Je voudrais revenir sur L’Emission politique (France 2) qui avait invité le 27 septembre le Premier ministre et examiner les raisons pour lesquelles il m’a semblé moins à l’aise que d’habitude, sa décontraction et sa sérénité apparaissant crispées et agacées non seulement à cause d’interruptions intempestives mais parce que sa cause était difficile.
Sa prestation a été honorable cependant et les sondages de la fin ont été loin d’être catastrophiques pour lui. Même si un léger frémissement avait, pour l’opposition, suscité de l’optimisme chez LR.
Mais on ne pouvait qu’être frappé, au cours de toutes les séquences qui l’ont opposé à d’autres qu’aux journalistes – hôpital, maire, retraitée – puis à Laurent Wauquiez, par le malaise qui l’habitait et qui tenait tout simplement, sur les sujets concernés et dans ce dialogue vigoureux, à l’impossibilité de justifier l’injustifiable.
Sa rhétorique était en effet désarmée face au constat noir qui lui était, sans fard mais sans grossièreté, présenté. Le prenant de plein fouet, il en était réduit à admettre qu’il ne l’ignorait pas mais de la sorte, une fois qu’il avait rendu hommage à l’utilité du débat, il n’avait plus de quoi argumenter, se trouvant sec puisque précisément sa besace était vide confrontée au trop-plein de récriminations si réelles. Avec vaillance il s’efforçait de produire des données chiffrées pour tenter de prouver que l’intolérable, la pénurie, la diminution des moyens et des crédits étaient non seulement douloureux et qu’il compatissait mais qu’ils étaient nécessaires. Et sur ce plan c’était peine perdue.
Face au peu encore diminué d’une retraitée, à l’appauvrissement des services hospitaliers et aux mairies qui se plaignaient des privations qu’on leur imposait, l’objectivité des calculs n’était d’aucun secours et au contraire paraissait aggraver le hiatus entre le Premier ministre et les citoyens.
Il n’y pouvait rien. Il payait la rançon d’un pouvoir qui s’était mis dans une impasse. Accomplir des actions dont l’explication – le grand mot d’Edouard Philippe – était socialement et politiquement inconcevable. Le Premier ministre semblait lui-même marri de ne pouvoir offrir rien d’autre qu’une écoute navrée et de bonne volonté.
Avec Laurent Wauquiez, nous avons été les témoins d’une tactique élaborée avec soin et qui consistait à placer son contradicteur dans un étau qui était à nouveau celui d’un pouvoir si conscient de ses faiblesses qu’il en devenait presque touchant.
Ceux qui, par idéologie ou détestation personnelle, avaient d’emblée consacré le vainqueur qui serait naturellement Edouard Philippe, s’en sont retrouvés Gros-Jean comme devant. Les deux ne s’appréciant pas, on a eu droit à un authentique duel caractérisé en particulier par deux formules chocs : « Vous avez un problème avec la vérité », a accusé Edouard Philippe qui s’est vu vertement rétorquer « Et vous, vous avez un problème avec la réalité » ! Cette saillie, à mon sens, s’est révélée gagnante.
Sur l’immigration et très peu sur l’Europe – il ne restait pas suffisamment de temps – Laurent Wauquiez a déroulé une série d’affirmations et de prévisions qui n’étaient pas d’ailleurs battues en brèche par le Premier ministre. Ils semblaient peu ou prou s’accorder sur la menace, son ampleur et le défi qu’elle représentait pour un pouvoir responsable et efficace.
Edouard Philippe s’est laissé piéger puisque, à chaque fois que LW le questionnait sur ses intentions, il se contentait de lui demander ce que lui il ferait. On avait l’impression que LW était celui qui détenait le pouvoir et que le Premier ministre, incertain, mal à l’aise, lui demandait des conseils. Comme Edouard Philippe se montrait incapable de proposer des réformes et des rigueurs opératoires, il manifestait son impuissance et, dans le meilleur des cas, on était fondé à ne lui reconnaître que le mérite de savoir théoriser avec talent mais avec contrition ses impuissances.
Il n’y a pas de quoi se réjouir de cette prestation d’Edouard Philippe. Qu’on soit pour ou contre lui. Car elle a trop démontré que la France est accablée par des problèmes d’une gravité extrême et que la solution demeure pour le moins virtuelle. On admet le diagnostic mais on est perdu pour le remède.
Un futur guère rassurant.
Le Premier ministre n’est pas un marchand d’illusion c’est un homme responsable qui sait bien qu’il n’y a pas de baguette magique. Il a clairement indiqué qu’on ne peut régler tous les problèmes en quelques mois. L’héritage est lourd et on fait porter sur ses épaules le poids de décennies d’esquive. Lui-même met en œuvre les réformes nécessaires au risque de l’impopularité.
Wauquiez a été lamentable. Il s’est vautré dans la facilité. On ne comprend pas cela de la part d’une personne qui a exercé des responsabilités ministérielles. Ou plutôt si, on constate qu’il est gourmand des voix du Rassemblement National et qu’il est prêt à toutes les contorsions, à tous les simplismes accablants. Avec lui le populisme a de beaux jours.
Pour ce qui me concerne, votre billet, excellent, lucide et sans concession, pourrait se résumer à cet alinéa :
« Edouard Philippe s’est laissé piéger puisque, à chaque fois que LW le questionnait sur ses intentions, il se contentait de lui demander ce que lui il ferait. On avait l’impression que LW était celui qui détenait le pouvoir et que le Premier ministre, incertain, mal à l’aise, lui demandait des conseils. Comme Edouard Philippe se montrait incapable de proposer des réformes et des rigueurs opératoires, il manifestait son impuissance et, dans le meilleur des cas, on était fondé à ne lui reconnaître que le mérite de savoir théoriser avec talent mais avec contrition ses impuissances. »
Monsieur Wauquiez pu toucher le « ventre mou » du régime instauré par les prédécesseurs de monsieur Macron et surtout aggravé par ce dernier. A savoir la concentration des décisions et donc du pouvoir dans les seules mains du président de la République.
Les difficultés à apporter des réponses résultent du fait que ce n’est plus le Premier ministre qui décide de la politique mise en œuvre par le gouvernement qu’il est censé diriger. L’une des rares décisions qu’il ait prise de sa propre autorité est la limitation à 80 km/h de la vitesse sur les routes départementales. Et encore a-t-il été en partie désavoué par son chef !
Ce qui tend aussi à confirmer cette appréciation, est le fait que le Premier ministre a été chargé de l’audition des candidats au poste de procureur de la République de Paris, celle-ci ne pouvant être réalisée par le président lui-même sans montrer à l’évidence l’absence de séparation des pouvoirs, en l’espèce l’indépendance de l’autorité judiciaire.
Donc il se trouvait dans l’impossibilité de répondre en disant : « je ferai ceci ou cela ». Et même s’il connaît les intentions du président, il se trouve contraint de lui laisser l’initiative des annonces. Aussi votre conclusion « Il n’y a pas de quoi se réjouir de cette prestation d’Edouard Philippe. Qu’on soit pour ou contre lui. Car elle a trop démontré que la France est accablée par des problèmes d’une gravité extrême et que la solution demeure pour le moins virtuelle. On admet le diagnostic mais on est perdu pour le remède » me semble devoir plutôt s’appliquer à monsieur Macron qu’à monsieur Philippe, la virtualité des solutions étant aussi liée à l’approche informatique de l’économie et aux modes de communication du président de la République.
Un billet qui exprime avec courtoisie le malaise que beaucoup d’entre nous avons ressenti en voyant l’embarras d’Édouard Philippe et la maladresse avec laquelle il a essayé de défendre l’indéfendable.
Je ne parlerai pas de ce projet politique confus, ni de son indéfendable mise en oeuvre où chaque jour a son lot de maladresses ou de provocations de la part du président, dont il était le porte-parole involontaire. D’autres intervenants en parleront.
Revenons sur l’homme, l’homme premier suivant l’adage.
Pauvre Édouard Philippe, très certainement un homme capable de traiter avec compétence des dossiers difficiles, mais qui manque de charisme, de chaleur humaine.
Une personnalité introvertie, ce qui est surprenant chez un homme qui mesure 1,92 mètre et qui aurait pu dans sa vie, y compris en politique, bénéficier de cette allonge, comme on dit en boxe.
Maladroit, terne, emprunté dans son argumentaire, répétant que les problèmes qu’on lui présentait étaient difficiles !
Mais bien sûr qu’ils le sont, à son âge il devrait savoir que rien n’est facile, à tous les niveaux, c’est la vie.
Je suis toujours très attentif aux photos du billet, parce que la photo est pour moi une seconde vie, depuis l’adolescence, et que la photo par son caractère instantané, est d’une vérité exemplaire, et « en même temps », peut être mensongère. Une dualité passionnante.
Sur la photo d’aujourd’hui, on voit Edouard Philippe, les mains reliées sur un dossier, il se rassure avec les documents qu’il a amenés.
Des chiffres, des notes, de l’écrit parce que c’est un homme probablement de l’écrit. Il suffit de constater son manque de répartie, de spontanéité, tout chez lui relève de la logique, rien de l’instinct.
Inapte au ping-pong verbal en quelque sorte, et donc au débat politique. Mais qu’est-il allé faire sur ce tatami où il n’a pris que des coups, en donnant peu.
La photo de Laurent Wauquiez, les bras largement ouverts sur la table, ouvert à l’affrontement et prêt à en découdre.
Ça ne vous rappelle rien cette gestuelle de bras ?
C’est celle de Macron dans sa photo officielle de Président. Face à la caméra, il a lui aussi les bras ouverts du conquérant, il empoigne le bureau d’un geste volontaire.
On voit par là la distance qui sépare la personnalité introvertie de Philippe, de celle plus extravertie, plus ouverte de Macron et de Wauquiez.
Wauquiez qui a gagné le match contre Philippe, et qui sera un bon challenger de Macron, le jour venu.
Bon voilà, c’est de la psychologie de bazar, et pourtant…
Avant de lire le billet, on remarque les postures de photos très orientées, Edouard Philippe le sourire crispé mais droit, veste fermée, attitude quasi étriquée, les mains rapprochées sur des notes bien rangées et ramassées, Edouard Philippe en défense mais solide sur ses appuis.
Laurent Wauquiez pattes écartées prêt à charger, le sourire largement déployé, les feuilles rangées entre ses bras – pas devant ni derrière, sur la même ligne, bien vu – la posture du taureau, veston amplement ouvert, Laurent Wauquiez challenger.
E.P. est loin d’avoir cédé, pourtant la lutte semblait inégale, il fait le job car après avoir dépouillé les retraités et encaissé les affaires nauséabondes, il aurait pu se faire laminer.
Il a fait le job comme il se dit, malgré les bêtises crasses qui se sont enchaînées, à revoir quand l’équipe aura redressé la barre, par contre Emmanuel Macron ne devra pas se contenter de Stéphane Bern pour conforter l’immeuble, il lui faut trouver de vrais bâtisseurs, des guerriers, de ceux qui savent battre des pieux, tout est à reprendre en sous-oeuvre, des pans de mur sont prêts à tomber.
« Comment vous protégez les frontières et faites que ceux qui n’ont pas le droit d’être là puissent être reconduits chez eux ? »
Notre Premier ministre met en évidence l’incurie du gouvernement.
Ceux qui franchissent illégalement une frontière commettent un délit et en tout état de cause ne peuvent être autorisés à circuler librement, comme ceux qui sont en règle.
Les reconduire à la frontière revient hypocritement à refiler la patate chaude au voisin : pas très glorieux.
Fermer les yeux pour ne pas voir les clandestins et donc ne pas s’en occuper, ce n’est pas non plus très glorieux.
La seule solution honorable, quel qu’en soit le prix, est de les mettre sinon en prison (ce qui était la loi avant qu’on ne la change pour faciliter leur circulation clandestine), du moins dans des centres de rétention.
On peut ajouter que le gouvernement ne fait vraiment pas beaucoup d’effort pour les renvoyer, au moins en faisant pression sur les pays d’origine voire en créant des centres de rétention en Afrique (certains pays seraient peut-être d’accord moyennant finance).
Mais ne faut-il pas économiser sur les dépenses indispensables pour financer les inutiles ?
Bonjour,
Il est toujours plus facile dans un débat comme celui de « l’Emission politique » de se trouver dans le camp de l’opposition plutôt que dans celui du gouvernement qui, lui, doit traiter les problèmes du pays, qu’ils soient économiques, sociaux, éthiques et, à ce titre, doit prendre des décisions parfois difficiles et pratiquement toujours impopulaires.
Edouard Philippe devait répondre à des questions portant sur une multitude de sujets : baisse des pensions de retraites, manque de moyens des hôpitaux, PMA, Union européenne, chômage des jeunes et bien sûr les migrants, sans doute le problème le plus sensible car il touche à l’humain.
Laurent Wauquiez jouait dans sa cour, si j’ose dire, vu qu’il n’a abordé que le problème des migrants qui est son thème de bataille favori. Celui qu’il utilise dans tous les meetings, les débats, les interviews.
Personnellement j’apprécie l’attitude posée d’Edouard Philippe, même si certains lui reprochent de manquer de punch et de se comporter un peu trop en « collaborateur » du président de la République.
Mais je la préfère à celle de Laurent Wauquiez qui a montré, en maintes occasions, qu’il était capable de quelques perfidies (exemple ses «bullshits» sur Nicolas Sarkozy à l’école de commerce de Lyon en février dernier) et de décisions autoritaires voire caractérielles dès qu’un de ses lieutenants ose émettre des réserves sur ses positions (limogeage expéditif de Virginie Calmels).
Comme chez Emmanuel Macron, il y a aussi du « c’est moi le chef » chez Laurent Wauquiez.
Un vrai chef se mesure au respect qu’il inspire, à la pertinence de ses décisions, certainement pas à ses coups de gueule.
Cher Philippe,
Votre analyse de L’Emission politique où l’invité était le Premier ministre est très juste.
J’ai eu exactement la même impression que vous sur les difficultés rencontrées par cet invité.
Je partage également votre jugement sur l’intervention de M. Wauquiez.
Je voudrais simplement ajouter quelques mots sur ce dernier.
