A-t-on encore le droit de les juger ridicules ?

Le match entre le PSG et Basaksehir a été interrompu au bout de 13 minutes le 8 décembre. D’un commun accord les deux équipes ont quitté le terrain à la suite du propos, qualifié de raciste, du quatrième arbitre à l’encontre de l’entraîneur adjoint de l’équipe turque. Celui-ci s’était indigné parce qu’il avait été désigné comme le « noir », en roumain.

Le match a repris le lendemain et le PSG l’a emporté par 5 à 1. Avant le début de la rencontre, tous les joueurs et les arbitres se sont agenouillés.

J’ai scrupule à oser même une réflexion sur cet épisode qui a libéré les hyperboles et qu’on a, sur tous les supports de communication, loué comme étant « historique », « une première ». J’ai conscience que je m’arroge un pouvoir discutable puisqu’on m’a assez répété que seule comptait la perception du racisme par ceux qui en étaient directement ou indirectement victimes et que donc les avis « extérieurs » n’étaient pas légitimes (L’Equipe).

Pourtant je persiste.

J’estime disproportionnée, dans la dénonciation pourtant nécessaire d’une dispute équivoque, cette hypertrophie agitée d’un soir comme si dans la hiérarchie du racisme, mille scandales infiniment plus graves ne s’étaient pas produits – par exemple les joueurs traités de singes et moqués par des cris, qui auraient été en faute s’ils avaient quitté le terrain – et que demain la malfaisance humaine, fortement imprégnée de bêtise et de simplisme (on les sous-estime trop dans ces dérives), n’allait pas encore frapper dans l’univers du football, des sports et partout ailleurs.

Comment faudra-t-il se comporter alors ? S’allonger par terre, manger l’herbe ?

Cet humanisme, à force de ne plus savoir rien distinguer dans une impulsivité et une frénésie devenues réflexes, va étouffer les vrais combats, les luttes authentiques. Non pas qu’il aurait fallu jeter aux oubliettes le « noir » du 8 décembre mais le mettre à sa place qui n’était pas capitale.

Psg-istanbul-basaksehir

Je me souviens d’une scène de ma vie judiciaire où une collègue magistrat antillaise se moquait de moi parce que j’avais parlé d’une « femme de couleur » au lieu de dire « noire ». Les temps ont changé heureusement mais ils ont aussi perdu la tête.

Puis-je aussi dans ma réaction évoquer la part d’agacement que j’éprouve face à certaines absurdités considérées religieusement parce qu’elles émanent d’actrices progressistes et d’un féminisme ravageur : quand Adèle Haenel le plus sérieusement du monde énonce que le simple fait d’être blanc fait de vous un raciste, convient-il de rire ou d’être épouvanté ? (Mediapart).

Nous avons le droit de juger ridicules les leçons de morale de ces footballeurs dont l’un – ! – nous dit qu’il aurait « mal à la France » après les violences commises par trois fonctionnaires de police contre Michel Zekler et l’autre – Kylian Mbappé, formidable talent – est à l’unisson mais n’est pas gêné pour être payé grassement par le Qatar, Etat aux antipodes de nos valeurs.

Le premier n’a jamais été un phare et je regrette que le second s’engage de plus en plus dans des implications qui sont en train de dégrader son aura brillamment sportive. Il y a tant de policiers blessés et tués, tant de causes moins chic qui auraient dû appeler de leur part, s’ils souhaitent dépasser leur statut de footballeurs comblés, des alertes et des soutiens.

Mais médiatiquement toutes les lumières ne se valent pas.

Quand j’entends Olivier Giroud qui a pris tous les risques en s’affirmant chrétien dans un monde de pauvreté intellectuelle et de dérision nous demander de nous mobiliser pour les « chrétiens d’Orient », j’éprouve du respect pour lui parce qu’il lutte pour ce qui n’est pas vulgairement rentable dans notre univers qui préfère enfoncer les portes ouvertes de l’éthique.

J’admire le grand footballeur anglais Marcus Rashford qui mène des combats vigoureusement et noblement politiques contre la pauvreté d’une certaine jeunesse dans son pays, qui les a gagnés, avec un immense soutien populaire, contre le Premier ministre Boris Johnson, et sans doute n’est pas prêt d’arrêter son action dont la finalité n’est pas d’apparaître une seconde au firmament mais de faire du bien durablement à beaucoup.

Je dois aller plus loin. Sans stigmatiser forcément tout accès moral en l’étiquetant moraline. Mais les ravages, au nom du bien prétendu, se multiplient.

Le dernier en date : Clément Beaune, connu pour être une personnalité politique intelligente, ministre et proche d’Emmanuel Macron. Tout le monde à juste titre se désintéresse de son orientation sexuelle. Il a éprouvé le besoin de nous la révéler. Personne ne lui avait demandé cette transparence qui de manière absurde fait sortir sa condition de l’heureuse banalité où elle aurait dû demeurer. Tout cela est-il vraiment un progrès ?

Ai-je encore le droit de juger ridicules ces délires qui dans beaucoup de domaines, sur tous les registres, font perdre à notre société sa lucidité, sa mesure, son bon sens ?

Le pire est qu’ils se font passer pour des avancées. Quand ils sont des déclins.

Alors, de grâce, pas en mon nom !

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Voir les Commentaires (115)
  1. Comment se fait-il que le terme « Afro-Américain » soit aussi largement employé sans que personne ne semble s’en offusquer, alors même qu’il a pour but de mettre en doute la nationalité, voire la qualité de citoyen de ceux qu’il désigne et par là même stigmatise ? Que ce terme puisse être encore pire que celui utilisé par l’arbitre est on ne peut plus probable, mais y a-t-il une hiérarchie possible en la matière ?

  2. « De quelle couleur est le représentant Turc ? »
    « Je ne peux pas dire, je ne suis pas raciste »
    « Tu vois bien sa couleur non ? »
    « Honnêtement je sais pas, peut-être noire mais je suis pas sûr. Non franchement je ne vois pas »
    —————————————–
    Clément Beaune ?
    C’est devenu la mode de porter son homosexualité comme un trophée.
    Il a raison Cléclé, je viens de découvrir son existence dans ce billet grâce à son intervention.
    Je ne sais pas s’il mange des betteraves.
    Quel est le prochain ou la prochaine ? Pas encore de nom, pas de stigmatisation.

  3. Il y a environ vingt ans, j’étais dans un bar des Champs-Elysées avec un homme noir de ma connaissance et il vient me voir tout content de m’annoncer qu’une fille lui avait dit qu’il était un « beau black », ce à quoi j’ai répondu « Ah bon, elle est raciste ? ».
    Il m’a répondu qu’il ne comprenait pas pourquoi je disais ça… bon,c’est un noir aussi… (Rhooo, ça va ! Si on peut plus faire de sales blagues racistes où va le monde, MERDE !) et je lui ai donc dit que si elle n’était pas raciste elle aurait dit qu’il était un beau… mec, eh oui, tout simplement.
    Et il m’a dit « Ah oui, tu as raison ».
    Quand on trouve la « noiritude » ou je ne sais quelle autre « coloritude » comme dirait la grande philosophe Ségolène, géniale ou détestable pour X raisons, on est tout autant raciste mais la différence est que ceux qui trouvent la différente couleur de peau détestable sont au moins francs avec eux-mêmes à défaut de l’être avec les autres, vu qu’il est rare qu’ils le crient sur les toits.
    Bref, la morale de l’histoire c’est que le roumain n’est pas une langue facile à pratiquer… sauf pour les p*tes évidemment.

