Charte du blog

Deux observations qui concernent la gestion des commentaires.

Il y a des commentaires beaucoup trop longs.
Et il y a des commentaires qui ne s’attachent pas au thème du billet.

Ces deux éléments sont souvent reliés: en ne commentant pas le fond du billet, les digressions deviennent illimitées et sans retenue. De sorte que cela tourne au forum, qui est autre chose qu’un blog.

Ce sont deux écueils qui deviennent un réel problème depuis quelque temps. Les commentaires et les échanges interminables, sur des sujets totalement déconnectés du billet, ne sont désormais plus souhaités.

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Voir les Commentaires (91)
  1. Merci M. Bilger de l’avoir signalé. Ouf ! ça me soulage.
    Personnellement quand je vois des commentaires au kilomètre, et ça ne va plaire à certains, tant pis, je passe au suivant, plus court. C’est affreusement fatigant pour les yeux mais surtout pour Mme Bilger qui doit subir le poids de la lecture et des corrections, passé 22 h 00. Je pense qu’en vingt lignes on peut tout dire sans tourner en rond.

  2. Cher Philippe,
    Reçu 5/5.
    Ou 4/5 au nom de la liberté d’expression parce qu’il est agréable d’évoquer un peu ce qui nous trotte dans la tête.
    Restons courtois en répondant aux agressions par l’émoticône « savate » ou aux compliments par une fleur.
    Merci beaucoup pour l’énorme travail effectué pour la tenue du blog.
    françoise et karell Semtob

  3. @ Ellen | 12 janvier 2020 à 22:30
    « mais surtout pour Mme Bilger qui doit subir le poids de la lecture et des corrections »
    Et c’est supposé changer quoi ?
    Pour ne pas publier, il faudra quand même les lire !

  4. A mon avis, il faudrait dire le nombre de lignes parce qu’une limite déterminée fixe mieux l’esprit.
    Et puis sinon, l’un dira que l’autre a débordé « au flair », cela éveillera des vocations de rapporteurs. D’autres se croiront défavorisés, et il y aura forcément des disputes comme pour toute règle floue.
    A propos, il faudrait préciser si les photos et les liens sont permis.
    Je sais que ce n’est pas dans la charte, mais attaquer les autres est-il dans le sujet ?
    Je veux bien, mais dans ce cas, répondre devrait ne pas être considéré comme hors sujet.
    Or quand on attaque quelqu’un, on remet en cause sa personne, ce qui l’entraîne à parler de soi. Et donc, après, on dira que la personne répondant est hors sujet, je vois ça d’ici, surtout si cela ressort dans plusieurs commentaires, mais jamais les coups ne s’effacent autrement qu’en les rendant.
    Ou alors, on peut insulter, forcément, plus fort, vu qu’on est dans son droit et qu’on veut la victoire, oui mais on oubliera que l’autre a ouvert les hostilités, et qui sera considéré comme agresseur, hors sujet ?
    Je le vois d’avance, comme quand un sale gosse attaque son frère et prend des airs innocents quand il reçoit son dû.
    J’insiste sur ce point pour une autre raison : comme les gens ne pourront plus aller d’une idée à l’autre, leur seul dérivatif sera de s’en prendre aux autres.
    On a besoin d’un certain nombre de lignes pour développer une pensée, avec des sinuosités, du déchet, mais en tout cas, développer.
    Il n’y aura donc plus de pensée en train de se construire, seulement des résumés d’opinions existantes, ce qui favorisera la polarisation et l’agression, l’eau tiède et le style, la forme au détriment du fond.
    Mais pourquoi pas ? Ce ne sera plus au singulier que pour notre hôte, et institut de l’écriture, exercice de style pour les commentateurs, ce qui est son droit le plus strict.

  5. « Il y a des commentaires beaucoup trop longs.
    Et il y a des commentaires qui ne s’attachent pas au thème du billet. »

    Merci de ce rappel à l’ordre en espérant qu’il sera suivi d’effet. Mais rien n’est moins sûr…
    Quelques habitués du blog, dont je suis, l’avaient déjà signalé. Ce besoin d’épanchement de quelques contributeurs en crise de mal-être devenait franchement pénible.
    Une solution pour réduire la longueur des commentaires consisterait à limiter le nombre de caractères comme sur certains blogs et sur Twitter. Cette mesure obligerait les intervenants à faire preuve de plus de concision et faciliterait grandement la lecture des commentaires ainsi que la tâche de la modératrice qui a bien du courage.
    Pour exemple, ce commentaire comprend 10 lignes – 121 mots et 775 caractères, espaces compris.
    Je pense que trente lignes devraient largement suffire aux plus prolixes d’entre nous.

  6. YES SIR ! (à haute et intelligible voix)
    En aparté : Eh ben, si la fonction psychothérapie du blog est supprimée, y en a qui vont être malheureux.
    In petto : Pourrais-je continuer à critiquer les photos qui accompagnent le billet ?

  7. Je note que ce n’est pas l’agression qui est interdite, mais le hors-sujet. Donc l’ordre prévaut sur la justice, et l’ordre est flou, comme je l’ai dit, donc arbitraire.
    Ce n’est pas scandaleux en ce sens que chacun fait ce qu’il veut chez lui… Mais ce qui est gênant, c’est que l’ordre soit toujours ainsi.
    L’ordre de droite, de gauche, de n’importe quoi : il faut se conformer à une forme, peu importe qu’on nuise aux autres.
    Et si on me dit que ce qui est trop long en indisposait certains, ils n’étaient pas obligés de lire. Cela rappelle la censure, certains étaient gènés par certains discours, donc on en interdisait la diffusion, pour décourager les auteurs, et la lecture à tous. Dans tous les cas, ce qui n’est pas dans la moyenne est prohibé… Comme les gens ne cessent de s’agresser, par contre, l’agression n’est pas interdite, preuve qu’il s’agit d’un problème de forme, je dirais d’esthétique, au dépens de la liberté, et donc de la créativité.
    La seule qui restera, je l’ai déjà dit, sera de pure forme. Il n’y aura plus de nouvelles idées, ni même d’effort vers une nouvelle idée, car comme je l’ai expliqué, les conditions en sont abolies.
    Mais tant mieux, car rien ne sera plus abscons. Toute nouveauté vient d’une sortie du cadre, donc sollicite un effort du lecteur comme de l’auteur. Eh oui ! Cela demande des efforts, tout n’est peut-être pas bon, mais la démarche était là, et on n’aura plus de nouveaux points de vue sans une marche menant jusqu’à de nouveaux belvédères.
    Evidemment, en n’écrivant plus dans un style mi-oral, mi-écrit, en produisant moins, le style de certains sera forcément plus resserré, et le résultat plus accessible.
    Je le dis pourtant car cela ne sera pas visible par tous, ce sera la fin de la pensée créative, bonne ou mauvaise qu’importe, on n’a jamais rien sans déchet, demandez aux pêcheurs lançant leurs filets.
    Comme toute recherche de nouveau dans la vérité sera abolie et qu’on ne pensera plus qu’au style, le souci de vérité donc l’honnêteté intellectuelle diminuera d’autant.
    Je l’annonce, c’est le moment. A mon avis, les gens qui auront voulu le lit de Procuste ou rien observé d’avance n’auront pas le droit de se plaindre que rien de nouveau ne vienne.
    Enfin, le droit moral… On pourrait me dire que les créateurs se plient à toutes les contraintes, mais il me semblait que nous étions plutôt des gens en conversation avec le texte de notre hôte et entre nous, pas précisément Racine rimant difficilement.
    Parce qu’il y a autre chose à remarquer : seuls les plus forts surmontent les règles, et il n’est pas dit qu’il y ait une seule personne s’approchant, même de loin, de ce niveau ici.
    De plus, cela demande un travail considérable, qu’on n’est pas en droit d’attendre de commentateurs, à mon avis.
    Je sais que ce n’était pas une opinion courante, étant donné que ce mode d’expression tient de l’oral et de l’écrit, le style aurait même dû tenir des deux.
    Avec certes du déchet, mais comme je l’ai dit, une créativité spontanée, celle de la conversation, de la pensée en train de se faire.
    Si on la chasse, comme je m’évertue à le dire, il ne faut pas croire qu’on réfléchira encore plus et qu’on écrira mieux.
    On polira des redites.
    Attendu tous les attendus précédents, je n’imagine pas d’oasis dans la désert de la réflexion qui va s’étendre ici comme je le crois, partout, avec des modérations de plus en plus exigeantes.
    D’autres en imagineront sans doute : des mirages.

  8. – C’est très Restauration tout ça !
    – Pas du tout ! Ça vient de plus haut… de très haut !
    – Plus haut que Macronez, que Macroniais, que Macronoeud ?
    – Oui…
    – D’où ça ?
    – …………..
    – Dites un peu !
    – …………..
    – C’est pas possible d’être pusillanime à ce point !
    – On voit bien que vous n’êtes pas concerné…
    – Ah bon, je ne suis pas concerné… c’est rassurant ça… ma famille non plus ?
    Pourtant mes frères commencent à faire leurs paquets… ma belle-soeur pareil…
    – Toute votre petite famille ?
    – Vouai !
    – Vous allez manquer !
    – Bof… de toutes façons c’est comme si on était déjà mort… nous, vous, les autres, tous les autres…
    – Même les gouvernementaux ?
    – …Les aveugles, les stipendiés, les âmes simples, les espérants… les imbéciles bien sûr !
    – Ça fait beaucoup de monde ?
    – Trop, toujours trop, depuis toujours… enfin depuis une cinquantaine d’années au moins… il y en a qui remontent à Louis XVI mais ce sont des excessifs !
    – Vous avez des projets ?
    – Of course !
    – Oui ?
    – Lire… parce que depuis quelque temps c’était pas mon truc… quand on écrit on ne peut plus… c’est prenant l’écriture… même quand on écrit pour ne rien dire… en plus ce n’était pas mon cas !
    – …Ça m’intéresse, qu’est-ce que vous allez lire ?
    – Franchement vous êtes indiscret… vous êtes de la paulice… vous faites des fiches… un peu framaçon peut-être ?
    – Non ! Pas du tout ! C’est pour parler… pour entretenir la conversation… le point zéro de l’échange…
    – Figurez-vous que depuis un long temps j’ai le projet éclectique de relire – car à mon âge on ne lit plus, on relit – les 4 grands romans de la littérature chinoise plus le Livre du Graal, ces 11 volumes de la Pléiade sont sur ma table de chevet depuis trois ans, lecture que je ponctuerai d’un éternel retour à l’Odyssée de Victor Bérard… parce qu’il ne faut jamais lâcher les fondamentaux…
    – Vous valez 4 Macron !
    – ????
    – Lui n’en a que 3 !
    – ???
    – Bonjour Monsieur !

