Contre les gravures de démocratie…

Il y a des gravures de démocratie comme il y a des gravures de mode. Le culte des apparences, de leur apparence. L’enthousiasme pour la superficialité. Mais tout n’est pas si simple. Il y a des questionnements sur l’intime qui pourraient ne pas être scandaleux.

Par exemple Bernard de La Villardière a récemment suscité une polémique à Voltage parce qu’il a déclaré qu’il aurait bien aimé questionner le président sur sa sexualité. Alors que le freudisme est partout et qu’on explique tout par le sexe, cette interrogation serait interdite ? Alors que Brigitte Macron, certes en toute pudeur, n’hésite pas nous décrire leur couple comme « très fusionnel » et ouvre donc la porte à des intrusions plus discutables, il serait honteux de se pencher sur le rapport capital qu’on entretient avec sa sexualité, quelle qu’elle soit, et les conséquences qu’elle emporte dans la vie pratique, dans notre quotidienneté ?

Thierry Lévy, cet ami disparu et qui manque tant, soutenait qu’on a « la parole de son corps ». N’aurait-on pas de la même manière les discours et les actions de son rapport au sexe et de la conception du monde qu’il induit ?

D’autant plus que nous savons bien, pour le percevoir en nous-mêmes – et j’ai été témoin, par mon goût de l’analyse, de beaucoup de ces relations entre l’intime de soi et le transparent du verbe ou de l’action – que nous sommes gouvernés, quoi qu’on en ait, par des humeurs qui viennent de loin, des forces ou des faiblesses surgies de nos tréfonds. J’ose dire que nous ne sommes libres qu’en partie. Soumis et à la fois autonomes.

Pour dépasser le cas de Bernard de La Villardière, il est clair que dans l’espace politique et médiatique, il y a un risque constant d’être jugé sur des éléments aussi capitaux que mon cheveu sur la langue ou, pour Nathalie Loiseau, son inaptitude à une présentation gracieuse ou, pour l’humoriste Charline Vanhoenacker, le fait qu’elle n’est pas Ava Gardner !

On comprendra aisément pourquoi j’évoque Nathalie Loiseau qui n’a pas été ménagée sur le plan esthétique alors que son fond aurait dû nous importer et cette humoriste belge qui n’est pas à critiquer sur ce dont elle n’est pas responsable mais sur les ridicules et aigres sottises qu’elle a proférées sur Salut les Terriens et Sud Radio (Le Parisen).

Il est préoccupant que dans l’appréciation des citoyens, la part futile prenne de plus en plus de place : j’entends la part de nature, celle contre laquelle on ne peut rien, celle avec laquelle on s’arrange tant bien que mal, celle qui vient au premier plan alors qu’elle se trouve être un terreau à partir duquel s’invente l’essentiel.

Quoi qu’on pense de Nicolas Sarkozy et de François Hollande, j’ai détesté qu’on focalise sur les tics de l’un et l’air emprunté de l’autre. Je n’aime pas davantage que Donald Trump qui semble réussir sur le plan intérieur et n’est pas éloigné d’une réélection soit moqué sans cesse sur son physique et ses attitudes immédiates même s’il semble prendre plaisir en certaines circonstances à se caricaturer.

Il m’est arrivé de tomber dans ce travers, la grâce et l’élégance incontestées de Barack Obama, sans cesse mises en avant, n’ont pas offert la moindre garantie sur son excellence présidentielle.

Obama-s-est-entretenu-au-telephone-avec-Macron-pour-evoquer-la-presidentielle

De la même manière qu’avant, le mythe Kennedy si peu justifié s’est appuyé sur un responsable plus charismatique qu’exemplaire. Le vernis plus que la substance. Et que le formidable premier mandat de Richard Nixon a cloué le bec à ceux qui ne l’appréhendaient qu’au travers, selon eux, d’une « sale gueule ».

Pour la France, combien de fois, pour les personnalités auxquelles on prête un avenir certain dans la reconstruction de la droite et pour l’échéance présidentielle, ai-je entendu l’expression d’une désolation esthétique, comme s’il était grave, et offensant pour la République, qu’un Xavier Bertrand ou qu’un Bruno Retailleau ne soient pas Alain Delon ou même Jacques Chirac dont l’allure a parfois fait oublier l’immobilisme !

Je suis lassé, je l’avoue, par ce primat de l’esthétique qui par exemple n’a pas été pour rien dans le succès d’Emmanuel Macron dont l’épouse a subi scandaleusement le pire en sens inverse. Ce culte de l’apparence comme critère démocratique me paraît dangereux parce qu’il révèle des prédispositions à la contemplation de soi, à une forme d’autarcie satisfaite, à la bienveillance constante du regard qu’on porte sur soi. On se mire dans la glace républicaine comme on se fait beau dans son quotidien.

Je n’irais pas jusqu’à soutenir « Vive les laids, les neutres » mais je rêve pour notre démocratie de caractères qui ne soient pas tentés par eux-mêmes, qui puissent se défaire de soi et chez qui la médiocrité de l’apparence est un plus pour se fuir et n’avoir à s’occuper que des profondeurs et des réalités de la vraie vie, qu’elle soit intellectuelle, artistique, médiatique, politique ou autres.

Pourtant, dans l’activité de l’esprit, pour la parole, pour la tenue, pour la politesse, pour tout ce dont on a la responsabilité d’en être les créateurs, je suis conscient de l’importance de l’esthétique. Celle-ci est une exigence qui non seulement ne contredit pas l’essentiel mais l’orne et le sublime.

Mais que les citoyens soient de grâce préservés des gravures de démocratie ! Sinon ils y perdraient beaucoup.

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Voir les Commentaires (137)
  1. On pourrait croire qu’il ne faut juger nos mandants que sur leur action, que nenni ! D’autres critères importent.
    On a encore le droit d’avoir un physique ingrat, pas à la discrétion sur ses moeurs.
    Après la déclaration de revenu, la déclaration de moeurs ? Oui, on est poussé par son corps, mais on l’oublie, le cerveau, qui fait partie du tas de viande, est ce qui importe le plus, et ce n’est pas le fait que quelqu’un soit hétérosexuel, homosexuel ou bisexuel ou asexué qui importe, mais la politique qu’il propose et qu’il suit, ses objectifs et ses moyens.
    Dans la déclaration de moeurs, devra-t-on indiquer si on « trompe » le partenaire ? Je mets des guillemets, car aller voir ailleurs n’est véritablement tromper que si on s’est engagé à ne pas le faire car l’autre vit dans un univers mental monopolistique et qu’on veut lui faire plaisir ou qu’on y croit soi-même et qu’on applique, ça alors, sa morale.
    Si on va ailleurs, avec qui ? Mais se pose la question de la dénonciation des partenaires.
    Je me pose aussi des questions sur les positions, la mention d’une sexualité vanille ou BDSM et toutes les variantes que chacun peut avoir à l’esprit.
    Les politiques… Les autres personnages plus ou moins public d’un autre genre devront-ils embrayer ?
    Les asexuels devront-ils nous pondre de médiocres histoires, à savoir les plus crédibles et ennuyeuses, pour le public, alliant efficacité et gain de temps par rapport à quelque chose de plus intéressant ?
    Tout le monde devra-t-il finir par en passer par là ? Faudrait-il déclarer d’éventuels changements de moeurs ?
    Qui ne répond pas ou ment devra-t-il être châtié, et comment ?
    Les persécuteurs de pseudonymes réclameront-ils, outre le nom, la profession, le vote, les aventures érotiques des autres commentateurs ? Puisqu’on va parler de son c*l, pourra-t-on utiliser d’autres termes analogues ou les mots sont-ils pires que la chose ?
    A vrai dire, ni les mots ni la chose ne sont impurs, et je suis pour que chacun suive son inspiration, ni poussé ni retenu de parler de son voyage à Cythère.
    « C’est la liberté qu’il faut que l’on aime ! » par Rameau. Qu’Apollon nous inspire !

  2. Notre société est celle quasi exclusive de l’apparence, avec en corollaire la soumission à l’interdiction de la vie privée quand ce n’est pas de l’intimité qui s’expose publiquement.
    Cet étalage se heurte ensuite à la moraline ambiante qui dénonce les excès des réseaux sociaux où des personnes sans cervelle ont exposé leur intimité…
    Je me moque complètement de savoir quelle serait la vie intime du couple Macron : elle leur appartient exclusivement et nous n’avons pas à en connaître. Point.
    Tous ces gens oublient simplement les principes de la déclaration de droits de l’Homme et du Citoyen :
    « Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. »
    Art. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi. »
    « Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi. »
    Le texte fondamental ne vise que l’expression des pensées et opinions et non pas la vie privée et encore moins l’intimité qui appartient à chaque individu. De même que dans les couples, chaque membre doit impérativement conserver sa part d’intimité et n’a pas à opposer à l’autre une transparence totale et malsaine.
    Pour sourire un peu, puisque l’on évoque l’intimité, le comble est de constater que maintenant même le langage de description de la physiologie humaine, féminine notamment, est remis en cause. Prière de ne pas rire, « c’est du sérieux » !! :
    http://www.slate.fr/story/176646/origine-mots-sexe-feminin-domination-patriarcale

  3. Patrice Charoulet n’est pas au niveau en demandant la fin de l’anonymat.
    C’est la photo des intervenants qu’il faudrait afficher, voilà qui serait fun et qui donnerait du grain à moudre aux controverses !
    Il a donné l’exemple à l’insu de son plein gré d’ailleurs.

  4. Xavier NEBOUT

    M. Bilger, vous vous targuez d’être un modérateur, mais à force d’être modéré, on finit par ne rien dire, et ça finit par ressembler à de l’hypocrisie.
    Une femme qui pour son plaisir, profite de la faiblesse d’esprit de l’homme qu’elle prétend aimer en le privant de son équilibre psychologique naturel et d’une descendance, est au mieux une perverse narcissique.
    En ces termes ou d’autres, vous auriez pu le dire au lieu de vos circonvolutions artistiques comme pour noyer le poisson.
    Mais il est est ainsi à tous les sujets, et on pourrait se demander si votre blog n’est pas une série de questions réponses sont R. Marchenoir serait le pseudo, le tout finalement au service du politiquement correct.

  5. « Contre les gravures de la démocratie »
    Surprenant ce billet cher P. Bilger : nous sommes totalement immergés dans une société de l’image. Totalement.
    Du bas en haut de l’échelle, chacun cherche à donner la meilleure image de lui-même. Vous-même, n’avez-vous pas changé votre photo ?
    Jamais les habitants de la planète n’ont autant dépensé pour leur « look » ! Voir les résultats financiers des quelques grands du secteur (L’Oréal par exemple).
    Quant aux questions pernicieuses ou osées, elles en disent plus sur celui qui les pose que la réponse souvent sulpicienne de l’interrogé !
    Heureusement, si je puis dire, les plus belles images, les plus belles constructions, les situations idylliques peuvent virer au cauchemar : mais là on parle d’esthétique « intérieure », un autre monde : souvenez-vous du film « Le bûcher des vanités » de Brian de Palma. Un autre monde et un retour à la réalité.
    Cordialement.

  6. Marc GHINSBERG

    « …il serait honteux de se pencher sur le rapport capital qu’on entretient avec sa sexualité, quelle qu’elle soit, et les conséquences qu’elle emporte dans la vie pratique, dans notre quotidienneté ? » PB
    Holà, Philippe, où mettez-vous les pieds, si je puis dire ? Va-t-il bientôt falloir, au nom de Freud, pour intervenir sur votre blog, montrer patte blanche ? Devra-t-on confesser ce que Brassens refusait d’avouer ?
    « Manquant à la pudeur la plus élémentaire,
    Dois-je, pour les besoins de la cause publicitaire,
    Divulguer avec qui, et dans quelle position
    Je plonge dans le stupre et la fornication? »
    Même les adversaires les plus résolus de l’anonymat n’en n’exigent pas tant.
    Et puis songez à vos interviews. Vous voyez-vous demander à Valérie Pécresse d’où lui vient sa dilection pour la position du démissionnaire ou encore soumettre à la question Rachida Dati sur les relations entre inflation et fellation ?
    Quant à votre cheveu sur la langue qui vient comme un cheveu sur la soupe, de grâce, ne confondez pas le capillaire et le capital.
    Contrairement à ceux qui prétendent qu’il n’y pas que le sexe dans la vie, mais qu’il y aussi le c.l, je ne pense pas qu’il soit nécessaire de fouiller l’inconscient de nos politiques pour porter une appréciation sur eux. Il faut les juger sur pièces, en l’occurrence à leurs actes.
    Et que ceux qui se désolent de ne pas avoir la beauté d’Alain Delon ou d’Ava Gardner se consolent en pensant à ce que disait Oscar Wilde : « La laideur a ceci de supérieur à la beauté, c’est qu’elle dure. »

  7. Mary Preud'homme

    Le culte des apparences (même pas de la personnalité assez fadasse et passe-partout de Macron) est pour beaucoup, hélas, dans son élection à la présidence de la République. Ce dont il a pris conscience en se montrant et s’exposant partout sans vergogne !
    Quant aux défauts de prononciation, voix aiguës, chuintements, bégaiements, bafouillements, accents, certains ont su en faire un atout, notamment dans le domaine artistique comme Isabelle Mergault, Francis Perrin, Chantal Ladesou, Jane Birkin, Marilyn Monroe, Gérard Depardieu etc.
    Mais pas que… Par exemple des pointures politiques telles que Winston Churchill, George V, Theodore Roosevelt, Charles de Gaulle…

  8. C’est curieux que monsieur Bilger qui fréquente les beaux salons parisiens n’aient jamais entendu le bruissement subtil des dîners en ville sur la sexualité de Manu…
    En résumé je dirais : le silence sur la sexualité de Manu est un peu pour la presse le même que celui qui fut un temps pas si lointain celui sur « la fille cachée » (avec nos sous) de Mitterrand : l’omerta.
    Pas même Mediapart, l’investigateur en chef de la vie des hommes politiques, ne s’y risquera.
    C’est curieux du reste que certains soit choqués de savoir si Manu est homo ou pas puisque tout le monde, ou presque, s’en fiche un peu puisque son job est surtout de s’occuper de la France et des Français.
    Je suppose que chez Rothschild personne ne lui a demandé ses préférences sexuelles (interdit) avant de lui demander de vendre à la découpe Alstom pour percevoir les honoraires de transaction.
    En même temps, comme il dit, on comprendrait mieux ses velléités à vouloir faire adopter, dans un premier temps, la PMA et plus tard, avec l’aide de quelques associations vouées à la cause, la GPA. Ce serait cohérent.
    Alors tout va bien.

  9. L’avantage de la laideur est que, ce premier écueil passé, elle ne peut plus décevoir. Tandis que la beauté…

  10. « Bernard de La Villardière(…)aurait bien aimé questionner le président sur sa sexualité. »
    C’est un disciple de Roger Martin du Gard, qui pensait qu’on ne connaît pas quelqu’un tant qu’on ne connaît pas sa vie sexuelle (Le Lieutenant-colonel de Maumort).

  11. Patrice Charoulet

    VISAGE
    Voici ce que j’ai noté, pendant cinquante ans, en lisant des livres :
    De certains agréments du visage, et de la taille, ne tirent point à conséquence pour ceux de l’esprit. (Méré, 1669)
    *
    Si le nez de Cléopâtre eût été plus court, toute la face de la terre aurait changé. (Pascal)
    *
    Un beau visage est le plus beau des spectacles. (La Bruyère)
    *
    La mine désigne les biens de fortune : le plus ou le moins de mille livres de rente se trouve écrit sur les visages. (La Bruyère)
    *
    (Les femmes) Si c’est pour eux qu’elles se fardent ou qu’elles s’enluminent, j ai recueilli les voix, et je leur prononce de la part de tous les hommes que le blanc et le rouge les rendent affreuses et dégoûtantes. (La Bruyère)
    *
    Je jurai de ne me plus fier aux physionomies. (Mme de Sévigné)
    *
    J ai un visage à cracher contre. (Mme de Caylus)
    *
    Je n’ai pas choisi ma physionomie. (Marivaux)
    *
    Sa tête ressemble à celle dont la langue est si bonne à cuire. (Voltaire)
    *
    (S’adressant à son bourreau) Tu montreras ma tête au peuple, elle en vaut la peine. (Danton, 1794)
    *
    Sa figure me disconvient. (Benjamin Constant, 1804)
    *
    De 1833 à 1834, nous crûmes que le romantisme consistait à ne pas se raser. (Musset, 1836)
    *
    Laissez croître vos barbes, vous tous qui êtes laids, et qui voudriez être beaux ! (Hugo)
    *
    Que de choses en effet au grand désavantage de la face humaine disparaissent sous la barbe ; les joues appauvries, le menton fuyant, les lèvres fanées, les narines mal ouvertes, la distance du nez à la bouche, la bouche qui n’a plus de dents, le sourire qui n a plus d’esprit. (Hugo, 1845)
    *
    Visage – Méfiez-vous des enseignes. (Pierre Véron, 1874)
    *
    Quand on se regarde cinq minutes dans une glace, on ne se trouve pas ressemblant. (Jules Renard)
    *
    Il faut dresser le visage à ne rien signifier sans l’avoir voulu. (Alain)
    *
    Notre figure n est qu’une erreur. (Céline, 1932)
    *
    Le vrai blason de chacun, c’est son visage. (Jouhandeau)
    *
    Si vous êtes innocent du visage que vous avez, vous êtes responsable de la gueule que vous faites. (Jean Cardonnel)
    *
    Pour le roman, le visage est un aveu. (Finkielkraut)
    *
    Frappé de calvitie, il s est fait poser des implants. Ratage intégral : on aurait dit un champ de poireaux. (Yann Moix, 2002)
    *
    J’ai les yeux de Michèle Morgan et le nez de Raymond Aron. (Ormesson)
    P.-S. Je n’ai pas lu dans un livre mais je me souviens que Chirac avait dit un jour : « Pour faire de la politique, il faut une bonne gueule ». La chose a dû jouer quand les électeurs du premier tour, en 95, ont dû choisir entre Balladur et lui. J’aurais préféré qu’ils comparent les cerveaux : ce ne fut pas le cas.
    Et Chirac doubla Balladur. Ce dernier a d’ailleurs toujours fait beaucoup rire pour sa tête. Il fait toujours rire. J’ai toujours pour lui l’estime que j’avais alors, très fidèlement.

  12. « C’est curieux que monsieur Bilger qui fréquente les beaux salons parisiens n’aient (sic!) jamais entendu le bruissement subtil des dîners en ville sur la sexualité de Manu… »
    De la relève des casiers à celle des poubelles il n’y a parfois qu’un simple changement d’odeur…

  13. Je vous trouve bien sévère à l’égard de Barack Obama dont « la grâce et l’élégance incontestées sans cesse mises en avant, n’ont pas offert la moindre garantie sur son excellence présidentielle ».
    Le bilan de l’intelligent Obama n’est pas mauvais: il a contribué à la paix. Les succès de sa politique économique ont été appropriés puis développés par son successeur.
    Parlons de Trump: un éléphant dans un magasin de porcelaine. Un ex-présentateur TV gominé et narcissique devenu président. Gaffeur, twitteur impénitent, qui change d’idée comme de chemise, qui pousserait à la guerre s’il n’était pas freiné. Le pays peut encore se payer le luxe des facéties de Trump en raison de la prédominance éphémère économique et stratégique du pays. D’autres puissances sont dans les starting blocks. L’inconséquence non pas due à un mérite particulier mais à la suprématie imméritée du dollar. Au surplus, il se fout du climat. Dommage. Une si grande nation mériterait mieux que cette gravure faussement blonde.