  4. Le plus impressionnant et sans être pourtant surprenant est la rapidité et la puissance avec laquelle la médiacratie française subventionnée de gauche nécrophage (quel pléonasme digne du dictionnaire !) s’est ruée sur cette anecdote sans importance.
    Plus vite qu’un footballeur se rue sur une p*te roumaine ou sur une actrice porno hongroise comme la sublime Monica Roccarforte (je sais, il n’y a aucun rapport mais j’avais envie de rendre hommage à cette grande comédienne vu le plaisir qu’elle m’a et me donne encore quasiment tous les jours).

  5. Oui, ils sont ridicules. En son temps Molière avait fustigé les précieuses ridicules qui passaient leur temps à chipoter sur des sujets futiles alors que les artisans et les paysans trimaient pour subsister et payer leurs impôts.
    De nos jours, les footballeurs et les artistes déclenchent des tragi-comédies parce qu’un noir a été désigné comme noir. On aurait pu dire le grand ou le vieux, on a dit noir. La frénésie collective va fait le reste.
    Il y a bien plus grave dans ce pays et les footballeurs ne disent rien.
    Mila est obligée de quitter son lycée militaire parce que l’armée déclare ne pas pouvoir la protéger. Quel aveu de faiblesse.

  6. « Quand j’entends Olivier Giroud qui a pris tous les risques en s’affirmant catholique dans un monde de pauvreté intellectuelle et de dérision nous demander de nous mobiliser pour les « chrétiens d’Orient », j’éprouve du respect pour lui parce qu’il lutte pour ce qui n’est pas vulgairement rentable dans notre univers qui préfère enfoncer les portes ouvertes de l’éthique. »
    Il faut en effet défendre ceux que peu défendent… Je pense que les chrétiens d’Orient paient tant de choses, les pauvres :
    – Depuis au moins le sac de Byzance par des Croisés*, on ne peut pas dire les chrétiens d’Occident très mobilisés par ceux d’Orient.
    – Il ne faut pas dire par qui les chrétiens d’Orient sont persécutés, les musulmans, sans quoi, on est islamophobe donc raciste, paraît-il, quand on dit que les persécuteurs, les gens qui voilent et autres joyeusetés, ce sont les musulmans et pas les épiscopaliens… Me signaler les persécutions commises par les zoroastriens.
    – Depuis au moins le mariage pour tous, les catholiques se sont nettement plus mobilisés contre des gens qui ne leur ont rien fait, les homosexuels, que par ce qui arrive aux leurs.
    – Comme les gens sont rarement plus royalistes que le roi, les athées, agnosiques et croyants des religions concurrentes n’ont pas été très mobilisés non plus. Qui est déserté des siens n’est secouru par personne. Les gens de cette sorte ne font pas que ne pas aider les leurs, ils dissuadent les autres de leur tendre la main.
    Enfin, on peut me sortir des exceptions. Voire dire qu’il est très bien d’abandonner les autres voire de leur faire miroiter de faux espoirs, toute cette agitation romanesque est tellement agréable à regarder pour rehausser les plaisirs de sa vie par les déplaisirs des autres.
    *Est-ce qu’ils ont eu leurs excuses ? Il le faut pourtant, car ceux dont les ancêtres sont passés par perte et profit le sont et le seront, à présent et à jamais.
    C’est l’inverse du prestige hérité, j’ai tels ancêtres puissants, écrasez-vous, c’est j’ai tels ancêtres piétinés, crachez-moi dessus.
    On me dira qu’il y a eu de la repentance pour les Noirs, les Juifs et un peu les Roms ? Rien à voir. Victoire sur le nazisme, décolonisation, victoire, victoire, victoire ! Les chrétiens d’Orient ont-ils fait le sac de Rome ou ont-ils opérés une Reconquista face aux musulmans ou ont-ils été délivrés ?
    Non.
    Ils ne sont jamais que des soumis irrédimés, et, par conséquent, traités comme la poussière dont ils doivent se couvrir le visage.

  7. « Quand j’entends Olivier Giroud qui a pris tous les risques en s’affirmant catholique dans un monde de pauvreté intellectuelle et de dérision nous demander de nous mobiliser pour les « chrétiens d’Orient », j’éprouve du respect pour lui parce qu’il lutte pour ce qui n’est pas vulgairement rentable dans notre univers qui préfère enfoncer les portes ouvertes de l’éthique. »
    Antoine Griezmann n’a peut-être jamais été un phare (ils sont rares parmi les joueurs de foot), mais il a quand même rompu son partenariat avec la firme chinoise Huawei, accusée d’avoir mis en place des logiciels de reconnaissance faciale permettant de repérer des personnes d’apparence ouïghoure.
    Selon des experts étrangers, un million de Ouïghours ont été placés en détention ces dernières années dans des camps de ‘rééducation politique’.
    Alors certes, nous pouvons regretter les paroles un peu stéréotypées et surtout maladroites de Griezmann « J’ai mal à ma France » suite aux violences commises par trois fonctionnaires de police contre Michel Zekler, surtout venant de la part d’un joueur qui vit à l’étranger. Mais la rupture de son contrat avec Huawei est tout aussi louable que la mobilisation d’Olivier Giroud pour les chrétiens d’Orient.
    Comme ce dernier, Griezmann n’a rien à gagner dans cette décision, bien au contraire.
    Quant au fameux Achille Webo, l’entraîneur adjoint de l’équipe turque (qui ne fait pas honneur à son beau prénom), il semble qu’il soit rien de moins qu’un islamiste proche des Frères musulmans et d’Erdogan. Il est bien mal placé pour jouer les indignés quand on voit le comportement d’Erdogan contre les Arméniens, les Kurdes et plus généralement les chrétiens, pas seulement d’Orient.
    Le racisme ne concerne pas seulement les Noirs. Calimero aussi est noir…

  8. Marc GHINSBERG

    « A-t-on encore le droit de les juger ridicules ? »
    Mais bien sûr cher Philippe.
    Vous avez également le droit de vous exprimer sur le licenciement de Sébastien Thoen et la mise à pied de Stéphane Guy (Canal+).