En 68, on disait : « D’où parles-tu, camarade? ». Je dois être franc. Fidèle RPR ,UMP et, maintenant,LR. Je suis de cette famille-là. On va me reprocher ma partialité, voire mon aveuglement. Mais on aurait tort. Je suis très froid , très calme, très clairvoyant. M. Wauquiez a été excellent. Il y a certes des gauchistes, des communistes, des socialistes, des centristes (dont M. Macron), une extrême droite. Et, grâce à cette émission, on a compris que la droite avait, incontestablement, le chef qu’elle espérait.
Reste à persuader Mme Pécresse, MM. Juppé, Bertrand, Estrosi… de rentrer au bercail. Ce ne sera pas le plus facile.
Moi, j’y suis resté, et voterai aux européennes, aux municipales, aux législatives pour les candidats LR .
Et, à la présidentielle, j’ai déjà mon candidat. Wauquiez, président !
Cher Philippe,
Nous avons suivi le débat évoqué et il y aurait beaucoup à dire.
Areva ? C’est pas Manureva et si ce n’est pas une tuile, il y a de quoi ravaler sa salive devant une telle amende.
Quand le pouvoir vous est confié et que vous cherchez comment résoudre des problèmes, c’est que vous n’avez pas les mains libres pour prendre des décisions ayant un sens ou que vous n’avez pas les compétences pour les résoudre.
Que font encore les socialistes à la justice alors que la population a choisi de les oublier ?
A quoi sert cette distribution de droit de séjour pour les clandestins économiques alors que le pouvoir en place est totalement incapable de les recevoir dignement et qu’il suffit de donner ordre aux préfets de limiter ces entorses à la loi ?
La démonstration faite par les journalistes qu’il n’y aurait que la solution Macron ou le déluge ne tient plus la rampe et les sondages mettant en duel le RN et Macron datent du mois dernier, avant la baisse de popularité, si elle existe encore, et une autre alternative se profile avec la dégringolade du RN et de Macron. Dupont-Aignan va se grossir des déçus du dernier débat en accord avec les eurosceptiques et Wauquiez va rassembler les déçus de la macronie pour l’Europe.
Les jeux sont faits et la macronie se réduit à peau de chagrin pour disparaître tout à fait.
Heureusement que cette troisième possibilité se dessine.
françoise et karell Semtob
On s’en doutait. La politique c’est faire croire sur le grand écran qu’il y a un bon et un mauvais dirigeant. Mais les cartes ne sont pas encore toutes rebattues entre Laurent Wauquiez et Edouard Philippe. Suspense ! D’ici 2022 beaucoup de choses peuvent encore changer pour tous.
En quelques mots : brillant et très apprécié durant ses deux mandats en tant que maire du Havre, Edouard Philippe ne peut mener aujourd’hui, à mon humble avis, sa propre politique au sein de son gouvernement comme il l’entend tant qu’il aura pieds et poings liés par le chef Macron.
Édouard Philippe a toujours été franc du collier et ne s’était pas privé de certaines remarques pendant la campagne de Macron, le qualifiant de « banquier technocrate », de « praticien qui n’assume rien mais promet tout » ou encore de « conquérant juvénile » et « vieux routier », cela ne l’a pas empêché d’être nommé Premier ministre pour assurer le gouvernement et la légitimité de l’élu à la Présidence de la République. Macron avait besoin d’une béquille pour le porter : un homme fort et expérimenté trouvé à la Mairie du Havre.
Je vois plutôt Edouard Philippe, qui est doté d’une forte personnalité, lucide, loyal et plein d’expérience, siégeant à la Mairie de Paris. Il ferait un très bon maire.
Je n’ai pu voir cette émission mais je pense tout d’abord qu’Edouard Philippe a une grande qualité par les temps qui courent : celle de travailler hors de la communication, hors des petites phrases et des provocations.
Après, il est certain qu’il doit se sentir juste le « collaborateur » d’Emmanuel Macron et comme il a l’air de quelqu’un de loyal, il a dû être coincé entre les questions des uns et des autres et son chef qui guettait tout faux pas… et ce n’est pas pour rien qu’il a apparemment laissé entendre qu’une candidature à la mairie du Havre n’était pas exclue.
« Un futur guère rassurant », quand on voit la dette et tous les problèmes qui s’accumulent, on ne peut en effet que s’inquiéter.
Et ce qui exaspère les Français, c’est moins le manque d’argent et le manque de moyens de tous nos services que les injustices entre catégories de Français. Plus les réformettes se mettent en place plus les gens le ressentent.
Et puis trop de problèmes sociétaux avec des associations tonitruantes qui aggravent le malaise et que nos dirigeants, au lieu de les remettre à leur place, laissent agir ou accèdent à leurs désirs parfois coûteux, au détriment de l’immense majorité.
L’Hermine nous écrit une conclusion qui dit tout…
« Il n’y a pas de quoi se réjouir de cette prestation d’Edouard Philippe. Qu’on soit pour ou contre lui. Car elle a trop démontré que la France est accablée par des problèmes d’une gravité extrême et que la solution demeure pour le moins virtuelle. On admet le diagnostic mais on est perdu pour le remède. »
On n’y comprend plus rien de cette France riche, repue, gavée, pays le plus taxé du monde, qui a le plus grand nombre de fonctionnaires étatiques et territoriaux au km² d’habitants, qui ne travaillent même pas les heures légales les plus basses du monde et veulent toujours plus de privilèges.
Un président qui n’a pas fricoté dans le professionnalisme électoral, élu au score de 65% avec un programme clair et annoncé, est empêché d’appliquer son programme, mis en demeure de cesser toute tentative de réforme.
Syndicats soviets, apparatchiks de la haute fonction publique soviet, mafia politicarde effrayée par les réformes qui les remettraient à leur place, et médias qui se sont arrogé le pouvoir de nommer ou révoquer le président et le gouvernement… tout ce monde qui ne représente que lui-même… a sonné l’hallali et si possible la mise à mort de l’élu du peuple encore souverain quand ça arrange tous ces professionnels de l’intox et de la conservation de leurs privilèges.
L’Hermine hurle souvent avec les loups… il conteste au président qui signe le décret nommant le procureur de Paris de le choisir.
Pourquoi ne le choisirait-il pas ?
Vite… supprimons et abolissons tous les pouvoirs du président et qu’il devienne un président croupion baguenaudé par toutes les minorités agissantes et n’opérant que pour leurs seuls intérêts partisans.
Il est vrai que l’un des recalés au poste de procureur a de l’allure et une prestance qui nous change des enrubannés de la photo du gratin de la Cour de cass, costumés comme des sapins de Noël, mais quand même irresponsables quelles que soient leurs décisions et leurs errances aux conséquences souvent dramatiques.
Les journaleux et les journaleuses sont heureux… les prud’hommes… tribunaux soviets s’il en est, accordent 3,4 millions € d’indemnités à Maïtena Biraben journaleuse grassement salariée et licenciée pour sa légèreté et son incompétence.
Pourquoi les journaleux ne révèlent jamais leurs revenus… maintenant on le sait.
Ah ! la belle agressivité de la journaleuse Nathalie Saint-Cricq, radieuse de pouvoir interpeller avec sa suffisance et son arrogance le Premier ministre que le PAF a décidé de déclarer en difficulté de sondagite qu’il fait et défait impunément à sa guise.
@ Patrice Charoulet | 29 septembre 2018 à 22:29
Wauquiez Président ? Vous plaisantez ? Non, non et non ! Souvenez-vous de ce qu’il a raconté comme bêtises aux étudiants à Lyon pour les détourner de la vérité. C’est un hypocrite à double tranchant, un manipulateur, un arriviste, un calculateur et un « self-fulfilling prophecy ».
Professeur Charoulet, n’oubliez de rajouter dans votre CV d’hier : « je suis nul en politique, je crois tous les bobards ».
@ Robert | 29 septembre 2018 à 19:25
« Ce qui tend aussi à confirmer cette appréciation, est le fait que le Premier ministre a été chargé de l’audition des candidats au poste de procureur de la République de Paris, celle-ci ne pouvant être réalisée par le président lui-même sans montrer à l’évidence l’absence de séparation des pouvoirs, en l’espèce l’indépendance de l’autorité judiciaire. »
Moi, j’ai entendu dire que c’était Nicole Belloubet, ministre de la Justice, qui était chargée de sélectionner et de soumettre à Macron le nom du Procureur de la République de Paris. Je ne sais plus où est la vérité. Notre hôte peut-il nous le confirmer ?
Et même si c’était Edouard Philippe qui avait la charge d’interroger les magistrats pour l’attribution des postes, il n’en reste pas moins évident que c’est bien Macron qui était le dernier décideur. Par intuition féminine et par mon sixième sens, je suis sûre que si Macron a confié cette tâche ingrate à son Premier ministre, c’est soit parce que Macron redoute des retombées depuis sa campagne organisée à Lyon et préfère ne pas se mouiller dans ses interviews, soit c’est sa façon détournée pour dire ensuite… c’est pas moi c’est l’autre. Belle façon de se défausser sur l’autre. Responsable pour Benalla, mais pas responsable des hauts magistrats ?
Macron est une catastrophe.
On ne devrait pas le voir et c’est Edouard Philippe qu’on ne voit pas.
Le pays sera ruiné fin 2019 avec un nouveau racket sur le carburant et le chauffage au prétexte que réformer prend du temps.
Exceptionnel le coup du gel des retraites en disant que la hausse reprendra en 2020.
Les Français n’ont pas confiance, ils ne consomment plus et face à la crise qui sera là, ils seront rackettés : essence, foncier, chauffage, cartes grises, taxation livret A, suppression avantages emplois pour personnes dépendantes.
Pour les anti-Sarkozy, Macron c’est Sarkozy en pire.
Je veux bien croire que Philippe ne vise pas la succession de Macron mais il a déjà semé les cailloux pour se faire virer. Et après les européennes il pourra retourner au Havre.
Il y a une grande différence entre Macron et ses prédécesseurs.
La France va très mal et au moment du prochain racket fiscal (carburant, assurance vie, pain, eau…) Macron et Le Maire diront : les circonstances nous poussent à agir ainsi.
Sauf que les circonstances, baisse de rentrées de TVA et autres chutes de l’activité, ce seront eux seuls qui les auront créées.
Hollande doit ricaner et E. Philippe va se barrer.
Il y en a un qui a tout compris, c’est Gérard Collomb.
Edouard Philippe est d’une grande loyauté et ne crache pas sur celui qui l’a fait éclore.
Qui pour mettre à sa place ?
Je n’ai pas regardé cette émission. Vus de loin, les deux protagonistes sont plus ou moins du même bord politique, ils ont tous les deux été centristes, l’un a fini par offrir ses services à Macron après avoir été allié à Juppé, et l’autre a louvoyé aussi, plus vers la droite. On se demande si Edouard Philippe sortira grillé ou grandi de sa liaison avec Macron ; lui comme Wauquiez donnent le sentiment d’être simplement de passage là où ils sont. Ils pourraient même finir un jour dans un même gouvernement. Au total, il me semble que Macron avait au départ donné l’impression que les partis étaient obsolètes, maintenant c’est son « mouvement » qui semble périssable, et lui avec. Dur dur.
Vous prenez Jean Marie Messier, et vous lui donnez une entreprise française dont le cours de bourse est de 80 euros.
Cette entreprise rachète tout ce qui est en perte et notamment des chaînes de télévision et de la presse ; elle vend tout ce qui rapporte : eau, ramassage des déchets, chauffage.
Vous indexez le salaire et le parachute doré du patron aux activités rachetées (peu importe si elles gagnent ou non de l’argent).
Le cours de bourse monte à 140 euros.
Et puis tout d’un coup il n’y a plus de quoi payer, l’action s’effondre à 10 euros. Il faut réinjecter de l’argent.
Oui mais c’est normal, restructurer, changer un modèle économique demande du temps…
Et puis vous prenez quinze ans après l’élection de Macron, un pays à restructurer, et des décisions calamiteuses : impôt à la source baissant l’argent de poche des femmes qui travaillent, chute à venir des coiffeurs, esthétiques, tiercé, cuisinistes, paysagistes… fini les cheveux bleus pour les retraitées.
Mais c’est normal, restructurer demande du temps, les Français ne comprennent pas. Ils ne comprennent pas que les retenues opérées servent à payer la garde rapprochée de Manuel Valls à Barcelone, les logements de Ferrand… Et puis Edouard Philippe qui avait des solutions l’a dit, ce n’est pas si facile… démuni qu’il était devant un Wauquiez qui va récupérer la mise.
Oui, ce n’est pas facile, Macron a réussi à faire que l’argent ne sorte plus des comptes et même n’y arrive plus. Face à cela et au manque de ressources, que faire ? taxer, racketter, taxer les livrets, mais c’est normal, réformer demande des efforts et les Français sont des idiots.
Exceptionnel travail de sabotage en 15 mois, avec Benalla en surveillant général.
Les primes à la délation vont pleuvoir, il faut remplir les caisses : cabanes de jardin, Velux, barbecue, tout sera taxé. Voitures garées, roulantes, sans permis. L’épargne de précaution, servant à payer les hausses d’impôt à venir.
Les Français ne comprennent pas que le fédéralisme européen c’est au final chacun pour soi, que Juncker ramasse la mise ; ils sont là pour payer.
La fiscalité des GAFA ? ce n’est pas important, pas la peine que les impôts alimentent les caisses européennes, les Français paieront s’il manque des fonds.
Nous n’éviterons pas un retour à l’Europe des nations.
Oui, l’Allemagne est vraiment le grand vainqueur de la Seconde Guerre mondiale.
Nous avons un million et demi de fonctionnaires en trop, et ils bricolent avec des milliers.
Il faut que les Français apprennent à ramasser leurs poubelles, et on promeut leurs qualifications pour qu’ils n’aient pas à se salir les mains.
Le déficit de notre balance commerciale dépasse les 60 milliards, et on donne 40 millions € pour promouvoir le golf en France avec tous droits de transmission réservés aux Américains.
Mais nous allons avoir des enfants sans père.
L’essentiel n’est pas d’être riche en biens mais en valeurs.
Alors ne cessons pas de tuer le père.
