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« Mauriac » : pas mal, pas mal…
Bon anniversaire, Monsieur Bilger.
Quelle idée, cher Philippe !
Cher Philippe,
Bon anniversaire.
@ Cher PB
« Ce blog serait-il une grande famille ? »
Oui, comme toute famille, avec des pièces rapportées qui ne sont pas forcément des valeurs ajoutées. Nous pourrions aussi imaginer un casting, comme le film : nous avons déjà le producteur et sa script-girl, et des ouvertures dans les médias. Longue vie à toutes et à tous… et bonne avance sur recettes.
Puisque personne n’ose poser la question, je m’y colle.
C’est quoi une famille à la Mauriac ?
Une famille divisée, Achille, et soudée uniquement par la haine.
Bon anniversaire Monsieur, parmi tous ceux que vous chérissez et ceux passés, présents, futurs, que vous appréciez.
Bon anniversaire d’une cousine de province du blog !
Bon anniversaire cher Philippe, vous êtes toujours au top avec d’autres résistants aux charias islamogauchistes indigénistes racialistes racistes anti-blancs anti-France, tous ces fachos des LFI, PS, PCF, EELV, LGBT, cette fange nauséabonde qui pollue le climat social et sociétal, ces collabos immigrationnistes macroniens qui détruisent le pays avec cette invasion migratoire incontrôlée voulue pour créer un désordre, une anarchie criminelle qui fait peur aux citoyens, les divise, les censure, les menace, les poursuit en justice au moindre écart de conduite imposé de force par ce fou dangereux de l’Elysée.
Vous êtes mon bol d’air pur, de liberté, continuez en espérant qu’on ne vous muselle pas.
P.-S.: Macron va sûrement proposer comme future Marianne le buste d’Obono cette pôv’ martyre victime du racisme fascisme blanc qui lui interdit de « niquer la France », de soutenir les terroristes islamistes dont Merah, d’éliminer les blancs… Qu’en pensez-vous ?
@ Achille
Réponse : un roman de Mauriac a pour titre « Le Noeud de vipères ».
Bon anniversaire Monsieur Bilger.
Pour « Achille »… peut-être « le Noeud de vipères » ?
@ Achille | 01 septembre 2020 à 13:09
« Puisque personne n’ose poser la question, je m’y colle. C’est quoi une famille à la Mauriac ? »
Puisque personne n’ose répondre à la question, je m’y colle : un nœud de vipères !!
J’ai eu la grande joie de vous écouter dernièrement dans une émission sur Thierry Paulin puisque vous avez été l’avocat général au procès de Jean-Thierry Mathurin, l’acolyte du tueur des vieilles dames.
J’ai admiré votre subtile évocation du parcours de l’accusé, votre sagesse dans la perception des faits qui lui étaient reprochés et même votre compassion, car vous avez du cœur…
Quand je lis vos billets, ici, j’y retrouve cette intelligence que j’ai tant admirée dans cette émission.
Bon anniversaire monsieur Bilger, continuez de nous éclairer sur le monde encore très, très longtemps !
« Pas à la Mauriac, j’espère. »
Et pourtant voilà qui ferait plaisir à beaucoup d’entre nous.
Enfin à la façon dont nous qualifiaient les communistes et autres trotskistes autrefois…
Comprenne qui pourra !
Cette formule dont les camusiens font grand cas, est la déclaration exemplaire de cet « humanisme » sans queue ni tête, qui prétend pourtant pouvoir être enseigné et même prescrit: il n’a eu comme seul effet concret que de réduire Camus au silence. S’interdire de parler: singulier humanisme.
Mais Camus en l’occurrence n’est qu’un de ces innombrables faiseurs de phrases qui s’imaginent depuis des lustres que l’humanisme se transmet par la répétition rhétorique.
Mais non, l’humanisme ne se prescrit pas. Seule la terreur que l’homme est capable de s’inspirer à lui-même (Auschwitz et autres chefs-d’oeuvre), seules les menaces de ce calibre, ont fait la preuve historique qu’elles étaient capables de le conduire – lentement – au respect de son humanité. Et d’abord à un peu de solidarité.