  9. Comment faudra-t-il se comporter alors ? S’allonger par terre, manger l’herbe ?
    Il faut comprendre que toutes ces indignations surjouées pour un oui ou pour un non conduisant à des accusations en « racisme » ne relèvent pas d’un humanisme apaisant mais du totalitarisme politique le plus sinistre exercé par des gens qui ne cherchent qu’à se comportent en kapos pour marquer leur pouvoir et leur domination sur les autres.
    Et nous en revenons toujours là, dans la vie quotidienne où commence exactement le « racisme » ?
    Car si certains comportement condamnables – par exemple le vol – peuvent être caractérisés de façon objective, comment est-il possible de le faire pour ces affaires de « racisme » dans lesquelles tout et n’importe quoi peut entraîner jusqu’à l’absurde une accusation en la matière, y compris des non-dits ?
    Sous de faux prétextes vertueux, la boîte de Pandore du « racisme » a été imprudemment ouverte il y a quelques dizaines d’années par des apprentis sorciers hypocrites et elle est en train de nous exploser à la figure en nous rendant la vie impossible.

  10. « Je me souviens d’une scène de ma vie judiciaire où une collègue magistrat antillaise se moquait de moi parce que j’avais parlé d’une « femme de couleur » au lieu de dire « noire » »
    Sans doute l’élégante Evelyne Gosnave-Lesieur, physique à la Dionne Warwick…

  11. Tout simplement bravo pour cet article.
    Moi qui vous lis de temps en temps pour les questions de droit, je trouve ici ce que certains médias interdisent de dire ailleurs.
    Comme disait Léo Ferré « Raison quelquefois tu nous manques » : c’est particulièrement vrai avec l’antiracisme maladif actuel et qui se développe sur la censure, l’ignorance historique, et sur une sorte de sensibilité épidermique du paraître au lieu de l’être.

  12. Olivier Seutet

    Que de faux-combats.
    L’exemple le plus ridicule est celui de ce Clément Beaune sous-ministre de l’Europe qui, en pleines négociations sur le Brexit, croit nécessaire de nous renseigner sur des pratiques sexuelles qui nous indifférent absolument (sans d’ailleurs aller jusqu’au bout de la transparence : est-il sodomite ou sodomisé ?).
    Le plus grotesque est celui des joueurs de football, mercenaires apatrides surpayés, qui viennent clamer comme une revendication historique d’être traités de personnes de couleur et non pas de nègres (mânes de Senghor et de Césaire pleurez).
    Le plus attristant est ceux de ces starlettes qui regrettant d’avoir été sous-payées pour leurs prestations viennent envahir les écrans et micros de leurs larmes et se plaindre de méfaits commis jadis (au grand dam des malfaiteurs soupçonnés, condamnés d’office par le tribunal médiatique).
    Attitudes irresponsables qui transforment des combats qui sont utiles en mascarades.

  13. Comment voulez-vous que des gens payés entre 150 k€ et 1M€/ mois sans compter les contrats publicitaires, dotés, pour la plupart, d’une cervelle de colibri soient en mesure d’apprécier les sophistications terminologiques qui sont ici en cause ?
    Si cette scène grotesque s’était passée en Afrique avec un blanc parmi des noirs assis sur le banc, comment l’arbitre le désignerait-il: le « non noir », le « visage pâle » le « décoloré » ?
    On en arrive aujourd’hui à supprimer des mots qualifiant les humains: le totalitarisme droits de l’hommisme a pulvérisé l’atavique bon sens qui nous agrégeait il y a bien longtemps !

  14. Que voilà un bon sujet de société .
    Comment ne pas être au diapason avec ces joueurs de foot du PSG, le genou gauche à terre, bras tendu, poing fermé en guise de protestation envers le racisme ?
    Comment ne pas être outré de les voir agenouillés le genou droit à terre, bras tendu, main ouverte pour recevoir le gros chèque mirobolant du Qatar pourvoyeur de toutes les formes de racisme et de terrorisme ?
    Tout n’est pas perdu puisque le petit Griezmann s’est désolidarisé de son sponsor chinois.
    Ainsi que Giroud qui s’élève contre les persécutions des chrétiens de toute couleur.

  15. Patrice Charoulet

    La vérité sur les Black Blocs, par Xavier Raufer
    https://www.youtube.com/watch?v=PMZzMKQKUx0
    J’invite chacun à écouter cette analyse que ne diffusera aucune radio, aucune télé, et dont ne parlera aucun quotidien, aucune hebdo. Raufer étant blacklisté. On devine pourquoi.
    Je souscris à cette analyse. J’y ajoute une toute petite chose : je redis que dans les manifs, les casseurs, les incendiaires, les jeunes gens cagoulés, les lanceurs de boules de pétanque, pourraient être interpellés en flagrant délit si des fonctionnaires de police étaient prévus pour ça depuis la salle de commandement, salle de commandement qui voit ce qui se passe dans toutes les rues, et qui donne trop souvent l’ordre de laisser faire.

  16. « A-t-on le droit de les juger ridicules? »
    Belle lucidité courageuse cher P. Bilger .
    Plus que ridicules, ils deviennent dangereux pour notre démocratie.
    La haine de l’homme « blanc » devient une idéologie à la mode.
    La vision de cette rangée d’hommes agenouillés et levant le poing n’est certainement pas une bonne image pour notre jeunesse, quelle qu’elle soit.
    Cordialement.

  17. Michel Deluré

    Racisme, intégrisme, féminisme, j’en oublie peut-être, autant de thèmes sur lesquels il convient désormais d’être extrêmement vigilant, chaque mot, chaque regard, chaque geste concernant ces domaines pouvant être sans le moindre recul, sans la moindre réflexion, immédiatement interprétés comme un dérapage intolérable, une insulte inadmissible.
    Il ne devient plus possible dans certaines circonstances de dire, de regarder, de faire sans s’exposer en retour à une critique agressive, sans être désigné à la vindicte populaire, même si ses paroles, ses regards, ses gestes étaient totalement dénués des intentions qui leur sont prêtées.
    S’agissant de l’incident intervenu lors de ce match de football, qui peut réellement affirmer que l’arbitre a proféré les mots incriminés avec une intention délibérément raciste ? Dans le feu de l’action, n’a-t-il pas tout simplement utilisé cette terminologie comme il aurait dit « le blond », « le chauve », s’il s’était agi de désigner un autre protagoniste ?
    Et qui peut prétendre que celui qui s’est senti visé par ces propos n’ait pas habilement exploité l’opportunité ainsi offerte pour donner à cet incident une dimension médiatique qu’il n’aurait jamais dû prendre ?
    Ce que je retiens surtout de cet incident, c’est qu’il révèle une nouvelle fois qu’une certaine forme de tyrannie menace notre société.

  18. Sur le ministre homo…
    Macron étant un transgenre sur le plan spirituel, être ministre de Macron relève de la prostitution intellectuelle.
    Dès lors, les moeurs sont en conséquence.

  19. Bollène (Vaucluse) : Deux policiers municipaux attaqués au couteau aux cris « d’Allah Akbar » par un individu inscrit au fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste.
    Qui a relaté ces faits ? Un petit article très discret dans Le Figaro.
    Les trois policiers sont blessés. Pas un seul mot dans les médias de la bien-pensance. Bon sang qu’ils étaient bavards à propos du dernier psychodrame national sur les « violences policières ». Deux poids, deux mesures.
    Si les Blancs doivent quitter la France et sont devenus persona non grata, autant l’annoncer clairement.

