirage.
    Sans doute est-il entouré d’excellents ministres, mais je crains qu’ils ne soient empêchés de prendre des initiatives. Si je prends Agnès Buzyn, j’ai senti comme une lassitude de sa part lorsqu’elle a évoqué la coupe du monde de foot pour excuser la non mise en place du plan pauvreté.
    Car dans des domaines difficiles, Emmanuel Macron toujours dans le « en même temps » semble incapable de prendre des décisions trop polémiques : réorganisation des hôpitaux et des besoins médicaux, bioéthique, construction des prisons, sécurité des Français, immigration, laïcité et organisation de l’Islam de France et bien d’autres adaptations indispensables telles que de rendre l’école mieux adaptée aux besoins du monde du travail, etc.
    Alors certes, Emmanuel Macron a pris la direction d’un pays malade et fracturé par quarante ans de désinvolture politique et même de lâcheté, mais on a fait croire aux Français qu’un monde nouveau était arrivé, ils ne voient que la continuité avec juste la jeunesse en prime.
    Hormis sa politique ordinaire, le Président se révèle people et cherche à plaire aux minorités, protégeant ceux qui font le plus de bruit, par pure provocation.
    La communication entre provocation, illusion et diversion… cela n’aura qu’un temps, déjà bien entamé.

  45. @ Robert Marchenoir
    « Comme si elle ne faisait pas, à l’instant, derechef la preuve de sa sottise et de sa prétention, en se vantant — tenez-vous bien — d’être pleine d’esprit. »
    « Heureusement que ces énergumènes se prétendent de « droite » ; qu’est-ce que ce serait, s’ils étaient à la gauche de l’extrême gauche… »
    Dites-nous s’il vous plaît les conditions nécessaires et préalables qui nous permettront de ne pas faire cette erreur grossière de trouver de l’esprit ailleurs que sous le large front de Marchenoir ?
    Puis quand vous nous aurez subjugués, portez donc à notre connaissance cette règle d’or dont il découle le tableau (qui n’a rien à envier à celui de Monsieur M et qui me sert pour mes vinaigrettes) qui guidera nos pensées dégauchies et empêchera la confusion de l’esprit… Gauche, droite, milieu, il faut absolument éviter la rencontre fortuite avec les c… mais encore faut-il savoir dans quel camp ils se trouvent ??
    De l’ESPRIT, donnez-nous de l’ESPRIT !!

  46. « @Savonarole
    @ Deviro de 19:04
    « …j’ai honteusement plagié Savonarole »
    « Je n’ai jamais traité quelqu’un sur ce blog de « pétomane ».
    Mais j’ai utilisé le terme de « pétomane de foire » pour qualifier
    tel ou tel homme politique. » »
    ——————————
    Mais si, mais si :
    « Quant à Breizmabro, votre cantinière de campagne, la pétomane du régiment, dites-lui d’arrêter la soupe aux choux, ça retarde l’avancée des troupes. Savonarole | 14 janvier 2018 à 06:47″
    pétomane, mais je ne savais pas !
    Il est vrai que le compliment est pertinent, vu l’odeur, les miasmes, les relents, les remugles que dégagent ses posts concernant l’épouse du président de la République…
    On négligera les insultes à la Marchenoir, petit c…, gros c…
    c’est tout à fait véniel, ça fait partie de son vocabulaire courant, la classe, quoi !
    Mais la dame sait aussi être sérieuse, la preuve, ce post
    « Raffarin qui, entre parenthèses s’est retiré de la vie politique, dit qu’il met Wauquiez « en observation vigilante », moi je mets Macron « en observation attentive ».
    Rédigé par : breizmabro | 17 décembre 2017 à 19:00″
    On me pardonnera ma réponse, je n’ai pas pu résister :
    à l’Elysée, ils font tous dans leur froc…

  47. Mais j’incline à penser que sa faiblesse sur le judiciaire ne tient pas seulement – et il est loin d’être le seul en politique avec cette disposition – à son désintérêt mais surtout au fait qu’il refuse de prendre en compte le lien pourtant avéré chaque jour entre le judiciaire ordinaire et le terrorisme.
    Effectivement, le terrorisme, qui frappe les imaginations, n’est qu’un épiphénomène, de même qu’une éruption volcanique inopinée est la résultante d’une intense activité permanente du magma souterrain.
    Il existe des liens étroits entre le terrorisme et la délinquance ordinaire pour diverses raisons, à savoir principalement d’une part une concordance objective d’intérêts, avec le recours au trafic de stupéfiants pour financer l’achat d’armes et d’autre part une perspective à caractère religieux offerte à des voyous de parvenir à une rédemption par le sacrifice de leur vie dans un attentat (exemple de Merah).
    http://www.atlantico.fr/decryptage/criminalite-et-terrorisme-ces-poreuses-frontieres-entre-grands-bandits-et-djihadistes-alain-rodier-2853536.html
    Mais considérer le traitement de ces divers cas de figure uniquement sous l’angle judiciaire, sans remonter aux causes premières, relève des soins palliatifs et des cautères sur une jambe de bois.
    Comment les pouvoirs publics, les hommes politiques et les magistrats qui, au nom de l’égalité, traitent les hommes comme des matricules, n’ont-ils pas encore compris qu’une grande partie de ces comportements déviants s’explique non pas par le chômage, l’exclusion, la pauvreté ou le racisme et autres fadaises de sociologues mais par des raisons liées au fossé culturel séparant pour des motifs historiques d’ordre politico-religieux notre civilisation de celle de la plupart de ceux qui s’invitent chez nous ?
    Comment des jeunes gens élevés dès la petite enfance dans la haine des céfrancs colonialistes qui ont « pillé leur pays», ou bien des koufars qu’il est religieusement licite voire obligatoire de traiter en êtres inférieurs de diverses manières que la loi « laïque » condamne pourtant, ne pourraient-ils pas devenir schizophrènes ?
    De même, mettons-nous à la place de ces jeunes gens à qui leur milieu social a fait comprendre depuis toujours quelle était la position de la femme sur l’échelle classifiant les êtres vivants – que nous ne détaillerons pas ici – et qui se retrouvent dans leur scolarité face à des enseignantes qui se permettent de leur donner des ordres et de les noter alors qu’ils savent qu’ils n’ont pas d’ordres à recevoir d’une femme, y compris de leur mère ?
    C’est également valable pour ceux à qui leur parcours un peu chaotique dans l’existence donne l’occasion de se voir jugés – ô suprême humiliation – par des magistrats féminins même pas voilées pour aggraver les choses…
    Alors, dans ces conditions, n’est-il pas inévitable que, tiraillés entre deux visions du monde totalement opposées, ils ne trouvent d’autre alternative à ce conflit intérieur que le recours à la violence, qu’elle soit d’ordre comportemental, délinquant, criminel voire terroriste pour expurger les tensions qui les animent ?

  48. @ breizmabro | 08 juillet 2018 à 18:44
    Bon, on sent que Macron relance l’activité, les casiers sont-ils tous relevés ? Vous devriez convier Brigitte à vous aider… A Brégançon le homard doit être rare au fond d’une piscine, elle doit adorer relever les casiers, euh… si seulement Paris Match pouvait être dans les parages !

  49. Catherine JACOB

    @ Patrice Charoulet | 08 juillet 2018 à 19:59
    « N’ayant pas de goût pour l’injure publique, ce commentateur me permettra de ne pas lui en adresser. »
    Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse
    • CHAPITRE IV : DES CRIMES ET DELITS COMMIS PAR LA VOIE DE LA PRESSE OU PAR TOUT AUTRE MOYEN DE PUBLICATION
    Paragraphe 3 : Délits contre les personnes.
    Article 29 Modifié par Ordonnance du 6 mai 1944 – art. 4
    « Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation. La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommé, mais dont l’identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés.
    Toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait est une injure. »
    Je crois que l’insulte pourrait correspondre en effet à la fin du § qui parle d’ invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait est une injure.
    Article 32 Modifié par Loi n°2004-1486 du 30 décembre 2004 – art. 21 JORF 31 décembre 2004
    §1/4 sur « La diffamation commise envers les particuliers par l’un des moyens énoncés en l’article 23 sera punie d’une amende de 12 000 euros. »
    Vous êtes en effet considéré en tant que commentateur comme un tel ‘particulier’.
    Article 34
    « Les articles 31, 32 et 33 ne seront applicables aux diffamations ou injures dirigées contre la mémoire des morts que dans le cas où les auteurs de ces diffamations ou injures auraient eu l’intention de porter atteinte à l’honneur ou à la considération des héritiers, époux ou légataires universels vivants.
    Que les auteurs des diffamations ou injures aient eu ou non l’intention de porter atteinte à l’honneur ou à la considération des héritiers, époux ou légataires universels vivants, ceux-ci pourront user, dans les deux cas, du droit de réponse prévu par l’article 13. »
    Article 35 Modifié par Décision n°2011-131 QPC du 20 mai 2011 – art. 1, v. init.
    « La vérité du fait diffamatoire, mais seulement quand il est relatif aux fonctions, pourra être établie par les voies ordinaires, dans le cas d’imputations contre les corps constitués, les armées de terre, de mer ou de l’air, les administrations publiques et contre toutes les personnes énumérées dans l’article 31.
    La vérité des imputations diffamatoires et injurieuses pourra être également établie contre les directeurs ou administrateurs de toute entreprise industrielle, commerciale ou financière, dont les titres financiers sont admis aux négociations sur un marché réglementé ou offerts au public sur un système multilatéral de négociation ou au crédit.
    La vérité des faits diffamatoires peut toujours être prouvée, sauf :
    a) Lorsque l’imputation concerne la vie privée de la personne ;
    b) (Abrogé)
    Lorsque l’imputation se réfère à un fait constituant une infraction amnistiée ou prescrite, ou qui a donné lieu à une condamnation effacée par la réhabilitation ou la révision ; »
    Enfin, intéressant § II. de l’Article 35 ter modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 – art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002 susceptible d’être appliqué à propos de l’affaire FPC.
    « I. – Lorsqu’elle est réalisée sans l’accord de l’intéressé, la diffusion, par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support, de l’image d’une personne identifiée ou identifiable mise en cause à l’occasion d’une procédure pénale mais n’ayant pas fait l’objet d’un jugement de condamnation et faisant apparaître, soit que cette personne porte des menottes ou entraves, soit qu’elle est placée en détention provisoire, est punie de 15 000 euros d’amende.
    II. – Est puni de la même peine le fait :
    – soit de réaliser, de publier ou de commenter un sondage d’opinion, ou toute autre consultation, portant sur la culpabilité d’une personne mise en cause à l’occasion d’une procédure pénale ou sur la peine susceptible d’être prononcée à son encontre ;
    – soit de publier des indications permettant d’avoir accès à des sondages ou consultations visés à l’alinéa précédent. »
    Pour le reste des infractions possibles en matière de publication et de leurs sanctions éventuelles voir ICI .
    ———————–
    « Enfin, ayant exercé plus de quarante ans la profession de professeur de lettres (profession qu’exerce un des fils de Philippe Bilger) »
    Comment vous savez ça vous ?
    Article 33 §3
    « Sera punie de six mois d’emprisonnement et de 22 500 euros d’amende l’injure commise, dans les conditions prévues à l’alinéa précédent, envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »
    La question que je pourrais être éventuellement amenée à me poser concernerait la condition requise pour le délit soit constitué, qui est relative à l’origine.
    Est-ce que l’origine sociale, par ex. de ces pauvres qui coûteraient dit-on à la communauté un « pognon de dingue », seraient « sans dents », ces chômeurs « fainéants » qui n’ont qu’à travailler s’ils voulaient se payer des costumes, etc. etc. pourraient se sentir offensés et demander un jour des comptes sur la base du §3 de l’article 33 de cette loi de 1881, toujours en vigueur, nonobstant la différence entre l’oral et l’écrit ?

  50. @ Deviro
    À quoi servent vos explications oiseuses dont vous semblez croire que le fait de mettre Savonarole dans la boucle vous garantira une sortie indemne ?
    Ce mot de pétomane, c’est comme un coup de tonnerre dans un ciel d’été, c’est surprenant et désagréable…
    Vous l’adressez à une femme ce qui doit être une délectation pour vous, et ce qui nous dit incidemment que vous êtes un mufle.
    En outre, ce mot qui m’amusait follement lorsque j’étais enfant, avait cette secrète qualité que les onomatopées seules ont, de faire fuser l’imagination dans le monde fol et gai de l’interdit trivial et avilissant.
    Enfin, si vous souffrez atrocement des propos tenus par Breizmabro, c’est donc que vous êtes un être sensible et délicat, or, cela ne peut s’accorder avec vos réactions incongrues et disproportionnées, sauf si vous êtes Mme Macron…

  51. Je remercie mes anonymes soutiens : agecanonix ; Mary ; anne-marie ; Noblejoué, dans l’affaire non élucidée du qualificatif de « pétomane » dont cet esprit enjoué de Deviro m’a créditée.
    En effet, à la question posée par agecanonix : « Pourquoi répétez-vous sans cesse « la pétomane Breizmabro », sa réponse a été :
    « Mais ce n’est pas une insulte ! C’est plein de tendresse et d’affection »
    ce qui change tout évidemment, notamment à la compréhension de la saillie de Savonarole lorsqu’il écrit « pétomane de foire » ce dernier voulant dire, sans doute, qu’il faudrait former d’urgence un orchestre de politiciens plein de tendresse et d’affection, ce qui venant de Savonarole est suspect (si j’ose dire.. :))
    A ce monsieur qui me couvre de tendresse et d’affection dès qu’apparaît mon pseudo, j’en appelle au révérend J. Swift qui disait :
    « Je ne m’étonne jamais de voir des hommes mauvais mais je m’étonne souvent de ne point les voir honteux »
    Adéo à tous
    (j’ai failli ajouter : « et bon vent ! » comme on dit dans la marine, mais ça aurait fait comique de répétition :))
    * à tous pour une fois qu’il fait beau en Bretagne ! ;))

  52. Justement, en parlant de combattant quand donc va-t-il lui et ses lieutenants récupérer le pognon de dingue que Nanard doit à nos poches.
    Je crois que l’armistice juridique est aujourd’hui terminé, vite les huissiers au boulot ! 440 000 000 € tout de même, et des arbitres qui n’en finissent pas d’être arbitrés ; je vais finir par croire que notre chef gaulois avait des flèches à pointes de caoutchouc dans son carquois… Pognon de dingue, ouais, ouais.

  53. @: Catherine JACOB | 09 juillet 2018 à 14:25
    Votre quincaillerie juridique m’est d’un grand secours, je vais de ce pas au commissariat porter plainte contre Mohamed, bagagiste de son état, qui m’a traité d' »enculé de ta race de Français de merde ! », je vous dirai la suite que donne la maréchaussée à ma plainte…
    Que ferait-on sans vos lumières chère Catherine Jacob !

  54. Michelle D-LEROY

    @ Breizmabro
    « Est-ce le mandataire liquidateur qui deviendra percepteur de l’impôt sur le revenu des salariés durant la procédure et si oui dans quelles conditions ? »
    Ca va être sympa la mise en route et les conséquences sur le pouvoir d’achat.
    Par exemple un employé marié à une employée de maison paiera ses impôts pendant que son épouse continuera comme par le passé…
    Avant même la mise en place sans aucun doute laborieuse, le gouvernement pense à supprimer 20 000 agents des impôts.
    Cela me fait penser à Pôle emploi. Après deux mois de baisse de chômage, stabilisée depuis, Macron voulait déjà en diminuer le personnel.
    Côté optimisme ils sont très forts. Pour l’empathie envers les plus modestes, c’est plus moyen. Et côté dépenses de l’Elysée, c’est évidemment impossible.

  55. sbriglia @ duvent

    Duvent, un homme qui traite ainsi une femme est sans doute un mufle…
    Par hasard j’ai profité de la remontée des commentaires sur Anémone pour les relire…
    Consternant…
    Florilège :
    « Par contre je suis tout à fait disposée à vous traiter de gros c.., parce que c’est vrai.
    Joyeux Noël !
    Rédigé par : breizmabro | 25 décembre 2017 à 14:51 »
    « Par contre votre intervention concernant ce c***d de Deviro… je suis d’accord avec vous car ce c..d… dit être capable de ressortir des interventions sur ce blog datant de plusieurs semaines, voire de mois. »
    « Je crains que ce c..d ne soit malheureusement qu’un baratineur, un malveillant, bref, un mytho.
    Reconnaissez que j’ai subi plus d’insultes de gros c** que je ne lui en ai écrit
    Rédigé par : breizmabro | 26 décembre 2017 à 10:56 »
    Est-ce ainsi que l’on s’exprime sur un blog de cette tenue ?…
    Mufle, vous avez dit mufle ?…
    Depuis l’origine de ce blog je n’ai pas souvenir de telles insultes sous la plume d’une femme… ni d’ailleurs sous celle d’un homme…

  56. Patrice Charoulet

    @ Catherine JACOB 8 juillet 19h59
    Grand merci, Madame, d’avoir bien voulu m’adresser un copié-collé juridique, d’assez belle étendue.
    Soudain, me citant, vous me dites : « Comment vous savez ça, vous ? » Je m’empresse de répondre à cette question dépourvue de fioritures : Philippe Bilger l’avait dit ici.
    Je suis à votre disposition pour répondre à toutes les questions que vous me feriez la grâce de me poser.

  57. @ Giuseppe 09 juillet 2018 à 14:17
    Franchement ce qui me fait venir sur ce blog, mis à part l’art de l’inimitable volonté de M. Bilger à nous faire accroire que les vertus du sieur Macron sont exponentielles, TOUT L’HUMOUR (de certains ;)) réfréné, ou pas, des blogueuses et blogueurs.
    Vous en premier avec votre humour un peu retenu.
    Marchenoir tant décrié qui n’a pas fait « humour seconde langue » mais qui m’a expliqué concrètement ce qu’est une ONG.
    Savonarole qui, même s’il m’a qualifiée de pétomane aimant les choux (PS : je déteste les choux depuis que j’ai été en pension chez les bonnes soeurs. Qu’il le note ;))
    Et puis j’aime aussi Achille forcément, Mary la batailleuse, anne-marie, et Catherine l’intello ex aequo avec Michelle « D- »
    Noblejoué qui sait que je l’adore, caroff qui avec un pseudo pareil mériterait d’être breton.
    Marc GHINSBERG avec qui je suis souvent en phase alors qu’avec mes banquiers, même de gauche, ce n’est pas toujours simple 😉
    agecanonix comme hameau dans les nuages, des mecs normaux qui disent des trucs normaux. Point final.
    C’est sur que j’en oublie des bons qui viennent épisodiquement sur ce blog, mais ce ne sont pas les vétérans du blog, ils n’ont aucune cicatrice, il désertent à la moindre provocation 😀
    Adéo ! comme on dit en Corse et en Finistère 😉

  58. @ Catherine JACOB | 09 juillet 2018 à 14:25
    Bonjour madame,
    Le développement que vous venez de nous offrir sur la diffamation vous aurait-il été donné par un membre juriste de votre entourage ?
    Cette leçon s’adresse à monsieur Patrice Charoulet, mais aussi à nous tous et se termine intelligemment en incriminant le Président Emmanuel Macron qui injurie souvent notre pauvre peuple.
    J’en tire une conclusion : c’est que ce blog, qui se dit libéral et nous apprend à nous dévergonder en nous copiant les uns et les autres, nous entraîne malgré nous dans un univers de diffamation alors que nous nous croyons en récréation où tout est permis comme dans un bal masqué…
    Je vous prie de croire, madame, à mes très cordiales salutations.

  59. Robert Marchenoir

    @ Exilé | 09 juillet 2018 à 13:54
    « Il existe des liens étroits entre le terrorisme et la délinquance ordinaire pour diverses raisons. »
    Tout ce que vous dites est juste, mais il existe une raison encore plus fondamentale : l’islam est une idéologie de bandits, car Mahomet était un bandit. La prétendue « religion » qu’il a concoctée n’était qu’une manière de s’attacher ses affidés, de se les soumettre, de les motiver dans leurs activités de voyous (pillage, viols, meurtres…) et d’asservir des « zones sensibles » toujours plus étendues à sa loi (comme on ne les appelait pas encore de son temps).
    Tous les musulmans ne sont pas des bandits, 100 % du temps, car c’est fatigant, comme métier. Et puis, cela comporte des risques.
    Mais le coeur de l’idéologie islamique est bien celui-là. Le Coran, et les préceptes attachés, sont bien une méthode pour mettre à sa botte une bande de voyous.
    Une méthode particulièrement perverse, d’ailleurs : il n’est que de considérer le ramadan. Rendez-vous compte que cette pratique barbare a été inventée à l’intention d’indigènes d’un pays ou règne une chaleur suffocante. Et, pendant la totalité de la journée, un mois durant, on vous empêche de boire… Dites-moi que ce n’est pas là l’oeuvre d’un pervers profond !
    De plus, pendant le ramadan, on vous ordonne (en pratique) de rester éveillé toute la nuit, en faisant bombance (et, accessoirement, en vous livrant à la débauche). Puis, dès le jour levé, vous devez remonter sur votre chameau (coucou, Aliocha…) pour obéir aux ordres du Führer Mahomet, aller piller des caravanes et zigouiller de « l’infidèle ».
    On reconnaît là les méthodes de tous les chefs de secte, qui brisent leurs adeptes par un mélange d’épreuves physiques, qui épuisent le corps, et de fanatisme envers le gourou, qui détruit le mental. L’ensemble permettant d’annihiler toute résistance, et d’obtenir des troupes soumises et manipulables à souhait.
    Ajoutons à cela le sale petit secret de l’islam, celui qui se voit comme le nez au milieu de la figure, mais qui est rarement décrit dans toute sa crudité : être musulman, c’est, pour un homme, gagner le droit de violer n’importe quelle femme. Les « infidèles », par construction et par doctrine. Les musulmanes, parce que soit elles figurent au rang de vos épouses, et alors elles se doivent à vous quoi qu’il arrive ; les autres, car il est toujours possible de démontrer qu’une femme n’est pas une « vraie » musulmane — et d’ailleurs, les critères pour établir la matérialité d’un viol sont tellement exigeants qu’ils ne peuvent, en fait, jamais être réunis.
    En pratique, donc, la méthode de recrutement musulmane, c’est : si tu rejoins nos rangs, tu pourras coucher avec n’importe quelle femme, et le Chef te donnera sa bénédiction. Le « terrifiant génie de l’islam », comme l’a décrit un blogueur américain, tient tout entier dans cette unique selling proposition, comme disaient, il y a bien longtemps, les publicitaires américains.
    Elle ne s’adresse qu’aux hommes ? Bien entendu. La délinquance est une activité masculine. Voilà un domaine où les féministes se gardent (avec raison) de revendiquer l’égalité…
    Ce n’est pas un hasard si Hitler lui-même a regretté que les Allemands ne fussent pas musulmans.
    Accessoirement, la preuve de ce que j’écris, c’est que, le professeur Robert Redeker ayant dit la même chose, les musulmans se sont empressés de confirmer ses propos en le condamnant à mort — à tel point qu’il a dû recevoir une protection permanente de la police française, et disparaître dans la clandestinité pour, simplement, rester en vie.
    Tout à fait accessoirement, on voit ce qu’a de scélérat la campagne de diffamation et de harcèlement, menée ici par Patrice Charoulet, pour tenter de faire interdire les pseudonymes.

  60. @ sbriglia
    Comme je ne remonte pas le temps, que je ne tiens pas de liste, qu’il m’arrive de confondre les interventions et les intervenants, je vous répondrai que sur la forme vous avez probablement raison.
    Puis, j’ajouterai que sur le fond, quand bien même Breizmabro aurait été dans ses propos grossière, cela ne me semble pas justifier et excuser ceux de Deviro.
    Enfin, nous sommes ici comme sur le forum… Je suis sensible au style, qui d’après moi peut porter haut le propos comme nous pouvons le lire dans les invectives de Salluste et Cicéron et ne crains pas les traits, la puissance et les procédés, il suffit que l’intelligence tienne lieu de liant.
    Je maintiens donc mon propos, puisque l’argument que vous m’opposez ne m’a pas convaincue ! M. Charoulet a dit de vous que vous êtes avocat, je présume donc que vous aurez un autre argument à m’adresser qui me contraindra et me convaincra. Je vous le dis d’ores et déjà, moi, je n’en ai pas d’autres, le parallélisme des formes ici, n’est pas suffisant…

  61. @ agecanonix
    Le petit cours de droit pénal de Mme Jacob est classique et ne présente un intérêt autre que « doctus cum libro » qu’en ce qu’il démontre à quel point l’utilisation du droit est devenue un tic industriel.
    Par la toile, on sait à peu près tout en se donnant la peine de chercher, même par le dark, je dirais surtout.
    Les informations sensibles demandent à être analysées soigneusement car le sens réel des actes publics est souvent abscons. Macron par exemple ne peut pas aborder la réforme de la fiscalité sans avoir au préalable démantelé ce qui fait le coût de la France, c’est-à-dire la France elle-même. Je ne sais pas au demeurant, s’il a cette intention ou s’il joue au Playmobil en s’agitant……….
    Les appétits extérieurs sur la France sont fantasmés au point que bien des conseillers patrimoniaux claironnent la victoire de Macron en prétendant que le capitaux exilés retournent en masse chez nous. Ce serait de la folie aux dires de certains autres.
    Ergo, le doute jeté sur les qualités de Macron se rapproche d’une nouvelle décourageante, à la limite proche de l’atteinte au crédit de la Nation, d’où une furieuse tendance du droit pénal à se rapprocher dans ses qualifications, de ce qui est immédiatement utile à l’appareil de l’Etat. C’était le fameux crime économique de l’URSS.
    De la même façon, les grandes causes, comme l’Islam, les femmes, les homos etc. constituent de nouvelles pistes d’exploitation intensive de la notion d’injure et de diffamation. Le Conseil constitutionnel en rappelant une fraternité, l’a jetée dans le creuset où les autres valeurs se sont dissoutes par l’utilisation abusive qui en a été faite. La fraternité n’avait pas été touchée car elle ressemble trop à une forme d’humanisme joyeux, ce que n’aime pas la République.
    Pour garder la liberté de pensée, il faut, soit se réfugier dans les bois et apprendre Mein Kampf par coeur, soit évoluer dans le plus profond anonymat, même s’il est très relatif.
    Donc, la liberté de penser disparaît avec l’accroissement de la connaissance de son milieu.

  62. @ Michelle D-LEROY | 09 juillet 2018 à 11:46
    C’est avec justesse que vous concluez votre intervention par ces mots :  »Alors certes, Emmanuel Macron a pris la direction d’un pays malade et fracturé par quarante ans de désinvolture politique et même de lâcheté, mais on a fait croire aux Français qu’un monde nouveau était arrivé, ils ne voient que la continuité avec juste la jeunesse en prime. 
    Hormis sa politique ordinaire, le Président se révèle people et cherche à plaire aux minorités, protégeant ceux qui font le plus de bruit, par pure provocation. »
    « La communication entre provocation, illusion et diversion… cela n’aura qu’un temps, déjà bien entamé. »
    Eh oui Macron fait illusion, on pouvait croire qu’il avait compris pourquoi le pays était malade et fracturé depuis quarante ans mais non.
    Au fait sait-on pourquoi ce pays est-il malade et fracturé ?
    Toujours est-il que cette maladie n’a pas encore, il me semble, été diagnostiquée. On le croit mais en fait on n’en connaît que les effets et depuis quarante ans les remèdes pour les effacer ne font que les déplacer mais sans les atténuer bien au contraire puisque la fracture s’élargit.
    Ce qu’il faut savoir c’est que depuis 1936 les droit acquis sont devenus une obsession qui a commis l’erreur de s’imposer comme une lutte de classe. Hors ces droits acquis consistent en deux choses.
    1° à déplacer la solidarité familiale des actifs d’une famille envers ses inactifs, vers la solidarité sociétale dans la nation des actifs de la nation envers les inactifs.
    2° à ce que nos consommations nationales se fassent au cours du temps de plus en plus en usage mutuel ou usage collectif.
    Ceci dit ce n’est pas un reproche, il fallait certainement le faire mais, en même temps, quand cela se traduit par une baisse du temps de travail sans que la productivité ne compense : il fallait dire que moins de temps à produire c’était moins de productions pour moins satisfaire nos besoins dont le panel de propositions s’élargit de jour en jour.
    Au lieu de dire que ce sont des droits acquis, il aurait été plus judicieux de dire
    1° que les productions de nos actifs pour partie échangées avec d’autres nations et qui deviennent nos consommations nationales vont de plus en plus se partager au détriment des consommations familiales des actifs en faveur des consommations familiales des inactifs mais cela sera compensé par le fait que l’actif devenant inactif en profitera.
    Tout en se donnant des limites pour que l’actif ne soit pas spolié par les actifs. Faut-il 40 % aux actifs et 60 % aux inactifs comme aujourd’hui en France ou l’inverse comme en Allemagne ?
    2° que nos consommations familiales vont se réduire de plus en plus en faveur des consommations à usage mutuel ou collectif. Mais comme les consommations mutuelles ou collectives sont faites par les familles, globalement cela ne change rien, dans la mesure où la consommation familiale en choses agréables et utiles à la vie supprimée soit bien compensées par des choses autant agréables et utiles à la vie.
    Apparemment ce changement de vie sociétale ne nous convient pas.
    Alors on a pour habitude, en parlant de nos gouvernements, de médire sans cesse et de ne jamais être contents.
    On trouve qu’ils pèchent de trop ou de pas assez.
    Nous, Français, sommes ainsi faits !
    Trouver des solutions à nos problèmes
    1° c’est trouver de l’équité dans nos partages de consommation nationale, suite à une équité dans la production
    2° c’est produire davantage pour se partager le surplus.
    3° c’est produire davantage utile et agréable à la vie.
    Nous voyons bien que cela ne peut se résoudre dans une société des droits acquis, d’État providence ou les entreprises seraient payeuses parce que l’idéologie de la lutte des classes le veut ainsi.
    Alors que notre société vit sous un régime de solidarité acceptable si les équités sont respectées. Des équités qui demandent le concours de chacun de nous puisque notre société ne peut être que la somme des comportements de chacun de nous si nous pratiquons équitablement ces solidarités.
    –    chacun produit la consommation de l’autre ;
    –    les actifs qui produisent cèdent une partie de leur production aux inactifs ;
    –    les actifs et les inactifs mettent en commun des consommations mutuelles ou collectives ;
    –    les ménages plus aptes à capter les progrès viennent au secours des ménages moins aptes à le faire.
    Voir l’économie a travers ces réalités, dont vous ne pouvez nier l’existence aujourd’hui est très simplificatrice du modèle économique qui doit être le nôtre au présent. Cela en considérant seulement que le prix des choses à la consommation va se partager afin que se réalise le partage de nos consommations nationale suivant les % qui sont les nôtres en 2018.
    Ainsi le prix des choses se partage à raison de 60% en attributions pour les inactifs, 40% pour les rétributions des actifs et sur ses rétributions et ses attributions sont prélevées des contributions de 13% pour nos usages mutuels et 32 % pour nos usages collectifs et le solde 22% représente les consommations familiales des actifs et 33% les consommations familiales des inactifs.
    Tout le lexique nécessaire, dans l’économie de la lutte des classes devient inutile pour le limiter à rétributions, attributions, contributions.
    Exit la lutte des classes permet alors de mieux rendre équitables nos rapports entre rétribution et attributions et entre ayants droit de ces rétributions et ces attributions sans privilèges ni corporatisme. C’est le seul endroit où problème se passe si on excepte celui de ne pas savoir faire de différenciation entre monnaie de circulation et monnaie de partage cause de problème de manque de compétitivité, d’obligation à l’optimisation fiscale, de délocalisation, de déficit, de dette et de chômage.
    Tous nos problèmes ne sont causés que par des mesures structurelles mise en place depuis quarante ans qui ont fait croire que notre avenir ne dépendait pas de nos comportements mais de boucs émissaires.
    S’agissant d’erreurs structurelles il est possible d’y remédier mais il faut remonter la pente du temps passé dans ces erreurs où il se croyait aux droits acquis, à l’État providence et aux entreprises payeuses alors que seuls les actifs produisent et le consommateur doit payer avec ses revenus de temps d’activités (rétributions) ou de temps d’inactivité (attributions).
    Alors que l’économie reflet de notre vie en société est simple à apprendre, comprendre et vulgariser : par fidélité à notre dicton :  »pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué » nos élites se permettent de tirer profit, en vivant bien des productions des autres et en produisant peu pour les autres et pour cela ont tout intérêt à nous garder dans l’ignorance de cette simplicité et à cet égard l’ensemble de cette élite il faut l’avouer, de MLP à Mélenchon en passant par Macron pour les politiques, puis de même les journaleux, économistes, conseilleurs et éducateurs économiques, n’ont aucun intérêt à scier la branche sur laquelle ils sont assis.

  63. Sur la violence dans ce blog.
    Je dirais que c’est à la base le fait de tous les contacts médiatisés, le téléphone, par exemple, et celui que nous ne nous connaissions pas. Patronyme ou pseudonymes. En forçant le trait, je dirais que ce que nous connaissons de l’autre, ce sont les affrontements, induits par des sujets clivants, comme tout ce qui appelle au débat, donc la mémoire des coups, ce qui ne rapproche pas. Nous avons peu de communion, ce pourquoi les, par exemple, homards et vins évoqués, liens musicaux et autres humour s’il n’est pas trop lourd et surtout dégradant, sont si importants.
    Il y a une autre raison. Souvent, nous avons des raisons de ne pas dire ce que nous croyons le plus profondément.
    Donc, quand la vérité sort de nous, elle a moins de chances de ressembler à Orphée qu’à ceci :
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Jean_Léon_Gerome_1896_La_Vérité_sortant_du_puits.JPG
    qui me fait penser à la Gorgone. Nous sommes tous médusés et médusants de l’autre.
    Puissions-nous ne pas être médisants !

