Blog transféré prochainement

Ah ben zut alors, j’ai raté la gastro de Giuseppe et de Marchenoir…

Le 30 septembre 2025, Typepad sera arrêté et tous les contenus inaccessibles.

Patience !

@ Savonarole | 11 septembre 2025 à 20:56
Vous devriez donc me remercier pour les rouleaux en plus, question gastro, je vous l’avais dit c’est contagieux… chez vous elle vire déjà plutôt pâteuse… vous allez finir par crépir tous les murs… J’ai bien fait de prévoir large sur le nombre de rouleaux. Il existe des chaises percées, mais pas de selles percées, je vous aurais fait cadeau de la mienne.

J’en profite pour faire du bois, beaucoup de bois ! 🙂
Car on va vivre une époque épatante. À Bordeaux, Domofrance « logements sociaux » en est à afficher dans les quartiers ses projets en langue arabe. Exit la langue de Molière:
https://image.over-blog.com/TrRKPw8lTurWGoTPejwU-txhVXQ=/filters:no_upscale()/image%2F0672679%2F20250911%2Fob_a7963e_plui-arabe.jpeg
Et notre nouveau Premier ministre vient d’éditer son dernier livre :
https://www.fnac.com/a20669508/Sebastien-Lecornu-Vers-la-guerre

@ hameau dans les nuages | 11 septembre 2025 à 23:22
« J’en profite pour faire du bois, beaucoup de bois ! 🙂 »

@ Achille | 11 septembre 2025 à 23:36
Je vous demande de vous arrêter ! 🙂
https://www.youtube.com/watch?v=V_4CZu4ghMo&ab_channel=folasenshort

@ Aliocha | 12 septembre 2025 à 11:20
Aliocha je chante faux, mais, jeune, j’ai été biberonné à l’écoute de la musique dans une famille, toutes générations confondues, dont on dirait aujourd’hui qu’elle était modeste, laborieuse, et où, dans l’atelier de mon grand-père, la culture avait un sens – les aléas de la misère et du franquisme sans doute.
Un bel atelier où, pendant que les clients attendaient leurs pièces, ils adoraient passer un peu de temps. Je me souviens d’un commandant d’armée qui, par ses remarques, nous faisait sortir les mains de nos poches de gamins. Plus tard je ne les ai plus jamais remises ; à Verdun, aussi, cela faisait partie d’une certaine éducation pour un appelé.
Le dimanche était consacré en partie à l’écoute des Mario Del Monaco, Mario Lanza (surfait), et du plus grand de tous – avec Pavarotti plus tard -, Tony Poncet. Il n’a pas connu la stéréo pour ses enregistrements. Dans « Paillasse », jamais égalé, le seul à avoir chanté « Guillaume Tell » dans la partition originelle, Caruso l’abordait un ton en dessous.
Aujourd’hui je ne connais pas un ténor qui soit capable d’aborder à ce niveau ce final exceptionnel, digne des demi-dieux du chant. Un cadeau !
https://youtu.be/DgZW2VTInL0?feature=shared
Registre méconnu, avec lequel il a été encensé jusqu’au Metropolitan Opera de New York et puis… On y passerait la nuit.
https://youtu.be/hiZAPSYWwXw?si=AS7MF6UXVdmvoXKp

@ Achille | 11 septembre 2025 à 23:36
Salut Achille, on se connaît depuis bien longtemps, lorsque nous ferraillions contre Aphatie sur RTL…
Rien ne m’oppose à Robert Marchenoir, comme lui je suis un anticommuniste convaincu.
Ce qui me déplaît chez lui, c’est sa rhétorique typiquement communiste : il démolit, il détruit, il écrase le moindre moujik qui ose lui déplaire. En somme, Marchenoir use et abuse de ce que le stalinisme avait mis en place avec ses commissaires politiques. Marchenoir est un commissaire politique stalinien qui s’ignore…

@ Savonarole
« Marchenoir est un commissaire politique stalinien qui s’ignore… »
Raison de plus pour l’ignorer et ne pas lui donner la moindre visibilité. De la même façon que l’on agit avec un troll, une fois démasqué !