La trouille est le moteur de l’humanisme. Rien ne sert de braire « Respect de l’homme ! Respect de l’homme ! Voilà la pierre de touche ! » comme Saint-Exupéry au bar de l’Escadrille (et on le sait, au sortir du bordel – haut lieu du respect de l’homme !).
La peste de ces simagrées néo-religieuses d’un athéisme simplet: ceux qui vaticinent « S’interdire ! S’interdire ! » ne valent pas mieux que ceux qui disent: « Seigneur ! Seigneur ! »
Montée de l’insignifiance, a perçu quelqu’un naguère.
Joyeux anniversaire Philippe Bilger !
Longue vie à ce blog à nul autre pareil !
On oublie Hervé Bazin et son Vipère au poing avec la fameuse Folcoche, sa mère. Une horreur.
On l’a vite oublié car il reçu un prix Lénine et était proche des communistes.
Pourtant, il demeure…
Nœud de vipères. Bon Dieu, mais c’est bien sûr !
Merci à Aliocha, Jean sans Terre, Patrice Charoulet , Dominique, Lucile, pour leurs réponses. Je n’avais pas « tilté ». Il est vrai que je n’ai pas lu le livre…
« Pas à la Mauriac, j’espère »
Il faut l’espérer en effet, en particulier pour votre admirable épouse…
Cela dit, il y a bien quelques langues de vipères épisodiquement sur ce blog mais que serait la perfection sans son contraire, sinon parfaitement ennuyeuse.
Bon anniversaire cher hôte qui, étant cette année tel un palindrome, m’évoque de façon nostalgique mon grand-père Louis qui se plaisait à souhaiter les anniversaires à rebours.
@ Monsieur Bilger
Je me joins à tous pour vous présenter aussi mes meilleurs voeux pour votre anniversaire. Bien que je n’ai que très peu l’habitude de ce type de bienséance et de bienveillance. Je me permets aussi de vous remercier chaleureusement pour l’intégralité de vos billets ; de féliciter Madame Bilger pour ses incessantes corrections de mes fautes de frappe, d’orthographe et de grammaire ; et aussi, à cette occasion, de remercier tous les commentateurs et tous mes contradicteurs sur ce blog pour leur énergie, que je juge certes parfois mal placée. Et ce sans exception. Même les « menteurs ». C’est un plaisir.
Philippe Bilger, un vœu, un ordre : existez, et surtout insistez.
@ F68.10 | 01 septembre 2020 à 20:32
Moi je, je, moi, moi-même, je me moi, quel moi désespéré !
Bon anniversaire, cher Monsieur Bilger, et 2020, nous y sommes !
Cher M. Bilger,
Parmi vos lecteurs et contributeurs les plus fidèles, certains se sont déjà exprimés pour vous souhaiter un joyeux anniversaire. Nous sommes tous près de vous pour vous suivre et faire vivre ce journal disponible sur Internet, quel que soit l’hémisphère et le fuseau horaire. Avec un peu de réseau, je peux me retrouver en terrain connu en quelques microsecondes, en famille en quelque sorte.
Que de chamailleries surgissent ici ou là, parfois un peu cruelles comme peuvent les produire les enfants d’une même fratrie. Entre la vérité et le mensonge se trouve la conviction selon Nietzsche. Et sur ce blog, les gens ne se privent pas de déverser leur intime conviction.
Cher Philippe Bilger,
Avec retard, je vous prie de faire attention à vous, vous êtes précieux.
Mes hommages à Madame Bilger.
Cordialement.
Ça vous fait combien au fait ? 95 au moins, non ?
Vous vous en sortez pas mal pour votre âge.
Sans doute grâce à la bouillie bio préparée chaque matin avec amour par Madame B.
Peu importe, je vous souhaite de fêter le plus de non-anniversaires possibles.
Enfin tant que vous gardez votre tête bien faite sinon ça vaut pas la peine.
J’avoue que quand je vous entends sur CNews, encore aujourd’hui, je suis admiratif de votre façon de vous exprimer quasiment parfaite. Chapeau l’artiste. Je dis quasiment parce que la perfection est d’un ennui mortel et donc je ne souhaite la perfection à personne a priori et surtout pas à vous.