  14. @ scoubab00
    Un laid peut aussi devenir beau en vieillissant ! Par exemple Fernandel qui n’était vraiment pas une beauté, s’est bien amélioré au cours du temps…

  15. @ Patrice Charoulet | 24 juin 2019 à 17:08
    « J’avais une sale gueule, voilà tout » disait Céline pour expliquer tous ses malheurs à la Libération…

  16. « Par exemple Bernard de La Villardière a récemment suscité une polémique à Voltage parce qu’il a déclaré qu’il aurait bien aimé questionner le président sur sa sexualité. »
    Quel est l’intérêt pour le public de savoir ce qui se passe sous la couette d’un président de la République ? Je n’en vois aucun si ce n’est satisfaire la curiosité malsaine des commères de bas d’immeuble et des piliers de bar.
    Mais désormais les journalistes d’investigation osent tout. Comme dirait Audiard, c’est à cela qu’on les reconnaît.
    Qui aurait osé poser une question sur leur sexualité aux présidents précédents ? De Giscard à Hollande, certains faits semblent attester qu’ils étaient tous de chauds lapins et donc la question ne se posait même pas.
    Mais là on sent bien où certains journalistes veulent en venir avec leurs gros sabots. La question est : « Notre président est-il homo ? »
    Il en est même qui n’hésitent pas à le dire à mots couverts.
    Certes EM est marié, mais avec une femme plus âgée que lui. Or, jusqu’alors, nous étions habitués au contraire. A savoir que des hommes politiques d’âge mûr épousent des femmes bien plus jeunes qu’eux
    Forcément c’est louche. Eh oui, on en est là !

  17. A propos de Trump :
    Trump n’est pas un homme d’Etat et ne le sera jamais mais les Etats-Unis ont survécu, comme l’Europe, à de nombreux Présidents qui n’avaient pas plus que lui la stature d’un homme d’Etat.
    Par contre, sa mandature est un reality-show permanent et dans ce rôle il excelle brillamment : tweets dévastateurs, provocs, buzz, faire tourner en bourrique tous les journalopes de la planète, que du bonheur !
    Son prédécesseur, Obama, que tout le monde encense aujourd’hui, aura pourtant été lui aussi un piètre Président ce qui ne l’a pas empêché d’accomplir deux mandats, tout en ruinant son pays, et d’obtenir le prix Nobel de la paix avec du sang sur les mains : les milliers de victimes au Moyen-Orient reposent en paix en effet.
    Même si l’organisation des élections présidentielles américaines est différente de la plupart des autres élections en démocraties, ce sont les électeurs qui choisissent leur Président et pour le coup nous sommes bien mal placés pour leur donner la moindre leçon.
    Trump mérite une seconde mandature, c’est clair !

  18. revnonausujai

    @ jack | 24 juin 2019 à 18:16
    Totale méconnaissance de la poltique étrangère des USA.
    http://www.slate.fr/story/118105/obama-guerres
    et c’est un bilan fait par un magazine libéral, au sens américain du terme, soutien des démocrates jusqu’à l’os !
    Quant à Trump, présentateur TV ? c’est essentiellement un homme d’affaires qui réagit en tant que tel et non en politicien classique ; qu’il se soit diverti en sponsorisant un programme n’en fait pas un animateur TV. Le serait-il que cela ne le disqualifierait pas plus que d’avoir fait l’ENA. Après tout, Reagan, acteur de second rang, a été un des meilleurs présidents des USA !
    Fauteur de guerre ? Actuellement, c’est plutôt lui qui freine Bolton, CIA et Pentagone pour une raison bien simple: il est candidat à sa réelection, a promis de ramener un max de boys à la maison.
    La presse française, à son habitude, fait de l’anti-Trump systématique, qu’il ait tort ou raison, mais si la presse française était objective et intelligente, ça se saurait !

  19. @ jack 24 juin 2019
    Obama/Trump
    Vos quelques lignes sur ces deux hommes montrent une méconnaissance totale de la chose politique américaine. Ce n’est pas grave finalement : vous êtes dans la doxa de 99 % des journalistes français que vous écoutez sans doute.
    Heureusement la réalité est moins simpliste que vos propos.
    Cordialement.

  20. Cher Philippe,
    Et il nous faudrait suivre les pas des fêtes galantes de l’Elysée ?
    Quel projet ! Quel intérêt ?
    Mais il serait sans doute d’utilité publique de reprendre le parcours d’Antoine Watteau pour rendre moins marchand le terrain de la rencontre et du sexe.
    Ce qui peut être séduisant pour un individu peut être repoussant pour un autre.
    Par exemple, manger bouche ouverte peut écœurer ou être excitant.
    Les rondeurs peuvent stimuler l’érotisme ou dégoûter.
    Tout est parcours d’ego et surtout d’égoïsme dans se faire aimer, aimer, se faire admirer.
    En bref, c’est se gonfler le narcissisme, se mentir, se priver de liberté, se compliquer la vie.
    Les plus belles histoires d’amour sont celles qui ne sont pas vécues.
    La séduction est un jeu et un mensonge.
    Dire à une femme qu’elle est belle trois fois suffit à ce qu’elle le croie, dire à un homme qu’il est irrésistible de même. Une déformation de Marivaux au nom de la parité.
    C’est un sentiment de passage bien entre parenthèses qui n’a pas la force de l’amitié.
    françoise et karell Semtob

  21. « Mais que les citoyens soient de grâce préservés des gravures de démocratie ! Sinon ils y perdraient beaucoup. » (PB)
    Mais ne sont ce pas les citoyens eux-mêmes (bien relayés par d’autres évidemment) qui se complaisent dans les gravures de démocratie ?

  22. Je ne sais où on pourra se construire un jardin secret, si on continue comme ça… Dans les rêves ?
    Mais Freud oblige, il faudra bientôt les déclarer.
    Avec tout ça, les lois s’en mêleront peut-être, et après les procureurs retraités réclamant de mettre les gens dans des cases de lit, on aura ceux en exercice plaidant contre les silencieux ou les menteurs.
    Des magistrats professionnels ou des jurés châtieront-ils les récalcitrants ?
    Je vois ça d’ici, on parlera d’un devoir de publicité de son activité sexuelle. Que les autres sachent à quoi s’en tenir ! Sinon on sera un escroc.
    Ou faute de service militaire, on considérera que laisser son intimité arrachée par qui en veut sera un service d’information, une contribution à la connaissance de la société sur elle-même, un peu comme, mettons, le recensement, déjà passablement intrusif à mon goût.
    Je me rappelle avoir lu des choses de ce genre en science-fiction, mais je ne rappelle plus quoi au juste.
    Que la réalité manque de talent ! Bien des choses qui sont devenues une banalité pour soi à force d’être lues ou pensées finiront bien par arriver malgré la mise en garde de ceux qui plus que d’autres voient des avenirs possibles.
    Et si cela advenait alors, que faire ? S’en laver les mains, les gens auront ce qu’ils auront voulu.

  23. @ jack
    En parlant de Trump : « Au surplus, il se fout du climat »
    Non, vous vous trumpez, Trump ne se fout pas du tout du climat, il se fout du CO2 (gaz de vie produit par l’homme) qui soi-disant est à l’origine du réchauffement climatique.
    Et ce n’est pas du tout la même chose !

  24. « Il y a des gravures de démocratie comme il y a des gravures de mode »
    Certes, mais ce n’est pas vraiment une nouveauté…
    « Peut-être devrais-je m’abstenir de parler de la beauté d’Alcibiade, ou me contenter de dire qu’en ayant conservé tout l’éclat dans son enfance, dans sa jeunesse et dans l’âge viril, il fut aimable à toutes les périodes de sa vie. Cet avantage peu commun, Alcibiade le dut aux belles proportions de son corps et à son heureuse constitution. Quant à ses mœurs, elles furent souvent inégales ; suite naturelle des grandes circonstances où il se trouva, et des vicissitudes de sa fortune. De cette foule de passions vives et ardentes auxquelles il était sujet, celle qui domina le plus en lui fut une ambition démesurée, un amour de la supériorité qui s’annonça dès l’enfance »…
    Et en monarchie non plus, et pas seulement sous la plume de Brantôme : « Quand à moy, je peux dire que j’ai veu ces gens de guerre, quand ilz voyoient un courtisan, ilz le blasmoient à toute outrance. Ah! disoient-ilz, ce sont des mignons de court, des mignons de couchette, des pimpans, des douilletz, des frizez, des fardez, des beaux visages. Que sçauroient-ilz faire ? Ce n’est pas leur mestier que d’aller à la guerre : ilz sont trop délicatz, ilz craignent trop les coups. »
    Alors, bon, Emmanuel et Brigitte, comment vous dire…

  25. Allez, allez, on ne va pas se mentir, user de son apparence pour faire remonter un dossier dans les priorités d’un secrétariat… « Et en plus, il (elle bien évidemment) a de l’humour, et gentil… »
    Eh oui, les hypocrites et la beauté intérieure :
    “Dieu a dit : il y aura des hommes blancs, il y aura des hommes noirs, il y aura des hommes grands, il y aura des hommes petits, il y aura des hommes beaux et il y aura des hommes moches, et tous seront égaux ; mais ça sera pas facile… Et puis il a ajouté : il y en aura même qui seront noirs, petits et moches et pour eux, ce sera très dur !”
    Coluche

  26. « Par exemple Bernard de La Villardière a récemment suscité une polémique à Voltage parce qu’il a déclaré qu’il aurait bien aimé questionner le président sur sa sexualité. » PB
    En voilà un éboueur, que je giflerais avec un grand plaisir !!
    Il serait bon de rappeler que l’apparence ne suffit pas à se faire une idée même vague de ce que l’autre a d’intéressant… Ce monsieur Freud, charlatan de premier ordre, a su si bien tripatouiller les âmes troubles, qu’il n’est pas sans intérêt de se pencher sur les méphitiques désirs de notre temps…
    Les divagations sont quelquefois fructueuses, mais ici, dites-moi, je vous en prie M. Bilger, par quel chemin dissimulé êtes-vous arrivé à nous égarer ?
    Je cherche en vain où se cache ce qui m’échappe, et si personne ne me l’indique, je sais que je ne le trouverai pas, cependant, et puisque nous devons nous pencher sur la chose, je vous adresse l’indice dont je souhaite vivement qu’il soit utile à résoudre des problèmes qui ne peuvent plus rester en souffrance
    https://www.biographie-peintre-analyse.com/2016/06/21/gustave-courbet-le-d%C3%A9sesp%C3%A9r%C3%A9-1843-45-analyse-d-oeuvre/
    Je vous laisse le loisir d’aller vous-même contempler en quoi le monde fut, demeure, et restera pour l’éternité invisible et en quoi Gustave Courbet est éblouissant pour l’éternité.

  27. Demandez-vous pourquoi les élites du nouveau monde de la finance sont allés chercher le jeune Macron, le narcissique, le psychopathe ? Les mêmes qui l’ont soutenu et aidé financièrement à organiser son mouvement « En Marche ».
    Regardez plutôt ces liens et faites-vous votre propre opinion.
    Macron a pété les plombs
    https://www.bing.com/videos/search?q=psy+italien+et+macron&&view=detail&mid=4EADA35C924A93635F8B4EADA35C924A93635F8B&&FORM=VRDGAR
    Macron : l’histoire d’une haute trahison et pressions du monde de la finance contre l’électorat de la nation
    https://www.bing.com/videos/search?q=psy+italien+et+macron&&view=detail&mid=8390C852C8B28426F0718390C852C8B28426F071&&FORM=VRDGAR
    Macron : si Versailles m’était conté
    https://www.bing.com/videos/search?q=psy+italien+et+macron&&view=detail&mid=C38123B901EF654DC8F8C38123B901EF654DC8F8&&FORM=VDRVRV

  28. Robert Marchenoir

    Votre goût de la nuance et de l’auto-réfutation vous incline à commencer par une proposition que vous démentez implicitement par la suite.
    Il y a évidemment une différence entre « questionner le président sur sa sexualité » (ou Marcel au Bar des amis, d’ailleurs), forger des insinuations diffamatoires pour s’en servir dans une campagne de déstabilisation, et évoquer la question de façon mesurée, dans un cadre intellectuel, en l’absence du sujet d’étude.
    Quelle est la « sexualité » du président de la Confédération helvétique ? Personne n’en sait rien, et ça prouve que ce pays est en bonne santé.
    Aucun journaliste n’a interrogé Valéry Giscard d’Estaing, François Mitterrand ou Jacques Chirac sur leur « sexualité », et Dieu sait s’il y avait des racontars croquignolets à étaler sur la place publique à leur sujet.
    De façon générale, le freudisme est la vérole de notre temps. Okay, okay : l’une des véroles. Mettons qu’il a fait beaucoup de mal, et continue d’en faire.
    Il a fortement contribué à la destruction du langage, à la déresponsabilisation des individus et à la démonétisation de la raison. Sans parler de la promotion de la perversion.
    Ce qui est absolument frappant avec les écrits freudiens, c’est le mélange décomplexé auquel ils se livrent entre la réalité et l’invention pure et simple. « L’homme Moïse et la religion monothéiste » est saisissant à cet égard. Dans cet opuscule, qui traite de l’histoire de la religion, Freud passe son temps à imaginer carrément des trucs. Une bonne partie du livre est écrite sur le mode « on dirait que », à la manière des petits enfants qui s’inventent des histoires. Si quelques intuitions valables peuvent sortir d’une telle méthode, on conviendra sans peine qu’elle est un passeport pour un charlatanisme à peine déguisé.
    La psychanalyse aura été, l’espace d’un siècle, un loisir coûteux pour dames désœuvrées, une carte blanche donnée aux intellectuels pour pervertir la pensée — et bien sûr une juteuse arnaque pour ses praticiens de métier.
    Il y a tout lieu de penser que d’ici un siècle ou deux, cette discipline aura complètement disparu. Nos descendants la considéreront avec le même apitoiement amusé que nous pouvons porter aux baquets de Mesmer.
    ______
    @ breizmabro | 24 juin 2019 à 15:56
    « C’est curieux que monsieur Bilger qui fréquente les beaux salons parisiens n’aient jamais entendu le bruissement subtil des dîners en ville sur la sexualité de Manu… En résumé je dirais : le silence sur la sexualité de Manu est un peu pour la presse le même que celui qui fut un temps pas si lointain celui sur ‘la fille cachée’ (avec nos sous) de Mitterrand : l’omerta. »
    Vous êtes mal informée. Il n’y a aucun silence médiatique. Le Monde, Libération, Gala, L’Express et bien d’autres ont parfaitement expliqué l’affaire. Le banquier Philippe Villin, ancien directeur général du Figaro, homosexuel déclaré et militant, s’est vanté d’avoir délibérément répandu la calomnie, sous la forme de ce que lui-même appelait le « Macron fake ». Par hostilité politique.
    Les réseaux de désinformation poutinistes ont amplifié la rumeur, avec une « interview » de Nicolas Dhuicq, alors député Les Républicains, dans Sputnik.
    Emmanuel Macron lui-même est persuadé que Nicolas Sarkozy a orchestré la campagne en sous-main, via celui qui fut le rédacteur de son programme fiscal.
    Extrait de l’article du Monde du 14 novembre 2016 (réservé aux abonnés) :
    « Dans cette entreprise de déstabilisation d’un rival, le camp de Manuel Valls s’est trouvé un allié involontaire : Philippe Villin. Ancien directeur général du Figaro du temps du groupe Hersant, devenu banquier d’affaires, le rédacteur du programme fiscal de Nicolas Sarkozy est depuis toujours l’un des adversaires les plus acharnés d’Emmanuel Macron. Chaque patron qu’il croise est mis en garde contre le jeune candidat potentiel et la tentation de l’aider financièrement […]. »
    « Le banquier en rit sans complexes devant les journalistes : à chaque jour son ‘ACM’, son ‘action contre Macron’ – ‘mon hygiène de vie’. Homosexuel affiché, militant du mariage pour tous, Philippe Villin est de ceux qui ont répandu auprès des nombreux élus qui le consultent ce qu’il appelle sans gêne le ‘Macron fake’ : la vie maritale de l’ex-ministre serait une façade, il dissimulerait ses inclinations profondes. »
    « Un poison que Nicolas Sarkozy, qui parle de la ‘petite loi Macron’ au sujet du texte pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques de 2015, ne s’est pas privé d’instiller à son tour. Dans Le Point du 12 mai, il raille sans honte, à propos de ce ministre qualifié de ‘cynique’, cette petite phrase perverse : ‘Un peu homme, un peu femme, c’est la mode du moment. Androgyne.’ Cette fois, la sale guerre ne recule devant rien. »

    Quant à « interroger Macron sur sa sexualité », eh bien ! Mediapart l’a fait, et celui-ci a répondu. Le Monde, toujours :
    « Même Mediapart, le site d’Edwy Plenel, a interrogé pour la première fois Emmanuel Macron sur ce sujet, le 2 novembre [2016]. ‘Je n’ai pas de double vie, a clairement répondu ce dernier à ses interrogateurs. A gauche et à droite, il y a plusieurs personnes derrière toutes ces rumeurs qui sont dans des dîners en ville. Ça les amuse, parce que ça blesse […]. Il y a des gens qui n’ont aucune morale, qui pensent que tout est permis en politique, à commencer par le mensonge.’ « 
    Au passage, on notera que « le banquier Macron » s’est vu poser une prodigieuse peau de banane par l’un de ces « banquiers » auxquels il est censé servir de « marionnette »… Non que ce genre d’information puisse changer les préjugés de la populace jauniste, qui s’obstinera malgré tout à réclamer le « respé », à l’instar de n’importe quel petit délinquant issu de l’immigration musulmane.
    Quant aux « dîners en ville »… voilà ce qu’en dit le journaliste de Libération :
    « A écouter les bruits en ville, comme on dit, la moitié des hommes qui nous gouvernent, voire qui sont candidats à la présidentielle, sont homosexuels, surtout s’ils sont mariés avec une femme depuis longtemps. »
    La plupart des automobilistes connaissent l’usage du clignotant, voire celui (correct) du gilet jaune. Il serait grand temps que tous ceux qui brament « les médias, les médias » commencent par apprendre l’usage du moteur de recherches, avant de répandre des allégations mensongères sur Internet.