@ Savonarole | 12 septembre 2025 à 17:22
« Rien ne m’oppose à Robert Marchenoir, comme lui je suis un anticommuniste convaincu. Ce qui me déplaît chez lui, c’est sa rhétorique typiquement communiste : il démolit, il détruit, il écrase le moindre moujik qui ose lui déplaire. En somme, Marchenoir use et abuse de ce que le stalinisme avait mis en place avec ses commissaires politiques. Marchenoir est un commissaire politique stalinien qui s’ignore… »
Quel sombre amas de sottises ! Quelle manipulation du langage ! Quelle falsification de l’histoire ! Quelle projection sur autrui des vices dont vous-même faites preuve !
Vous faites mine d’ignorer ce qu’est le communisme. Les commissaires politiques communistes, comme vous dites, « n’écrasaient pas les moindres moujiks qui osaient leur déplaire » en réfutant leurs commentaires sur des blogs. Ils les empêchaient de s’exprimer, ils s’emparaient de leurs biens, ils les torturaient, ils les déportaient, ils les mettaient en prison, ils les livraient au travail forcé, ils les tuaient et ils massacraient leur famille.
Vous voyez la différence entre le militant de droite américain Charlie Kirk, qui passait son temps à discuter avec ses contradicteurs dans les universités, et Tyler Robinson, qui vient de l’assassiner d’une balle de fusil en plein débat ?
Vous êtes comme les gauchistes américains, qui non seulement mettent les deux sur le même plan, mais se félicitent de ce meurtre.
Tout est faux, malhonnête et malveillant dans ce que vous écrivez. Comme d’habitude.
Je « n’écrase » personne.
Sauf, bien sûr, si « écraser », pour vous, signifie réfuter des faits ou des arguments de façon irréfutable. Auquel cas ce serait une bonne chose. C’est un immense compliment que vous me feriez.
Seulement à notre époque pourrie où tout se vaut, où la vérité n’a plus aucune importance, des malfaiteurs intellectuels et moraux tels que vous prétendent que c’est un mal de rechercher la vérité et de l’atteindre dans un débat rationnel libre à armes égales.
Quand avez-vous jamais tenté de m’empêcher « d’écraser » quiconque, ici ? Jamais.
Qu’est-ce qui vous en empêche ? Rien. Les modalités techniques de publication, sur ce blog, jointes à la politique de liberté d’expression menée par ses dirigeants, font que personne n’est en mesure « d’écraser » quiconque, au sens de l’empêcher de s’exprimer.
De façon extraordinairement malhonnête, vous faites l’amalgame entre deux significations possibles de ce mot : remporter un débat intellectuel, et empêcher les autres de présenter leurs arguments. Soit exactement le contraire.
Mis en rage par votre impuissance intellectuelle, vous avez recours à la calomnie et à l’insulte, qui sont d’ailleurs votre unique mode d’intervention sur ce blog, comme je l’ai déjà relevé.
Continuons à démonter votre rhétorique fallacieuse.
Je « n’écrase » pas des « moujiks ». Je débats avec des personnes dont j’ignore tout, sauf les opinions qu’elles partagent et ce qu’elles décident de révéler elles-mêmes sur leur vie privée.
Un moujik est un paysan. Vous insinuez que je serais un « dominant » qui opprimerait des « moujiks », c’est à dire des pauvres. C’est vous qui employez un langage de lutte des classes, un langage de communiste.
Les communistes « n’écrasaient » pas intellectuellement les « moujiks », ils exterminaient physiquement les koulaks, c’est à dire exactement le contraire : des gens dont ils prétendaient qu’ils étaient des paysans trop riches à leur goût.
Non seulement vous mentez à mon encontre, mais vous mentez sur la réalité du communisme.
Au demeurant, un certain nombre de personnes dont j’ai été amené à réfuter les arguments, ici, sont très loin d’être des « moujiks », comme vous dites, et font plutôt partie, d’après les informations qu’elles ont elles-mêmes livrées, des classes aisées voire dominantes de la société.
Je « n’écrase » pas des « moujiks » qui « osent » des trucs.
Personne « n’ose » quoi que ce soit, ici. Tout le monde dit ce qu’il veut. La liberté d’expression est tellement large qu’il s’écrit régulièrement des choses tout à fait extravagantes. Vous insinuez qu’il faudrait être extraordinairement courageux pour exprimer, ici, son opinion.
C’est tout à fait faux. C’est une manipulation gauchiste classique. C’est la victimisation systématique. Ouin, ouin, on m’empêche de parler. Cette technique a été peaufinée par les communistes depuis un siècle. C’est vous, le commissaire politique communiste.
Je « n’écrase » pas des « moujiks » qui « osent me déplaire ».
Je vois mal ce que quiconque pourrait gagner à me « plaire », ici. Je ne distribue ni avantages financiers, ni postes prestigieux, ni ne suis en mesure de favoriser tel ou tel.
En utilisant le mot « déplaire », vous insinuez que mes interventions relèveraient du caprice, du sentiment ou du narcissisme. Mais c’est l’inverse.
Je réfute des faits erronés et des opinions fallacieuses en leur opposant d’autres faits et d’autres opinions basés sur des sources vérifiables. J’interviens la plupart du temps sur des questions d’intérêt général, de politique, de philosophie. Bref je débats sur la cité, comme on disait à Athènes il y a un certain temps.
C’est vous qui mettez le « plaisir » au centre de vos attaques personnelles. C’est vous qui tentez de légitimer cette détestable manie actuelle consistant à dire que chacun a « sa » vérité, que chacun y a droit, qu’aucune ne prévaut sur l’autre, que tout le monde a le droit de l’exprimer sans se voir en aucune manière contrarié et encore moins contredit, car sinon ce serait une intolérable atteinte à son « estime de soi », au « safe space » qui lui revient, à son narcissisme de gamin attardé.
C’est vous, le wokiste, donc le communiste à la sauce 2025.
C’est vous qui faites baisser le niveau, qui confondez exigence intellectuelle et persécution, débat et oppression, nombrilisme et liberté.
Au demeurant, vous mentez comme un arracheur de dents en prétendant que mon activité principale, ici, consisterait à critiquer d’autres commentateurs. Beaucoup de mes interventions sont consacrées, comme il se doit, à commenter les écrits et les interviews de Philippe Bilger, ou à intervenir en dehors de toute interaction avec des commentateurs.
Je remarque que votre provocation de bébé vagissant et immature, se manifestant par trois fois, se produit sur un fil où je n’ai absolument rien dit jusqu’à présent. Vous-même, ainsi que quelques médiocrités remarquables, profitez d’un incident technique du blog pour vous livrer à une attaque personnelle en meute envers un autre commentateur qui, comment disiez-vous, déjà ?… « ose vous déplaire ».
C’est le bal des impuissants. Incapables de s’opposer à moi et à Giuseppe par des arguments rationnels (ou, d’ailleurs, à Philippe Bilger que vous mettez en cause pour faire bonne mesure), vous vous comportez comme des gamins immigrés mal élevés qui saccagent tout ce qui ne procède pas de l’ignorance et de la violence.
Mais sinon, n’hésitez pas à apporter votre contradiction éclairée sur la dépense publique, le libéralisme, l’immigration, l’État de droit, la politique étrangère… tous les lecteurs de ce blog attendent impatiemment vos contributions.
Content, monsieur le « moujik » ? Avez-vous été suffisamment « écrasé » ? Revenez prendre votre fessée quand vous voulez, puisque vous avez l’air d’aimer ça.