  64. Robert Marchenoir

    Revenons un instant à la macronnerie (oui, je sais, elle est facile…). Le président venant de prononcer un discours au Congrès de Versailles, nous pouvons en tirer quelques indications sur sa politique.
    1. Le bon, ou simplement le juste et le raisonnable (ce qui, par les temps qui courent, est déjà beaucoup) :
    « Nous avons revu la taxation des produits de l’épargne, et réformé l’impôt sur la fortune. Non pas, comme je l’entends parfois, pour favoriser les riches, mais pour favoriser les entreprises. Il est mensonger de défendre les salariés, si l’on ne défend pas les entreprises. »
    « Faire croire que nous voudrions supprimer les pensions de réversion est une rumeur malsaine visant à faire peur. Je le dis clairement : d’aujourd’hui, rien ne changera pour les retraités. Pour une raison simple : pour la première fois, ce qui a été choisi n’est pas de faire des économies sur les retraités d’aujourd’hui ou ceux s’apprêtent à partir en retraite, mais à refonder un système de retraite juste, unique et transparent. Cela viendra progressivement remplacer une quarantaine de régimes existants. »
    Voilà qui remet à leur juste place les sottises gauchistes sur « le président des riches », entre autres. Les néo-marxistes ne veulent pas de président des riches, parce qu’ils ne veulent voir que des pauvres dans le pays. Rappelons, à tout hasard, que la richesse est une bonne chose.
    2. Le « en même temps » tout juste tolérable :
    « La République n’a aucune raison d’être en difficulté avec l’islam, pas davantage qu’avec aucune autre religion. Mais il y a une lecture radicale, agressive de l’islam, qui se fixe pour buts de mettre en cause nos règles et nos lois de pays libre, de société libre, dont les mots d’ordre n’obéissent pas à des principes religieux. »
    Bah non… la « République » n’a aucune raison d’être en difficulté avec l’islam… j’vois pas pourquoi… pas plus qu’avec le christianisme, qui pose tant et tant de bombes dans les lieux publics…
    La « République » a mille et une raisons de mener un combat à mort contre l’islam, qui est détestable de A jusqu’à Z ; mais le président d’un pays comptant déjà, peut-être, 10 % de musulmans ne peut pas le dire comme ça. Ce qui, à soi seul, en dit long sur la nocivité de cette fausse religion…
    Exercice obligé d’hypocrisie politique, donc, balancé par la mise en cause d’une « lecture agressive » de l’islam… « qui n’obéit pas à des principes religieux », puisque l’islam n’est pas une vraie religion. Comme quoi, lorsque les mots n’ont même pas une signification identique d’une civilisation à l’autre, il y a peu de chances d’arriver à « vivre ensemble »…
    Quant aux « cadre et aux règles » que veut donner le président à l’islam, on verra bien ce qu’ils valent. Pour moi, seul un pouvoir politique musulman peut donner « un cadre et des règles » à l’islam… sinon, c’est l’islam qui fournit les siennes, et l’on sait où cela nous conduit.
    3. Le n’importe quoi qui dit une chose suivie de son contraire — mais à part ça, je suis « centriste », « raisonnable » et « modéré », contrairement à tous ces vauriens « d’extrémistes » :
    « Nous devons construire l’État-providence du XXIe siècle. Un État providence émancipateur, universel, efficace et responsabilisant. C’est-à-dire couvrant davantage, protégeant mieux. »
    Un Etat-providence émancipateur et responsabilisant. Un peu comme l’eau sèche, donc, le déplacement immobile ou la « musique » rap.
    C’est sûr qu’avec l’une des dépenses publiques les plus lourdes du monde développé, et des prestations sociales parmi les plus élevées, il faut encore accentuer l’Etat-providence. Il faut qu’il « couvre » et qu’il « protège » davantage…
    « Le Premier ministre présentera dans les prochaines semaines les nouvelles décisions permettant de tenir les engagements de baisse de nos dépenses publiques. Il ne saurait y avoir de baisse de la fiscalité ou de développement de l’investissement sans un ralentissement de la hausse continue de nos dépenses. »
    Très joli numéro de mathématiques de Toto. A la première phrase, je dis que je vais baisser les dépenses publiques. A la seconde, je dis que je vais me contenter de ralentir leur augmentation.
    Soit exactement ce que nous trompettent les lumières fonctionnariales qui nous dirigent depuis des lustres : dans un premier temps, et dans le meilleur des cas, elles promettent de baisser les dépenses de l’Etat. Une fois les comptes faits, on se rend compte (si on a eu de la chance), qu’elles se sont contentées de les augmenter moins vite.
    Comme changement révolutionnaire, ça se pose un peu là.
    4. Le marxisme ordinaire, tel qu’on le connaît, avec des nuances, depuis la Libération :
    « Ce qui s’est installé avant tout ce sont des inégalités de destin. Selon l’endroit où l’on est né, selon notre famille, selon où l’on a grandi, l’école que l’on a fréquentée, nos sorts sont le plus souvent scellés. »
    Oui. C’est normal. Les hommes sont inégaux. Il y en a qui sont forts, grands, intelligents, beaux et sages. Ceux-là, en général, transmettent leurs qualités à leurs enfants — et c’est heureux.
    C’est ce qui crée « les inégalités de destin ». Ce n’est pas en transplantant des abrutis de Montcuq dans le 16e arrondissement de Paris — ou des Maliens à Versailles — qu’on les rendra forts, grands, intelligents, beaux et sages. Ce n’est pas en allant recruter des violeurs en Afghanistan pour les fourrer au lycée Janson-de-Sailly qu’on transformera leur « destin ». (Le nôtre, en revanche…)
    « Nous devons entendre la peur [qu’ont les Français des étrangers]. Aucune solution de court terme n’est facile, ni celle de l’émotion ni celle de la colère. Il n’y a qu’une voix exigeante: celle de la République et celle de la coopération en Europe. »
    « Jamais la France n’acceptera les solutions de facilité que d’aucuns aujourd’hui proposent, qui consisteraient à organiser des déportations, à travers l’Europe, pour aller mettre dans je ne sais quel camp, à ses frontières ou en son sein ou ailleurs, les étrangers [entrés illégalement sur le territoire, et non admis à être régularisés]. »

    Voilà voilà… On va vous « écouter », et après, on va vous dire d’aller vous faire voir. Le droit, on s’assied dessus ; la souveraineté, on s’en tape ; la civilisation française ? rien à faire ! Il n’y aura pas de « déportations », ni « je ne sais quels camps », parce que… parce que… parce que c’est comme ça, voilà.
    Elle est où, la nouveauté du prodige Macron ? Qui fait exactement ce qu’ont fait tous ses prédécesseurs ?
    « Je recevrai les 100 premières entreprises françaises durant ce mois afin de solliciter leur engagement dans les défis qui nous attendent. [Je leur demanderai] un engagement actif, immédiat, comme des «engagements de création d’emplois, d’embauches d’apprentis […], des engagements sur nos territoires, dans les quartiers difficiles ou les zones économiques en souffrance. »
    Non content de leur empoisonner la vie par mille taxes et réglementations, le « libéral » Macron convoque, carrément, les chefs d’entreprise, pour les obliger à faire ce qu’ils n’ont pas intérêt à faire : si des zones économiques sont « en souffrance » (les pauvres chéries…), c’est qu’aucune entreprise ne veut s’y installer. Pour d’excellentes raisons.
    Macron veut contraindre les entreprises à faire ce qui est économiquement inefficace… et il prétend, « en même temps », rendre la France plus prospère, diminuer le chômage et augmenter les revenus des Français… Ca ne va pas être possible. Il y a un moment où il faut choisir : le socialisme, ou la prospérité. Le communisme, ou la liberté.
    Au passage, ce genre de « convocation » des chefs de grandes entreprises, pour les contraindre à faire ce qu’ils ne veulent pas faire, au moyen de menaces diverses et variées, ce fut exactement la politique économique de… attendez, j’ai un blanc, là… ça va me revenir… Adolf Hitler, voilà.

  65. Je pense que je me suis arrêté sur ce blog parce qu’il est des lectures qui me plaisent, j’aurais pu m’occuper sur un blog technique, mais je suis toujours en « veille » comme dirait Claude Luçon, donc au courant de ce qui se passe techniquement, ce qui me motivait c’est découvrir et regarder par-dessus mon épaule, ailleurs.
    Je ne savais rien d’un blog, c’était la moindre de mes préoccupations, ce qui m’a bousculé c’est que notre hôte avait fait une remarque en public sur les habitués des prétoires… Du coup j’ai pensé il est « gonflé » il va se faire lyncher, mais au fond c’est lui qui avait raison et il n’a pas ou très peu été attaqué. La curiosité et surtout la disponibilité favorable au moment où j’ai découvert ce lieu, intelligent et vivace.
    Je me fiche de qui est qui ou quoi, on devine, ce qui n’est pas très difficile, mais j’ai découvert de belles plumes, comme il peut y avoir le spécialiste de la mécanique des fluides, des accélérateurs de prises, des appuis simples ou des moments d’encastrement, en fait on pourrait transposer, les passerelles sont très courtes.
    Il y a les fines lames – j’adore les fines lames – les brutaux ou bruts de décoffrage, les casiers à homards, enfin tout, j’aime tout ce qui se propose, j’adore Bach et le son du Pigini Sirius Millenium…
    Euh… C’était de Macron dont nous parlions, bigre j’en ai perdu l’idée que j’avais à l’esprit, en attendant qu’elle me revienne, bon tant pis.
    J’adore Pavarotti et Tony Poncet ils sont au-dessus de tous, en fait ce soir est bien particulier, la vie est belle.

  66. @ Robert Marchenoir
    « De plus, pendant le ramadan, on vous ordonne (en pratique) de rester éveillé toute la nuit, en faisant bombance… »
    Pour y être né et avoir vécu au Maroc espagnol, puis en Tunisie, en Égypte, le ramadan est une catastrophe sanitaire et sociale.
    Aucune religion n’impose une telle épreuve à ses fidèles. Aucune.
    Les ravages sont immenses, le pays est mort pendant trente jours, la déshydratation remplit les urgences, les agressions sont décuplées ; les agences de tourisme le savent.
    En Égypte, je vivais à Meadi ou Maadi, et lors de la rupture du jeûne, le soir au soleil couchant Le Caire s’illuminait, l’appel à la prière magnifique du muezzin sonnait l’heure, pour nous expatriés, du gin-tonic glacé…

  67. Patrice Charoulet

    « JE SUIS A LA DROITE DE L’EXTREME DROITE » (Robert Marchenoir)
    « VOUS ETES UNE PIONNIERE DU METISSAGE AVEC LES RACES COLONISEES » (id.)
    L’auteur de ces fortes paroles me cherche des noises, derechef, et veut obtenir les félicitations de son fan-club (une vingtaine de personnes qui partagent les belles pensées énoncées plus haut).
    Injure nouvelle : je serais un « scélérat ». Et vous évoquez le sort du penseur Robert Redeker, dont j’ai fait l’éloge ici même plusieurs fois. Amalgame de la plus belle eau.
    Il ne faut pas tout mélanger. J’abhorre tous les fanatiques religieux qui ont existé depuis trois mille ans. Ce fanatisme peut aller jusqu’au crime. Osez-vous soutenir que je m’en réjouisse ? Redeker est un penseur qui a une certaine notoriété. Il faut traquer par tous les moyens les lanceurs de fatwas qui ont valu à cet agrégé de philosophie (encore un fonctionnaire !) une protection policière.
    Changeons d’étage. Des millions de gens scribouillent sur les réseaux sociaux. Parmi cette multitude de fourmis totalement obscures et que personne ne connaît hormis les quelques lecteurs de tel ou tel blog, pensez-vous sans rire qu’un seul risque SA VIE ?
    En revanche, l’incitation à la haine raciale (voir le Code pénal français) étant non une opinion, mais un délit, il peut être extrêmement prudent de s’adonner joyeusement à cette activité délictueuse en prenant un nom d’emprunt.
    Vous ne risquez pas une fatwa, vous risquez les foudres de la loi française, une amende, ni la prison, ni la mort.
    Chez Rioufol, il n’y a que des pseudos. Pas fous !

  68. L’assommant Ange LERUAS | 09 juillet 2018 à 19:46
    Encore un cinglé sur ce blog, ça fait beaucoup. On nage la brasse.
    À l’en croire il faudrait « se mettre à quatre pattes et brouter de l’herbe » comme le disait Voltaire à Rousseau.
    Adepte de l’ultra gauche, Frédéric Lordon, ou les « Économistes atterrés » et ATTAC, il prétend qu’en étant tous pauvres il y aurait à manger pour tout le monde.
    C’est sympa, pourquoi pas ?
    Alors, je lance ici une pétition, qui veut ici renoncer à sa résidence secondaire pour loger les pauvres ?
    Vous avez quatre heures.

  69. Claude Luçon

    @ Savonarole | 09 juillet 2018 à 22:12
    « Aucune religion n’impose une telle épreuve à ses fidèles. Aucune. »
    Pour cette même religion, il y a pire que ce qu’imposent les Sunnites.
    Il faut avoir vu Muharram à Bahrain et à Téhéran ce que les Chiites demandent à leur fidèles : se frapper brutalement la poitrine sans arrêt en hurlant « Ya Hussein » pour les plus jeunes, se lacérer le dos nu avec des chaînes terminées par un lame coupante pour les moins jeunes, se raser le crâne y faire une entaille avec une épée et frapper sur la blessure avec le plat de l’épée pour les anciens tout en défilant par milliers dans une avenue, toujours en hurlant « Ya Hussein » !
    Il y a des ambulances en guise de voitures ramasseuses à la fin de ce genre de peloton.
    C’est atroce à voir.
    Les étrangers sont « priés » de ne pas photographier ou filmer.

  70. @ sbriglia qui est autant un avocat que moi je suis un artichaut
    J’aurais donc dit le 25 décembre 2017 à 14h05, je vous cite :
    « Par contre je suis tout à fait disposée à vous traiter de gros c.. ET je crains que ce c..d ne soit malheureusement qu’un baratineur, un malveillant, bref, un mytho »
    (je n’ai pas retrouvé la trace de ce post sur le blog de P.Bilger, mais admettons)
    Puis, le 26 décembre suivant, j’aurais dit en parlant de moi :
    « Reconnaissez que j’ai subi plus d’insultes de ce gros c** que je ne lui en ai écrit » (ce qui devait être vrai)
    Comme l’avocat (?) sbriglia ne publie pas ses insultes à mon encontre, il pourra comprendre que le contradictoire n’est pas respecté.
    En réalité je m’étonne de savoir pour quelle raison ce couple sbriglia-Deviro vient sur ce blog puisqu’il ne ne commente JAMAIS le billet du jour/de la semaine de M. Bilger.

  71. @ Savonarole | 09 juillet 2018 à 22:12
    Certainement à la même époque, mais sans doute un peu plus jeune, c’était Berger blanc fraise deux glaçons, la fraise c’était pour faire genre, deux glaçons je ne sais pas pourquoi mais quand l’annonce se faisait « garçon ! Bergerblancfraisedeuxglaçons ! » les glaçons en imposaient, le sucre du gin-tonic.
    J’ai les yeux embués, le verre aussi avec la chaleur de l’été.

  72. Robert Marchenoir

    @ Savonarole | 09 juillet 2018 à 22:12
    Ce que vous dites est attesté par les déplorations annuelles de la presse arabe, qui rapporte, rituellement, moult statistiques effrayantes.
    Curieusement, la presse française, qui copie l’AFP, qui possède elle-même des correspondants en Afrique du Nord (ainsi que partout dans le monde), correspondants dont le premier travail est de lire les journaux locaux — eh bien, la presse française ne s’est pas encore avisée du problème. En France…
    Nous savons, de façon certaine, qu’une proportion très importante de musulmans résidant en France font le ramadan. Bizarrement, alors que les musulmans algériens qui en font autant sont la cause d’innombrables agressions, accidents de voiture, accidents du travail, accidents de santé, absentéisme, négligence au travail, etc., les musulmans d’origine algérienne faisant le ramadan en France ne causent rien de tout cela.
    Les « travailleurs » musulmans en France n’occasionnent aucune baisse de productivité à leur entreprise un mois durant, ils exécutent leurs tâches avec le même scrupule qui les caractérise en temps normal (ricanements dans la salle…), les maisons qu’ils construisent le sont aussi soigneusement que le reste de l’année, des chauffeurs de camion ou des conducteurs de bulldozer qui n’ont ni bu ni mangé de toute la journée, en plein été, sont aussi peu dangereux pour les usagers de la route, ou leurs camarades de chantier, que ceux qui se nourrissent et s’hydratent correctement, ceux qui manipulent des machines dangereuses ne se coupent pas bras et jambes plus souvent qu’à l’accoutumée (ce qui ne cause aucune dépense indue à l’Insécurité Sociale), etc., etc.
    C’est comme avec le nuage de Tchernobyl et les lois de l’économie : il flotte une substance particulière, au-dessus de la France, qui la rend étanche à tout ce qui affecte d’autres nations, d’essence moins noble.
    Toute plaisanterie mise à part, non seulement un chef d’entreprise devrait avoir le droit d’interdire à ses salariés de faire le ramadan, en raison des risques que cela représente en matière d’hygiène, de sécurité et de productivité, mais c’est le droit français lui-même qui devrait interdire cette pratique, barbare et dangereuse, dans toute entreprise, toute école et tout hôpital.
    Inutile de dire qu’un conducteur pris en flagrant délit de ramadan devrait être frappé des mêmes peines que les conducteurs alcoolisés ou drogués.
    Pour finir, il est manifeste, à tout homme raisonnable et juste, qu’un chef d’entreprise devrait avoir le droit de refuser toute embauche de musulmans en raison de ce vice majeur.
    Alors que la discrimination est une vertu, la loi en fait un délit. Nous sommes tombés sur la tête. Et nous ne parlons là que du ramadan…
    Je passe sur l’excuse entendue cent fois par jour, en milieu musulman, y compris en France, lorsque quoi que ce soit est fait de travers, en retard, oublié, etc. : « oui, mais vous comprenez, c’est le ramadan ».
    Le ramadan, c’est l’excuse officielle qui justifie… comment disent les « racistes », déjà… le travail d’Arabe.

  73. @ Robert Marchenoir
    « C’est ce qui crée « les inégalités de destin ». Ce n’est pas en transplantant des abrutis de Montcuq dans le 16e arrondissement de Paris — ou des Maliens à Versailles — qu’on les rendra forts, grands, intelligents, beaux et sages. Ce n’est pas en allant recruter des violeurs en Afghanistan pour les fourrer au lycée Janson-de-Sailly qu’on transformera leur « destin ». (Le nôtre, en revanche…) »
    Lorsque nous lisons cette prose verbeuse, il nous vient une sorte de stupeur et alors on ne peut s’empêcher de penser que Marchenoir est partout…
    Marchenoir sait tout, connaît tout, détient toutes les solutions, maîtrise tous les sujets, il a tout vu et il a tout entendu !
    Marchenoir si vous le posiez sur le plateau d’une balance et que sur l’autre plateau vous posiez l’humanité entière, elle ne le ferait pas même tressauter. Car il faut comprendre la valeur de ce mufle d’or…
    Marchenoir vaut le monde dans son entier, il est si beau, si fort, si intelligent, si tout cela et plus encore, il nous le faut comme GUIDE, car dès cet instant merveilleux où Marchenoir nous conduira, le bonheur comblera les coeurs remplis de déréliction.
    Supplions tous Marchenoir ! En araméen pour toucher son coeur sensible et bon : « Lama sabachthani ! »

  74. @ Giuseppe 09 juillet 2018 à 21:55
    Comme vous j’aime Pavarotti et comme pour vous « en fait ce soir est bien particulier, la vie est belle » puisque ma petite-fille a été reçue à son concours.
    Alors le reste, pour ce soir, n’est que blabla.

  75. @ Emmanuel Macron : le combattant intermittent… (PB).
    Le titre est évocateur mais il confirme bien qu’un virage a été pris dans le discours du Président, je dirai qu’il n’assume plus (?) sa ligne ferme du début – Mélenchon l’a relevé aussi.
    Ceci dit l’avenir le dira, mais il sent que la route est encore longue et qu’un chemin bien goudronné vaut mieux que des silex sous les roues surtout s’il vise le maillot à pois, celui de l’éternel Aigle de Tolède, Federico Bahamontès et les profils à venir sont faits pour les escaladeurs pas pour les suceurs de roues.

  76. Claude Luçon

    @ Noblejoué | 09 juillet 2018 à 20:03
    « Puissions-nous ne pas être médisants ! »
    Hélas nous sommes en France où « A l’impossible nul n’est tenu ! »

  77. @ breizmabro | 09 juillet 2018 à 23:25
    Félicitations !
    ———————————–
    @ Claude Luçon | 09 juillet 2018 à 23:32
    Vous avez raison, j’ai fait une petite crise d’idéalisme, mais comment l’éviter ? Comme vous le dites, à l’impossible, nul n’est tenu.

  78. @ duvent 09 juillet 2018 à 18:33
    Merci pour votre intervention.
    Ceci dit je les ai sans doute traités de c**d à un moment où ils étaient exaspérants (je parle du couple sbriglia-deviro).
    En même temps… comme dit l’autre…
    Adéo 😉

  79. Cessez de vous disputer.
    Concentrez-vous sur le billet du jour.
    Réservez vos forces.
    Demain nous aurons une rude journée lorsque PB nous accablera sur « le magnifique discours d’Emmanuel Macron à Versailles ».
    Il nous faudra alors reprendre le lourd fardeau des « oui, mais non, toutefois, quoique, je suis contre mais toutefois, bien que, il n’a pas tort, mais tout de même, en même temps, si c’était ma tante, quoi que j’aurais dit pareil, quoi que j’y étais pas mais j’ai un avis, Babaorum en technicolor.
    Bref, la France dans toute sa splendeur.

  80. anne-marie marson

    @ duvent
    « Marchenoir vaut le monde dans son entier, il est si beau, si fort, si intelligent, si tout cela et plus encore, il nous le faut comme GUIDE, car dès cet instant merveilleux où Marchenoir nous conduira, le bonheur comblera les coeurs remplis de déréliction. »
    Je ne sais pas si Robert Marchenoir est beau et fort, ses écrits ne le disent pas, mais en tout cas il a raison.
    ——————————-
    @ Giuseppe 09 juillet 2018 à 21:55
    C’est vrai, ce soir la vie est belle.
    J’ai évité le discours et les commentaires sur le discours. Merci à Robert Marchenoir d’avoir fait un résumé.
    Une soirée sans Macron, cela change la vie.
    Surtout qu’on va le revoir demain à Saint-Petersbourg, et puis aussi les jours suivants.
    On aura peut-être des photos de la piscine, piscine que le couple présidentiel aurait pu louer de ces deniers, puisqu’elle est destinée à la famille recomposée de Brigitte, qui est quand même une mère de famille et une grand-mère divorcée, même si elle pose dans Paris Match.
    Y aura-t-il Brigitte en maillot de bain cette année ?

  81. @ Claude Luçon | 09 juillet 2018 à 23:00
    Exact pour les Sunnites, vous avez raison de le pointer.
    Dans le fin fond de l’Andalousie et en Amérique du Sud on peut assister à des flagellations ou crucifixions identiques.

  82. @ Giuseppe | 09 juillet 2018 à 23:08
    Vous avez vécu là-bas ? Alors vous connaissez Groppi, Ariston, le Menha House Club ?

  83. Mary Preud'homme

    Rédigé par : Achille | 09 juillet 2018 à 08 @ Patrice Charoulet (au sujet de Marchenoir)
    Vous n’avez pas tort ! On ne dialogue pas avec pareille baudruche. Sachant que dans la vraie vie ce genre d’individu pétochard se dégonfle et fait de la lèche à tout-va !
    Plutôt le laisser dans sa crasse mentale, ses frustrations, phobies et son vomi racialiste !

  84. Robert Marchenoir

    @ Patrice Charoulet | 09 juillet 2018 à 22:25
    « Osez-vous soutenir que je m’en réjouisse ? » [Peu importe de quoi.]
    Mais on s’en moque, de ce que vous pensez. Ce qui m’intéresse, c’est que ce vous faites, en réalité, sur ce blog. Ce sont les saletés auxquelles vous vous livrez avec constance, depuis de longs mois déjà.
    « Injure nouvelle : je serais un ‘scélérat’ « .
    Menteur !… J’ai écrit exactement ceci :
    « Tout à fait accessoirement, on voit ce qu’a de scélérat la campagne de diffamation et de harcèlement, menée ici par Patrice Charoulet, pour tenter de faire interdire les pseudonymes. »
    Nous ayant abondamment tartiné la biscotte avec votre qualité de professeur de français, vous ne ferez croire à personne que vous puissiez confondre la proposition « Patrice Charoulet mène une campagne scélérate » avec la proposition « Patrice Charoulet est un scélérat ».
    Mais pour vous faire plaisir, et si cela vous oblige, je veux bien convertir l’une en l’autre. En fait, votre mensonge, qui n’est nullement le premier, serait largement de nature à me convaincre.
    Je retiens, au passage, que d’un commentaire de quarante lignes, consacré à tout autre chose qu’à votre Importante Insuffisance, vous ne retenez que les deux dernières, qui se trouvent vous être défavorables. Votre insistance à tout ramener à vous et à votre nombril, sur cet espace de commentaires, est véritablement pathétique. Vous étiez aussi imbu de vous-même, lorsque vous étiez prof ? Je plains vos anciens élèves.
    « Des millions de gens scribouillent sur les réseaux sociaux. Parmi cette multitude de fourmis totalement obscures et que personne ne connaît hormis les quelques lecteurs de tel ou tel blog, pensez-vous sans rire qu’un seul risque SA VIE ? »
    Bien entendu. Vous manifestez ici, une fois de plus, votre stupéfiante ignorance du monde en général et d’Internet en particulier, qui n’ont d’égale que votre abyssale arrogance. Je veux dire : dans l’hypothèse la plus indulgente pour vous. L’autre relevant de la duplicité.
    Avant de risquer leur vie, les personnes auxquelles vous faites allusion risquent toutes sortes de persécutions, mais cela, ce n’est pas grave, n’est-ce pas ? Tant qu’il n’y a pas mort d’homme, comme disent les petits flics kaguébistes dans votre genre, ça ne compte pas, n’est-ce pas ?
    Tant que les gens ne sont qu’insultés, intimidés, harcelés, volés, agressés par vos amis « racialisé.e.s », tant que leur automobile est « seulement » incendiée, tant que vos complices ne font que « vérifier » qu’il ne se trouve pas d’alcool dans leur cabas, tant que leurs enfants sont « simplement » menacés, frappés, humiliés, empêchés d’étudier, tant que la police leur dit : « déménagez, vite, on ne peut rien pour vous », tant que leurs femmes sont « uniquement » violées, tant qu’ils ne perdent « que » leur emploi, tant que c’est « seulement » leur carrière qui est brisée, tant qu’ils sont « seulement » harcelés par la police et la justice, les gros malins « anti-racistes » tels que vous ne vont pas s’émouvoir plus que ça, n’est-ce pas ?
    Tant que les gens ne se font « que » démolir la figure à coups de pied dans la tête par les voyous immigrés dont vous prenez objectivement la défense, ils ne risquent rien, et en particulier pas de perdre la vie, n’est-ce pas ?
    Tant qu’on ne risque « que » des amendes ou la prison, comme vous le rappelez ingénument, « ce n’est que le Code pénal », n’est-ce pas ? Et voir des compatriotes persécutés par la « justice » française pour délit d’opinion, ça vous ferait jouir, n’est-ce pas ? Ainsi que vous nous le répétez, pour la centième fois, tout à fait par hasard :
    « L’incitation à la haine raciale (voir le Code pénal français) étant non une opinion, mais un délit, il peut être extrêmement prudent de s’adonner joyeusement à cette activité délictueuse en prenant un nom d’emprunt. Vous ne risquez pas une fatwa, vous risquez les foudres de la loi française, une amende, ni la prison, ni la mort. »
    Au passage, notons l’incroyable vilenie des perroquets gauchistes de votre espèce, qui nous ressortent toutes les cinq minutes cet increvable slogan prêt-à-penser selon lequel le racisme ne serait pas « une opinion, mais un délit ». Sans s’aviser que, ce faisant, ils légitiment et approuvent la notion même de délit d’opinion…
    Et vous avez le culot de vous prévaloir de « l’éloge » que vous auriez fait du « penseur Robert Redeker » ! Vous prétendez admirer Redeker, résistant de la lutte anti-djihadiste, mais vous vous employez à me calomnier, moi, au motif d’un commentaire que j’ai écrit en faveur de la lutte anti-djihadiste !
    Quand avez-vous fait l’éloge de Pierre Sautarel, dont le nom n’est connu que parce qu’il a été révélé, contre sa volonté, par des fouilleurs de poubelle communistes et « anti-racistes » dans votre genre ? De Pierre Cassen ? De Fjordman (pseudonyme — ne cherchez pas, vous ne le connaissez pas) ? D’Ann Barnhardt ? De Geert Wilders ? De Jew Among You (pseudonyme) ? De Baron Bodissey (idem) ? De Robert Ménard ? D’Ivan Rioufol ?
    Et de mille autre héros du quotidien, connus ou inconnus, qui se battent, dans l’ombre ou la lumière, à travers le monde, pour défendre les leurs, leur civilisation et les enfants à naître qu’ils ne connaîtront pas ? Qui risquent tout ce qu’ils ont, et même ce qu’ils n’ont pas, pour défendre leurs valeurs, celles de leurs ancêtres et la liberté de leurs compatriotes ?
    Vous nous avez complaisamment fait savoir, à plusieurs reprises, avec l’indécence doublée du narcissisme qui vous caractérisent, que tout allait parfaitement bien pour vous, que vous aviez une petite vie pépère.
    Apparemment, cela vous sert de justification pour empoisonner la vie des autres, pour dénigrer ceux qui n’ont pas votre existence tranquille, qui prennent des risques personnels pour leurs compatriotes, voire pour des étrangers séparés d’eux par un océan, pour des gens qu’ils ne connaîtront jamais, dans le but de défendre des valeurs qui leur semblent plus importantes que leur bien-être à eux. Et vous avez le culot de diffamer ces gens, de les persécuter, de tout faire pour qu’ils tombent dans les griffes de la justice ?
    Derrière vos airs doucereux, vous êtes un fossoyeur de la liberté : n’insultez pas, en les salissant de vos prétendus éloges, des hommes qui risquent leur vie pour elle.

  85. Et cette @Michelle qui nous dit sur le blog de Rioufol :
    « Je suis tellement atterrée par tout ce que je lis que j’en reste pantoise.
    Peu à peu, loi après loi, on nous fait taire et on nous impose des règles, pour mieux nous museler, pour mieux nous conditionner à l’arrivée de ces hordes d’étrangers.
    Aujourd’hui la fraternité, la valeur morale franc-maçonnique qui lie les frères et sœurs des loges. C’est invraisemblable.
    Tout est si insupportable que je n’ai même plus envie d’écrire…heureusement il va y avoir la trêve des vacances.
    Je ne vois que la rue pour nous faire entendre, le vote volé et détourné ne suffira plus. »
    Et cette @autre qui lui répond :
    « @ Michelle, « je n’ai même plus envie d’écrire », vous avez raison : c’est insupportable .
    Mais nous avons bien des raisons de tenir le coup: … des milliers de raisons…»
    Et encore « Vieillira mal le napocron… trop d’emphase répétitive… la rentrée sera chaude ».
    http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2018/07/les-belles-ames-en-ont.html

  86. @ breizmabro | 09 juillet 2018 à 23:25
    « La vie est belle puisque ma petite-fille a été reçue à son concours. Alors le reste, pour ce soir, n’est que blabla. »
    Concours de quoi ? De futur chômeur ? De squatteur de hall de Pôle emploi ?
    On a de la chance dans notre pays gauchiste de faire bénéficier nos djeuns des bacs, concours, examens « paix sociale », de notations les plus clownesques qu’aucune éducation dans le monde ne veut imiter : des 25/20 qui nous font passer pour des pitres auprès de populations normalement constituées.
    En effet, vous avez raison, aux concours de blablas nous sommes sûrs d’être et de gagner en finale.

  87. Mais j’incline à penser que sa faiblesse sur le judiciaire ne tient pas seulement – et il est loin d’être le seul en politique avec cette disposition – à son désintérêt mais surtout au fait qu’il refuse de prendre en compte le lien pourtant avéré chaque jour entre le judiciaire ordinaire et le terrorisme. Négliger le premier comme il le fait revient à se priver de moyens décisifs pour lutter contre le second.
    Ce témoignage d’un psychologue danois ayant exercé en milieu carcéral serait peut-être susceptible de lui fournir quelques éléments de réflexion :
    https://lesobservateurs.ch/2015/02/25/nicolai-sennels-lintegration-des-musulmans-dans-nos-societes-occidentales-est-impossible/

  88. @ Savonarole | 09 juillet 2018 à 22:55
    @ Robert Marchenoir | 09 juillet 2018 à 16:34
    Pour avoir dit
    –    chacun produit la consommation de l’autre ;
    –    les actifs qui produisent cèdent une partie de leur production aux inactifs ;
    –    les actifs et les inactifs mettent en commun des consommations mutuelles ou collectives ;
    –    les ménages plus aptes à capter les progrès viennent au secours des ménages moins aptes à le faire.
    Ce qui n’est que réalité de notre vie dans notre société nationale, alors que ni l’un ni l’autre ne démontre que ce ne sont pas des réalités.
    Marchenoir commence par dire que ce sont des  »sottises les plus insensées », me traite de mélenchoniste, puis suite à ma réponse, notamment en accusant Mélenchon de profiter plus des productions des autres qu’il n’apporte de biens et services aux autres (ce que j’appelle une incivilité) il se ravise et sous considération, plus ironique que sincère peut-être, en tout cas à tort, il dit  »il est clair que personne ici n’est un interlocuteur digne de vous, et moi moins que les autres » pour s’en laver les mains et me demande de m’en remettre au prix Nobel Jean Tirole pour voir ce qu’il en pense.
    Je veux bien essayer mais j’en connais la suite : si Marchenoir a des difficultés à remplacer ses préjugés par les réalités précédentes, c’est que tout humain a la quasi-incapacité de renier ses savoirs et cela est encore plus impossible si la personne vit de ses préjugés, il est inhumain de forcer quelqu’un à se renier sans contrainte de le faire, Galilée est un des exemples et pour lui il a fallu attendre 1992 pour qu’on le réhabilite, non pas en disant qu’il avait raison, mais qu’il y avait eu une incompréhension entre lui et son accusateur.
    J’ai tout dernièrement adressé la même théorie que j’expose ici à la trentaine de membres d’un cercle d’économistes, un seul a répondu pour dire que ce n’était pas son domaine de prédilection qui est l’immigration. Je me suis permis de répondre qu’il n’y avait pas de problème d’immigration puisque cette dernière est un effet d’un problème de surnatalité qui, elle, trouve son ferment dans le culturel et le cultuel des pays d’origine des migrations où l’organisation de la production des uns qui doit devenir la consommation des autres est déjà insuffisamment pour la population présente. Pour y remédier il faut à la fois organiser cette production dans cette nation et concomitamment changer la culture pour ne plus avoir une surnatalité. Sans cela la dégradation du pouvoir de régénérescence de notre planète sera atteint en un mois et demi en 2050 et pendant dix mois et demi nous appauvrirons nos ressources naturelles.
    J’attends la réponse !
    Ce n’est que sous la pression de nous tous qui ne vivons pas de nos préjugés, que ceux qui ne veulent pas scier la branche sur laquelle ils se sont assis comprendront que leur reniement à leurs savoirs appris sera un bien pour l’avenir de l’humanité. Sans votre pression ils ne feront rien et pour ces raisons, il est de votre responsabilité de ne pas faire le Ponce Pilate et vous en laver les mains.
    Quand Savonarole après la proposition des mêmes choses proposées à Marchenoir, me traite de cinglé, il me croit  »adepte de l’ultra gauche, Frédéric Lordon, ou les « Économistes atterrés » et ATTAC, il prétend qu’en étant tous pauvres il y aurait à manger pour tout le monde ».
    Alors que Filoche à qui je demande de démontrer que ces quatre réalités n’existent pas répond : « répondre à des questions aussi biseautées et sans sens est impossible elles ont toutes un préjugé faux, économiste atterrant, c’est un quizz des mandarins réacs de Dauphine ? ».
    Vous devriez alors comprendre Savonarole que juger à partir ses préjugés vous masque les réalités. Quand je dénonce la réduction du temps de travail qui nous amène à produire moins et moins consommer vous inversez totalement cette dénonciation pour faire croire que je veux plus de pauvres. Vous ne lisez pas le texte mais entre les lignes pour satisfaire vos préjugés. Ce que je pense sur le problème des riches et pauvres suit :
    les idéologues au travers d’exemples sous forme de parabole, veulent démontrer que sans monnaie, par un simple subterfuge de monnaie trouvée ou émise, le capital peut créer des valeurs. Et ils y arrivent, puisqu’ils  s’adressent à des personnes déjà formatées aux mêmes idéologies. C’est ainsi que par des raccourcis et des arrêts sur image, on décrète indue la rémunération d’un PDG comme Carlos Ghosn. « Il vole ses salariés », dit-on, mais pas ceux des sous-traitants, fournisseurs ou concessionnaires : pourquoi ?
     