  29. La sexualité de Caius Julius Caesar, on sait. Mais de Gaulle, non. La trombine de Vincent Auriol n’avait rien pour affoler les électeurs, aussi était-il élu par ses pairs, moins de risques.
    Notre histoire, que l’on apprend à l’école à travers une lunette grossissante à focale variable, adore relever les moeurs dissolues pour se fixer ensuite sur l’incorruptible, représenté beau, alors qu’il était vérolé comme Danton. Pas beau, mais dit beau pour la postérité, on lui préfère Saint-Just l’ange de la mort.
    Napoléon avait un sexe d’enfant, Herriot un soc. Comme ça, de petits faits se polissent pour le futur sans qu’on puisse deviner le but. En général, la gloire doit être parfaite. Pétain, le bon grand-père au regard lointain que l’on m’enseignait dans mon enfance, était un fameux chipoteur qu’on trouvait plus facilement dans un bobinard que dans une sacristie.
    Dites-moi qui a fréquenté Mme de Saint-Sulpice d’Alphonse Boudard, et vous saurez qui gouverne.
    Macron ? et Diane de Poitiers ? Chirac ? et Henri IV ?
    Allons, tout cela n’est pas sérieux, outre improductif.
    On ne déterminera jamais de critère de l’homme d’Etat souhaitable. Mais je pense à un état premier nécessaire: être polygame et pour cela je vomis les Chinois qui ont imposé au Tibet l’abandon de… la polyandrie. Alexandra David-Néel, dont je fus le voisin, racontait si bien cette coutume apaisante de la société locale qui, pour un homme chargé politiquement, conduirait, amant satisfait et jouisseur avéré aurait tout le temps de se consacrer au bonheur du peuple, un peu comme le roi Pausole qui fit jusqu’à quatre lieues sur le dos de sa mule pour retrouver sa fille qui n’était pas perdue, lovée contre une danseuse qui lui enseignait les garçons… par les filles. Ça nous changerait de nos mythologies modernes.
    Voilà pourquoi il faut croire aux mythes, à la colère d’Héra, à l’insouciance d’Apollon et la besogne d’Héphaïstos. D’ailleurs, le christianisme était fait pour les Grecs, les Romains était bien trop froids juristes sans imagination, comme nous. Saint-, enfin, Paul de Tarse, s’est fait siffler par les Ephésiens et traiter de perroquet quand, plus tard, Plotin sera l’épicurien savant susceptible de relier le Christ à Platon, pour le bonheur de l’humanité.
    Popper a très bien vu tout ça, mais le monde actuel a voulu « l’extinction du poppérisme »… Trop simple. Et puis, il fallait aimer l’Occident.

  30. Ce culte de l’apparence comme critère démocratique me paraît dangereux parce qu’il révèle des prédispositions à la contemplation de soi, à une forme d’autarcie satisfaite, à la bienveillance constante du regard qu’on porte sur soi. (PB)
    Il y a une personne qui se fiche de la beauté, de l’esthétique et du qu’en dira-t-on : c’est Angela Merkel. Cinq mandats de chancelière allemande avec 82 millions de têtes à gouverner et à satisfaire pour tirer le pays vers le haut. La seule bourde qu’Angela ait commise c’est d’avoir laissé entrer en Allemagne plus d’un million de migrants, dont beaucoup non contrôlés, et c’est ce que ses compatriotes lui reprochent le plus.
    Soyons sérieux, je préfère l’élégance, la posture, le charisme et la sensibilité d’Obama. Il a un très beau timbre vocal, belle démarche, beau physique, mari et père exceptionnel.
    Macron, non, ce n’est pas mon genre. Il fait mi-mâle mi-femelle. On a du mal à définir à quelle espèce d’homme il appartient.

  31. Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire de sexe ?
    Comme chacun sait, depuis la théorie du genre, le sexe ça n’existe pas !
    M’enfin !

  32. « Il y a des gravures de démocratie comme il y a des gravures de mode » et il y a aussi et surtout des gravures de c*ns et allez savoir qui est quoi.

  33. @ sbriglia | 24 juin 2019 à 17:57
    « De la relève des casiers à celle des poubelles il n’y a parfois qu’un simple changement d’odeur… »
    Bonne remarque.

  34. @ Robert M. 24 juin 2019 à 23:33
    « Il n’y a aucun silence médiatique. Le Monde, Libération, Gala, L’Express et bien d’autres ont parfaitement expliqué l’affaire »
    Quelle affaire ? (je plaisante). En effet je ne dois pas lire la « bonne » presse mais vous je vous lis, ça remplace et c’est mieux raconté, en tout cas mieux que par sbriglia 😀
    Adéo Robert M.

  35. « Pour dépasser le cas de Bernard de La Villardière, il est clair que dans l’espace politique et médiatique, il y a un risque constant d’être jugé sur des éléments aussi capitaux que mon cheveu sur la langue ou, pour Nathalie Loiseau, son inaptitude à une présentation gracieuse ou, pour l’humoriste Charline Vanhoenacker, le fait qu’elle n’est pas Ava Gardner ! »
    Attaquer Charline Vanhoenacker sur son physique risque de vous valoir les foudres des quelques féministes échevelées qui pourchassent les messieurs osant contester leurs commentaires.
    Malheur à celui qui contredit une femme, il est aussitôt traité de « misogyne aux petits biscoteaux ramollis, mais à la langue bien fourchue » (sic). J’en sais quelques chose !
    C’est surtout sur l’orientation de l’humour de l’humoriste de France Inter qu’il convient de s’interroger. Et là, effectivement, il faut bien convenir qu’il n’est pas toujours à la hauteur de la réputation des Belges dans ce domaine.
    Reste maintenant à trouver aujourd’hui un humoriste drôle. Sophia Aram a quelquefois des fulgurances intéressantes. Laurent Gerra et Nicolas Canteloup nous sortent toujours les mêmes gags et il est grand temps qu’ils renouvellent leur répertoire.
    Finalement les plus drôles en ce moment ce sont les politiques. En ce moment je note qu’Eric Coquerel est vraiment désopilant. Le pire c’est qu’il ne le fait même pas exprès !

  36. Avant d’aller quérir ses inspirations chez Soral et Dieudonné, Ellen trouvait Macron très beau…
    Et si l’intime appartenait à l’intime, les salades médiatiques ne se vendraient plus, et l’on pourrait espérer que la chose publique permette d’élever le niveau moyen, ce qui éviterait de finir chez les psychiatres italiens.

  37. Il y a des gravures de démocratie comme il y a des gravures de mode. Le culte des apparences, de leur apparence.
    Mais hélas, cela provient du fait que de nos jours l’apparence gouverne tout, aussi bien pour les employés de grands groupes qui sont aussi évalués sur leur « look » -quelle horrible expression – que pour les comportements individuels et collectifs dans divers domaines.
    N’oublions pas non plus l’influence dominante dans notre univers médiatisé de la publicité dont le fonds de commerce consiste à vendre plus du rêve que du concret.
    Même les institutions n’échappent pas à cette emprise des apparences, la forme permettant de masquer le fond. Nous le voyons de façon évidente avec la démocratie à la française dans laquelle le décorum « républicain » est respecté (du moins en partie), par exemple en faisant croire au peuple que le fait de délivrer un blanc-seing tous les cinq ans à des gens qui n’en feront ensuite qu’à leur tête serait la preuve de l’existence en France d’une démocratie, qui est même qualifiée de représentative (rires).

  38. « Primat de l’esthétique qui n’a pas été pour rien dans le succès d’Emmanuel Macron »
    L’aura esthétique du président n’est pas parvenue jusqu’à l’assemblée qui a éliminé la candidature française à la tête de la FAO.
    Cette présidence de la FAO, une des plus importantes parmi les grands postes internationaux, a vu la candidature du chinois Qu Dongyu préférée à celle de la française Catherine Geslain-Lanéelle.
    Cette claque cinglante (dixit Le Figaro) de la diplomatie française montre hélas, une fois de plus, que malgré ses moulinets, notre Président montre une puissance d’influence très limitée.
    La presse européenne est très acide sur les manèges de Macron dans ses tentatives d’imposer aux autres membres ses choix personnels.
    Ainsi va le monde. L’esthétique ne fait pas tout effectivement.
    Cordialement.

  39. « …il y a un risque constant d’être jugé sur des éléments aussi capitaux que mon cheveu sur la langue(…)ou, pour l’humoriste Charline Vanhoenacker, le fait qu’elle n’est pas Ava Gardner ! » (PB)
    Cette sortie, cher Monsieur, venant de vous me stupéfie, car elle est tangente extérieurement à la goujaterie.
    Et suffit pour les orientations sexuelles de nos politiques ! Qui se soucie maintenant que « Jules César était le mari de toutes les femmes et la femme de tous les maris », que Monsieur, frère de Louis XIV, cocufiait la Princesse Palatine avec ses mignons, et qu’enfin, plus près de nous, Clemenceau disait du Maréchal Lyautey qu' »il a toujours eu des coui***s au c*l même quand ce n’étaient pas les siennes » ?
    On se rappelle seulement que ceux-là était de grands soldats, perpétuant les principes antiques de la légion thébaine, composée de guerriers héroïques, chacun prêt à se sacrifier pour défendre son amant.

  40. On peut juger que c’est regrettable mais le physique a toujours eu beaucoup d’importance en politique. Alexandre le Grand était de haute taille, Louis XIV avait « l’air majestueux. » Louis XVI était un bon gros mou. Plus près de nous, les anciens se souviennent de Lecanuet dents blanches dont c’était un des principaux mérites et de la sale gueule de Nixon. A l’heure de l’hyper-communication, il faut avoir bonne apparence et les cuisses propres.

  41. Catherine JACOB

    « Par exemple Bernard de La Villardière a récemment suscité une polémique à Voltage parce qu’il a déclaré qu’il aurait bien aimé questionner le président sur sa sexualité. »
    On en reste, à notre époque, aux questions qu’on eût aimé poser, dit selon cette hypocrite formulation qui dit tout sans rien dire.
    Aux époques précédentes, par ex. dix ans après la promulgation de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, les circonstances de la mort de Félix FAURE survenue brutalement à l’Elysée quatre ans seulement après son élection à la présidence de la République sont rapidement devenues légendaires.
    « La légende rapporta que l’abbé Herzog, curé de la Madeleine, fut mandé par Mme Félix Faure pour lui administrer les derniers sacrements mais, sans attendre son arrivée, il fut remplacé par un prêtre de passage devant le palais de l’Élysée qui, en demandant à son arrivée : Le président a-t-il toujours sa connaissance ? se serait entendu répondre : Non, elle est sortie par l’escalier de service ! .
    Mme Félix Faure habitant les lieux, la dame dut en effet, pour éviter le scandale, s’éclipser tellement vite qu’elle en oublia son corset, vêtement que le chef de cabinet Le Gall conserva en souvenir.
    La rumeur populaire colporta que c’était une fellation qui avait provoqué une épectase, autrement dit un orgasme fatal, ce qui valut à Marguerite Steinheil, la dame en question, une salonnière et une demi-mondaine, le surnom de pompe funèbre. Les chansonniers de l’époque moquant en même temps son goût du luxe ostentatoire et des dames dites «de petite vertu affirmèrent: « Il voulait être César, il ne fut que Pompée » (cité d’après l’article Félix Faure sur Wikipédia).
    Le mot est excellent qui ne manquerait cependant pas de nos jours à son auteur un procès en diffamation.

  42. @ Aliocha | 25 juin 2019 à 09:03
    « Avant d’aller quérir ses inspirations chez Soral et Dieudonné, Ellen trouvait Macron très beau… »
    On peut être beau de visage et laid dans son comportement. Macron en joue doublement de par son jeune âge et son physique. Aujourd’hui, je le trouve insipide. Son attitude désastreuse a effacé sa prestance et son charisme. On ne voit plus qu’un homme qui trompe les Français et trahit la France.
    Avec le temps va, tout s’en va, on oublie le visage et on oublie la voix… etc. (Léo Ferré)
    http://www.avecletemps.org/
    M. Bilger, votre cheveu sur la langue est un atout. Vous seriez moins connu, favorablement bien sûr, si vous ne l’aviez pas.

  43. @ Ellen
    « On a du mal à définir à quelle espèce d’homme il appartient. »
    Homo apparatchicus periculosus vulgaris.

  44. La tyrannie de la beauté existe depuis des siècles, accentuée aujourd’hui par des photos en couverture de très très jeunes top models auxquels il faut s’identifier. Interdit de vieillir, de se prendre une ride, d’avoir le premier cheveu blanc visible, etc. A 50 ans, on vous met dans la case des seniors avec les nonentenaires. Ainsi va la stupidité humaine progressiste. Il faut paraître avant d’être…
    Il est désespérant de voir combien de femmes et d’hommes passent par la chirurgie esthétique pour rattraper le temps perdu. Beaucoup en sortent encore plus moches qu’avant. Le visage tiré tel un masque de cire, les lèvres gonflées comme des pneus Michelin parce que ratés sous le scalpel. Michael Jackson est un exemple frappant, défiguré pour ressembler à un épouvantail.
    https://www.scienceshumaines.com/la-tyrannie-de-la-beaute_fr_22384.html

  45. Patrice Charoulet

    Genau… Ce commentateur est juriste, pianiste, organiste, latiniste, helléniste… Sa langue est, sans contredit, la plus riche de ce blog. Sa culture mythologique, historique, est des plus étendues. Il a parfois des fulgurances. Il y aurait bien d’autres choses à dire de lui.
    Je n’ajouterai qu’une question : quel blog français s’honore d’avoir un tel commentateur ?

  46. @ Ellen | 25 juin 2019 à 13:29
    « La tyrannie de la beauté existe depuis des siècles, accentuée aujourd’hui… »
    Dans le couple que Christian et Adriana Karembeu ont formé, Christian n’avait pas l’air trop malheureux.
    Je suis prêt à subir cette tyrannie.
    Mais pas éternellement, jusqu’à ce que la tyrane perde sa beauté seulement 😉
    https://www.google.com/search?q=karembeu&tbm=isch&source=univ&client=firefox-b-d&sa=X&ved=2ahUKEwj8xeTo0YTjAhX8A2MBHbJNDJsQiR56BAgMEBA&biw=1205&bih=740#imgrc=ruqX_EfZS5w0UM:

  47. sbriglia c’est l’histoire d’un greffier d’audience amoureux.
    Malheureusement son amour est inaccessible puisqu’il est président de la République…
    Il aurait pu en faire un opéra, malheureusement il n’a pas ce talent, il ne lui reste alors que les petites phrases qui plaisent tant à son « ami » Achille.
    Définition du médiocre ? mesquin, pitoyable, quelconque, banal.

  48. Mary Preud'homme

    « On est bien peu de chose
    Et mon amie la rose
    Me l’a dit ce matin
    A l’aurore je suis née
    Baptisée de rosée
    Je me suis épanouie
    Heureuse et amoureuse
    Aux rayons du soleil
    Me suis fermée la nuit
    Me suis réveillée vieille
    « Pourtant j’étais très belle
    Oui, j’étais la plus belle
    Des fleurs de ton jardin »
    (auteur femme inconnue, en raison d’un anonymat qu’elle souhaitait garder ; interprète : Françoise Hardy)

  49. Avoir des rapports sexuels avec un mineur en dessous de 15 ans, c’est un viol. Il est interdit à tout majeur d’avoir des rapports sexuels avec des mineurs
    Mais il n’y a aucune majorité sexuelle contrairement à la légende perverse urbaine.
    Il est interdit à un enseignant d’avoir des rapports sexuels avec ses élèves.
    À quel âge Emmanuel Macron a-t-il eu des rapports sexuels avec Brigitte Trogneux ?
    Code pénal – art. 227-22

    • Le fait de favoriser ou de tenter de favoriser la corruption d’un mineur est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende. Ces peines sont portées à sept ans d’emprisonnement et 100 000 € d’amende lorsque le mineur a été mis en contact avec l’auteur des faits grâce à l’utilisation, pour la diffusion de messages à destination d’un public non déterminé, d’un réseau de communications électroniques ou que les faits sont commis dans les établissements d’enseignement ou d’éducation ou dans les locaux de l’administration, ainsi que lors des entrées ou sorties des élèves ou du public ou dans un temps très voisin de celles-ci, aux abords de ces établissements ou locaux.
      Les mêmes peines sont notamment applicables au fait, commis par un majeur, d’organiser des réunions comportant des exhibitions ou des relations sexuelles auxquelles un mineur assiste ou participe ou d’assister en connaissance de cause à de telles réunions.
      Les peines sont portées à dix ans d’emprisonnement et 1 000 000 € d’amende lorsque les faits ont été commis en bande organisée ou à l’encontre d’un mineur de quinze ans.

    Mais les riches peuvent être des pervers, vous trouvez que c’est de l’art, beau, après tout la pédophilie dans vos milieux est encensé : Lolita de Nabokov.
    24 ans d’écart ; mais qui règle un trouble de la raison ?
    Est-ce le gamin qui règle un complexe d’Oedipe ?
    Est-ce la dame âgée en mode prédation tel un succube tirant l’énergie vitale d’un jouvenceau ?
    Est-ce une femme alibi pour cacher une préférence sexuelle pour les hommes, non assumée ?
    Si c’est fusionnel, qu’en sera-t-il à terme, si elle venait à décéder, alors que le gamin exercerait toujours le pouvoir ?
    Trump qui passe son temps à stigmatiser ne devrait pas être raillé, lui qui sur le plan de la politique intérieure n’a rien réussi, mais bénéficie du mandat du précédent Président ; l’économie ne peut aller mieux de manière instantanée, c’est toujours un travail de longue haleine, des pierres posées par le ou les prédécesseurs.
    L’Honorable Honoraire et ses mauvaises analyses politiques, lui si heureux quand Macron a été élu, à deux doigts de lui construire des statues, lui vouer un culte, entrer en dévotion et l’appeler : « mon maître, mon saint sauveur, par la grâce de Dieu appose tes mains sur moi ».