Amusant : l’absence de Robert Marchenoir et la migration du blog déchaînent la parole contre lui. On dirait les ilotes se révoltant contre les Spartiates à la faveur d’un tremblement de terre !
Sauf que si ce contributeur est toujours au taquet, et peut faire craindre une descente en flammes, parfois je prends sur moi avec lui ou avec d’autres pour écrire… il n’a en fait aucun pouvoir sur nous !
S’il serait mieux qu’il fasse preuve parfois de plus de retenue, il ne serait pas mal que chacun essaie de répondre aux objections de l’autre sans attaquer la personne, voire défende quelqu’un de mortifié injustement ou par trop essoré. Hélas, le manque de courage ou la rancune ne peut qu’empêcher d’agir, ce chacun m’incluant bien évidemment, par Hadès !
En tant qu’assumant pleinement la vengeance comme l’outil indispensable de la restauration de soi, je ne laisse pas de sourire en voyant des gens défendant en principe le pardon se liguer contre quelqu’un.
Enfin je vois bien pourquoi : tout ce qu’on n’a pas pu ou voulu donner de force dans le débat, la force coalisée de plusieurs l’assemble pour condamner et si possible exclure une personne du groupe dont on n’a pu réfuter les dires.
J’avoue que j’ai fui moi-même bien des débats, parfois parce que je n’avais rien à dire, ou pas assez étayé, ou par manque d’inspiration… Mais aussi, parfois, par la perceptive d’avoir à ferrailler sans savoir si quelque tristesse due à la mauvaise foi de quelqu’un, une mortification ou mon incapacité n’allaient pas me dérober des forces pour continuer.
Or comment risquer de se dérober à défendre quelque noble cause jusqu’au bout, de même qu’on ne laisse pas un voyageur au milieu du gué ?
J’espérais que la migration de blog donnerait à chacun un tas de bonnes résolutions, mais pour l’instant, cela n’apparaît pas vraiment… Dans la suite du voyage, sans doute.

Ou, et ce qui revient au même, quand chacun ici est le bienvenu par nos hôtes et qu’ils en soient remerciés à la hauteur de leur exemple éminent, effort indispensable pour démêler et dans la joie les nœuds complexes du groupe humain :
https://www.youtube.com/watch?v=NB14yuKef1s&list=RDNB14yuKef1s&start_radio=1

Avec trois lignes, j’ai fait passer une nuit blanche à Robert Marchenoir, je compte renouveler cet exploit, à 1:45 cette nuit il s’est effondré sur sa tablette (voyez l’heure de sa tartine)…
J’ai décidé que toutes les semaines je vais lui refaire un Phébus et Borée du bon vieux La Fontaine, en trois lignes.
La torture par la privation de sommeil lui sera fatale.