  20. Va-t-on oser dire aussi que Wikipedia est raciste ? En effet, cette encyclopédie en ligne a traduit, dans sa version roumaine, le nom du mouvement Black Lives Matter en utilisant le mot « negru » !

  21. Il a aussi ‘mal à la Chine’ !
    Griezmann vient de rompre son partenariat avec Huawei. Cette entreprise est au service du pouvoir communiste chinois pour la reconnaissance faciale et la féroce répression des Ouïgours.
    Finalement, Trump n’a pas tort sur le dossier Huawei.
    Sur un autre sujet, avant de parler de racisme il faudrait bien distinguer ce qui relève de l’offense. Par exemple le qualificatif « toubab » employé pour les personnes à peau blanche n’est pas considéré comme péjoratif.

  22. « À vouloir blanchir la tête d’un nègre, on perd sa lessive. »
    Ce n’est pas un blague de JMLP, mais un proverbe malien.
    Césaire et Senghor nous parlaient de « négritude ».
    Maintenant, vous allez voir que le rhum Negrita va être interdit !
    Le bon côté des choses, c’est qu’il n’y aura plus que des fous pour embaucher des Noirs au vu des emm….. à redouter.

  23. Vous avez raison, cette histoire est ridicule pour le coup. John Barnes, gloire du Liverpool FC, a d’ailleurs défendu ce malheureux arbitre roumain vilipendé par la presse. Celle-ci n’a pas hésité à faire du racisme anti-roumain (« on a le témoignage d’un journaliste roumain, fiable, car il écrit pour le Guardian » n’a pas manqué de relever le journaliste de RMC à l’antenne) quasiment en direct.
    Mais que voulez-vous, les Noirs ont tellement ramassé au cours des siècles passés qu’ils ont aujourd’hui tendance à surréagir. Un peu comme cette Alice Coffin que vous m’avez fait découvrir pour les féministes. Et il ne faut pas mettre sur le même plan l’indignation légitime face au passage à tabac de Michel Zecler avec celle qui a suivi les propos d’un arbitre venant d’un pays assez peu concerné par le mouvement Black Lives Matter, à plusieurs titres. La première est légitime, la seconde malvenue.
    Giroud se revendique catholique depuis plusieurs années, et alors ? Quelqu’un l’a-t-il critiqué pour cela, dans son équipe ou en dehors ? Non, pas à ma connaissance en tout cas. Et c’est normal, il a parfaitement le droit d’émettre son avis sur le sujet. Ne placez pas ceux de votre bord en minorité systématiquement, c’est pénible, alors qu’ils envahissent la toile et les plateaux télé autant que leurs adversaires.
    Les ravages au nom du bien prétendu se multiplient oui, mais il sont à la mesure du mal qui a été fait durant des siècles aux communautés stigmatisées. On peut regretter la profusion de porte-parole inadaptés qui desservent plus qu’autre chose les causes qu’ils servent (ou prétendent servir, l’ego aussi ayant ses raisons que la raison ignore), mais ça c’est la rançon des réseaux sociaux.

  24. Schuler Bernard

    Bravo M. Bilger. Mais je ne suis pas toujours d’accord avec vous, notamment lorsque vous défendez de manière péremptoire les policiers, contre vents et marées. Je vous ferai remarquer que les policiers sont des hommes et qu’à ce titre il ne sont pas meilleurs ni moins bons que vous et moi. Il faudrait à mon avis consulter les recensements, s’ils existent, les malades (cancer, maladies auto-immunes, etc.), les dépressifs graves, les suicides dans la police et voir qu’il s’agit là majoritairement de violences introverties qui en disent long sur l’état mental de la police et dans le prolongement de cette logique, par comparaison faire le constat corollaire qu’il existe sans aucun doute des policiers extravertis dans leur violence qui dans ce cas en poussant un peu plus loin le bouchon pourrait même être vu comme une saine et légitime défense !!
    Par ailleurs dans cette même logique qu’en est-il dans les autres corps de métier ? Qu’en est il dans la magistrature par exemple ? A-t-on des statistiques sur le suicide des magistrats, des juges ?
    En réalité, et évidemment sans être binaire c’est à dire tout ou rien, ce sont nos dirigeants qui dans leur incommensurable ignorance plongent la Nation France, c’est bien le présent sujet, dans un paradoxe permanent en prenant des décisions signant leurs immaturité délirante ce qui conduit fatalement à la violence introvertie et extravertie puis à la ruine du pays… C’est cela notre futur…

  25. « Nous avons le droit de juger ridicules les leçons de morale de ces footballeurs dont l’un nous dit qu’il aurait « mal à la France » après les violences commises par trois fonctionnaires de police contre Michel Zekler et l’autre – Kylian Mbappé, formidable talent – est à l’unisson mais n’est pas gêné pour être payé grassement par le Qatar, Etat aux antipodes de nos valeurs. » (PB)
    Ils ont le talent du pied – mais j’y reviendrai – mais pas le talent de celui qui associe le pied à la réflexion et à l’intelligence.
    Ils feraient mieux de se taire, j’ai honte pour eux, et cela ne va pas les étouffer d’aller disputer sans doute une coupe du monde au Qatar, pays de grande liberté comme tout le monde le sait :
    https://www.amnesty.org/fr/latest/news/2020/01/qatar-repressive-new-law-further-curbs-freedom-of-expression/
    Qu’ils se taisent donc au lieu de proférer autant de bêtises dictées par leurs orteils, on peut les excuser, ils sont un peu juste de la pointure du bulbe, ce n’est même pas du jugement sélectif, c’est tout bonnement la naïveté en osmose avec un pan de bêtise.
    Jouer avec les pieds et la tête cela se travaille, on ne peut que leur conseiller un coach du bulbe.
    Côté sportif, ne nous enflammons pas, ni pour l’un ni pour l’autre.
    Quand ils arriveront au niveau des crampons de Diego Armando Maradona ou de Edson Arantes do Nascimento alors ils auront atteint le Graal.
    Faire ce qu’a été capable de faire le premier avec Naples – sans l’aide d’un Neymar -, ou les buts de Pelé :
    https://lucarne-opposee.fr/index.php/culture-foot/7396-les-mille-et-quelques-buts-de-pele
    Pour l’instant ils courent derrière une ligue… Et j’oubliais le plus talentueux de tous, disparu, Paolo Rossi que tout sportif pratiquant trouvait exceptionnel, à lui seul il a conquis le monde à la manière de Maradona.
    Nous recommandons à nos deux concitoyens la formule de F. Mitterrand qui préconisait de tourner sept fois sa langue dans sa bouche, cela leur évitera bien des tacles en retour.
    Pour finir et pour les amoureux et historiens du foot, un reportage sur Maradona passe en ce moment sur une chaîne.
    Vous pourrez juger de ce qu’est le talent des dieux en foot, « Mon frère… C’est un martien ! » dit par le jeune frère de Maradona, qui s’est esquivé de la remise de la coupe du joueur du siècle remise à Pelé alors qu’il l’avait devancé très largement par le vote des journalistes.
    Euh… Je me suis égaré, mais même si la valeur n’attend pas le nombre des années, nos deux nationaux pourraient un peu réfléchir sur eux-mêmes avant de parler des autres.
    Et je n’ai pas parlé de la tentative de but de Pelé depuis le centre du terrain, alors que j’étais en prise avec des équations différentielles… Mais ceci est une autre histoire.