  50. Robert Marchenoir

    @ boureau | 25 juin 2019 à 09:13
    C’est marrant, cette délectation manifeste d’une partie du réactionnariat, à l’évocation d’humiliations réelles ou, le plus souvent, imaginaires, subies par la France sur la scène internationale… Ça dure depuis plusieurs quinquennats, maintenant.
    Le nombre de gens qui jouissent positivement de constater (disent-ils) que « Sarkozy nous fait honte à l’étranger », que « la presse internationale se moque de Hollande », que « Macron subit déculottée sur déculottée auprès de nos partenaires »…
    Ces prodigieux éditorialistes de comptoir présentent la particularité de faire, simultanément, assaut de patriotisme. Plus t’es « souverainiste », plus tu te réjouis à l’idée que la France soit rabaissée (selon toi).
    Je dois être un peu simplet, mais pour moi, le patriotisme, cela consiste à déplorer que la France soit diminuée sur la scène internationale, pas l’inverse (si c’est le cas). Et ce, quelle que soit la couleur du gouvernement du moment. Le patriotisme, c’est précisément ce qui dépasse les querelles politiciennes subalternes. Right or wrong, my country. Pas d’équivalent en français, comme par hasard…
    Bien entendu, dans la plupart des cas, ces « humiliations » sont largement imaginaires, et, surtout, elles collent pile-poil à la propagande poutiniste. Comme c’est curieux, et comme c’est étrange.
    Ici, nous avons boureau qui, toutes affaires cessantes, tient à intervenir complètement hors sujet, pour nous faire part de ce drame absolu : la présidence de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture vient d’échapper à la France.
    En France, les « patriotes » sont ceux qui font le boulot d’une puissance étrangère hostile, qui cherche de toutes ses forces à semer le désordre et la dissension dans le pays, et à réduire son influence. C’est l’exception diplomatique française. De même que l’exception radioactive française arrête le nuage de Tchernobyl à la frontière, l’exception économique française désactive les lois du marché au-dessus de l’Hexagone, etc., etc.
    Justement, j’ai mal dormi cette nuit : je rêvais que ces sagouins d’étrangers nous ravissaient la présidence de la FAO, qui nous appartient de droit depuis la nuit des temps. Les cent millions de Gilets jaunes qui défilent dans les rues depuis huit mois ont fait de la présidence de la FAO l’une de leurs principales revendications. Le commentariat de Philippe Bilger se consume d’angoisse depuis des semaines à l’idée que ce bastion diplomatique puisse nous échapper.
    Il va de soi que la puissônce de la Frônce impose, que dis-je : requiert, que toutes les instances internationales, jusques et y compris le Bureau international de la courbure des bananes, soient présidées par Nous. Non mais sans blague. Qu’aurait dit le général de Gaulle ? lui qui relevait minutieusement son compteur EDF ? Ce ne sont pas 1,4 milliard de Chinetoques qui vont commencer à nous casser les pieds, quand même.
    Où avez-vous piqué cette terrifiante nouvelle qui va provoquer d’innombrables suicides de paysans à travers le pays, boureau ? Sur Sputnik ? Chez Olivier Berruyer, le poupon marxiste soi-disant « actuaire d’assurances » et en réalité agent d’influence de Moscou ? Chez Poupou Magazine ? Dans Asselineau Soir ? Sur la page Facebook de Thierry Mariani, l’attaché de presse du Kremlin à Paris ? Sur RT « France » ?
    Ah oui ! vous l’avez lue dans Le Figaro, le seul média français à avoir diffusé, à ma connaissance (pour ne pas dire : introduit dans l’espace public), la fausse nouvelle fabriquée par l’espionnage russe, selon laquelle le gouvernement Hollande envisageait de couler purement et simplement les Mistral qu’il avait décidé de ne pas livrer à la Russie, prétendument parce que leur gardiennage coûtait trop cher.
    Bobard manifeste, intoxication évidente, que pas un homme sensé ne pouvait croire, et qui pourtant a été publié par ce vénérable quotidien français, bourré de journalistes professionnels et de rédacteurs en chef du haut en bas de la hiérarchie.
    Aucun rapport avec la proximité du Figaro avec les milieux d’affaires et la droite sarkozyste, naturellement. Et aucun rapport entre les intérêts de ces derniers et leur curieuse complaisance envers la propagande poutiniste.
    Étrangement, seul Le Figaro qualifie cette élection de « claque cinglante » pour la France — et ce sont les premiers mots de l’article. Ni Le Monde, ni Europe 1, ni Capital, ni France 24, ni BFM Business n’analysent cet événement comme un échec particulièrement préoccupant pour la France.
    Tous le présentent, correctement, comme un succès pour la Chine, similaire à ceux qu’elle a remportés récemment à la tête d’autres organisations internationales : Interpol, Organisation de l’aviation civile internationale, Organisation internationale des télécommunications, Organisation des Nations unies pour le développement industriel… C’est la conséquence logique de la montée en puissance de la Chine dans le monde. L’analyser comme une défaite particulière de la diplomatie française relève manifestement de la malveillance.
    Ce micro-événement n’a pas suscité davantage d’émotion dans les médias britanniques et américains. Je n’ai trouvé personne qui y parle de « claque pour la France » (pour les rares qui le rapportent), et d’ailleurs, personne non plus n’y parle de « claque pour les Etats-Unis ». Pourtant, il y avait un troisième candidat, soutenu par Washington : le candidat géorgien. Qui n’a obtenu que 12 voix, comparées aux 71 voix du candidat français et aux 108 voix du candidat chinois.
    Mais, bizarrement, en France, Marie Visot commence son article, dans Le Figaro, en disant qu’il s’agit « d’une claque cinglante pour la diplomatie européenne et française ». Sans mentionner qu’il s’agit, si on va par là, d’une claque prodigieusement monumentale pour la diplomatie américaine. Et sans se sentir obligée de justifier le moins du monde cette assertion parfaitement péremptoire, dans le reste de son article. Vous pouvez vérifier : après cette outrageuse éditorialisation d’une nouvelle de troisième rang, il n’y a pas un mot pour expliquer pourquoi ce vote serait « une claque cinglante pour la diplomatie européenne et française » — habilement amalgamées pour l’occasion.
    Comme si l’essentiel était de trouver, une fois de plus, un prétexte pour diffamer et humilier la France et l’Union européenne sur la scène internationale. Et exciter la haine des Français contre leurs dirigeants. De concert avec RT « France ». Mais c’est tout à fait un hasard…

  51. @ Tipaza | 25 juin 2019 à 14:44
    Vous ne m’avez pas tout à fait bien comprise ou bien je ne me suis pas bien expliquée. Je faisais allusion à l’inégalité et à l’injustice (dès la naissance) entre les beaux et les laids. La chance n’est pas la même lors de l’embauche. Le premier reçoit des compliments, le second des moqueries. C’est ça que j’appelle la tyrannie.

  52. @ Elusen | 25 juin 2019 à 16:50
    Quelques remarques:
    L’âge n’intervient pas dans la définition du viol:
    https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000037289535&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte=20190625&fastPos=12&fastReqId=1630003959&oldAction=rechCodeArticle
    De même pour l’agression sexuelle:
    https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000022469961&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte=20190625&fastPos=7&fastReqId=1630003959&oldAction=rechCodeArticle
    Mas il intervient dans la définition de l’atteinte sexuelle sur mineur de 15 ans (= personne qui a moins de 15 ans, « mineur de moins de 15 ans » est un pléonasme):
    https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000037289518&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte=20190625&fastPos=8&fastReqId=1630003959&oldAction=rechCodeArticle
    Non, il n’est pas forcément interdit à un majeur d’avoir des rapports sexuels avec un mineur. Seulement avec les mineurs de 15 ans.
    Effectivement, aucune loi ne dit qu’il y a un âge de majorité sexuelle, ni, a fortiori, qu’elle est à 15 ans. Mais 222-27 CP (ci-dessus) revient au même.

  53. Michelle D-LEROY

    Le culte de l’apparence a toujours existé, à travers les siècles. Avant même qu’une beauté ne s’exprime, on la reconnaît d’abord dans un groupe par son look, son port de tête et son joli minois.
    En ce qui concerne Emmanuel Macron, on ne peut pas dire qu’il soit moche, mais gringalet oui, et pas exceptionnellement beau non plus. Mais est-ce bien la beauté qu’on recherche chez un Président ? ça, je ne le crois pas.
    Si Bernard de la Villardière (si élégant et courtois dans ses reportages) aurait voulu en savoir plus sur sa sexualité, c’est bien qu’il est intrigué (comme beaucoup) par le couple qu’il forme avec son épouse de 24 ans son aînée, ce qui n’est pas très habituel. Et que ne lui connaissant pas d’aventures féminines, les questions se posent, surtout après plusieurs séances de selfies pris avec plaisir avec des homos.
    Quant à Madame, je la plains, car je l’imagine constamment sur le qui-vive pour son look, son poids, son visage, ses cheveux, ses hauts talons, son allure à conserver, guettant une nouvelle ride ou une paupière qui tombe. Ce doit être un souci et un travail de chaque instant. Elle a beau jouer les minettes, elle a quand même 66 ans passés. Même avec des retouches de chirurgie esthétique, l’âge est là, incontournable.
    Je n’ai rien contre leur vie particulière qui ne regarde qu’eux. A Monsieur on lui demande juste de considérer ses concitoyens de la même manière, de rassembler les Français au lieu de les cliver, de s’occuper de justice fiscale et sociale au lieu du contraire, de conserver (en modernisant) la base de nos traditions.
    A Madame d’épauler son époux et de l’accompagner lors des fêtes et hommages, de s’occuper d’associations… ce qu’elle a très bien fait pendant deux ans. Par contre, qu’elle commence à mener la campagne des municipales pour laREM parce que Monsieur ne peut plus faire à nouveau un Grand débat, ça ce n’est absolument pas son rôle, elle n’a pas été élue par les Français. Chacun à sa place et ce sera très bien ainsi.

  54. @ Robert Marchenoir 25 juin 2019 17:43
    « Je dois être un peu simplet » dites-vous !
    Je vous sais bien des défauts, mais je ne vous connaissais pas cette qualité !
    Inutile de vous contredire sur ce point.
    Cordialement.

  55. @ xc | 25 juin 2019 à 18:38
    « Mais 222-27 CP (ci-dessus) revient au même »
    Beaucoup de choses ont été censurées, car mon écrit était plus long.
    Cependant, je pense que vous avez fait une erreur, vous auriez voulu écrire 222-25 du Code pénal ; car l’article 222-27, mis plus bas, a tendance à acter mon propos selon lequel il est interdit à un majeur d’avoir des rapports sexuels avec un mineur : corruption de mineur.
    ———
    Je parlais aussi d’un ancien président de la République auquel l’Honorable Honoraire prête des gesticulations sur lesquelles ils y auraient eu maintes moqueries, or les railleries n’étaient point sur les gesticulations, mais sur la réalité des causes.
    Comme l’avait dit le Docteur Thomas Klau, chercheur allemand, dans l’émission 28 minutes sur Arte en 2015 : « La France a un Président sous endorphine, après en avoir eu un sous cocaïne ».

  56. Drôle d’attelage : pour la ‘démocratie’ appliquée à la ‘beauté’ je ne sais pas trop. Mais regardez Giuseppe philosophant béton sur son home-trainer. Sarko sur un Bianchi vert céleste en train de remonter prestement les files de son parti gaullien. Ou Claude Lelouch qui, footing faisant, actionne son dictaphone dès qu’une bretelle de scénario s’agite. « Le corps est le temple de l’esprit », encore faut-il savoir agiter le temple pour qu’il nous offre sa substantifique moelle. Le mouvement procure fermeté et satisfaction quand la plastique de la beauté n’est qu’itinéraire de délestage. Certes des proportions statuaires, des ovales ingrestes peuvent émouvoir mais que reste-t-il de tout ça sans la profondeur de l’oeil, le velouté d’une attitude ? La solitude d’un instant lorsqu’on s’imagine que l’être beau puisse être totalitaire au point de remplir tous ses vides… et les nôtres.
    Oui, chères soeurs, chers frères, chers trans, soyons moches ou modérément moches ; surtout, pour nos vies oublions d’être lénifiants. Avoir du chic du chien et hop, le plus gros du travail est fait. C’est le duo gagnant 😉

  57. @ Robert Marchenoir | 25 juin 2019 à 17:43
    « Ces prodigieux éditorialistes de comptoir »
    Ouh la la, Marche-« noir » devient réaliste sur lui-même avec 30% de QI en moins d’après une étude basée sur des données de 1905, de l’armée US, qui grâce à une IRM a trouvé le gène qui rend inférieur… le tout en 1905 !

  58. @ Michelle D-LEROY 25 juin 2019 à 19:58
    « Quant à Madame […] elle a beau jouer les minettes, elle a quand même 66 ans passés. Même avec des retouches de chirurgie esthétique, l’âge est là, incontournable. »
    Ouh là là, le p’tit greffier (sbriglia) va vous clouer au pilori. Il est INTERDIT de dire du mal de Bribri et encore moins de Manu. Je le sais car je m’y suis risqué un jour, il y a longtemps et j’ai eu le couple sbriglia/Deviro qui m’est tombé dessus pendant des mois.
    En même temps.. vous savez ce que l’on dit à propos de l’eau sur les ailes d’un canard..

  59. @ scoubab00 | 25 juin 2019 à 20:58
    « Sarko sur un Bianchi vert céleste en train de remonter prestement les files de son parti gaullien. »
    Diantre ! Sarko filerait-il avec ma monture ?
    https://i.goopics.net/kjVAG.png
    Vous n’imaginez pas tout ce qui peut passer dans la tête en pédalant – en simple et modeste amateur -, un formidable outil qui devrait être obligatoire dans toutes les écoles.
    Bleu-vert d’eau ultralight un bout de légende, Fausto Coppi…
    Il a une sacré histoire, mais ce serait une autre histoire. Vous m’avez fait peur, j’ai été vérifier.
    Mongénéral avait demandé quel sportif avait fait rayonner la France dans le monde, il lui a été cité Jacques Anquetil pour son record de l’heure entre autres, et il l’a décoré de la Légion d’honneur.
    A ma connaissance j’ai vu rouler Nicolas Sarkozy en Look, mais bon moi Président pas encore.
    Pour l’anecdote, les étriers de freins identiques à ceux que montaient Lucho Leblanc et Virenque pour descendre à bloc les pentes du Tourmalet, je confirme, une efficacité redoutable.
    On part de la philosophie pour terminer sur un patin de frein… Le vélo et Antoine Blondin.

  60. C’est même l’inverse, la photogénie est la presque absolue certitude de la médiocrité.
    Ça me rappelle un vieux tube de Belle and Sebastian qui disait:
    Now we’re photogenic
    You know, we don’t stand a chance

    Oh, get me away, I’m dying

  61. @ Michelle D-LEROY 25 juin 2019 à 19:58
    « Quant à Madame […] elle a beau jouer les minettes, elle a quand même 66 ans passés. Même avec des retouches de chirurgie esthétique, l’âge est là, incontournable. »
    Le temps passe très vite et 2023 c’est presque demain. Brigitte aura 70 ans et Emmanuel 45 ans. Et comme j’ai toujours entendu que l’homme à 50 ans est en pleine fleur de l’âge, se pose alors la question de qui va partir le premier. Si Emmanuel n’est pas réélu en 2022, je donne fort à parier que leur couple ne résistera pas longtemps. Ils resteront très bons amis, mais pas plus. Trop de garçons tournent autour d’Emmanuel à qui ça ne déplaît pas. Qu’en pense Exilé ?

  62. Vite, un homard bleu-blanc-rouge, les définitivement partis reviennent, et je n’ai pas besoin de souligner le patriotisme défaillant, Marchenoir s’en est chargé.
    Pour une fois que ce n’est pas moi qui prends, ça délasse, voyez-vous.
    Merci, Bobby, et puisque ce soir je m’accorde toutes les libéralités, je signerai :
    cordialement.

  63. Mary Preud'homme

    Perso je me contrefiche de la sexualité de Macron et qui est plus est de sa différence d’âge avec Brigitte sachant que c’est leur vie et leur problème s’il y en a un ! De même que le choix d’un ex-ministre de l’Intérieur pleurnichard convolant avec une gamine de 30 ans sa cadette !
    Ce qui m’importe étant la qualité et les réalisations d’un président pour lequel je n’ai pas voté, sachant que je respecte néanmoins le verdict de ses électeurs « en marche » les estimant, tout comme moi, de bonne foi.
    Un dernier mot concernant Obama, je trouve la photo artificielle, assez mal choisie, avec un rire forcé proche du rictus, alors que Barack est au contraire l’image de la simplicité et du naturel…

  64. Catherine JACOB

    @ Mary Preud’homme | 26 juin 2019 à 00:23
    « Un dernier mot concernant Obama, je trouve la photo artificielle, assez mal choisie, avec un rire forcé proche du rictus, alors que Barack est au contraire l’image de la simplicité et du naturel… »
    J’ai trouvé pour ma part ce cliché très intéressant. Sans doute a-t-il été choisi par quelqu’un qui ne doit pas se laisser facilement berner par une apparence de « gentillesse » (sauf en ce qui concerne celui pour lequel nous n’avons voté ni l’une ni l’autre au premier tour bien évidemment). En fait je dirais bien et je dirais la même chose de Trump, et en prenant toutes les précautions d’usage pour ne pas être l’objet d’une interprétation tendancieuse, nous avons là un cliché de « Dos-gris ».
    —————————————————
    @ Achille | 24 juin 2019 à 19:09
    Bon, je vous entends bien mais:
    « jusqu’alors, nous étions habitués au contraire. A savoir que des hommes politiques d’âge mûr épousent des femmes bien plus jeunes qu’eux » dites-vous.
    En fait, on est plutôt habitués ce qui concerne de tels hommes, à entendre parler du démon de midi ainsi que, parfois, de veuve noire en ce qui concerne leurs épousées. Ou encore, quel que soit le sexe du plus âgé, de pygmalion. On parle aussi d’effet pygmalion. D’où il importe de savoir si on a élu le Pygmalion (avec un « P », donc, pas un « B ») ou sa nymphe, dès lors qu’on entend parler de « couple fusionnel« .
    Ce qui regarde la vie privée du citoyen lambda, regarde toutefois l’électeur dès lors qu’il s’agit de savoir si on a élu un président ou une fusion romantique qui lui coûtera plus cher que prévu !

  65. @ Elusen | 25 juin 2019 à 20:52
    Ni l’un, ni l’autre. Certains ajouteraient « au contraire »…
    Pas 222-25 ni 222-27, mais 227-25. Bon, comme je renvoyais au lien du dessus, on pouvait se rendre compte de l’erreur.
    Soit dit en passant, que n’a-t-on entendu comme âneries, lors d’affaires récentes, à propos d’un inexistant « âge de majorité sexuelle ». Y compris le mettre en dessous de 15 ans, ce qui aurait fait la joie de nombre de pervers…

  66. @ Giuseppe | 25 juin 2019 à 22:50
    Ah oui, quelle époque !
    Bianchi certes, mais aussi Mercier, Peugeot, MBK, Pinarello, Colnago.
    Epoque des cadres acier, Colombus, Vitus, Reynolds.
    Toutes ces montures de rêve montées par des champions hors norme qui couraient toute la saison depuis les « flandriennes » passant par les « ardennaises » pour finir par les « grands tours » et le plus grand de tous, le Tour de France.
    Les pavés, la pluie, le froid, le vent, même pas peur…
    Mon premier vélo de cadet, un Mercier acheté à grands coups de sacrifices financiers par mes parents. Un vélo dont on dirait aujourd’hui qu’il était fabriqué avec des tubes de chauffage central étant donné son poids.
    Mais quelle fierté !
    Enfin, vous avez raison, le vélo c’est l’école de la volonté, du courage et surtout de l’humilité.