    En le supposant et en considérant qu’il travaille bénévolement, sans toucher un sou, son vol correspondrait à 50 euros par an et par salarié. La rigueur interdit de faire un arrêt sur image puisque l’économie n’est pas immobile mais dynamique, ce qui nous oblige à penser et à réfléchir à différentes questions :
    ·        Les impôts payés par tous avec ces 50 euros seront-ils à la hauteur des impôts payés par Carlos Ghosn ?
    ·        Enlever du pouvoir d’achat à Carlos Ghosn pour le donner à une multitude de salariés ne va-t-il pas nous demander de supprimer des emplois en cascade, pour en créer d’autres, également en cascade, sans être certains que ce soit profitable à l’intérêt général ?
    ·        Les innombrables 50 euros par ouvrier seront-ils bénéfiques à notre balance commerciale et sans risque de destruction d’emplois, si ces 50 euros sont utilisés de préférence pour encore plus importer à prix attractif ?
     
    De toute façon, ces questions sont idiotes, vous en conviendrez, puisque si Carlos Ghosn vole quelqu’un, c’est le consommateur d’automobile auquel il fait payer son surplus de rétribution, et pas ses ouvriers, à moins que vous vouliez que les ouvriers volent les consommateurs ?
     
    Si vol des consommateurs il y a, c’est 2,70 euros par consommateur. Reste donc à réfléchir sur :
    ·        Les impôts payés par tous les consommateurs avec 2,70 euros seront-ils à la hauteur des impôts payés par Carlos Ghosn ?
    ·        Enlever un pouvoir d’achat à Carlos Ghosn pour le donner à une multitude de consommateurs ne va-t-il pas nous demander de supprimer des emplois en cascade, pour en créer d’autres, également en cascade, avec la certitude que c’est bénéfique ?
    ·        Les 2,70 euros par consommateur seront-ils bénéfiques à notre balance commerciale, malgré le risque d’importer plus (importation à prix attractif) et de créer du chômage ?
     
    Réalité, la seule question digne de réponse est : faut-il nécessairement supprimer volontairement des emplois capables d’apporter aux autres, pour en créer d’autres ?
    Ne peut-on pas créer des emplois sans en supprimer d’autres ?
    De toute évidence la présence du pauvre ne se justifie pas par la présence du riche mais par une insuffisance de production des besoins des pauvres.
    C’est bien assez long ainsi, bien qu’il faudrait peut-être parler un peu de notre modèle économique présent que nous pouvons qualifier d’orthodoxe.
    WIKIPEDIA : Une orthodoxie est « une doctrine considérée comme norme de la vérité, et enseignée officiellement ».
    Dans le domaine des sciences, une orthodoxie apparaît quand une théorie ou un paradigme acquiert une place dominante au niveau institutionnel au point de marginaliser les autres. Le paradigme dominant est alors l’ensemble des théories considérées comme les moins mauvaises par une majorité, dans une science donnée et à un instant donné. En première approche, une hétérodoxie est alors toute théorie ou tout paradigme diffère du paradigme dominant.
    Ma théorie n’étant pas orthodoxe est forcement hétérodoxe et par préjugés toute hétérodoxie est mise dans le même sac. Voilà pourquoi je me trouve traité de mélenchoniste, adepte de l’ultra gauche, Frédéric Lordon, ou les « Économistes atterrés » et ATTAC. Alors que ce que je recherche c’est que l’économie ne soit plus un ensemble des théories considérées comme les moins mauvaises par une majorité, mais une théorie consensuelle qui se base sur les réalités d’une vie en société nationale, ce que nous sommes et ne pouvons ne pas être.
    Ce n’est que par la conjugaison des bonnes volontés à la mise en place d’une économie consensuelle que nous arriverons à faire changer notre élite qui ne voit, pour elle, aucun intérêt à en changer. Ceci étant d’autant plus facile que quiconque comme un Marchenoir ou un Savonarole, ou notre hôte a les capacités de comprendre l’intégralité d’une théorie économique rationnelle en moins de deux heures, s’il a la volonté de ne perdre que deux heures au lieu des centaines perdues pour ne pas convaincre les autres à ses préjugés.

  89. En ce matin du 10 juillet, je souhaitais pendre connaissance du discours présidentiel devant le Congrès le 9 juillet car je n’avais pas très envie de rester une heure trente planté devant mon téléviseur. Mais, comme par hasard, le site de l’Élysée voit sa chronologie des discours arrêtée au 7 juillet…
    Il est vrai qu’en ce jour de demi-finale de football, là n’est pas la priorité présidentielle.

  90. Et pendant ce temps-là… Les mêmes qui s’empiffrent, qui vous disent qu’ils sont débordés de boulot, qui pleurnichent sur leur sort, comment expliquer ce rejet des citoyens vers une classe politique qui pue toujours plus, aux accents nauséabonds de ceux qui ne pensent qu’ à leur ventre.
    « Pognon de dingue » tant qu’il y était il aurait pu mettre dans le même sac cette frange d’élus qui pourrissent toujours plus leur milieu, Rachida la grande moralisatrice, goinfrée de luxe… Comment des imbéciles peuvent-ils faire confiance à ceux qui dans leur panse engouffrent toujours plus ?
    Les notes de repas et de champagne du RN qui crie misère alors que c’est avec nos sous qu’ils paient l’addition : sueur contre luxe de nabab, Angela ils sont devenus fous ici !
    Roland Cayrol qui nous expliquait que la République avait besoin de boutons dorés pour exister, je crois que c’est mépriser ceux qui dans notre pays travaillent tous pour cette République exemplaire, pas pour des Gargantua de leur misérable gamelle.
    Par Ludovic Lamant (Mediapart)
    « Près d’un tiers des eurodéputés touchent des rémunérations pour des activités extérieures à leur mandat, d’après un rapport publié mardi 10 juillet par Transparency International. La tendance est en forte hausse depuis les élections européennes de 2014, et les soupçons de conflit d’intérêts se renforcent. Nombre d’élus français, de Rachida Dati à Renaud Muselier, sont aux avant-postes. »

  91. Patrice Charoulet

    Il y aurait quantité de remarques à faire sur le discours de M. Macron à Versailles.
    Je me borne à celle-ci : au-dessus de l’orateur, certes petit, un immense écran de télé (30 mètres de large) offrait à tous les regards le président discourant.
    Quelqu’un d’informé parmi les lecteurs peut-il nous dire si cela a déjà été le cas, je ne dirai pas dans une dictature (type Corée du Nord), mais dans une démocratie occidentale ?
    Il fallait oser !

  92. Monsieur Macron est effectivement un combattant intermittent et il l’a montré dans le traitement très spécial du dossier Alstom lorsqu’il était ministre de l’Economie.
    Les dessous de cette affaire sont contés dans un entretien de Leslie Varenne avec Loïk le Floch-Prigent accordé en octobre 2017 (https://www.iveris.eu/list/entretiens/285-les_vraies_raisons_du_depecage_dalstom_) sur le site IVERIS.
    L’on comprend ici pourquoi notre président actuel, ministre si peu combattant, a laissé faire le dépeçage d’Alstom ! Le moins que l’on puisse dire, est que cette présentation des faits « décoiffe » et que l’on mesure aussi l’impuissance économique européenne face à celle des Etats-Unis !

  93. hameau dans les nuages

    @ duvent | 09 juillet 2018 à 23:24
    Ce que dit Marchenoir d’un ton peut-être trop péremptoire est vrai. L’inverse aussi est vrai. Transplantez un papillon de nuit de la vie parisienne au milieu de Montcucq ou de mon village et vous avez le même résultat. Je le vis actuellement avec un neveu ayant tenu des chroniques sur une radio nationale. 33 tours et puis s’en reviennent alors que nous sommes toujours là.
    On achève bien les chevaux.
    ———————————-
    @ Robert Marchenoir | 09 juillet 2018 à 23:21
    Vous oubliez les enfants dès l’âge de huit ans à l’école. De véritables zombies somnolant sur leur table et qu’il faut doublement surveiller pendant les récréations car ne doutez pas qu’en cas de malaise les grands frères rappliquent. La mère ne parlant pas souvent un mot de français. Pour eux l’école est obligatoire surtout pour pouvoir toucher les aides.

  94. @ Savonarole | 09 juillet 2018 à 23:42
    « Demain nous aurons une rude journée lorsque PB nous accablera sur « le magnifique discours d’Emmanuel Macron à Versailles ». »
    Raté !
    Il préfère ne rien dire, pour l’instant, sur le néant politique de l’homme qui se prend pour un Dieu !
    Avez-vous remarqué comment l’assemblée applaudit son maître, avez-vous vu dans le regard de l’être suprême ces éclairs de folie ?
    Toutes ses paroles ne sont que des « fake news » tronquées… car il ne promet jamais rien que des broutilles et pense vraiment que nous existons grâce à lui… s’aperçoit-il de ce qu’il est vraiment ? Non !
    Notre pensée a fait un bond de mil années en arrière, probablement pour fraterniser avec nos envahisseurs.
    Je crois sincèrement maintenant que si la France doit avoir un avenir radieux, il faudra que nous ayons un homme exceptionnel au pouvoir et que celui-ci ne devra appartenir à aucun parti politique, ne soit ni franc-maçon, ni juif, ni islamiste… mais musulman né en France et
    qui soit fier de notre pays… seul cet homme pourra nous débarrasser de cette « Ripoublique » qui nous détruit chaque jour un peu plus.

  95. @ breizmabro | 09 juillet 2018 à 23:25
    Je ne sais pas de quel concours il s’agit, donc de son degré d’ouverture à un avenir, mais toute réussite doit être célébrée.
    Pourquoi pas par ce qu’un groupe a calibré pour les supporter ? D’autant que vous, et d’autres, ont dû encourager la réussite de l’heureuse élue, portée, en quelque sorte par son équipe :
    https://www.youtube.com/watch?v=04854XqcfCY

  96. @ Mary Preud’homme | 10 juillet 2018 à 00:20
    Franchement Mary, j’ai l’impression que vous faites une fausse route. Au sens médical du terme.
    Nous sommes vous et moi de droite depuis de Gaulle, Pompidou, Giscard, Sarkozy, et l’accident industriel Fillon, dont on attend toujours les lumières du juge Tournaire.
    Comprenez-vous, voyez-vous ce qu’on nous prépare avec Macron en chef d’escadrille ?
    L’astuce du « regroupement familial » de Chirac/Giscard est une vaste blague usée jusqu’à la corde par la gauche pour expliquer ses méfaits.
    C’est Mitterrand et toute la gauche qui a ouvert les vannes, brisé les polders pour nous inonder.
    C’est lui qui nous a imposé SOS Racisme, Harlem Désir (le gag du siècle), le ministre Kofi Yamgnane, la Taubira, la repentance, Fodé Sylla, patron de SOS Racisme et trafiquant de drogue à temps partiel.
    Sarkozy a voulu faire le malin et jouer avec ce biais, où sont aujourd’hui Rama Yade et la « pute et insoumise » Fadela Amara ?
    Rien, que dalle, que pouic, nada, les greffes ne prennent pas.
    Il n’y a pas à tortiller, ça prend pas.
    Le black c’est pour les pubs IKEA ou Carglass, mais c’est tout.
    C’est la gauche qui nous a fichu un bordel inextricable.
    Dès lors, votre hostilité vis-à-vis de Robert Marchenoir ne convainc personne, le silence qui suit vos commentaires en atteste.

  97. @ Savonarole | 10 juillet 2018 à 00:15
    Du tout, Almuñecar et une île en dessous de Tenerife le plus proche pour moi.
    Nous avons voulu – les souvenirs – raviver il y a peu de temps ce qui faisait le charme de certains quartier, l’Anis del Mono… Horriblement sucré, comme quoi parfois les goûts changent.
    Nous avions fait sortir des archives du bar cette bouteille, et comme on dit quand le vin est tiré il fallait le boire, c’était tout de même savoureux.
    L’Espagne et ses merveilles toujours.

  98. @ agecanonix | 10 juillet 2018 à 11:40
    Bien d’accord avec vous.
    Un si long discours narcissique pour ne rien dire…
    Même Laurent Neumann et Ruth Elkrief sur BFMTV ont dû sortir les rames pour lui trouver du génie.
    Comme vous dites « c’est raté ! », oui je me suis trompé, PB lui-même a préféré botter en touche et nous parler d’un obscur fait divers qui ne m’empêchera pas de faire la sieste.

  99. « L’Espagne et ses merveilles toujours »
    Rédigé par : Giuseppe | 10 juillet 2018 à 12:40
    Je comprends, vous êtes un voyageur perspicace, le soleil, la foule, la joie de vivre, tout le contraire de la Bretagne où je me suis fait suer pour faire plaisir à mon épouse…

  100. « [**] J’ai dit l’analogie entre deux de ceux-là : Xavier B et Thierry S. Notre camarade « fugace », qui en son temps a su, grâce à sa technique, exhumer une caricature ancienne d’Anastasia, pourrait-il – pour notre plaisir – mettre côte à côte les photos de ces personnages pour qu’on puisse d’un seul coup d’œil vérifier ou infirmer cette hypothèse ?
    Quoi qu’il en soit, je le remercie amicalement.
    Rédigé par : Zonzon | 09 juillet 2018 à 08:00 « 

  101. @ Savonarole 10 juillet à 12 h 30
    C’est le regroupement familial de Chirac/Giscard qui a « ouvert les vannes » à Mitran lequel a « ouvert les vannes » pour tout inonder ! Giscard le bellâtre des salons des beaux quartiers, un centriste au « centre de l’extrême centre » – selon la terminologie en cours ici – et son compère Chirac que l’on vit ensuite à la manœuvre en 86, ô combien ! Mitran n’a pas été choisi, c’est l’autre qui a été rejeté ! Election, éjection !
    Le début du commencement des préliminaires c’est 74, et rien d’autre.
    74 est la date juste comme désimmigration est le mot juste !
    @ Savonarole (6 juillet à 20 h 22)
    Je ne connais pas Billy le menteur mais je vais m’efforcer d’en dégoter une version. Quant à Tom Courtenay, un acteur anglais de cette fabuleuse nation du théâtre, vu la dernière fois dans « La petite Dorrit », Dickens, BBC, téléfilm… que du bon !

  102. Patrice Charoulet

    « JE SUIS A LA DROITE DE L’EXTREME DROITE » (Robert Marchenoir)
    « VOUS ETES UNE PIONNIERE DU METISSAGE AVEC LES RACES COLONISEES » (Robert Marchenoir)
    @ Robert Marchenoir 2h 48
    Amateur d’éloquence, je ne puis que saluer votre grand talent oratoire. Vous n’êtes pas, je crois, procureur de la République. Dommage. Les prévenus n’en auraient pas mené large ! Coupables ou innocents.
    « Y a qu’un malheur » (René Floriot), j’appartiens à la seconde catégorie.
    Tout ce que vous dites est bel et bon, mais hors sujet.
    Je ne suis complice ni des voitures volées, ni des actes antisémites, ni des agressions diverses et variées dont vous nous parlez.
    L’incitation à la haine raciale, que vous pratiquez dès que vous en avez le loisir, dès que vous avez une fenêtre de tir, est un délit qui est dans notre Code pénal (consultez Légifrance). Qu’y puis-je ? Si vous habitez les Etats-Unis, ce n’est pas impossible, réjouissez-vous d’être dans un pays où les opinions nazies sont permises, où le KKK est honoré et respecté (même par le président)…
    Quand vous vous exprimez sur un blog français, qui accueille très généreusement vos propos parfois très informés sur Poutine ou sur le libéralisme économique, vous ne pouvez pas inciter sans risques à la haine raciale et c’est la raison principale pour laquelle vous voulez tout dissimuler de vous, et d’abord votre nom.
    D’autres, Aliocha, sbriglia, Noblejoué, Lucile, Achille, genau, boureau, caroff, j’en oublie, ont d’autres raisons que vous pour recourir à un pseudo, raisons tout à fait respectables et qu’il m’est facile d’imaginer dans leur variété, mais vous, vous savez très bien de quoi il retourne. Et moi, je sais, j’ai compris et je vous le dis. C’est ainsi. On est ce qu’on est. Ne pratiquez pas la diversion.
    Faites comme sylvain, mon vieux, dites-nous franchement, puisque telle est votre pensée : « Je suis raciste, oui, mille fois oui ». Et tombez sous le coup de la loi… française. Ayant d’autres chats à fouetter, je ne porterai pas plainte contre vous. Que la justice de mon pays s’occupe de vous, si ça lui chante, et si elle fait son boulot.

  103. @ sylvain 10 juillet 2018 à 08:11
    Ma petite-fille, la plus belle et la plus intelligente du monde vous vous en doutez 😉 va, comme tout un chacun malgré notre prince président, s’inscrire dans un club d’aviron (Pôle emploi) pour envisager d’avoir éventuellement un poste en adéquation avec le concours qu’elle a passé (malheureusement pas dans l’administration !).
    C’est dire si elle va attendre (longtemps) l’effet du « ruissellement » prévu par Manu ! 🙁
    Adéo sylvain
    ———————————–
    @ Giuseppe 10 juillet 2018 à 10:54
    Roland Cayrol vient surtout pour faire des siestes télévisuelles sur des plateaux qui ont la clim…
    Mais nous avons eu droit aux burnes aoutés des LREM qui font des selfies avant le grand oral d’Emmanuel Macron.
    Un ruissellement de joie d’être là (payé par nous), à défaut du ruissellement de l’argent des multinationales (siège social basé hors de France) que comme soeur Anne vous ne voyons pas poindre dans le soleil qui poudroie, et l’herbe qui verdoie.
    « Une sortie scolaire de collégiens »
    Voilà à quoi certains journalistes ont comparé le selfie des ministres posté par Marlène Schiappa, la secrétaire d’État en charge de l’Égalité entre les femmes et les hommes, quelques minutes seulement avant le discours d’Emmanuel Macron, lundi 9 juillet, devant les parlementaires réunis en Congrès à Versailles (AFP).
    J’ai élevé et payé pour MES propres collégiens, que Manu assume les siens m…e ! Si nécessaire, qu’il sollicite un prêt auprès de son pote Benjamin pour financer les sorties scolaires obligatoires (appelées aussi « la claque de Macron »). Moi j’dis ça…
    —————————————-
    @ Noblejoué 10 juillet 2018 à 12:29
    « D’autant que vous, et d’autres, ont dû encourager la réussite de l’heureuse élue, portée, en quelque sorte par son équipe »
    Comme je l’ai déjà écrit à sylvain, ma petite-fille est, naturellement, la plus belle et la plus intelligente du monde, et, évidemment, nous l’avons tous soutenue. A fond.
    Un grand merci pour nous avoir fait réécouter Queen (c’est tout de même autre chose que l’autre DJ pédé (c’est cui qui l’dit qui yè) de Kiddy Smile :D)
    Adeo Noblejoué
    ————————————–
    @ Savonarole | 10 juillet 2018 à 13:27
    « …tout le contraire de la Bretagne où je me suis fait suer pour faire plaisir à mon épouse »
    Passez-moi votre femme ! (entre mafieux on s’comprend mieux ;))

  104. @ Exilé
    Excellent lien suivi d’une lecture plus qu’intéressante. Une telle analyse et de telles conclusions seraient impensables en France, le gars deviendrait un paria dans la seconde.
    Cependant, je regrette le manque de liens lorsqu’il présente des faits qui, prouvés, pourraient servir comme arguments solides. Je n’ai réussi à trouver aucune info sur le prétendu coût des immigrés musulmans au Danemark, en terme d’aides sociales etc. Je comprends que de telles études sont volontairement et aussitôt enterrées par la bien-pensance, et c’est pourquoi j’avais grand espoir qu’il fournisse des liens. Sinon ça ne vaut pas grand-chose.

  105. @ Ange Leruas
    Il y a des discoureurs impénitents qui encombrent. Vous en faites partie.
    Vos interminables délayages résistent au profond ennui qu’ils provoquent. La preuve, vous la donnez vous-même :
    « J’ai tout dernièrement adressé la même théorie que j’expose ici à la trentaine de membres d’un cercle d’économistes, un seul a répondu… ». C’est dire l’intérêt que vous avez suscité avec votre verbiage auquel on ne comprend pas grand-chose même après deux ou trois relectures complaisantes.
    Votre premier truc : poser des questions en apparence sensées mais sans aucun intérêt. Je vous cite :
    « La seule question digne de réponse est : faut-il nécessairement supprimer volontairement des emplois capables d’apporter aux autres, pour en créer d’autres ? Ne peut-on pas créer des emplois sans en supprimer d’autres ? »
    Votre deuxième truc, c’est d’émailler votre salmigondis de « pourquoi », « reste donc à réfléchir », et d’utiliser le mot « préjugés » (8 fois) à l’adresse de vos interlocuteurs supposés en être chargés.
    Enfin, vos objurgations péremptoires du type « j’attends la réponse » ou bien « prouvez-moi le contraire » font de votre bavardage un inconsistant charabia sorti tout droit d’un illuminé.
    C’est Audiard qui a dit, je crois : « Bienheureux soient les fêlés car ils pourront laisser passer la lumière ».

  106. @ Patrice Charoulet
    @ Robert Marchenoir
    En fait, il me semble que vous progressez tous les deux. Et moi ? Même pas, c’est trop injuste, mais revenons à notre tentative de médiation.
    Car il paraît que Robert Marchenoir, qu’il le confirme ou l’infirme, je lui fais confiance, était contre le fait que les Noirs aient le droit de porter des armes, et qu’à présent il dit seulement qu’ils le fassent quand la loi l’autorise à tous. En somme, juger l’être humain par ses œuvres, non par l’étiquette Noir. Peut-être ce principe finira-t-il par ne plus inférioriser les Noirs.
    Et Patrice Charoulet était contre les pseudonymes en général, maintenant contre Robert Marchenoir, jugeant selon ses œuvres et semblant estimer le racisme plus grave que des informations et une certaine verve mise au service de la liberté. Je doute que Robert Marchenoir soit tapi aux Etats-Unis avec une sorte de campagne raciste à mener ici, je pense que les opinions des gens ressortent. Malgré eux ?
    Je m’interroge parce qu’il me semble que son racisme dessert ses autres causes.
    Il disait que l’URSS et Poutine empiraient les tensions raciales aux Etats-Unis… Mais si les gens ne prêtaient pas attention à cela, on ne pourrait s’en servir pour diviser. Or si on veut l’union de l’Occident contre les menées poutinnniennes ou islamistes, il me semble qu’il est pour le moins inopportun d’insister sur ce point. Ce que j’en dis… A quoi sert d’être applaudi pour son éloquence mais éloigner les lecteurs, de gagner toutes les batailles par talent de débatteur mais de perdre la guerre de l’opinion ?
    Trop de tactique tue la stratégie.
    Quoi qu’il en soit, je mets la liberté de chacun, celle de Robert Marchenoir comme d’un autre, au-dessus de tout, que cela soit dans le cas du racisme, injuste et inopportun ou non.
    Et, tadam, bravo, finalement, Patrice Charoulet aussi. Il ne dénoncera pas Robert Marchenoir.
    Bravo, il y a une hiérarchie des normes… Des valeurs aussi : la liberté en haut. Et je dirais la loyauté, on s’enguirlande mais on forme une communauté, on ne cafte pas.
    Puisque Patrice Charoulet a reconnu ce que je vais baptiser pompeusement (est-ce qu’on peut le faire à la bonne franquette ?) l’éthique de ce blog, il ne faut plus que Robert Marchenoir soit si dur.
    Et il ne faut plus que Patrice Charoulet dise des choses qui m’ont sincèrement fait croire qu’il exerçait un chantage tacite, ce dont je le prie de bien vouloir m’excuser.
    D’ailleurs je vous prie de m’excuser si j’ai mal interprété vos dires à un moment ou à un autre, personne, on le comprend, n’aime être lu avec des contresens.
    Mais en vous lisant, j’ai pensé ce que je vous livre afin de vous exprimer mon estime et en souhaitant que vous parveniez à un modus vivendi.

  107. @ Valery
    « Cependant, je regrette le manque de liens lorsqu’il présente des faits qui, prouvés, pourraient servir comme arguments solides. »
    Il faut se reporter à l’article original :
    https://en.europenews.dk/Danish-Psychologist-Integration-of-Muslims-in-Western-Societies-is-not-possible-78171.html
    Mais comme cet article remonte à quelques années, certains liens sont morts ou mettent du temps à répondre.
    Les liens suivants sont actifs et renvoient vers des sites en langue danoise.
    Au cas où comme moi vous ne seriez pas fluent dans cette langue – personne n’est parfait – vous pouvez faire appel à un traducteur en ligne.
    https://jyllands-posten.dk/indland/article4110470.ece
    https://www.avisen.dk/Pages/Guests/Articles/ShowTemplatedArticle.aspx?ArticleID=6193

  108. Mary Preud'homme

    @ Patrice Charoulet | 10 juillet 2018 à 15:33
    Je ne m’explique pas votre admiration pour ce Marchenoir sachant qu’il n’utilise son prétendu talent de débatteur que pour justicier sa hargne, son intolérance, et exhiber ses phobies et son racisme invétéré jusqu’à l’obscène.
    Ce faisant avez-vous songé un instant ce que ce genre de prose peut faire naître dans des esprits simples susceptibles de se laisser polluer par ces discours simplistes, mystificateurs, violents et vengeurs ?
    Incitation à la haine raciale disiez-vous, alors comment tout en le dénonçant donner quitus à une telle engeance de vipère ?

  109. Il devient pénible de voir ce blog devenir une sorte de champ de tir aux pigeons « racistes » – ou supposés tels – selon des procédés dignes de pays totalitaires, comme si le fait de faire des procès d’intention aux gens en interprétant de façon alambiquée et malveillante leurs propos pouvait faire passer ceux qui se comportent en kapos ou en nostalgiques de la Stasi pour des gens exemplaires.
    Si ces nouveaux Tartarin cherchent vraiment à se rendre utiles, il feraient mieux de dénicher le racisme, le vrai, pas celui inventé par des malfaisants à des fins de basse politique, là où il se trouve, par exemple :
    http://www.lefigaro.fr/vox/religion/2018/07/09/31004-20180709ARTFIG00302-celine-pina-quand-le-gouvernement-reste-muet-face-a-l-appel-au-meurtre-d-un-imam.php
    Rencontre garantie avec de vrais racistes et avec des gens qui les soutiennent activement ou par leur silence complice alors que leur fonction devrait au contraire les obliger à les poursuivre et surtout à protéger ceux qui sont leur cible explicitement désignée dans leurs discours haineux, qui n’ont même pas besoin d’avoir à être interprétés de façon byzantine pour comprendre leur finalité.

  110. Patrice Charoulet

    @ Mary Preud’homme
    Chère Mary,
    Vous savez toute l’estime que j’ai pour vous. J’ai eu le plaisir de vous le dire ici plusieurs fois.
    Je vous le redis.
    Vous me dites que vous ne comprenez pas l’admiration que j’ai pour RM.
    Tous ceux, en particulier dans son fan-club (une vingtaine de membres), qui ont lu la prose que je lui ai adressée ces jours-ci n’auront pas retenu les mots qui vous ont frappée, mais la suite.
    J’ai assisté dans ma longue vie à quelques centaines de procès, et j’ai lu énormément d’éloquence judiciaire (Berryer et ses successeurs). Philippe Bilger, genau, sbriglia et quelques autres ici, ont assisté à quelques milliers de procès. Je parle sous leur contrôle. Un des classiques de l’éloquence judiciaire est de commencer sa plaidoirie en saluant le talent de l’adversaire (un autre avocat qui vient de plaider), puis de s’opposer, parfois vigoureusement, à sa thèse.
    Si vous aviez eu cette expérience acquise dans les enceintes judiciaires (mais on ne peut pas être partout), vous n’auriez pas été surprise par ce procédé courant.
    Philippe Bilger, genau, sbriglia, je vous le garantis, ont très bien reconnu cette… ficelle oratoire, s’ils m’ont fait l’honneur de me lire, en plein triomphe footballistique français, grâce à un but du footballeur français Umtiti (dont RM nous avait dit et redit qu’il est 30% moins intelligent qu’un Blanc). Apparemment toute la nation française pavoise, plastronne, jubile et est très fière de ce héros. Certains vont boire de l’alcool toute la nuit pour fêter ça.

  111. Robert Marchenoir

    @ Patrice Charoulet | 10 juillet 2018 à 15:33
    Quel hypocrite ! Quelle engeance de vipère, dirai-je même, puisque la sommité morale « anti-raciste » de ce blog, côté féminin (*), j’ai nommé Mary Preud’homme, vient de nous donner le feu vert pour utiliser ce qualificatif.
    Au passage, « engeance de vipère », ça me paraît légèrement raciste, notamment envers les vipères… Mais enfin, nous constatons, une fois de plus, que le flot de haine, d’insultes et de menaces, sur ce blog comme ailleurs, vient des soi-disant « anti-racistes », et non de ceux qu’ils accusent de « racisme ».
    Les prétendus « vingt racistes » d’ici, dont la hyène dactylographe Charoulet ne nous a toujours pas présenté la liste (bien qu’il affirme l’avoir dressée), me paraissent des gens parfaitement raisonnables, de bon voisinage, intelligents et bien élevés.
    On notera la façon dont les flics communistes se montrent toujours par deux, ici, depuis quelque temps : les crachats de Charoulet sont toujours accompagnés des vomissures de Preud’homme. C’est tout à fait un hasard, naturellement. Ce n’est pas du tout du trollage organisé.
    Charoulet n’est même pas capable de régler ses comptes tout seul. Il faut qu’il se fasse aider par une femme (réelle ou supposée). Qu’y a-t-il d’étonnant à ce que des « anti-racistes » enragés, qui s’emploient par conséquent à prendre le parti des malfaiteurs d’origine immigrée, se comportent exactement comme ces derniers, qui attaquent en meute ?
    ______
    (*) Pardon : qui s’identifie au genre féminin, pour rester dans le politiquement correct charouléto-preud’hommiste. Pour une fois, j’aurais tendance à être d’accord avec cette nécessaire précaution de langage.

  112. Mary Preud'homme

    @ Patrice Charoulet | 10 juillet 2018 à 22:40
    Nous ne sommes pas dans un prétoire et si c’était le cas Marchenoir n’y figurerait pas comme avocat défendant une cause mais comme prévenu, eu égard à un racisme répugnant qu’il exhibe tel un trophée.
    Vous me parlez de votre expérience des procès, mais dites-moi en quoi cela vous donnerait qualité ou autorité pour parler à ma place de ce qu’est le racisme, non imaginé comme vous de l’extérieur, mais vécu de l’intérieur.
    Si vous en aviez réellement souffert ou vu souffrir vos proches, si eux ou vous aviez été persécuté, lynché en raison de votre origine ethnique ou de celle de votre conjoint. Si votre famille ou vos proches vous avaient mis à l’écart du jour au lendemain. Si vous aviez connu le sort qui attendait les couples mixtes dans certains Etats du Sud des Etats-Unis où les mariages entre Noirs et Blancs étaient interdits jusqu’à la fin des années soixante, et où les injures, intimidations et menaces étaient monnaie courante, vous ne feriez pas des mamours à un Marchenoir arguant du fait qu’il écrit bien.
    Du temps où vous étiez professeur de lettres, auriez-vous donc noté généreusement (et sans état d’âme) un élève qui développait sans complexe des théories racistes ? Vous attachant donc essentiellement à la forme et non au fond ? Bien que je doute qu’un Marchenoir ait le cran d’agir à découvert. Beaucoup trop couard !
    Savez-vous que le pasteur Martin Luther King qui outre un excellent orateur était un apôtre de la paix et de la non-violence avait écrit que « la force d’aimer » avait ses limites et qu’il était au-dessus de ses forces d’avoir la moindre empathie pour quelqu’un qui persécutait ses proches ou menaçait de détruire sa maison ?