  26. Cactus dinosaure

    « S’allonger par terre, manger l’herbe » dites-vous ! La fumer, non ? Je repense à une chanson d’Antoine, « la fumée dans les yeux un éléphant me regarde etc. etc. », quel triste spectacle… que je n’ai pas vu ! Ouf ! Voici d’un coup Neymar et Mbappé des héros pour avoir osé quitter le terrain eux aussi etc. etc. des tartines partout pour cet acte héroïque !! Sur la chaîne l’Equipe aussi ! Si c’est ça l’héroïsme il n’y a plus grand-chose à espérer… on est vraiment foutu… je confirme qu’on va très vite finir comme les dinosaures… et tant mieux, non ? Sissi !

  27. Je suis totalement d’accord avec ce billet. Le politiquement correct obligatoire nous détruit plus sûrement que ce qu’il prétend combattre.

  28. Denis Monod-Broca

    La victimisation… Encore une idée chrétienne devenue folle…
    La pensée hébraïque et évangélique a, selon l’expression consacrée, « le souci des victimes ».
    Et en effet les victimes ne méritent pas leur sort. Dit autrement, les victimes sont innocentes et les bourreaux coupables.
    Alors chacun se veut victime, ou du côté des victimes, assuré ainsi d’être du côté du Bien.
    Quitte à se sentir victime quand il n’y a pas lieu, quitte à se proclamer victime sans raison.
    Retournement insensé…
    Désigner le coach adjoint par la couleur de sa peau plutôt que par son nom ou sa fonction est une maladresse, pas une insulte.
    Se sentir insulté n’avait pas de raison d’être.

  29. Marrananrolles

    Ridicule et grotesque, lassant et pénible.
    Plus ils insistent, plus ils nous insupportent et nous désintéressent de leur cause.
    Résultat inverse de l’effet recherché. Tant pis pour eux.

  30. On m’avait servi une tout autre version. Celui qui a prononcé : « U negru » (phonétiquement: né-grou) est un Roumain qui a voulu dire en le désignant pour quelque motif: « Le Noir ». Car en roumain ça se dit ainsi. Ce serait la personne visée qui a fait le rapprochement erroné avec le mot « nègre ». Ce qui est totalement inexact et qui démontre que la susceptibilité exacerbée de ces dieux du stade peut occulter une instruction très lacunaire, surtout dans les milieux du football. Les exemples ne manquent pas. Une preuve d’intelligence de la personne offensée eut été de demander des clarifications, avant de s’énerver. Mais soit !
    Une fois ce détail clarifié, les bonnes âmes dépositaires de la vertu universelle ont botté en touche en affirmant que traiter un Noir de… noir, c’est, ère inquisitoriale oblige, du pur racisme. Air connu et même usé, voire contre-productif. Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin, elle se brise.
    Mais alors, si on ne peut pas dire à un Noir qu’il est noir, à un gay qu’il est homo, à un transgenre qu’il est pour le moins… particulier, qu’est-ce que toute cette faune d’asociaux, visiblement complexés et mal dans leur peau, nous gonflent régulièrement avec… LEURS « FIERTÉS », d’appartenir à leurs communautés ou groupes respectifs ? Essayent-ils de se prémunir eux-mêmes de ce qui les indispose ?
    Et ma liberté d’expression, alors ? Merde !!

  31. « Personne ne lui avait demandé cette transparence qui de manière absurde fait sortir sa condition de l’heureuse banalité où elle aurait dû demeurer. » (PB)
    Excellent !
    Je vais de ce pas me faire tamponner le coquillard par un musculeux pour sortir de ma piètre banalité.
    Où l’on voit comment le style bilgérien peut se repaître de féroces sous-entendus…

  32. Mary Preud'homme

    Tête de turc et noir ça fait quand même beaucoup ! Ah ah ah ! À ras des pâquerettes les footeux et question nuances linguistiques c’est double zéro !
    Sans compter que quatrième arbitre et entraîneur adjoint, en cherchant la petite bébête, ce serait pas un peu raciste sur les bords comme formules ?

  33. La question est : quand un Africain en Afrique appelle un résident européen « blanc », est-ce une insulte ?
    Il va falloir préciser à l’imam (de formation) Erdogan et à nos médias que les Roumains sont nés en Roumanie et les Camerounais au Cameroun !
    Ce qui n’en fait pas des citoyens français !
    Quand un Roumain se coltine avec un Camerounais lors d’un match entre une équipe plus qatari et sud-américaine que française contre une équipe plus ou moins turque, qui jouent avec des ballons fabriqués probablement en Chine sur un gazon d’un terrain de football français entretenu par un Britannique, par décision de l’UEFA, une organisation européenne basée à Nyon en Suisse, il semble curieux d’accuser la France de racisme ?
    Le foot n’étant plus un sport mais un spectacle et une entreprise politique et financière lucrative pour le Qatar et les Suisses, drainant les sous des pékins français dans le cas du PSG, il devient maintenant un spectacle de cirque avec un ridicule plagiat d’un joueur de football US, en attendant sans doute une version antiraciste du haka des rugbymen néo-zélandais !
    Le tout acté par un cercle de 24 individus où les citoyens français étaient une mini-minorité.

  34. @ Wil
    « Le plus impressionnant et sans être pourtant surprenant est la rapidité et la puissance avec laquelle la médiacratie française subventionnée de gauche nécrophage (quel pléonasme digne du dictionnaire !) s’est ruée sur cette anecdote sans importance. Plus vite qu’un footballeur se rue sur une p*te roumaine »
    Des p*tes ! Des p*tes ! Oui mais de Tanzanie !
    Humouour coloniâââl… Bon. Je sors.

  35. Espérons qu’on ne va pas débaptiser le palace niçois Le Negresco, nommé ainsi en l’honneur de son fondateur, Henri Negrescu, un Roumain.

  36. Tout ceci m’est apparu comme grotesque. À commencer par ce côté indignation surjouée dans les médias.
    Et ce genou à terre ne l’a pas moins été.
    Plus la cause est faible plus elle est prise pour exemple.