  67. Dans la rubrique « je me presse de rire de tout… » et pour faire un clin d’oeil à mon ami Savonarole :
    « Paris – Alors que les températures commencent à grimper sur l’Hexagone, le parlement breton a voté à l’unanimité la fermeture totale de sa frontière commune avec la France. Selon les parlementaires, il s’agit d’éviter un trop-plein d’afflux de réfugiés climatiques parisiens fuyant la chaleur.
    Reportage :
    « La Bretagne ne peut pas accueillir toutes les victimes de la chaleur du monde » a répliqué un député breton qui prône la construction d’un mur à la frontière. « Chaque été, dès que les températures dépassent les 30°, c’est la même chose, nous sommes envahis, ce n’est plus possible » ont commenté pour leur part des maires bretons.
    Dès ce matin, la police fouillaient les TGV en gare de Rennes, faisant redescendre tous les Parisiens et les renvoyant en TER non climatisés vers la gare Montparnasse. 
    – « Donnez-nous au moins une bouteille d’eau, ou du chouchen, soyez humains ! » demandaient des réfugiés parisiens tandis qu’ils étaient poussés à l’intérieur des wagons.
    De son côté l’ONU a demandé à la Bretagne de rouvrir sa frontière et d’accueillir les réfugiés.
    En fin de matinée, on apprenait que la Normandie fermait à son tour sa frontière et qu’un navire ayant appareillé de l’île de Ré avec des dizaines de Parisiens demandait l’autorisation humanitaire d’accoster à Brest » (le Gorafi)

  68. Et c’est reparti pour un tour. Pendant que nous sommes à débattre sur la personnalité d’Emmanuel Macron qui arrive au Japon ce matin, 125 mairies dans toute la France ont décroché les portraits Macron. L’origine de cette campagne c’est «Sortons Macron» – aujourd’hui, renommée «Décrochons Macron» pour taper fort sur l’inaction de l’Elysée. Et ça tombe juste à pic là où la canicule est attendue pour cette semaine.
    Le lieu où se tiendra le sommet G7, à savoir à Biarritz du 24 au 26 août 2019, est loin d’être anodin pour les militants du mouvement l’ANC21 puisque c’est dans le Pays basque, à Ustaritz et à Biarritz, qu’avaient eu lieu les premiers décrochages de portraits Macron, le 21 février dernier. (Le Figaro – ce matin)
    La rentrée sera chaude.

  69. A lire les dérisoires commentaires des contempteurs du couple Macron Trogneux, on mesure les progrès qu’il reste à faire dans le domaine de l’égalité des sexes…
    Relever que les commentatrices sont les plus acharnées des contempteurs, fondant leurs déplorables attaques l’une sur d’évidentes chirurgies esthétiques, l’autre, pourtant plus mesurée d’habitude, sur cet écart d’âge inexplicable à ses yeux, source certaine, selon elle, de sexualité dévoyée, ne peut que nous interroger sur la question suivante : pourquoi les femmes sont-elles donc les pires ennemies de leur sexe ?
    Je n’ai, à ce jour, toujours pas la réponse (genau, dans sa grande sagesse, m’inviterait à relire Molière ou les librettistes)… quoique plus de treize années de fréquentation de ce blog m’aient montré que la vulgarité et la bassesse n’étaient pas le privilège du sexe dit fort…
    Et l’élégance de plume de notre hôte, l’absence dans chacun de ses milliers de post de la plus petite vulgarité de style n’a, pour le moins, pas vraiment fait tache d’huile, à la lecture de certains commentaires…
    On laissera donc pisser le mérinos et déverser les insanités de celles et ceux qui n’ont jamais su projeter que leur propre aigreur sur la relation fusionnelle de deux êtres.

  70. @ Catherine JACOB | 26 juin 2019 à 07:27
    « Ce qui regarde la vie privée du citoyen lambda, regarde toutefois l’électeur dès lors qu’il s’agit de savoir si on a élu un président ou une fusion romantique qui lui coûtera plus cher que prévu ! »
    De tout temps les dirigeants du pays ont été fortement influencés par leur épouse ou par leur(s) maîtresse(s).
    Cela a notamment été le cas de Louis XIV avec madame de Maintenon qui pouvait faire ou défaire la carrière de l’un de ses ministres avec un simple câlin. Même le Général était à l’écoute de la discrète, mais à l’avis très tranché, « tante Yvonne ».
    Il est possible de citer des tas d’exemples de ce genre tout au long de l’histoire de France.
    Le couple Macron est bien ce que vous appelez un couple fusionnel.
    La dernière interview donnée par Brigitte Macron à FOG a montré la grande influence de cette dernière sur les décisions de son président de mari.
    J’irai même jusqu’à dire que c’est elle a conduit EM là où il est aujourd’hui.
    C’est sans doute une des plus intelligentes « premières dames de France » de la Ve République, une des plus attaquées également. Et comme il est difficile de critiquer sa personnalité, ses détracteurs s’en prennent à son physique. Je trouve cela inconvenant et surtout pitoyable.

  71. @ GLW | 26 juin 2019 à 09:17
    Allez, un petit coup de pédale de plus, je suis comme Charly Gaul j’aime la chaleur, j’espère que ma mémoire ne me trahit pas j’étais très jeune et je l’ai vu au départ des Pyrénées et abandonner, je crois me souvenir que c’était son dernier Tour de France.
    Bianchi et Felice Gimondi actuellement, grand représentant de la firme, pour les passionnés, direction C-Record Campa, pédalier Sugino, et boîtier de pédalier Stronglight, français comme son nom ne l’indique pas, pour la solidité et la fluidité de très belles fabrications aussi. 41X28 pour les cols mais humblement aujourd’hui je ne passerai pas la première rampe, 30 serait à ma main ou plutôt à mon pied, mais il restera dans son jus, je suis un grand sentimental.
    Une de mes premières payes fut pour un Gitane réplica celui de Bernard Hinault, un gros mois de salaire…
    De très belles fabrications acier aujourd’hui chez les constructeurs que vous citez, et toujours un beau mois de salaire, mais le plaisir vaut bien quelques gouttes de sueur, un maillot trempé et quelques sacrifices.
    J’arrête ici, la nuit n’y suffirait pas…

  72. Patrice Charoulet

    J’avais un peu oublié Philippe de Saint-Robert, qui n’envahit pas vraiment les médias. Par hasard, j’ai eu l’occasion d’entendre un entretien d’une heure avec cet écrivain, né en 1934.
    Je savais qu’il avait été proche de Montherlant et qu’il était gaulliste. De cet entretien, je retiens ceci :
    « On ne se fait que des ennemis en écrivant. »
    Comme on lui parle de bonapartisme à propos du général de Gaulle (et Zemmour le fait assez souvent aussi), il conteste ce lieu commun par l’avis du général lui-même qui préférait parler de « renaissance de la pensée capétienne ».
    « Napoléon a brisé l’épée de la France » (de Gaulle)
    « Je n’aime pas Maurras » (Ph. de Saint-Robert)
    « Maurras a formé de durs petits esprits » (Bernanos)
    « DG est un Proust de l’espoir collectif » (Régis Debray)
    Philippe de Saint-Robert se désole des propos de la patronne de la radio publique voulant éliminer les « mâles blancs de plus de cinquante ans ».
    « Le progressisme, c’est de la bibine. »
    On l’interroge sur les récentes élections européennes, il les trouve tellement consternantes qu’il préfère ne rien en dire.
    « Macron est évidemment fédéraliste. »
    « Les Français sont majoritairement antifédéralistes, c’est clair. »
    « Macron s’est fait élire par défaut. »
    « Il faut revenir à l’Europe des Etats. »
    « J’ai horreur des politiciens qui font le trottoir de la jeunesse. »
    « Quand on est jeune, on est bête. »
    Voilà un homme qui mérite d’être connu. Il a écrit des livres sur de Gaulle, Montherlant et la langue française.

  73. J’ai suivi le débat sur CNews : MM. Bilger, Praud, Fenech, Leclerc et d’autres…
    Sur l’islamisme, on les sentait tous très prudents, par peur de représailles des assoçs islamo-gauchistes, à l’image de notre gouvernement et ses élus aplaventristes ; on en a conclu qu’il est devenu urgent de ne pas se presser voire de ne rien changer ; j’aurais titré : « La trouille de l’islam ».
    Deuxième partie sur Sciences Po : encore plus pathétique voire risible et caricatural : pas un n’a évoqué que cette « réforme » au goût d’égalitarisme forcené tant prôné par les gauchistes ouvrira un boulevard à tous les losers, les parasislamistes sociaux assistés, les opportunislamistes protégés tolérés voire encouragés par électoralislamisme, les salafistes, les associations gauchislamistes… tout le monde l’aura compris haut et fort, sauf nos chers chroniqueurs du moment, alors que cette magouille est aussi grosse qu’un cheval de Troie.
    Je sens qu’on va bien s’amuser dans ce pays carpette paillasson pour islamistes.

  74. Bonjour,
    Zéro culture républicaine n’est en jeu ici, semble-t-il.
    La substantifique problématique n’est-elle pas l’impudeur ?
    La société du spectacle suivie de la télé-poubelle, la frontière du normal-anormal a glissé.
    L’impudeur est gravée en norme, la pudeur est suspecte.
    Le pudique cache un sombre secret… intweetable… infacebookable…
    La sexualité de Macron est de la vulgarité, pas de la normalité (la fête de la Musique 2018 aussi…).
    L’élégance d’Obama est de l’artifice d’une minorité ethnique encodée (les blacks disent un bounty).
    L’accessoire a pris le pas sur le principal, l’apparence sur le contenu, la forme sans aucun fond.
    Si l’histoire est la science du changement depuis Marc Bloch, je vous invite à re-re-revoir le film « Ridicule » de Patrice Leconte en 1996.
    Les gravures n’ont pas changé, ante-République comme post-République.
    On « confia le sérail aux eunuques », des courtisans poudrés de storytelling.
    Bernard de La Villardière n’est pas Ponceludon de Malavoy, il en est même l’Antéchrist…
    Bonnes gravures à tous.

  75. @ sbriglia | 26 juin 2019 à 09:51
    ▬ « …qu’il reste à faire dans le domaine de l’égalité des sexes »
    C’est quoi l’égalité des sexes ?
    La taille ?!
    ▬ « …du sexe dit fort »
    Qui le dit ? À part vous ?
    C’est quoi un sexe fort ?!
    ▬ « sur la relation fusionnelle de deux êtres… »
    …qui a commencé quand l’un avait 14 ans et l’autre était son enseignante de 40 ans, mais c’était dans une école de Jésuites, chez les catholiques où l’on a l’habitude de tripoter les enfants.

  76. @ xc | 26 juin 2019 à 08:19
    « Y compris le mettre en dessous de 15 ans, ce qui aurait fait la joie de nombre de pervers… »
    Mais des magistrats y ont contribué largement en prétendant qu’une enfant de 11 ans pouvait donner un consentement libre et éclairé.
    Quid du 227-22, parce que ça, cela reste quoi qu’il arrive :

    • Les mêmes peines sont notamment applicables au fait, commis par un majeur, d’organiser des réunions comportant des exhibitions ou des relations sexuelles auxquelles un mineur assiste ou participe ou d’assister en connaissance de cause à de telles réunions.

    Une réunion, c’est au minimum deux personnes !
    Et le 227-25 parle d’atteinte !

  77. Claude Luçon

    @ Achille | 26 juin 2019 à 09:51
    « De tout temps les dirigeants du pays ont été fortement influencés par leur épouse ou par leur(s) maîtresse(s). »
    Les Italiens plus pragmatiques et réalistes disent :
    Il padrone di casa sono Io, chi comanda e mia moglie !

  78. Catherine JACOB

    @ Achille | 26 juin 2019 à 09:51
    « De tout temps les dirigeants du pays ont été fortement influencés par leur épouse ou par leur(s) maîtresse(s).
    Cela a notamment été le cas de Louis XIV avec madame de Maintenon qui pouvait faire ou défaire la carrière de l’un de ses ministres avec un simple câlin. »
    Oui mais bon, Louis XIV n’était pas roi d’une monarchie élective, la monarchie française n’ayant été élective, tout au moins en théorie, que jusqu’à la mort de Philippe II dit « Philippe le Magnanime » (14 juillet 1223 – date intéressante qui renvoie simultanément à la fin de la royauté élective comme à la prise de la Bastille – 14 juillet 1789). Les rois étaient alors élus par les grands feudataires.
    « Tout d’abord Gouvernante des enfants naturels de Louis XIV (1638–1715), roi de France et de Navarre, et de sa maîtresse Madame de Montespan, la veuve Scarron devint en effet, à 48 ans, secrètement son épouse après la mort de la reine Marie-Thérèse en 1683 qui suivit la disgrâce de Mme de Montespan après l’affaire des poisons et le décès en couches de Mlle de Fontanges.
    Elle avait acheté pour 150 000 livres en 1674, le titre de marquise ainsi que le château de Maintenon où les enfants du roi et de Mme de Montespan furent élevés.
    On dit que le roi fut d’abord séduit par son amour pour les enfants, puis par l’intelligence de celle qui à seize ans, sans le sou mais jolie et sage, avait épousé le poète Paul Scarron, de vingt-cinq ans son aîné et gravement handicapé, dont elle tint le salon fréquenté par de nombreux artistes, par les écrivains de l’époque et par les plus prestigieux noms de la capitale (par exemple le maréchal d’Albret un cousin du marquis de Montespan, maréchal de France fidèle d’Anne d’Autriche, la mère du roi -, le marquis de Villarceaux – capitaine-lieutenant des chevau-légers de Monseigneur le Dauphin et du duc d’Orléans, le frère de Louis, puis par la suite capitaine des gardes du Dauphin, un militaire à la réputation sulfureuse de débauché -, l’abbé de Choisy – académicien – etc.) qui firent son éducation et contribuèrent à former son esprit par la transmission d’un grande culture et probablement la transmission d’un catalogue d’anecdotes intéressantes. »
    Lorsque meurt Paul Scarron elle avait acquis l’art de plaire et noué d’intéressantes relations qu’elle conserva – rédigé d’après divers articles documentés.
    Tout cela pour dire que, de nos jours, Mme de Maintenon eut sans doute pu accéder à un portefeuille ministériel et eut sans doute fait un meilleur Premier ministre qu’Edith Cresson !!

  79. Ici est un blog pour juristes, littéraires et hellénistes distingués, quelques rares faiseurs dont le cordial et toujours élégant boureau, un conteur réaliste et puissant Claude Luçon, un colonel dans l’équipe, je suis partant – j’ai eu affaire à l’ordonnance du général Massu, qui présidait des réunions, tout pour avancer, un vrai plaisir, et que du bon boulot !
    Nous avons tout en fait pour rebâtir Notre-Dame dans des délais, je vous le certifie, qui seraient moindres que ceux de Emmanuel Macron tout en respectant la conception choisie, cinq ans il faut se rendre compte, une vie avec les moyens techniques actuels, impensable ! On nous vend du vent, le plus long sans doute reconstituer l’intérieur, mais le temps masqué cela existe et les 3X8 aussi et puis quand la volonté y est le vent souffle toujours dans la bonne direction.
    Mais par pitié quand va-t-on se décider ? Les semaines passent et comme d’habitude rien ne se produit, les hâbleurs et diseurs occupent le terrain, assez de ces ensembles où chacun de par la médiatisation a besoin d’exister, de se rendre important, le pays se fossilise, nous sommes le c*l dans la graisse et nous ne nous en rendons même pas compte.
    Je suis un peu courroucé ce matin, on nous gave de précautions contre la canicule, ce ne devrait pas être l’objet d’un tel battage, il y a eu un précédent certes, les énarques nous ont tués, et plus encore ils nous enlisent, visionnaires de rien du tout poulets élevés au tout-aliment, sans odeur et sans goût.
    J’en ai entendu un encore ce matin, gants blancs et chaussettes en fil d’écosse, il m’a gonflé et je ne pouvais pas lui répondre.
    Boureau a écrit « je suis dans l’action » il a bien raison de mon point de vue, on ne sait plus rien faire à part des avions qui sont loin de suffire à la balance commerciale et à satisfaire Didier Migaud, comment inverser cette tendance mortifère ? Je crois en la culture, elle élève, mais je crois aussi à la bétonnière, elle nous abrite et construit.
    Quand est-ce qu’on coule du béton ?

  80. @ GLW | 26 juin 2019 à 09:17
    Je me suis penché sur le dernier billet de notre hôte alors avant de me tordre l’estomac je m’octroie un dernier tour de piste, vous avez évoqué la marque MBK, support sac chromé, et le triple plateau pour le fun comme disent les jeunes, pour grimper aux arbres :
    https://i.goopics.net/x5N0Q.jpg
    https://i.goopics.net/J8VPy.jpg
    Bon reste plus qu’à poursuivre les billets suivants, parfois plus durs à avaler que le Peyras.

  81. Catherine JACOB

    @ Elusen | 26 juin 2019 à 13:33
    « mais c’était dans une école de Jésuites, chez les catholiques où l’on a l’habitude de tripoter les enfants. »
    S’il vous plaît ! Non !!
    Pourquoi faut-il sans cesse rappeler que les gros tripoteurs se rencontrent à l’intérieur des familles !
    « Lutter contre la pédophilie, repère pour les éducateurs:
    Les révélations d’abus sexuels concernant les enfants et les jeunes suscitent, à juste titre,une vive émotion. Et quand un membre de l’Eglise est mis en cause, les réactions atteignent une très grande violence, la déception étant à la hauteur des attentes. »
    Cela ne veut pas dire qu’il y a plus de pédophiles parmi les membres de l’Eglise mais seulement une plus grande déception à la hauteur de la confiance a priori inspirée !! D’où effectivement il était temps pour un pape de se saisir du problème à bras-le-corps, avec sans doute plus de chances de pouvoir mettre de l’ordre, sur ce plan, dans l’Eglise, que les parquets n’en ont de faire les ménage et dans les familles et dans l’ensemble des institutions, organismes et clubs sportifs fréquentés par des mineurs.
    Celui-ci n’était pas un membre de l’Eglise, qui, dans « L’affaire qui commence en février dernier quand l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication (OCLTIC) saisit le parquet d’Angers du cas d’un homme de 24 ans diffusant des images pédo-pornographiques sur internet.
    Interpellé, le jeune homme est mis en examen pour échanges et transferts d’images pédo-pornographiques mais aussi pour agressions sexuelles et viols de deux de ses neveux de 4 et 5 ans. » Publié le 31/10/2018 à 9h37 par SudOuest.fr avec AFP

  82. @ Giuseppe 26 juin 2019 à 10:11
    J’aime pas le vélo !
    Si, un peu, mais j’en ai tellement « mangé » quand j’étais petite que ça a fini par me sortir par les yeux.
    Imaginez-vous les déjeuners de famille quand vous avez 7-8 ans avec un oncle champion de France amateur (42-43) qui a couru chez Mercier-Pelissier ; Mercier-Hutchinson ; Mercier-Leduc et qui a été équipier de Louison dans quelques tours de France !! (ce qui nous a tout de même valu à une époque de séjourner gracieusement quelques week-ends à Quiberon dans sa thalasso 😉 Plus un frère champion de France de cyclo-cross…
    Alors les pédaliers, le poids de l’engin, les gourdes et l’alimentation j’ai tout jeté. Du coup je me suis recentrée sur le tennis. Pas de pot, un de mes cousins a été classé moins quinze à 17 ans et est rentré en équipe de France junior 🙁
    Heureusement comme il était un peu feignant et qu’il n’avait pas besoin de ça pour vivre on (la famille) n’a pas été obligé de se farcir tous ses déplacements 😀
    Evidemment Giuseppe je plaisante un peu… mais seulement un peu…

  83. @ Catherine JACOB | 26 juin 2019 à 13:00
    J’ai regardé la vidéo des « pousseurs » ! Surtout ne diffusez pas cela sur les zéros sociaux malheureuse ! Les Français croient qu’il n’y a qu’en France que les gens sont trop « pressés » dans leurs métros et ils croient, en plus, que les Japonais son très… policés 😉
    Non, d’après le Gorafi, les Parisiens n’ont pas été poussés pour repartir vers Montparnasse sans eau, sans chouchen et sans fraises de Plougastel.
    Mais le Gorafi dit-il toute la vérité ?
    Adéo Catherine

  84. @ Giuseppe (Sarre honnie ?)
    Remarquez, il a pu Sarko emprunter le cycle en votre absence. Les politiques ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît. La monture de Fausto Coppi oui, ses chevauchées en solo démentes. Comme Bob, on aurait pu lui coller une oreillette rien à faire, ils tracent ils tracent. Son soigneur Cavanna – non, rien à voir avec l’auteur des « Russkoffs » – qui, aveugle, avait senti cette fibre musculaire si particulière. Chez Bob aussi ouille : « Z’êtes tout raide au niveau de la nuque m’sieu, pourriez un peu lâcher Internet ». La fureur du premier devant le kiné tout gêné par son audace…
    Pout le Tour à venir, j’mettrais bien une piécette, étant radin, sur Egan Bernal (Ineos). L’ex-Sky même de retour à la compétition a survolé le Tour de Suisse en ses paysages pointillistes.