« Edouard Philippe à la télévision : la rançon du pouvoir »
Non, cher P. Bilger, l’impression négative que donne le Premier ministre dans ses reprises du mot « difficile », ce n’est pas la rançon du pouvoir. C’est plus prosaïque : Edouard Philippe est un apparatchik bon teint qui applique les ordres. Cet homme n’a pas de corpus idéologique. Il est « la voix de son maître » avec Macron comme il était « la voix de son maître » avec Juppé : une courroie de transmission. Sans plus.
La réussite économique (disent certains) de la ville du Havre est comme partout celle d’une équipe et non celle d’un seul homme, sans oublier le passage dans la région d’un nommé Fabius dont l’entregent et les relations ont fait déverser des pluies d’or sur la ville !
Il a des chances pour la mairie de Paris : c’est plus en phase avec ses qualités, avec son amabilité naturelle, sa recherche continuelle du consensus et en plus – disent-elles et disent-ils – il est beau !
Le match E.Philippe / L.Wauquiez – marotte de journalistes – n’a aucun sens et les Français l’ont déjà oublié.
Quant à Wauquiez, avant d’estimer qu’il a ou non un destin national, il a des preuves à faire : rassembler les électeurs de droite (tous les électeurs de droite), confirmer la bonne gestion de la deuxième région économique de France, et retrouver pour son parti le niveau national perdu. Sans compter les européennes qui influeront sur la présidentielle.
C’est pas gagné ! Notamment avec les dissidents qui veulent bien passer pour des dissidents mais sans quitter le parti.
Elections présidentielles dont personne ne sait, dans aucun parti, qui sera le meilleur candidat ou plutôt le candidat désigné. Sauf Jupiter bien sûr !
PS : « la solution demeure pour le moins virtuelle » dites-vous en conclusion. Faux ! Les solutions existent cher P. Bilger et les réformettes péniblement mises en place ne sont pas à la hauteur des enjeux. Même les économistes qui ont conseillé Jupiter le disent !
Emission difficile : Edouard Philippe a été mauvais. Je trouve que ce n’est pas vraiment sa faute mais qu’il a pâti de la nullité des questions qui lui ont été posées ou de l’impossibilité d’énoncer des vérités.
Sur le nombre de fonctionnaire, par exemple : Salamé ou Sotto n’avaient que l’idée parfaitement populiste de lui faire avouer qu’il diminuait le nombre de professeurs, ou de policiers, ou d’infirmières ; lui tentait d’esquiver et de ne pas parler du véritable objectif qui est de remettre au travail ces professions qui sont caractérisées par des taux d’absence maladie sidérants.
Sur l’affaire Benalla : les deux zozos qui se prétendent journalistes d’information reviennent sur ce sujet dénué d’intérêt (il y a un mort ? un blessé ? un scandale financier ?) ; le Premier ministre n’a bien entendu rien à dire sur une affaire de dernier ordre dans des bureaux qui ne dépendent pas de lui.
Sur la CSG des retraités : la présentation complaisante d’une pauvre dame qui est obligée de faire un caddie en moins… Pourquoi les journalistes oublient-ils de préciser qu’il est parfaitement anormal que les retraités paient moins de CSG que les salariés ? Pourquoi la pauvre dame oublie-t-elle de préciser qu’elle ne paiera plus de taxe d’habitation ?
Sur la PMA : entre la doxa d’un prétendu comité d’éthique au service du président et ses convictions, le Premier ministre n’a pu que bégayer.
Le seul qui a su poser des questions fut Laurent Wauquiez, tout désagréable qu’il puisse paraître. Et Monsieur Philippe n’a pas su bien répondre, car une fois de plus il lui a fallu renier ses opinions de naguère.
La dégressivité des indemnités chômage pour les cadres ?
Dans certains cas, pour Edouard Philippe.
1. Difficile d’être plus populiste.
Imaginez le type qui touche 5 000 euros par mois sans travailler alors que ce serait facile pour lui de retrouver un job.
Qui peut défendre un tel abus ?
Et quid des quinquas qui se font lourder sans grande chances de retrouver un job ?
2. Sauf que ce sont les cadres qui financent le chômage jusque plus de 13 000 euros par mois.
Donc de deux choses l’une :
– soit les cadres voient le maximum de leurs indemnités réduit mais alors il faut aussi réduire leurs cotisations à due proportion. C’est le principe d’une assurance comme celle qui s’appelle l’assurance chômage
– soit on sort du principe de l’assurance, les indemnités chômage deviennent alors une prestation de l’Etat financée par l’impôt.
Maintenir les cotisations chômage des cadres mais abaisser leurs indemnités reviendra à augmenter leurs impôts.
Ce gouvernement est généreux avec les très riches mais ratus avec la classe moyenne supérieure pour laquelle Edouard Philippe a d’ailleurs le plus grand mépris.
Cadre supérieur lui-même un temps à Areva, il n’a eu aucun problème à rejoindre son corps de la haute fonction publique.
Avec Edouard Philippe, vous avez le profil du vrai fonctionnaire français décrit admirablement par Balzac.
Les grandes mesures à sa dimension, sont :
– la limitation de vitesse à 80 km/h (le prochain Premier ministre la passera à 75),
– sa capacité à être le larbin de son maître,
– sa peur des requins pour ne pas se mettre à poil,
– son immense savoir en matière de vulgarités,
– ses mille et un serviteurs à Matignon alors qu’il faut diminuer les effectifs inutiles.
Que peut-on lui souhaiter ? De retourner dans son « Havre » de paix où il terminera majestueusement sa remarquable vie de parasite rampant et docile, comme dirait une dame de ce blog une VDM au service de notre gigantesque administration qui nous coûte plus de 2 000 milliards de dettes pour des prestations d’une grande médiocrité.
@ kacendre | 30 septembre 2018 à 01:52
Vous nous faites une phrase remarquable que j’ai légèrement castrée :
« Supprimons et abolissons tous les pouvoirs de ce président croupion n’opérant que pour ses seuls intérêts. »
@ Tipaza
« Bon voilà, c’est de la psychologie de bazar, et pourtant… »
En effet, de bazar pour des chalands que le colporteur hypnotisera avec un petit tour amusant et tellement inattendu…
Tipaza, vous êtes nul en haïku mais vraiment très drôle en analyse politique ! Avez-vous chez vous une boule de cristal, parce que je suis certaine que vous avez été aidé par Machiavel…
@ Michelle D-LEROY 29 septembre 2018 à 23:49
Si Macron ne s’attaque pas rapidement à réduire drastiquement la dépense publique, il ira dans le mur.
Les mesurettes actuelles n’étant que des postures de ventilateur.
A quoi sert la Cour des comptes si ses recommandations ne sont pas assorties de mesures concrètes ?
Lutter contre la fraude.
Lutter contre le gaspillage d’argent public.
Qu’attend-il pour œuvrer ?
« Face au peu encore diminué d’une retraitée, à l’appauvrissement des services hospitaliers et aux mairies qui se plaignaient des privations qu’on leur imposait, l’objectivité des calculs n’était d’aucun secours et au contraire paraissait aggraver le hiatus entre le Premier ministre et les citoyens. » (PB).
Pour les mairies c’est vrai pour celles en dessous de 5 000 habitants, pour les autres c’est gaspillage et dépenses superfétatoires, pour Agnès Verdier-Molinié les « réformes en profondeur ne sont pas là ».
Retraités dépouillés et hôpitaux au bord de la crise de nerf.
Mais cher monsieur Bilger, est-il si difficile que cela de comprendre que ce monsieur Philippe n’est que le fusible de Qui-Vous-Savez et que tout ce qu’il peut dire n’a aucune importance ?
Si cela continue, même Pépère dont la cote de popularité est proche de zéro, n’aura pas la peine de se baisser pour ramasser tous les débris. Un coup de balai suffira.
Dans le fond EM fait tout ce que les autres ont produit – de l’insipide -, 80km/h et avec ça les 2 200mds€ qui grossissent un peu plus chaque jour.
En fait il n’a rien fait, FH le fuyard se permet d’ironiser tous les jours, plus nul que moi la France a trouvé, il en rigole Pépère et depuis il a même changé d’outil, du quolibet il se sert désormais de la tronçonneuse, certes à lame courte, mais le chêne aujourd’hui s’apparente plus à un arbrisseau qu’à un Président conquérant.
Le théâtre c’est quand il était jeune et dans le fond il n’a jamais cessé de jouer mais le parterre n’est plus le même, il ne s’en est pas rendu compte.
Les médias vont solliciter de plus en plus notre ancien capitaine de pédalo, et ainsi nourrir un retour improbable dans un pays toujours sans pilote, qui a eu ses éminences du type Benalla et la culture suprême d’une Sibeth N’Diaye. Que des premiers de cordée pour faire avancer un pays à la ramasse depuis Mongénéral, le problème est que ces premiers de cordée n’auraient même pas été capables d’escalader la Roche de Solutré.
VDM
Ignare de presque tout (comme Patrice) de ce qui sort de mon champ de compétences, et ayant lu juste avant un sujet abordant les 4×4, j’avais traduit VDM par Voiture De Me..e.
Or mes recherches m’ont amené à ICI
Et je lis ceci : Aujourd’hui, je ressors du tribunal où je viens d’être condamnée à verser des dommages et intérêts… au cambrioleur qui s’est fait mordre par mon chien en tentant de forcer ma porte d’entrée.
Même pas hors sujet avec VDM !
Bon dimanche à toutes et à tous, j’y retourne.
Macron est loin de France, à l’île Saint-Martin, plus exactement.
Il a visité des immeubles et des appartements et voici ce que le journaliste du Figaro qui rapporte la visite, écrit :
« Puis le chef de l’Etat se promène dans l’appartement, teste la solidité des murs » (sic)
Pour ceux qui disent que Macron va dans le mur, voilà qui consolide (si je puis dire) leur opinion, il teste !
Remarquons qu’étant loin de France, il n’a pas insulté les Français. Il est vrai qu’il est resté en territoire français, et qu’il n’est pas allé dans la partie néerlandaise de l’île.
La rançon du pouvoir
Étrange pouvoir que ce pouvoir-là qui, tremblant comme une feuille à la seule idée d’envoyer un huissier de justice dans un quartier sensible pour constater une infraction ou récupérer le montant d’une somme due, préfère faire des moulinets de matamore de ses petits bras en tombant sur les automobilistes ne portant pas la ceinture ou bien en dénichant au fond d’un troquet une bande de clampins sur le retour immédiatement catalogués à l’extrême droite exhibés comme des prises de guerre, comme si depuis plus de cinquante ans c’était l’extrême droite – ou soi-disant telle – qui provoquait, menaçait, agressait, dégradait, volait, trafiquait, incendiait, démolissait, pillait et assassinait…
Un peu d’humour dans ce monde de brutes.
« C’est pas beau de braquer des banques petit ! Et c’est un ancien banquier qui te le dit ! »
M. Edouard Philippe a l’air négligé. Qu’il aille se raser !
« Il n’y a pas de quoi se réjouir de cette prestation d’Edouard Philippe. Qu’on soit pour ou contre lui. Car elle a trop démontré que la France est accablée par des problèmes d’une gravité extrême et que la solution demeure pour le moins virtuelle. On admet le diagnostic mais on est perdu pour le remède. »
On ne saurait mieux dire. J’ai regardé des bribes de cette émission mettant en scène un Premier ministre peu connu, dont on retient la placidité et la sagesse, si l’on admet qu’il convient de rester sage alors que la tempête des mauvaises nouvelles nous frappe quasi quotidiennement.
On retrouve chez Edouard Philippe des traits de caractère de son ami et mentor Juppé. Le balancement, l’équilibre, le « en même temps » qui semble avoir pourtant fait son temps.
Sur l’immigration, le PM a montré qu’il n’était pas loin de penser comme Wauquiez mais que son appartenance à la majorité et la pression médiatique l’empêchaient d’être plus net, plus carré, comme les Français le demandent dans leur grande majorité.
Le plus inquiétant finalement, c’est le diagnostic partagé par des politiques de différents bords et de bonne foi qui ne débouche pas vraiment sur des décisions de bon sens, peu coûteuses, susceptibles de relancer l’économie et d’améliorer la protection des Français contre une délinquance violente de plus en plus effrayante.
Et ce n’est pas en se complaisant dans la béatitude des constats consensuels que les politiques aux manettes gagneront une quelconque crédibilité !
@ Jabiru
La France est malade. Malade de sa dette mais aussi d’un grand bazar sociétal. Malade aussi de trop d’injustices qu’elles soient fiscales ou sociales. Malade enfin d’une immigration toujours plus importante et donc à la fois coûteuse et déstabilisante culturellement.
On peut changer de Président chaque année car malgré leurs promesses rien ne change, juste des retouches pour avoir l’air de faire quelque chose. Et des retouches qui créent à chaque fois plus de disparités et donc plus d’aigreur auprès de Français qui se sentent brimés.
Tant que nous ne verrons pas un plan d’ensemble nous ne verrons pas où on veut nous mener.
Un jour on dérembourse les médicaments pour Alzheimer et le lendemain on projette de rembourser des centaines de FIV.
Un jour on supprime la TH pour 80 % des citoyens et le lendemain on veut supprimer des postes de fonctionnaires dans les services de régions… mais en transférant des tâches vers d’autres services.
Un jour on nous vante « Parcoursup » et par deux fois le Président propose des boulots de remplacement aux jeunes chercheurs d’emploi. Les parents qui paient des études à leurs enfants doivent se poser des questions.
Et à chaque fois il donne l’impression de rendre responsables de la dette et du malaise grandissant, les personnes âgées, les chômeurs, les cadres qui creuseraient le budget de Pôle emploi, les fonctionnaires, etc.
Ce qu’il faut c’est un plan pour savoir où on va, un plan général car nos dirigeants et Macron en particulier, ne font que du bricolage à droite et à gauche. Ce qui, au lieu d’arranger les choses les aggravent, tout en donnant le sentiment à chacun de payer pour les autres. Macron voulait faire le nouveau monde il ne fait que bricoler l’ancien pour conserver ses prébendes et aider toutes les minorités et associations qui ne cessent de réclamer.
C’est plus facile de stigmatiser les malades, les personnes âgées, les chômeurs et les fonctionnaires que de bousculer les féministes, les zadistes, les LGBT, les ONG type SOS Méditerranée.