Et en plus sans jamais de grossièretés ce qui est donc aux antipodes de la mienne qui elle, est parfaite aussi mais inversement grossière.
Je sais, vous allez me dire, c’est le maximum dont vous êtes capable pour souhaiter un bon anniversaire Wil ?
Oh la la, je suis à mon maximum là ! Ça chauffe là-dedans vous avez pas idée !
Bon anniversaire Monsieur Bilger et merci pour tout.
Pour une fois que tout le monde respecte le sujet du jour…
Bon anniversaire, Philippe !
J’ai oublié votre cadeau d’anniversaire hier, scuses !
C’était çuilà :
Vaste propagande officielle gouvernementale pour minimiser la barbarie qui se propage dans la société :
EDM s’époumone pour nous mettre dans le crâne qu’il n’y a pas d’ensauvagement, que c’est un fantasme, une vue de l’esprit ; malgré la cruauté et la sauvagerie qui s’étalent dans les rues de la Ceufran islamique.
Grenoble : ce n’était qu’un clip, encore un fantasme d’extrêêême drouâââte.
Bayonne : le chauffeur de bus est coupable, ses tueurs ne sont que de malheureuses victimes irréprochables qui n’ont fait que se défendre.
Policière tuée à Agen, ce n’était qu’une répétition de cascade de Taxi 6 qui a mal tourné.
Soyez vigilants braves crétins de citoyens cocufiables à volonté, vous faites le jeu du RNHAINE si vous croyez à toutes ces galéjades, ressaisissez-vous et veautez bien, afin d’éviter le retour des Zeures zombres.
Au fait parlez-nous de cette ligue fasciste LDNA, secte noire fachoraciste anti-blancs anti-France mais pas du tout anti Zacquis sociaux, qui va hurler sa haine devant le siège de Valeurs actuelles, tel les néonazis contre les juifs à leurs débuts.
LDNA : Ligue de Défense Nazis Africains
Manif :
10000000000 selon la LDNA
Dix petits nègres selon la police
Dormez bien braves gens.
Je ne souhaite la fête et l’anniversaire de personne dans ma famille. Et je lui demande de ne me parler ni de ma fête ni de mon anniversaire. Je demande aussi qu’on zappe la fête des pères, qui n’est que la fête des marchands. Le jour de son anniversaire, on n’a jamais qu’un jour de plus que la veille et un jour de moins que le lendemain.
Au demeurant, à partir d’un certain âge – c’est mon cas – un an de plus n’est pas véritablement une nouvelle réjouissante. On aimerait beaucoup mieux ne pas y penser.
@ Tipaza
Vous êtes lubrique ? 😉
@ Achille
Cher Achille,
À défaut de lire Mauriac, vous pouvez voir ou revoir le film de Denys de La Patellière, avec dialogues de Michel Audiard, tourné en 1958 en décors d’époque, avec une distribution de bon niveau.
@ Dominique | 02 septembre 2020 à 10:49
Vous m’avez lu de façon incomplète !
Il faut lire tous les mots d’une phrase.
Je suis très attentif au vocabulaire, bon, pour l’orthographe et la grammaire, je suis plutôt distrait 😉
https://www.youtube.com/watch?v=uSFBrkAf9RY
@ Savonarole
« Moi je, je, moi, moi-même, je me moi, quel moi désespéré ! »
Ouais. Moi-je me joins… Moi-je me permets… Moi-je félicite… Moi-je remercie…
Mon égocentrisme est sans borne. J’attendais justement que vous le remarquiez, et que vous en fassiez un commentaire à mon attention, pour que je puisse justement continuer à discuter de ma petite personne avec vous.
@ Jean le Cauchois | 02 septembre 2020 à 11:02
« À défaut de lire Mauriac, vous pouvez voir ou revoir le film de Denys de La Patellière, avec dialogues de Michel Audiard, tourné en 1958 en décors d’époque, avec une distribution de bon niveau. »
Très juste, je vais surveiller les programmes d’Arte. Peut-être passeront-ils ce film prochainement, après 23h comme il se doit.