  85. Jean le Cauchois

    Je lis tardivement que des commentateurs, et surtout des commentatrices, s’intéressent au couple Emmanuel-LGBT. Je ne vois pas où est l’intérêt : dans le prénom Emmanuel qui, comme Dominique, peut être, à la prononciation, considéré comme masculin ou féminin ? Quant à LGBT, ce n’est qu’une abréviation amicale, et même affectueuse, que je dédie à Achille pour La Gracieuse Brigitte du Touquet. Et sans effet Licorne, ou Honni soit qui mal y pense.

  86. @ breizmabro | 26 juin 2019 à 09:43
    Excellent, mais cela pourrait un jour se réaliser, ici les Catalans ne supportent plus les touristes en pantacourt et marcel qui se saoulent de sangria à deux euros.
    Pas de canicule en Catalogne, il fait 30° et personne ne pleurniche comme en France.
    Faut dire que nous avons le ventilateur Manuel Valls.

  87. Mary Preud'homme

    « J’ai trouvé pour ma part ce cliché très intéressant. Sans doute a-t-il été choisi par quelqu’un qui ne doit pas se laisser facilement berner par une apparence de « gentillesse » (sauf en ce qui concerne celui pour lequel nous n’avons voté ni l’une ni l’autre au premier tour bien évidemment). »
    Rédigé par : Catherine JACOB | 26 juin 2019 à 07:27
    ____
    Comme déjà dit je trouve cet Obama assez caricatural, de même que ceux qui ramènent toujours ce président à sa noiritude ou à sa bountytude supposée, comme si sa mère américaine blanche qui l’a élevé, de même que ses grands-parents côté maternels, sans qui il ne serait pas devenu ce qu’il est, n’existaient pas, par rapport à un africain lâche qui l’a quasiment abandonné ?
    Quant à voter pour Macron venu pour casser la France, que nenni pas plus au premier tour qu’au second où j’ai choisi de voter blanc.

  88. @ Rédigé par : Catherine JACOB | 26 juin 2019 à 15:31
    ▬ « S’il vous plaît ! Non !! »
    C’est pourtant biblique !
    ▬ « Pourquoi faut-il sans cesse rappeler que les gros tripoteurs se rencontrent à l’intérieur des familles ! »
    Génial ! Pour prouver que cela ne concerne pas les catholiques, la vie chrétienne serait donc une source ?!
    Un article de Sud-Ouest qui n’affirme pas qu’il y a 477 enfants violés, mais que l’on cherche si un parmi eux l’aurait été.
    Et pour finir aucune source statistique !
    La Bible liturgique, traduction officielle pour l’Église catholique.
    Le livre des nombres – chapitre 31 :

    • 17 Maintenant, tuez donc tous les petits garçons ; et toutes les femmes qui ont partagé la couche d’un homme, tuez-les !
      18 Mais toutes les petites filles, elles qui n’ont pas partagé la couche d’un homme, vous pouvez les garder vivantes pour vous.

    C’est pas moi, c’est lui !

  89. Catherine JACOB

    @ Elusen | 26 juin 2019 à 23:58
    « C’est pas moi, c’est lui ! »
    Comment considère-t-on le Livre des Nombres :
    « La tradition attribue son écriture à Moïse, mais les tensions et contradictions internes du livre, ainsi que le vocabulaire employé et les allusions à des événements historiques, incitent la recherche moderne à situer plutôt son écriture entre le VIIIe siècle av. J.-C. et le VIe siècle av. J.-C..
    Il est peu commenté par la tradition et peu travaillé par les chercheurs modernes, si bien qu’il fait figure de parent pauvre dans l’exégèse de l’Ancien Testament. Origène, père de l’exégèse biblique qui attribue facilement un sens allégorique aux Écritures, estime que la lecture de ce livre est rejetée « comme des nourritures lourdes et indigestes » (Homélies sur les Nombres, vers 239-242) » – extrait article… Wiki 😉
    – Cela étant, je doute que ce soit pour accomplir la loi de Moïse qu’un pédophile se livre à ses penchants. De plus et d’une façon générale, ce ne sont pas de nos jours, les Chrétiens qui prennent prétexte de la Bible lue au pied de la lettre et hors contexte pour accomplir leurs forfaits, si vous voyez ce que je veux dire !!!
    Nonobstant, Livre des Nombres – Chapitre 31:
    – 02 « Exerce la vengeance des fils d’Israël contre les Madianites. Ensuite tu seras réuni aux tiens. »
    o Il ne s’agit donc pas d’une prescription mais d’une vengeance, les femmes des Madianites ayant été réputées avoir séduit les enfants d’Israël et fait adopter le culte des idoles, lequel culte était donc lui, pour sa part à proscrire.
    o L’offense à la divinité ayant donc été perpétrée sous l’influence des femmes des Madianites, on comprend dès lors la signification de ce verset:
    – 18 « Mais toutes les petites filles, elles qui n’ont pas partagé la couche d’un homme, vous pouvez les garder vivantes pour vous. »
    o Autrement dit, la vengeance ne s’exercera pas contre les petites filles qui n’ont pas, elles, commis le crime de séduction contre lequel la vengeance a été déclenchée. De plus, « les garder pour vous » peut aussi bien avoir le sens de « comme futures servantes quand elles en auront la capacité », que « comme épouses, l’âge venu » et rien n’autorise votre lecture, à savoir «comme mineures de quinze ans à violer.».
    Enfin,
    – 17 « Maintenant, tuez donc tous les petits garçons ; et toutes les femmes qui ont partagé la couche d’un homme, tuez-les ! »
    Doit manifestement être compris au sens ancien qui en ce qui concerne les fils, est destiné à prévenir leur future vengeance ou le déclenchement de ce qu’on appelle encore une « vendetta » ou bien dans les cultures nordiques, une « faide » ; on observera que les femmes qui n’ont pas séduit les dits « Fils d’Israël », sont épargnées et qu’aucune vengeance donc ne saurait s’exercer contre elles.
    D’une façon générale, les interprétations anachroniques et/ou tendancieuse de textes anciens, qui plus est, sortis de leur contexte, sont à l’origine de beaucoup de sottises. Particulièrement quand elles sont le fait, intrinsèquement, d’imbéciles ignares !

  90. @ Savonarole 26 juin 2019 à 21:02
    « Faut dire que nous avons le ventilateur Manuel Valls »
    « Donner c’est donner reprendre c’est voler » et on ne veut surtout pas être taxé de voleurs…
    Adéu !

  91. @ scoubab00 | 26 juin 2019 à 16:57
    Dernière revue avant de passer à la lecture du billet suivant, dont j’attends les commentaires, alors j’en profite une dernière fois, sinon c’est fichu la nuit va y passer.
    Giuseppe Saronni, et sa rivalité avec Francesco Moser. Champion du monde ! Un coureur solide de son époque.
    Tant que l’on y est, le contre-la-montre de Miguel Indurain du lac de Vassivière étape 19 en 1995 restera un des plus grands exploits physiques de tous les temps, le premier tiers du parcours, et quel parcours ! réalisé à près de 60 km/h et les presque 48 km avalés en moins d’une heure.
    Bon j’arrête ici, le vélo est devenu un objet de luxe pour bobos, exploité à fond par les constructeurs, quelques freins sont encore mis, mais entre les transmissions électriques sans fil – ce qui ne me dérange pas en soi – c’est le prix du marketing et là on atteint des sommets.
    De la haute couture, c’est ainsi.
    Bien évidemment et avec un peu de malice et de recherches on peut toujours feinter, heureusement, faire évoluer sa monture dans la tradition.
    J’adore le principe pignon, chaîne, huile de cuisse.
    Dernière et ultime anecdote, chaque année sans nous concerter et sans forcément nous recontacter nous nous retrouvions dans le même bar-brasserie, à la même heure, pour l’étape des Pyrénées. Une même équipe du même milieu, le patron de ce bar ne nous voyait qu’une fois par an, mais il avait sans doute lu le bouquin de Tonino Benacquista.

  92. @ Catherine JACOB | 27 juin 2019 à 07:26
    Et revoilà beauferie de service avec son Wikipédia.
    Si c’est écrit dans Wikipédia, c’est donc la vérité, ainsi parla Wikipédia.
    Experte en rien, juste en clic sur Wikipédia, cela ne lit jamais la Torah-Bible, le Coran, mais clic, clic, clic, c’est du savoir pour elle.
    S’autoriser à penser que la madame peut parvenir avec ses petits bras à prouver qu’il ne s’agit pas de rapports sexuels avec des enfantes, là son déni devient son comble.
    Livre de la Genèse – chapitre 19 :

    • 05 Ils appelèrent Loth et lui dirent : « Où sont les hommes qui sont venus chez toi cette nuit ? Amène-les : nous voulons nous unir à eux. »
      06 Loth s’avança vers eux, à l’entrée, et ferma la porte derrière lui.
      07 Il dit : « De grâce, mes frères, ne commettez pas le mal !
      08 Voici, j’ai deux filles qui ne se sont unies à aucun homme. Je vais vous les amener, et vous leur ferez ce que bon vous semblera. Mais à ces hommes ne faites rien : ils sont venus s’abriter sous mon toit. »

    C’est pas moi, c’est Wikipédia !

  93. Catherine JACOB

    @ Elusen | 27 juin 2019 à 15:14
    Décidément vous démarrez au quart de tour.
    J’ai déjà suffisamment répondu par le passé sur le chapitre de Wikipédia, son usage, son mésusage, son utilité et ses aléas.
    En ce qui vous concerne, le gauchissement systématique, la décontextualisation et l’anachronisme à tour de bras portent un nom : PROPAGANDE.
    Qui plus est, pas plus que dans le cas du livre des nombres 31- 17 & 18, votre citation du chapitre 19 de la Genèse ne tient compte du contexte.
    Le lieu du récit est Sodome, et les « hommes » dont vous parlez sont des anges:
    « Les deux anges arrivèrent à Sodome le soir, et Lot était assis à la porte de Sodome. En les voyant, Lot se leva pour aller au-devant d’eux et il se prosterna le visage contre terre, et il dit:
    2 « Voici, mes seigneurs, entrez, je vous prie, chez votre serviteur pour y passer la nuit; lavez vos pieds; vous vous lèverez de bon matin et vous poursuivrez votre route. » Ils répondirent: « Non, nous passerons la nuit sur la place. »
    3 Mais Lot leur fit tant d’instances qu’ils vinrent chez lui et entrèrent dans sa maison. Il leur prépara un festin et fit cuire des pains sans levain; et ils mangèrent. »
    Lot se porte ensuite en défenseur de l’hospitalité, et les anges le défendent contre la violence que veulent exercer à son égard les habitants de Sodome qui le traitent d’étranger. Finis de faire, Sodome sera détruite et Lot destiné à être épargné :
    « L’un des anges dit: « Sauve-toi, sur ta vie. Ne regarde pas derrière toi, et ne t’arrête nulle part dans la Plaine; sauve-toi à la montagne, de peur que tu ne périsses. » »
    Lorsque Orphée revient des Enfers, la condition pour qu’Eurydice le suive jusqu’au bout est également celle-ci : « de ne pas se retourner ».
    Orphée ne résiste pas à la tentation de se retourner et Eurydice est alors happée par l’Hadès. La femme de Lot se retourne et se métamorphose en une colonne de sel.
    Dans un autre mythe, celui de la naissance de Dionysos, « Sur la perfide suggestion Héra, la jalouse épouse de Zeus, déguisée en sa nourrice, Sémélé demande à contempler Zeus, de qui elle est enceinte, dans toute sa majesté. Incapable de supporter cette vue, Sémélé trouve la mort. Zeus tire alors son fils du ventre de sa mère et, s’entaillant la cuisse, y coud l’enfant pour mener sa gestation à terme. »
    Or donc là comme au chapitre 19 de la Genèse, on observe la transgression d’un tabou portant sur l’objet interdit de contemplation, et le sauvetage de la postérité.
    Bref, après la destruction de la Plaine, Lot dont la femme n’a pas respecté l’interdit / tabou édicté par la divinité, et ses filles, désormais seuls au monde habitent dans une caverne et c’est alors qu’intervient la nécessité de sauvetage de la postérité :
    « 31 L’aînée dit à la plus jeune: « Notre père est vieux et il n’y a pas d’homme dans le pays pour venir vers nous, selon l’usage de tous les pays.
    32 Viens, faisons boire du vin à notre père et couchons avec lui, afin que nous conservions de notre père une postérité. »
    C’est donc à l’initiative de ses filles que Lot commet, par ailleurs « à l’insu de son plein gré », l’inceste, lequel est justifié dans le texte par quelque chose de plus important que la prohibition de l’inceste, dit selon les termes levi-straussien qui est la perpétuation de l’espèce. Et les filles de Lot qui ne tiennent pas un langage de petites filles, n’en sont pas davantage.
    On observera également ce genre de viol, ici du père par les filles et non l’inverse, à propos de la conception du roi Arthur résultat d’une tromperie d’Ygerne par le roi Uterpandragon avec l’aide contrainte de Merlin
    ———
    Quant à la grossièreté qui consiste à s’adresser à votre interlocuteur (trice) en usant de la troisième personne et non de la deuxième, elle vous définit particulièrement et d’autant plus lorsqu’il s’agit d’une interlocutrice à laquelle vous déniez, à titre d’argumentaire principal, toute capacité personnelle d’analyse, comme originaire d’une culture d’un patriarcat exacerbé !

  94. @ scoubab00 | 26 juin 2019 à 16:57
    Ça y est ! Cela m’est revenu – pour l’écrivain-scénariste – au départ, nous étions deux, puis ce jour-là pour les présents, après une étape dantesque, nous avions décidé de nous retrouver chaque année au même endroit à la même heure. Deux heures prises sur des emplois du temps chargés.
    Bon, une vague ressemblance avec le roman… Quoique… Aucun appel ou communication entre deux Tours de France et cela a fonctionné, le bar-brasserie avait changé de patron quand nous y sommes revenus pour la dernière fois.
    https://www.letemps.ch/culture/livres-on-devenir-un-parie-tonino-benacquista

  95. @ Catherine JACOB | 27 juin 2019 à 18:41
    ▬ « Propagande. »
    La propagande vint de l’Église catholique !
    Xavier Landrin chargé de cours en sociologie à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne, dans son article rappelle :

    • Congregatio de Propaganda Fide (Congrégation pour la propagande de la foi)
      La consolidation de la propagande comme travail de conquête hégémonique des esprits s’observe en particulier à travers deux processus longs : la formation de l’État monarchique, l’expansion et la stabilisation de l’Église catholique.

    Dans son article le professeur Bruce Lannes Smith, docteur en science politique et science économique, Michigan State University, East Lansing :

    • The word propaganda itself, as used in recent centuries, apparently derives from the title and work of the Congregatio de Propaganda Fide (Congregation for Propagation of the Faith), an organization of Roman Catholic cardinals founded in 1622 to carry on missionary work.

    Oups, l’effet boomerang, ça doit faire mal ça ?!
    En deux articles, de deux universitaires, de deux continents différents, vous passez pour une personne limitée intellectuellement.
    ▬ « la décontextualisation »
    Tous les criminels affirment la même chose que vous : « C’est décontextualisé ! C’est pas moi, c’est lui ! les autres le font et vous ne dites rien ! »
    La pédophilie, le prosélytisme de l’esclavage, le cannibalisme, le viol, le meurtre, les génocides sont tous prônés dans la Bible !
    Et cela serait une décontextualisation ?!
    Si votre Bible et votre Dieu ont un contexte, qu’est-ce que vous venez nous emmouscailler 2 500 ans après, laissez-les là-bas, dans leur contexte !
    Parce que ça, quoi qu’il arrive, contexte ou pas, cela reste de la pédophilie, propagande de l’Église catholique :
    La Bible liturgique, traduction officielle pour l’Église catholique.
    Le livre des nombres – chapitre 31 :

    • 17 Maintenant, tuez donc tous les petits garçons ; et toutes les femmes qui ont partagé la couche d’un homme, tuez-les !
      18 Mais toutes les petites filles, elles qui n’ont pas partagé la couche d’un homme, vous pouvez les garder vivantes pour vous.
  96. Catherine JACOB

    @ Elusen | 28 juin 2019 à 01:43
    Bonne occasion de rappeler le personnage considéré comme le fondateur d’une monarchie ayant sous son roi Louis le Xe, aboli le servage, par l’édit du 3 juillet 1315 qui permettait à tout esclave arrivant en France d’être affranchi : « Le sol français affranchit l’esclave qui le touche », est ce Clovis en lequel la tradition républicaine reconnaîtra en effet le premier monarque de ce qui devint la France, personnage qui avait pour emblème un batracien en lequel il est possible de reconnaître diverses symboliques dont celle du « crapaud apothicaire », et qui se convertit et se fit baptiser avec trois mille autres guerriers francs.
    Quand bien même cela n’aurait aucun rapport avec l’emblème franc, il est accessoirement intéressant de noter que les Anglais ont appelé au XVIIIe les Français «Froggies».
    Bref, institution courante chez les peuples de l’Antiquité, il est reconnu que c’est sous l’influence de l’Eglise dont la propagande, précisément, rappelait que tous les humains sont égaux devant Dieu, que l’esclavage fut interdit dont la pratique sévit de nos jours encore de par le monde et, underground, jusque dans certains milieux de notre capitale !!
    Nonobstant, si vous me permettez de préciser le sens dans lequel j’emploie mes propres mots, il s’agissait, ainsi que le lien hypertexte permettait de le comprendre, de la propagande au sens politique que le mot revêt au XXe siècle.
    Quant à votre rappel de « La Bible liturgique, traduction officielle pour l’Église catholique, Livre des nombres – chapitre 31 – 17 & 18 », je vous renvoie à ma réplique précédente qu’une mémoire de poisson rouge semble vous avoir fait oublier d’un post à l’autre. Cela dit, malgré leur réputation, les poissons rouges ont de la mémoire. Plus que vous en tout cas.