  113. @ Robert Marchenoir
    Cher Monsieur,
    Il ne vous a pas échappé que vous êtes dans le collimateur d’une « dame » de ce blog, que je ne nommerai pas par humanité élémentaire – je ne connais que son patronyme et il m’est très désagréable de m’attaquer à une personne réelle qui a probablement une famille, des relations, des amis (les malheureux), lesquels seraient atteints injustement par mes propos – mais que vous reconnaîtrez sans peine.
    Permettez-moi d’intervenir dans cette pénible affaire en votre faveur et ceci pour deux raisons.
    D’abord par solidarité de sexe. Je suis un homme, vous en êtes un autre ! Et par les temps qui courent si les hommes ne se regroupent pas pour faire face à cette tourmente antivirile qui se développe tout azimut nous sommes fichus, c’en est fini de nous, de notre art de vivre, de nos moyens d’existence même. On va nous ôter le pain de la bouche.
    Ensuite parce que je suis intelligent, astucieux, cultivé, drôle, bien élevé, courtois et je fais l’hypothèse qu’il en est de même pour vous. Et j’aime secourir les gens qui ont ma classe.
    Sachez, Monsieur, que cette personne s’en est pris à moi de la façon la plus odieuse, sans raison, sans but, sans intérêt, au point que je me suis demandé si j’avais encore le droit d’occuper une place, non seulement dans ce blog mais sur cette planète.
    Pire, peut-être faisait-elle une fixation amoureuse sur moi, un latin lover de stricte obédience !
    Il est certain que ce délire anti-mâle qu’elle développe à longueur de commentaires l’aide à surmonter ses pauvretés et ses carences mais ce n’est pas un service qu’on lui rend en n’intervenant pas fermement ! Je vous le dis : cette personne doit être mise en tutelle. Nous les agressés agissons pour qu’elle soit placée dans un nid moelleux où l’on s’occupera d’elle, nous sommes en légitime défense.
    Croyez, Cher Monsieur etc.
    PS. Un homme de ce blog, que je ne nommerai pas non plus pour les mêmes raisons que plus haut, s’est acoquiné avec elle. C’est regrettable. Nous ne souhaitons pas l’enfoncer par solidarité sexuelle. Il est déjà suffisamment embringué dans cette relation qu’il doit regretter chaque jour que Dieu fait ! Bien à vous

  114. @ Exilé
    « …tir aux pigeons, racistes, pays totalitaires, kapos, Stasi, Tartarin… »
    Cherchez l’intrus, je crois que c’est Tartarin ??
    Voilà un penseur qui fera un excellent Las Cases !
    @ Robert Marchenoir
    Je suis déçue, excessivement déçue, en effet, après avoir brillé voilà que vous scintillez vaguement et que votre propos mollit, puis que votre attaque déraisonne et déraille lamentablement, ce qui au fond est parfaitement logique puisqu’elle repose essentiellement sur les divagations d’un esprit confus et maniaque (les deux états sont-ils compatibles ??).
    Bref ! Si vous voulez devenir notre GUIDE, il faudra plus de rigueur, être l’exemplaire, rempli de bonne foi, dire la vérité, oui il faudra nous persuader et nous convaincre ! Inspirez-nous !!
    Il ne faudra pas opposer que vous ne voulez pas être notre GUIDE ou que vous ne le voulez plus, ce serait trop décevant, et à cette simple évocation il me vient l’envie de me précipiter dans la Seine tant le désespoir serait grand, non vraiment, j’insiste et je sais que c’est impoli, donnez-nous plutôt de l’analyse politique, économique, statistique, métaphysique, tellurique, bachique et à la fin du bonheur !!
    Comment se fait-il qu’après avoir expliqué tout ce qu’il y a de stupide dans les propos de M. Charoulet et Mme Preud’homme, vous jugiez indispensable de nous abreuver de votre ressentiment à leur égard ?
    Ils ont eux aussi le droit de s’exprimer ici, et c’est ce qu’ils font, de votre côté vous n’êtes pas privé de la tribune, ainsi, d’où vient votre colère si ce n’est de votre malhonnêteté intellectuelle ? Faut-il pour votre bonheur éradiquer tout avis contraire ? C’était donc vous l’enfant des sortilèges ?
    Robert Marchenoir, soyez grand seigneur, permettez à d’autres d’exister ce qui n’est pas synonyme de votre disparition contrairement à votre croyance…
    Aux dernières nouvelles, il y a le foot et Homère !!

  115. L’engeance de vipère filtre le moustique et avale le chameau, nous gratifiant alors des productions logorrhéiques de ses problèmes de digestion, qu’il essaye de nous présenter en purifiant la coupe et le plat, alors qu’il est rempli de mort et d’immondices. Quiconque s’élèvera sera abaissé, et quiconque s’abaissera sera élevé. Coucou, majesté hypocrite.

  116. Puisque ce sont les grandes vacances d’été, lisez sur vos plages ou à l’ombre des tonnelles le livre de Pierre Conesa. Il n’est pas communiste, ni de gauche, ni anti-américain, mais ses analyses sont décapantes.
    Une étude sur le cinéma américain. « Hollywar ».
    https://m.youtube.com/watch?v=pL6v-kD6XZw
    (Emission sur TVLibertés, qui est franchement de droite, abonnez-vous, c’est gratuit.)

  117. Charoulet, Marchenoir, Preud’homme, Noblejoué, etc.
    Mais quand donc comprendront-ils qu’ils nous les cassent à donf avec leurs états d’âme et leurs polémiques vaseuses ?

  118. La controverse qui sévit ici depuis quelques jours exaspère certains.
    On peut certes les comprendre.
    Toutefois, cette controverse est d’une importance majeure, c’est une question de civilisation, tout d’abord pour nous, qui n’avons plus que dix ou quinze ans à vivre, mais surtout pour nos enfants et nos petits-enfants.
    Taxer de « raciste « un simple citoyen qui ne veut pas être submergé face à un vieux schnock aigri qui ne s’en remet pas de sa pâle vie, soutenu par la nostalgie d’une nuit chaude passée sous les palétuviers d’Haïti, le combat est inégal.
    Emmanuel Macron emmène à Moscou, dans l’avion présidentiel, un gamin de Créteil ; il a 12 ans, il assistera dans la loge présidentielle à la finale (Le Parisien).
    Qui est ce gamin ?
    Antoine ? Gérard ? Charles-Edouard ? Michel ? David ? Truong ?
    Est-ce un gamin handicapé ? Un de ces gamins atteint d’un cancer au stade terminal de l’hôpital Gustave-Roussy de Villejuif ? Le fils d’Aurélie Fouquet, pupille de la nation, criblée de balle par le gang des hélicoptères ?
    Je vous laisse deviner. Cherchez.
    Qu’on ne me parle plus de Macron.

  119. Mary Preud'homme

    Le coming out de Zonzon ne me surprend pas. Je me doutais depuis quelque temps qu’il faisait la paire avec Marchenoir !

  120. @ Mitsahne | 10 juillet 2018 à 18:40
    L’insulte est de plus en plus présente dans ce blog ; et un moyen de fuir ses incapacités à répondre de manière rationnelle à celui qui ne partage pas ses convictions. Souvent elle permet de davantage décrire l’insulteur que l’insulté.
    Si vous avez la conviction que l’absence de réponse de la part d’économiste reconnus a pour réponse  »C’est dire l’intérêt que vous avez suscité avec votre verbiage auquel on ne comprend pas grand-chose même après deux ou trois relectures complaisantes », c’est que vous ne vous interrogez plus dans le sens que le dit Leprince-Ringuet  »à vingt ans nous nous sommes forgés nos propres vérités et passé ce temps nous ne faisons plus aucun effort pour chercher la vérité ».
    En fait une quadruple lecture après une triple lecture dans lesquelles on ne fait que rechercher, en vain, ce qui est conforme à ses vérités sera suivie par une absence de concordance avec sa vérité à la quatrième. On peut dire que quand sa vérité exclut d’autres vérités cette vérité exclusive devient un préjugé, comme est le cas de votre réponse à l’absence de manifestation de la part d’économistes chevronnés que vous considérez comme infaillibles comme l’ont été tous les savants en physique avant Galilée.
    Votre préjugé exclut la réalité des comportements humains qui comme vous ne peuvent accepter d’avoir pendant plusieurs décennies vécu de leurs savoirs et de devoir avouer sans résistances actives ou passives à dire : tout ce que j’ai dit jusqu’à aujourd’hui n’a pas de sens.
    Voilà pourquoi, pour démontrer que mes  »préjugés » (si vous le voyez ainsi) pour devenir vérité ne le peuvent que si les prémisses qui m’y ont mené sont justes. Donc s’il vous est demandé pour dire que mes conclusions sont fausses de démontrer qu’il est faux de dire.
    –    chacun produit la consommation de l’autre ;
    –    les actifs qui produisent cèdent une partie de leur production aux inactifs ;
    –    les actifs et les inactifs mettent en commun des consommations mutuelles ou collectives 
    –    les ménages plus aptes à capter les progrès viennent au secours des ménages moins aptes à le faire.
    Il me paraît, à moi, simple de répondre ; pour vous ce n’est pas le cas : est-ce une raison pour me traiter d’illuminé ou de fêlé ?
    Excusez-moi de vous avoir posé, à nouveau, une question. Dont je dois, en ce qui vous concerne, obligatoirement démontrer qu’elle a un intérêt.
    Quand il vous est demandé :
    faut-il nécessairement supprimer volontairement des emplois capables d’apporter aux autres, pour en créer d’autres ?
    Ne peut-on pas créer des emplois sans en supprimer d’autres ?
    Au lieu de répondre par votre véritable conviction : Non on ne peut pas créer d’emplois si auparavant on n’a pas supprimé les emplois qui produisent les besoins des riches : vous trouvez les questions sans intérêt non pas parce qu’elles ne le sont pas mais que répondre à la question c’est devoir renier votre préjugé : la cause du pauvre c’est le riche.
    Voilà pourquoi j’emploie et j’emploierai le mot préjugé à chaque affirmation annoncée qui n’est pas accompagnée de lien de causalité réel avec le sujet traité.
    Quand je demande « j’attends la réponse » ou bien « prouvez-moi le contraire » dire de cela que c’est des objurgations péremptoires est un non-sens sauf à ce que les interrogations ne puissent avoir pour réponse que ce que le questionneur affirme (puisque une évidence même) et en conséquence vous devez admettre cette affirmation en qualité de prémisse dans la suite d’un raisonnement et le fait d’approuver ne vous permet plus de traiter d’illuminé ou de fêlé celui qui vous questionne.
    Vous ne pouvez traiter le questionneur ainsi que si vous ne l’approuvez pas. Auquel cas il vous reste à démontrer où il fait erreur. Si vous n’y parvenez pas et avez recours à l’injure, celle-ci définit davantage celui qui la porte que celui à qui elle est destinée.

  121. @ Claggart | 11 juillet 2018 à 10:00
    « Mais quand donc comprendront-ils qu’ils nous les cassent à donf avec leurs états d’âme et leurs polémiques vaseuses ? »
    Je suis bien d’accord avec vous sur ce point. Ça commence à bien faire !
    Généralement, dans ce genre de situation, le plus intelligent est celui qui arrête le premier la polémique.
    Attendons de voir qui ce sera…

  122. Robert Marchenoir

    @ Claggart | 11 juillet 2018 à 10:00
    Vous êtes gentil, Claggart, avec votre fausse neutralité. Il ne s’agit pas d’états d’âme. Il s’agit du problème politique le plus important de ce temps. Ce fil s’appelle : « Emmanuel Macron, le combattant intermittent ». Macron vient de prendre des positions sans équivoque en faveur de l’immigration illégale. Nous sommes donc en plein dans le sujet.
    @ Mary Preud’homme | 11 juillet 2018 à 01:33
    « Si vous en aviez réellement souffert ou vu souffrir vos proches, si eux ou vous aviez été persécuté, lynché en raison de votre origine ethnique ou de celle de votre conjoint, etc. »
    Ah ! nous y voilà… C’est bien le problème, et je suis ravi que vous y veniez. Vous avez donc été lynchée en raison de votre race (qui n’existe pas, nous sommes bien d’accord), ou vos proches l’ont été, etc. Pour une lynchée, vous vous portez plutôt bien, ce me semble, mais admettons.
    Vous êtes donc exactement comme Charoulet : votre nombril est au centre du monde. Vous tentez d’exercer votre terrorisme intellectuel (intellectuel est un grand mot) en tentant d’interdire toute discussion qui n’irait pas dans votre sens, sur l’immigration ou la question raciale, au prétexte de votre petit cas personnel.
    Mais tout le monde s’en moque, de votre petit cas personnel — au-delà des cinq minutes auxquelles vous avez droit, comme tout le monde, pour nous en faire part.
    Si vous étiez véritablement anti-raciste, c’est-à-dire si vous faisiez preuve de la tolérance, de l’altruisme et de la générosité dont vous vous parez, comme le font tous les « anti-racistes », vous comprendriez instantanément à quel point il est indécent, de votre part, d’exiger que la civilisation européenne meure, sous prétexte de désagréments que vous auriez pu subir dans votre vie privée.
    Vous comprendriez que toute discussion politique, intellectuelle, philosophique, religieuse ou scientifique ne peut se tenir qu’à la condition expresse que chacun des participants s’engage à abstraire son cas personnel de la discussion.
    A défaut de quoi, l’une des deux issues suivantes est fatale : soit un ou plusieurs participants se prétendront offensés, parce qu’ils auront pris pour leur propre compte des assertions qui se veulent en réalité de portée générale ; ce qui est naturellement un obstacle à la sérénité des débats. Soit un ou plusieurs participants s’abstiendront de faire valoir des arguments qu’ils pensent justes, dans le but de n’offenser personne ; ce qui est naturellement un obstacle à la recherche de la vérité, but de toute discussion de ce type.
    C’est, sans surprise, la seconde option qui l’emporte lorsque les « anti-racistes » ont le dessus — et ils l’ont, en général, dans la société actuelle, vu les procédés déloyaux et ignobles qu’ils emploient, dont vous et votre camarade dans le crime Patrice Charoulet nous offrez ici un si bel aperçu.
    Inutile de dire que leur lâcheté ne peut s’exercer (je n’ai pas employé ce mot au hasard, contrairement à ce que votre nouveau fiancé veut faire croire) que parce que des lois ignobles, scélérates, injustes et tyranniques s’opposent à la liberté des débats, donc à la recherche de la vérité, et par conséquent à l’exercice de la démocratie.
    Ce fameuses lois faussement dites « anti-racistes » — lesquelles font « d’une opinion un délit », comme le dit votre ineffable binôme Charoulet, qui ne se rend même pas compte de l’énormité qu’il profère ce faisant.
    Ainsi, une vérité cesserait d’être vraie sous prétexte d’une loi. Et c’est un professeur qui l’affirme — peu importe de quoi ! Indépendamment de toute question biographique, les lois « anti-racistes », associées au conformisme social désormais prégnant, permettent à toute sorte de trolls, de frustrés et de malfaisants de déverser leur haine sur n’importe qui, y compris sous leur vrai nom — comme l’onctueux et hypocrite Charoulet passe son temps à nous le souligner.
    Forcément : quand vous avez le KGB avec vous, vous pouvez vous payer le luxe d’essuyer vos rangers cloutées sur la figure des zeks sous votre vrai nom. Vous pouvez même pousser le culot jusqu’à reprocher aux zeks de tenter d’échapper au KGB en prenant un faux nom. Le cynisme ne connaît aucune limite, pour quiconque possède une âme de tchékiste — mais je pourrais aussi bien parler de gestapiste (tu parles d’un anti-raciste !).
    Vous avez eu, ici, le toupet de me reprocher « d’attaquer votre famille », alors que c’est vous qui vous êtes servie de votre famille « multi-culturelle », de façon parfaitement déloyale, pour tenter d’interdire toute discussion libre et informée sur la race, l’intelligence, la délinquance, les capacités d’adaptation sociales et bien entendu l’immigration de masse. Phénomène dont l’ensemble des observateurs avertis, quelle que soit leur opinion, conviennent qu’il est de nature à bouleverser la physionomie du monde dans les décennies à venir.
    Mais sous prétexte de tel ou tel détail relatif à votre vie privée, il serait interdit à l’ensemble de commentateurs de ce blog (et au monde entier par extension) de débattre librement de leur avenir, individuel et collectif, et de celui de leurs enfants.
    Laissez-moi vous dire que si vous vouliez démontrer le bien-fondé des lois « racistes », et en particulier de celles interdisant les mariages inter-raciaux, vous n’auriez pas procédé autrement.
    Si le fait d’investir son avenir génétique dans une race différente n’est pas, contrairement à ce que nous serinent les bisounours, simplement le fait de « deux personnes qui s’aiment, et qui demandent seulement à ce qu’on les laisse vivre en paix », mais une arme de guerre ethnique contre son propre peuple, ainsi que vous vous employez, pour votre part, à nous le démontrer, alors c’est vous la raciste, et non ceux que vous dénoncez de façon obsessionnelle, avec une haine trop insistante pour être honnête.
    Quant aux persécutions et au lynchage que vous et les vôtres auriez subi, j’ai démontré ce qu’il fallait en penser, il y a bien longtemps, suite à la charmante historiette d’autobus que vous aviez cru malin de nous conter jadis, relative à votre jeunesse.
    Je veux bien oublier cette anecdote, ainsi que j’en ai apporté la preuve depuis longtemps ; mais à condition que vous n’en profitiez pas pour exercer votre terrorisme intellectuel « anti-raciste » (c’est à dire raciste, en réalité) ; pour déverser à mon encontre les torrents d’insultes, de calomnies et de mensonges qui font votre ordinaire (ainsi qu’à l’encontre, par extension, de tous ceux qui pensent comme moi, ici — demandez à votre compère Charoulet) ; et à condition que vous acceptiez la règle du débat civilisé que je viens d’énoncer, et qui, seule, a permis à la civilisation européenne d’exister.
    Au demeurant, que savez-vous des persécutions que moi-même et les miens aurions pu subir ? Ainsi que tous ceux qui, ici, ne jugent pas nécessaire d’étaler leur vie privée, et encore moins d’en faire l’alpha et l’oméga de leur argumentation politique ou intellectuelle ?
    Vous n’êtes pas la seule, ici, à avoir épousé un étranger. Il y a au moins un autre commentateur qui nous a fait part d’un détail biographique similaire. A la différence de vous, cependant, il ne passe pas son temps à nous chanter les vertus supérieures du pays d’origine de son conjoint, à s’indigner des abominables persécutions dont son peuple serait victime de la part des Européens, à en tirer des conclusions sur ce que devrait être la politique étrangère de la France, à insulter ses commensaux à ce titre, etc. C’est sa vie personnelle, voilà tout.

  123. @ Savonarole | 11 juillet 2018 à 10:00
    J’ai écouté l’interview et mis le site dans mes favoris… Ainsi le pape serait décevant ? Dommage. Mais une distribution alternative de film et qu’on parle de ce qui s’est passé en Vendée (même si on ne dit pas le mot génocide pourtant avéré) est une bonne chose.

  124. @ Savonarole 11 juillet 2018 10:00
    Vous avez raison de citer Pierre Conesa. Il sait de quoi il parle et il parle bien – sans les euh !, et voilà, hein, moi je… – de la plupart des commentateurs-trices !
    Son analyse sur le cinéma hollywoodien est éclairante sur la puissance d’abrutissement des masses que représentent les « majors ». Majors qui appartiennent pour la plupart à…
    Malheureusement il se fait rare dans les médias : sa franchise, son parler rude, ses prises de positions honnêtes et réalistes font peur à la plupart des rédactions invitantes qui ne souhaitent pas sortir du politiquement correct.
    Cordialement.

  125. Herman kerhost

    @ Patrice Charoulet, Mary Preud’homme, etc.
    « Tous ceux, en particulier dans son fan-club (une vingtaine de membres), qui ont lu la prose que j’ai adressée à Robert Marchenoir ces jours-ci… » (Patrice Charoulet)
    Vous m’excuserez d’abord, Monsieur Charoulet, pour mon manque d’éloquence, mais il se trouve qu’après une modeste réflexion, je suis dans l’incapacité de poser en préambule un sentiment positif à votre égard…
    Donc, après les « larbins, les « toutou à son maîmaître« , maintenant c’est P. Charoulet qui nous parle du « fan-club » de Robert Marchenoir.
    Mais quelle est donc cette manie chez certains commentateurs, de péjorer ainsi ceux qui ont pu, à un moment ou un autre, dire leur accord, louer le talent d’argumentation, ou encore savourer la prose de Robert Marchenoir ?
    Comme par hasard, cette façon de procéder, alors que les arguments manquent, se trouve être commune aux médiocres de ce blog. Monsieur Charoulet venant à son tour ajouter son aigreur à celle d’Achille et de Madame Preud’homme. Nous sommes donc en droit de nous demander si ce ne serait pas la jalousie qui pousse ces pas-joyeux lurons à se montrer si vils.
    Nous ne sommes pas dans un stade de foot, monsieur Charoulet !
    Vous n’avez pas d’argument à faire valoir. Je veux dire, en dehors de slogans prêts-à-servir, de mensonge éhontés et de manipulations grotesques.
    Mais le pire, c’est tout de même le professeur de français qui ne connaît pas le sens des mots, leur préférant leur esthétisme. Il est possible de conjuguer les deux, vous savez.
    Lorsque l’on vous dit qu’en moyenne le QI des Africains subsahariens est de 70, cela ne veut pas dire que tous ces malheureux sont des andouilles, juste que leur QI moyen est très bas. Que certains ont un QI de 60, et que d’autres ont un QI de 80 (je simplifie…).
    Il faut vraiment être un âne pour ne pas comprendre cela, or vous avez été professeur pendant quarante ans. Il ne faut pas chercher plus loin les raisons de la décadence de l’enseignement en France.
    Et pourquoi se borner à ne considérer que ce chiffre ?
    Pourquoi, lorsque les mêmes disent que certains asiatiques ont (en moyenne toujours) un QI supérieur à celui des blancs, ne pas dire que ceux-ci sont racistes envers… eux-mêmes ?
    Parce que tirer cette conclusion, tout comme la première, n’aurait aucun sens, car elle reviendrait à dire que c’est la réalité qui est raciste, et cela, même si ça paraît stupide, il ne faut surtout pas le dire, puisque, subtilement, cela introduit une vérité que ces belles âmes ne veulent pas entendre. Reste donc le mensonge, aux autres, mais aussi et surtout, à soi-même…
    Par ailleurs, la loi française n’interdit pas le racisme, seulement son expression publique. Encore une incompréhension de votre part. Comment voulez vous punir quelqu’un qui ne fait que mal penser mais qui ne dit rien ? Vous pourriez très bien être raciste et prétendre aimer vos voisins, et ainsi la justice n’aurait rien à vous reprocher.
    Si vous voulez interdire le racisme il va vous falloir un scalpel Monsieur le professeur.
    En ce qui me concerne je ne le suis pas, et je peux vous dire que vivant aux Etats-Unis c’est un bel exploit…

  126. Le prochain billet de M. Bilger sera sur :
    1. L’extraordinaire discours d’une heure et demie de Manu à Versailles devant la moitié des parlementaires qui se sont assoupis au bout de 3/4 d’heure devant tant de redites de vieille politique politicienne. Sauf sa claque missionnée pour les applos, bien entendu.
    2. La demi-finale de la coupe du monde. Sur ces millionnaires du ballon rond qui font vibrer le po… peuple dont certains, bénéficiant d’un pognon dingue, n’hésitent pas à acheter des places à des pas de prix pour aller voir vingt-quatre gugusses se disputer (avec les pieds) un gros ballon qu’ils doivent envoyer dans un filet de pêche, sponsorisés par des marques dont les sièges sociaux sont basés hors de France pour ne pas payer d’impôts en France.
    Les paris sont ouverts.

  127. Je m’interroge sur l’ambiance qui sévit ces jours-ci sur le blog. Il y a de l’exagération dans l’air, tout le monde s’en prend au « racisme », ou plutôt aux « racistes » et au « raciste » en chef, épluche les commentaires « répugnants » et y détecte de l’incitation à la haine. Les imprécations grand-guignolesques pleuvent, ainsi que les railleries et les leçons de morale assorties de rappels à la loi et sous-entendus menaçants.
    Dans notre pays il est encore licite de dire ce qu’on pense. Quoique tout juste et pas pour longtemps, parce qu’arrive une génération qui pose comme postulat que le langage est violent, qu’il doit être encadré, et qu’il doit être sanctionné le cas échéant. On bannit toute statistique, tout argument qui pourraient heurter certaines personnes. Il ne nous restera bientôt que la pluie et le beau temps sur lesquels donner un avis. Et pendant ce temps-là, les vrais racistes, comme le fait remarquer Exilé, ont toute latitude pour s’exprimer, personne ne les empêche de le faire, ou si peu, et seulement quand on ne peut vraiment plus faire semblant de ne pas remarquer. Tout ça par « anti-racisme ».
    Le débat contradictoire est inscrit dans notre culture. Il empêche qu’on se trucide quand on n’est pas d’accord. Est-ce que nous allons le mettre aux oubliettes, avec le reste de notre culture ? Pourtant cette culture a quelque chose d’unique, qui fait rêver ceux qui ne peuvent pas penser librement ou s’exprimer librement. Attention avant d’y renoncer, il a fallu des siècles pour y parvenir. C’est un assemblage fragile qui vaut peut-être d’être préservé, tout unique qu’il soit, de préférence au modèle universaliste (et totalitaire à sa façon), posé comme idéal par un mouvement de pensée se disant progressiste.
    Douglas Murray dit qu’alors que se joue le destin de l’Europe, nos gouvernements au lieu de réfléchir au long terme, prennent leurs décisions en fonction des titres de journaux du lendemain. Les Allemands qui ont eu peur d’être traités de racistes, augmentent en une seule année leur population de 2% et font entrer d’un coup chez eux une masse de gens, des hommes en majorité, qui ne partagent en rien leur culture, qui ne parlent pas leur langue, et qui n’ont pas le souci de s’assimiler ; et nous faisons tous semblant de croire que ça ne posera aucun problème, alors qu’il a fallu des siècles aux chrétiens pour surmonter au prix de tragédies leurs différences religieuses.
    Il suffira sans doute d’empêcher les gens de dire ce qu’ils pensent, et tout ira pour le mieux.

  128. @ Herman Kerhost
    « Que certains ont un QI de 60, et que d’autres ont un QI de 80 (je simplifie…). Il faut vraiment être un âne pour ne pas comprendre cela. »
    Je pense que cette histoire de QI devrait être abandonnée et oubliée, pour le bon fonctionnement de l’humanité tout entière. Car ce que ces études vont réveiller, si rendues et adoptées généralement, ce seront les plus bas des instincts, ainsi que les préjugés les plus injustes. Combien de gens possèdent une éducation et une pensée critique telles qu’il leur est possible de comprendre que le niveau d’intelligence n’est pas le reflet égal du niveau d’humanité, et que l’égalité des droits ne tire pas son jus du niveau d’intelligence, mais du matériel génétique : être humain ou ne pas l’être.
    Je connais les thèses d’American Renaissance, Jared Taylor est certes intelligent, cohérent, mais aussi très modéré et prudent dans ses propos. Quand même, combien de ses disciples seront assez honnêtes pour ne pas tomber dans le piège des préjuges et stéréotypes au moment où ils seront emmenés à juger quelqu’un d’une couleur de peau différente ?
    L’impasse avec les tests de QI c’est qu’il délimitent une note moyenne, mais ils ne peuvent pas délimiter les extrêmes car pour cela il faudrait tester la totalité des individus. Ce qui veut dire qu’un blanc pris au hasard pourrait être plus intelligent que des millions d’asiatiques, ainsi qu’un noir pris au hasard pourrait être plus intelligent que des millions de blancs.

  129. @ Ange LERUAS | 11 juillet 2018 à 12:35
    Je n’ai pas la moindre idée de si vous avez raison ou tort. Mais d’abord, je suis pour la liberté d’expression jusque dans les cas où notre pays s’est forgée une législation contre des opinions, ensuite, on ne peut pas se plaindre que le monde radote et être contre la nouveauté et enfin parce que vous excitez ma compassion.
    Je veux dire que votre position me semble difficile… Il me semble que si vous vous frottez aux scientifiques, soit vocabulaire, soit idée nouvelle, ils aient de l’éloignement envers vous, et qu’ici, blog plutôt littéraire, enfin, politico-littéraire, vous choquiez à cause de vos aspects scientifiques. Que vous dire ? Il faudrait être Orphée ici et économiste distingué ailleurs, ce que vous êtes ou non, je ne peux pas le savoir, je déploie les virtualités d’une situation.
    Si… alors. Donc, mais… Bref.
    J’ai parlé de stratégie, acceptabilité du message car ce genre de question, et surtout la vérité m’intéresse.
    Pour cette dernière et sa réception :
    https://blogs.futura-sciences.com/luminet/2014/01/11/eureka-dedgar-poe-le-beau-defend-le-vrai/
    En même temps, la science ne serait pas allée si haut sans un vocabulaire, une mathématisation, des expériences répétables et réfutables.
    Que vous dire ? Chacun fait ce qu’il peut où il est, suit sa voie… Il faut espérer pour chacun d’aller le plus loin possible dans sa quête, et qu’en chemin, celle de chacun s’enrichisse et enrichisse celle de l’autre.

  130. Mary Preud'homme

    « Faut-il admettre tristement qu’à la longue, chez n’importe quel président, il y a toujours un peu de Sarkozy qui survient, quel que soit le registre à peu près acceptable ou indécent de la posture ? »
    (Philippe Bilger)
    Encore et toujours cette obsession de NS (en mauvaise part hélas !)…
    Et pourtant… pourtant… si seulement ce président avait un peu plus de Sarkozy :
    « On a tous quelque chose en nous de Sarkozy
    Cette volonté de prolonger la nuit
    Ce désir fou de vivre une autre vie
    Ce rêve en nous avec ses mots à lui
    « Quelque chose de Sarkozy
    Cette force qui nous pousse vers l’infini
    Y a peu d’amour avec tellement d’envie
    Si peu d’amour avec tellement de bruit
    Quelque chose en nous de Sarkozy… »

  131. « La paire avec Marchenoir ! ». Whouah ! Souffrez qu’on vous embrasse Mary P.
    « Vous avez eu, ici, le toupet de me reprocher « d’attaquer votre famille », alors que c’est vous qui vous êtes servie de votre famille « multiculturelle » de façon parfaitement déloyale, pour tenter d’interdire toute discussion libre et informée sur la race, l’intelligence, la délinquance, les capacités d’adaptation sociales et bien entendu l’immigration de masse. » (RM)
    Je le dis sans rire : il faut interdire les patronymes. Les gens ne savent pas se tenir !
    A partir de quel niveau de fortune et d’aisance peut-on se permettre d’affirmer qu’on n’est pas raciste ?
    Etre raciste avec ses pieds !
    Nous aimons les Africains d’Afrique, les Chinois de Chine, les arabes d’Arabie et ainsi de suite.
    Derrière le mot racisme se dissimule parfois une notion qui n’a pas de rapport avec la race.
    Un raciste c’est souvent un exaspéré, un désespéré, un démuni, un spolié, un agressé, un « dernier de peloton », un mort-vivant, un rescapé !
    Un blog c’est comme un pays !
    PS. Non seulement Conesa est un type remarquable mais en plus il a une tête superbe ! Son analyse de la production hollywoodienne ne vaut pas pour le cinéphile européen. Il faudra qu’on reparle par exemple de Cimino un de ces quatre !

  132. @ Lucile | 11 juillet 2018 à 21:35
    « Il suffira sans doute d’empêcher les gens de dire ce qu’ils pensent, et tout ira pour le mieux. »
    Il ne s’agit pas d’empêcher les gens de dire ce qu’ils pensent. En particulier sur ce blog où la liberté d’expression est quasi totale au point que certains échanges occultent les billets de son hôte pour laisser la place à des polémiques interminables entre quatre où cinq individus qui s’invectivent en permanence de billet en billet, revenant systématiquement sur leurs obsessions.
    « Le débat contradictoire est inscrit dans notre culture », dites-vous ? Mais la polémique systématique où chacun assène ses certitudes sans même écouter les arguments de son contradicteur fait-elle vraiment partie de notre culture ? De quelle culture parlez-vous ? de celle du café du commerce je présume.

  133. @ Valery | 12 juillet 2018 à 00:27
    Avouez que lire Herman Kerhost donner des leçons sur le QI, c’est assez savoureux !
    Une chose est sûre, ce n’est pas un asiatique ! 😊

  134. « Avouez que lire Herman Kerhost donner des leçons sur le QI, c’est assez savoureux !
    Une chose est sûre, ce n’est pas un asiatique ! 😊 »
    Rédigé par : Achille | 12 juillet 2018 à 09:58
    En êtes-vous certain ? Moi je le trouve un peu chinois…

  135. @ Savonarole | 12 juillet 2018 à 10:24
    « En êtes-vous certain ? Moi je le trouve un peu chinois… »
    Ce n’est pas faux, pris dans le sens « contrefaçon ».
    Il fait du faux Marchernoir, comme les pays du S-E asiatique font du faux Vuitton.
    Bref, du toc !

  136. @ Herman kerhost | 12 juillet 2018 à 03:46
    La question n’est pas que les Indiens aient été des gentils mais chez eux et dans leur droit.
    Gentils ! Avec de tels critères des extraterrestres plus avancés que nous pourraient massacrer les humains et réduire le reliquat en esclavage comme le furent beaucoup de Noirs et/ou les parquer dans des réserves comme le furent les Indiens.
    Quant à la gentillesse des Blancs, c’est, dirons-nous, à éclipse. La traite négrière n’est pas une preuve de méchanceté mais de pouvoir comme les gigantesques jeux du cirque romains, qui peut beaucoup fait beaucoup. L’abolition de l’esclavage est une preuve de bonté, le totalitarisme de méchanceté, en somme on veut soit ne plus faire de victimes soit plus que jamais. Extrêmes, ni bons, ni mauvais.
    Et les autres aussi sont ni bons ni mauvais. Pas de bons ou mauvais sauvages, pas de sages ou cruels asiatiques.
    L’homme est mortel, souffrant, relativement bête, mimétique et lyncheur, dominateur ou soumis et de mauvaise foi. J’espère et je crois que je n’ai rien oublié.
    C’est donc le bien et non le mal qui est étonnant, contrairement à l’optimisme général de commande.
    La question n’est pas de nier la réalité mais de la changer.
    Je suis donc transhumaniste.
    Il ne faut pas se fier à moi, si je ne parais pas bien pour discréditer cette manière de voir. Disons que j’ai assez d’intelligence pour en vouloir plus et assez d’amour de la liberté et de la vie pour me battre pour rendre les augmentations de capacité et l’éternelle jeunesse que nous quêtons acceptables. Mes défauts ne sont que ceux de la nature humaine et nul n’est obligé d’être ou de paraître, ne tranchons pas de peur de se prendre une critique de quiconque d’un côté ou de l’autre, la crème de la crème pour se transcender ou rédimer le monde.
    Si j’étais le dernier des serfs dans le monde arthurien mais que j’avais entendu le Graal m’appeler, je partirais en quête. Ce qui compte n’est pas nos limites mais le mouvement qui pousse à les repousser, sans cesse, marchant vers l’horizon.