  9. Julien WEINZAEPFLEN

    Rien que de très normal et trop longtemps attendu. Moi qui suis loin de toujours faire court, j’avais depuis longtemps signalé que ce blog avait tendance à devenir un forum. À parfois lire trois heures de commentaires dont beaucoup hors sujet au bas d’un billet, on finissait par se lasser et par se demander ce qui comptait le plus, des commentaires ou du billet. Pas d' »atelier d’écriture » où s’exerce la liberté de parole sans un filtre. Le voilà posé.
    Noblejoué résume bien en quoi il consiste: le singulier pour notre hôte et l’exercice d’écriture pour les commentateurs. Or pas d’exercice d’écriture sans limite ou sans contrainte.
    Ellen a raison, il était plus que temps de soulager Madame Bilger. Je lui avais écrit par mail qu’elle était tous les jours d’astreinte. Par courtoisie j’imagine et pour ne pas se plaindre, elle ne m’avait pas répondu. Moi-même, j’intervenais moins souvent, au grand soulagement de certains, ayant perdu le goût de lire deux ou trois heures de commentaires sous prétexte que j’avais réagi à un billet. Or lire les autres est le moindre des respects auquel on se doit si on a pris la liberté d’intervenir. Les lire autant que faire se peut. Du moins était-ce la discipline que j’essayais de m’imposer. Lire trop de commentaires empêche de lire des livres.

  10. hameau dans les nuages

    @ Noblejoué | 13 janvier 2020 à 00:43
    Oui d’accord mais il faut reconnaître que certains commentaires sont de véritables tapis de bombe déversés par des B 52 servant juste à sonner et laminer « l’adversaire » pour qu’il retourne dans son trou. Sauf à monter soi-même dans les tours… ou prendre ses distances. Plus aucun discernement, on écrase pour avoir raison.
    Aujourd’hui il fait encore beau, je vais pouvoir terminer un joli petit toit en ardoises avec une magnifique vue sur la crête de l’Azerque avec toujours une pensée émue et non feinte pour le bétail transporté dans les RER et métros. Quelle chance j’ai.
    C’est ma façon de prendre de la hauteur.
    Bonne journée à tous et merci pour ce blog.

  11. « On (en réalité : « moi, j’ai besoin… ») a besoin d’un certain nombre de lignes pour développer une pensée, avec des sinuosités, du déchet… »
    Rédigé par : Noblejoué | 13 janvier 2020 à 00:43
    Pas craquer, Pascale, pas craquer Philippe !

  12. Très juste ce que vous dites M. Bilger : il y a un fossé abyssal entre votre texte et tout ce qu’on lit ensuite ; on se demande même si les intervenants ont lu votre sujet, beaucoup viennent pour se défouler sur quelqu’un, pour faire le buzz, la provoc, narguer, parodier, caricaturer, rabaisser, humilier, salir votre blog, répandre leur haine accumulée dans leur entourage, leur famille, leur solitude, sur leurs cibles faciles derrière un écran à l’abri des regards, comme sur tous les autres réseaux sociaux.
    Depuis longtemps, je me régale de vous lire cher Philippe, ensuite je parcours les messages de vos internautes, certains trop longs, trop soporifiques et ennuyeux, parfois instructifs mais rares, sinon ce ne sont que des duels haineux arrogants sarcastiques interminables, la palme de la haine décernée à Elusen et celle de la bêtise à ceux qui tombent dans ses filets en répondant à ses attaques, moi-même j’aime bien lui mordre les mollets, je m’en amuse et ça il n’aime pas.
    Je viens ici surtout pour dire ce que je pense et qu’il m’est interdit d’exprimer sur tous les autres réseaux sociaux, votre blog est devenu un des rares espaces de liberté d’expression, sinon le seul.

  13. Catherine JACOB

    « Les commentaires et les échanges interminables, sur des sujets totalement déconnectés du billet, ne sont désormais plus souhaités. »
    L’ont-ils jamais été ? souhaités.
    Je tiens à souligner que cela fait longtemps en tout cas que cela ne m’était pas arrivé malgré le petit excursus sur Robin des Bois, pas tout à fait hors sujet néanmoins, et, en ce qui concerne mon péché mignon, les images, je me suis quand même limitée aux vœux ainsi que dans les commentaires du billet sur Carlos Ghosn qui s’est fait la malle, à une émoticône animée à l’adresse de breizmabro. Je reconnais cependant que j’aurais pu me dispenser de l’animation. Mais bon, personne n’est parfait.

  14. On ne citera pas les noms mais ce serait bien que les contributeurs qui confondent ce blog avec le divan de leur psychanalyste passent leur chemin.

  15. Très juste et enfin très bonne mise au point.
    En son temps j’avais déjà écrit la même observation.
    Certains pisse-froid occupent tout le lit en interminables papouilles réciproques sans toucher au fond du sujet évoqué et traité.
    Je pourrais ajouter à notre Hermine qu’elle est trop prolixe quant au timing de de ses billets qui se bousculent, ce qui laisse très peu de temps pour une réflexion ad hoc.
    Enfin… ce n’est que mon ressenti.

  16. @ Elusen | 13 janvier 2020 à 00:32
    « Et c’est supposé changer quoi ?
    Pour ne pas publier, il faudra quand même les lire ! »
    Ça va de soi. Excepté que les mots bien calibrés ne manquent jamais si on possède l’idée, d’où les histoires les plus courtes qui sont les meilleures.

  17. @ caroff
    « On ne citera pas les noms mais ce serait bien que les contributeurs qui confondent ce blog avec le divan de leur psychanalyste passent leur chemin. »
    Ah, ben si on ne cite pas les noms, il ne faut pas s’étonner que les premiers concernés rechignent à prêter le flanc à l’accusation d’idées de référence.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Idée_de_référence

  18. Ce n’est peut-être pas une possibilité fournie par l’hébergeur du site de M. Bilger: sur « les-crises.fr », un avertissement s’affiche dès qu’un commentaire atteint un certain nombre de caractères pour inviter le rédacteur à abréger. Bon, je n’ose imaginer ce que serait, par exemple, la philosophie si les philosophes avaient dû condenser leur pensée en 20 lignes.
    S’agissant des hors-sujet, ils peuvent être intéressants, mais leurs auteurs devraient prévenir en tout début de commentaire qu’ils en commettent un. A défaut, le commentaire serait « modéré ».
    ——————————-
    @ Elusen | 13 janvier 2020 à 00:32
    A mon avis, on est fixé dès les premières lignes. Mme Bilger pourrait aussi se contenter d’une lecture en diagonale si le texte est long, cela apprendrait aux censurés à faire bref.

  19. Patrice Charoulet

    Cher Philippe,
    Je viens de lire votre « Charte » avec intérêt. Laissez-moi la commenter, un peu trop longuement.
    Voilà trois ans, pour la première fois de ma vie, j’ai commenté un blog de la Toile : le vôtre. C’est un bon blog, « un blog d’élite » (RM). Vos textes sont de haut niveau. Grâce à qui vous savez, les commentaires qui les suivent sont les mieux orthographiés… de France. Beaucoup de commentaires sont de très bonne qualité. Vous méritez ce succès.
    Au début, je m’étonnais que des commentaires fussent digressifs. J’ai fait comme presque tout le monde. Comment ne pas ? Vous le savez, d’autres blogs à succès ne sont pas mieux lotis, à cet égard, que le vôtre. Allez faire un tour sur le blog de Pierre Assouline. Sur mille commentaires, parfois, tout le monde digresse. Sur le blog de Rioufol aussi. Au rebours, j’ai fait lire à Madame votre femme la charte du blog de l’historien François Delpla qui entre avec minutie dans une infinité de règles pour bien encadrer les commentaires. Elle vaut le détour !
    D’autres blogueurs n’ont pas ces problèmes. Le mien a zéro commentaire, en général… Le blog (excellent) du philosophe, cacique de l’agreg pourtant, Yves Michaud, a zéro commentaire aussi. Parfois… un ! Et une foule de blogs sont aussi peu commentés que ces deux-là.
    Une dernière chose. Vous pouvez regretter que certains commentaires soient trop longs. Facebook a un immense avantage par rapport aux blogs. On peut y battre des records de vitesse en mettant en une seconde un « like » (=: J’aime). Goûtant depuis quelque temps les délices de Facebook, j’en use tout le premier et j’en bénéficie, non sans vanité, pour les pauvretés que je mets sur mon mur. Même quand on a dix « like », parfois de gens prestigieux et de haut parage, on se met à envier les blogueurs, vous êtes de ce nombre, qui sont gratifiés de commentaires… trop longs !