  37. Robert Marchenoir

    « Je me souviens d’une scène de ma vie judiciaire où une collègue magistrat antillaise se moquait de moi parce que j’avais parlé d’une ‘femme de couleur’ au lieu de dire ‘noire’. » – Philippe Bilger
    Si vous l’aviez dit aujourd’hui, vous seriez au top de la mode politiquement correcte du moment. Aux États-Unis, du moins. Chez nous, ce serait plutôt « racisé » qui aurait la cote, ces jours-ci — vous apprécierez la perversité du terme : les races n’existent pas, ce sont les autres qui me jettent de la race dessus, mais néanmoins j’exige que ma race soit mieux représentée dans les lieux de pouvoir, et j’organise des réunions où seuls sont admis ceux qui sont de ma race qui n’existe pas.
    Il est toujours infiniment divertissant de se rappeler qu’aux États-Unis, il fut un temps où dire « Negro » était le summum du politiquement correct : c’était une façon de bien montrer qu’on ne disait pas « nigger ».
    Puis s’est enclenchée la règle immuable de « l’anti-racisme », selon laquelle le terme qui était « anti-raciste » hier devient « raciste » aujourd’hui, avant d’être remplacé par un autre terme « anti-raciste », lequel à son tour, etc.
    On a donc eu « colored », puis « black », puis « African-American », puis « black » à nouveau, et maintenant c’est « person of color ».
    Lequel donne l’abréviation POC — mais elle est déjà dépassée, nous en sommes à BIPOC. Qu’est-ce qu’un BIPOC ? C’est un individu appartenant à la catégorie « black, Indigenous and people of color ».
    Oui, parce que vous comprenez, les pauvres petits n’Indiens (pardon : membres des premières nations, au Canada) se sont plaints de n’être pas représentés. Tandis que d’autres ont assuré (sérieusement) que « persons of color » ne représentait pas suffisamment les Noirs, ceux qui ont la peau vraiment noire, pas les marronnasses ordinaires. Nos amis africains étaient, du coup, profondément vexés.
    Pour la rigolade, certains pensent à tort que BIPOC veut dire « bisexual persons of color », ce qui, étant donné la traditionnelle répulsion affichée par de nombreux Noirs envers l’homosexualité, est assez piquant…
    En Angleterre, vous n’êtes pas un BIPOC, vous êtes un BAME (« British, Asian and minority ethnic »).
    Je ne sais pas si c’est mieux, mais ce qui est sûr, c’est qu’à peine ces appellations mises en orbite, les intéressés se sont empressés de hurler… au racisme, bien évidemment.
    Aux États-Unis, une Noire obèse qui prétend être journaliste et « commentatrice culturelle » assure : « Quand vous nous mettez tous dans le même sac, comme ça, vous nous effacez. Le truc, c’est qu’on veut prendre de la place (*). Prenez le temps de dire : Noirs, Latinos et Asiatiques. Dites notre nom. Prenez le temps d’apprendre. Montrez-moi que vous comprenez la différence. »
    On appréciera le ton arrogant de petit flic à la fois nazi et communiste, omniprésent en ce moment aux États-Unis, qui aide à comprendre en quoi consiste, véritablement, le suprématisme racial. Ce suprématisme racial qui n’existe que du côté non blanc, contrairement à ce que nous raconte le politiquement correct.
    Ces gens-là ne seront jamais contents avant d’avoir obtenu notre asservissement total : ils le disent tout à fait clairement.
    C’est, bien sûr, la même chose en Angleterre. il suffit de se baisser pour ramasser un obscur intellectuel marxiste d’origine indienne, lequel pleurniche que BAME est « un acronyme sans âme », qui « échoue à apporter un sentiment de solidarité aux luttes pour la justice sociale ».
    Je pense qu’on va mettre tout le monde d’accord : on va revenir aux bonnes vieilles appellations de n…, de b…, de chinetoques et de Peaux-Rouges, comme ça tous ces braves gens arrêteront de nous casser les pieds avec leurs récriminations perpétuelles.
    J’attends avec gourmandise l’entretien de Philippe Bilger où il posera sa question traditionnelle : « Auriez-vous la gentillesse de vous présenter ? », et où son invité lui répondra : « Je suis un BIPOC, hé, banane ! ça se voit pas sur ma tronche ? »
    Quoique « banane » est raciste, aussi, si j’ai bien compris… on n’en sort pas.
    ______
    (*) En ce qui la concerne, je ne vois pas de quoi elle se plaint : c’est déjà fait (à l’instar de la copine à Claude Luçon).

  38. « le droit de les juger », sic…
    Mmmmmhhhhh… ça tourne à l’obsession ou plutôt à son détournement : l’aigreur de voir sa rancoeur obsessionnelle « le Sarko » échapper à la haine, alors ça donne ce détournement de haine sur des abrutis de la baballe au piépied…
    Mais, mais, mais, « abjection, votre horreur ! » : quand on est procureur, même à vie, même en cas « génétique », ON NE JUGE PAS… on « procure »…

  39. A-t-on le droit de juger Time Magazine ridicule ?
    Aux Etats-Unis ils aiment bien les Noirs, où plutôt les Blacks comme ils les appellent là-bas. Mais enfin nos amis américains préfèrent quand même les Noirs étrangers, quand bien même seraient-ils issus d’une famille de délinquants notoires.
    C’est ainsi que Time Magazine a désigné Assa Traoré « gardienne de l’année ».
    Certes il arrive parfois que certains Noirs se fassent tirer comme des lapins par des policiers qui ont la gâchette facile, ou se fassent étouffer par un genou trop appuyé lors d’une immobilisation au sol. Mais manifestement Time Magazine a toujours aimé défendre les thèses antiracistes.
    D’ailleurs n’est-ce pas ce magazine qui avait déclaré Adolf Hitler homme de l’année en 1938 ?
    Quel esprit visionnaire ! 😁