  137. Herman kerhost

    @Valery
    Alors vous non plus vous ne comprenez rien à rien. Je vous croyais pourtant au-dessus de… la moyenne.
    Evidemment que vous pourriez trouver un noir ou un blanc bien plus intelligent que nombre d’asiatiques, puisque ces chiffres représentent des moyennes. Ces moyennes de QI ne servent pas à recruter un candidat, puisque par définition, si vous voulez recruter, vous choisissez, vous ne prenez pas au hasard dans la population.
    Ces discussions autour du QI n’auraient pas lieu d’être s’il n’y avait pas sur ce blog une mauvaise interprétation de ce que ces chiffres veulent dire. Mais il est stupide de vouloir supprimer ces tests qui sont un outil nécessaire dans certaines situations.
    @ Achille
    Quand on se prétend, comme vous, ingénieur (de quoi ?) et qu’on n’est pas fichu de comprendre des textes simples, et qu’on offre ainsi sa sottise à des milliers de lecteurs, il est curieux d’aller deviser sur l’intelligence des autres.
    @ Savonarole
    Idem, et même pire, depuis votre dernier commentaire où vous avez montré qu’avec vous les images ça ne marche pas non plus.

  138. Mary Preud'homme

    « Ce qui compte n’est pas nos limites mais le mouvement qui pousse à les repousser, sans cesse, marchant vers l’horizon. »
    Rédigé par : Noblejoué | 12 juillet 2018 à 12:48
    Sans oublier que l’horizon est une ligne « imaginaire » qui recule au fur et à mesure que l’on avance !

  139. CONESA Suite
    Haut fonctionnaire au ministère de la Défense, Affaires stratégiques, le gratin de la fonction publique – cela ne plaira pas à tout le monde ! Un charme fou. Relégué en bout de table dans les émissions télé ; ceux dont l’intelligence est vive comprennent tout de suite pourquoi.
    A Cimino, incontournable, il faudrait ajouter une réflexion sur Coppola, Tarantino, Kubrick. Aussi sur Clint le Trumpiste, « Holly de Honniwood », au moins pour son « Sur la route de Madison » que l’on pourra revoir sur Arte dimanche soir.
    Il est tout à fait surprenant de constater que les cinéastes US aimés des cinéphiles d’Europe sont généralement rejetés dans leur pays !
    Quant aux meilleurs westerns ils sont spaghetti ! Al dente !

  140. Limites du QI : « Motivated reasoning » (Le raisonnement motivé)
    On ne se sert de son intelligence pour chercher la vérité qu’exceptionnellement. La plupart du temps on pense pour agir, parce qu’on a quelque chose à faire, un travail par exemple. Ce quelque chose nous met toujours plus ou moins en relation avec les autres. Il est donc primordial pour chacun d’être jugé compétent par les autres, et tout autant pour chacun de montrer à son équipe qu’il est de son côté. Nous risquerions des ennuis si notre équipe doutait de notre loyauté à son égard. Cela pour faire comprendre que la pensée est motivée à l’extrême par l’intérêt personnel, c’est-à-dire par la nécessité pour chacun de veiller à sa réputation, quant à sa compétence et à sa solidarité de groupe. Une recherche montre que plus les gens ont un QI élevé, plus ils excellent dans le raisonnement et mieux ils trouvent des arguments allant dans le sens de leur équipe (ou de leur groupe d’appartenance).
    En revanche, QI élevé ou non, nous sommes très mauvais pour trouver des arguments contre notre propre bord. Il ne faut pas espérer qu’en réunissant des gens du même bord, des énarques en marche par exemple, ils trouveront la vérité sur un sujet ; le groupe cherchera des confirmations de ce qu’il pense déjà, une argumentation costaude pour défendre sa façon de voir, peut-être une stratégie pour réussir.
    C’est pourquoi la justice a besoin de jurys pour juger, le gouvernement (surtout s’il est constitué de gens ayant la même formation et s’il a réussi à museler son opposition) à besoin d’un Parlement pour le contrôler, et l’université de courants de recherche variés, en compétition ou en opposition les uns avec les autres. Quel que soit le QI, la lumière naît de la contradiction.
    Les psychologues russes ont décrit « le réflexe d’orientation » appelé aussi le « what is it – reflex », et les modifications réflexes d’un organisme quand il détecte une anomalie, un changement, une contradiction par rapport à ses habitudes. L’activité du cerveau redouble alors grâce à la production d’hormones spécifiques, puis retrouve un niveau bas dès qu’il s’est habitué au signal nouveau qui l’avait mis en alerte.
    « motivated reasoning » (et les ravages de la pensée unique) :
    https://www.youtube.com/watch?v=uogEbb0WOJE
    réflexe d’orientation :
    https://www.encyclopedia.com/psychology/encyclopedias-almanacs-transcripts-and-maps/orienting-reflex-habituation

  141. Herman kerhost

    @ Lucile | 12 juillet 2018 à 17:46
    Vous avez raison. Je dirais même qu’il faut cesser de lire les gens avec qui on a de grandes chances d’être d’accord.
    À quoi bon ? Perte de temps et surtout, cela provoque une satisfaction stérile.
    En ce qui me concerne, c’est très simple, cela m’ennuie. J’aime plus que tout lire des choses qui heurtent mes « convictions », prendre des coups de pied dans le cerveau. « Convictions » entre guillemets, car je n’ai plus vraiment de convictions.

  142. @ Mary Preud’homme
    « Sans oublier que l’horizon est une ligne « imaginaire » qui recule au fur et à mesure que l’on avance ! »
    Imaginaire : avance-t-on autrement que mû par le rêve ?
    Quant à la notion de frontière à explorer-repousser, il faudrait être des Etats-Unis ou à son meilleur pour en parler comme il faut.
    Le rêve nous pousse, la frontière nous transforme.
    Si je défends le bon droit des Indiens et des Noirs, j’admire la soif de dépassement américain.
    Qui, je ne parle pas du locataire de la Maison-Blanche, se transmue en certains en désir de transcender les limites humaines, en qui je reconnais enfin des frères, n’ayant jamais accepté le triste sort des humains, qui ne font que subir souffrance et mort. Plus positifs que moi, ils n’évitent pas les problèmes, comme moi qui ne voudrait surtout pas qu’on construise l’intelligence artificielle, injuste pour elle, mortelle pour nous à mon avis, et croient pouvoir convaincre les gens de s’améliorer, on voit qu’ils ne vivent pas dans le Vieux Monde qui s’enivre de complaintes déclinistes… Ils sont ce que j’aurais voulu être, si on pouvait choisir ses cartes. J’aimerais qu’ils aient plus de prudence, je me voudrais plus d’audace, non sur ce que j’ai dit, mais cette foi inébranlable en son but et en soi que je n’ai pas du tout, et moins que jamais, maintenant, vide comme tant de vains propos ou les engagements de tant de gens. Mais je ne renie pas une inspiration qui remonte à l’enfance.
    Et je peux d’autant moins abandonner ce qui est mon identité et mon orient, ou quoi que ce soit d’autre, d’ailleurs, que je ne veux plus jamais décevoir ma confidente que j’ai semble-t-il désappointée en quittant un certain milieu pour faire ce que j’avais à faire, il y a un certain temps, sans rien dire à personne, mais nous n’étions que des connaissances, je n’aurais jamais imaginé qu’elle m’appréciait et paraît-il d’autres personnes. C’était quand même des contacts assez distants…
    Je me sens redevable de son soutien, elle qui me donne tant d’excellents conseils, et me sens bien coupable de cette incompréhension.
    C’est dire si quel que soit mon vide depuis je ne le dirai pas, me sentant coupable et en pleine crise de gratitude, je veux dire que peu de gens m’en ont inspiré autant, je ne peux pas jouer les héros sont fatigués alors que je ne suis même pas un héros ! Autant chouiner ici, donc… Elle a déjà poussé des gens à l’accomplissement de ce qu’ils avaient à faire. Il est des êtres si intelligents et attentifs aux autres qu’ils devinent tout, si merveilleux qu’on oublie tout en leur présence, si inspirants qu’ils vous rendent le sens que vous aviez perdu, si exigeants qu’on est sûr de voir des tares qu’on n’aurait jamais soupçonné chez soi et si indulgents qu’on suppose qu’on les surmontera. Quel que soit ce qu’on fait ou ce qu’on pense, elle pousse à son accomplissement et de soi, et elle fait se rencontrer les gens dans l’harmonie, elle a de la classe, qui ne casse pas mais console. Elle est honnête intellectuellement, elle tient parole et elle a de l’humour… Elle a du courage et de la fantaisie. Je me sens l’obligation de résultat de ne plus la décevoir, jamais.

  143. @ Noblejoué | 12 juillet 2018 à 00:37
    Si pour ma part j’insiste lourdement pour que l’économie ne soit pas celle que l’idéologie dominante veut qu’elle soit mais soit celle dont notre vie en société nationale a besoin, de votre côté vous affirmez qu’un blog ne doit pas être ce que certains veulent qu’il soit alors qu’un blog doit être un lieu où chacun qui fait ce qu’il peut où il est, suive sa voie… espérant aller le plus loin possible dans sa quête, et qu’en chemin, celle de chacun s’enrichisse et enrichisse celle de l’autre. C’est-à-dire donner et recevoir. Tous compte fait c’est le même principe que l’économie d’une vie sociétale où chacun produit la consommation des autres et reçoit la production des autres.
    Vous voyez donc que l’économie n’est pas une affaire d’économiste distingué, être Orphée suffit puisque capable de comprendre ceci alors que les économistes distingués ne le comprennent pas, ni ne comprennent que l’économie ne doit pas être celle qu’eux veulent qu’elle soit mais ce dont notre vie en société a besoin pour satisfaire les quatre solidarités que tout Orphée observe dans notre société :
    –    chacun produit la consommation de l’autre ;
    –    les actifs qui produisent cèdent une partie de leur production aux inactifs ;
    –    les actifs et les inactifs mettent en commun des consommations mutuelles ou collectives ;
    –    les ménages plus aptes à capter les progrès viennent au secours des ménages moins aptes à le faire.
    Mais que nos distingués économistes ignorent pour nous parler de fiscalité, de droits acquis, d’État providence, bien qu’Einstein ait dit que « la chose la plus difficile à comprendre c’est l’impôt sur le revenu ».
    Le tout fait que nous nous partageons nos consommations nationales qui ne sont que nos productions nationales plus nos importations qui remplacent nos importations et fait encore que, à balance commerciale équilibrée, nos consommations nationales sont équivalentes à nos productions nationales donc du temps que nous passons à les produire et non de la valeur que nous lui donnons.
    Avez-vous déjà entendu de tel propos tenus par nos éminents économistes à qui vous me demandez  »d’aller me faire juger » et s’il le font positivement fait qu’ils ne sont plus éminents ni distingués.
    Je pense sincèrement que vous êtes plus enclin à un jugement objectif qu’eux et encore beaucoup susceptible de changer des savoirs appris alors qu’ils peuvent, comme vous dites, être réfutables.
    Ce commentaire peut s’arrêter là. Mais, si Mme Bilger le permet, je ferai un hors-sujet qui vous éclairera davantage sur la position de nos distingués économistes et surtout de nos politiques en recherche de bouc émissaire et qui utilisent pour ça le sujet de la fraude fiscale. Ce que vous lirez ici n’a jamais été abordé par ces sachants de savoirs appris mais, cependant, j’en suis certain puisque vous êtes disposée à écouter les autres sans préjugés, vous vous ferez votre propre idée sur le sujet et serez en mesure de voir où la  »vérité » paraît la plus réfutable.
    C’est un commentaire fait ce jour dans un autre blog qui met ce sujet en avant et qui il me semble permet d’apporter une vision réaliste de nos conditions de vie dans notre société.
    L’idéologie dispense de réfléchir ainsi en affirmant que nos pertes fiscales sont entre 30 et 80 milliards ce dont je ne doute pas : la fourchette étant si importante et les lois fiscales si complexes au point que chacun choisit la loi la plus prolifique pour chiffrer le détournement fiscal oubliant bien des fois qu’aux vu d’autres lois, la fraude n’est pas.
    Mais passons et venons au cœur du problème. L’économie n’est ni simpliste, ni statique elle est holistique et dynamique, ce qui fait que tout arrêt sur image, fraude =30 à 80 milliards, devient chez l’idéologue un manque à gagner oubliant que l’usage (elle ne reste pas sous les piles de draps) de cette hypothétique fraude, permet de retrouver des contributions fiscales et des contributions sociales et ne va plus permettre (si pas fraude) de demander aux actifs qui produisaient pour ces 30 ou 80 milliards, de produire (et devenir chômeurs) et d’avoir des rentrés fiscales en cascade pour supprimer dans l’économie plusieurs cycles de productions, bases de ressource fiscale et sociale si le redressement fiscal se fait afin de réduire le déficit de l’État.
    Bien sûr que la fraude fiscale ce n’est pas bien mais il ne faut pas prendre pour argent comptant le redressement, puisque ce redressement est réduit quasiment à néant mais en plus est accélérateur de chômage qui lui augmente les besoins en revenus sociaux et finalité : redressement égale augmentation du déficit fiscal+ social.
    Il va de soi que la meilleure façon de minimiser la fraude fiscale, l’optimisation fiscale, la délocalisation c’est de s’attaquer aux causes qui poussent à ces effets. C’est-à- dire les mesures fiscales et sociales qui ne sont pas expliquées de façon satisfaisante par notre Education nationale qui enseigne des idéologies alors que la réalité est simple :
    Notre vie sociétale dans notre nation, où chacun recherche à avoir des moyens pour satisfaire ses besoins matériels ou ludiques, se compose
    – d’actifs (physiques, intellectuels, financiers) qui passent des temps d’activité et pour cela touchent des rétributions permettant de satisfaire leurs besoins.
    – d’inactifs (futurs actifs, anciens actifs, actifs en congé d’activité momentanément) qui traversent des temps d’inactivité, lesquels sont “récompensés” par des attributions permettant de satisfaire leurs besoins.
    Avec ces rétributions et ces rétributions l’ensemble de la population nationale se partage notre consommation nationale à 100 % de trois façons 13 % mutuellement, 32 % collectivement et 55 % familialement.
    Il s’agit de savoir si ces trois taux sont convenables ; supposons qu’il le soit et de ce fait l’usage mutuel et l’usage collectif sont des usages partagés aux prorata des nombres d’actifs et des nombres d’inactifs en fonction des rétributions des uns et attributions des autres ; nous avons alors notre production nationale qui se partage en A % pour les actifs et B % pour les inactifs ce qui fait que chez nous en France statistiquement 40 % des conso nationales sont destinées aux actifs et 60 % aux inactifs, en Allemagne c’est le contraire : pourquoi… et leur usage mutuel semblable mais l’usage collectif que 26 %.
    La justice ne demande que de l’équité, à savoir :
    – si la part destinée aux temps d’activité (rétributions) et celle destinée aux temps d’inactivé doit être celle des Allemands ou celle des Français. Si l’on doit réduire la part des uns pour augmenter la part des autres 
    – si l’équité des rétributions entre actifs est respectée. Si l’on doit réduire la part des uns pour augmenter la part des autres ?
    – si l’équité entre les différentes catégories de temps d’inactivité est respectée. Si l’on doit réduire la part de l’un pour augmenter la part des autres ?
    – si dans chaque catégorie de temps d’inactivité la répartition entre les ayants droit est équitable. Si l’on doit réduire la part des uns pour augmenter la part des autres ?
    – si les 13 % d’usage en consommation mutualisée, ou les 32 % en usage collectifs sont convenables ou doivent être augmentés en réduisant les consommations familiales de chacun ?
    Toutes ces interrogations démontrent que le problème n’est pas la recette fiscale ou sociale mais l’entente de la population sur l’usage des consommations nationales :
    – à qui doit-on prendre pour donner ?
    – quel usage de consommation devons-nous réduire pour augmenter un autre usage ?
    Ou si nous ne voulons pas nous poser ces questions consistant à mettre au chômage les uns pour embaucher les autres (c’est cela la réalité de changer les flux financiers) sans certitude que le déplacement d’une consommation ne va pas provoquer une augmentation des importations donc supprimer du travail national et mettre en marche la pompe à chômage.
    Alors pourquoi ne pas éduquer la population à la réalité du partage de nos consommations nationales au lieu de l’éduquer au principe de l’État providence, les droits acquis les entreprises payeuses pour être formatées à une économie voulue par l’idéologie de la lutte des classes qui pour déterminer le prix de nos consommations a besoin d’une centaine de concepts, impôts taxes, charges patronales, salariale, société, chômage dont l’usage finit toujours par se transformer en rétribution pour actifs attribution des inactifs sur lesquelles attributions et rétributions sont prélevées des contributions pour usage mutuel et usage collectif qui ne sont pas décidés par des lois fiscales ou sociales mais par volonté démocratique des actifs et des inactifs qui sauraient parce que enseigné :
    –    chacun produit la consommation de l’autre ;
    –    les actifs qui produisent cèdent une partie de leur production aux inactifs ;
    –    les actifs et les inactifs mettent en commun des consommations mutuelles ou collectives 
    –    les ménages plus aptes à capter les progrès viennent au secours des ménages moins aptes à le faire.
    Eduquer à savoir comment satisfaire ces solidarités n’est qu’une question de mathématique. Quel sont les bons % des partages que nous voulons démocratiquement faire sachant que nous ne nous partageons que l’équivalent de notre production ; c’est-à-dire que notre consommation est proportionnelle à nos temps de production et non à une valeur. Les valeurs qui croissent n’augmentent pas notre consommation et ne fait que lever à l’un pour donner à l’autre, changeant une consommation par une autre donc supprime un actif pour le remplacer par un autre.
    Changer la technique de construction du prix des choses voulue par la lutte des classes par la technique qui ne tient compte que de l’usage qui est fait de ce prix est la seule façon de faire en sorte d’avoir des prix compétitifs et rendre les importations moins attractives ; l’optimisation fiscale, la délocalisation, permettent la réduction du chômage, du déficit (de la dette plus tard). Parce que nous saurons alors faire la différence en fonction circulation et fonction partage de la monnaie.
    Par ce changement on produit l’effet d’une taxation des importations sans la faire et sans prendre le risque que nos exportations soient taxées, on simplifie jusqu’à se suffire d’un lexique réduit à rétribution, attributions, contribution :
    – les contributions étant une partie des attributions et des rétributions :
    – le prix des choses qui nous servent de consommation (production non exportée plus importation) étant rétributions plus attributions dans chacune des nations souveraine de ce qu’elle décide de laisser aux actifs (fonction monnaie partage).
    – le prix de production qui circule dans la chaîne de production ou entre nations se limitant aux rétributions (fonction monnaie de circulation).
    Comment ne pas avoir de déficit (traduction de la réalité), c’est ne pas consommer plus que l’équivalent de sa production pour ne pas avoir de baisse de consommation : nous devons produire davantage pour beaucoup plus exporter, et pour moins importer. Ce qui est plus efficace que le redressement fiscal qui aggrave la situation et qui devient alors moins facile si la technique de construction du prix des choses et l’ordonnancement du partage de nos consommations se fait à partir de Rétributions, Attributions, Contributions.
    Mais hélas ceci n’est pas conforme à notre dicton  »pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué. »

  144. Mary Preud'homme

    @ Noblejoué | 12 juillet 2018 à 18:23
    A vous lire, vous êtes vraiment désorienté, bien que l’horizon n’y soit pour rien, pas plus que moi d’ailleurs !
    Qui vous dit que les Indiens (ou plus exactement Amérindiens) et les Noirs de toutes origines auraient besoin de vous pour les défendre ? Comme s’ils n’y suffisaient pas eux-mêmes…
    Encore un tic paternaliste hérité du passé, sieur Noblejoué, alors que vous ne cessez d’évoquer vos propres problèmes et états d’âme torturés dont ne réussissez pas à vous défaire.
    Comment alors dans ces conditions venir en aide à ceux que vous jugez, dans votre fausse mansuétude et compassion, plus en difficulté que vous ?
    Autrement dit commencer par regarder ce qui se passe à votre porte avant de prétendre secourir le monde entier ! Ce n’est pas moi qui l’ai dit mais Gandhi…
    Chez nous on dirait plutôt, « charité bien ordonnée commence par soi-même »… Etc.

  145. @ Zonzon | 12 juillet 2018 à 15:13
    « Quant aux meilleurs westerns ils sont spaghetti ! Al dente !  »
    Quand nous avons découvert en 1968 « Il était une fois dans l’Ouest », ce fut le même choc que quitter Tino Rossi pour les Beatles, et puis la suite est venue, les westerns précédents paraissaient bien mièvres, Sergio Leone avait révolutionné le genre, tout, la façon de filmer, la musique, absolument tout… En fait on changeait d’époque.
    https://youtu.be/lZC6q_7XHVY

  146. @ Herman kerhost | 12 juillet 2018 à 18:13
    À mon avis, si les gens avec qui on est globalement d’accord ont une argumentation solide, ils ont quand même beaucoup à apporter, ne serait-ce que sous forme d’information. De plus, si leur argumentation est vraiment solide c’est parce que, sans doute, ils évitent d’ignorer l’argumentation adverse.

  147. @ Noblejoué | 12 juillet 2018 à 12:48
    Vous devez vous demander, parfois, si vous ne marchez pas sur l’eau comme votre prédécesseur.
    De mon temps, nous avions la chance de pouvoir clouer le bec au barde lorsqu’il voulait chanter, mais ici vous roucoulez en permanence et lorsque par mégarde on vous lit on se demande si vous n’êtes pas un ange égaré.

  148. @ Mary Preud’homme
    « Qui vous dit que les Indiens (ou plus exactement Amérindiens) et les Noirs de toutes origines auraient besoin de vous pour les défendre ? Comme s’ils n’y suffisaient pas eux-mêmes… »
    Par contre, ils ont besoin de vous.
    Je prends la balle au bond, défendez-les donc, enfin, à votre manière… J’estime que toute personne en difficulté, et par exemple, dominée, a besoin de l’aide que quiconque de RESPECTUEUX, ce que je suis, jamais à me penser mieux qu’eux ou vouloir décider à leur place, peut lui apporter.
    Je ne crains pas d’avouer mes manques et mes dettes, je ne crains pas de dire que pour faire avancer quelque cause qu’on défende, il faut rassembler. Vous croyez qu’il ne faut pas encourager les bonnes volontés et trouver des consensus pour… avancer ?
    On peut se demander qui a perdu le nord, vraiment, vous confondez être en quête et être perdu.
    Grossière erreur, comme le dit Tolkien « Tous ceux qui errent ne sont pas perdus ».
    Mais je suis du genre à me laver les mains comme Pilate et les ratons laveurs, « méchant » comme dirait Corto Maltese quand on le cherche, parfois, et donc, je vous abandonne vos protégés.
    Qu’on n’essaie pas de me les refiler surtout, gardez-en pour toujours toute la charge, surtout.
    L’inconvénient d’avoir le sens du devoir, c’est qu’on a des soucis, l’avantage des gens qui veulent tout contrôler, c’est qu’ils n’ont… qu’à le faire.
    Tout s’équilibre.
    ——————————
    @ Ange LERUAS | 12 juillet 2018 à 19:25
    « Avez-vous déjà entendu de tel propos tenus par nos éminents économistes à qui vous me demandez  »d’aller me faire juger » et s’il le font positivement fait qu’ils ne sont plus éminents ni distingués.
    Je pense sincèrement que vous êtes plus enclin à un jugement objectif qu’eux et encore beaucoup susceptible de changer des savoirs appris alors qu’ils peuvent, comme vous dites, être réfutables. »
    Je ne dirais pas « faire juger ». C’est juste que la science se fait certes par rupture, mais beaucoup par reconnaissance par les pairs.
    Et qu’à Rome, comme dit l’autre, on fait comme les Romains, pour l’avancement de sa cause, quelle qu’elle soit.
    Mais je n’insiste pas. Je l’aurais fait pour quiconque se plaint de problème avec ses pairs.
    Je ne fais que m’adapter à chacun…
    Si on ne m’en sait pas gré, ni pour cela, ni pour quelque antiraciste qui m’envoie avec ma pelle et mon seau ne plus m’occuper de ses protégés à elle. C’est la vie, soyez en quête et vous paraissez perdu et drôlement incapable ou comploteur ou allez savoir encore, enfin, suspect.
    Mais la vie est une recherche, et dans le meilleur des cas, une quête.
    Je me rends compte que je peux agacer parce que quand quelque chose m’intéresse, je tire le fil, et tant pis pour la pelote. Que quand je sens qu’il y a une incohérence, je me sens mal à l’aise, et que je finis parfois par entendre que ça sonne creux, voire le crime, à le dire, et que ça ne plaît pas. Que j’avoue quand je ne comprends pas.
    Pire que tout, il y a des sujets que normalement, je zappe, ce qui, bien, ne fait pas sérieux.
    Mais l’est… Si on sait qu’on ne cherchera pas, qu’on sera perdu dans un puits sans fond, une geôle.
    J’ai bien compris que vous vouliez que l’économie soit ce qu’elle devrait être, votre comparaison sur le blog est éclairante.
    Savoir comment cela pourrait se faire est un autre problème… Je n’ai pas poursuivi ma lecture par manque de force, il faudra que je le fasse. Pour être honnête, je n’ai guère envie de me mêler d’économie, parce qu’une science qui prétend l’être humain rationnel, enfin, il paraît que ça change, fait plus fort que la science-fiction la plus débridée, sauf que c’est dit de manière moins palpitante.
    J’essaierai d’avoir un avis, mais je pense que d’autres sont plus à même d’en donner.
    En tout cas, bon courage, que vous ayez raison ou tort, vous cherchez, au moins.

  149. Robert Marchenoir

    @ Noblejoué | 12 juillet 2018 à 00:37
    A Ange Leruas, l’économiste méconnu : « Vous excitez ma compassion. »
    La vache ! Même moi, je n’aurais pas osé…
    ______
    @ Valery | 12 juillet 2018 à 00:27
    « Quand même, combien de ses disciples [de Jared Taylor] seront assez honnêtes pour ne pas tomber dans le piège des préjugés et stéréotypes au moment où ils seront emmenés à juger quelqu’un d’une couleur de peau différente ? »
    C’est vous qui nous reproduisez, pour la millionième fois, à la suite de millions de personnes, les « préjugés » et les « stéréotypes » des ennemis de la science. Ces derniers s’imaginent qu’on peut remplacer le savoir par les bons sentiments.
    Vous connaissez Jared Taylor et American Renaissance, vous n’avez donc, si je puis dire, pas l’excuse de l’ignorance.
    Vous dites : « Je pense que cette histoire de QI devrait être abandonnée et oubliée, pour le bon fonctionnement de l’humanité tout entière […]. L’égalité des droits ne tire pas son jus du niveau d’intelligence, etc. »
    C’est aussi pertinent (et intelligent, si je puis me permettre), que de dire : « Je pense que cette histoire de mètre devrait être abandonnée et oubliée, pour le bon fonctionnement de l’humanité tout entière. En effet, le mètre est une mesure de longueur, certains hommes sont plus hauts que d’autres, et les petits risqueraient d’être humiliés par ces grandes asperges qui croient si malin de promener leur squelette disproportionné sous le nez de tout un chacun. »
    « De surcroît, il est prouvé
    [ceci est exact, au passage] que les hommes grands réussissent mieux dans la vie, ont une position sociale plus élevée, sont plus riches, etc. Or, l’égalité des droits ne tire pas son jus de la taille de tout un chacun, la réussite des grands est intolérable, il faudrait les raccourcir à la naissance, etc. »
    L’intelligence existe, c’est une qualité perceptible de l’homme. Cela est une vérité d’évidence depuis que l’espèce humaine existe. L’intelligence est utile, voire précieuse — même remarque. L’intelligence varie d’un être humain à l’autre — idem.
    Si vous n’êtes pas d’accord avec ces axiomes, autant prétendre que vous êtes une cafetière, et entreprendre de discuter avec le fer à repasser qui se trouve dans le placard.
    Je veux bien qu’on remette tout en cause. C’est amusant. Les enfants en bas âge passent leur temps à demander : pourquoi ? pourquoi ? pourquoi ? Mais, passé l’âge de raison, il conviendrait d’admettre qu’on ne peut vivre en société, ou vivre tout court, sans tenir compte un tant soit peu de la réalité.
    Vous pouvez exprimer votre indignation à l’idée que l’homme ait besoin d’oxygène pour vivre, mais si vous entreprenez de tenter de vivre sous l’eau, je crains que vous ne restiez pas suffisamment longtemps à nos côtés pour avoir le loisir de nous convaincre de votre théorie.
    Au demeurant, l’existence, l’utilité et la variabilité de l’intelligence d’un individu à l’autre ne sont pas seulement des évidences. L’homme étant un être, hum… intelligent, il a cherché à confirmer par la raison ce qui lui était manifeste par sa sensibilité. Et il y est parvenu. Cela s’appelle la science.
    De même, il est manifeste, depuis la nuit des temps, que si vous vous jetez du haut des falaises de Douvres, vous ne risquez pas de remonter vers le ciel, et que la probabilité que vous perdiez la vie est assez proche de 100 % — même si vous êtes incapable de faire la différence entre un pourcentage et un ornithorynque.
    Malgré tout, il a fallu assez longtemps pour que l’homme explique pourquoi, découvre la gravitation, établisse les lois mathématiques qui la régissent, etc. Maintenant que c’est fait, vous pouvez toujours envoyer les troupes nazies brûler les livres de Newton si ça vous chante — et même ceux d’Einstein, ce qui serait pertinent au carré –, cela ne vous empêchera pas de vous tuer si vous vous jetez du haut des falaises de Douvres.
    Le QI, ce fameux quotient intellectuel d’où vient tout le mal, n’est qu’une manière de mesurer l’intelligence. Croire qu’on peut supprimer la chaleur et la froidure en interdisant les thermomètres, c’est le genre de chose qui a cours au sein de certaines sociétés particulièrement arriérées — dont je vous laisse rechercher, et nous communiquer, la couleur de peau, puisque celle-ci semble vous obséder.
    Chez nous, je veux dire « en 2018 », comme disent les gauchistes, en Europe occidentale, en Frônce, pays de la Sécurité sociale que le monde entier nous envie, ce genre de sornettes n’a pas sa place.
    Depuis les années 1970 environ, une véritable superstition a envahi l’espace médiatique occidental, pour ne pas dire un véritable terrorisme intellectuel : il serait néfaste de mesurer l’intelligence, et d’ailleurs ce serait impossible, et d’ailleurs l’intelligence n’existerait pas vraiment — tout le monde serait intelligent, mais diposerait d’une intelligence « différente ».
    Il faudrait savoir. Laquelle de ces trois propositions est vraie, et pertinente à la fois ? Discuter de la nocivité éventuelle de mesurer quelque chose qui n’existe pas, c’est se moquer du monde, il me semble.
    On reconnaît là la méthode de désinformation gauchiste bien rodée depuis des décennies. Exemple : les mensonges successifs qui nous ont été servis, depuis des lustres, pour nous faire avaler de force (et par ruse) l’immigration de masse. Je ne me lasse pas de citer ce petit chef-d’oeuvre du blogging mondial dû à Fromage Plus, dont le site est hélas en sommeil : Résumons. Neuf ans déjà ! Cette description parodique de la méthode de déplacement subreptice de la cage de buts à roulettes (© ma pomme) n’a, hélas, pas pris une ride.
    Mais revenons à cette maudite intelligence. Cela fait un bon siècle que les savants étudient l’intelligence humaine, sa nature, son utilité et la façon de la mesurer. Des centaines de spécialistes ont consacré leur vie entière à cette tâche. Ils ont publié, ce faisant, des dizaines de milliers d’études, d’articles de revues scientifiques et de livres universitaires. Ils ont consacré des centaines de milliers de pages, peut-être des millions, à ces recherches.
    Comme tous les scientifiques, ceux qui se sont spécialisés dans cette entreprise connaissent, entre eux, de nombreux désaccords, qui donnent lieu à d’interminables débats et à la formation d’écoles différentes vouées à se crêper le chignon (comme sur les blogs, mais de façon plus civilisée).
    Cependant, il existe quelque chose qui s’appelle le consensus scientifique. Parmi tous ces gens dont personne n’a entendu parler, qui sentent mauvais et qui passent leur temps à se jeter leurs bouquins à la tête, l’écrasante majorité est néanmoins d’accord sur les points suivants :
    1. Il existe bel et bien un facteur général qui caractérise les capacités cognitives, et ce facteur est variable d’un individu à l’autre.
    2. Tous les tests standardisés existants, employés pour évaluer l’aptitude aux études scolaires ou universitaires, ou bien la réussite à ces dernières, permettent de déterminer ce facteur général dans une certaine mesure. Mais les tests de QI spécifiquement conçus dans ce but sont ceux qui le déterminent avec la plus grande précision.
    3. Les chiffres du QI mesurent bien, en première approximation, ce que le langage courant désigne sous l’appellation d’intelligence.
    4. Le QI d’un individu donné, passé la première enfance, est à peu près immuable tout au long de la vie.
    5. Rien n’a jamais permis de démontrer que les tests de QI, s’ils sont administrés dans les règles, fournissent des réultats biaisés en fonction du statut social, de la richesse, de l’origine ethnique ou de la race.
    6. Les capacités cognitives sont largement héréditaires, dans une fourchette comprise entre 40 % et 80 %. (J’ai cité, ici, une étude récente qui évalue cette fourchette entre 50 % et 80 %.)
    A noter que le terme QI désigne le résultat chiffré d’un test synthétique, quel qu’il soit, destiné à mesurer les capacités cognitives générales de l’individu. Depuis l’apparition de ce concept, la recherche a conduit à identifier un facteur plus précis, appelé le facteur g. Ce chiffre, résultat de tests particuliers, a pour propriété de refléter de façon remarquablement précise ce que le langage courant désigne sous le vocable d’intelligence, et de prédire, de façon également remarquablement précise, la réussite sociale d’un individu donné.
    Les six points que j’ai mentionnés sont extraits d’un livre effroyablement « raciste » et « nauséabond », qui porte le titre insoutenablement nazi de… La Courbe de Gauss. En anglais (car il n’est évidemment pas traduit), The Bell Curve, de Richard Herrnstein et Charles Murray.
    Comme on le voit, pas le moindre four crématoire à l’horizon. Sous-titre : Intelligence et structure de classe dans la société américaine. Désolé, les chabichous gauchistes (et pipoteurs « anti-racistes » de tout poil), toujours pas de « couleur de peau » en vue, nul lynchage raciste à se mettre sous la dent — les « filles de victimes de la barbarie nazie » en seront pour leurs frais.
    Certes, la démarche scientifique étant ce qu’elle est, c’est-à-dire ne s’arrêtant pas aux préjugés racistes des « anti-racistes » proclamés, qui hurlent au meurtre dès qu’on parle de races ou d’ethnies, il figure un chapitre, dans ce livre, intitulé : Différences ethniques et capacités cognitives.
    Je laisse quelques minutes aux gauchistes de droite pour qu’ils aillent se faire leur injection de padamalgam de toute urgence.
    Néanmoins, il comporte également une section entière appelée… j’ose à peine l’écrire, tellement c’est obscène… Vivre ensemble.
    Incidemment, l’un des deux auteurs du livre, Richard Herrnstein, est un Juif d’origine hongroise. Peut-être certains membres de sa famille ont-ils été, eux aussi, « victimes de la barbarie nazie » ?
    The Bell Curve date de 1994. Depuis, l’écrasante majorité des études scientifiques ont confirmé son contenu. Le paradoxe est que ce livre, non seulement ne trouverait, sans doute, plus d’éditeur s’il était proposé à la publication aujourd’hui, mais que ses auteurs n’auraient même pas pu l’écrire — car il faut bien manger, pendant que l’on écrit.
    Le socialisme a toujours exterminé ses ennemis par la faim (voir Staline, Hitler, Mao, Maduro…). Le socialisme soft contemporain, même celui qui vote « à droite », leur coupe les vivres. C’est moins salissant, et cela permet à ses promoteurs de roter tranquillement avant d’aller se coucher, sûrs de faire partie du Bon camp, le camp des « anti-racistes ».
    Non seulement le marxisme culturel a réussi à imposer, depuis quarante ans, dans la sphère médiatique et politique, une prétendue « sagesse populaire » qui est à l’exact opposé de la vérité scientifique, mais d’innombrables universitaires dévoyés ont trahi leur mission, en exploitant leur renommée (ou simplement leur poste) pour soutenir la désinformation a-scientifique. On mentionnera, parmi eux, les ineffables Stephen Jay Gould (militant gauchiste dès sa jeunesse) et Axel Khan (communiste) : deux « grandes marques » du prêt-à-penser « anti-raciste » et politiquement correct — mais la liste est interminable.
    La plupart des idoles « intellectuelles » des gauchistes se permettent d’intervenir dans des sujets où elles sont totalement incompétentes. Le fameux Stephen Jay Gould, si souvent invoqué par le gang des anti-intelligents, n’a nullement consacré sa carrière à étudier l’intelligence humaine et sa mesure : il est spécialiste des fossiles, ce qui n’a rien à voir.
    En revanche, quand il était jeune homme, il a réussi, à force de manifestations, à faire fermer un coiffeur américain, qui refusait, fort légitimement, de couper les cheveux des Noirs, au motif que leur cheveux sont différents, ce qui exige un savoir-faire spécifique. C’était dans les années 1960, déjà…
    Depuis, on a fait des « progrès », et ce sont les pâtissiers qui sont traînés en justice, lorsqu’ils refusent de confectionner des gâteaux de « mariage » pour les homosexuels. Les casse-pieds gauchistes ne seront jamais satisfaits : ils trouveront toujours de nouvelles victimes à qui empoisonner la vie.
    De nos jours comme sous l’URSS, dans la plupart des universités occidentales, il est des sujets qu’il vaut mieux ne pas étudier, à moins d’épouser les thèses gouvernementales. Si vous vouliez faire une carrière d’agronome en Union soviétique, il valait mieux ne pas contester les sornettes de Lyssenko.
    Les savants qui ne veulent ni compromettre leur éthique, ni préparer un avenir de pauvreté à leurs enfants, sont contraints de se réfugier dans la sexualité des papillons. Et encore, je leur conseille de vérifier auparavant ce que pensent Nicolas Hulot et Marlène Schiappa sur le sujet.
    ______
    Note : la réflexion de Valery ci-dessous montre bien l’ignorance radicale des notions scientifiques de base qui président à la plupart des discussions bien-pensantes sur le QI :
    « L’impasse avec les tests de QI c’est qu’il délimitent une note moyenne, mais ils ne peuvent pas délimiter les extrêmes car pour cela il faudrait tester la totalité des individus. Ce qui veut dire qu’un blanc pris au hasard pourrait être plus intelligent que des millions d’asiatiques, ainsi qu’un noir pris au hasard pourrait être plus intelligent que des millions de blancs. »
    Il est manifeste, à la lecture de ces lignes, que Valery ne possède pas la moindre notion de statistique. La statistique est une branche des mathématiques. Les mathématiques ne sont pas une question d’opinion, mais de science. On ne peut pas discuter du QI, c’est-à-dire de la mesure de l’intelligence, si l’on n’a pas fait l’effort d’apprendre les bases élémentaires de la statistique. Quelques heures suffisent, mais elles sont nécessaires.
    Ce commentaire étant déjà fort long, je ne réfuterai pas, cette fois-ci, l’assertion fallacieuse que je viens de citer. Sinon pour dire une chose : quiconque ne comprend pas pourquoi elle est fausse n’est pas qualifié pour intervenir dans une discussion sur la validité du QI, et de sa mesure.