  20. Ce pauvre Archibald, il nous a toujours fait marrer dans les repas de famille ! Il passait pour le plus instruit… tu parles… le plus hon oui ! Ses bouquins sur sa table de chevet… il n’a pas de table de chevet !
    Voilà qu’il prétend faire le ménage chez les Bilger ! Se plaindre alors qu’il a été accueilli par charité pure en ce lieu convoité de la blogosphère !
    Au moment où les patrons publient une Charte de bienséance, ÉVIDEMMENT indispensable, attendue depuis longtemps par les blogueurs responsables, vertueux et courtois.
    À n’en pas douter, applicable dès sa publication, elle va faire des dégâts, des retraits, des contentions volontaires ; mais pas que !
    On va y gagner en légèreté, en suavité, en élégance. Et même en « cursivitude », cette qualité distinguant les plus grands : ceux qui répondent d’un mot !
    On pense immédiatement au plus long d’entre nous, lequel va être confronté à une tempête crânienne quasiment existentielle.
    Mais le plus déterminant seront les réponses qui vont être formulées explicitement en réponse à la charte. Mon frère a fait dans l’esquive, c’est habile mais lâche ; certains vont se découvrir… c’est sûr !
    Et l’on va voir défiler toutes les envies, les rancoeurs, les faiblesses, les brutalités, tout ce qui est retenu au fond des âmes noires, envieuses, pusillanimes et qui va avoir l’occasion de déborder !
    La catégorisation des blogueurs est En Marche !

  21. Moi qui suis pour la liberté d’expression je regrette cette « censure » car, au fond, chacun est libre de lire, ou pas, les textes trop longs ou les signataires qui ne nous plaisent pas, ou qui nous sont indifférents.
    Par contre si madame Bilger trouve le texte qui lui est soumis pour publication trop long, la solution serait de le publier intégralement MAIS sans correction orthographique et/ou grammaticale, bref tel quel.
    1. ça la soulagerait de n’être pas astreinte à lire des inepties en vingt paragraphes, au surplus agrémentés de liens divers et variés ;
    2. ça pourrait être instructif 😉
    Pour l’idée de rester dans le commentaire du sujet et QUE le sujet de la publication, pourquoi pas (et pourtant moi-même je fais parfois du « hors piste » ;))
    A la « censure » sur la liberté d’expression j’aurais préféré la censure des propos injurieux dont usent et abusent certains commentateurs (je n’ai pas souvenir d’intervenantes injurieuses utilisant la grossièreté comme mode d’expression).
    En même temps, comme dit l’autre, j’dis ça…

  22. L’exercice n’est pas simple qui consiste à commenter un billet de M. Bilger en apportant une touche personnelle sans tomber dans l’excès qui consiste à épancher l’âme.
    Parfois l’âme est chargée, voire surchargée, la longueur du commentaire le prouve indéniablement. Je ne citerai personne, pas le moindre pseudo ou nom réel. Toute ressemblance avec un commentateur du blog ne saurait être que fortuite.
    Toutefois, j’essaye de me mettre à la place d’un enseignant qui a passé une carrière entière dans des salles de classe où des cancres se réchauffaient auprès du radiateur. Ils ont fini par atteindre l’âme intègre du courageux fonctionnaire. Ainsi, il est normal qu’à l’âge de la retraite, lui aussi veuille goûter au fruit défendu qui consiste à bafouer la charte du blog d’un avocat général.
    Je ne parlerai pas d’un éventuel pourfendeur de poutino-fsb-socialo, laissons baissés le rideau de fer et le bouclier idéologiquement orienté. Il me semble que le sentiment d’être attaqué peut légitimement entraîner le désir incoercible d’exercer le droit de réponse. Ainsi s’exprime la stratégie de la dissuasion réciproque.
    Si vis pacem, para bellum.
    J’essaie toujours de rester dans les limites du sujet, je crois avoir réussi cette fois encore.

  23. Herman Kerhost

    C’est curieux, cette façon de faire. A votre place, j’aurais envoyé un mail privé aux personnes concernés. Ça éviterait à ceux qui abusent sans abuser de ne pas se sentir visés. Pour moi cette affaire est bien plus une question de personnes qu’une affaire collective.
    Par ailleurs, votre problème c’est que vous ne savez pas vous servir d’une paire de ciseaux. Comment expliquer, sinon, que vous laissiez passer une trentaine de commentaires (je n’ai pas compté) de Zonzon, reproduisant les échanges de l’émission de Zemmour sous le billet « Encore Nadine Morano : c’est vrai ou c’est raciste ? » ?
    Et ce n’est pas la taille qui compte. Les brèves interventions de Sophie et de sa soeur jumelle auraient aussi dû être balayées. Toujours hors-sujet, et quinze fois par jour.
    Enfin, vous faites comme vous voulez, évidemment.

  24. @ Mister Bean | 13 janvier 2020 à 10:01
    « Je viens ici surtout pour dire ce que je pense »
    Vous pensez ?! Est-ce une intrigue ?
    Avec de l’auto-flatterie, c’est le summum, la phrase n’est-ce point : « on n’est jamais mieux servi que par soi-même ».

  25. Merci monsieur Bilger de cette mise au point.
    Il est vrai que certains commentaires sont trop longs, peu compréhensibles, agressifs sans raison. Pourquoi ne pas les supprimer et ne garder que les plus pertinents sur le sujet du jour ?
    Heureusement, ici, vous échappez à certaines personnes qui sans vergogne, sur le blog d’Ivan Rioufol, exposent leurs connaissances en musique classique, avec des liens interminables de YouTube !

  26. Les fidèles du blog savent pourquoi ils l’apprécient. La tenue de « Justice au singulier ». est irréprochable et le doit énormément à Madame Bilger dont on admire sans fin la constance, le courage, et la persévérance année après année. Il en découle une orthographe irréprochable et un contenu trié sur le volet. Une autre raison de l’immense succès et mérite du blog est qu’il ne censure absolument pas les idées divergentes de celles de son auteur. C’est connu, mais cela réchauffe toujours autant le cœur. Les esprits critiques peuvent être belliqueux, de mauvaise foi, Philippe Bilger publie quand même pourvu qu’il y ait un minimum de respect et de politesse et qu’apparaisse un vrai message. Je me souviens d’un commentaire très critique sur la façon d’écrire de Monsieur Bilger jugée maladroite et obscure. Ce commentaire désobligeant, insolent et méchant a quand même été publié. Bravo. Quel autre blog l’aurait fait ?
    Les nouvelles règles qui supervisent les commentaires sont de bon sens, et le blog a entièrement raison de les instaurer. Ainsi finis les bavardages disgracieux, hors sujet et pléthoriques d’un commentateur à un autre. C’était horripilant et cela gâchait le plaisir de lire le blog.
    Pour les commentaires fleuves, Madame Bilger jugera sans doute si l’abondance ne compromet pas la qualité. Raccourcir l’écrit clarifie souvent, mais pas toujours, la pensée.

  27. Tout à fait d’accord.
    Mais alors pourriez-vous convenir d’un nombre de lignes maxi ?
    Après tout, Twitter a bien une limite de 280 caractères…
    Participer à un blog n’est pas, en effet, se répandre surabondamment. Agissant ainsi, le rédacteur se leurre lui-même. Certes, il se fait plaisir, mais il ennuie tous les autres. D’ailleurs, il n’est généralement pas lu. C’est de la frappe sur clavier totalement inutile.
    Idem pour les commentaires hors sujet.
    Cela étant, si une actualité brûlante survient peut-on refuser les breaking-news commentaires ?

  28. Ce simple et court rappel des règles me semble s’imposer à juste raison, Monsieur Bilger.
    Espérons que ces règles seront respectées assez longtemps pour ne pas exiger un nouveau rappel.
    Avec mes remerciements pour la qualité de vos billets comme pour l’action méritoire de madame Bilger.

  29. Je reconnais parfois des écarts de conduite, mais je me suis éloigné de ce blog pour ne pas le polluer.
    Certains visés par Philippe font des commentaires à rallonge pour lui donner raison.
    Vaste chantier, ce blog est devenu un concours de flagornerie.

  30. Bon, rangeons-nous. Qui se reconnaîtra longuet ? Hors sujet ? Venimeux ? Pontifiant ? Pinailleur ? Agressif ? Snob ? Partisan ? Cucul ?
    Allez, je prends tout sur moi. Job, expiatoire, encor trop bien, out. Farewell.

  31. @ genau
    « Hors sujet ? Venimeux ? Pontifiant ? Pinailleur ? Agressif ? Snob ? Partisan ? Cucul ?  »
    Hors sujet: oui. Je m’intéresse plus à discuter les points des commentaires avec lesquels je suis en désaccord que le billet lui-même (que je lis) mais où chacun a déjà donné son opinion. Je ne veux pas être un choriste.
    Venimeux: avec Elusen, oui. Avec Robert Marchenoir, un peu.
    Pinailleur: oui. Les points de détail ne sont pas toujours des détails.
    Agressif: si on touche à un certain sujet, oui. Mais aucun complexe à écraser autrui s’il le faut, sinon.
    Snob: non. Avec des centres d’intérêt, simplement.
    Partisan: j’évite.
    Cucul: je peine à voir ce que cela signifie.

  32. Coucou cher Elusinou chou ! ici Bean !
    « Vous pensez ?! Est-ce une intrigue ?
    Avec de l’auto-flatterie, c’est le summum, la phrase n’est-ce point : « on n’est jamais mieux servi que par soi-même ». »
    Rédigé par : Elusen | 13 janvier 2020 à 13:10
    Ne soyez pas jaloux de mon intelligence cher islamogauchinouille Elusen, pour arriver à mon niveau faudrait que vous consultiez d’urgence un psy pour vous faire détortiller les boyaux de la teutée, tout n’est pas perdu.
    Votre dévoué Bean toujours très blanc de souche, de droite ultra facho, catho chrétien, hétéro, islamophobe homophobe etcétérophobe.