M. Macron voulait être la voix de l.U.E. Et veut s’impliquer dans les futures élections européennes, qu’il réagisse au niveau européen sur tous les sujets qui nous empoisonnent la vie : sécurité, justice, immigration, etc. mais comme d’habitude ce sera du vent et pire juste pour faire monter les populismes vu le ras-le-bol général des peuples européens.
Oui je confirme, comme M. Bilger, je trouve l’avenir inquiétant.
Et je voudrais juste ajouter que tous les fonctionnaires ne sont pas des fainéants ou des nuls, certains font leur travail très consciencieusement. J’ai vu aussi des salariés du privé se la couler douce. De ce côté on ne changera pas les gens, il y aura toujours les « glandeurs » et les consciencieux.
Après est-ce qu’un ex-fonctionnaire au chômage coûtera moins cher puisqu’apparemment l’allocation chômage sera transférée sur le budget de l’Etat… on tourne en rond.
Il y aurait beaucoup à dire sur tout cela.
Bonne soirée.
@ Achille
« C’est pas beau de braquer des banques petit ! Et c’est un ancien banquier qui te le dit ! »
(Suite off the record : « Le seul qui aie le droit de dépouiller les Français, c’est moi. Compris ? »)
Eh bien voilà, vous êtes capable de produire des commentaires intéressants, cher Achille, quand il vous arrive de ne plus nous assommer avec les idées reçues débitées par votre téléviseur…
Autre légende possible : « Si tu veux jouer les idiots avec moi, on sera deux ! »
Ou alors : « Ta tête me dit quelque chose. Fête de la musique à l’Élysée, peut-être ? »
Il fait un peu trop chaud aux Antilles pour Manu.
https://uploads.disquscdn.com/images/211e817cb8d71ac37ee5db943d953376da0874dacb6e519b8f4b746bc68d6db0.jpg
Et je vous fais grâce de celle avec le doigt d’honneur.
@ Michelle D-LEROY | 30 septembre 2018 à 20:32
« Et je voudrais juste ajouter que tous les fonctionnaires ne sont pas des fainéants ou des nuls, certains font leur travail très consciencieusement. »
Pourquoi répéter de façon inlassable ce morceau de prêt-à-penser de l’idéologie socialiste, dont l’inanité a été maintes fois démontrée ? Et que je vous laisserai par conséquent réfuter vous-même ?
Ceux qui diffusent ce mensonge perdent ipso facto tout droit à se plaindre de la situation économique de la France, ainsi que de la leur propre.
Afin de vous mettre sur la voie, je précise qu’il y a d’autres façons de mentir que d’affirmer : le chien miaule.
@ Michelle D-LEROY | 30 septembre 2018 à 20:32
Votre analyse me semble parfaite. Mais il manque l’objet d’un projet de destruction de nos sociétés. Projet que d’ailleurs monsieur Macron soutient par sa politique, puisque pour que le nouveau monde paraisse, il faut bien détruire l’ancien par une transformation radicale. Où l’on retrouve les réflexes intellectuels de nos anciens marxistes-léninistes, non sur le projet, mais bien dans la méthode : du passé faisons table rase !
Il me paraît que le géographe Christophe Guilluy, après ses précédents livres sur la France périphérique et le Crépuscule de la France d’en haut, en a trouvé un qu’il analyse dans un livre à paraître ce 3 octobre aux éditions Flammarion : « No society – La fin de la classe moyenne occidentale ». Quelques éléments figurent à cette adresse qu’il me semble nécessaire de lire :
https://editions.flammarion.com/Catalogue/hors-collection/documents-temoignages-et-essais-d-actualite/no-society
Pour une analyse plus philosophique de cette décadence, de cet épuisement de nos sociétés, sans doute que ce livre à paraître à la même date aux éditions Grasset, « Demeure », de François-Xavier Bellamy apportera d’autres éclairages, avec quelques extraits ici :
https://www.grasset.fr/demeure-9782246815587
« Et je vous fais grâce de celle avec le doigt d’honneur. »
Rédigé par : Florence | 30 septembre 2018 à 22:06
Le « signe des cornes » n’a rien à voir avec le doigt d’honneur. C’est une symbolique (index et auriculaire dressé) que l’on retrouve dans la culture rock ou encore chez certains supporters de football américain.
Néanmoins, il me semble que Macron en se faisant photographier hilare en compagnie de ces deux racailles dénature et abaisse de plus en plus sa fonction et de ce fait salit la France qu’il est censé représenter et incarner.
@ kacendre | 30 septembre 2018 à 01:52
« Ah ! la belle agressivité de la journaleuse Nathalie Saint-Cricq, radieuse »
La façon dont l’affaire Benalla est montée en mayonnaise et entretenue en coin d’écran démontre un acharnement de la part des médias.
L’attitude méprisante et partisane de Nathalie Saint-Cricq, compagne de Patrice Duhamel affidé de la planète journalistique, tous deux rentiers bien lotis du service public, révèle bien le pouvoir que veulent s’arroger les journalistes.
On ne retient de son intervention pleine de dédain que sa volonté d’humilier le Premier ministre de la France, n’ayant pas le Président à se mettre sous son mépris.
Quant à l’affaire Maïtena Biraben et ses 3,4 millions qui rappelle celle de l’immense Chazal on est en droit de se poser des questions sur la justice française.
Tout ceci démontre pourquoi la France des nantis ne veut pas que quoi que ce soit change et surtout qu’on ne touche pas à son pognon et ses privilèges, même si le pays doit en crever.
Alors haro sur Macron l’odieux réformateur.
@ Robert | 30 septembre 2018 à 22:44
« Il me paraît que le géographe Christophe Guilluy, après ses précédents livres sur la France périphérique et le Crépuscule de la France d’en haut… »
Christophe Guilluy n’est pas « un géographe », comme il le claironne partout, et comme des théories d’écervelés le répètent religieusement après lui.
Parler du « géographe-Christophe-Guilluy » sous-entend a), que l’activité principale de ce monsieur serait la géographie, b) qu’il serait particulièrement expert dans son domaine, exerçant la fonction de professeur d’université.
Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité. Christophe Guilluy n’est pas enseignant à l’université, il n’exerce aucune activité de recherche scientifique, et son propre parcours d’étudiant est particulièrement peu étincelant. Il suffit de consulter sa biographie pour le savoir.
Christophe Guilluy n’est pas non plus géographe, activité qui consiste à décrire les montagnes et les cours d’eau. Il est, ou plus précisément il fait mine d’être, sociologue. Plus exactement, sociologue de gauche. Et plus exactement encore, militant politique pur et simple, car la vraie sociologie est une science, même si elle a été odieusement détournée par les gauchistes, et que n’importe quel technicien de surface intellectuelle peut se dire « sociologue » aujourd’hui.
Écrire des livres torchés à la hâte pour nous expliquer qu’habiter à Paris coûte cher, et qu’en conséquence on trouve plus de pauvres en lointaine banlieue, et davantage de riches dans la capitale, ce n’est pas être géographe : c’est être un pilier de comptoir du Bar des intellectuels de gauche, qui a décroché le pompon en publiant un gros tract maquillé sous forme de livre, intitulé « La France périphérique ».
Lequel a connu un succès providentiel (succès d’estime, naturellement : l’écrasante majorité des gens qui citent ce livre ne l’ont pas lu), car il se trouvait coïncider pile-poil avec les idées du temps. Depuis, Guilluy est « géographe », et fait figure d’oracle.
Il suffit de lire ce, hum, torchon (c’est vite lu, je vous rassure) pour se convaincre qu’il s’agit d’une imposture. Pas la moindre trace d’un travail de recherche scientifique dans ce mince opuscule — et ce qui pourrait passer pour tel a été réalisé par un autre, un larbin à lui, dont le nom ne se retrouve ni sur la couverture, ni sur le char de la renommée.
La fameuse « France périphérique » de Guilluy, c’est un mélange de vérités d’évidence, que le premier abruti venu peut constater en mettant le nez dehors, d’assertions péremptoires étayées sur rien, concernant les causes de ces évidences, et d’autres assertions si manifestement tirées du chapeau de son auteur qu’elles sont très probablement fausses ; le tout noyé dans une épaisse mélasse de militantisme politique, consistant à dire que tout cela est très grave, car cela fait le jeu du FN.
Le plus comique est que les neuneus du FN ont fait de Christophe Guilluy l’une de leurs idoles, sans s’apercevoir que son fameux chef-d’œuvre passait son temps à les insulter. Pour cela, encore aurait-il fallu qu’ils sachent lire ; ce n’était pas gagné.
Je citerai un seul point. Guilluy prétend, dans son livre, que la fameuse discrimination géographique qui est au cœur de sa thèse serait la conséquence de la mondialisation. A aucun moment il n’en apporte la preuve. Il n’essaye même pas. Il ne fait même pas semblant. C’est une assertion péremptoire, sur le monde du « tout le monde sait bien que ».
L’éternelle escroquerie intellectuelle gauchiste, qui passe comme une lettre à la poste (la poste du général De Gaulle, celui qui payait lui-même ses factures d’électricité ; pas la poste des copains à Guilluy, qui font la grève pour un oui ou pour un non, ruinant les pauvres qu’ils prétendent défendre).
Non, vraiment, lisez ce livre, c’est nécessaire pour mesurer la profondeur de la dégradation intellectuelle dans laquelle nous nous trouvons.
Et maintenant, l’un des admirateurs de cette outre creuse nous recommande la nouvelle source de revenus (temporaire) du faux géographe, et vrai gauchiste : son nouveau livre « No society », qui postulerait la disparition de la classe moyenne occidentale. Thèse prodigieusement originale, comme on le voit, qu’ab-so-lu-ment personne n’a jamais osée avant lui.
(Note aux cornichons rouges-bruns : un scientifique, un vrai, c’est quelqu’un qui découvre des vérités que personne ne connaissait avant lui. Pas un type qui, ne sachant que faire de ses dix doigts, s’improvise « intellectuel » en recyclant tous les clichés à la mode.)
Et l’admirateur (*) pousse l’obligeance jusqu’à nous fournir le lien où le nouveau produit marketing de Christophe Guilluy s’auto-détruit. Cette fois-ci, il n’est même pas nécessaire de lire le « livre » pour démasquer l’imposture. Il suffit de lire la première phrase de la présentation de l’éditeur.
Que dis-je : il suffit de lire le titre, car celle-là est une explication de celui-ci. « No society », nous explique Flammarion, et, à travers lui, notre futur prix Nobel de géographie, c’est une allusion aux « mots que Margaret Thatcher » aurait « prononcés en 1987 », selon lesquels « la société, ça n’existe pas ». Et bien sûr, « depuis, son message a été entendu par l’ensemble des classes dominantes occidentales », « il a pour conséquence la grande sécession du monde d’en haut », etc.
Ceci est un mensonge. C’est un mensonge pur et simple. Margaret Thatcher n’a jamais dit cela. Il s’agit d’une fake news de désinformation communiste, d’un increvable bobard fabriqué par les gauchistes, et répercuté sans coup férir, depuis, par les étatistes de tout poil, afin de discréditer le succès manifeste des réformes libérales de Margaret Thatcher.
Plus précisément, il s’agit d’une manipulation d’une perversité inouïe (mais qu’attendre d’autre de gauchistes, de rouges-bruns, d’anti-libéraux ?), qui consiste à extraire trois mots d’une longue interview de Margaret Thatcher, pour leur faire dire exactement le contraire de ce que leur auteur a exprimé.
Ces fameuses paroles se voulaient, bien au contraire, une défense du lien social et des relations de solidarité entre individus. Flammarion, et Guilluy avec lui, mentent comme des arracheurs de dents en osant écrire : « La rupture du lien, y compris conflictuel, entre le haut et le bas, nous fait basculer dans l’a-société », et en faisant découler cela des convictions libérales de Margaret Thatcher.
Seulement, ce que disait Thatcher, c’est que les Britanniques ne devaient pas attendre après l’État pour l’entretien de ce fameux « lien social ». Son propos consistait à dire que la société au sens où l’entendent les socialistes n’existe pas, que c’est un totem commode, un exutoire. Si vous êtes imbécile, sot, paresseux, geignard et dépourvu d’une Porsche à l’âge de trente ans, ce n’est pas « la faute de la société » (selon le cliché de gauche, omniprésent à l’époque) : la société, c’est vous, c’est moi, c’est l’ensemble des individus qui constituent la nation, et qui doivent se prendre en main pour déterminer leur destin. Voilà ce qu’elle a vraiment dit.
De quoi mettre en rage les socialistes et gaullo-communistes de tout poil, qui naturellement cherchent à nous convaincre que seul l’État peut produire ce « lien social » — dont on n’entendait jamais parler lorsque l’État, en France, était encore objectivement « ultra-libéral », c’est-à-dire du temps du général de Gaulle. Une époque où la dépense publique était ridiculement faible par rapport à ce qu’elle est de nos jours.
Margaret Thatcher ayant révélé que le roi était nu — et l’ayant prouvé par le succès incontestable de ses réformes — il importait à tous ceux qui se gavent, de près ou de loin, sur le fromage étatique, de la diffamer consciencieusement en la faisant passer pour une sorcière.
De son vivant, ils ont ouvertement, et sans honte, souhaité sa mort. La haine de ces gens-là ne connaît pas de bornes. Son trépas n’a pas suffi à étancher leur ressentiment. Il faut encore qu’ils continuent à la calomnier jusque dans la tombe.
Pour se convaincre du caractère profondément vicieux de ceux qui propagent ce bobard, il suffit de lire, dans son intégralité, la fameuse interview, qui est archivée, et mise à la disposition de tous, sur le site de la Fondation Margaret Thatcher — des gens sérieux, eux. Des gens qui travaillent vraiment selon les règles de l’éthique scientifique, de véritables historiens, pas des « géographes » à la sauce franchouillardo-gauchiste.
Encore faut-il le vouloir, encore faut-il faire ce minuscule petit effort. Encore faut-il, surtout, rechercher la vérité, et non la confirmation répétée de ses préjugés, en s’abreuvant à la source empoisonnée du premier pipole gaucho-réactionnaire venu.