  97. @ Elusen
    S’il me fallait ouvrir un rayon Prisu dans tel département Histoire, c’est à vous que je le confierais. Ce qu’écrit Catherine (JACOB) est à des coudées au-dessus de vos approximations. Z’avez quelques progrès à faire herr kamarade souquez ferme 🙂
    —————————————————
    @ Giuseppe
    Vous parliez de freins Campagnolo dans telle descente raide. Dites-moi Beppe : vous avez déjà déjà grimpé le Tourmalet ? Pas trop dur ? Abordable pour un cycliste de niveau très moyen comme moi ? Lesté de quatre-vingt cinq kilos qui plus est uhhhhh 😉

  98. @ scoubab00 | 28 juin 2019 à 13:26
    « …s’il me fallait ouvrir un rayon Prisu dans tel département Histoire… »
    Parce que vous auriez la capacité intellectuelle, le niveau de connaissances utile pour sévir dans un département d’Histoire vous ?! Ce serait plus dans un département de contes de fées, au moins vous resteriez dans l’histoire, ou un coffee-shop à la rigueur.
    ———————
    @ Catherine JACOB | 28 juin 2019 à 08:24
    Vous êtes quelqu’un qui se sert de Wikibeauf pour paraître, qui change de sujet constamment pour détourner l’attention, mais il n’en reste pas moins que ce propos est de vous et personne d’autre :

    • le gauchissement systématique, la décontextualisation et l’anachronisme à tour de bras portent un nom : PROPAGANDE.

    Votre propos parle de lui-même ; la propagande, cela vient bien de l’Eglise catholique, donc du droitisme, pas du gauchisme.
    L’Église catholique et la Bible décontextualisent elles-mêmes l’Histoire, l’Archéologie, elles sont elles-mêmes anachroniques, elles sont révisionnistes.
    Vous voulez décontextualiser quelque chose qui est déjà décontextualisé, qui est sans rapport au réel.
    En ce qui concerne la pédophilie prônée dans la Bible, cela ne change rien ; vous n’avez donné aucune explication, mais cherchez des excuses, j’ai le droit aux fameux arguments fallacieux : « c’est pas moi, c’est lui. Les enfants le font exprès, ils me cherchent, ils me provoquent, c’est de leur faute, etc. etc. »
    Bientôt je vais avoir le droit à vos références sur Raël.
    Les preuves établissent des faits, et celui-là est clair.
    Je peux prouver que c’est écrit, vous ne pouvez pas prouver que ce n’est pas écrit.

  99. @ scoubab00 | 28 juin 2019 à 13:26
    J’avais fait allusion à mes étriers de freins, les mêmes que Lucho Leblanc et Virenque, très efficaces en descente, des Ultegra 600 (cela ne rajeunit pas). Inusables ! Jantes Mavic U Control, le top, enfin pour moi.
    Vous me parlez de 85 kg pour vous. Escalader le Tourmalet suppose une belle condition – merci docteur – c’est… Soit vous avez un gros moteur et l’avez rodé sur 2 500 km et c’est faisable avec un petit régime (même si vous êtes grand), pour vous ce sera 30X28, mais attention mouliner suppose de la résistance sinon vous allez exploser, mais c’est sympa.
    Très difficile pour un amateur même éclairé, à partir de Gripp. Pour moi c’était quand j’avais le poids de Miguel Indurain à son époque avant l’étape qui traversait ce col.
    Avec le col d’ Aspin, ils étaient les terrains de jeunesse de tous les passionnés de la région. Je parle pour moi à l’imparfait, ce n’est plus dans mes possibilités, rouleur-puncheur je passais plus facilement l’ Aspin, d’ailleurs je vous le conseille en priorité.
    Ces dernières années je me contentais de sorties entre deux et trois heures journalières, plutôt plates ou bosselées jusqu’à… La circulation des voitures est une calamité, mais c’est une autre histoire.
    Pour le Tourmalet à la sortie du dernier pare-avalanches où Virenque et Indurain avaient fait la différence, il ne faudra pas vous emballer, vous serez à l’entrée de La Mongie, la station bien-aimée de notre Président, il vous restera environ 4 km avec un bout bien raide devant les immeubles, vous verrez…
    J’arrête là… Je ne vois pas les lignes passer…

  100. @ Elusen | 28 juin 2019 à 20:19
    Absolument, tout autant que Catherine (JACOB), une pro en la matière. Vous, petit rappel, vos fondamentaux, c’est : kss kss nonoss
    Bon week-end à vous :))))

  101. @ scoubab00 | 28 juin 2019 à 13:26
    Dernière !? Oui, oui.
    Je ne sais si vous êtes adepte de grigris ou autres amulettes, je privilégie plutôt l’entraînement, ceci dit parfois sur le dos on peut se sentir des ailes, allez donc savoir pourquoi, cadeau !
    https://i.goopics.net/pQZLR.png
    J’espère qu’ils vous aideront, mais je suis du genre « aide-toi le ciel t’aidera », c’est vous qui voyez.
    Belle journée, je viens de terminer 50 mn de home-trainer et un litre d’eau avant de me mettre à l’ombre de ma pelouse bien verte.
    Un vélo c’est bien connu ne dégage pas de particules nocives, seulement du plaisir.

  102. @ Catherine JACOB
    @ Elusen
    @ les lecteurs de leur débat
    Eh bien, chacun aura accusé l’autre de propagande, en toutes lettres ou à mots couverts, mais enfin, qu’est-ce que la propagande ?
    J’en profite pour renvoyer à la définition dans l’Encyclopédie Universalis sur la question :
    https://www.universalis.fr/encyclopedie/propagande/
    Maintenant, est-ce que se servir de Wikipédia ou décontextualiser est un signe de propagande ou d’incompétence ?
    Qui aura pris la peine de lire ce que j’envoie et/ou de réfléchir comprendra bien que non.
    Décontextualiser peut certes se faire par propagande ou manque de connaissance historique, mais aussi parce que scandalisé par certains faits tels que l’encouragement de la pédophilie, on tient les autres pour si accessoires qu’on les oublie, comme, en sens inverse, des gens noient le texte ou le comportement problématique dans le contexte.
    Wikipédia n’est pas un outil parfait, mais il peut être manié correctement si on a certaines connaissances et un esprit critique.
    Il me semble qu’il n’est pas mauvais de rappeler et le texte, et le contexte, les limites des outils et leurs possibilités, en plus du fait que la notion de propagande est des plus problématique et évolutive.
    Il me paraît malheureusement pour le moins prématuré que chacun des interlocuteurs s’adapte à l’autre, chacun ayant sa logique et, semble-t-il, une position à tenir contre son interlocuteur, mais je pense que chacun aura pu en tirer la substantifique moelle.

  103. @ hameau dans les nuages | 29 juin 2019 à 11:33
    Si on s’attarde sur Internet et ses Géo Trouvetou de la découverte, et en y greffant une dynamo de vélo, vous pourriez obtenir de la lumière.
    Et là pas de risque d’arc électrique, Bob l’électricien pourra en apprécier le montage sans risque de s’électrocuter, si ce n’est d’obtenir de beaux blancs battus en neige, avec une goutte de vanille de Madagascar (on vient de m’en porter, des amis).

  104. @ breizmabro | 26 juin 2019 à 16:06
    Ce blog est formidable ! Parfois quelques digressions lui mettent de la couleur aux joues, et peuvent égayer une austère pensée… Le vélo et en même temps comme dirait l’autre un peu de lecture… « A table !… », que voulez-vous Epicure et un peu de breuvage frais – avec modération, of course, le bien nommé course, mais juste ce qu’il faut pour sécréter de l’endorphine, l’abus est dangereux paraît-il.

  105. @ Noblejoué | 29 juin 2019 à 12:03
    « Qui aura pris la peine de lire ce que j’envoie… »
    Ben pas moi ! Vos propos sont tellement décousus, partant dans tous les sens, que je me demande souvent si vous prenez des trucs qui font rire benoîtement, vous faisant voir des éléphants roses en courant toute nue dans des champs de coquelicots tout en chantant à tue-tête Colchique dans les prés.

  106. @ Elusen
    Je préfère faire référence à ce qu’est vraiment la propagande, savoir quelque chose de bien antérieur à son nom et évolutif, et comparer différentes choses de sorte de les éclairer les unes par les autres, que de ne sortir du radotage, voyons, comment dire, teinté d’agressivité et de fantasme quand on n’est pas de votre avis.

  107. Excuses sauf à Catherine JACOB et Elusen qui ont des Universalis, excuses à tous ceux qui pensaient pouvoir lire un article.
    J’ai copié-collé un article, il paraît qu’il était trop long, j’ai voulu le transférer, et vous n’avez qu’un début, une sorte d’amorce publicitaire.
    Pardon d’avoir donné de faux espoirs à certains.
    Mais ce que j’ai dit de la propagande était vraiment appuyé sur cette encyclopédie.
    Et il est vrai, je le maintiens, qu’on accuse les gens de propagande avec beaucoup trop de légèreté, d’ailleurs, on accuse de tout tout le temps sans preuve et sans jamais s’excuser de rien, dans ce blog comme partout.
    Ce que j’ai affirmé sur le contexte, ni oublier le texte, ni le contexte, être à l’équilibre, est un rappel nécessaire, évident et pourtant oublié : une chose est ce qu’elle est mais en lien et expliquée par d’autres.
    Le moindre mal n’existe pas qu’en politique, il faut faire avec les outils, toujours imparfait, Wiki est disponible, traite de plus de choses que bien des encyclopédies, mais avec bien des erreurs.
    Universalis est parfois trop long en copié-collé.
    Soit les gens s’arrêtent à mes erreurs comme si elles invalidaient ce que je dis, soit ils se laissent effrayer parce que je compare comme si toute démarche de compréhension n’était pas comparative…
    Soit, selon les cas, ils apprennent ou se rappellent de ce qu’ils avaient oublié avec moi.

  108. @ scoubab00 | 29 juin 2019 à 09:20
    « Absolument, tout autant que Catherine (JACOB), une pro en la matière. »
    La question était tout de même que vous sévissiez dans des coffee-shops.
    Pas étonnant que tout soit nébuleux.

  109. @ Noblejoué | 29 juin 2019 à 16:28
    Wikipédia, c’est un contrôle du pouvoir !
    Celui qui contrôle le savoir, contrôle le pouvoir.
    Wikipédia est sous-statut juridique des USA et de la Californie où une opinion vaut un fait, où le révisionnisme, le négationnisme, les infox sont considérés comme de la liberté d’expression.
    Une encyclopédie, ce n’est pas de la liberté d’expression, mais un support qui établit des faits.
    Wikipédia est principalement écrit par des groupes d’extrême droite, des entreprises de communication, des entreprises de web réputation et des services secrets tels que la CIA ou la NSA.
    À maintes reprises, les scan des articles ont établi des adresses IP de tels services.
    Tout est anonyme, y compris les comités de relecture, ceux qui valident un article ou empêchent sa publication, voire le verrouillent.
    Personne ne sait qui sont celles et ceux qui écrivent, ni leur légitimité, leur niveau d’études, d’où ils parlent.
    Cela peut être un charcutier qui écrit sur l’Espace-Temps.
    Les références sont presque toutes des articles de presse, ainsi de journaux d’opinion.
    L’extrême droite française explique comment donner l’illusion d’un accord collectif sur l’écriture d’un article, il faut avoir plusieurs comptes, adresses IP, pseudonymes et s’autorépondre pour donner l’illusion qu’il y a plusieurs auteurs experts.
    Elle est financée par Goldman Sachs, des groupes d’armements, du pétrole, des banques de la finance et des milliardaires issus de telles entreprises. Ils ne vont pas financer quelque chose qui va à l’encontre de leurs intérêts.
    Wikipédia n’est pas une encyclopédie, mais un truc qui délivre des opinions pour conditionner les masses, prêcher la bonne parole.
    Pour les articles d’Universalis, vous pouvez les exporter en format PDF, petite icône en haut à droite des articles.
    Ou faire un copier/coller de tout l’article et le mettre dans votre traitement de texte, l’agencer et le sauvegarder en PDF.
    Le fichier, par la suite, il suffit de le stocker sur un site qui accepte les PDF et de mettre le lien ici.
    Propagande, l’article en entier ◄ 6 jours.

  110. @ Elusen
    « Une encyclopédie, ce n’est pas de la liberté d’expression, mais un support qui établit des faits. »
    Je n’ai pas parlé de liberté d’expression mais d’outils, qui, en l’occurrence, selon vos dires :
    « Vos propos sont tellement décousus, partant dans tous les sens, que je me demande souvent si vous prenez des trucs qui font rire benoîtement, vous faisant voir des éléphants roses en courant toute nue dans des champs de coquelicots tout en chantant à tue-tête Colchique dans les prés. » ?
    Je compare des choses, mais je n’imagine pas que les gens parlent de liberté d’expression quand ce n’est pas vrai ou n’en mets pas quand d’une part rien ne la menace et que d’autre part je parle de recherche ou d’institution d’information.
    Vous avez des obsessions freinant votre compréhension, j’ai des soucis de manipulation informatique liés à divers problèmes, chacun sa croix, comme le disent les chrétiens ! Vous faisiez la remarque de laisser Dieu dans son contexte et ce serait le plus raisonnable… Mais les humains sont en général croyants, et de la croyance de leur culture, c’est un besoin de beaucoup de gens.
    Il faut et il suffit qu’il ne nuisent pas aux autres. Ce qui le permet est de rejeter ce qu’il y a de pire dans leurs textes sacrés dans le passé, contexte, ou dans le symbolisme, on dit ceci mais cela veut dire en réalité autre chose, si possible de bien quand le sens premier est mal, ainsi, dans le monothéisme arrivé en dernier, il faut couper la main au voleur selon le texte, mais on peut l’interpréter en disant que cela veut dire de permettre au voleur de gagner sa vie autrement, coupant son besoin de voler, c’est-à-dire, symboliquement, la main qui vole… Il y a quand même des croyants capables de ce genre d’ajustements, et heureusement, s’il fallait les réformer à leur place ce serait bien du travail, et sans doute inutile, les croyants pensent toujours que les autres veulent leur nuire alors que les non-croyants ne veulent qu’éviter les abus des croyants.
    La recherche d’un contexte dans la foi a fortement contribué à l’histoire des religions. Je ne trouve pas judicieux d’arracher le contexte aux croyants, à savoir ce qui leur permet de se réformer et est un encouragement à la science… Et en plus, parfois, cela donne lieu à des discours fort créatifs, il serait triste de s’en priver.
    Exactement comme on peut goûter de la musique religieuse ou n’importe quelle fiction tirée d’une religion, vérité donnant de la fiction pour un croyant, fiction en créant une autre pour moi. Il ne faut pas être comme les croyants qui ne cessent d’interdire des choses qui ne font pas de mal aux autres genre aliments, musique ou certaines musiques, certains livres, certaines pratiques sexuelles, il faut user de tout, y compris de ce qui est né sur le terreau des diverses croyances. Il ne faut s’interdire que les abus, ne lutter que contre les abus.
    Ne lutter « que » contre les abus, c’est beaucoup dire, parce qu’en fait, on n’en a jamais fini.
    Si un croyant sort une justification religieuse pour excuser son abus, il faut détruire sa défense, comme toute autre faribole d’ailleurs, mais ne pas attaquer, que l’abuseur se discrédite tout seul… S’il entraîne sa croyance ou n’importe quoi d’autre derrière lui, tant pis pour lui et les croyants qui ne s’en seront pas désolidarisés en, ce n’est pas sorcier, contextualisant ou en faisant appel au symbolique.
    On ne peut pas être doué pour tout, il y a des informaticiens pour les nuls en informatique, il y a des historiens ou du moins des gens qui sans l’être connaissent assez l’Histoire pour contextualiser toutes les réalités qu’on voudra, ce qui ne veut certainement pas dire les justifier pour le passé, et encore moins pour le présent.
    On dit qu’il faut de tout pour faire un monde, je dirais en tout cas que comme il faut toutes sortes de soignants pour la santé des gens, il faut toutes sortes d’intervenants pour lutter contre les abus et promouvoir les Lumières.

  111. @ Noblejoué | 30 juin 2019 à 04:42
    57 lignes et 690 mots pour ne rien dire, ce n’est plus un problème informatique à ce stade-là, mais plutôt de connexions neuronales.
    Comme quoi, comme Marchenoir, vous joignez l’utile à l’agréable, vous vous écoutez parler.

  112. Une fois de plus, une fois de trop, Elusen écrit n’importe quoi pour devenir n’importe qui.
    La propagande d’Elusen se situe dans la lignée de celle des suppôts de Staline.

  113. @ Elusen | 30 juin 2019 à 07:10
    Et moi qui croyais que j’étais le seul à ne rien comprendre à ce que dit Noblejoué. Quelque part ça me rassure !

  114. @ Elusen
    Qu’on soit d’accord ou non avec Robert Marchenoir, Catherine JACOB ou moi, vos critiques exagérées, ainsi, le « rien » quand vous n’êtes pas d’accord avec quelqu’un, vous décrédibilisent.

  115. @ Achille
    Comme vous dites : ne rien comprendre. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y ait rien à comprendre, soit la confusion d’Elusen.
    Remarquez, je devrais faire ça dans les domaines où je rame, et hop ! Je conseille fortement cette tactique à tous les étudiants.
    Remarquez, ça commence : ils contestent les sujets d’examen.

  116. @ scoubab00
    Tenez l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire, quand le loisir vire au drame :
    https://i.goopics.net/0Wnoq.png
    Ce type d’épreuve mérite une condition physique sans faille, à moins d’être très raisonnable et de savoir s’arrêter au bon moment.
    En plus avec les conditions météo actuelles, chacun rêvant sans doute d’exploits passés ou voulant imiter les professionnels du boyau, il faut s’entraîner bien évidemment.
    Je ne sais si le concurrent isolé pris en photo par le journaliste a été au bout, je pense que ce dernier a voulu souligner d’une façon subliminale une corpulence pas du tout adaptée à ce type d’épreuve, et en miroir, les essoufflés qui ont « pété le joint de culasse » à 1517 m, hauteur d’un petit col d’Aspin… Le Tourmalet (mauvais tournant) est à 2115 m…
    https://i.goopics.net/EYJv5.png

  117. @ Noblejoué | 30 juin 2019 à 12:06
    « Comme vous dites : ne rien comprendre. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y ait rien à comprendre, soit la confusion d’Elusen. »
    Je ne doute pas un seul instant qu’il y ait quelque chose à comprendre dans vos commentaires.
    Mais pour l’instant il semble que seules Lucile et Catherine JACOB, les deux plus gros QI du blog, parviennent à les décrypter.
    Il faut essayer de vous mettre au niveau des autres camarades qui rament en vous lisant ! Bon je plaisante, bien sûr !