  33. Etant tout nouveau parmi les commentateurs, je ne me sens pas autorisé à émettre une suggestion urbi et orbi à propos du contenu et de la longueur de certains textes.
    Pour ma part, il me semble que, contrairement à Twitter ou Facebook, qui sont des médias « instantanés », destinés à la réaction spontanée, à l’appréciation immédiate, un blog tel que le vôtre relève de l’écrit traditionnel et est à classer dans la lignée des lettres que s’échangeaient les personnes de qualité avant l’invention du téléphone, puis, aujourd’hui, la déferlante des « talk shows », qui, eux, la plupart du temps, oublient l’essentiel : la qualité de la réflexion et de son expression.
    L’écrit, lui, ne peut intervenir qu’après ce temps de réflexion, de maturation de la pensée. Ce délai et cette mise en ordre des idées permettent la concision. Un blog est donc à Internet ce qu’est – ce qu’était, hélas – le courrier des lecteurs à la presse écrite. A la différence près que le choix du thème du commentaire est imposé par celui du billet.
    Dès lors, pour maintenir sa qualité, pourquoi ne pas utiliser les règles qui sont celles des journaux papier ?
    – Bannir le « hors sujet ». Sur ce point, quelques coups de ciseaux tarissent très vite la source et l’auteur, prévenu d’avance, ne peut pas crier à la censure. Croyez-en un ancien secrétaire de rédaction de la presse régionale confronté chaque soir aux élucubrations de certains correspondants locaux, qui savaient tirer à la ligne… pour améliorer leurs fins de mois.
    – Limiter la longueur d’un commentaire, par exemple à celle du billet auquel il est attaché. Ce qui n’interdit pas de proposer plusieurs commentaires si le billet aborde différents sujets. Ce n’est pas la même chose de lire un texte de 5 000 signes que cinq textes de 1 000 signes.
    – Comme dans les règles du droit de réponse de la presse écrite, limiter la longueur de la réponse à un commentaire déjà publié au nombre de signes du message concerné (ou, plus exactement, de la partie de ce message que l’auteur de la réponse conteste).
    Et tout cela, bien sûr, sur un ton courtois, ce qui sous-entend la disparition des propos ad hominem, de plus incompréhensibles pour les autres commentateurs.
    Pour ma part, je vais essayer de résumer encore plus ce que j’envoie et de ne pas utiliser le truc habituel des pisse-copies : « Excuse-moi, je n’ai pas eu le temps de faire court ».

  34. Ces deux éléments sont souvent reliés: en ne commentant pas le fond du billet, les digressions deviennent illimitées et sans retenue. De sorte que cela tourne au forum, qui est autre chose qu’un blog.
    L’intérêt de ce blog est d’une part que ce n’est pas une foire d’empoigne comme bien des forums et d’autre part qu’il est tout de même possible de commenter raisonnablement les commentaires du billet de Philippe Bilger, ne fût-ce parfois que pour réaliser quelques petites mises au point qui pourraient être considérées en matière de respect de l’exactitude aussi importantes que la correction orthographique, ou bien partager des expériences liées au thème du billet.
    Si ce blog ne proposait qu’une forme de retour unidirectionnel ignorant les réactions transversales entre les habitués qui souvent enrichissent la réflexion collective, quel serait son intérêt ?
    Bien entendu, il est absolument normal de limiter les abus et dans ce domaine c’est aussi à chacun de ne pas exagérer.
    Et puis, si un commentaire est trop long, personne n’est obligé de le lire, c’est ainsi que notre amie breizmabro, dans sa grande sagesse, décroche au bout de cinq paragraphes…

  35. @ sbriglia
    J’ai du déchet, mais si personne d’autre n’était dans ce cas, nous serions dans un échange de lettres d’écrivains se gardant de la moindre faute dans l’idée d’une publication.
    Je ne pouvais pas dire MOI après qu’on m’a signalé ne pas avoir de talent et retourné le stigmate.
    Pourquoi ?
    Je varie les effets.
    Mais outre que je cherchais des idées et non à briller par le style sur l’indigence des pensées comme certains qui me font penser à des bijoux en toc, je vous ai expliqué qu’à mon avis, les commentaires des blogs devraient être écrits dans un style tenant de l’oral comme de l’écrit.
    Car si c’est de l’écrit, il me paraît fort particulier, dénué de tout formalisme et offert à la vue de tous comme si nous nous rencontrions sur un forum.
    J’ai respecté la nature du média, ai exercé mon manque de talent et à l’écrit et à l’oral par une forme intermédiaire favorable à la traque des idées.
    Si cela a été incompris, je n’y peux rien : on m’a bien accusé de complot, de racisme, de mauvaise foi et autres joyeusetés, alors…
    Bien, mais comme la législation change, mon attitude s’adapte ; je ferai dans l’écrit tout à fait écrit, et si froid que je me demanderai si ma langue n’est pas plus morte que le latin du Vatican.
    Inutile de dire que je n’aurai sans doute plus d’idée… Je vous explique : l’esprit souffle où il veut, il est généralement hors sujet. Généalogie non de la morale mais de l’idée : le sujet est son père, l’inspiration sa mère, et il arrive souvent que l’enfant ne ressemble guère au père. Vais-je le tuer quand j’ai cherché l’inspiration ?
    L’étudiant, le romancier, d’autres le font tout le temps, parce qu’ils étudient ou créent, épuisant…
    Mais on peut difficilement en dire autant de nous : nous réagissons, nous commentons, rien de plus.
    Rien de moins, si nous ne créons pas d’oeuvre, au moins, nous apportons quelque idée.
    Il faudrait, cela n’a pas de sens selon moi, que nous nous abaissions à ne pas avoir d’idée, à faire des exercices de style type institut de la parole, ou là l’écrit, j’imagine, ou que nous nous élevions à créer une oeuvre.
    Une conversation entre les commentateurs et le texte de notre hôte ou entre nous est entre les deux, désolé.
    Or je ne crois pas que la contrainte améliore les gens.
    Nous n’irons pas vers les œuvres, mais des exercices qui, sans professeur, n’auront pas plus de sens que l’effet d’améliorer notre style ou nos personnes.
    Et cette absurdité devrait augmenter l’agressivité des gens pour des raisons que j’ai déjà évoquées sans parler que l’absurdité est toujours destructrice.

  36. « Les commentaires et les échanges interminables, sur des sujets totalement déconnectés du billet, ne sont désormais plus souhaités ».
    Et pan, sur le bec ! J’en connais qui vont tirer le portrait !

  37. @ sbriglia
    «  »On (en réalité : « moi, j’ai besoin… ») a besoin d’un certain nombre de lignes pour développer une pensée, avec des sinuosités, du déchet… »
    Rédigé par : Noblejoué | 13 janvier 2020 à 00:43
    Pas craquer, Pascale, pas craquer Philippe ! »
    ———–
    N’étant pas dans le concours de flagorneries, de je suis coupable mais moins que mon voisin ou à bas les bavards, je dirais…
    …que c’est déjà fait, ils ont craqué en instituant des contraintes qui auront toutes sortes d’effets pervers outre leur côté liberticide.
    Et arbitraire : nous n’avons même pas de longueur maximale de texte, ce sera à la tête du client comme pour la popularité de Polanski et de l’écrivain moins médiatique dont j’ai oublié le nom.
    Ils font ce qu’ils veulent, je dis ce que je pense, et ça passe ou ça casse, mais je ne crois pas que cette réforme soit plus ma faute que celle de quelqu’un d’autre.
    Enfin faute… User d’une liberté sans nuire à celle d’autrui, une faute ? Pardon de ne pas demander pardon pour ce qui ne relève pas de la faute.
    Enfin, ils peuvent l’écrire ici, dans les commentaires, auquel cas, il me faudrait bien partir, parce que trop, c’est trop, après qu’on m’a accusé de complot, de manque de talent, d’épouvantable mauvaise foi et allez savoir, des imputations toujours imméritées.
    Néanmoins, pour des raisons que je n’expliquerai pas sauf qu’il serait bien étonnant que nos commentaires soient des œuvres, et pour me rappeler d’écrire comme si j’étais un écrivain se regardant tremper sa plume, non d’oie, j’aime les corbeaux, donc sa plume de corbeau dans l’encrier, je pense céans de changer de pseudonyme.
    Lodi.

  38. @ Lodi
    « Ils font ce qu’ils veulent, je dis ce que je pense, et ça passe ou ça casse, mais je ne crois pas que cette réforme soit plus ma faute que celle de quelqu’un d’autre. »
    Tout à fait. C’est sans trop de doutes suite à mes conversations avec Elusen et Aliocha.
    Je ne le cache pas: Elusen m’horripile à un point plus que sévère par sa mauvaise foi, et je pense que seule l’humiliation publique y peut quelque chose. Et quand je l’occupe ailleurs, il commente moins sur les fils de commentaires principaux…
    En ce qui concerne Aliocha, la conversation était complètement hors sujet. Mais si on demande à une personne avec une certaine insistance ce qu’il « idolâtre », il ne faut pas s’étonner que la réponse soit un peu longue et plus complexe qu’une discussion lambda.
    Par contre, je ne laisse passer aucune attaque personnelle publique: j’ai cessé de tendre l’autre joue il y a quelques années, et grand bien m’en a fait…

  39. Même dans un billet qui demande de faire moins long il y en a encore qui en font des caisses, exemple Lodi-Noblejoué du 13 janvier 19:30 !
    En même temps, comme dit l’autre, quand ce n’est pas assez accrocheur dans les deux ou trois premiers paragraphes, je zappe.
    Pour Lodi-Noblejoué j’ai zappé direct après avoir lu « J’ai respecté la nature du média, ai exercé mon manque de talent et à l’écrit et à l’oral par une forme intermédiaire favorable à la traque des idées. Si cela a été incompris, je n’y peux rien ».
    Du coup je me suis dit que moi non plus je ne pouvais rien pour lui.