  150. @ Ange LERUAS | 12 juillet 2018 à 19:25
    « Mais hélas ceci n’est pas conforme à notre dicton  »pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué. » »
    Souvent, dans les colloques, un débat est prévu avec la salle. Parfois un individu prend le micro et au lieu de poser une question se rapportant à la communication d’un des participants, il se perd dans d’absconses considérations.
    Vous me faites irrésistiblement penser à ce genre de personnage auquel on a juste envie de dire :
    « Merci, j’espère que vous aurez ailleurs l’écoute que vous méritez !! »

  151. @ Zonzon 12 juillet 2018 15:13
    @ Savonarole 12 juillet 2018 19:49
    « Quant aux meilleurs westerns ils sont spaghetti ! Al dente ! » (Zonzon)
    Pour regarder « Il était une fois dans l’Ouest » aujourd’hui, il faut s’accrocher ! Pas une révolution, mais comme dit Savonarole un changement d’époque.
    Par contre la centaine de westerns exceptionnels tournés par les « grands » metteur en scène se revoient soixante-dix ans après avec le même plaisir.
    « Il y a aussi des poissons volants mais qui ne constituent pas la majorité du genre. »
    Cordialement.

  152. @ Ange LERUAS | 12 juillet 2018 à 19:25
    « Mais hélas ceci n’est pas conforme à notre dicton  »pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué. »
    J’ai une envie folle de sombrer, à vous lire, dans un sommeil profond et lourd…
    Et le comble c’est que je crois que vous comprenez votre dernière phrase et j’ai envie de dire, oui en effet pourquoi ? Et vous pourquoi ??
    Il y a Noblejoué, qui m’a quasiment mise en lévitation avec des supputations et des poses que même les extraterrestres n’oseraient pas, enfin, d’après moi et d’après les extraterrestres qu’il m’a été donné de rencontrer…
    Faites donc une synthèse puis une synthèse de la synthèse. Seigneur ! Que de vertus vous nous faites haïr !

  153. @ Zonzon
    « Quant aux meilleurs westerns ils sont spaghetti ! Al dente ! »
    Ça alors ! On ne va encore pas pouvoir se mettre d’accord aujourd’hui, désolée.
    Mes trois westerns préférés sont « My darling Clementine » (La poursuite infernale), loin devant ; puis à égalité : « l’Homme qui tua Liberty Valance » et « 3 h 10 pour Yuma », tous les trois en noir et blanc.
    Je maintiens qu’ils sont imbattables. Je répète : imbattables.
    Une petite pensée quand même pour les 7 Mercenaires.

  154. @ Robert Marchenoir
    By Jove !!
    J’ai mis au point une sorte de méthode, un système, un code Enigma, qui me permet de lire votre prose (un mot toutes les 52 lignes…). Je pense qu’elle me fera profit, je l’utiliserai pour vous et quelques autres cas prolixes, je présume que mon QI me permet toutes ces fantaisies, qui font que je me tamponne le coquillard des statistiques qui pourtant sont mon point fort, et selon vous, sont la condition sine qua non.
    Un autre avait dit qu’il fallait être géomètre!
    Et un autre : Ci n’entrez pas hypocrites, bigots, vieux matagots… et 52 lignes plus loin… et Marchenoir !

  155. @ Robert Marchenoir
    Sauf que je n’ai jamais mis en cause la validité des tests QI, ce que j’ai voulu dire c’est qu’il est dangereux de les considérer comme des preuves définitives pour définir une hiérarchie des races, tel que vous vous essayez à le faire.
    En dehors de domaines TRÈS précis, comme l’armée, la conquête spatiale et peut-être quelques autres où de mauvaises décisions peuvent produire des catastrophes immédiates, ces tests QI sont pernicieux. Vous voulez attaquer l’immigration de masse, allez-y mais attaquez plutôt la culture, le concept qui synthétise l’ensemble des valeurs (ou leur absence) d’une communauté. On ne choisit pas sa race mais sa culture, si.
    Affirmer aujourd’hui, au 21e siècle, que les noirs ont une intelligence inférieure aux autres races, aura des conséquences plus que néfastes, dues au fait que la plupart des gens croient encore à l’équivalence entre capacités cognitives et utilité publique. Un excellent chirurgien n’a pas besoin d’avoir une intelligence élevée, un artiste non plus, dans le sens de l’intelligence telle qu’elle est mesurée par ces tests.
    Pour finir, je ne sais pas ce que certains ici ont mangé, sûrement du lion, car je constate que les attaques personnelles se multiplient comme des coccinelles. Moi, cela fait deux ans que je lis vos élucubrations fantaisistes et obsessionnelles sur la Russie, et pourtant je laisse passer, car un, ce n’est jamais le sujet du commentaire, et deux, toutes ces invectives hors sujet où deux nerveux avec beaucoup de temps à tuer se chamaillent pour savoir qui a la plus grosse, constituent une quantité de travail inutile pour la modératrice.

  156. @ Ange LERUAS
    « Toutes ces interrogations démontrent que le problème n’est pas la recette fiscale ou sociale mais l’entente de la population sur l’usage des consommations nationales :
    – à qui doit-on prendre pour donner ?
    – quel usage de consommation devons-nous réduire pour augmenter un autre usage ? »
    Les deux ne sont pas incompatibles… Je veux dire qu’il y a le problème du montant de l’impôt, à qui on le fait payer, celui de la fraude et de la répartition des richesses dans l’ensemble de la population.
    Il est normal que les gens soient plus choqués par la fraude que par le reste parce que c’est une règle qui est violée, savoir un relatif car tout est relatif, consensus remis en cause de façon unilatérale par quelques individus, en plus de ceux qui ne sont pas les plus pauvres. Mais certains s’en servent pour remettre en cause les règles pour parler d’enfers fiscaux qui seraient opposés aux paradis fiscaux. Dans tous les cas, choc à cause d’une règle violée ou remise en cause de la règle, c’est central.
    Le droit est central dans les sociétés. Je ne dis pas qu’il faut abuser du droit, un problème, une loi, je dis que c’est central.
    Votre question entre actifs et non actifs me semble un problème perçu par personne ou alors sous d’autres formes, je l’ignore… Il ne peut remettre en question deux choses liées, la répartition des richesses entre riches et pauvres, justifiée ou non, et la question de l’impôt qui lui est plus ou moins lié selon les sociétés.
    « Parce que nous saurons alors faire la différence en fonction circulation et fonction partage de la monnaie. »
    Je ne sais pas si une théorie peut le faire, mais elle n’est pas faite d’après ce que vous dites.
    Donc vous n’avez pas de théorie mais un programme de recherche. Bien… Donc, à mon avis soit vous attendez que quelqu’un ici fasse la recherche en question, soit vous attendez un mouvement d’opinion ici pour aller dans cette direction. Mais c’est un blog qui n’est pas de recherche économique.
    Il vaudrait mieux, en plus d’ici, pourquoi pas, s’adresser ailleurs où une aide est possible. Une idée. Le blog de Paul Jorion. C’est un économiste non conventionnel et les commentateurs ont souvent des idées économiques originales.
    Donc je suppose qu’il y a des connaissances et de la bonne volonté pour examiner votre théorie-programme de recherche.
    « Comment ne pas avoir de déficit (traduction de la réalité), c’est ne pas consommer plus que l’équivalent de sa production pour ne pas avoir de baisse de consommation : nous devons produire davantage pour beaucoup plus exporter, et pour moins importer. »
    Il me semble que tous les pays essaient, et depuis longtemps, parfois en interdisant de consommer des produits de luxe étrangers pour éviter que l’argent sorte du pays. On développe aussi les productions nationales.
    Le vol de vers à soie de Chine et la production notamment en France à une époque est un exemple. Il y a le débauchage d’artisans, les verriers de Venise par je crois, Colbert.
    Simple logique, il y aura toujours des pays gagnants, ce qui implique des perdants. Cela du point de vue de la production… Celui de la consommation est différente, il y a baisse des prix. Il peut y avoir opposition entre consommateurs et producteurs, ou solidarité type nos emplettes sont nos emplois.
    J’ai lu toutes sortes de choses chez Paul Jorion, à un moment où je regardais de l’économie à droite à gauche, et il me semble que cela pourrait vous intéresser, vous donnez votre économie-programme, vous lisez celle des autres. Je m’étonne que vous n’ayez pas fait mention de Colbert, du mercantilisme et de tout ça que je vous suppose connaître… Mieux vaut peut-être s’appuyer sur des théories et l’Histoire pour montrer qu’on ne sort pas quelque chose de rien, je dis ça, je dis rien…
    Ou alors, vous ne le saviez pas, donc vous l’avez réinventé.
    Réinventée aussi la division entre actifs et inactifs, il me semble qu’il y avait une théorie ou plusieurs sur le fait que certains groupes étaient productifs, bien, et d’autres pas bien. La production agricole, ou alors industrielle, étant bien vue selon les cas. Il y a vraiment de la sélection naturelle intense dans ma tête, tout ce qui ne prend pas sens et utilité dégage, et j’ai aussi du mal à lire le diffus, est-ce à moi de condenser les idées de l’auteur ? Et autres défauts sans nombre, je vous donne un bon conseil, toutes choses égales par ailleurs, lisez en priorité des livres bien écrits, la pensée en est souvent, pas toujours, meilleure, le moment passé plus agréable, ce qui déteindra sur votre style… Voilà un investissement que je peux conseiller !
    Je crois que vous réinventez plus ou moins certaines idées en les mettant au goût du jour.
    Vous devriez revoir l’histoire des théories économiques, vous verriez ce que je veux dire… Elles ont été abandonnées et relativement oubliées, même par moi qui les ai lues, enfin, c’était il y a un certain temps.
    Vous devriez les étudier pour préciser vos propres idées, par exemple en voyant qu’à tel type de sociétés, avec tel type de production, correspond tel type de théorie, et que les deux sont en évolution… Le recul spatial permet de mieux voir ce qui se passe aujourd’hui.
    Comparer ce qui se fait dans l’espace avec la mondialisation est plus difficile car il y a mondialisation, mais cela offre encore un intérêt, tout de même.
    Sur des blogs économiques de droite et de gauche, vous pourriez confronter vos idées.
    Je pense que des gens pourraient vous fournir une bibliographie au pied levé sur vos différents centre d’intérêt, un peu comme Robert Marchenoir à yoananda sur la Russie, ce qui m’a fait penser qu’il faudrait bien, un jour, que je lise Custine. Beaucoup de gens ont des théories et auteurs fétiches, prenez-les, adoptez-les ou pas, faites votre propre théorie ou non, vous aurez accompli une quête.
    Votre division des gens en plusieurs catégories me fait penser à la statistique, peut-être à approfondir.
    Mais je crois qu’il vaut mieux commencer par ce que j’ai suggéré.
    Je pense que ma réponse peut vous décevoir mais je devais bien tenir mon engagement de vous en fournir une.
    Pour ses manques en tout genre ainsi que mes critiques, soit l’absence de matière et d’adhésion, je ne peux que vous demander pardon.

  157. @ Lucile (@ Zonzon)
    « Quant aux meilleurs westerns ils sont spaghetti ! Al dente ! »
    « Ça alors ! On ne va encore pas pouvoir se mettre d’accord aujourd’hui, désolée.
    Mes trois westerns préférés sont « My darling Clementine » (La poursuite infernale), loin devant ; puis à égalité : « l’Homme qui tua Liberty Valance » et « 3 h 10 pour Yuma », tous les trois en noir et blanc.
    Je maintiens qu’ils sont imbattables. Je répète : imbattables.
    Une petite pensée quand même pour les 7 Mercenaires. »
    ————————-
    Zonzon n’a pas tout à fait tort. La saga italienne de Clint Eastwood est remarquable.
    Et aussi quelques autres avec Lee Van Cleef, que les cinéphiles français surnommaient « le Louis Jouvet des plaines », la ressemblance était frappante.
    Les Italiens avaient compris qu’il fallait supprimer les femmes dans le western, les amourettes, les regards langoureux, les je t’aime, tu es l’homme de ma vie, n’y va pas Joe c’est un traquenard, etc.
    Sergio Leone disait qu’une femme dans un western retarde et rallonge inutilement le dénouement fatal (sauf pour Claudia Cardinale qui a eu de beaux rôles).
    High Noon (Le train sifflera trois fois) avec Gary Cooper aurait pu être un chef-d’œuvre sans Grace Kelly qui vient encombrer de ses dentelles et chapeaux fleuris une tragédie grecque.
    D’accord avec Lucile pour 3 h 10 pour Yuma et Liberty Valance.
    Une anecdote, lorsque Liberty Valance est sorti en France, c’est un certain Raymond Loyer qui faisait la voix de John Wayne, les traductions françaises étaient approximatives.
    Lors de la scène où Lee Marvin renverse la table de John Wayne qui dîne, celui-ci se lève et lui dit « that’s my steack Valance and you’re gonna pick it up for me ! »
    Traduction française : « c’est mon escalope Valance et tu vas la ramasser ! »
    Ah, « l’escalope » de Liberty Valance, le bifteck n’avait pas encore traversé l’Atlantique !
    Plus près de nous, je regarde une fois par an Jeremiah Johnson de Sydney Pollack, avec Robert Redford – 1972. Premier western écolo.
    PS : Dans Liberty Valance, Lee Marvin surpasse John Wayne qui a toujours joué le même rôle toute sa vie.
    Ce n’est pas un western, mais à voir :
    https://m.youtube.com/watch?v=qz1328EcZlQ

  158. @ Lucile
    @ boureau
    Yapa que les westerns ya aussi les policiers spaghetti !
    « Il était une fois en Amérique », le plus beau Leone, avec cette épaisseur classique propre à la vieille Europe, une œuvre mythique qui remue toutes les fibres de la sensibilité.
    Avec cette jeune fille qui danse pour elle-même au fond d’un entrepôt et qu’on retrouvera plus tard dans Downton Abbey, pour enchanter nos Noël !
    Ce que j’en dis ! Tiens, dimanche soir vous pourriez vous le repasser, histoire de vous extraire de la tourbe !

  159. @ boureau | 12 juillet 2018 à 22:13
    Fichtre ! Si vous me confondez avec Savonarole c’est flatteur…
    Je vous conseille de voir ou revoir « Il était une fois la révolution », je ne parle même pas du célébrissime « Le bon, la brute et le truand » dont la scène culte du cimetière est un joyau et puis aussi « Mon nom est personne » et puis… et puis… Je ne dis pas qu’il n’existait pas de bons westerns, mais là cette vague a tout emporté.
    ———————————-
    @ duvent | 12 juillet 2018 à 22:15
    « Faites donc une synthèse puis une synthèse de la synthèse. Seigneur ! Que de vertus vous nous faites haïr ! »
    Admirable.

  160. @ Lucile | 12 juillet 2018 à 23:10
    « Mes trois westerns préférés sont « My darling Clementine » (La poursuite infernale), loin devant ; puis à égalité : « l’Homme qui tua Liberty Valance » et « 3 h 10 pour Yuma », tous les trois en noir et blanc. Je maintiens qu’ils sont imbattables. Je répète : imbattables. »
    La méthode Coué, ça marche en politique, quoique, mais au cinéma, je n’en suis pas certain. Vous ouvrez la boîte de Pandore avec cette affirmation féminine sur un genre essentiellement masculin ! (Je blague… un peu ! ;-))
    Les films que vous citez sont de grands films unanimement reconnus comme tels, mais tous les VRAIS amateurs de westerns vous le diront, il leur manque un quelque chose qu’en cuisine on nommerait des épices.
    Ces épices, ce sont une musique et des personnages secondaires décalés, qui éclairent la personnalité des personnages principaux pendant que ceux-ci vaquent à leurs occupations de personnages principaux.
    Il y a de ça dans vos films, mais il leur manque le liant qu’un immense chef peut donner.
    Et puis comment oublier de citer « Rio Grande » avec Maureen O’Hara (!!), un chef-d’oeuvre avec « She wore a yellow ribbon » (La Charge héroïque). Tenez, voici une scène, de celles dont je parle, un peu incongrue dans un western mais qui en dit long sur la relation entre les personnages principaux :
    https://www.youtube.com/watch?v=2yVSxI0_MbU
    Si vous aimez le Western, ce dont je vous félicite (je me permets parfois des fantaisies), connaissez-vous le western brésilien « O Cangaceiro » de Lima Barreto ? superbe film qui révéla le cinéma brésilien au Festival de Cannes en 1953.
    Bon, il vous sera beaucoup pardonné parce que vous avez cité « Les Sept mercenaires ».
    Et pour finir, puisque c’est les vacances, une petite ballade de l’Ouest, chantée par un immense chanteur de ballades américaines, Pete Seeger, qui a été injustement oublié.
    https://www.youtube.com/watch?v=6HxakNsnqcY
    PS : Savez-vous que My darling Clementine a deux fins ?
    La première politiquement correcte, où le héros serre la main de la femme qu’il aime au moment de se séparer.
    La seconde où il l’embrasse, sur la joue (faut pas exagérer quand même).
    J’ai le DVD (zone 1 acheté au Texas) qui donne sur une face une version et l’autre sur l’autre face.

  161. @ duvent | 12 juillet 2018 à 22:15
    @ caroff | 12 juillet 2018 à 22:01
    @ Robert Marchenoir | 12 juillet 2018 à 21:54
    @ Noblejoué | 12 juillet 2018 à 20:58
    Insensé, abscons, inintelligible, cinglé, illuminé, fou, sont des qualitatifs pour toute personne qui ne suis pas la norme du moment des qualitatifs invariables quels que soient les siècles.
    En 1616, les savants de l’époque firent alors condamner le système de Copernic par l’Église. Ayant refusé de revenir sur les avis scientifiques qu’il formulait, Galilée a été condamné par le tribunal de l’Inquisition à une peine de prison.
    En 1992 le Vatican a réhabilité Galilée sans lever sa condamnation parce qu’il avait eu une incompréhension entre lui et son accusateur et de ce fait Galilée était coresponsable de sa condamnation puisqu’il n’avait pas respecté la méthode expérimentale pour apporter les preuves de héliocentrisme.
    Cet exemple donne raison à Noblejoué  »C’est juste que la science se fait certes par rupture, mais beaucoup par reconnaissance par les pairs. » C’est pour cela que le Nobel d’économie est donné à celui dont la  »découverte » est la plus citée par ses pairs. Mais, quelqu’un est-il capable de décrire la  »découverte » de l’un d’eux parce qu’il a compris de même êtes-vous capables de démontrer les progrès que cette  »découverte » a apportés à l’humanité ?
    Ce qui fait que ne pas comprendre ce qui n’est pas dans la norme à partir du moment que n’est pas comprise la norme est naturel, en tout cas dans notre mode éducatif national qui d’année en année nous fait reculer dans le classement PISA alors que les nations nordiques et les nations émergence d’Asie se placent en haut du classement.
    Faut-il pour autant rejeter ce qui est nouveau ? La science n’avance-t-elle pas par paliers d’erreur ?
    Contrairement à l’exemple de Galilée où l’expérimentation doit apporter la preuve, aujourd’hui une théorie est vraie jusqu’à ce qu’il soit démontré qu’elle est fausse. Voilà pourquoi la théorie quantique a cédé le pas à la théorie de la relativité, elle-même remplacée par la théorie ondulatoire. Ne devrait-il pas en être ainsi pour l’économie ?
    Sauf à croire que l’économie ne peut pas être rationnelle puisqu’une science humaine, d’humain irrationnel ?
    La découverte de Nobel ou celle d’Einstein n’est-elle donc pas rationnelle puisque utilisée par des humains irrationnels ?
    Non ! toute théorie rationnelle mis à la disposition des humains reste rationnelle même si l’humain en fait un usage contre l’humanité parce qu’il est irrationnel.
    Comprendre ou ne pas comprendre l’insensé, l’abscons, l’inintelligible, le cinglé, l’illuminé, le fou. C’est-à-dire tout ce qui n’est pas conforme à la norme sans essayer de voir si la proposition n’est pas plus humaniste ou réaliste que la norme du moment n’est pas une démarche scientifique.
    C’est par absence de recherche à l’utile pour l’humanité que le cardinal Bellarmin a condamné Galilée.
    Ne reproduisez pas ce comportement, rester neutre peut être une solution : mais ne fait-elle pas de vous les complices d’usages de normes qui nous causent problème ?
    Duvent : je ne suis pas sûr que la synthèse de la synthèse de la synthèse que vous me demandez puisse vous faire comprendre ce qui est holistique et dynamique à la fois, d’ailleurs, caroff, ne le peuvent pas plus les allocutions ni les débats, car comme vous êtes contraint de le constater, tout participant à un colloque ou un débat n’en sort en ayant changé de conviction puisqu’il n’y assiste que pour y retenir ce qui conforte ses convictions et fait un déni de tout ce qui en est contraire.
    Nous n’avons pas là un début de commencement de démarche scientifique !
    De mon temps ne rentraient en 6ème au collège que ceux catalogués comme littéraires, les autres comme moi passaient leur certificat d’études primaires, donc, matheux et non littéraire j’ai, par des filières industrielles, acquis le bac avant 1968 dans une section qui à cette époque avait un taux de réussite de 25 %. Confronté, avec mon handicap de ne pas être littéraire, à la société je me suis souvent heurté à ces littéraires qui n’arrivaient pas à comprendre les erreurs que je relevais dans la société comme par exemple une chose simple à comprendre parmi des milliers d’autres un peu plus complexes.
    Un tribunal qui demande à l’expert de l’éclairer, lequel dit qu’un arbre qui tombe sur une rivière fait barrage et inonde les champs voisins, bien qu’un constat d’huissier démontre que lors de la crue le niveau de l’eau était le même de part et d’autres et sur un pont, à 50 mètres en aval de cet arbre le niveau d’eau était à mi-hauteur du tablier. Que fit le tribunal ?
    Il croit l’expert qui dit : l’arbre en faisant barrage est responsable de l’inondation d’un champ de tomates dont le revenu à tirer, donc le préjudice subi est suivant l’expert, de l’ordre de celui d’une vigne de Châteauneuf du Pape. Comme le propriétaire de l’arbre et une commune donc assurée par les contribuables tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
    Pourquoi cet anecdote c’est pour vous démontrer qu’en se reposant sur les autres on ne fait plus d’efforts pour chercher la vérité, et ne plus avoir d’esprit critique. C’est aussi qu’il est nécessaire en plus de savoir les choses de les visualiser. En effet ocette histoire vraie de cet arbre, si vous oubliez l’avis des autres, la lecture de ce récit ne fait pas appel à votre savoir, mais à une conceptualisation de la situation qui vous fait voir l’arbre tombé sur la rivière, qui doit faire appel à différents scénarios, est-ce que l’arbre flotte ou vient obstruer l’intégralité du cours d’eau et faire barrage ? Vous visualisez aussi que si l’eau avant après l’arbre est au même niveau il n’y a pas barrage. Vous êtes contraint de faire la différence entre deux clichés celui du récit et celui en mémoire qui vous fait voir un barrage avec un niveau haut et un niveau bas.
    La compréhension des choses demande souvent de faire référence à une visualisation. Par exemple pouvez-vous expliquer le fonctionnement d’une écluse si vous n’en faites pas une image. Ce besoin est nécessaire parce que nous sommes dans une dynamique ce qui littérairement est difficile par des mots, par l’écriture, le colloque ou de débat de faire comprendre aux autres dès lors que c’est dynamique et cela vous demande, alors pour comprendre, que vous fassiez une conceptualisation des choses en mouvement.
    Bien entendu tout le monde n’a pas les mêmes capacités à conceptualiser en trois D : d’autant que notre Éducation nationale, contrairement à l’éducation nordique ou les pays émergeant d’Asie, bien classé par Pisa, ne nous forme pas à conceptualiser les choses dynamiques, ce qui fait que la compréhension par ceux éduqués à la française ne peuvt se faire que difficilement une image de la réalité économique que notre vie en société nationale impose alors, dans ce cas, il est préférée la vision des autres au lieu de sa propre vision.
    Apprendre à visualiser l’économie telle que notre vie en société impose, ne demande que deux heures mais il faut que ce soit un cours qui à côté des mots, vous représente la visualisation que vous devez retenir des imbrications dans le temps et l’espace de chacun des actes de vie de notre société qui font ce que l’économie est.
    En particulier le réel d’un côté : la production qui va devenir consommation qui circule et se partage mais qui ne peut se faire qu’en utilisant l’imaginaire des valeurs que l’on fait circuler et partager.
    Aujourd’hui supprimez la production il n’y a plus d’économie et de circulation de monnaie, supprimez la circulation de la monnaie il n’y a plus d’économie et nos productions ne deviennent plus consommation. Nous venons d’expliquer ici une des propriétés des nombres complexes en mathématique et si vous avez compris ce principe les nombres complexes ne vous sont plus utiles.
    Pour mettre en pratique ce qui précède supposez alors que nos économistes et politiques (par ignorance) suite à la crise des subprimes ou de la dette souveraine vous affolent de probables retombés sur notre économie : que faites-vous ?
    Vous sombrez dans la psychose et pour préserver vos lendemains : vous remettez à plus tard vos consommations, vous stockez votre épargne, si ce n’est pas la retirer des banques pour ne plus la faire circuler Résultat : les productions ne deviennent plus consommation, c’est l’arrêt de la production, le chômage, non pas à cause de crises qui ne nous affectent pas, mais d’une psychose. 2008 n’a de crise que psychotique.
    Expliquer cela à l’aide d’une conceptualisation des circulations en parallèle, des productions et de la monnaie, se comprend alors en trois minutes et une de plus pour vous faire comprendre que les rétributions et les attributions dans vos mains ne sont que des avances faites par les entreprises qui nous obligent à les utiliser pour acquérir des productions nationales sans quoi il y a crise, Cette visualisation permet encore de comprendre bien d’autres choses avec une minute de plus à chaque fois.
    Vulgariser une telle conception éducative sera autant plus efficace s’il ne se fait pas par un cours magistral mais par des réponses aux questions formulées par ceux qui assistent et qui veulent résoudre une problème qui se pose, ce n’est qu’après vulgarisation d’une nouvelle théorie qu’alors le cours magistral se peut devant des élèves non formatés à des savoirs réfutables et un tel cours c’est 20 pages format A5.

  162. @ Giuseppe 13 juillet 2018 09:30
    Plates excuses pour mon erreur (flatteuse ou non !)
    @ Lucile 12 juillet 2018 23:10
    Plein accord avec vous pour les westerns que vous citez. On peut quand même y ajouter :
    La Chevauchée fantastique (le chef-d’œuvre absolu)
    Le dernier train de Gun Hill
    Rio Bravo
    Et bien d’autres…
    Et notamment des westerns « de seconde catégorie » dont quelques-uns avec Audie Murphy que je revois toujours avec plaisir. J’ai d’ailleurs visité sa tombe (entre autres) dans le cimetière d’Arlington où elle est toujours parmi les plus fréquentées soixante ans après sa disparition.
    @ Zonzon 13 juillet 2018 13:45
    Ce ne sont plus des westerns, mais un autre genre et d’autres temps. Pourquoi pas !
    Vous savez qu’il existe aussi des « westerns » bavarois qui ont eu du succès (en Allemagne !). (Comme les poissons volants, ils existent)
    Cordialement à tous.

  163. « J’ai d’ailleurs visité sa tombe »
    Rédigé par : boureau | 13 juillet 2018 à 13:50
    Spacieuse ?… lumineuse ?… humide ?…

  164. @ boureau | 13 juillet 2018 à 13:50
    Audie Murphy ! Vous êtes bien le seul à citer cet acteur de western.
    C’était le soldat américain le plus décoré de la WWII, un héros véritable, à son retour, recouvert de gloire, on a voulu lui faire tourner des navets, comme Elvis Presley.
    Il avait un physique ingrat, ses films sont nuls, mais ils ont été des succès.
    C’était l’époque de l’Amérique innocente, heureuse, insouciante, Saïgon ils ne savaient pas où c’était… ils l’ont appris par la suite…
    ———————————————-
    @ Ange Leruas
    Vous essayez de taper à toutes les portes et personne ne vous répond.
    Biberonné au lait de Besancenot, Alain Krivine, Poutou, Arlette Laguiller, vous êtes l’enfant de Daniel Mermet et son émission toxique « Là-bas si j’y suis » sur France Inter.
    Vous êtes encore jeune, ça s’entend, ne restez pas à ce stade anal, évoluez, changez de vie, essayez de rentrer dans la vraie vie, quitter votre grille marxiste. Ne restez pas comme ça.

  165. Robert Marchenoir

    @ Noblejoué | 13 juillet 2018 à 05:13
    « Le blog de Paul Jorion. C’est un économiste non conventionnel et les commentateurs ont souvent des idées économiques originales. »
    Euh… non. Pas Paul Jorion. Economiste non conventionnel, façon polie de dire : charlatan qui raconte n’importe quoi. Marqué à gauche, bien entendu. Parce que la gauche, c’est non conventionnel, comme chacun sait.
    Paul Jorion n’est déjà pas économiste. Alors, économiste non conventionnel…
    Les commentateurs ont souvent des idées économiques originales : les commentateurs sont fous comme des lapins et ignorants comme des veaux ; qui se ressemble s’assemble.
    L’économie est une science. La science ne relève pas des idées, mais des faits. La question n’est pas : est-ce que Machin est conventionnel ou pas, elle est : est-ce que Machin écrit des choses justes ?
    Histoire de me rafraîchir la mémoire, je vais une seconde sur le blog de Paul Jorion, que je ne lis plus depuis longtemps afin de préserver ma santé mentale. A la date d’aujourd’hui, il a écrit ceci : « Aujourd’hui nous avons à la tête des États-Unis, un président porte-parole servile mais déterminé de Moscou. Rien qu’il ne dise ou décrète qui ne corresponde à la ligne définie au Kremlin en vue d’affaiblir l’influence de l’Europe, en plus de celle de son propre pays bien entendu. »
    Deux jours auparavant, Le Figaro titrait : Trump dénonce une Allemagne « totalement contrôlée » par le Kremlin. En l’occurrence, Trump tente de dissuader l’Allemagne de soutenir la construction du gazoduc Nord Stream 2, projet stratégique du Kremlin pour soumettre l’Europe à son chantage énergétique.
    Conclusion : non seulement Paul Jorion n’a pas « d’idées économiques », originales ou non, mais il décrit exactement le contraire de ce qui vient de se passer dans le monde. Il n’est même pas capable de recopier les journaux. Imaginez ce que ça donne en économie…
    J’ai définitivement renoncé à lire Paul Jorion le jour où il a écrit, littéralement, sur son blog : écoutez, sur telle question économique que je considère de première importance, je n’ai absolument aucune idée de ce qu’il convient de penser. J’appelle donc mes commentateurs à me fournir leurs propositions.
    Moi, si on veut, je fais physicien nucléaire, dans ces conditions.
    Bien entendu, je m’adresse là aux gens raisonnables. Notre nouvel économiste se compare maintenant à Copernic, Galilée et Einstein. Et nous assure qu’une théorie est vraie tant que d’autres n’ont pas prouvé qu’elle était fausse.
    Pour ce genre de profil, effectivement, le blog de Paul Jorion pourrait être une bonne adresse.