C’est là le véritable obstacle, et non la difficulté à accéder à l’information, puisque j’ai déjà eu l’occasion de démontrer, par le menu, l’inanité de ce bobard. Ici même, et à plusieurs reprises. Preuves à l’appui.
______
(*) Admirateur qui n’a pas lu l’ouvrage qu’il nous recommande si chaudement, puisque… il n’est pas encore paru. Mais ça ne fait rien : quand le nouvel iPhone sort, on l’achète, parce qu’Apple, c’est bien. Quand le nouveau Guilluy sort, c’est pareil.
@ Florence | 30 septembre 2018 à 22:06
« Et je vous fais grâce de celle avec le doigt d’honneur. »
A chacun ses codes. Les politiciens ont les leurs. Les « d’jeunes » également.
Devant les médias, ils font systématiquement le doigt d’honneur ou les cornes du diable. C’est une façon pour eux de montrer qu’ils se moquent éperdument des convenances des adultes.
Avec la visite du président de la République, l’occasion était trop belle de provoquer le petit monde bien rangé des bourgeois pour qui le doigt d’honneur est l’injure suprême.
Et ça a marché au-delà de leur espérance, vu que les images ont été diffusées dans les médias et les réseaux sociaux à la vitesse de la lumière.
Marine Le Pen, qui n’en espérait pas tant, s’est empressée de jouer les indignées.
On se demande bien ce qu’elle aurait fait, dans ces circonstances, entourée par ces petits dévergondés sans éducation qui se fichent complètement de la notoriété des personnalités qui viennent leur rendre visite.
Faire intervenir les « gros bras » chargés de sa sécurité n’aurait eu pour effet que de provoquer une émeute. Pas très intelligent.
EM en acceptant, bon gré mal gré, leurs « conventions » a créé le contact avec la population, n’en déplaise à ceux qui estiment qu’il a écorné l’image un peu guindée que l’on a tendance à se faire du président de la République.
Ceux qui lui ont reproché d’avoir été un peu dur avec l’ado qui l’a appelé « Manu » le 18 juin dernier, trouvent aujourd’hui qu’il a fait preuve de trop de familiarité avec les jeunes sauvageons de la Guadeloupe. Faudrait savoir !
Les temps ont changé. L’habit à queue de pie des présidents de la IIIe République est depuis longtemps rangé dans la naphtaline.
Difficile d’abord d’exister en tant que Premier ministre à la solde d’un Président impérieux, sûr de son intelligence dominatrice, qui peut-être écoute mais ne semble guère disposé à entendre.
Difficile surtout de justifier une politique dont beaucoup trop de citoyens et d’analystes attendaient des miracles et dont les résultats tardent à se faire jour alors que des efforts, eux bien réels, ont déjà été demandés à certaines classes de la société et cela d’une manière attestant d’une injustice des plus criantes.
Comment défendre l’indéfendable alors qu’aujourd’hui par exemple certains de nos concitoyens, et non les mieux lotis, ont vu leur situation se dégrader avec pour seule carotte l’hypothétique promesse de lendemains meilleurs et comme récompense les seuls remerciements de notre Président ?
————————————————–
@ Achille 30/099 17:00
@ Exilé 30/099 20:42
Nous pourrions aussi légender ainsi la photo : « Et toi, je te rappelle que tu la fermes le temps que l’affaire se tasse. Le butin, nous ne le partagerons dans trois ans ! »
@ Michelle D-LEROY | 30 septembre 2018 à 20:32
« Et je voudrais juste ajouter que tous les fonctionnaires ne sont pas des fainéants ou des nuls, certains font leur travail très consciencieusement. »
Leur travail d’écraser le citoyen sous la paperasse technocrate ? Ah mais ça on n’en doute nullement qu’ils sont consciencieux, de vrai fourmis ouvrières pour la machine à broyer l’humain. Il font un super boulot, avec dévotion.
Qui en doute ?
La seule et unique question est de savoir si nous serons à même, nous, peuple souverain, de savoir exiger de nos dirigeants l’application des lois dans le respect des principes fondamentaux qui, en cette heure de périls mondialisés, ne pourront être garantis qu’à l’échelle de l’Europe.
Le Premier ministre, quoi que l’on puisse en penser, a su mettre en évidence le chêne de cette nécessité face au retour des arbrisseaux nationalistes rabougris que tente de fédérer Wauquiez.
@ Mary Preud’homme | 30 septembre 2018 à 23:06
« Le « signe des cornes » n’a rien à voir avec le doigt d’honneur. C’est une symbolique (index et auriculaire dressé) que l’on retrouve dans la culture rock ou encore chez certains supporters de football américain »
En Italie ce signe est appelé « cornetto » signifiant à celui à qui tu fais ce signe qu’il porte des cornes 😉
C’est une insulte très prisée en Italie, surtout entre chauffeur.e.s de tous véhicules terrestres 😀
Sur la photo sous-titrée « UN JEUNE POSE AVEC EMMANUEL MACRON EN FAISANT UN DOIGT D’HONNEUR », je ne vois pas de doigt d’honneur, il n’y a pas non plus j’imagine le signe italien « cornetto » ; je pencherais plutôt pour le signe qu’utilisent les rappeurs lorsqu’ils accompagnent leur flow (= débit des paroles rappées. Ne pas confondre avec les carottes.. ;))
L’actualité présente de ce blog tourne autour des capacités ou incapacités de nos élus pour résoudre les problèmes de notre société nationale et là le blogueur qui n’est rien d’autre que l’électeur, opine avec plus ou moins d’indulgence mais c’est avec une constante : celle de ne pas donner de solution. On peut alors conclure que l’élu est celui que l’électeur mérite.
Vous remarquerez que vos soucis majeurs finissent toujours par retomber sur une préoccupation économique y compris celui sur l’immigration. C’est par le manque de moyens (une réalité) qu’essentiellement l’opposition à l’immigration prend naissance parce que les moyens utilisés ne sont plus disponibles pour la population dite de souche.
Puis il y a la dette, la balance commerciale en déficit, le budget de l’État ; chacun choisit son dada pour y aller de sa solution au point, bien souvent, d’argumenter la causalité de son problème particulier par la présence de boucs émissaires indissociables des idéologies.
Si vous voulez connaître la cause de la dette nationale ne cherchez pas midi à quatorze heures. Tout emprunt qui par la suite n’est pas remboursé devient une dette.
Où trouvez-vous une ligne remboursement d’emprunt dans les budgets prévisionnels de l’État ?
Ne vous étonnez pas si la dette nationale s’accroît au fur et à mesure des déficits du budget de l’État.
Mais pourquoi donc l’État a-t-il un déficit ?
Ne cherchez pas non plus midi à quatorze heures il n’existe que parce qu’il est programmé par le budget prévisionnel.
Quelle est la nécessité de programmer un déficit du budget de l’État ?
Vous pouvez avoir mille raisons mais elles sont sans importance si vous n’êtes pas capable de démontrer les effets de ce déficit (ou de la dette) structurellement mis en place par nos élus.
Vous électeurs, pour comprendre nos réalités économiques, oubliez vos préjugés, retenez uniquement deux citations :
Karl Marx : « la monnaie masque la réalité (vous qui ne parlez que de monnaie, de pourcentage, de chiffres, ne passez-vous pas à côté de la réalité ?) : la production et sa vitesse de circulation en parallèle de la vitesse de circulation de la monnaie ».
Karl Marx nous incite à voir la réalité – la production – mais, cela dit, par la suite, il l’ignore puisque son œuvre tourne autour de la “la lutte des classes” qui est devenue l’essentiel de notre éducation scolarisée ou de notre environnement qui »glorifie » la monnaie qui manque aux uns et que d’autres ont en trop.
Au lieu de retenir de Karl Marx la réalité vraie, la production et sa vitesse, nous avons fondé notre économie sur la monnaie bien que Karl Marx dise qu’elle masque cette réalité.
Pour sortir de cette impasse il suffit alors d’une seconde citation, celle d’Adam Smith : « Notre consommation nationale est directement ou indirectement le fruit de notre travail ».
Adam Smith ne nous parle pas de production mais du travail qui permet la production laquelle devient notre consommation (et il précise bien -nationale-) directement si notre production nationale est consommée nationalement et indirectement si après échange – exportation contre importation – nous consommons nationalement des importations.
Dans ces deux citations, celle de Karl Marx et celle d’Adam Smith, nous allons y trouver ce qui est nécessaire et suffisant pour que notre vision sur l’économie ne soit plus celle que les idéologies de droite ou de gauche veulent mais ce que l’économie doit être : le reflet de notre vie en société nationale.
Karl Marx nous explique que notre mode de vie sociétale fait circuler à la fois des productions et de la monnaie laquelle devient alors l’ustensile utile pour cette circulation de la production laquelle production est la seule qui, par finalité, a de l’intérêt pour notre société. La monnaie restant un accessoire.
Adam Smith nous dit que le fruit du travail est la production qui devient consommation nationale avec pour finalité que notre consommation nationale est égale à nos productions nationales moins nos exportations plus nos importations. Qui de vous ne peut ici des réalités incontournables de notre vie ?
Il suffit alors d’utiliser très peu de notre intelligence pour comprendre l’essentiel en économie :
* la production est issue du travail de quelques-uns
* la consommation nationale est partagée entre tous
* la monnaie est un intermédiaire utile, elle a une double fonction celle de faire circuler les productions ou encore, celle de se partager les consommations nationales.
Résultat : la monnaie n’est qu’un outil utile puisque la monnaie n’est pas consommée elle ne fait que changer de main. Ce qui importe en économie ce n’est pas ce que l’on croit : la création de la monnaie mais sa circulation en parallèle des productions. Si problème elle pose : ce n’est que sa stagnation ou l’incivilité de celui qui la détient dont est cause un comportement, puisque monnaie est fiducie c’est-à-dire confiance. Car bien que cela ne fasse pas partie de votre formatage, la vérité essentielle est que le travail ne sert pas à votre consommation personnelle mais à celle des autres. Ceci implique une réciprocité qui doit se traduire par une équité sociétale qui oblige un devoir à chacun de nous : produire, dans sa vie et en fonction de nos capacités, autant pour les autres que les autres produisent pour nous de choses (obligatoirement) agréables et utiles à la vie. La détention de la monnaie ne doit être que le fait du respect de cette civilité.
Prenons le cas de l’emprunt pour combler le déficit volontaire de nos élus.
Puisque notre consommation nationale suivant Adam Smith est la production nationale (pour une certaine valeur disponible pour notre consommation nationale) moins nos exportations (pour une certaine valeur) plus nos importations (pour une certaine valeur) à balance commerciale équilibrée nous avons avec la valeur de nos productions suffisamment pour nos consommations nationales qu’elles soient faites suivant un mode familial, mutuel ou collectif. L’Etat en créant le déficit de son budget et en empruntant libère chez les contribuables une masse monétaire égale à l’emprunt laquelle ne peut plus servir à acheter une production nationale (moins les importations plus les importations) donc servir pour plus importer qu’exporter d’où déficit de la balance commerciale et dette.
Maintenant la citation de Karl Marx nous apprend quoi ?
Qu’importer plus qu’exporter, c’est demander aux nations étrangères de produire plus pour nous que nous ne produisons pour elles.
Comme chez nous emprunter permet de consommer plus de production des autres que de production faite par soi pour les autres.
Ne pas rendre aux autres les surproductions qu’ils nous ont offertes n’est-ce pas un acte d’incivilité ?
Vous devez si vous voulez trouver des solutions à chacun des problèmes posés cesser de voir la monnaie pour ne retenir que la réalité de la masse de production qui circule pour devenir nos consommations.
Ne pas rendre les surproductions des autres à titre individuel c’est la crise type subprime (incivilité).
Ne pas rendre les surproductions des autres à titre nationale c’est la crise du type dette souveraine.
Sombrer dans la psychose de lendemains difficiles, bloquer la monnaie pour remettre à plus tard sa consommation c’est la crise dite de 2008.
Les crises financières n’existent pas. Toutes sont programmées par les élus ou par des incivilités des électeurs.
L’écologie est essentiellement un problème de surnatalité laquelle est aussi cause d’immigration parce que nos idéologies influent sur nos comportements et que chaque société culturelle ou cultuelle n’est que la somme des comportements des chacun des formatés qui la composent.
Excusez la longueur de cette intervention : ce n’est que du fait que l’économie et notre vie sociétale sont un tout qui ne peut pas se permettre d’être partiel ni partial.
@ Florence
« Il fait un peu trop chaud aux Antilles pour Manu. »
C’est curieux, monsieur Benalla n’apparaît pas sur la photo.
Serait-il souffrant ?
Aurait-il été remercié de ses bons et loyaux services ?
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@ Mary Preud’homme
« Le « signe des cornes » n’a rien à voir avec le doigt d’honneur. C’est une symbolique (index et auriculaire dressé) que l’on retrouve dans la culture rock ou encore chez certains supporters de football américain. »
Ce symbole est d’inspiration satanique.
@ Mary Preud’homme
« Le « signe des cornes » n’a rien à voir avec le doigt d’honneur. C’est une symbolique (index et auriculaire dressé) que l’on retrouve dans la culture rock ou encore chez certains supporters de football américain. »
Un des deux hommes qui entoure monsieur Macron fait un doigt d’honneur, l’autre un signe des cornes.
(Wikipédia : « Le signe des cornes, aussi appelé cornes du diable, est un geste de la main dont la signification varie selon les cultures et les contextes. »
« En Italie, en Espagne, en France et en République tchèque, le geste adressé à une personne signifie que celle-ci porte une paire de cornes métaphoriques marquant l’infidélité de son conjoint. »)
On nous raconte que Jésus aurait dit à la femme adultère : Va et ne pèche plus.
L’histoire ne dit pas si Jésus s’est ensuite prêté au jeu du selfie sur lequel la femme adultère aurait fait un signe des cornes ou un doigt d’honneur.
Monsieur Macron a dit, en substance, à ce jeune homme : Mon Fils, tu as péché ? Ne recommence plus.
On nous raconte aussi que Jésus prenait les enfants présentés par leurs parents dans ses bras, posait la main sur eux et les bénissait. Jésus imposait les mains comme signe de miséricorde, de pardon, de salut et aussi pour guérir.