  40. Et si les commentateurs sortaient de l’anonymat, il y aurait peut-être moins de pollution.
    Personnellement je suis favorable à l’anonymat.

  41. @ breizmabro
    Pour le côté accrocheur, pardon, mais ici on n’est pas avec un bon, un méchant, et une intrigue prédéfinie type « Le héros au mille visages ». Encore moins dans la publicité.
    J’explique une démarche… J’aurais mieux fait de ne pas essayer d’amener les gens à réfléchir mais créer une secte. Hélas ! J’ai juré de ne pas le faire, seulement, voilà, les gens ne veulent pas réfléchir, mais croire, et si possible n’importe quoi.
    Et je ne peux rien faire pour eux. Le plus drôle est quand on me sort :
    « Du coup je me suis dit que moi non plus je ne pouvais rien pour lui. »
    Du coup je me dis qu’ils méritent ce qui leur arrive, les gens, les insincères qui les font réagir à coups de formules qui n’ont rien de magiques.
    —————————————–
    @ F68.10
    «  »Ils font ce qu’ils veulent, je dis ce que je pense, et ça passe ou ça casse, mais je ne crois pas que cette réforme soit plus ma faute que celle de quelqu’un d’autre. » (Lodi)
    Tout à fait. C’est sans trop de doutes suite à mes conversations avec Elusen et Aliocha. »

    Non, je ne voulais désigner personne. Vous moins qu’un autre.
    On se plaint tout le temps qu’il n’y ait pas de dialogue dans la société, mais on le détruit dès qu’il existe, ici, et autrefois en diabolisant les bars, où les gens tenaient des « propos de café du commerce » mais en tout cas, discutaient à visage découvert.
    Je n’ai rien contre les masques, mais contre le fait qu’on détruit au nom de l’alcool c’est mal ou le hors-sujet et la longueur des crimes. Et à côté, on dit que les gens sont insincères ou qu’il n’y a pas assez de liens entre les gens ! Les liens se forment par affinités électives, et l’esprit souffle où il veut.
    Ou plutôt il ne souffle pas, non seulement les gens n’ont pas d’idées, mais ils sont allergiques aux idées.

  42. Denis Monod-Broca

    Que de longs commentaires et parfois hors sujet écrits en réaction à un billet déplorant les commentaires trop longs parfois hors sujet !…

  43. @ Denis Monod-Broca
    Celui qui excuse les terroristes accuse les commentateurs atypiques. Et vous dites ne pas croire en la violence ?
    Pourtant vous voudriez contraindre les transsexuels qui ne vous ont rien fait, en rajoutez une couche sur les commentateurs disgraciés, en somme, vous soumettez à ceux qui pourraient vous faire violence, et menacez ceux qui à ce jour ne posent pas de bombes.
    Mais en somme, il faut croire qu’on respecterait davantage les transsexuels et les masques s’ils se montraient plus violents.
    Dit autrement :
    http://www.ac-grenoble.fr/ecoles/g2/IMG/pdf/le_dragon_doux_raymond_queneau.pdf

  44. Non, mais c’est vrai vous êtes tous ch**nts à lire !
    Vous vous rendez pas compte parce que vous vous prenez tous pour Einstein alors que vous avez autant d’intelligence que l’ongle d’un de ses doigts de pied mais c’est vrai !
    Je l’ai dit à Mme Bilger plusieurs fois depuis des années et même elle vous la faites ch**r. Elle me l’a jamais dit mais je le sens bien, sinon je serais plus là depuis longtemps.
    Moi je suis vulgaire, ordurier et bien sûr bourré tout le temps mais au moins, je fais généralement court (enfin je fais ce que peux avec ce qui me reste de neurones) et je m’en tiens au texte la plupart du temps, sauf en cas de réponse à un autre commentaire « déviant ».
    M*RDE AUSSI QUOI !… Hahaha !

  45. @ Alpi
    « Les commentaires et les échanges interminables, sur des sujets totalement déconnectés du billet, ne sont désormais plus souhaités ». (PB)
    Et pan, sur le bec ! J’en connais qui vont tirer le portrait ! »
    —-
    Vous êtes comme ça pour des gens qui ne vous ont rien fait ni à personne… C’est un comportement de faible :
    https://nospensees.fr/schadenfreude-se-rejouir-du-malheur-des-autres/
    Je ne risque par de tirer le portrait, vu que je rends coup pour coup.
    Et il n’est pas très malin pour un herbivore de défier les fauves, vous savez, même là :
    https://www.actualitte.com/article/mangas/poetique-et-cruel-beastars-manga-d-un-genre-unique/92821

  46. @ Mister Bean
    « cher islamogauchinouille »
    Faudrait savoir car selon vous je serais : enfant de choeur, catholique, islamiste, gauchiste, macaroniste et quelques autres imbécillités de votre seul niveau.
    L’islam est une théorie politique d’extrême droite qui a pour ennemi la gauche, donc la niaiserie du « islamogauchisme » cela en dit plus sur vous que sur les autres.
    L’islam étant une théorie politique d’extrême droite et non une religion (musulmanisme), elle revendique les mêmes choses que vous :

    • de droite ultra facho, hétéro, cathophobe, homophobe, etcétérophobe

    Elle revendique cela aussi : blanc de souche.
    Oh eh ben oui, les Arabes ne font pas partie des noirs ! SURPRISE ?!
    Et les personnes noires, ils les ont mises en esclavage… ils continuent d’ailleurs.
    Vous voyez, tout pareil que vous !
    ——————————-
    @ stephane | 13 janvier 2020 à 20:25
    L’une des solutions, c’est la publication de l’adresse IP et de la Reverse DNS (Hostname) ; c’est tout à fait légal ; certains sites, blogs, forums, le font.
    Car vous levez l’anonymat comment ?
    Le seul moyen serait que mon ami imaginaire, l’Honorable Honoraire, nous demande une numérisation de nos pièces d’identité.
    Non mais, vous imaginez faire circuler cela sur Internet et les serveurs de stockage ?!
    Remarquez Ebay et Fèces de Bouc, il leur arrive de les exiger, ce qui est complément illégal ; seules la Police et la Gendarmerie peuvent contrôler l’identité.

  47. @ Julien WEINZAEPFLEN | 13 janvier 2020 à 09:27
    Exact. Non seulement Mme Bilger est d’astreinte tous les jours, mais aussi les week-ends, les jours de fête, les vacances annuelles, les soirées jusqu’au 02:00 du matin à faire lecture et corrections. Le matin dès presque 08:30 reprise des tâches.
    Trop gentille Mme Bilger. Faut pas se laisser faire !
    Recommandations :
    – Le bureau du modérateur ouvre de 09:00 à 19:00 du lundi au samedi.
    – Les commentaires hors sujet du billet ne seront ni corrigés ni publiés.
    Et voilà, ceux qui n’écoutent pas, au coin.

  48. @ Noblejoué | 13 janvier 2020 à 19:30
    « Bien, mais comme la législation change, mon attitude s’adapte ; je ferai dans l’écrit tout à fait écrit, et si froid que je me demanderai si ma langue n’est pas plus morte que le latin du Vatican. »
    Rassurez-vous Noblejoué ou plutôt Lodi puisque vous avez changé de pseudo.
    Lodi abandonnera-il définitivement les grandes circonlocutions tarabiscotées, le style décousu sans fil directeur de Noblejoué ?
    Ses commentaires seront-ils plus concis, bien structurés, avec introduction, développement et conclusion claire permettant enfin de savoir où vous voulez en venir exactement dans vos démonstrations ?
    Tous les habitués de ce blog, sans aucun doute, le souhaitent vivement. Je pense que vous en êtes capable ! 🙂

  49. Denis Monod-Broca

    @ Lodi
    Amusant poème de Queneau, merci. Dommage que vous le compreniez à l’envers, comme vous comprenez à l’envers ce que j’écris.
    Les mensonges, tel le serpent de mer, ont besoin de la violence pour s’imposer. Pas la vérité qui, si elle use de violence, se trahit elle-même.

  50. @ Elusen
    « L’islam étant une théorie politique d’extrême droite et non une religion (musulmanisme) »
    Les muslims partagent votre point de vue ? Ou pas ?
    N.B: Vous pouvez nous expliquer en quoi votre réponse à Mr. Bean serait dans le sujet du billet ?

  51. @llah Elusen Bean !
    « …macaroniste et quelques autres imbécillités de votre seul niveau. »
    J’ai de la chance d’avoir à côté de chez moi le meilleur macaroniste de la ville, un pâtissier islamogauchiste comme vous, qui fait des macarons de très haut niveau, macarons orientaux islamistes car ce brave monsieur est de couleur arabe gris clair, pas trop foncé, en outre il exploite des apprentis mitrons noirs esclaves car la traite négrière est toujours autorisée chez eux ; y a même des tapis de prières dans le fournil ; de temps en temps il ordonne à ces djeuns de se mettre en position céleste afin de se faire mettre en conformité avec le trouphète d’Allah qui l’est gland.

  52. Oh, non !!
    Il faut donc que pas un clou ne dépasse ?
    Je voudrais que Noblejoué reste Noblejoué, et les autres ce qu’ils sont.
    Normalement, je devrais arriver seule à trouver la solution, aux questions suivantes :
    1 – Est-ce que le hors sujet est intéressant, et par quelle voie mystérieuse le commentateur cherche à échapper au marteau ?
    2 – Est-ce que je peux seule décider de lire ce qui est trop long, beaucoup trop long ? Eh bien, sans me vanter je pense que oui, je peux toute seule (et après le travail de Mme Bilger) faire une chose pareille !
    3 – Est-ce que le hors sujet est plus pénible que la vacuité, ou la lapalissade, ou la sottise ? NON !
    4- Est-ce que certains ont besoin que notre hôte bienveillant devienne pour leur plus grand confort, le garde-chiourme ? Il semble que oui, et cela n’est pas bon signe…
    Dès lors, Monsieur Bilger (notez que par crainte je tente de faire bref!) je vous demande comme une faveur, et parce que cela nous sort de l’ordinaire et banale imbécillité, de laisser vos invités libres !
    C’était le vœu que je formulais, il y a peu de temps, et je vois que vous ne voulez pas qu’il se réalise ! Vraiment, ce n’est pas très gentil !