  166. @ Tipaza
    « Il leur manque quelque chose qu’en cuisine on nommerait des épices »
    Quand les produits, la cuisson et l’assemblage sont excellents, le piment est plus qu’inutile. Il tue le goût. Pour la même raison, j’aime les plans moyens et les focales normales, quand la narration est bonne.
    @ boureau
    Va pour « Rio Bravo » et « la Chevauchée Fantastique ».

  167. @ Tipaza de 09:38 à Lucile
    « Les films que vous citez sont de grands films unanimement reconnus comme tels, mais tous les VRAIS amateurs de westerns vous le diront, il leur manque un quelque chose qu’en cuisine on nommerait des épices.
    Ces épices, ce sont une musique et des personnages secondaires décalés, qui éclairent la personnalité des personnages principaux pendant que ceux-ci vaquent à leurs occupations de personnages principaux.
    Il y a de ça dans vos films, mais il leur manque le liant qu’un immense chef peut donner »
    Bien vrai, c’est tout à fait cela.
    Voyez Coups de feu dans la sierra de Sam Peckinpah ou bien La horde sauvage.
    Lucile semble privilégier le fait que la morale triomphe, que la vérité soit établie, que le bon soit reconnu. Pourtant dans certains westerns on trouve un avant-goût de ce que l’on nommera plus tard « le film noir », des personnages-clés sombres, peu reluisants, qui ne sont pas des héros mais qui se subliment à un moment donné.
    Je pense au Marlon Brando de La Vengeance aux deux visages (One-Eyed Jacks), film raté, que Stanley Kubrick devait réaliser. Premier western au bord de la mer.

  168. @ Noblejoué | 13 juillet 2018 à 05:13
    Ne parlant ici ni de cinéma, ni du Macron intermittent, mais répondant à des commentaires quelquefois initiés par moi ,je l’avoue je me mets hors sujet.
    Je vais tenter de faire court en ne parlant ni amalgame, ni d’extraction d’un sujet pour se débarrasser du contexte qui doit être un tous ; mais d’enfer fiscal pour les uns et paradis fiscal pour les autres. Il ne faut pas croire que cette double existence soit le fait de l’homme irrationnel, bien contraire, chacun est rationnel face à une fiscalité qui est irrationnelle et incapable de remplir ses objectifs.
    C’est pourquoi Einstein disait que la chose la difficile à comprendre est l’impôt sur le revenu.
    Pour faire suite à cette irrationalité chacun recherche sa muse, l’économiste qu’on est capable de comprendre. Il y en a une profusion. Pour ma part je me contente de Ricardo, Adam Smith et Karl Marx. Ils nous ont tout dit sur le sujet ; leurs successeurs se contentent de réédition et de reformulation de ces trois-là.
    Ils le font sans prendre en considération que depuis ce temps-là et surtout depuis une cinquantaine d’années
    1° la solidarité entre actifs et inactifs des individus d’une même famille qui ont ou vont, passer des périodes d’activité et des périodes d’inactivité ne va plus se faire dans la famille mais devenir une solidarité entre le groupe d’actif nationaux envers les groupes d’inactifs nationaux dans la période considérée établis sur une année.
    2° que nous sommes passés d’un usage de consommation nationale de quasi à 100 % familial à de plus en plus d’usage mutuels et de plus en plus d’usage collectifs.
    Hors aucun des trois, précédemment cités, n’a donné la traduction de cette réalité dans l’économie et il a alors été choisi l’idéologie de la lutte des classes alors que nous aurions pu retenir de lui : la monnaie masque la réalité : la production et sa vitesse de circulation ce qui nous aurait permis d’avoir une économie plus réaliste vis-à-vis de notre vie en société actuelle..
    Si bien que nous trouvons aujourd’hui avec un principe économique irrationnel qui oppose les adeptes de l’existence  »de l’enfer fiscal » aux adeptes de l’existence  »de paradis fiscaux » pour se rendre responsable mutuellement de notre situation présente alors que la cause est l’irrationnel de la fiscalité et cette situation ne pourra changer que si la fiscalité irrationnelle devient rationnelle.
    C’est ainsi, au sujet de la fraude fiscale, ne peuvent s’opposer morale et économie. S’il est moral de condamner la fraude il ne faut pas que la sentence se retourne contre l’espoir que le redressement fait naître.
    Pour réduire la fraude fiscale il faut rationaliser la fiscalité pour ne pas permettre cette fraude, plus exactement mettre en place une  »fiscalité » qui permette de déceler la fraude. C’est-à-dire : être capable de la détecter à partir d’un simple bilan ; sauf cas de caisse noire qui nécessite d’autres moyens.
    La modernisation de la fiscalité c’est la supprimer, pour la remplacer par une contribution pour nos usages mutuels ou nos usages collectifs qui représentent respectivement 13 % de nos consommations nationales et 32 %. Et afin que l’équité règne, chacun passe 13 % de son temps (base de revenus) pour l’une et 32 % pour l’autre ce qui revient à dire que la contribution est de 13 % et 32 % sur les revenus constitués des rétributions de chaque actif (temps d’activités) et attributions de chaque inactif (temps d’inactivité).
    Alors le prix des choses est la somme des rétributions (temps d’activité) qui permettent de consommer 40 % de la consommation nationale plus les attributions aux inactifs (temps d’inactivité) qui permet de consommer 60 % des consommations nationales : il devient alors aisé de voir dans un bilan la répartition des valeurs ajoutées et du respect de ces %.
    C’est-à-dire que si ces valeurs ajoutées dépassent les 250 % des rétributions l’excédent doit être partagé à 40 % pour les actifs et 60 % pour les caisses qui gèrent l’inactivité. S’il est inférieur l’entreprise a une dette envers les caisses qui gèrent les inactivités.
    Donc la fraude fiscale est décelée avec facilité, hormis la fraude comptable (la double facturation) et la caisse noire, il va de soi. Mais qui, économiquement, de manière globale n’est pas un obstacle, puisque n’est pas un frein à la.circulation des productions et leurs partages qui se fait alors mais seulement entre actifs (physique, intellectuel, financier) ; en fait ce que font toutes les économies avec de la monnaie dite  »coopérative » ou autres appellations qui refusent de donner des attributions pour des inactifs et que bien d’entre vous chérissent sans considérer le caractère frauduleux.

  169. @ Robert Marchenoir | 13 juillet 2018 à 15:19
    Vous m’avez fait sourire.
    Concernant votre autre intervention, sur le fait qu’on ne dise plus certains mots, comme race.
    Comment essayer de dénoncer le racisme ou de combattre les discriminations en faisant cela ?
    C’est idiot… On peut ne pas penser que les races existent et employer le mot, comme on peut ne pas croire que le contenu des religions soit réel, existence d’une divinité pour commencer, et constater l’existence des religions… De nos jours, on crée des tabous de pensée sans se rendre compte que cela crée des tabous d’action.
    Et puis on dit que tout le monde doit lutter contre le racisme, et on me dit que les gens victimes de cela n’ont pas besoin de moi.
    D’un côté, on doit se mobiliser, de l’autre, si sans être forcément toujours sur la brèche, on dit son mot, genre, inutile que des gens soient sympas pour être dans leurs droits, par exemple, on a ce genre de réaction… Alors que si on y réfléchit, l’obligation d’être sympa est un désavantage, c’est arbitraire, si tu n’es pas une victime sympa, dégage.
    Il y a une tendance à personnaliser le débat… On se moque des Américains qui verraient des bons et des méchants partout et on agit pareil, d’ailleurs, on fait presque toujours ce qu’on dénonce chez les autres.
    Mieux vaut en rire, ou suivre le débat sur le western.

  170. @ Mary Preud’homme 13 juillet 17 h 12
    « ..il ne fut même pas simple troufion ! »
    Voilà une remarque dont la vulgarité méprisante va choquer les quelques anciens soldats de ce blog et qui déshonore les milliers d’appelés morts au combat il n’y a pas si longtemps.
    Si vous aviez un peu d’instruction en la matière, vous auriez dit « homme du rang », ou encore « simple soldat ».

  171. @ Robert Marchenoir | 13 juillet 2018 à 15:19
    Si je vous comprends convenablement quand vous écrivez  »Notre nouvel économiste se compare maintenant à Copernic, Galilée et Einstein. Et nous assure qu’une théorie est vraie tant que d’autres n’ont pas prouvé qu’elle était fausse. Pour ce genre de profil, effectivement, le blog de Paul Jorion pourrait être une bonne adresse. »
    (vous auriez pu ajouter Karl Marx et bien d’autres) :
    …cela signifie que, de votre part, vous vous prenez pour les gens que vous citez ?
    A moins que vous ne citiez personne et que vous n’exposiez que des savoirs de votre cru tout en interdisant à d’autres de le faire ?
    Soyez plus rigoureux, la prochaine fois, car vos dires ont fait retourne Karl Popper dans sa tombe, dont vraisemblablement vous ignoriez l’existence. Aussi afin que ce blog vous apporte de nouvelles connaissances, je vous fais suivre quelque idée que Guy Sorman a recueilli auprès de lui et qui sont en contradiction avec vos interventions.
    « Le progrès le plus important est que nous sommes disposés à écouter les critiques fondées et accepter les suggestions raisonnables faites pour améliorer notre société »
     »le philosophe, l’intellectuel ne doit pas être celui qui recherche la vérité, mais celui débusque l’erreur »
     »la démarche du savant doit consister non pas à trouver le bien fondé d’une théorie mais essayer de la démolir, de multiplier les expériences susceptibles de démontrer qu’elle est fausse. »
     »la critique est le seul instrument de vérification d’une théorie économique »
     »Le relativisme est la plus grave menace contre notre société » (dans le sens de fragmentaire)
    Je vous y ajoute aussi cette citation de Ilya Prigogine.
    «  La science est toujours un enchaînement de propositions réfutables, et ce qui échappe à toute possibilité de réfutation relève de la magie ou de la mystique et non du domaine scientifique »

  172. @ Ange Leruas
    « C’est pour cela que le Nobel d’économie est donné à celui dont la  »découverte » est la plus citée par ses pairs. »
    Voilà ! Tout vient de là… Je me disais aussi… Pourquoi donc est-ce que je m’en tamponne le coquillard ??
    Savez-vous par exemple que moi-même, simple citoyenne, banale au dernier degré, je suis excessivement citée en matière de brioche russe, dont la réussite nécessite la maîtrise de la physique et de la chimie ?
    Mathématiquement parlant je suis à deux doigts de découvrir quel ingrédient est à l’origine de la fission binaire de ma brioche…
    TO BE CONTINUED !
    Aujourd’hui est un bon jour pour manger de la brioche russe, allusion subtile à une certaine coupe…

  173. @ sbriglia 13 juillet 2018
    Oui, chez moi, dans ma campagne, on « visite les tombes ».
    C’est une bien jolie expression pour ne pas employer « je vais voir mes morts ».
    Je vous l’accorde, nous sommes un peu simplets dans nos provinces !
    Ceci dit, je vous conseille toutefois la visite d’Arlington c’est vraiment une part de l’Histoire américaine.
    Cordialement.

  174. @ Ange LERUAS
    « Ne parlant ici ni de cinéma, ni du Macron intermittent, mais répondant à des commentaires quelquefois initiés par moi, je l’avoue je me mets hors sujet. »
    Aussi drôle que Robert Marchenoir.
    « 1° la solidarité entre actifs et inactifs des individus d’une même famille qui ont ou vont, passer des périodes d’activité et des périodes d’inactivité ne va plus se faire dans la famille mais devenir une solidarité entre le groupe d’actif nationaux envers les groupes d’inactifs nationaux dans la période considérée établis sur une année.
    2° que nous sommes passés d’un usage de consommation nationale de quasi à 100 % familial à de plus en plus d’usage mutuels et de plus en plus d’usage collectifs. »
    A mon avis, cela n’a pas été mis dans l’impôt mais dans des assurances obligatoires type chômage et sécurité sociale.
    Si cela n’a pas été pris en compte par les économistes que vous citez, il est possible que par d’autres… Faut-il faire basculer ceci de l’assurance à l’impôt ?
    J’en doute vu la fraude fiscale, vu les crises économiques. Si une partie de l’argent est relativement, car tout est relatif, en sécurité, ce n’est pas plus mal.
    Je ne prétends pas être économiste, mais appliquer des principes tout simples de sécurité, comme l’équilibre des pouvoirs en institutions politiques, il faut que le pouvoir équilibre le pouvoir.
    « La modernisation de la fiscalité c’est la supprimer, pour la remplacer par une contribution pour nos usages mutuels ou nos usages collectifs qui représentent respectivement 13 % de nos consommations nationales et 32 %. Et afin que l’équité règne, chacun passe 13 % de son temps (base de revenus) pour l’une et 32 % pour l’autre ce qui revient à dire que la contribution est de 13 % et 32 % sur les revenus constitués des rétributions de chaque actif (temps d’activités) et attributions de chaque inactif (temps d’inactivité). »
    Il n’est pas équitable que le riche et le pauvre contribuent à la même hauteur. Mais vous me direz bien qu’on le fait avec la TVA.
    Si on vous suit dans le sens de la simplicité, supprimons tous les autres impôts et augmentons la TVA, comme ça le mendiant paiera autant que le footballeur.
    C’est un peu comme vouloir permettre la drogue parce qu’on n’abolit pas le trafic, on n’abolit pas le meurtre ou autre choses alors, ouvrons les vannes, avec le même raisonnement, pourrait-on dire.
    En fait, je serais pour la légalisation, mais parce que je ne reconnais pas aux autres de contrôler mon corps non plus que je ne m’en attribue le droit sur d’autres. Si on croit aux principes, les appliquer… Avant d’être de droite ou de gauche, riche ou pauvre, homme ou femme, nous avons, ou plutôt, nous sommes un corps, et je pars toujours de là.
    Sinon, de la politique. Ce n’est pas quand la société se divise de plus en plus entre riches et pauvres, droites et gauches et entre gens d’origines diverses qu’il me paraît judicieux de remettre en cause la progressivité de l’impôt.
    Par contre, je ne dis pas par là vouloir abolir la richesse des riches, ainsi, ce n’est pas l’impôt sur la succession qui me paraît le mieux, faire payer quand on est obligé de vendre pour s’acquitter de la dette, mais après, peut-être un peu plus tous les ans, mais sans entamer le capital, utile, par exemple, pour investir type recherche et développement.
    Pour dire que l’histoire des actifs et inactifs n’est pas la priorité en économie, les économistes, à ce que j’ai entendu dire, ne sont même pas d’accord entre eux sur comment se forme le capital.
    Alors pour la suite… La biologie n’a rien moins que l’Evolution et la génétique, pendant ce temps. On date par documents et autre l’Histoire, et ce qu’il y avait avant par carbone 14, des traces de la vie par pollen et compagnie. Le reste des sciences humaines a compris depuis des lustres que l’être humain n’est pas rationnel mais l’économie commence juste à en avoir une vague idée.
    Alors sans rejeter l’économie, prudence, essayons d’assainir les bases avant de se lancer dans des complications qui s’effondreront peut-être demain comme presque tout dans l’économie avec des fondations aussi solides. Les économistes me semblent en plus intolérants entre eux, à proportion du manque d’efficacité de la matière, on explique toujours tout très bien… après.
    Mais si c’est pour tenir une chronique, l’Histoire le ferait cent fois mieux. Il faut sans doute s’occuper des ornements, tenir mieux compte de réalités diverses en économie, mais je dirais que comme à Venise, il faut surtout éviter de s’enfoncer dans l’eau, à mon avis.
    Il est mal de se moquer des pauvres comme Macron, mais il n’est pas bien de diaboliser les riches, il est même contradictoire de demander l’aide de riches après les avoir insultés ou diabolisés… Enfin, les gens ne sont pas à ça près, et vous verrez bien des gens sur les blogs diaboliser les autres en leur demandant de intéresser à leur marotte ou compatir à leur malheur. Or non, c’est l’un ou l’autre dans la vie, ami ou ennemi.
    Ce n’est pas agressivité pour mes nerfs, amis pour mon soutien, il faut choisir… Moi, c’est ami, je présume les gens innocents, et je ne vais pas essayer de rallier à coup d’intimidation.
    A mon avis, il ne faut ni privilégier la réalité actif-inactif, riche ou pauvre ou autre mais tout prendre en compte.
    Tout implique que le monde n’est pas statique… Le progrès technique impacte sur tout.
    Ainsi, pour le déficit de la sécurité sociale. Des progrès peuvent baisser les coûts. Par exemple, avec un vaccin contre le sida, il y aurait moins de futurs sidéens à traiter, avec par exemple mains reconstituées par imprimantes trois D au lieu des technologies courantes actuelles.
    La manière de voir ce qu’un un bien public ou privé aussi… La politique, que dis-je ? La culture existe aussi.
    A droite, c’est marché partout, à gauche, un peuple mondial partout. Miroir l’un de l’autre, faux et dangereux. Bon, assez de gens dénoncent le marché avec ses crises, pas besoin d’en rajouter. Avec tous les peuples ne sont qu’un, on ne peut s’opposer aux migrations de gens dont la culture me paraît capable de détruire la nôtre, ni démocratique, ni scientifique, ni laïque, en un mot, sans rien qui soit compatible avec la nôtre et plein de ressentiment envers nous comme si cela ne suffisait pas. Mais il y a pire… Certains veulent faire un gouvernement mondial. Comme je l’ai maintes fois expliqué, c’est une idée à vomir. Je n’exagère pas. Gouvernement égale possibilité de dictature mondiale, impossibilité de la renverser. A l’intérieur, les dominants sont tout-puissants, totalitarisme comme galop d’essai et acquis scientifiques accumulés depuis lors. Moins que les gens sous le joug totalitaires, ils ne pourront renverser leurs oppresseurs. Et il n’y aura ni guerre chaude ni guerre froide pour le faire, ce sera certes une fin de l’Histoire, mais pas celle dont on nous a rebattu les oreilles.
    Et la monnaie est une des choses les plus difficiles à saisir en économie, même moi, je le sais.
    Alors prudence avec la monnaie… Pour tout dire, il me semble que l’on aurait dû en rester à l’or, qu’une monnaie soit la référence pose un léger problème, à mon avis, quand le pays qui l’a fait financer son déficit par la Chine, laquelle ne me paraît pas un meilleur cheval pour la suite, car elle a aussi, et sans doute plus, même, de sérieux problèmes… Je te tiens, tu me tiens par la barbichette, c’est drôlement instable. Et comme si cela ne suffisait pas, on a les monnaies virtuelles.
    Et l’euro serait-il un havre de paix ? On n’a qu’oublié les économies derrière la monnaie, la politique derrière l’économie.
    Rien de grave.
    Alors tout déséquilibrer un peu plus avec une théorie dans les limbes me paraît malvenu.
    Mais pourquoi pas ? L’esprit souffle où il veut, après tout.

  175. @ Lucile | 13 juillet 2018 à 16:44
    « J’aime les plans moyens et les focales normales, quand la narration est bonne. »
    Un grand classique des films devenus eux-mêmes des classiques de ciné-club, évidemment je suis d’accord, mais les effets de grand angle et de télé sont bien agréables quand ils ne dissimulent pas une carence du réalisateur. « L’ennui naquit un jour de l’uniformité » a dit le poète ou quelque chose comme ça.
    Vous n’aimez pas le piment, mais les épices ne se réduisent pas au piment. Essayez donc le poivre du Sichuan, j’en mets une ou deux pincées dans beaucoup de mes préparations.
    Et je ne conçois pas un riz au lait maison sans une bonne couche de cannelle dessus et je ne parle pas de certains biscuits ou galettes !

  176. @ Savonarole | 13 juillet 2018 à 14:43
    Puisque vous ecrivez : « Biberonné au lait de Besancenot, Alain Krivine, Poutou, Arlette Laguiller, vous êtes l’enfant de Daniel Mermet et son émission toxique « Là-bas si j’y suis » sur France Inter.
    Vous êtes encore jeune, ça s’entend, ne restez pas à ce stade anal, évoluez, changez de vie, essayez de rentrer dans la vraie vie, quitter votre grille marxiste. Ne restez pas comme ça. »
    C’est donc que Besancenot, Alain Krivine, Poutou, Arlette Laguiller ou Daniel Mermet comme moi, veulent en finir avec la lutte des classes, l’Etat providence, les droits acquis, les entreprises taxées, ce que je répète au moins une fois dans chacune de mes interventions.
    Vous critiquez et conseillez sans lire. Puisque pour preuve, vous n’avez pas lu que j’ai eu le bac avant 1968.
    Donc sans savoir que je demande de remplacer l’économie, voulue par cette idéologie de la lutte des classes, par un principe qui tienne compte de nos réalités du partage de nos consommations nationales dont vous profitez et ce grâce aux rétributions que votre travail permet de toucher ou des attributions qui vous sont faites quand vous ne travaillez pas (en maladie, en congé, au chômage à la retraite) mais en plus, vous ne pouvez ignorer qu’au-delà de vos consommations familiales, vous consommez en usage mutuel et en usage collectif. Et pour cela, par équité, il faut pas que vous soyez dispensé, vous comme tout autre, de participer avec vos rétributions et vos attributions, par des contributions à ces dépenses d’ordre mutuel ou collectif au prorata de la part de consommations nationales que représentent ces usages mutuels et ces usages collectifs.
    De cette façon la participation à ces deux dépenses est équitable puisque il est demandé à chacun de passer un même temps (13 % de son temps d’activité ou d’inactivité, pour l’usage mutuel et 32 % de son temps d’activité et d’inactivité pour usage collectifs).
    Le temps d’activité donnant droit à des rétributions que vous avez trouvées peut-être insuffisantes.
    Le temps d’inactivité donnant droit à des attributions, qu’il me semble que vous acceptez et peut-être même trouvez insuffisantes.
    Tout cela n’est que la réalité de notre vie en société.
    Alors : pouvez-vous me sortir un écrit de Besancenot, Alain Krivine, Poutou, Arlette Laguiller ou Daniel Mermet, qui rejette la lutte des classes, l’État providence, les droits acquis, refuse de taxer les entreprises et fasse l’apologie de la vie sociétale d’aujourd’hui comme décrite ci-dessus ?
    Si vous ne démontrez pas que ces idéologues de la lutte des classes n’en sont pas, alors avouez que votre intervention du 13 juillet 2018 à 14:43 est déplacée sur ce blog qui se veut sérieux et expose des idées à débattre et non à juger en fonction de ses propres préjugés sans besoin d’argumenter ses dires.
    D’ailleurs il en est de même de l’intervention de duvent | 13 juillet 2018 à 22:00 qui n’apporte rien si ce n’est que déformer la réalité en faisant croire que la brioche est russe alors qu’elle est normande.
    Peut être ai-je mal compris duvent et c’est du pur humour mais à quel niveau ?

  177. @ Savonarole 13 juillet 2018 13:43 18:24
    Audie Murphy
    Acteur de seconde zone dans des films de catégories B ou C sans doute.
    Mais, sur les cinquante et quelque films qu’il a tournés, une bonne vingtaine se laissent regarder avec plaisir et quelques bons metteurs en scène ne l’ont pas snobé.
    Tous les grands westerns mythiques présentent des héros qui ont eu des côtés sombres plus ou moins dévoilés. Sam Peckinpah a simplement institutionnalisé la violence dans le western par des plans spécifiques de bagarres et des dialogues plus âpres. Certainement, comme vous le dites, précurseur du film noir.
    Cordialement.

  178. @ Savonarole
    Je ne vois pas pourquoi vous m’opposez Sam Peckinpah :
    « Director Sam Peckinpah considered My Darling Clementine his favorite Western,[23] and paid homage to it in several of his Westerns, including Major Dundee (1965) and The Wild Bunch (1969) ». (Sam Peckinpah considérait My darling Clementine comme son western préféré et lui a rendu hommage dans plusieurs de ses westerns).
    https://en.wikipedia.org/wiki/My_Darling_Clementine
    Et, toujours dans le même article : « My Darling Clementine is regarded by many film critics as one of the best Westerns ever made…. » (est considéré par de nombreux critiques de cinema comme l’un des meilleurs westerns jamais produits).
    Cela ne m’empêche pas d’aimer certains films où le bien ne triomphe pas (Jackie Brown par exemple, vraiment, ça m’énerve d’avoir à me justifier), ni d’aimer Shakespeare. Du reste, My darling Clementine est loin d’être manichéen comme vous semblez le dire. Parlons-en, rien que le titre « Le bon, la bête est le truand » pourrait être considéré comme manichéen. Autant que je m’en souvienne, le film n’est pas très nuancé. Mais je ne peux guère en parler, je ne l’ai vu qu’une fois.
    Vous Savonarole et Tipaza me paraissez un peu dogmatiques en ce qui concerne le western, qui serait un genre uniquement masculin (voir Convoi de Femmes), et daté si les personnages ne sont pas un peu vicieux, ou si le bien triomphe du mal. Dans My darling Clementine, la foule est représentée comme trouillarde, grossière et inintelligente, elle raille bêtement l’acteur, mais ce sont de braves gens quand même. Doc est une épave, il cherche pourtant à se racheter. Les Clanton sont infects, mais les fils sont maltraités par le père, à cause de qui ils vont mourir. Wyatt Earp est raciste (avec le poivrot Indien), Chihuaha tricheuse et jalouse. La civilisation et la loi parviennent tant bien que mal jusqu’à Tombstone, mais à quel prix, chez des gens ordinaires qui essayent de vivre et de survivre, d’élever du bétail, d’aimer, de se faire beaux, de danser et de prier dans un coin de terre assez sauvage. Ils glanent comme ils peuvent des instants de bonheur et de paix au milieu des dangers.
    La même chose s’est produite pendant la guerre et chez les émigrés polonais d’une autre génération que j’ai rencontrés, comme si la précarité donnait une envie de bonheur et une capacité à en savourer les instants pourtant mêlés de gros soucis. My darling Clementine n’est pas un roman psychologique, ni un traité de morale, c’est un morceau d’épopée.
    Et puis ça ne se commande pas, quand Wyatt parfumé au chèvrefeuille par le barbier, en deuil de son frère, et Clementine, repoussée par l’homme qu’elle aime, se mettent à danser la polka sur l’estrade, j’ai envie de sourire et de pleurer à la fois. Même chose quand on comprend à la fin de 3 heures 10 pour Yuma, qu’il commence à pleuvoir. Même sans gros plans sur la sueur et le sang et le râle des mourants, il faut avoir le palais sérieusement endurci pour trouver ça fade.

  179. @ Lucile | 14 juillet 2018 à 11:49
    Vous êtes fâchée ?
    Tout ça c’est de la faute de Tipaza, moi je n’ai rien dit sur My darling Clementine.
    Tipaza mériterait d’être pendu haut et court par Clint Eastwood himself.

  180. @ Lucile | 14 juillet 2018 à 11:49
    Bravo Lucile,
    Je vous connaissais en nonne espagnole, je vous découvre en Calamity Jane tirant plus vite que son ombre.
    Sam’ me plaît !!
    Pour le reste, j’ai le droit de ne pas être d’accord avec Sam Peckinpah et de ne pas considérer « My darling Clementine » comme le meilleur des westerns. Aucun dogmatisme dans cette opinion, je trouve qu’il y a mieux, et avec plus d’humour, par exemple Rio Bravo.
    Soyez rassurée, si je puis dire, vous avez autant le droit d’aimer un western, que j’ai celui d’aimer la série des Sissi avec Romy Schneider. J’aime bien un peu d’eau de rose dans ce monde de brutes ;-))
    PS : Ce Savonarole quel faux derche, encore que la pendaison, il paraît que c’est beaucoup mieux que la guillotine, juste avant tout au moins !

  181. @ Savonarole
    Je ne suis pas fâchée, je m’énervais juste un petit peu, entre amis, juste pour vous indiquer que vous n’aurez pas le dessus si facilement avec moi, si jamais vous me cherchez (valable pour Tipaza aussi, bien entendu).
    Tiens, on est le 14 juillet. La fête me paraît bien encadrée, et les citoyens pris en main, certes, mais heureux de l’être, car magistralement ; il va falloir, pédagogie aidant, que les Français changent, surtout ceux qui sont lépreux, même si ça doit se faire à l’insu de leur plein gré. Sur ce point, Macron n’est pas si intermittent que cela. Il met les bouchées doubles, et que je change les lois, et que je taillade un peu dans le parlement, et que je préserve le peuple des fake news, et que je me montre un jour à Rome avec le pape, aujourd’hui à Paris, avec l’armée, demain à Moscou avec les footballeurs.

  182. Mary Preud'homme

    @ Claggart | 13 juillet 2018 à 20:38
    J’ai écrit cela sur un autre billet et contrairement à vos allégations diffamantes, pour célébrer un grand soldat injustement limogé et non par mépris de l’armée… Vu ?
    Feriez donc bien au passage de réviser la définition du mot troufion qui n’est nullement péjoratif ou insultant mais… familier. Nuance qui vous a manifestement échappé dans votre hâte à m’agresser comme souvent, complétement à tort.
    Troufion, bidasse, deuxième pompe, cabot, juteux, capiston, colon etc. c’est de l’argot militaire Monsieur, certes familier mais jamais dédaigneux ni injurieux. D’autant plus venant de la fille, femme, mère et sœur de militaires… Même dans « la basane », personne n’aurait l’idée de s’offusquer de ces termes argotiques courants. A moins d’avoir très très mauvais esprit ! Serait-ce votre cas ?

  183. @ Tipaza
    Je vous soupçonne de regarder My Darling Clementine en cachette quand vous avez un coup de bourdon, de vous râcler la gorge quand les grands retrouvent le cadavre du petit frère gisant dans la boue, de renifler quand Doc injurie Clementine, d’essuyer une larme quand Chihuahua prend une balle, et de carrément sangloter quand Wyatt dit que c’est sûr, Clementine est un prénom qui lui plaît bien. D’où votre empressement à me dire qu’une femme ne comprend rien aux westerns et que celui-là, justement est fadasse. Ce n’est pas possible autrement. Mais avec moi, ça ne prend pas.

  184. @ Lucile | 14 juillet 2018 à 16:01
    Vous allez rigoler, mais je me suis obligé à voir le film en question hier soir !
    Il y avait longtemps que je ne l’avais pas visionné, signe que je ne l’avais pas aimé.
    Donc j’ai revu le film, et ma foi, je n’ai apprécié que très modérément, sincèrement ce n’est pas le meilleur pour moi.
    Mais je vois que vous tenez à ce film, pourquoi pas, tous les goûts sont dans la nature, je n’en dirai pas de mal ;-))
    Juste pour plaisanter, cette Clementine qui poursuit Doc Holliday de ses assiduités de ville en ville pour tomber amoureuse, quand elle arrive à le retrouver, de Wyatt Earp. Franchement il y a de quoi devenir féministe, même pour moi !
    Et puisque j’ai commencé en faisant sourire, je termine de la même façon :
    Que je vous dise que les westerns n’ont presque pas de secret pour moi, et je viens de mesurer, j’ai 3,60 mètres de linéaire de DVD de westerns, ce qui ne fait pas de moi un académicien savant du western, mais au moins un vrai passionné, enfin j’espère… 😉

  185. @ Lucile de 14:09
    « Tiens, on est le 14 juillet… »
    J’ai été choqué par l’attitude d’Emmanuel Macron.
    La scène dure 5 secondes, sur LCI.
    Après le défilé, Macron descend de l’estrade et vient féliciter quelques officiers.
    Il félicite un général pour la prestation de ses troupes, puis lui tourne le dos en continuant à parler, conscient qu’il y avait LCI et des caméras. Le général s’efface, puisque Macron lui tourne le dos.
    Quelle que soit la classe sociale à laquelle on a appartenu, on ne fait pas ça.

  186. @ Zonzon 13 juillet 08:45
    Vous allez pouvoir admirer à nouveau votre chère Elizabeth McGovern : une version cinématographique de Downton Abbey va bientôt être tournée.
    Cordialement.

  187. @ Savonarole | 14 juillet 2018 à 20:01
    « J’ai été choqué par l’attitude de Macron »
    Je ne l’ai pas regardé, mais vous prêchez une convaincue, je trouve comme vous ses manières imbuvables. Il sur-joue le dominant, là où il a déjà le pouvoir ; avec les vrais dominants, il y va au charme (surjoué là encore). Ça réussit plus ou moins bien.
    Ses mauvaises manières seraient juste déplaisantes sans être dramatiques si c’était la rançon à payer pour qu’il enraye le naufrage de notre industrie, de notre enseignement, de la dette, et du commerce extérieur. Sans parler du problème de l’immigration, qui croît et embellit encore, un an après son élection, comme si la France n’était plus gouvernée.

  188. @ Tipaza 14 juillet 2018 18:40
    « My Darling Clementine »
    Je suis d’accord avec votre analyse. Sans vouloir agacer Lucile, je trouve que ce film a vieilli plus que d’autres de la même époque. A quoi est-ce dû ?
    Je n’ai pas votre linéaire de westerns, je me contente de trois cents environ. Pas que des chefs-d’œuvre bien sûr, mais certains « nanars », les soirs nostalgiques d’hiver, avec une bonne boisson (modérément !)…
    Cordialement.