  118. @ Noblejoué | 30 juin 2019 à 04:42
    J’espère que les propos d’Elu pas très zen à votre égard glisseront comme l’eau sur les plumes du canard.
    Ce commentateur dénué d’empathie sur ce blog, obsédé par la religion dont chrétienne, me semble en tout cas complètement privé d’intelligence sociale. A dessein sans aucun doute.
    Un combattant ?
    Au-delà de la propagande dans les religions, l’aspect « abus » m’a conduit à ceci que je partage :
    https://croir.ulaval.ca/wp-content/uploads/2019/03/Notion-de-sacr%C3%A9_ACouture_Enseigner-lECR.pdf
    « On dit qu’il faut de tout pour faire un monde, je dirais en tout cas que comme il faut toutes sortes de soignant(E)s pour la santé des gens, il faut toutes sortes d’intervenants pour lutter contre les abus et promouvoir les Lumières. »
    Et quant les idéologues s’y mettent :
    https://www.universalis.fr/encyclopedie/ideologues/
    Un abonnement permet d’avoir accès complet.

  119. Mary Preud'homme

    @ fugace | 30 juin 2019 à 15:31
    Comme il répond toujours, de préférence, aux mêmes appartenant à la gent féminine qui ne passent pas inaperçues eu égard à leur personnalité, leur réactivité, voire à leur physique qu’il imagine être à l’avenant.
    Et si c’était son fantasme, se faire fesser par une femme de conviction et de caractère ?

  120. @ Mary Preud’homme | 30 juin 2019 à 18:29
    Voir votre physique sur ce blog ?! Va falloir expliquer comment vous faites !
    Seriez-vous comme Pierrette Le Pen, bientôt en couverture du magasin de la famille : le Penthouse ?!
    —————————————————
    @ Noblejoué | 30 juin 2019 à 11:51
    L’intérêt dans toute communication, c’est que cela veuille dire quelque chose, vous, votre propos est hallucinant de non-sens et part dans tous les sens.
    C’est à penser que vous êtes plusieurs dans votre tête.
    ————————————————–
    @ fugace | 30 juin 2019 à 17:45
    Mais la propagande – article plus bas –, cela reste originaire de :

    • C’est en effet de la Congregatio de Propaganda Fide (« Congrégation pour la propagande de la foi »), institution de l’Église romaine chargée de répandre la foi par la mission et d’endiguer la Réforme, que le terme moderne tire l’une de ses origines. Celle-ci représentait une commission destinée dans un premier temps, entre 1572 et 1585, sous l’autorité du pape Grégoire XIII, à étudier les moyens d’action et d’organisation contre la Réforme protestante.

    Nous pouvons parler de la colonisation et de l’évangélisation qui vont de pair : « soumettez-vous ou périssez ! »
    Confirmé par l’Encyclopédie Diderot et d’Alembert de 1751 :

    • (Histoire ecclésiastique) société établie en Angleterre pour la propagation de la religion chrétienne.


    Professeur Bruce Lannes Smith
    – Michigan State University, East Lansing
    Propaganda and related concepts – Connotations of the term propaganda :

    • The word propaganda itself, as used in recent centuries, apparently derives from the title and work of the Congregatio de Propaganda Fide (Congregation for Propagation of the Faith), an organization of Roman Catholic cardinals founded in 1622 to carry on missionary work. To many Roman Catholics the word may therefore have, at least in missionary or ecclesiastical terms, a highly respectable connotation.

    Ainsi employer le mot propagande à l’endroit des adversaires de votre monothéisme est pathétique, puisque c’est votre monothéisme qui en est à l’origine.
    Votre piètre partenaire de jeu, Catherine JACOB, a juste tenté de détourner l’attention du propos qu’elle a tenu,

    • le gauchissement systématique, la décontextualisation et l’anachronisme à tour de bras portent un nom : PROPAGANDE.
  121. @ fugace
    Merci pour le lien sur l’Inde que je commence juste de lire… Je ne vais pas répondre à Elusen, au fond, je me moque un peu de ce qu’il pense.
    Pour la propagande, j’ai un article où il est clairement dit que la chose existait bien avant l’Eglise, mais j’y pense, je vais copier juste ce passage d’Universalis :
    « Exemples antiques
    On pourrait ainsi reconnaître dans la constitution à Delphes d’une confédération de communautés religieuses autour d’un même culte, vers 600 avant J.-C., une activité collective de propagande reposant sur une instance centrale (le clergé delphique) chargée d’amalgamer des traditions spirituelles et des légendes différentes pour en attribuer l’origine à son Dieu, Apollon. Les moyens de cette propagande reposaient à la fois sur des créations poétiques (la suite pythique), des fêtes, des reconstructions historiques (l’histoire de Crésus), des formes juridiques (lois criminelles inspirées par Delphes), et des maximes (le « connais-toi toi-même » repris par Socrate). On relève aussi fréquemment un usage plus ou moins systématisé des cérémonies rituelles et des instruments de la domination charismatique des chefs à la fin de la République romaine et sous le Principat, à travers l’émergence d’un art de la déformation légendaire, notamment dans les Mémoires et l’historiographie officiels du pouvoir, la circulation d’écrits et de rumeurs destinés à la pacification intérieure, la frappe de monnaies à l’effigie du prince comme support de renommée politique, la diffusion d’« affiches » contenant des éléments d’information divers, notamment des nouvelles et des discours politiques, des résumés de lois ou certains travaux du Sénat. »
    Pour répondre à la personne me conseillant un abonnement, je n’aime guère me créer des dépendances, ce que j’ai, c’est un CD dont je transmets ce que je peux, comme je peux.
    C’est comme mes réflexions, je les éclaircis au mieux, mais que puis-je ? Si je pose des questions, on m’accuse de sabotage, si j’affirme, de confusion, de pédantisme ou de néant, c’est beau, la popularité ! Je dois être le hors-caste du blog pour collectionner autant de crachats immérités – ou le brahmane, parce que, si on m’accuse sans preuve, mon innocence n’en ressort que mieux, si je comprends ça, et pas les autres, qui sait et qui ignore, qui est pur et qui est impur, je vous le demande ?
    On a voulu m’interdire de mépriser, mais quand les gens se comportent de façon méprisable, c’est aussi contre-nature que de ne pas se boucher le nez face à l’ordure.
    Alors oui, on veut décrocher la lune pour l’être aimé ! Mais, on en est, à la réflexion, bien incapable.
    D’un autre côté, je crois que j’admire à proportion de ce que je méprise, que j’éprouve de la gratitude à proportion de la rancune, ce qui me paraît juste, je traite les gens comme ils me traitent.
    Alors, je peux remercier autrement que par politesse, j’éprouve vraiment de la reconnaissance pour les soutiens.
    Je vous remercie donc, ainsi que ceux qui ont pu m’encourager voire ceux qui ont seulement pensé du bien de moi.

  122. @ Rédigé par : Noblejoué | 30 juin 2019 à 22:57
    ▬ « j’ai un article où il est clairement dit que la chose existait bien avant l’Eglise »
    1° – c’est l’article de Xavier Landrin, chargé de cours en sociologie à l’université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne, que je mets depuis le début.
    2° – le temps employé est le conditionnel présent !
    L’article n’affirme pas cela, mais pose une hypothèse : « On pourrait ainsi reconnaître »
    3° – le mot propagande n’existait pas il y a 2 600 ans ( en – 600 de notre ère).
    Vous lisez un article universitaire, ne le comprenez pas, inventez ce qui y est écrit, et faites du révisionnisme, cela ne va pas le faire là !
    ‘Propagande’ vient du mot ‘propager’ – prŏgāgo – qui entre dans la langue aux alentours de 1235.
    Le mot ‘propagande’ apparaît fin 1600 et il est employé officiellement par l’Église catholique.
    Dictionnaire étymologique et historique du galloroman (français et dialectes d’oïl, francoprovençal, occitan, gascon), dit le FEW, page 448 – première colonne, bas de page.

    4° – pour Universalis et Britannica, vous pouvez exporter tous les articles en format PDF, il y a la fonction sauvegarder, enregistrer, etc. Par la suite, il suffit de stocker le fichier sur un site, comme pour une image et d’y mettre le lien en ce lieu.
    Bien que Britannica, il me semble, sans certitude, que l’on peut avoir accès aux articles de manière intégrale si l’on se géolocalise en France.
    Mais de nouveau :
    Propagande ◄ l’article en entier.
    Propaganda ◄ in english, un autre article universitaire, en entier.

  123. @ Elusen
    Souvent les universitaires usent de conditionnel pour des choses parfaitement avérées.
    Et si j’ai utilisé Universalis, outre évidemment son intérêt, c’est parce que contrairement à d’autres sources cette encyclopédie a une certaine autorité.
    Mais il est bien évident que la propagande existait avant l’Eglise.
    Tiens, une bataille bien connue :
    http://www.leconflit.com/article-strategie-la-bataille-de-kadesh-imaginaire-et-reel-propagande-et-vraie-bataille-39418510.html
    César et Auguste n’usaient pas de propagande, peut-être ? La seule question est de savoir ce qui était bien de la propagande… Par exemple, est-ce que l’Enéide avait une fonction de propagande, tout le monde peut faire une recherche là-dessus, c’est très débattu.
    A détourner du fond, propagande ou pas, pour des détails, nom de l’universitaire, fonctionnement d’un transfert d’article ou ignorer ou faire semblant d’ignorer des évidences, comme le fait que le conditionnel est souvent utilisé pour se couvrir, ça ne va pas le faire, vous savez.
    Tiens, hypothèse, la propagande existait bien avant l’Eglise et même tout ce qu’on a imaginé :
    https://www.hominides.com/html/references/ce-que-l-art-prehistorique-dit-de-nos-origines-1182.php
    Ne pas comprendre qu’une chose peut exister bien avant d’être nommée, c’est assez drôle.
    Les boucs émissaires, la propagande et le reste n’ont pas attendu, par exemple, l’Eglise, et la Terre tournait avant Galilée, vous savez. Les croyants doivent être contents de vous lire : vous donnez tant d’importance à leur superstition ! En bien ou en mal, les gens adorent avoir un rôle prééminent… De la superstition, croire que les dieux sont méchants, s’il y a des dieux, je les pense indifférents, la méchanceté est d’inférieurs, je vois mal un enfer, et s’ils étaient bons, ils nous auraient offert de partager leur nature, nous n’endurerions pas ce que nous souffrons. Bref, que les dieux existent ou pas, prier est un parfait non-sens.
    Mais bon, les gens attendent qu’on les sauve, soit les dieux, soit l’homme providentiel, soit les petits hommes verts, qui tiennent un peu des deux, à mon avis.

  124. Catherine JACOB

    @ Noblejoué | 30 juin 2019 à 22:57
    Propagande :
    De pro_pago qui se réfère au sens n°3 de pango : Tracer des lettres (sur la cire), fixer dans la cire, écrire, composer, dire, chanter.
    pangitur littera in cera. — (Columelle, agronome romain né dans l’actuelle province de Cadix ; Avait-il les yeux de velours ? l’histoire ne le dit pas…)
    « la lettre est tracée sur la cire. » – à savoir avec un stylet –
    pangere egregia opera
    « célébrer les hauts faits. »
    Faire de la propagande c’est donc initialement chanter les louanges, de préférence les siennes propres, en sorte d’ensemencer l’esprit d’autrui, d’implanter dans l’esprit d’autrui à propos de ce que l’on célèbre ainsi, une information, une idée, afin de la propager, la prolonger, la faire durer, ou encore selon les domaines, la vulgariser, à l’image de l’arbre que ses racines prolongent et fixent dans le sol, ce qui pour les anciens Romains (≠ l’Eglise chrétienne) représentait également une métaphore de Rome à connotation magique qui présida à l’expansion de l’Empire romain.
    Les fake news sont une forme de propagande mais négative. Ici un bel article sur la propagande japonaise et étasunienne lors de la guerre du Pacifique publié sur le site web d’un collège de l’Académie de Besançon. La propagande négative autrement dit la calomnie – dont participe la lecture biaisée du texte biblique à la mode Elusen -, représentait et même représente toujours donc quelque part, une forme de magie offensive.

  125. @ Catherine JACOB | 01 juillet 2019 à 08:22
    Très intéressant.
    Il semble qu’autrefois on célébrait les hauts faits, vrais ou supposés, et qu’à présent on diabolise plutôt les autres.
    Si oui, depuis quand cette évolution, pourquoi et avec quelles conséquences ?

  126. @ Noblejoué | 01 juillet 2019 à 06:57
    Utiliser un concept inventé aujourd’hui ne fait pas exister le concept hier !
    Non seulement, vous ne comprenez pas ce que vous lisez, vous inventez ce qui serait écrit, mais à cela vous ajoutez l’anachronisme.
    Comme prétendre que Dieu est un nazi parce que vous pourriez lui appliquer le concept pour aussitôt affirmer que c’est la preuve que le nazisme existait il y a 2500 ans.
    Vous rendez-vous compte de votre absurdité ?
    ——————
    @ Catherine JACOB | 01 juillet 2019 à 08:22
    « Propagande : De pro_pago qui se réfère au sens n°3 de pango »
    Carrément, inventer l’origine du mot en affirmant qu’il vient de : pango !
    Vous l’inventez tellement que vous ne le sourcez même pas !
    Votre dictionnaire de beaufs, Wiktionaire, n’écrit même pas le mot ‘propagande’ dans la définition de : pango !
    Et alors, la fanfaronnade avec : au sens n°3 ; ainsi, il y aurait un ordre hiérarchique auquel précède le sens n°2 et le sens n°1.
    Le sens n°3 ne serait donc point le sens premier ?!
    Je sens le travail universitaire derrière tout ça, c’est recherché, approfondi, sic !
    Même le dictionnaire du CNRS ne cautionne pas un tel délire !

    Vous êtes à deux doigts de nous rejouer le sketch de Muriel Robin sur le mot ‘bref’ qui donna : « échafaud et par extension : une baguette bien cuite ».
    Comme l’abbé catholique La Morandais qui affirme que la pédophilie, c’est la même chose que la tendresse et que ce n’est pas un viol.

  127. Deux belles figures de gravure de mode, Bruno Le Maire, celui qui ramène sa fraise pour faire capoter lamentablement de belles fusions-acquisitions. Il est étrangement silencieux sur Conforama.
    D’habitude il nous sort son sabre de Comédie-Française « non aux fermetures de sites ! non au dumping social ! » et les investisseurs fuient, là, pour Conforama on ne l’entend pas, Macron a dû le bâillonner comme Assurancetourix, le poète-luthier d’Astérix qu’on attache à un arbre avant le festin.
    Le top de la semaine ce fut Virginie Calmels, virée de chez Barnes Immobilier en moins de deux. Narcissique, elle nous avait saoulé d’admiration pour Juppé afin de mieux le trahir, à la télévision elle répondait aux questions avant qu’on les lui pose. Un cauchemar blablateux.
    D’après Barnes elle commençait toutes ses interventions au Conseil d’administration par « Moi je… » Moi, moi, moi…
    Une Ségolène Royal de droite.

  128. Catherine JACOB

    @ Elusen | 02 juillet 2019 à 01:11
    Lisez donc l’article « pangō » dans le dictionnaire étymologique de la langue latine, histoire des mots p.479 qui donne « prŏpāgō » comme un fréquentatif en « a » qui est à « pangō » ce qu’est « appellāre » à « pellere« .

  129. @ Catherine JACOB | 04 juillet 2019 à 18:17
    En somme, vous n’êtes pas capable d’apporter une preuve, juste dire aux gens : « débrouillez-vous. »
    Alors qu’à l’ordinaire, vous faites de vagues textes inutiles sur les écritures d’Asie, remplis à foison de liens et brutalement là, vous ne savez plus faire.
    Qu’est-ce que cela traduit sur vous ?
    Si ce n’est qu’une fraude, car vous avez bien utilisé wikitionnaire, un truc de beaufs et que vous avez frénétiquement lancé une recherche sur Internet pendant deux jours afin de tomber sur un truc qui pourrait éventuellement tenter de valider vos pervers propos.
    Quelle surprise de constater qu’il n’y a ni sens n°3, n°2, n°1, ni le mot : propagande !
    Vous êtes allée jusqu’à confondre prolongation avec propagande, le dictionnaire que vous avez l’outrecuidance de citer sans le comprendre, indique que prolongation et propager seraient issus du mot latin : pango, pas le mot propagande !
    Le mot ‘propagande’ n’existe pas en latin !
    Le mot ‘propagande’ est lui issu du verbe propager et pour l’heure il a été mis au point par l’Église catholique, elle a inventé le mot en se basant sur d’autres mots latins.
    Vous détournez l’attention, comme à votre habitude.
    Vous tentez un piètre anachronisme pour éloigner de la preuve de votre ignorance dans le sujet en question.
    Vous avez affirmé que la propagande était du gauchisme et que la Bible ne prônait point la pédophile.
    Alors que la propagande a été inventée, conceptualisée par l’Église catholique et que ceci atteste de la pédophilie.

    Maintenant, faites comme Trump, essayez de trouver une échappatoire en coréen, quelques pas devraient suffire.

  130. Catherine JACOB

    @ Elusen | 04 juillet 2019 à 23:27
    « Vous êtes allée jusqu’à confondre prolongation avec propagande, le dictionnaire que vous avez l’outrecuidance de citer sans le comprendre, indique que prolongation et propager seraient issus du mot latin : pango, pas le mot propagande ! »
    Oh la la, quel discours !
    Le dictionnaire cité, indique à « propagō » : voir « pangō »; ainsi qu’à « pangō »: « propager et ses dérivés« ; ainsi que comme « composés de pangō: compingō, depangō, expingō, suppingō, propagō« .
    « Pro-ago » n’y figure pas, et à « agō » dont l’article tient sur cinq colonnes format A4, et qui comporte un § consacré à son utilisation dans la langue du droit, on ne trouve pas de « pro-ago » non plus.
    En revanche, on trouve un « Agitō » qui a comme composés à son tour : cōgitō, de *co-agitō au sens de « agiter ses pensées ».
    Faites-vous donc offrir un shaker et cogitez bien.

  131. @ Catherine JACOB | 05 juillet 2019 à 08:00
    Et bien maintenant vous me rejouez Alice Sapritch dans la Folie des grandeurs !
    Le tout se joue dans la prestidigitation avec vous, détourner l’attention en changeant de sujet en permanence.
    Cette affirmation, sans aucune forme d’intelligence, est de vous et de personne d’autre :

    • le gauchissement systématique, la décontextualisation et l’anachronisme à tour de bras portent un nom : PROPAGANDE. ® © Catherine JACOB™

    ‘Propaganda’ n’est pas un mot latin !
    Il n’apparaît dans aucun dictionnaire latin, pas plus dans celui que vous prétendez avoir en usage.
    Vous êtes dans l’incapacité matérielle d’apporter la preuve du contraire, ce n’est pas en allant chercher le mot choucroute que vous prouverez quoi que ce soit.
    ‘Proaganda’ a été mis au point, construit idéologiquement, inventé par l’Eglise catholique dans les années 1660 ; de fait rien à voir avec le gauchisme qui n’existait pas plus en 1660.
    Votre absurdité ne vous sortira pas de votre fraude !
    La Bible prône bien la pédophilie, faites avec !

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