  53. @ Achille (14/01 à 7H53)
    La cloche Bloujonée (anagramme) qui bourdonnait inlassablement en de trop longues séquences s’est transformée en sirène Diol. Depuis vingt-quatre heures, elle se déclenche intempestivement et nous fait entendre une palette de sons bizarres et asymétriques. On hésite entre la sonate pour code-barres en sol binaire ou le solo pour algorithme déjanté.
    Il semblerait que le nécessaire rappel à l’ordre de M. Bilger ait produit des vibrations à caractère délirant qui sont venues troubler les perceptions habituelles du rédacteur prolixe.
    A abuser de la cloche, on finit par faire le gong.

  54. En complément à mon post du 14 janvier 2020 à 05:43
    A rajouter :
    Les « commentaires hors sujet du billet » ne seront ni corrigés ni publiés.
    Et voilà, ceux qui n’écoutent pas, au coin.

  55. Pour ma part, j’aime les digressions des uns et des autres.
    La pensée ou l’émotion virevoltent. De nombreuses digressions sont tout simplement très intéressantes tandis que certains sujets ou la manière de les traiter sont juste ennuyeux.

  56. Lorsqu’on se répand de façon diarrhéique sur ce blog (souvent plus de 40 lignes absconses), il est indispensable pour retenir l’attention du lecteur de commenter le sujet de l’article tout en étant percutant.
    Cet exercice difficile n’est réussi que par de rares contributeurs dont les posts ajoutent à la saveur déjà élevée des posts de Philippe Bilger…
    Sachant cela, tous les acharnés de la contribution compulsive hors-sujet vont bien entendu crier à la censure, à la ligature de leurs pensées autocentrées et ne tiendront aucun compte de la recommandation de notre hôte.
    Dès lors quelle sera la décision?
    Un mandat d’arrêt, une mise en examen, une interdiction de séjour, tous ces instruments juridiques sont connus ici et l’on pourra constater ou non si le réquisitoire de notre avocat général honoraire est suivi d’effets…

  57. Vous avez bien raison, Monsieur Bilger, mais la digression et la logorrhée sévissaient déjà il y a quatre siècles dans le salon de Madame de Rambouillet.
    « Arrias a tout lu, a tout vu, il veut le persuader ainsi ; c’est un homme universel, et il se donne pour tel : il aime mieux mentir que de se taire ou de paraître ignorer quelque chose. On parle, à la table d’un grand, d’une cour du Nord : il prend la parole, et l’ôte à ceux qui allaient dire ce qu’ils en savent ; il s’oriente dans cette région lointaine comme s’il en était originaire ; il discourt des mœurs de cette cour, de ses lois et de ses coutumes : il récite des historiettes qui y sont arrivées. Quelqu’un se hasarde de le contredire. Arrias ne se trouble point : « Je n’avance, lui dit-il, je ne raconte rien que je ne sache d’original : je l’ai appris de Sethon, ambassadeur de France dans cette cour, que je connais familièrement et qui ne m’a caché aucune circonstance ». Il reprenait le fil de sa narration avec plus de confiance qu’il ne l’avait commencée, lorsque l’un des conviés lui dit : « C’est Sethon à qui vous parlez, lui-même, et qui arrive de son ambassade ». »
    Evidemment, au temps de La Bruyère, on n’avait pas encore inventé Wikipédia ni la numérisation (que j’utilise aussi, mea maxima culpa…).

  58. @ Mister Bean | 14 janvier 2020 à 11:20
    « avec le trouphète d’Allah qui l’est gland »
    Vous voyez, tout comme vous ; au point où plus personne ne peut faire de différence ; même F68.10 est fin prêt à mettre la main sous votre djellaba ou soutane en français.

  59. @ Elusen
    « même F68.10 est fin prêt à mettre la main sous votre djellaba ou soutane en français. »
    J’ai déjà expliqué sur ce blog que la sexualité ne m’intéressait plus. Pourquoi continuer ce type d’attaques personnelles ?
    D’autant plus que vous ne répondez à aucune de mes questions.
    Peut-on revenir sur le sujet du billet, Elusen ?

  60. @ Lodi
    Vous me paraissez bien susceptible pour une simple plaisanterie. Et, du coup, vous devenez pontifiant et ennuyeux avec vos liens… et hors sujet !
    Ce que j’ai déjà constaté avec vos autres commentaires…

  61. @ Jean
    Vous êtes gentil d’intervenir en faveur des digressions. Peu de gens interviennent pour louer, vous faites partie de ce petit nombre.
    Et cela sans que vous soyez concerné au premier chef, gardant en général le silence.
    On se moque de moi, mais je me flatte d’assumer mes commentaires et tant que j’y suis, la défense des autres navigateurs au long cours.
    Je jette quelques gifles sur ceux qui balancent le coup de pied de l’âne sur les gens en chasse de vérité un peu au hasard, à la billebaude, maintenant qu’ils sont en disgrâce, leur méandres bétonnés comme la Loire, fleuve plus ou moins sauvage, aurait pu l’être.
    Je jette des fleurs, ou plutôt de la musique, sur un homme loyal aux flâneurs du verbe :
    https://www.youtube.com/watch?v=hQ7-3YH6Zpo
    Dans une époque qui découpe et rabote, la musique peut encore nous donner quelques moments de promenades.
    —————————————————-
    @ Ellen
    « Recommandations :
    – Les commentaires hors sujet du billet ne seront ni corrigés ni publiés.
    Et voilà, ceux qui n’écoutent pas, au coin. »
    Je comprends bien qu’on mette les commentaires hors-sujet à la poubelle si on n’en veut pas.
    Notre hôte fait ce qu’il veut chez lui.
    « Ceux qui n’écoutent pas au coin » est cependant une expression bien révélatrice d’une raison poussant un certain nombre de gens à appuyer sa politique.
    Le fait de se voir contrôler et sanctionner, et pourquoi pas ? Éduquer les autres par procuration.
    Il y a eu aussi les flatteurs repentants, j’ai eu tort mais pas trop… Franchement, des partisans pareils me semblent quelque peu embarrassants. On veut l’ordre et on a les flatteurs et les petits chefs.
    Il y a aussi les gens si faibles qu’incapables de ne pas lire ce qui leur déplaît, une vraie cour des miracles.
    Avec un tel manque de liberté psychique, ne leur faudrait-il pas un filtre parental pour accéder au net ?
    J’espérais une défense plus intelligente sur la différence entre un blog et un forum, la dynamique des échanges et l’aspect esthétique des commentaires mais non.
    C’est sous cet aspect que notre hôte a présenté les choses, mais il n’a eu que des flatteurs et des petits chefs.
    Donc, à mon avis, si à une époque ou diabolisait pour s’aider dans un débat, on fera, en plus, de nos jours, intervenir l’arbitre en disant « hors sujet », comme Martinez dit évidemment.
    Ce sera l’âge des rapporteurs.
    https://naitreetgrandir.com/fr/etape/3-5-ans/comportement/fiche.aspx?doc=bg-naitre-grandir-rapportage-enfant-porte-panier
    Chacun ses plaisirs régressifs…

  62. Cette « Charte du blog » a pour elle sa logique… D’ailleurs, il y a quelques années, M. Bilger (les époux Bilger ?) était plus strict sur la notion de hors sujet – même si l’on arrive toujours à se raccrocher d’une façon ou d’une autre au billet concerné (c’est un peu comme les amendements et les cavaliers législatifs au Parlement…).
    Ce qui est peut-être davantage susceptible de poser problème, c’est qu’apparemment certains contributeurs n’acceptent pas d’être contredits par d’autres ; ils montent dès lors au créneau, afin de défendre bec et ongles leur position. Pourtant, la liberté d’expression (dont nous jouissons avec bonheur sur ce blog) implique la diversité des idées et des opinions. Où en arriverait-on si, dans toutes les revues et magazines, dès que quelqu’un est mis en cause, il exigeait un droit de réponse ? Car le droit de réponse prévu par la loi sur la liberté de la presse s’applique plus libéralement qu’on ne le pense : il n’est absolument pas requis d’avoir été vilipendé, il suffit d’être cité, ou même d’être visé, dans un article. On voit bien à quels excès on en viendrait si à chaque fois la personne mise en cause exigeait de pouvoir répliquer (d’autant plus que la réponse peut légalement avoir les dimensions de l’article originel). Ainsi, le droit de réponse est régulé par la sagesse même de ceux qui peuvent en faire usage. Qu’il puisse en être de même sur ce blog irremplaçable !…
    Donc, tâchons de nous en tenir aux contributions susceptibles d’apporter une analyse ou d’ajouter des informations. Et s’il n’y a pas ou peu de messages critiques, c’est que ce qui avait été écrit n’était pas si nul que ça…

  63. Ils me font tous marrer.
    Tout d’un coup, ils pensent tous que c’est vrai, les commentateurs sont beaucoup trop longs et parlent de trucs qui n’ont aucun rapport avec le sujet.
    Ben voui, c’est toujours les autres évidemment.
    C’est ça, la populace.
    Je vais peut-être me mettre à faire dans la longueur et le hors sujet permanent rien qu’à cause de tous ces hypocrites.
    (Pov’ Madame Bilger… Pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ;-))

  64. @ Alpi
    « Vous me paraissez bien susceptible pour une simple plaisanterie. Et, du coup, vous devenez pontifiant et ennuyeux avec vos liens… et hors sujet !
    Ce que j’ai déjà constaté avec vos autres commentaires… »
    Hors sujet : j’avais prévu que ce serait le nouveau truc pour diminuer les gens. En plus de les diaboliser.
    Sans aller jusque-là, vous me dites susceptible. Mais on pourrait vous retourner le compliment : il ne vous est pas indifférent qu’on n’apprécie pas vos plaisanteries.
    Merci de me donner raison.
    Quant à mes liens et à mon côté paraît-il pontifiant, cela vaut toujours mieux que du vide qui se prend pour de l’esprit.