Quand on regarde la TV, en général, on voit Monsieur Macron, quand il rencontre la foule, imposer la main sur la tête des enfants, les prendre dans ses bras…
Monsieur Macron à Saint-Martin : « Une mère m’a demandé d’embrasser sa fille handicapée. »
Que faut-il en conclure ! ☺
@ fugace | 01 octobre 2018 à 02:19
Voir mon post 01 octobre 2018 à 07:05. J’explique tout ! 🙂
A la fin de son débat télévisé avec Emmanuel Macron, Marine Le Pen disait en substance qu’il ferait tout simplement du Hollande. La qualité de la plaidoirie était si mauvaise qu’elle en a effacé le contenu.
Or, M. Le Pen avait raison. Macron ne nous fait que du Hollande avec seulement une sauce différente. Une somme de mesurettes qui nous font avancer à vitesse quasiment nulle dans le bons sens tout en exaspérant les perdants.
Par contre, il fait pire que Hollande en nous faisant si bien dégringoler sur le plan spirituel, que les Français vont finir par comprendre ce que cela veut dire.
Par ailleurs, le fait que nous voyions apparaître ici de nouveaux noms, et défenseurs de Macron, laisse penser à la fois que le blog de P. Bilger est pris en considération, et qu' »on » s’inquiète.
@ Michelle D-LEROY 30 septembre 2018 à 20:32
En phase avec votre billet. Rien à rajouter.
Très tactile notre Jupiter sur les photos avec les deux d’jeunes !
@ Michel Deluré | 01 octobre 2018 à 09:16
Tout à fait entre nous, je préfère votre humour à celui d’Exilé ! 🙂
@ Achille | 01 octobre 2018 à 07:05
Avouez quand même que le président joue dangereusement avec son image. Il en fait trois fois trop.
On n’a jamais vu son modèle Barack en faire autant. Je ne vous imagine pas spécialement branché, Achille, mais Macron est un favori-né, n’est-ce pas ? Le genre de type qui peut tout se permettre. Néanmoins je crois deviner ce que vous n’auriez pas manqué de dire si c’était Wauquiez, en chemise et cravaté, sur la photo, au lieu de Macron. Lui il n’aurait pas le droit. Je ne parle pas de MLP, là les branchés s’étoufferaient encore dix fois plus que les petits-bourgeois. Ils n’auraient pas tort d’ailleurs.
Macron aime le registre « décalé », c’est le moins qu’on puisse dire, ça lui fait sans doute plaisir de faire jaser ou ricaner les Gaulois désuets. Est-ce bien nécessaire de leur faire avaler tant de couleuvres ? Est-ce intelligent ? Il y a encore pas mal de Français moyens vieux jeu, même aux Antilles, contrairement à ce que vous semblez croire, et ils votent. Et ces Antillais-là causent moins de problèmes que les voyous qui leur pourrissent la vie ; la criminalité est trois fois plus élevée dans ces îles que dans la France au sens géographique du mot, je ne suis pas certaine que la population adopte dans son ensemble « les codes » et « les convenances » de ces « djeuns » pas si inoffensifs auxquels Macron se frotte. Une telle supposition est loufoque et quand même assez vexante pour les Antillais.
Je crains bien que Macron soit à la fois cynique et naïf, c’est un cocktail qui me paraît redoutable en politique. Pour en revenir au Premier ministre, j’espère pour lui qu’il saura préserver son image personnelle des excès populistes et très vaguement dionysiaques du président.
@ breizmabro | 01 octobre 2018 à 10:27
Encore mieux que le « cornetto » des Italiens il y a le bras tendu et les cinq doigts de la main bien en vue chez les Nigérians qui signifient : « Tu es le fils de cinq pères » ! 🙂
Oui, je trouve qu’il fallait parler des signes faits avec les mains !
C’est très important et je dirais même mieux c’est très important…
Je suis tout de même excessivement troublée et pourquoi ne pas le dire fortement déstabilisée, d’ailleurs, je ne sais plus quoi penser !
Pour ma part je faisais les cornes sur les photos, c’étaient plutôt des oreilles de lapin, vous savez le V de la victoire, pour indiquer le dindon de la farce au public.
Mais qu’allons-nous devenir si les oreilles de lapin sont démodées ? Il paraît que je suis moi-même totalement obsolète ! Ô tempora, ô mores !
@ Ange LERUAS | 01 octobre 2018 à 10:33
« Excusez la longueur de cette intervention »
Non, non, ne vous excusez pas on a l’habitude, on a petit elusen notre moteur de recherches à nous. Vous lancez un sujet au hasard, exemple la PMA, ou la date de l’implantation de la Tour Eiffel à Paris, et toc petit elusen vous sort la date, l’heure et le jour de la parution du sujet PLUS, mais c’est plus cher (en longueur), le lien de l’article de loi, éventuellement, qui prouve que ce qu’il nous dit est Vérité.
Petit elusen est un genre de bureau Veritas à lui tout seul.
Et nous avons Robert M. qui nous débriefe du communisme soviétique, régulièrement, longuement, mais à part ça ça ‘dérape’ parfois dans l’humour caustique, c’est du reste pour cette seule raison que je lis ses posts.
Nous avons également Noblejoué. Mais là je ne peux faire de commentaire je n’ai jamais rien compris à ce qu’il écrivait.
Du coup vous allez être notre quatrième. J’espère pour vous que les trois autres ne vont pas vous faire la peau car ils sont fort susceptibles de leurs prérogatives sur ce blog.
Je n’ai lu que les deux premiers paragraphes de votre intervention, sans doute exceptionnelle d’informations sur l’économie de marché, mais comme personnellement je ne vais pas au marché place de la Bourse mais chez mes potes ça ne m’a pas trop passionnée.
Par contre vous pouvez revenir en deuxième semaine, votre opération sera couverte 😉
Les vacances de M. Macron
Cette escapade chez les « locaux » – dont ses conseillers disent qu’elle n’était pas prévue – sent le montage ultra-préparé !
Quelle vulgarité ! Et cette façon de se frotter, de se palper ! Vite un psy pour nous expliquer !
La dégringolade dans les sondages impliquait d’urgence un changement de stratégie. C’est fait depuis quelques semaines. Mais le peuple de France pour Macron n’existe pas. Seules les communautés représentent la France pour lui.
Il y a d’abord la communauté catholique, puis la communauté harki, puis l’extrême gauche LGBT, puis, puis… et maintenant avec ces enlacements soigneusement retransmis, la communauté des voyous qui ne purgent jamais leurs peines. Et Macron a pu dire, sans que personne ne rie : « Va et ne pèche plus » ! Quel Homme (hum !) !
Dans le même temps, histoire de préparer là aussi les européennes, une attaque en règle du journal Le Monde (édition 30/09-01/10) contre la droite qui aurait le tort de relever la tête.
Pas moins de trois pages entières et trois journalistes (sic) Olivier Faye, Lucie Soullier, Nicolas Truong, deux experts (sic) Gérard Noiriel, Guy Sorman, une romancière (sic) Tania de Montaigne, et un politicien en recherche de notoriété, Maël de Calan, pour tenter de circonscrire le monstre de droite qui renaît. Du grand guignol de propagande.
Cordialement.
@ breizmabro | 01 octobre 2018 à 10:27
et aussi :
Tout à fait.
1 ► tous les doigts tendus, majeur et annulaire croisés, autres doigts écartés = West Coast
2 ► tous les doigts tendus, index et majeur accolés, annulaire et auriculaire accolés, grand espace entre majeur et annulaire = East Coast
3 ► index et majeur tendus parallèlement au torse, annulaire, auriculaire et pouce repliés sur la paume = North Coast.
Il y a longtemps que je pratique (et enseigne à mes petits-enfants) la formule n°2 qui s’acquiert avec peu d’entraînement. Sans doute pour affirmer que je ne suis pas « à l’ouest ». Et pourtant géographiquement, si.
Les Bretons sont à l’ouest. Aussi il faut sans aucun doute ne pas en tirer de conclusions hâtives.
Qui l’eut cru, suite :
Mais pourquoi, lorsque les carottes sont cuites, est-ce « la fin des haricots » ?
@ Mary Preud’homme | 30 septembre 2018 à 23:06
est l’un des mudrā (jap.印相) de la culture védique dont le nom est FUNNU- en japonais (忿怒) = « rage folle » + KEN (拳)= «former un signe à l’aide des doigts de la main» soit en entier 忿怒拳, ou encore 忿怒形 (Funnu-Gyō) destiné à prendre le dessus sur les esprits infernaux ou l’ennemi en général.
« Le « signe des cornes » n’a rien à voir avec le doigt d’honneur. C’est une symbolique (index et auriculaire dressé) que l’on retrouve dans la culture rock ou encore chez certains supporters de football américain. »
Pas plus « doigt d’honneur » que « signe des cornes », le pseudo « signe des cornes » qui semble pouvoir être décelé sur le cliché affiché dans « Achille | 30 septembre 2018 à 17:00 » n’est que la position des deux index dont celui de la main gauche repose avec le pouce sur l’épaule droite du personnage qui lui fait face.
Le « signe des cornes », dont nous partageons la figure avec les bouddhistes ( cf. le n°5 ci-après
Un genre de signe apotropaïque – du grec apotropein, « détourner » – donc. Ce signe est celui adopté dans l’iconographie des Niō (仁王) les divinités gardiennes installées de chaque côté de l’entrée principale mon (門, « porte ») empêchant les démons ou les mauvais esprits de pénétrer dans les lieux, ainsi que dans l’ensemble des entités représentatives de MyōŌ(明王) de l’iconographie du bouddhisme ésotérique. Par conséquent, loin d’être un signe satanique, c’est précisément le contraire, ou alors ça l’est au sens du domaine d’action présumé, soit le satanique ou le démoniaque, en tant que anti-démon.
Ce signe est attesté également dans l’Antiquité grecque. Voir ce satyre de la fin du XVe siècle qui n’était ni un motard ni un fan de club sportif. Le sens apotropaïque antique perdu, il revêt désormais diverses significations selon les communautés, dont les motards, vous avez raison de le souligner. Nonobstant, ma sœur et moi-même l’utilisions l’une à l’adresse de l’autre, étant petites, histoire de nous faire enrager mutuellement, sans que personne ne nous l’ait spécialement enseigné. Je pense que si les clubs sportifs et les motards l’ont repris et que si le président de la République italienne Giovanni Leone l’a exécuté en 1973 à l’occasion de la visite d’un hôpital napolitain lors d’une épidémie de choléra, c’est sur le fond de son antique signification originale de signe « antidémoniaque » (donc pour Leone, anti-miasme-cholérique), et que si les motards et les sportifs, c’est dans le même esprit que le tirage de langue du Haka rituel des populations du Pacifique Sud, repris par les équipes de rugby. Je pense donc, qu’à l’image du même tirage de langue sur les représentations de la Gorgone agrémentées de deux paire de crocs pointus qui en font une ogresse, il dit : « Je vais te manger », comme les cornes disent sans doute, « je vais t’encorner » ou « je vais te stopper avec ma fourche à deux dents, sale vipère. » etc.
Et comme Macron eût pu le faire mais ne l’a pas fait, en parallèle à sa provocation verbale de juillet dernier à l’adresse des contre-pouvoirs saisis de l’affaire Benalla : « Qu’ils viennent me chercher », la langue tirée dit: « Je vais te manger », comme les cornes disent sans doute: « je vais t’encorner » ou même « Je vais planter mes crocs acérés dans la partie la plus dodue de ta personne ! » ; ou encore plus simplement « Je vais te sauter à la gorge !» vu qu’il s’agit de magie et que l’idée de mordre évoque aussi bien la magie que la contre-magie, autrement dit de nos jours de façon plus soft : « On va voir ce qu’on va voir ! ».
Je pense encore à plus d’autres choses, notamment à la fleur du Datura sauvage en forme de trompe qui dessine elle aussi comme des crocs susceptibles d’être pris comme un avertissement, mais bon ça suffit comme ça.
@ Claude Luçon 01 octobre 2018 à 12:11
« Il y a le bras tendu et les cinq doigts de la main bien en vue »
C’est curieux ça me rappelle quelque chose ce bras tendu et les cinq doigts au bout, bien en vue…
Ne me dites pas que le papa d’Adolf avait cinq enfants et que c’est à cause de ça qu’Adolf en a fait un signe, pour dénoncer son papa ? 🙁
Si c’est ça faut réécrire toute l’histoire, en commençant pas le papa d’Adolf, ce sale type qui avait cinq enfants peut-être pas tous blonds aux yeux bleus, ce qu’Adolf s’est évertué de dénoncer publiquement toute sa vie 😀
Adéo Claude 😉
@ Ange LERUAS | 01 octobre 2018 à 10:33
Un beau dessin étant toujours mieux qu’un long discours, qui plus est très contestable en de nombreux points, veuillez vous lancer !
En attendant le krach boursier de 2019 :
http://dessinemoileco.com/krach-boursier-2019-science-fiction-premonition/
Le jeunot, à qui par obligation, nous avons confié les dettes et les économies des Français, aura-t-il le punch de Sarko pour anticiper et sauter l’obstacle qui est visible à l’œil nu ?
« Je suis convaincu que j’avais un avenir politique en France » estime Manuel Valls, candidat à la mairie de Barcelone.
Le problème ce n’était pas lui qui devait être convaincu, ce sont les électeurs français et après la déroute dans son propre parti, son sort était scellé quoi qu’il en pense, et comme il pense beaucoup trop de bien de lui, il en oublie tout le mal que pensent les autres.
@ breizmabro | 01 octobre 2018 à 10:27
« Je ne vois pas de doigt d’honneur. »
Soit le doigt d’honneur breton se fait avec les pieds, soit vous n’avez pas la bonne photo. Sur l’image incriminée, le président de la République (allons-y pour la majuscule) se fait prendre en photo en sandwich entre deux jeunes Noirs.
Celui qui se trouve à gauche d’Emmanuel Macron fait un énorme doigt d’honneur au photographe. Il est torse nu, alors que la scène ne se déroule ni dans un vestiaire de stade, ni à la plage. De surcroît, il a le pantalon consciencieusement baissé sous les fesses, et retenu par une partie spécifique de son anatomie, laissant admirer son caleçon de grande marque (?).