@ Savonarole | 13 septembre 2025 à 12:35
Fable très peu connue. Je me souviens d’un exercice rhétorique, dans un atelier philo de ma jeunesse, qui consistait à retourner la morale de cette fable.
Les deux faces d’une pièce, en quelque sorte. À la roulette, une case blanche avait été inventée — j’ai lu Le Hasard vaincu, couverture orange, vous pouvez faire l’essai —, pour qu’à un moment donné ce soit la banque qui empoche.
Il suffisait de miser noir ou rouge en doublant sa mise, jusqu’au jour où la case verte a été introduite : Borée croit triompher en soufflant toute la nuit, mais Phébus, imperturbable, éclaire encore au matin. Le vent s’épuise, la lumière demeure.

@ Savonarole | 13 septembre 2025 à 12:35
1:45 (heure française) mais 00:45 à Londres, etc.
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@ stephane, 16 sept 10:28
Seule Pascale Bilger, correctrice modératrice de ce blog, serait habilitée pour désigner parmi les contributeurs qui écrit vraiment sans aucune faute ni erreur de grammaire ou d’orthographe.
Quant au point d’interrogation, dont Philippe Bilger fait parfois usage dans ses intitulés, il a plutôt pour rôle d’inviter au dialogue après non pas une affirmation, mais une appréciation, une suggestion ou un point de vue personnel. Par conséquent, loin de réduire le débat, il l’ouvre…
Par ailleurs, il est assez paradoxal de vous voir qualifier un commentateur de fayot alors même que vous venez d’en flatter ostensiblement un autre ici.
Il me semble enfin que dans le registre de l’humour, Savonarole (côté messieurs) et duvent (pour les dames) sont incontestablement doués, chacun à sa manière – subtile, cocasse ou décalée – et qu’ils réussissent à faire mouche à tous les coups.

@ stephane | 13 septembre 2025 à 10:28
« J’aime bien, moi, les interventions de Robert Marchenoir. C’est bien écrit, structuré, sans erreur de grammaire ou d’orthographe. »
Ce n’est pas faux. Marchenoir c’est l’homme qui sait tout sur tout et dont on ne sait rien.
Mais après tout on s’en fiche un peu.
Vous lancez un sujet sur n’importe quoi et il est capable de nous tartiner une réponse d’une centaine de lignes.
Il fait penser à un logiciel du type IA à qui on aurait introduit une caractéristique humaine : le mauvais caractère. 🙂

@ stephane, 13 sept 18:02
C’est uniquement vous, en l’occurrence, qui ne supportez pas que l’on pointe vos travers et qui cherchez à me les retourner ou à me les attribuer avec une mauvaise foi « pathétique ».
Quant à être remise à ma place par ce Robert Marchenoir, je ne me souviens pas de l’avoir été autrement qu’en m’insultant et en se livrant aux pires diffamations et attaques ad hominem. À noter qu’il persiste même à m’attaquer bassement et sans la moindre raison, alors que je l’ignore depuis plus d’un an et que je ne réponds plus à ses invectives et provocations injurieuses.
Ce qui n’est pas le cas de Xavier NEBOUT qui a toujours su rester à mon égard dans les limites de la correction et de la bienséance quand nous étions en désaccord.

« Enfin, Lecornu promet de « faire le ménage » dans les comités et offices de l’État et d’en finir avec les « privilèges à vie » des anciens ministres, un serpent de mer régulièrement dénoncé par l’opinion publique. » (JDD)
Qu’il ne compte pas nous amuser qu’avec cela, il doit y ajouter les anciens présidents de la République qu’il n’oublie pas. Bien sûr la sécurité sera adaptée mais pour tout le reste, bureaux, chauffeurs, secrétaires, etc. ils ont passé leur tour, ils ne sont plus rien ! C’est symbolique, financièrement il paraît que ça ne pèse rien… Quoique si la plus petite des pensions était versée sur mon compte, ce serait beaucoup.
Il veut faire le « ménage », très bon début, mais à la façon de préparer un bloc opératoire, pas seulement le chiffon antistatique.
Pour le moment, c’est beaucoup de langue de bois et enfoncer des portes ouvertes, un mauvais point, une de ses premières visites a été pour Sarkozy le repris de justice. S’il pense que la direction est bonne, il fait une faute magistrale, Pécresse s’est ramassée en beauté à la présidentielle.