  189. @ Noblejoué | 14 juillet 2018 à 05:50
    Vous faites partie du nombre très restreint qui doutez, vous interrogez, et cherchez à comprendre
    Etant passé par ce stade, doutant toujours, je recherche ceux qui me mettent en doute avec des arguments. Alors je peux vous conseiller que si vous voulez comprendre il faut rechercher la rigueur.
    Quand Einstein nous dit que la chose la plus difficile à comprendre c’est l’impôt sur le revenu, en réalité c’est le mot « impôt » qui le tracasse parce qu’il n’est plus signifiant et surtout depuis que l’impôt est devenu plus une sanction qu’une utilité. Alors, remplacez le mot « impôt » par « contributions à un usage collectif » vous n’aurez plus ce sens de punition puisque nous profitons de ces usages collectifs.
    Mais si vous dites que la contribution à ces usages collectifs ne doit pas être un même temps d’activité se crée alors une iniquité.
    Cette iniquité a-t-elle un sens ?
    Mais surtout a-t-elle une efficacité ?
    Quel est l’effet du taux proportionnel, quel est l’effet du taux progressif dans chaque décile des revenus ?
    Nous n’allons pas rentrer dans cette discussion dans la mesure où l’objectif d’une société est que la pauvreté soit éradiquée. Auquel cas la proportionnalité qui demande une participation équivalente à un temps de production identique devient la règle.
    La pauvreté ne doit pas être traitée par une règle applicable dans un monde où nous ne voulons pas qu’elle existe, c’est pour cela que nous avons besoin d’une règle spécifique qui ne traite que d’elle ; et qui ne relève pas d’une contribution pour des usages collectifs puisqu’il s’agit dune solidarité où les ménages qui captent le mieux les progrès de la société interviennent envers les ménages les moins aptes à le saisir.
    Mais cette solidarité doit-elle être une contribution progressive ?
    A partir du moment où les attributions se font dégressivement aux revenus des ayants droit, mathématiquement la progressivité ne s’impose plus, les effets de la progressivité peuvent se trouver dans la dégressivité des attributions aux ayants droit (mathématique) auquel cas sauf à vouloir opposer pauvre et riche (lutte des classes) la proportionnalité (simplificatrice) est préférable.
    La rigueur nous oblige à bien différencier ce qui relève de la solidarité (partage entre actifs et inactifs, riches ou pauvres) et ce qui est des usages collectifs financés par des contributions (et non impôts) pour cet usage et contributions pour usages mutuels (ce que vous appelez assurances) qui contrairement aux collectifs ne sont que des événements ayant le caractère imprévisible, fortuit, irrémédiable, ce que la retraite n’est pas puisque une solidarité.
    Ce qui amène à se questionner sur la TVA dont vous vous posez la question de savoir qui en paye trop ou pas assez. Il faut bien comprendre que cette TVA est proportionnelle à la consommation et fait que vous voulez savoir si la TVA (impôt) contribution à nos usages collectifs est préférable à l’impôt sur le revenu (contribution sur le revenu en faveur de nos usages collectifs) .
    Dès lors que la consommation est payée avec les revenus on voit que cette question est insensée puisque la consommation se paye avec les revenus et que si injustice il y a elle n’affecte que les revenus. Car s’il est vrai que l’économie est un tout et en plus : ce tout est en totalité en relation avec chacune des composantes de ce tout : il ne peut y avoir d’injustice dans les contributions pour usages mutuels ou usages collectifs que
    – les excès de rétributions ou attributions qui forment nos revenus ou
    – les insuffisances de rétributions ou d’attributions
    et jamais entre une rétribution et une attribution puisque la rétribution est une solidarité envers les inactifs faite par les actifs qui touchent des rétributions, c’est-à-dire la valorisation de la valeur ajoutée de l’actif, et pour rendre cette solidarité effective il est ajouté une TVA sur la rétribution de l’actif pour que cette TVA devienne les attributions des inactifs avec lesquelles ces inactifs pourront consommer par ce qu’il leur revient de nos consommations nationales soit directement, soit indirectement et dans ce cas, par des contributions uniquement pour ce qui se fait en usage mutuel et en usage collectif.
    Dans la réalité au présent : la TVA (VA = valeur ajoutée) hélas ne s’applique pas que sur les valeurs ajoutées des actifs physiques intellectuels financiers, pour servir à la solidarité. Elle est, trois fois hélas, non pas utile pour cette solidarité mais pour nos usages collectifs.
    C’est une erreur fondamentale, structurelle que notre élite a mise en œuvre dans sa fiscalisation empirique qui ne sait pas différencier ce qui relève de la solidarité de ce qui ressort du partage en usage de nos consommations nationales.
    Savoir appeler un chat un chat et savoir s’intéresser davantage aux usages faits des rétributions, attributions, contributions que la technique de construction de ces valeurs c’est mettre de la rigueur dans nos raisonnements économiques.
    Comprendre ce qui précède suivant le mode pédagogique utilisé en France, avant tout  »littéraire », n’est pas spontané alors qu’avec la pédagogie des pays nordiques il faut moins d’un quart d’heure pour en comprendre plus encore, par exemple expliquer vos interrogations sur la monnaie et le capital.
    C’est un sujet abordable en moins de lignes que précédemment si ce sujet s’aborde en remplaçant le capital (immatériel) par patrimoine (matérialisable), et en considérant que la monnaie n’est MATERIALISATION de valeur et ce qui importe c’est comment les valeurs se créer et se détruisent faisant que n’existe de valeur que rétributives ou des valeurs attributives qui circulent pour soit :
    – Faire circuler des productions (changement de mains)
    – Faire changer de mains des patrimoines
    – Partager des consommations nationales.
    On conçoit alors qu’appeler un chat un chat, préférer l’usage à une technique imaginée dans notre économie qui est un tout simplifie bien des choses au point qu’un cours d’économie, en classe de seconde, représente vingt pages format A5 qui avec une pédagogie semblable à celle des pays bien classés par Pisa, en quelques heures, permet d’en savoir davantage que nos économistes actuels à propos desquels vous nous dites, à raison  »Les économistes me semblent en plus intolérants entre eux, à proportion du manque d’efficacité de la matière, on explique toujours tout très bien… après ».

  190. Mais c’est qu’il faut l’enfermer celui-là, le Ange LERUAS du 15 juillet 2018 !
    L’Afrique vient de gagner la Coupe du monde de foot, et le voilà qui ne dit rien sur la redistribution des millions des joueurs pour le prolétariat et les masses populaires !

  191. @ Savonarole | 15 juillet 2018 à 22:43
    Votre intervention démontre bien le personnage que vous êtes : vouloir que les autres et moi en particulier vous disent ce que vous voulez entendre : pour cela il faudrait que je lise dans le marc de café pour deviner vos questions et je ne lis pas dans le marc de café.
    Puisque vous voulez bien qu’on m’enferme : ‘’Mais c’est qu’il faut l’enfermer celui-là, le Ange LERUAS du 15 juillet 2018 !’’
    Mais, avant cela que je réponde à votre interrogation ‘’L’Afrique vient de gagner la Coupe du monde de foot, et le voilà qui ne dit rien sur la redistribution des millions des joueurs pour le prolétariat et les masses populaires !’’
    De quel prolétariat et de quelles masses populaires parlez-vous ? L’africaine ou française ?
    Si vous saviez que les nations existent, chacune ayant son propre mode de vie, alors vous sauriez que nous vivons en France donc je me limiterai à vous répondre sur les redistributions des millions que les champions du monde 2018 font.
    Sur un stade les footballeurs sont chargés de satisfaire les besoins ludiques d’une population et pour cela sont rétribués mais en parallèle des inactifs reçoivent des attributions et par des contributions ces footballeurs participent aux dépenses mutuelles ou collectives et leur reste un solde pour consommer familialement.
    Les inactifs avec leur rétributions, les organismes mutuels et collectifs avec leurs contributions, les footballeurs avec leur solde vont, comme le spectateur l’a fait, payer tous ceux qui vont satisfaire des besoins et ceux-là recommencent à leur tour le même cycle que le footballeur. C’est la théorie du ruissellement.
    Dans cette théorie : dans un temps donné,
    – au plus la masse financière est importante et
    – au plus les successions de satisfaction de besoins par la production des autres sont importantes
    – au plus TOUS et non exclusivement les footballeurs profitent de plus de satisfactions de leurs besoins.
    Ce qui fait que les sur-salaires ne posent aucun problème économique mais seulement éthique, moral.
    Partant du principe que les besoins de chacun différent en fonction de leurs revenus, reste à trouver le bon équilibre. C’est là que se situe l’essentiel du problème faut-il diminuer le panel des besoins possibles à satisfaire et les emplois qui les produisent, en général à haute production de valeur ajoutée (plus d’emplois pour un CA déterminé) pour les remplacer par des emplois à basse valeur ajoutée (moins d’emplois pour ce CA déterminé) moins avoir de recette pour nos dépenses mutuelles et nos dépenses collectives et avoir (pour les footballeurs jouant à l’étranger) moins de rentrée de devises pour augmenter le déficit FORGET 2 ?
    Répondez-moi Savonarole sans retenir de couleur de peau !
    Maintenant dans toutes entreprises le salaire mirobolant de l’un est-il un vol des autres intervenant dans l’entreprise ou un vol du consommateur seul à payer ce salaire mirobolant ?
    Retournez voir mon commentaire sur Carlos Ghosn,
    Il ne faut pas que l’imposition d’une morale vienne contrarier la satisfaction des besoins des plus malheureux.
    Corriger cet état ne se peut que par plus de production et d’implications de ceux qui vivent d’attributions pour qu’il y ait une meilleure solidarité qui ne dépende aucunement de la monnaie mais de la quantité et qualité des productions à se partager.
    Les actifs qui ne consomment que 40 % de leurs productions ont donné, ce me semble, suffisamment puisqu’il ne passe que 22 % de leur temps pour assurer leur pouvoir de consommer familialement en payant leurs consommations de manière que 60 % servent d’attributions aux inactifs.
    Sauf à vouloir être régressifs, ce n’est que par la remise à la production de ces inactifs, associée à une augmentation de temps des productions des actifs que les plus malheureux pourront consommer davantage et que Mbappé pourra continuer à faire des dons à des associations pour avoir satisfait les besoins ludiques de spectateurs qui le payent directement ou indirectement.
    Sans parler d’idéologie, entre morale et pragmatisme il faut savoir choisir ce qui est le plus favorable à l’intérêt général qui lui seul doit dicter nos actes.

  192. @ Ange LERUAS
    « Vous faites partie du nombre très restreint qui doutez, vous interrogez, et cherchez à comprendre
    Etant passé par ce stade, doutant toujours, je recherche ceux qui me mettent en doute avec des arguments ».
    Quel changement ! On m’a injustement accusé de saboter quelqu’un et la science pour le malheur de poser des questions sur un sujet où je me sens plus à l’aise qu’avec l’économie.
    Et pour faire bonne mesure, toutes sortes d’accusations diverses et variées, quel dégoût. Outre les mensonges, poser des questions c’est s’exposer aux crachats. Et donc, ce n’est pas pour rien que les élèves dorment, que les spectateurs des conférences comatent : c’est un mécanisme de défense contre le professeur-insulteur et les condisciples lèche-bottes. Sur Internet, espace présumé plus démocratique, c’est le même prix.
    Je vous suis donc infiniment redevable de me rappeler que tout le monde n’est pas venimeux-enragé.
    Cependant, hélas !
    « Alors je peux vous conseiller que si vous voulez comprendre il faut rechercher la rigueur. »
    Je suis d’accord mais n’ignore pas que pour y accéder il me faudrait bien plus de connaissances alors que l’économie ne me plaît pas trop pour les raisons que j’ai dites et d’autres que je garde pour moi.
    Cependant, sans tout savoir, ne peut-on voir une piste dans quelque chose qui rassemble des gens d’horizons différents et a l’avantage de n’avoir pas encore échoué, concernant la lutte contre la pauvreté ?
    « La pauvreté ne doit pas être traitée par une règle applicable dans un monde où nous ne voulons pas qu’elle existe, c’est pour cela que nous avons besoin d’une règle spécifique qui ne traite que d’elle »
    Pas besoin d’une nouvelle théorie économique pour ça, ce qui tombe bien car je ne comprends rien à la vôtre.
    Peut-être pas tellement aux autres, d’ailleurs, et qu’il y a plein de choses qui me font bondir comme vacancier pincé par un crabe, genre que l’individu est rationnel, par exemple.
    Cependant, voici enfin l’idée… Des gens de droite et de gauche, des économistes des deux camps sont pour un revenu inconditionnel de vie… Moi aussi.
    C’est une idée peu partagée parce qu’entre ceux qui au motif que le capitalisme a gagné, veulent aller toujours plus loin, et ceux qui veulent nous rejouer le communisme, au fond, tout le monde veut dominer et tout le monde se moque des pauvres.
    Mais en France, on est trop arriéré pour essayer ça… J’attends donc que les expérimentations commencées ailleurs, se développent pour qu’un jour, au motif que ce pauvre Hamon l’a proposé, on dise qu’on a soi-disant tout inventé, comme toujours, on invente toujours tout, à nous entendre. Tu parles ! Et on est les plus avancés… Non, on a eu le mariage pour tous non seulement après d’autres mais dans un climat de division, de ressentiment qui ne nous honore pas.
    Mais est-ce que ça compte face à une coupe du monde ?

  193. @ Mary Preudhomme 14 juillet 2018 14 :25
    Je ne vais certes pas entamer une discussion sémantique sur la connotation du mot « troufion » ; est-il populaire, bas, argotique, vulgaire ? Ce blog est suffisamment encombré de polémiques diarrhéiques ; disons pour le moins qu’il n’est pas très élégant.
    Par contre je m’étonne que Mary me reproche des allégations « diffamantes » ; je lui conseille donc de demander un cours particulier de droit pénal sur la diffamation à notre hôte, ou plus simplement de consulter le petit Larousse.
    Quant à « l’agresser comme souvent complètement à tort » je me rappelle seulement l’avoir une fois vertement reprise pour avoir qualifié les écoles d’Arts et Métiers du terme méprisant d’écoles « nec moins ultra », ce qui démontrait son ignorance crasse en la matière et surtout insultait mon confrère Oyinbo Claude Luçon.

  194. @ Noblejoué 16 juillet 2018à 16.17
    Parlons du revenu universel. Il me semble que le principe Hamon ne vous déplaît pas.
    Ce RUI (Revenu universel inconditionnel) permettrait que les plus pauvres puissent satisfaire les besoins particuliers minima admissibles, en sus de ceux qu’ils consomment de façon mutualisée et collectivisée et qui constituent déjà un revenu universel mais indirect, pour une valeur individuelle de 1 580 euros par mois.
    Hamon avait dit qu’il commencerait par un revenu de 600E/mois qui toucherait une population de 19 millions d’habitants avec un budget de 34 milliards d’euros soit seulement 149 euros par mois.
    Nous voyons déjà que le RUI/ Hamon n’est ni universel ni inconditionnel puisque le pauvre aura 600 euros s’il n’a aucun revenu du travail ou revenu social.
    Dès lors qu’il n’a aucun revenu du travail mais déjà un revenu social de 600 euros (bourses, APL, AAH, allocations chômage, autres allocations, etc.) il n’a rien.
    En fait, le financement de ces 34 milliards étant imposé aux  »riches » dixit Hamon : son principe idéologique n’est, dans la réalité, que la solidarité des ménages aptes à capter les progrès de la société envers les ménages moins aptes à le faire. Ce que je m’efforce de dire depuis un certain temps.
    Cette solidarité, ainsi définie, en fonction de la réalité vraie, c’est demander aux ménages aisés de supprimer une partie de leur consommation afin que les ménages pauvres puissent consommer davantage.
    Tout paraît simple, s’il est omis de comprendre que la consommation dont les riches vont se passer (représentant des emplois) n’est pas la même consommation qui intéresse le pauvre qui elle représente des emplois totalement différents des emplois supprimés par la non consommation du riche et qui très souvent, pour cette consommation, était une production nationale très qualifiante pour les emplois à cette production : alors que la consommation pour le pauvre demande des emplois peut qualifiants, moins bien rémunérés dans le cas où il n’est pas choisi d’importer plus pour réduire encore des emplois.
    Par ce système, Hamon imposait de supprimer des emplois sans dire lesquels et de créer des emplois, sans dire lesquels, et donc sans anticiper. Et cette absence d’anticipation aurait réussi à supprimer des emplois (appauvrir) et avoir recours de préférence à l’importation avec plus de chômage.
    En tout cas ce principe Hamon nous dit que 34 milliards pour les plus pauvres réglerait le problème du pauvre. C’est-à-dire 1,5 % du PIB. Ce n’est pas la mer à boire, encore faut-il oublier l’idéologie de la lutte des classes. Pour ces 34 milliards, il suffit que l’État recense les besoins des pauvres, cherche les filières qui les produiront.
    C’est alors une surproduction de 34 milliards financés par une augmentation du CA de l’ensemble des entreprises publiques et privés avec une majoration du temps de travail de 1,5 % soit pour 35 heures un peu plus d’une demi-heure par semaine et dont les revenus de la production sont entièrement fiscalisés pour retrouver les 34 milliards à redistribuer et au passage, pour les services publics faire profiter les usages d’un peu plus de service.
    Résultat, de tout temps : notre pouvoir de consommation et notre solidarité entre citoyens ne dépend que d’une chose : le temps que nous passons en leur faveur.
    Si en 1981 et en 2000 les gouvernances n’avaient pas été aveuglées par leurs idéologies au lieu de réduire notre temps de travail (semaine, année, vie active) comme elles l’avaient fait mais uniquement des deux tiers nous n’aurions pas ce problème, ni de déficit ni de dette. Nos gouvernances ont trop anticipé les effets futurs de la productivité au lieu d’attendre celle-ci ; ce qui aurait permis, en plus de régler le problème de la pauvreté, du déficit et de la dette, de prendre en considération des besoins nouveaux, tel que ceux de l’aide aux personnes où le gain de productivité est inexistant.
    Une heure en sus aujourd’hui, par semaine, c’est 63 milliards de besoins en plus de financés.

  195. @ Ange LERUAS
    « Nous voyons déjà que le RUI/ Hamon n’est ni universel ni inconditionnel puisque le pauvre aura 600 euros s’il n’a aucun revenu du travail ou revenu social. »
    Je sais, mais c’est un début… De toute façon, ce devrait être pour tous, les droits des pauvres étant de pauvres droits.
    « Par ce système, Hamon imposait de supprimer des emplois sans dire lesquels et de créer des emplois, sans dire lesquels, et donc sans anticiper »
    Parce qu’on peut anticiper tout cela ? A mon avis, non, entre les évolutions techniques et politiques, tiens, demain la Chine, on peut l’espérer, est une démocratie, grosse progression des salaires avec un déplacement de la demande de main-d’oeuvre sous-payée tandis que sa classe moyenne montante consomme plus, mais quoi ?
    C’est juste une idée, pas une prévision. Evolution positive, il peut y avoir du négatif, mais je n’ai pas envie de me déprimer.
    « En tout cas ce principe Hamon nous dit que 34 milliards pour les plus pauvres réglerait le problème du pauvre. C’est-à-dire 1,5 % du PIB. Ce n’est pas la mer à boire, encore faut-il oublier l’idéologie de la lutte des classes. »
    Eh oui, oublier les luttes des classes et d’autres choses… Changeons la manière de poser les problèmes et les solutions suivront.
    Mais ce n’est pas à moi qu’il faut demander de suivre les détails techniques… Franchement pas. Si des économistes de droite et de gauche pensent que c’est possible néanmoins, je suppose que c’est vrai. Qui voudrait combattre le camp des « pauvres » et des « riches » et les habitudes en risquant sa réputation sur des bases branlantes ?
    « Nos gouvernances ont trop anticipé les effets futurs de la productivité au lieu d’attendre celle-ci ; ce qui aurait permis, en plus de régler le problème de la pauvreté, du déficit et de la dette, de prendre en considération des besoins nouveaux, tel que ceux de l’aide aux personnes où le gain de productivité est inexistant. »
    Si c’est vrai, c’est trop dommage ! Mais j’aurais tendance à excuser les gouvernants, comme gouverner c’est prévoir et qu’on leur reproche à juste titre de vivre drogués de sondage, ils ont fait un geste dans l’autre sens… Peut-être trop loin ?
    A vouloir trop bien faire, on s’attire des ennuis, comme dans le conte gaulois.

  196. @ Noblejoué 18 juillet 2018 à 15:11
    C’est avec retard que je réponds à votre commentaire par manque de temps et de besoin de temps de chercher la forme de la réponse pour clore ce problème de salaire universel.
    Votre dilemme est de vouloir agir d’un côté et être fataliste de l’autre
    La dépense de 34 milliards telle qu’imaginée par Hamon comme vous dites « Je sais, mais c’est un début… De toute façon, ce devrait être pour tous, les droits des pauvres étant de pauvres droits. »
    Je ne crois pas que cette situation est fatale donc que le problème se résolve par un droit du pauvre, il ne peut être résolu que si le  »pauvre » est un accidenté de la vie qui nécessite un devoir du  »riche » lequel a pour espoir que tout soit fait pour que le nombre d’accidentés se réduise.
    Je ne crois pas que la philosophie du droit y parviendra dans la mesure ou le pauvre se croit contraint à cette fatalité puisque des droits le protègent. Résoudre ce problème ne se pourra qu’en changeant les mentalités sur le sujet.
    Ce qui fait qu’actuellement il est nécessaire, en attente de mesure à faire régresser le nombre de  »pauvres », de dégager 34 milliards pour ne pas avoir pris des dispositions qui pouvaient remplir cet objectif de régression des  »pauvres » et pire avoir mis en place, structurellement, des mesures qui n’ont fait que retarder cette régression d’une part et aggraver la situation au fur et à mesure que les progrès de la société ont permis d’accroître nos satisfactions en nouveaux besoins.
    Nous nous trouvons alors bien dans le cadre d’aptitude à saisir le progrès en fonction de sa situation d’origine. Et d’un devoir de solidarité des plus aptes envers les moins aptes par situation et non par une fatalité qui nous mène à un droit pour le pauvre qui punit le ‘riche’.
    C’est en voulant diminuer les temps de production en 1981 et en 2000, sans anticipation d’effet, donc de mettre la charrue devant les bœufs, en n’attendant pas une meilleure productivité que nos gouvernances ont mis en place les causes des problèmes actuels, comme celui des “pauvres”, celui du déficit, de notre manque de compétitivité, puis croyant à la panacée de la fiscalité mis en place les causes du besoin d’optimisation fiscale, du besoin de délocalisation, et de la progressivité du chômage.
    Savez-vous ce que répond Jacques Delors à propos des 35 heures de sa fifille ?
    Il ne répond pas directement, mais par  »la réduction du temps de travail est inscrite dans le temps » voulant de ce fait dire que le temps passant, la réduction du temps de travail se fera. Il fallait laisser au temps le temps.
    Votre fatalisme s’exprime ainsi  »Parce qu’on peut anticiper tout cela ? A mon avis, non, entre les évolutions techniques et politiques, tiens, demain la Chine ».
    Votre fatalisme se double d’indulgence envers les gouvernances qui doivent savoir qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours (les effets de la productivité) avant de l’avoir tué (avant qu’elle soit au rendez-vous). Quant à l’évolution politique j’ignore ce qu’elle est si elle n’est pas l’adaptation aux situations.
    Pour la Chine… nous ne faisons que subir nos causes de manque de compétitivité causée par nos réductions de temps de travail qui ont nécessité une fiscalité défavorisante et des droits acquis que nos gouvernances ont décidé d’inclure dans nos prix d’exportation et refusé d’ajouter dans le prix de nos importations : la Chine n’y est pour rien, pas plus que les Allemands, Russes ou Ricains.
    Votre indulgence est manifeste puisque vous dites  »Si c’est vrai, c’est trop dommage ! Mais j’aurais tendance à excuser les gouvernants, comme gouverner c’est prévoir et qu’on leur reproche à juste titre de vivre drogués de sondage, ils ont fait un geste dans l’autre sens… peut-être trop loin ?
    Ne serait-ce pas aussi une indulgence envers vous ou les sondés qui ne font pas eux aussi des anticipations sur ce qu’ils croient être la bonne solution.
    Par exemple trouver 34 milliards dans la fraude fiscale avant même d’avoir un redressement certain (vendre la peau de l’ours…) et surtout sans considérer que l’usage de la fraude a permis des fiscalisations qui n’existeraient plus ou encore des prélèvements sociaux qui n’existeraient plus aussi mais, encore, des emplois qui n’existeraient plus ?
    Ces trente-quatre milliards à redistribuer, inversement proportionnellement aux revenus des 9 millions de ménages les plus pauvres et non imposés comme 12 millions d’autres ménages, lesquels, non imposés, verraient d’un mauvais d’œil de l’être au profit des 9 millions de ménages pauvres, ne reste alors que 16 millions de ménages imposés pour retrouver, chez ces imposés recordmen des imposés mondiaux, ces 34 milliards, ce qui représente une majoration de 44 % de leurs impôts.
    L’effet est alors prévisible et dépendant de son formatage politique : c’est pas moi qu’il faut taxer, c’est aux plus riches à payer, et pour les autres j’en ai assez de payer des assistés : l’idéologie de la lutte des classes a gagné.
    L’idéologie dispensant de penser aucun s’interroge sur les 34 milliards pris aux contribuables et savoir combien de recette d’impôts, de prélèvements sociaux et d’emplois, allons-nous supprimer si prélèvement il y a et si nous allons trouver, avec l’usage de ce surplus d’impôts, autant de recettes fiscales, sociales, d’emplois que ceux supprimés ?
    Ne serions-nous pas plus certains du résultat si nous décidions d’augmenter le temps de production de 32 minutes par semaine fiscalisée pour trouver ces 34 milliards sans que personne ne subisse une baisse de pouvoir de consommation ?
    Ah non ! parce qu’il est difficile d’anticiper ce dont les pauvres ont besoin pour les faire produire ?
    Qui peut se permettre de dire que nos gouvernances, nos élus, nos économistes et tous les citoyens qui émettent des vœux, ne sont pas capables d’anticiper les effets décrit ci-dessus des mesures proposées par eux (niveau de seconde) ?
    Personnellement je répondrai : ceux qui formatés à l’idéologie du marxisme ou de l’anti-marxisme et qui n’ont pas compris ce que Louis Leprince-Ringuet a écrit dans les années 1970  »A vingt ans nous nous sommes forgés nos propres vérités et passé ce GRAND âge nous ne faisons plus aucun effort pour rechercher la vérité vraie ».
    Et l’Éducation nationale dans cette responsabilité où se situe-t-elle ?
    Elle qui prétend que le classement PISA manque de plus en plus d’objectivité au fur et à mesure où elle descend dans son classement !

  197. @ Ange LERUAS | 21 juillet 2018 à 12:33
    « Votre indulgence est manifeste puisque vous dites  »Si c’est vrai, c’est trop dommage ! Mais j’aurais tendance à excuser les gouvernants, comme gouverner c’est prévoir et qu’on leur reproche à juste titre de vivre drogués de sondage, ils ont fait un geste dans l’autre sens… peut-être trop loin ? »
    Je me mets à la place des gens, pauvres ou riches, dominés ou dominants, il faudrait s’identifier à l’âne et Platon, comme dit l’autre, je surenchérirais avec l’amibe et l’intelligence artificielle !
    Cela est la cause ou la conséquence ou les deux d’une indulgence pour bien des choses, si pas pour la trahison. Je ne suis pas contre telle personne ou groupe mais pour trouver des solutions.
    « Votre dilemme est de vouloir agir d’un côté et être fataliste de l’autre »
    Je pense que dans la vie on peut agir sur certaines choses, et pas sur d’autres, du moins dans un premier temps.
    Qu’en économie, science aussi molle que les montres du même nom que Dali et où j’ai des compétences encore plus flasques je me trompe n’aurait rien d’étonnant. Mais ma démarche, prudente, consiste à vouloir un filet de sécurité pour tous plutôt que prétendre être apte à empêcher les chutes ou améliorer les performances des trapézistes.
    « Qui peut se permettre de dire que nos gouvernances, nos élus, nos économistes et tous les citoyens qui émettent des vœux, ne sont pas capables d’anticiper les effets décrit ci-dessus des mesures proposées par eux (niveau de seconde) ? »
    Moi. Qui ne fait jamais quelque chose n’en est sans doute pas capable, que ce soit par idéologie, complexité de l’économie ou les deux. Et ça n’en prend pas le chemin, si les riches ne veulent pas payer, et que les classes moyennes, les imitant, ne le veulent pas, si les pauvres ne trouvent pas de travail, ou doivent travailler plus pour ne pas gagner davantage, les choses iront vers une confrontation.
    Je n’ai rien contre les riches, mais noblesse oblige, c’est à eux de donner l’exemple. Sans quoi ce sera la guerre de tous contre tous, ce qui ne serait qu’un demi-mal, mais pourrait bien déboucher sur une dictature parce que la droite comme la gauche ont tendance à être autoritaires, chez nous, et revanchardes, avec ça.
    Sur un mode mineur, je parlerais de poissons pourris, mais l’humour, ici, n’est pas forcément bien pris. Ni raciste, ni sexiste, ni de classe, ni vulgaire et pointant nos divisions, pourtant… Cet incident mineur pour montrer encore une fois que les Français sont très polémiques, divisés. Obsédés par leurs rivalités, ils ont, plus que d’autres peuples, du mal à avoir des rêves et des projets communs, quant à l’expertise, elle a été confisquée par les experts, pas forcément brillants.
    Quand je vois une mesure pour les victimes mais garantissant à chacun de ne pas l’être complètement, maintenu à flot, rassemblant des gens qui ne cherchent pas à triompher d’un camp mais d’un problème, quelque chose qui ne nécessite pas d’anticiper une économie dont je ne vois pas trop qui le fait, j’achète.
    Ou plutôt, je prends en option… La France n’adoptera cela qu’à la traîne de tous… Contrairement à l’économie, c’est facile à prévoir.
    Exactement comme on adore causer pédagogie mais sans abolir la méthode globale, et parler d’épanouissement de l’élève et en laisser en proie au harcèlement scolaire.

  198. Pour Emmanuel Macron cette affaire tombe au plus mauvais moment, jugez-en.
    – Ruth Elkrief, Romain Goupil, Laurent Neumann, Maurice Szafran sont en congés payés…
    – Soudain « Dany le Rouge » est injoignable.
    – Benjamin Griveaux vient d’adhérer au syndicat des porte-parole du gouvernement (le SPPG)
    – Bruno Roger-Petit cherche un emploi.
    On peut dès lors comprendre pourquoi notre vaillant président est aphone.

  199. @ Noblejoué | 21 juillet 2018 à 21:31
    Il est vrai que nous vivons dans des contradictions telle celle que vous dénoncez «  Exactement comme on adore causer pédagogie mais sans abolir la méthode globale, et parler d’épanouissement de l’élève et en laisser en proie au harcèlement scolaire. » 
    Chacun a les siennes par exemple vous acceptez de travailler moins et gagner autant mais n’acceptez pas de travailler plus pour ne pas gagner davantage, ce qui n’est que la correction de la première erreur de travailler moins en étant payé autant.
    Je vous cite : « Je pense que dans la vie on peut agir sur certaines choses, et pas sur d’autres, du moins dans un premier temps. »
    Accepter ou ne pas accepter c’est agir donc prendre la responsabilité que cette action entraîne. Et compte tenu de ce que vous voulez être « Je ne suis pas contre telle personne ou groupe mais pour trouver des solutions. » Faut-il que les solutions permettent d’obtenir l’objectif désiré.
    Quand vous dites que l’exemple doit venir des riches donc qu’ils doivent accepter de travailler autant mais moins gagner (après prélèvement supplémentaire de 44 % des impôts déjà payés) parce que vous vous acceptez de payer 44 % de plus que ce que vous payez actuellement, pour financer les 34 milliards du revenu universel, vous ne faites que suivre votre choix : « ma démarche, prudente, consiste à vouloir un filet de sécurité pour tous plutôt que prétendre être apte à empêcher les chutes ou améliorer les performances des trapézistes. »
    Vous devez alors vérifier si votre filet n’est pas percé c’est-à-dire :
    – calculer, dans ces 34 milliards dépensés par les riches la part qui constitue des recettes fiscales ou sociales ainsi que le nombre d’emplois que ces 34 milliards occupent.
    – calculer dans ces 34 milliards redistribués aux pauvres et qu’ils dépensent, la part qui constituera des recettes fiscales ou sociales ainsi que le nombre d’emplois que ces 34 milliards occuperont.
    Il est certain que nous allons avoir un déséquilibre du fait que les consommations des riches différent avec les consommations des pauvres lesquels sont plus enclins à des consommations provenant de l’importation ou de consommations à haute productivité nécessitant moins d’emplois.
    Donc, à la clef, une fuite de devise à l’étranger avec recours à l’emprunt et une suppression d’emplois qui ne fait que réduire les recettes fiscales et sociales tout en augmentant les dépenses sociales et réduise, de ce fait, les 34 milliards d’autant, nécessitant encore un filet en plus pour les pauvres et nouveaux pauvres qui passent entre les mailles.
    N’est-il pas amoral de vouloir supprimer des emplois pour en créer moins sans qu’il n’y ait eu variation de productivité ?
    N’est-il pas amoral de vouloir sans cesse baisser le temps de production gagné par une productivité accrue au lieu de commuer ce temps gagné pour la production des biens et services en faveur des handicapés de la vie (pauvres) par situation, par manque d’aptitude à saisir les progrès de la société ?
    N’est-il pas amoral de vouloir sans cesse baisser le temps de production gagné par une productivité accrue quand les besoins de confort croissent et que croissent les besoins liés à la dépendance et l’allongement de la vie ?
    Aucun de nous ne doit se juger comme incompétent à comprendre ce qui précède, ce qu’un élève de seconde, non encore formaté, peut comprendre, sous les prétextes que vous émettez « que ce soit par idéologie, complexité de l’économie ou les deux ». Puisque l’économie n’est rendue complexe que par les idéologies qui animent marxistes et antimarxistes.
    Lesquelles idéologies vous amènent à remarquer l’authenticité de ce qu’est le Français, ce que je déplore comme vous : « les Français sont très polémiques, divisés. Obsédés par leurs rivalités, ils ont, plus que d’autres peuples, du mal à avoir des rêves et des projets communs, quant à l’expertise, elle a été confisquée par les experts, pas forcément brillants. »
    Mon rêve personnel est simple, il est de remplacer l’économie complexe issue de l’idéologie de la lutte des classes par une économie simple à comprendre qui relate les réalités de solidarités bien réelles donc ne relèvent pas du rêve puisqu’actuellement elles sont pratiquées par notre vie en société :
    –    chacun produit la consommation de l’autre ;
    –    les actifs qui produisent cèdent une partie de leur production aux inactifs ;
    –    les actifs et les inactifs mettent en commun des consommations mutuelles ou collectives ;
    –    les ménages plus aptes à capter les progrès viennent au secours des ménages moins aptes à le faire.
    Si ce rêve n’est pas le vôtre s’arrête ici notre discussion sur ce sujet de RUI qui est en effet sous la forme exposée par Hamon, c’est-à-dire ni universel ni inconditionnel, nécessaire mais uniquement si la recette provient des 32 minutes supplémentaires par semaine qui fiscalisées permettent de sortir de la pauvreté 9 millions de personnes sans devoir supprimer des emplois, et dans l’attente de mesures qui permettent que l’existence de ces pauvres ne soit plus issue de la philosophie des droits acquis mais, et leur réduction à cause de nos devoirs, en particulier : devoir, en fonction de ses capacités, produire autant pour les autres que les autres produisent pour soi.

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