Selon la pittoresque coutume des Noirs américains, qui m’a valu ici un passionnant échange de vues avec Mary Preud’homme. Le Noir américain appartenant à la voyoucratie le fait savoir — comment le dire autrement ? — en montrant son cul à tous les passants. C’est sa façon à lui de dire m… à la société, d’être un rebelle, de s’indigner, comme disait le peu regretté Stéphane Hessel.
Comme, en plus d’être défavorisé sur le plan social, il est défavorisé sur le plan des capacités cognitives, il oublie qu’une partie essentielle des compétences relatives à sa profession consiste à fuir la police lorsque les circonstances l’exigent. Je vous laisse imaginer quelle peut être l’aptitude à se carapater devant un flic américain athlétique, quand on court le falzar pratiquement sur les genoux, à peine retenu par les bijoux de famille.
Donc, le président de la République de la France s’affiche, hilare, aux côtés d’un électeur (admettons) qui non seulement s’applique à insulter avec une grossièreté inouïe l’ensemble des Français (ceux qui, il le sait, verront sa photo en compagnie du président), mais qui, de plus, manifeste de la façon la plus vulgaire et ostensible qui soit son appartenance au banditisme.
Mais à droite d’Emmanuel Macron se trouve un autre Noir, presque en tenue de soirée, lui (il est en maillot de corps). Il n’a pas besoin de baisser son froc, car il a carrément déclaré au président, qui fourrait son nez dans un HLM tropical : « Je suis un braqueur, je sors de prison ».
Et il joint le signe à la parole, en faisant non pas « les cornes », comme disent certains qui croient encore aux contes de fées, et encore moins je ne sais quel signe emprunté « au rock » (musique de Blancs), mais bel et bien le signe universel des Noirs qui revendiquent leur appartenance à un gang (vraie ou fausse).
Signe qui, bien sûr, est imité par toutes sortes de racailles, dont certaines ont la peau blanche, mais dont la signification est toujours la même : une insulte adressée à la société par des délinquants qui revendiquent leurs actes de violence.
Les journalistes américains ne s’y trompent pas, qui relèvent systématiquement le fait lorsqu’un Noir, pris dans les feux de l’actualité, fait ce signe sur une photo. Et ce n’est pas pour lui faire des compliments. Ce signe veut dire : « Je suis un voyou ». Il est considéré comme la preuve de la compromission de son auteur avec le milieu de la délinquance.
Inutile de préciser la dimension de guerre ethnique anti-blanche que revêtent ces signes, ces attitudes, et, bien sûr, cette photo.
Donc le président de la République de la France trouve très rigolo de s’afficher entre deux zèbres qui insultent les Français, et revendiquent leur affinité avec la délinquance.
Mais lorsque c’est un vieux mâle hexagonal, dont tout laisse à penser qu’il est blanc, qui fait un doigt d’honneur au président, là, c’est arrestation et tribunal.
Le président de la République a le droit de faire un doigt d’honneur à tous les Français en s’abritant derrière deux Noirs qui s’en chargent pour lui (dont un a déclaré être un délinquant), mais lorsqu’un Blanc bien inoffensif se défoule en lui faisant un doigt d’honneur à lui, il y a insulte à chef de l’État et ça ne va pas se passer comme ça.
Le doigt d’honneur présidentiel est redoublé, lorsqu’Emmanuel Macron « assume », comme on dit, et justifie son selfie en conférence de presse : « Ce qui fait que je me suis battu pour être élu face à Marine Le Pen et que je suis là aujourd’hui, c’est parce que j’aime chaque enfant de la République, quelles que soient ses bêtises, parce que bien souvent, parce que c’est un enfant de la République, il n’a pas choisi l’endroit où il est né, et il n’a pas eu la chance de ne pas en faire. »
Voilà, il l’a dit : c’est la faute de la société. Un délinquant noir ne commet pas des délits ou des crimes, il « fait des bêtises ». Et lorsqu’il fait des bêtises, c’est qu’il n’a pas eu la chance de ne pas en faire. La doctrine socialiste dans toute sa crudité.
Vous, bande de petits crétins, vous n’avez jamais braqué de banque, vous n’avez jamais volé son sac à une vieille dame : c’est que vous avez de la chance. Vous êtes des privilégiés. Je me demande, d’ailleurs, si on ne devrait pas vous fourrer en prison un mois ou deux, histoire de rétablir un peu la justice sociale. Excusez-vous d’avoir eu de la chance ; repentez-vous de votre « privilège blanc ».
Emmanuel Macron, loin d’être « l’ultra-libéral » que dénoncent tant de communistes qui s’ignorent, est précisément le socialiste que dénonçait Margaret Thatcher dans sa fameuse interview à Woman’s Own, dite, par les escrocs de gauche, « there’s no such thing as society ».
C’est Macron qui vient de nous expliquer, selon les mots mêmes de Margaret Thatcher dans son entretien : « Vous avez un problème ? C’est à l’État de le résoudre ! Vous êtes sans abri ? C’est à l’État de vous loger ! »
Les arsouilles socialistes genre Emmanuel Macron, disait Margaret Thatcher par anticipation, « rejettent leurs problèmes sur la société, mais qu’est-ce que la société ? ça n’existe pas, ‘la société’ ! ce qui existe, ce sont des personnes, des hommes et des femmes et des familles, et aucun gouvernement ne peut faire quoi que ce soit sans s’appuyer sur des personnes ».
Emmanuel Macron déclare, mot pour mot, dans sa conférence de presse : « J’aime chaque enfant de la République, quelles que soient ses bêtises, parce que bien souvent, parce que c’est un enfant de la République, il n’a pas choisi l’endroit où il est né. »
Et c’est Margaret Thatcher qui explique, à l’époque où Macron n’avait encore que dix ans : « Si un enfant a un problème, on nous dit que c’est la faute de la société. Mais ça n’existe pas, ‘la société’ ! Ce qui existe, c’est un tissu vivant d’hommes, de femmes et de personnes, et la beauté de ce tissu, la qualité de notre vie dépendent de notre aptitude à chacun à prendre nos responsabilités, et à nous tourner vers ceux qui sont moins chanceux que nous, pour les aider. »
Autrement dit, Margaret Thatcher disait exactement le contraire d’Emmanuel Macron, qui, lui, se vante d’avoir été à l’origine d’un prétendu exploit de ces jeunes Noirs, lesquels ont porté jusqu’à lui une jeune fille handicapée qui voulait l’embrasser (quel exploit, en effet !…) : « Ils ont été capables de faire ça car je les ai regardés avec confiance, parce que je les ai respectés. C’est ça la République. »
Macron prononce (à la suite de nombreux autres, soyons honnêtes), cette énormité franco-française : « les enfants de la République ». Les enfants n’appartiennent plus à leurs parents, c’est l’État qui joue au papa et à la maman.
Thatcher explique que lorsque les enfants sont maltraités (et elle parlait d’enfants battus, pas d’enfants dépourvus du dernier iPhone), c’est la faute de leurs parents, pas celle du gouvernement ou de « la société ». Seuls les parents peuvent réellement s’en occuper en assumant leurs responsabilités.
Macron prétend que si l’État ne manifeste pas son amour aux délinquants, ceux-ci ne s’amenderont pas. Thatcher disait qu’une société harmonieuse dépend, avant tout, de la volonté des personnes.
On constate, au passage, que dans cette interview, elle défendait l’inverse de ce dont on l’accuse, à savoir de prôner l’individualisme forcené, la loi du plus fort et la lutte de tous contre tous. Thatcher défendait explicitement, dans cet entretien, une vision chrétienne de la société, en croyante qu’elle était. Et c’est aussi ce que ne peuvent supporter les stato-gauchistes qui la diffament.
Il est plus curieux de constater que des chrétiens auto-proclamés la vomissent — et même des cathos tradis, des chrétiens qui se reconnaissent dans l’extrême droite.
@ fugace 01 octobre 2018 à 14:13
Vous vous êtes en pleine muscu… des doigts, si j’ai bien compris 😀
« Mais pourquoi, lorsque les carottes sont cuites, est-ce la fin des haricots ? »
Je ne peux vous répondre mais je pense que petit elusen devrait vous trouver la réponse illico presto avec ses moteurs chercheurs ;).
Ainsi vous saurez tout : la date à laquelle cette expression a été employée pour la première fois, s’il s’agit d’une expression due à un écologiste (et non pas oncologiste 😉 templier ou à un moine silencieux qui s’est fait hara kiri (pardon Catherine 😉 après avoir arraché les haricots du potager du couvent suite à une mauvaise cuisson de ses carottes, car des carottes trop cuites c’est comme pour le café : quand c’est bouillu, c’est foutu ! 🙁
Il suffit juste d’attendre quelques heures que ses robots finissent leur sieste.
Adéo fugace
@ Exilé | 01 octobre 2018 à 10:41
(À propos d’une oeuvre murale dénommée « Liberté Égalité Fraternité », réalisée le 20 novembre 2015 par l’Américain Shepard Fairey en réaction aux attentats de Paris et installée à l’initiative du nouveau président de la République, un étrange élément visuel ICI n’a pas retenu l’attention des journalistes dits professionnels.)
http://www.panamza.com/181017-macron-satan/
@ Robert Marchenoir
« Thatcher disait qu’une société harmonieuse dépend, avant tout, de la volonté des personnes »
Vous avez bien fait de nous rappeler Madame Thatcher, cependant, vous avez oublié de dire que c’est après avoir dégusté du brandy avec Monsieur Pickwick, et discuté longtemps sur les temps difficiles, qu’elle avait senti tout ce qu’il y avait à saisir dans ce que la charité protestante a de plus bouleversant !
D’ailleurs, Dickens, homme de bien, faisait partie de ses lectures favorites après bien évidemment Lady Macbeth de qui vous savez…
Deux prémisses et une conclusion, voilà votre syllogisme !
@ Robert M. 01 octobre 2018 à 14:46
Vous avez eu raison de nous montrer la photo en question car je n’avais vu que le personnage de droite sur la photo (photo tronquée).
« La scène est surréaliste » commente BFMTV, « on y voit Emmanuel Macron, chemise blanche, cravate noire, faire la morale à cet homme torse nu, tatoué, qui sort tout droit d’un clip de gangsta rap américain ».
Par contre BFMTV ne nous dit pas pourquoi Macron, CHEF de l’Etat français, est vautré sur le garçon (à gauche sur la photo) qui fait un grand doigt d’honneur face caméra, vêtu seulement d’un « jean sur caleçon » (comme pourrait le dire JP Gaultier :D) retenu par… sa ceinture ?
Je ne pense pas que le général de Villiers se serait comporté de la sorte lors de ses déplacements officiels dans les Antilles françaises…
Cet homme sera-t-il recruté prochainement comme chargé de mission au côté de Macron en remplacement de Benalla ? Visiblement il y a aussi, comme pour Benalla, quelques affinités, et ce serait tellement beau de donner un travail bien rémunéré avec, en prime, un pétard en état de marche, à ce « bel homme » (comme disait Jack Lang) qui a visiblement un engouement marqué pour la France.
Maman Brigitte n’aurait jamais dû accepter qu’il aille faire son stage à Abuja (capitale politique du Nigeria) pendant six mois, car visiblement il n’en a ramené que la créativité africaine au rythme de l’afrobeat.
Adéo Robert M.
@ breizmabro | 01 octobre 2018 à 14:53@fugace
« Vous vous êtes en pleine muscu… des doigts, si j’ai bien compris 😀 »
Dans l’exercice que fugace dit recommander à ses petits-enfants d’exécuter, ce n’est pas la muscu des doigts qui est en jeu, mais la capacité cérébrale de coordination.
Mon père nous faisait faire lui aussi, entre autres, ce genre d’exercice, qui plus est avec le bras dans différentes attitudes. Peut-être est-ce grâce à cela que je peux lire de droite à gauche, de gauche à droite, de haut en bas et dans un miroir. Qui sait.
« « Mais pourquoi, lorsque les carottes sont cuites, est-ce la fin des haricots ? »
Je ne peux vous répondre mais je pense que petit elusen devrait vous trouver la réponse illico presto avec ses moteurs chercheurs 😉 »
Pensez-vous vraiment qu’il aura l’idée de consulter « wikibeauf » et que l’ayant consulté son imagination lui suggèrera une réponse plausible ? Bref, en attendant voici ce que j’ai et trouvé et imaginé sur cette base.
Il semblerait que « Les carottes sont cuites » s’expliquerait de la façon suivante : « Au XVIIIe siècle, avoir ses carottes cuites signifiait « être mourant », a priori par métaphore avec les carottes que l’on faisait cuire pour accompagner des plats de viande, et suggérant ainsi ironiquement que le mourant serait bientôt prêt à être mangé avec ces carottes. Par extension, l’expression s’est ensuite déformée en « les carottes sont cuites », désignant toute sorte de situation sans espoir. »
Autre sens : « Célèbre message codé diffusé à Radio Londres, annonçant le débarquement de Normandie. »
Quant à « la fin des haricots », cette locution est donnée comme de même sens que la précédente et s’expliquerait de la façon suivante :
C’est une expression de la Marine qui se fonde sur l’ordre de consommation des produits embarqués, les plus frais d’abord et les légumes secs, qui dans une cale où le degré d’humidité ne leur porte pas préjudice la fin des haricots est signe d’une proche famine et indique qu’il ne reste plus rien à manger à l’exception, j’imagine, du mousse, pour lequel les carottes en effet sont cuites dès la fin des haricots.
@ breizmabro
« Nous avons également Noblejoué. Mais là je ne peux faire de commentaire je n’ai jamais rien compris à ce qu’il écrivait.
Du coup vous allez être notre quatrième »
Il y en a plus mais qu’importe ! Bon, c’est gentil de ne pas diaboliser ce que vous ne comprenez pas, en tout cas.
Adéo.
@ Robert
Merci pour vos liens.
Nous savons que la classe moyenne indispose nos politiques, car c’est là que se trouvent les frondeurs, ils aimeraient donc qu’elle disparaisse.
Mais sans classe moyenne, qui paiera et entretiendra la France ?
J’ai visité des pays sans classe moyenne tels que la Somalie ou le Bangladesh… et c’est sûr que tous ces pauvres gens occupés d’abord à assurer leur minimum quotidien, n’ont pas le temps de manifester leur colère contre ceux qui les gouvernent.