  65. @ Lodi 14 janvier 2020-19:20
    Fin de la discussion « hors sujet » of course. On ferme la boutique.
    Have a nice dream and keep cool !

  66. AUTOGENESE OU SCISSIPARITE ?
    Personne ne l’a remarqué, mais depuis que Noblejoué s’est dédoublé en Lodi, le même jour, l’Insee a annoncé officiellement que la France venait de passer le cap des 67 millions d’habitants. Cette coïncidence considérable peut avoir des conséquences imprévisibles puisque certains ont pronostiqué tout simplement la fin de l’immigration !
    C’est grave docteur ?

  67. Je suggère aux mordus du hors sujet ainsi qu’à ceux qui ne parviennent pas à s’exprimer en moins de cent lignes d’aller sur le blog de Rioufol qui ressemble plus à un forum qu’à un blog.
    Là-bas c’est l’auberge espagnole. Quel que soit le sujet, chacun des abonnés vient avec son propre sujet, souvent toujours le même d’ailleurs : les islamistes, les migrants, le Macron-bashing à tire-larigot.
    Cela n’empêchera certainement pas des échanges chaud-bouillants, mais aura le mérite d’épurer ce site de scories inutiles et permettra des échanges plus consistants car en harmonie avec sa charte.

  68. Voici quelques explications et règles extraites du « All blogger » 2020.
    Si on respecte la prescription des codes, aucune raison que ça devienne une auberge espagnole.
    La différence entre un « Blog » et un « Forum  » :
    1/-Un « Blog » est souvent tenu par une ou plusieurs personnes qui ont la volonté de s’exprimer sur divers sujets. Entre autres, l’information peut être la motivation première d’un blogueur. Bien que l’interaction soit possible sur un blog, l’auteur ne s’attend pas nécessairement à une réponse de son auditoire. Il est en quelque sorte le roi de son royaume, étant donné qu’il s’agit d’un espace personnel où il peut mener la danse. Le blogueur peut organiser des débats et les diriger à sa manière ou encore filtrer les commentaires à sa convenance. Lorsqu’un lecteur se rend sur un blog, il va premièrement pour lire la pensée du blogueur.
    Cas de Philippe Bilger
    2/-Un « Forum » est un espace de débat sur lequel on peut poser des questions et attendre des réponses. Contrairement au blog qui est exclusivement dirigé par un auteur, les utilisateurs d’un forum peuvent chacun par le biais de l’identification, lancer une discussion. L’interaction est le principal fil conducteur du forum qui peut être assimilé au reflet de la pensée d’une quantité de rédacteurs.

  69. « -Un « Blog » est souvent tenu par une ou plusieurs personnes qui ont la volonté de s’exprimer sur divers sujets…
    -Un « Forum » est un espace de débat sur lequel on peut poser des questions et attendre des réponses… » (Ellen)
    Rencontre de troisième type, ici : le « blogorum ».
    PB lance un sujet : aussitôt rappliquent le geignard, l’ampoulé, l’humoriste Vermot, l’obsédé textuel, l’obsédé sexuel, le retraité diarrhéique, le prophète illuminé, l’insomniaque aux erreurs nocturnes, bref, toute la panoplie des phalènes attirées par la lumière…
    Au milieu de la soupe, quelques morceaux de viande et de temps à autre, le verre de vin qui permet le chabrol.
    Et Pascale de dégraisser sans fin…
    Faut de tout pour se réchauffer sur le blogorum…

  70. @ Achille | 16 janvier 2020 à 09:39
    « Je suggère aux mordus du hors sujet ainsi qu’à ceux qui ne parviennent pas à s’exprimer en moins de cent lignes d’aller sur le blog de Rioufol qui ressemble plus à un forum qu’à un blog.
    Là-bas c’est l’auberge espagnole. Quel que soit le sujet, chacun des abonnés vient avec son propre sujet, souvent toujours le même d’ailleurs : les islamistes, les migrants, le Macron-bashing à tire-larigot.
    Cela n’empêchera certainement pas des échanges chaud-bouillants, mais aura le mérite d’épurer ce site de scories inutiles et permettra des échanges plus consistants car en harmonie avec sa charte. »
    Bonté divine ! (Oh My God ! en français moderne…)
    Je vous propose de réfléchir, 1 minute sur 59, afin de nous donner à lire autre chose que vos habituelles inanités…
    Quand je lis ça :
    « Cela n’empêchera certainement pas des échanges chaud-bouillants, mais aura le mérite d’épurer ce site de scories inutiles et permettra des échanges plus consistants car en harmonie avec sa charte », je me dis que le platane de Camus remplirait bien des offices, si seulement on ne l’avait pas scié !
    Pourtant, le doute m’habite et même me hante, lorsque je me penche attentivement sur « des échanges plus consistants car en harmonie avec sa charte »
    Le dernier mot m’a induite en erreur, et le malentendu m’a jetée contre un platane invisible.
    Vous êtes comme le pharisien prompt à donner des leçons dont vous vous épargnez les contraintes, et comme il se doit, les scories sont toutes ailleurs, chez les autres  !
    Oh ! Achille, monumental et vénéré héros, combien de pitoyables nains surgis du néant se sont parés de ces armes trop lourdes et de ces splendeurs trop grandes ?
    Il faut être magnanime lorsqu’on est tout petit, ceci compense cela !

  71. @ duvent | 16 janvier 2020 à 14:50
    Ce qui est remarquable chez vous, chère duvent, c’est que tel Jésus avec ses apôtres, vous vous exprimez sous forme de parabole. A charge pour chacun de nous de chercher où vous voulez en venir exactement.
    En fait c’est un peu du Noblejoué mais en plus alambiqué. Ceci étant le texte est beau, même si l’emphase un brin datée sent un peu la naphtaline.

  72. @ Achille
    A présent, je suis Lodi et ne désire plus m’exprimer sur la charte. Ni « révéler » ce que cela signifie : rien contre personne, je le précise vu le nombre de paranoïaques infestant ce site.
    Ce que cela veut dire ? Je ne le révélerai que si quelque chose de bien précis arrivait hors du blog, sinon, cela serait absurde.
    Quand j’ai un message à faire passer, je ne l’envoie pas dire, mais après tout, que les gens croient ce qu’ils veulent ou plutôt ce qu’ils peuvent : chacun se crée son enfer.
    Vous savez, on m’a reproché d’admirer, puis de pontifier, sur ce blog… Je m’attends à ce qu’après qu’on m’a adressé des semonces à cause des longueurs des hors-sujet et de parler de moi, toutes choses que je vais essayer d’éviter pour faire oeuvre, puisqu’on prétend transformer de ce lieu une sorte d’atelier de production de commentaires qui en serait (alors qu’ils ne ressortent jamais que d’une faille entre l’écrit et l’oral et sont une conversation avec l’auteur et entre commentateurs) on…
    …ne me reproche autre chose ou on m’ignore.
    Quel suspens palpitant pour un autre ! Moi, je me demande bien comment on peut faire de commentaires, des œuvres.
    Allons en relever le défi.

  73. Jean-Paul Ledun

    Bravo Philippe !
    Il était plus que temps.
    Quelle patience, quelle endurance !
    Vous et votre modératrice-correctrice bien-aimée…

  74. @ Achille | 16 janvier 2020 à 16:02
    Non, vous vous méprenez, je n’use pas de la parabole, quelquefois du zeugma et souvent de l’ironie.
    Vous ne devez pas extraire un mot et ensuite déduire une idée, ceci est l’habitude du sot.
    Mais je suis bonne camarade et donc je vous invite à relire la parabole du semeur.
    A propos d’emphase, il faut savoir qu’elle a pour effet de dérider, de déplier, d’étirer, d’étendre, d’accroître, d’intensifier et de faire se gondoler, ma raison.
    C’est pourquoi la contrepèterie est pour moi l’ultime emphase, dans laquelle il est vivement recommandé de glisser quelques pastilles de naphtaline !
    Nota bene : pour goûter les contrepèteries il faut un esprit vif, très vif, excessivement vif… Entraînez-vous !

  75. Mary Preud'homme

    @ Achille | 16 janvier 2020 à 16:02
    Hors sujet :
    Achille avec ses gros sabots qui compare une libellule se posant ici ou là avec légèreté sans jamais s’incruster, avec un papillon mite envahissant et qui fait des trous partout !
    Sacré Achille, toujours à côté de la plaque !

  76. @ Lodi
    Merci, Lodi, pour cet intermède musical qui fut tel que vous me le souhaitiez une délicieuse promenade à flâner sans but au gré du vent.

  77. @ Jean-Paul Ledun
    « modératrice-correctrice bien-aimée… »
    Pas mal.
    Dorénavant, je vais la reprendre si vous permettez à chaque fois que parlerai à ou de Madame Bilger.
    Je pense que ça lui fera plaisir, héhéhé.
    Bien vu Jean-Paul.