  40. J’avoue que je ne comprends pas le pataquès déclenché par cette histoire, sinon par une volonté politique de faire le buzz dans l’ambiance névrotique anti-blancs.
    Parce qu’enfin lorsqu’on ne connaît pas quelqu’un dans un groupe et qu’on cherche à le désigner de loin, il est normal que son apparence physique soit la première qui permette de le distinguer.
    Eut-il été cul-de-jatte, qu’on aurait dit « est-ce ce cul-de-jatte ? ».
    Vous me direz que des footballeurs cul-de-jatte ça ne court pas les rues. Les rues non, mais sur les stades ça peut courir (*)
    Plus fondamentalement, je suis surpris et mal à l’aise, c’est un euphémisme, quand je vois tous ces gens, sportifs partout, policiers aux USA, et même politiques mettre un genou en terre.
    Il y a là un masochisme incompréhensible pour moi.
    Je ressens ça comme une volonté d’autopunition, d’auto-humiliation.
    Un geste malsain pour moi qui traduit le dérèglement de la psychologie ambiante, je dis ambiante parce que les médias ont l’air de s’extasier et de se pâmer devant ce comportement.
    Une névrose qui s’est répandue en Occident.
    S’agenouiller, l’acte suprême de soumission. Mais se soumettre à qui et pourquoi ?
    Le passé est le passé, déplorable ou pas, il ne peut être changé. En quoi serions-nous responsables de ce passé au point de mettre un genou en terre ?
    On peut et on doit faire en sorte qu’il ne se reproduise pas dans le présent, mais s’humilier au nom du passé, incompréhensible pour moi, comme est incompréhensible le déboulonnage des statues de ceux qui ont fait cette histoire qui nous a menés quand même à la civilisation la plus libérale, au sens de liberté, que le monde ait connue.
    Un genou en terre pour demander pardon des actes d’autrui, cette symbolique montre la perversité où la société est arrivée.
    Un pardon perpétuel, une culpabilisation généralisée, la confession et la repentance sans fin, même l’Inquisition dans ses plus sombres jours n’aurait pas osé souhaiter pareille situation. Et encore l’Inquisition parlait au nom de Dieu, ici et maintenant c’est au nom des hommes que l’on parle, des hommes mortels et faillibles.
    Finalement et au risque de choquer, je trouve qu’il y avait dans le geste des Black Panthers à la fois plus d’arrogance et de dignité.
    Debout le poing ganté levé, un geste de suprême provocation, y compris aux Jeux olympiques, voilà qui avait de l’allure.
    Ce geste me rappelait la vieille formule de la Pasionaria espagnole, Dolores Ibárruri, proclamant : « Il vaut mieux mourir debout que vivre à genoux ».
    Ce qui ne l’empêcha pas de fuir en Russie lorsque la partie fut perdue pour les républicains espagnols, mais c’est une autre histoire.
    On ne s’agenouille que devant Dieu, et même certains se prosternent.
    À quand la prosternation de notre société devant l’humain et ses erreurs, on atteindrait ainsi le stade ultime de la déviation mentale.
    (*) https://fr.wikipedia.org/wiki/Oscar_Pistorius#/media/Fichier:Oscar_Pistorius_2_Daegu_2011.jpg

  41. Dans les années 70 je travaillais pour une entreprise bien connue: Caterpillar-Belgium, qui se targuait à l’époque, d’employer pas moins de 27 nationalités. Parfois nous devions prendre en charge des nouvelles recrues, venues de toutes les parties du Globe. Et qui ne pétaient pas un mot de français et par conséquent de… belge.
    Certains de ces travailleurs du Pakistan ou de l’Inde, notamment, avaient un patronyme imprononçable ou difficile à retenir. Du moins au début. Un « nom à coucher dehors » pouvait-on encore plaisanter à l’époque. (Ne vous y risquez plus de nos jours…)
    Alors forcément, il nous arrivait de désigner ces gens par leur nationalité. « L’Indien » tu le mets à tel poste. Le Marocain, à tel autre. Personne, au grand jamais, ne s’en est offusqué. Par ce langage nous visions la facilité de communication. Point !
    Évidemment, il y a avait de petits plaisantins, qui parfois arrivaient à composer des jeux de mots très drôles, en exploitant la phonétique du patronyme de ces étrangers. Mais cela se faisait de manière amicale et il ne serait venu à l’idée de personne, de se vautrer si voluptueusement, dans l’indignation d’un « racisme » ressenti ou feint.
    Les temps ont bien changé. Aujourd’hui, l’indignation systématique suivie du jugement péremptoire, est la norme. Heureusement je suis têtu comme un Breton ou comme un Arabe (si, si ! Il y en a) Et j’emmerde superbement tous ces « juges » de pacotille, qui échouent à m’instiller leurs règles si puritaines, depuis cinquante ans. Vive la liberté !
    Signé: le Franco-Belge.

  42. Eh bien, au risque de surprendre, je suis très satisfait de ces prises de position essentialistes et racisées de tous ces gens et de leurs collabos. In fine, ils nous obligent à nous rappeler qui nous sommes, quelles sont les valeurs fondatrices de notre civilisation et, donc, à quel point nous sommes éloignés d’eux. Alors merci Assia, Lilian, Vikash, merci à vos collaborateurs médiatico-bobo-showbiz type Antoine et Cie. Merci, merci, merci.

  43. @ Michel Deluré
    « ll ne devient plus possible dans certaines circonstances de dire, de regarder, de faire sans s’exposer en retour à une critique agressive, sans être désigné à la vindicte populaire, même si ses paroles, ses regards, ses gestes étaient totalement dénués des intentions qui leur sont prêtées. »
    Les personnalités du monde de la politique et autres qui ont dû subir en premier ce genre de terrorisme depuis une quarantaine d’années nous avaient alors prévenus de ce qui risquait de nous arriver : « Hodie mihi, cras tibi ».
    Nous y sommes.

  44. Hier soir sur CNews, le juge Trevidic et Eric Zemmour quasiment d’accord sur tout sur la politique à mener face à l’invasion et aux défaillances du pouvoir.

  45. Remarque accessoire. Les Américains disent « black » parce que black veut dire noir.
    Pour nous Français, il est de mauvais goût de dire « noir. » Il faut dire « black ». Pourquoi diable… déformer le vocabulaire ? D’autant, autre remarque, que les Américains disent « coloured » alors qu’il est malvenu de dire en français « coloré. »
    Qui peut prévoir quelle sera la bonne manière de s’exprimer dans dix ans ?

  46. La macronie favorise les racailles, les islamistes, les racialistes qui nous saoulent avec leurs histoires de couleur de peau. Les islamistes ont gagné et la macronie en redemande. Une macronie obséquieuse qui flatte son électorat au détriment de la France en plein déclin. Ce gouvernement est traître à son propre pays.
    Tous ces abrutis qui radotent à propos de couleur de peau. Combien de fois faudra-t-il répéter qu’il n’y a qu’une seule espèce, l’espèce humaine et donc pas de races. Mais Darwin est passé à la trappe des conn*rds qui occupent tout l’espace public.
    Pour nous remonter le moral, notre cher président envisage des lendemains qui déchantent. Comme si la coupe n’était pas assez pleine.
    Des choses dures nous attendent, dixit Emmanuel Macron. On aimerait bien en savoir davantage plutôt que de se faire balader par les discours de Castex sur les jauges, les kilomètres, les centaines de millions de doses de vaccins aux effets inconnus.
    Ce gouvernement qui flatte toutes les minorités vocifératrices a fait exploser toute possibilité de cohésion nationale. Cela fait plus de cinquante ans que je vis en France et je n’ai jamais autant entendu parler de races noires ou blanches. C’est sidérant. Nous sommes en pleine régression.
    Toutes ces minorités, tous ces individus individualistes nous saoulent. Ils se vautrent dans la jérémiade.
    La poilade est à tout jamais bannie ! Manque total de décontraction et de dérision. Les fanatiques de tout poil ont gagné la partie à cause d’un gouvernement qui n’ose pas dire STOP. Un gouvernement qui divise pour mieux régner mais qui ne récolte que le chaos et l’anarchie.

  47. @ Solon
    « Qui peut prévoir quelle sera la bonne manière de s’exprimer dans dix ans ? »
    Très simple.
    Si vous avez le tort d’être un Français leucoderme – horreur ! – vous ne pourrez rien dire, en n’ayant au mieux que le droit de raser les murs en rampant en silence.
    Je ne vous parle même pas du pire.