@ Catherine JACOB 01 octobre 2018 à 16:53
Finalement les deux expressions signifie(raient) la même chose.
Conclusion : à cette époque les mousses avaient vraiment une VDM 😀
Adéo Catherine.
@ Michelle D-LEROY | 01 octobre 2018 à 19:04
Merci à vous.
De fait, nous avons des perceptions et conceptions me semble-t-il très proches et c’est pourquoi je m’étais autorisé, en réaction (positive) à votre commentaire, à vous communiquer ces liens.
D’autant que cela rejoint la conclusion très pessimiste de notre hôte : « Un futur guère rassurant. »
Complément à : Catherine JACOB | 01 octobre 2018 à 14:22@ Mary Preud’homme |
Il est là en effet le « signe des cornes » mais ce n’est pas le président Macron qui le forme c’est l’un des jeunes avec lesquels il prend un selfie : https://pbs.twimg.com/card_img/1046792946706780163/xrQdG91-?format=jpg&name=600×314
Est-ce que ce jeune le forme en toute connaissance de cause de sa signification originale ou seulement parce qu’il s’identifie à un type de communauté qui signe les selfies avec cette posture ?
Maintenant dans le coin inférieur de gauche du cliché, il y a effectivement une main incomplète – dès lors c’est indécidable – dont le majeur peut en effet passer pour un doigt d’honneur. A l’adresse de qui ?
« …Il est là en effet le « signe des cornes » mais ce n’est pas le président Macron qui le forme c’est l’un des jeunes avec lesquels il prend un selfie… »
Rédigé par : Catherine JACOB | 02 octobre 2018 à 08:20
!!??
C’est exactement ce que j’avais écrit. J’avais clairement désigné le jeune à gauche du président comme faisant le signe des cornes, précisant que cette gestuelle pouvait avoir toutes sortes de signification, tandis que de l’autre lascar torse nu, en raison de sa couleur de peau, on ne distinguait pas bien la main.
@ Mary Preud’homme
Je n’ose croire à un plagiat, l’abomination de la désolation dans la création et même ici, un oubli, plutôt de vous lire et on a la même idée qu’un précurseur sans s’en rendre compte.
Non, un plagiat, je n’ose y croire ! Ça dépasserait tout… Ou alors une erreur de manipulation en voulant vous citer et compléter… Je préfère croire que vous êtes un précurseur oublié. Quoi qu’il en soit, pour vous consoler, sachant que vous êtes mélomane, je vous ai trouvé un compositeur oublié :
https://www.youtube.com/watch?v=v6mHJNKOSXs
@ Noblejoué | 02 octobre 2018 à 19:33
Rien compris à votre post.
A mon avis vous avez perdu le fil, à moins que fassiez erreur sur la personne…
@ Mary Preud’homme | 02 octobre 2018 à 20:01
Hello Mary, moi non plus, pas compris.
Quel foin franco-français, j’en suis las.
Adieu.
@ Mary Preud’homme | 02 octobre 2018 à 17:26
« J’avais clairement désigné le jeune à gauche du président comme faisant le signe des cornes, précisant que cette gestuelle pouvait avoir toutes sortes de signification, tandis que de l’autre lascar torse nu, en raison de sa couleur de peau, on ne distinguait pas bien la main. »
A ce stade, c’est un problème ophtalmologique… Remettons donc la charte de l’opticien sous les yeux des défavorisés visuels : là, vous voyez mieux ? On connaissait les Noirs qui n’étaient pas délinquants, mais seulement « opprimés par la société » (variante macronienne : « ils ont fait des bêtises »). Voici les Noirs qui ne font pas de doigts d’honneur, parce qu’ils ont la peau noire, et qu’on ne voit pas bien.
Bien sûr, si un Arabe vous fait un doigt d’honneur dans la rue, vos problèmes visuels vont disparaître, je suppose ? Et si Réaulf Flemming, le braqueur avoué qui fait le signe de ralliement des gangs noirs, à droite de Macron sur la photo, vous dit que son cousin Dimitri, à gauche de Macron sur la même photo, a fait un doigt d’honneur, mais qu’il n’était pas destiné au président, vous allez le croire ? Ou vous allez nous trouver encore un autre prétexte pour blanchir, une fois de plus, les représentants de la race supérieure à vos yeux ?
Admirons la rhétorique de Réaulf Flemming : « Ce n’était pas du tout contre le président. Sur le moment, il a juste fait ça pour le style. Il a fait ça envers les gars qui ne veulent pas qu’on avance dans la vie… Pour les gars qui n’aiment pas nous voir avec le président. »
Donc c’était un doigt d’honneur gentil, un doigt d’honneur qui compte pas. C’est juste parce que plein de gens veulent pas que les Noirs avancent dans la vie, et ça c’est la preuve que les gens sont racistes, n’est-ce pas ? Si je suis un braqueur, c’est parce que les racistes ils veulent pas qu’on avance dans la vie, tu comprends ?
Notez que ça ne gêne pas du tout Dimitri, selon l’interprétation livrée par son cousin, de faire un doigt d’honneur à 65 millions de Français : ce n’était pas destiné au président (qui est notre ami), c’est juste destiné aux 65 millions de racistes qui sont de l’autre côté de l’objectif.
Une fois de plus, on voit là à l’oeuvre le réflexe clanique primitif. Soit t’es mon pote, soit t’es mon ennemi. Le président de la France il est notre ami, il est venu nous voir avec ses porte-flingue, il nous a fait des grandes embrassades et il nous a rendus célèbres. Donc, tous ceux que ça défrise sont des ordures, et d’ailleurs, à titre préventif, on va leur en coller une : tiens, prends ça, sale raciste.
C’est ce que Réaulf Flemming appelle « le style ». Vous, je ne sais pas, mais pour moi, le style, c’est à peu près le contraire de faire des doigts d’honneur à tout le monde (et en particulier à ceux qui ont élu le président qui vient de vous manifester son estime).
Mais à part ça, certains vont encore nous dire qu’il n’y a pas de différences entre les races. Félicitations, en tous cas, pour avoir enrichi le bréviaire de l’excusisme socialiste d’une nouvelle munition, encore plus insensée que les autres. On connaissait le « ils sont français comme vous et moi », on connaissait le « qui n’a pas fait des bêtises dans sa jeunesse ? », voilà maintenant le « on peut pas savoir, on voit pas bien, il a la peau noire ».
Je conseille vivement à nos amis africains d’utiliser ce truc infaillible en cas d’accusation de viol.
« Bien sûr, si un Arabe vous fait un doigt d’honneur dans la rue, vos problèmes visuels vont disparaître, je suppose… »
Rédigé par : Robert Marchenoir | 02 octobre 2018 à 21:12
Si vous saviez mon pauv’monsieur Machenoi ! A 19 ans j’ai échappé de peu à un viol perpétré par un arabe, grâce à l’intervention musclée d’un GI’s noir…
Et puis subi l’agression de trois femmes arabes hystériques que soi-disant j’avais provoquées en klaxonnant et qui m’ont molestée et blessée… Cela s’est terminé au tribunal et pour leur défense elles m’ont accusée de racisme. Ce qui a bien fait rire le magistrat vu mon pedigree et mes antécédents !
J’ai aussi été agressée par un exhibitionniste bien blanc que j’avais menacé de dénoncer et qui voulait me zigouiller.
Je passe sur quelques peccadilles venant toujours des mêmes racailles et en vient à la plus récente pour dire que :
ce n’est pas un doigt d’honneur qu’un rebeu a pointé sur moi à la sortie d’Evry à 1h30 du matin mais un gun, parce que j’avais eu l’audace de le klaxonner alors qu’il m’avait refusé la priorité…
Je ne vous raconte pas la suite car vous ne le méritez pas !
De même que vos agressions répétées à mon égard ne méritent qu’indifférence ou mépris.
So long matamore !
@ Mary Preud’homme | 02 octobre 2018 à 22:06
« Vos agressions répétées à mon égard », dit-elle, dans le même commentaire où elle se vante (il n’y a pas d’autre mot) d’avoir échappé à un viol, d’avoir subi des blessures après une agression physique (qu’on considérera réelle et non supposée, comme le dit la loi « anti-raciste »), et enfin d’avoir été « agressée » par un exhibitionniste (là, c’est plus confus).
Vous vous prétendez de droite, mais vous avez parfaitement intégré la méthode gauchiste de grimpette au cocotier en hurlant au viol (façon de parler), dès lors que l’on se contente de mettre en évidence l’absurdité de vos assertions, mises au service de l’idéologie « anti-raciste ».
Il n’y a aucune agression de ma part. Il n’y a que du terrorisme intellectuel de votre part (et intellectuel est un bien grand mot, en l’occurrence). Une réfutation de vos propos n’est pas une agression. Je m’étonne, d’ailleurs, qu’une femme qui se vante de pratiquer un sport aussi viril que le parachutisme se réfugie dans une telle sensiblerie, hélas bien caractéristique de notre époque.
Vous n’avez pas l’air de comprendre que la charmante historiette autobiographique que vous venez de nous conter confirme mon propos : vous trouvez toutes les excuses du monde aux Noirs, même les plus invraisemblables (surtout s’ils sont antillais), mais vous êtes « raciste » comme tout le monde lorsqu’il s’agit des Arabes. Vu que votre « pedigree », comme vous dites, ne comporte aucune branche de ce côté-là.
Autrement dit, vos propos infirment votre idéologie — au moment même où vous essayez de la défendre. J’en tire la conclusion que c’est votre idéologie qui est à mettre à la poubelle.
Donc, nous sommes bien d’accord ? Dimitri (*) fait bien un doigt d’honneur, sur la photo ? Oui, parce que vos tentatives de diversion par déplacement de la cage de buts à roulettes, ça aussi, c’est typique de la mentalité de gauche.
______
(*) Drôle de nom, pour un Noir de Saint-Martin, au passage. Je crois savoir que Poutine en est contrarié. Que fait la patriarcat orthodoxe de la Sainte Russie ?
@ Mary Preud’homme
D’abord, compassion pour vous au titre de ce moment difficile où vous avez failli subir le pire, ensuite pour illustrer les problèmes du racisme… et de l’antiracisme :
https://www.liberation.fr/photographie/2014/08/20/paris-libere-uniquement-par-des-soldats-blancs_1083150
https://droit-finances.commentcamarche.com/forum/affich-6935578-accusation-de-racisme-au-travail-que-faire
@ Robert Marchenoir
Sur la Constitution, il est vrai qu’elle a moins d’importance que je ne le dis, en un sens. Comme nous ne sommes pas Anglo-Saxons, la loi ne compte pas beaucoup, chez nous.
Cependant, si la loi encourage si peu que ce soit une tare, par exemple la concentration des pouvoirs, or ici il n’y a même pas de pouvoir (pas autorité, pouvoir), on peut être sûr que cela poussera à l’abus. Je m’étonne donc que notre hôte s’étonne de la manière cavalière dont tel ou tel Président en prend à son aise avec la magistrature… Peut-être que pour être procureur, il ne faut jamais se blaser des transgressions pour mieux les dénoncer, et que c’est une disposition d’esprit qu’il a étendue à tout ce qui ne lui convient pas pour mieux le dénoncer, ici et ailleurs.
@ Mary Preud’homme | 02 octobre 2018 à 17:26
« C’est exactement ce que j’avais écrit. »
Oui mais en fait, je pensais que vous parliez d’un autre cliché, celui inséré par Pascale Bilger dans le corps du billet suivant. Donc, désolée. Mea Culpa.
@ Robert Marchenoir
« Dimitri, drôle de nom, pour un Noir de Saint-Martin, au passage. Je crois savoir que Poutine en est contrarié. Que fait la patriarcat orthodoxe de la Sainte Russie ? »
J’en conclus que vous n’êtes pas pour suivre les préconisations de l’illustre Zemmour, qui invite à utiliser des prénoms du calendrier ? Je n’ai pas vérifié si Dimitri s’y trouvait, mais enfin…
Je dois néanmoins avouer que la rhétorique de madame Preud’homme me laisse perplexe, où exactement veut-elle en venir, je l’ignore, mais il me semble que ce n’est pas très éloigné de ce que vous dites …
Tout cela prouve que prêcher pour sa paroisse n’est pas exactement ce que l’on peut souhaiter de mieux, car dans sa paroisse exsudent les relents de la pensée faisandée, de même que Zemmour s’arrête en si bon chemin quand nous attendons que dis-je, nous espérons qu’il ai!le au bout de son raisonnement, en nous épargnant son nom exotique dont on imagine qu’il veut dire quelque chose en berbère et rien en français…
Ainsi, il n’échappe pas que l’homme (ou la femme) de peu de foi, voit le monde et l’imagine à l’aune de son pauvre esprit. Est-ce que cela est rassurant, oui, « tutafé » ! C’est pourquoi il convient de remettre le métier sur l’ouvrage…
@ duvent | 03 octobre 2018 à 19:40
Vous ignorez – mais il vous semble – et vous prouvez…
Thèse, antithèse et synthèse en quelques lignes… Mazette ! Quel esprit ! Quel talent !
@ Mary Preudhomme
« Thèse, antithèse et synthèse en quelques lignes… Mazette ! Quel esprit ! Quel talent !
Vous me flattez, mais je n’aime pas la flatterie car je suis émotive, et quand je suis émue je pense de travers… Cela m’arrive aussi quand je ne suis pas flattée.
En réalité, je n’ai pas exposé de thèse, etc., je remarquais simplement que d’une façon assez étrange vous faites de grands écarts partant d’une posture pour arriver à une figure tout à fait bancale… Mais vous êtes, semble-t-il, une sportive tout-terrain.
J’ai remarqué que vous êtes là femme la plus virile de céans, mais je vous précise qu’il ne serait pas bon d’utiliser contre moi la méthode que vous employez avec nos petits camarades masculins, car n’étant pas Tirésias, je ne connais que les ficelles qui servent à barder le rôti !
Ouh là là, ça sent le crêpage de chignon en règle entre la parachutiste mélomane et la latiniste distinguée avec qui il faut avoir son Gaffiot à portée de la main pour lire ses posts.
Je sens qu’on va se régaler ! 🙂