  78. @ duvent | 16 janvier 2020 à 20:13
    « Vous ne devez pas extraire un mot et ensuite déduire une idée, ceci est l’habitude du sot. »
    J’aime bien les gens qui, comme vous, donnent des leçons d’intelligence. C’est une volupté de fin gourmet comme disait Courteline.
    La fatuité est ce qui permet aux érudits ou présumés tels de croire qu’ils sont des géants parmi les nains. Cela semble les rassurer, dommage que cela ne les ridiculise.
    ——————-
    @ Mary Preud’homme | 16 janvier 2020 à 20:18
    Amusant de votre part de parler de gros sabots, vous qui n’avez jamais fait dans la subtilité.
    Mais comparer duvent à une libellule m’a bien amusé, je l’avais prise pour un gros hanneton. 🙂

  79. Dragué place Clichy, je l’avais mollement suivie jusqu’à son studio des Batignolles. J’avais regretté. Je le lui avais fait savoir.
    Une fois qu’on se fut tout dit on se sépara !
    Elle poursuivit ses déambulations blogueuses sans nullement se soucier de son éphémère « compagnon » d’une soirée ! C’était déjà ça !
    Pour la Noël elle alla à Rome, en revint lucide mais aimable.
    D’obscurs regrets jaillirent dans mon tréfonds : aurais-je été aveugle, mauvais observateur, un peu fat ?
    Après tout c’est bien possible !
    Depuis quelques jours j’ai l’envie d’aller l’embrasser – je connais le chemin !
    Mais j’ai peur d’être rebuté !
    Surtout qu’elle est en phase active pour faire valser les imbéciles.
    J’attendrai un peu !

  80. ZEMMOUR TOUJOURS !
    Quand Épamimonnasse ou Syro Ko, qui sont à n’en pas douter des pseudonymes, écrivent quelque chose comme :
    « Comment expliquer, sinon, que vous laissiez passer une trentaine de commentaires (je n’ai pas compté) de Zonzon, reproduisant les échanges de l’émission de Zemmour sous le billet « Encore Nadine Morano : c’est vrai ou c’est raciste ? » ? »
    ça n’en touche pas une à Zonzon, encore moins une autre à Nadine et les habitants de Nogent-le-Rotrou, gros bourg où se passe la scène, n’en sont même pas informés !
    Mais quand il s’agit d’un dénommé Herman Kerhost (13 janvier à 12 h 51), on a un problème ! Ce pseudonyme ressemble tellement à un patronyme qu’on ne serait pas traumatisé qu’il en soit un !
    Et c’est à cet instant précis qu’on commence à se poser des questions. On imagine volontiers ! On vagabonde en compagnie d’un fier chevalier teutonique juché sur sa mouture arpentant les forêts de Mazurie en recherche d’un vil envahisseur asiatique à trucider en vue d’évangélisation ; ou d’un fringant officier de Frédéric de Prusse ; mais aussi d’un Commandant à la tête d’un détachement d’une Panzer Division SS En Marche vers Gross Paris, un cinglé sanglé dans sa pelisse de cuir noir !
    Et là on s’extirpe de la rêverie.
    Ah ! Cher Herman, voici 15 jours au moins que nous sommes plongés dans l’abomination de Charlie Hebdo, « journal bête et méchant » et voici que vous apparaissez méchamment et bêtement pour évoquer ce petit juif teigneux qui est comme un caillou dans votre botte !
    Eh bien, au risque de vous étonner, je vous remercie pour m’avoir donné l’occasion de m’expliquer sur l’arrêt momentané du « Zemmour Parade » qui se produit 4 fois par semaine dans l’arrière-salle du grand café de Nogent-le-Rotrou !
    Et sur l’opportunité de poursuivre nos commentaires.
    Nous avons longuement évoqué cette question, mon épouse et moi-même, devant l’âtre, attendant qu’un autre petit juif vienne se lover dans la crèche.
    Postés en retrait, par humilité, hors du circuit normal du blog, pour ne pas gêner l’écoulement journalier du débat, d’accès malaisé et pour ainsi dire lus par personne – ce qui, par ailleurs, n’est pas forcément l’objet – l’intérêt de ces commentaires est sans rapport avec le temps et la peine nécessaires pour les rédiger !
    Sans parler de nos compétences, problématiques, lesquelles ne nous désignent nullement pour prendre en charge cette tâche.
    Les Zonzon sont-ils à la hauteur pour argumenter dans un temps où l’hommelet qui dirige déclare : « La culture française n’existe pas, les zélythes françaises sont acculturées ! » EN MÊME TEMPS que notre Zemmour rétorque : « Plus l’élite déteste quelqu’un, plus le peuple l’aime ! », se rappelant ce jour de 1982 où JP2 déclara, à propos de la Pologne : « La NATION existe par et pour la Culture ! ».
    [Et où le patron – croyant bien faire – ouvre un débat sur Camus qui tourne à la démolition d’un homme malgré tout honorable si l’on se rapporte aux brutes nauséabondes, grandgourous qui suivirent !]
    Ce modeste couple des profondeurs qui se demande jusqu’où il va falloir que la France descende pour que les gens se convainquent de cette vérité première : Macron n’est pas, n’a jamais été la solution !
    Mais il fallait bien que quelqu’un s’y collât !
    C’est avec sérénité, espoir et reconnaissance que nous attendons qu’on nous décharge de ce fardeau. Le grand boureau a déjà abandonné… sans donner d’explication !
    Reste, pour le moment, ô Herman, votre vomissure, comme un rejet verdâtre s’étalant sur la table d’un banquet sous l’indifférence absolue de convives impassibles, silencieux !

  81. @ sbriglia | 16 janvier 2020 à 13:57
    « PB lance un sujet : aussitôt rappliquent le geignard, l’ampoulé, l’humoriste Vermot, l’obsédé textuel, l’obsédé sexuel, le retraité diarrhéique, le prophète illuminé, l’insomniaque aux erreurs nocturnes, bref, toute la panoplie des phalènes attirées par la lumière… »
    Je pense avoir identifié tous ceux dont vous faites allusion dans cette liste (y compris moi).
    Il ne manque plus que vous. J’hésite entre le nain Grincheux et le
    Schtroumpf Grognon . 🙂

  82. Bravo cher Philippe. Je me décourageais de lire les commentaires, je passais les bavards. Cependant, je m’aperçois qu’il y a les déçus de cette Charte, les offensés pensez ! Ceux qui n’ont rien compris, ceux qui règlent leurs comptes sur les autres d’une manière peu aimable et mal élevée, ceux qui ont une mémoire d’éléphant en se souvenant qu’untel a dit il y a cinq ans dans ce blog…
    Quand on n’a rien à dire, on peut se taire ! ou on attend le prochain billet…

  83. @ Caroline
    Pardon, pour vous il est plus grave de répondre à des offenseurs que d’offenser ? Il faut le croire, vous n’intervenez que pour critiquer qu’on se défende.
    Pas pour assister la victime.
    Vous dites certains mal élevés. Votre éducation vous a donné un sens aigu de la justice, je vois ça.
    Et un courage !
    Vous n’intervenez que quand les gens que vous n’appréciez pas sont à terre, pour les achever.
    Peut-être vaut-il mieux être un éléphant qu’un charognard.
    Leçon un : quand on provoque, on n’est pas maître de la réponse de l’autre, il ne vous doit aucune clémence.
    Leçon deux : si on veut que les gens s’apaisent, on ne vient pas les provoquer.
    J’aimerais bien que les présumés je veux que le monde change et des relations apaisées en montrent l’exemple.
    Non ! Ils provoquent sous des dehors de faire la morale, ce qui est proprement insupportable.
    S’ils le voulaient, mais ce sont des hypocrites ou des inconséquents, on le voit bien avec vous, ils diraient, voyons, quelque chose comme ça…
    « Dans les lieux où on mange, chacun parle à son voisin, et souvent, de plus en plus fort pour émerger du chaos sonore.
    Personne n’est coupable, il faut s’en rendre compte, n’accuser personne et essayer de murmurer ».
    Ici, la règle peut paraître étrange, j’ai dit pourquoi à mon sens vous n’avez pas compris, je n’y peux rien.
    Bref, mais peu importe, il faut tendre de faire ce que nous dit notre hôte, c’est ça, la politesse, et je m’y essaie, je veux croire que d’autres aussi, oui, mais c’est impossible si on provoque les gens.
    L’agression est un hors-sujet qui contrairement aux autres n’apporte jamais rien. De plus, il éloigne du débat : de tous les débats, on parle des personnes, pas des problèmes.
    Et enfin, il ne peut que resurgir, apparemment, vous n’avez aucune idée de ce qu’est une dignité blessée.
    Peut-être parce que n’intervenant pas, vous ne risquez pas les coups, peut-être parce que vous n’avez aucune idée de ce que peut être la dignité, après tout, la justice vous échappe.

  84. Pour éclaircir le débat, certaines divinités autoproclamées se sentent agressées lorsqu’on les contredit, confirmant que tout le monde n’est pas prêt pour la démocratie. Ce n’est pas de la morale, c’est de l’anthropologie.

  85. @ Aliocha | 22 janvier 2020 à 18:09
    Vous avez l’habitude de me faire une morale des plus idiotes sans même avoir la décence de vous adresser à moi.
    Les gens ne m’agressent pas ? Eh bien si, souvent, la dernière étant la demande de m’exclure du blog. D’autre part, je ne me prends pas pour une divinité, même s’il serait hautement désirable pour les gens de passer de ce qu’ils sont à beaucoup mieux, mais la divinité, mon Dieu, c’est le cas de le dire, pue sa théologie à plein nez.
    La réalité est énergie, matière, vie et intelligence, je n’ai jamais trouvé le moindre intérêt autre que d’antiquaire dans les visions théologiques du monde. Du n’importe quoi, Dieu tout-puissant créateur responsable de rien, créateur de notre souffrance-mort, notre destin, et bon.
    Alors que non, soit un dieu n’est pas tout-puissant, c’est son excuse, soit il est tout-puissant, c’est un monstre.
    Je n’interdis pas aux gens de me contredire, mais dans tous les sens du terme, je ne dis pas amen.

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