Sinon il n’est pas impossible que je me le procure au format Livre de poche, à l’occasion. Mais rien ne presse !
@ Achille | 01 septembre 2020 à 18:15
Là Achille, Raymond Souplex aurait été déçu.
@ Giuseppe | 02 septembre 2020 à 13:35
« Là Achille, Raymond Souplex aurait été déçu. »
Bah ce ne sera pas la première fois que je déçois… et sans doute pas la dernière ! 😉
Je me joins au choeur des vœux de bon anniversaire, cher Monsieur Bilger.
Continuez à nous régaler avec votre liberté d’esprit et vos qualités d’écriture qui ne peuvent que réjouir les amoureux de la langue française.
Mes compliments et mes hommages respectueux sont également adressés à madame Bilger, votre si fidèle accompagnatrice sur ce blog qui, sans son action et sa constance, n’atteindrait peut-être pas tout à fait le niveau d’excellence qui fait l’admiration de vos nombreux lecteurs et commentateurs.
@ Achille
Le film « Les Grandes familles », d’après le livre de Maurice Druon, est sur YouTube.
https://www.youtube.com/watch?v=yJZtRN6ZNjI
@ Jean le Cauchois | 02 septembre 2020 à 17:13
Merci pour l’info. Je vais tâcher de le visionner dès que possible !
Bon anniversaire Monsieur Bilger. Mon seul réseau social est votre blog. Je suis d’abord « presse écrite ».
Et donc vos billets si civilisés sont un véritable bonheur pour moi. Et étrangement je suis devenu aussi un lecteur de beaucoup de vos contributeurs.
Je continuerai donc à me « cultiver » auprès de vous jusqu’au 1er septembre 2021… Merci encore !
Monsieur Philippe Bilger,
Avec mon autre moi-même je vous souhaite un joyeux anniversaire.
Euh, si vous me le permettez et étant donné ce qui vient de se passer, à votre place, je mettrais EDM à la poubelle…
Vous devriez aussi pour votre entrée dans ce nouveau temps de vie, vous offrir avec madame une belle croisière comme celle qui se font en fin d’année de Lima à Buenos Aires en passant par le cap Horn, cela ne vous priverait pas d’envoyer à vos lecteurs de belles photos et des états d’âme que vous aimeriez exprimer.
(Celebrity Cruises ou Oceania Cruises ne vous feront rien regretter.)
C’est parti.
« Je continuerai donc à me « cultiver » auprès de vous jusqu’au 1er septembre 2021… Merci encore ! »
Rédigé par : Dans mon fauteuil | 02 septembre 2020 à 18:10
Pourquoi, à la miséricorde divine, fixer une limite ?
@ Jean le Cauchois | 02 septembre 2020 à 17:13
En fait j’avais déjà vu ce film réalisé à partir d’un livre de Maurice Druon.
La trame est similaire à celle du Nœud de vipères de François Mauriac, à savoir les familles de la haute bourgeoisie qui se déchirent sur fond de grosse fortune et d’héritage, mais ce n’est pas le même récit que le livre de François Mauriac.
Ah ! Le noeud de vipères… P. Bilger et sa double vue !
Calife à la place du calife : « ce blog serait-il une grande famille ? Pas à la Mauriac, j’espère. »
Sinon, Vipère au poing… ça le ferait aussi !
C’est plus qu’un succès, c’est un hommage !
Monsieur Philippe Bilger.
@ Chemin de traverse | 03 septembre 2020 à 08:18
« Sinon, Vipère au poing… ça le ferait aussi ! »
Ah oui ? et c’est qui Folcoche ?
J’ai bien une petite idée mais je la garde pour moi ! 😀
@ Achille
Philippe Bilger a, je pense, bien compris mon commentaire.
Cher Philippe,
Je n’ai pas percuté le 31 août. Permettez-moi de me couvrir de cendres.
Pour me racheter, je vous souhaite un joyeux non-anniversaire aussi festif que celui d’Alice ! Et jusqu’au 31 août 2021, vous en aurez encore 362.
@ Savonarole | 01 septembre 2020 à 21:30
On avait dit : pas Mauriac…