  48. Tout est trop prévisible sur ce blog.
    Le couillon raciste « couillonne », l’intellectuel prétentieux « prétentionne », le macroneuneu-trognoniste « macrotrognonise »… le plus comique demeure les grosses ficelles que vous employez dans vos billets. Tout est suscité mais si finement. Enfin finement, n’exagérons pas, mais tout d’même, je m’y suis laissé prendre. A vous penser sage, c’est dire.
    Il n’y a rien de si compliqué. Un peu d’honnêteté intellectuelle, rien d’autre.
    Si on discute avec quelqu’un et que l’on dit : « Oui tu sais, le grand noir à droite quand tu rentres sur le plateau », rien de raciste, de méchant… être noir est une caractéristique physique, comme l’âge, le sexe, la calvitie, la couleur des cheveux…
    On pourrait tout autant imaginer quelqu’un parlant de moi à un collègue qui ne me connaît pas et qui lui dirait pour le renseigner : « Si, tu sais, le vieux chauve qui déconne tout le temps près de la fenêtre ». Rien d’offusquant, je fais partie des vieillards cacochymes maintenant et je n’ai pas de cheveux, plus, j’en ai eu.
    Mais si quelqu’un me hèle en me disant : « Eh le chauve » ou « Eh le vieux », il est probable que je manifeste, malgré mon âge un peu avancé, quelques réactions épidermiques.
    Donc cet arbitre a manifesté une forme de condescendance, de racisme bête et ordinaire, en hélant une personne sous la forme : « Eh le noir… » au lieu d’aller le voir et de lui dire : « Monsieur… ».
    Dire que c’est ce qu’on voit de pire, certainement pas. Ne serait-ce que sur ce blog le couillonomètre va bon train et le racisme ordinaire excède et de très loin le comportement de cet arbitre. Racisme ordinaire encouragé par les billets de notre hôte.
    Dernière chose, depuis des dizaines d’années que je rengaine sur le sujet, black, beur, feuj, sont des termes qui témoignent du racisme de ceux qui les emploient. C’est considérer que noir, arabe, juif seraient des appellations péjoratives, parfois inconsciemment. C’est le travail de sape réalisé par l’Histoire et les imbéciles qui ont fait admettre le côté « péjorant » de l’utilisation de ces mots.
    Être noir, arabe, juif n’a rien de péjoratif. Employons les bons mots.
    Nos amis sportifs ont bien fait de réagir.
    Si l’événement semble dérisoire à certains, pourquoi pas, les étincelles ou les gouttes d’eau le semblent souvent, mais elles succèdent à un trop-plein et ne font office que de témoin de celui-ci.

  49. Fallait-il vraiment attendre 2020 pour s’apercevoir que le foot est un ramassis de retardés mentaux ?
    Fallait voir Pascal Praud ramer sec pour essayer de nous convaincre du scandale. Une pitié.
    Dès qu’on se palpe plus de 40 000 euros par mois (RTL + CNews) on n’est plus crédible. Ses indignations sonores sonnent faux. Une mayonnaise Bolloré.
    L’homme Pascal Praud est éminemment sympathique, plein d’humour, cultivé, son ascension est un succès mais attention à la dernière marche.

  50. @ Jérôme
    « Donc cet arbitre a manifesté une forme de condescendance, de racisme bête et ordinaire, en hélant une personne sous la forme : « Eh le noir… » au lieu d’aller le voir et de lui dire : « Monsieur… ». »
    Je serais bien d’accord avec vous si ce que vous dites était vrai. Mais ça ne s’est pas passé comme ça. L’arbitre n’a pas hélé la personne en question. Il parlait en roumain à son arbitre principal pour lui signaler que le « noir » avait un comportement inadmissible.

  51. Herman Kerhost

    @ Jérôme | 12 décembre 2020 à 12:41
    Bla-bla-bla…
    Dans l’émission dont parle Philippe, le comédien (rappeur ?) Rost disait la même chose que vous, et lorsque je ne sais plus qui (*) lui a dit « mais on n’a pas les images », Rost lui a répondu « mais si, enfin… on a l’image de la réaction suscitée par l’emploi, certainement fautif donc, du terme « noir » » (dans d’autres termes).
    Ha ha ! Comme si il n’y avait pas, dans la population noire, une quantité incroyable de paranoïaques au sujet du racisme. J’en ai le témoignage quotidien, où des noirs considèrent raciste la moindre remarque qui leur est faite. Le simple fait de leur dire de mettre leur masque correctement est parfois jugé raciste: « c’est parce que je suis noir, hein ! ». Alors, un footballeur qui prétend que ce qui s’est passé mérite qu’on se mette à genoux, excusez-moi, mais je demande à voir…
    A propos des masques et des noirs. On nous a bassinés avec le fait que cette rac… population, était sur-représenté parmi les victimes du Covid. Ce qui est exact. Mais encore une fois, ce n’est pas parce que ce sont de pauvres victimes. Il suffit d’avoir des yeux pour voir, pour se rendre compte qu’en fait, c’est (encore une fois) leur comportement qui est responsable de leur sort: soit ils ne portent pas de masque, soit ils le portent mal, en couvrant seulement la bouche.
    Cette désinvolture à l’égard des règles sanitaires (et de la population en général !) n’est pas un phénomène observable qu’aux Etats-Unis.
    Lorsque j’étais en France, au moi de septembre, j’avais pris l’initiative, avant de repartir vers les EU, de me faire tester pour le Covid. Eh bien, le type (noir) qui enregistrait les demandes au Laboratoire de Rosporden (Savonarole: « Mytho, c’est Quimper ! ») portait aussi le masque sous le nez. Dans un laboratoire ! Où il accueillait quotidiennement, pour se faire tester, des dizaines de personnes infectées…
    Et je ne vous parle pas du McDonald’s de l’aéroport de Detroit, où toutes les employées noires portaient le masque de façon inappropriée, alors que les 2 ou 3 employées blanches le portaient de manière prescrite.
    Je ne connais pas la façon dont l’arbitre s’est exprimé dans l’affaire qui nous occupe, mais permettez-moi de douter de l’authenticité de la réaction outragée de ce joueur…
    (*) Pascal Praud il me semble. Quel faux jeton celui-là ! Je me demande comment vous supportez d’être présent sur un tel plateau…

  52. Mary Preud'homme

    @ Jérôme | 12 décembre 2020 à 12:41
    Effectivement ce que l’on se sert soi-même, ou qui est dit (dans certains cas) pour désigner une personne par une caractéristique visible n’a absolument rien de péjoratif.
    C’est pourquoi à l’inverse de vos assertions, vos amis sportifs ont eu tort de réagir à chaud, et de faire tout un cirque à partir d’un mot qu’ils n’avaient manifestement pas compris !

  53. Il y a quelque temps lors d’une balade en montagne j’aperçois un splendide oiseau planant et je lâche « Oh, un aigle » ; j’ai été aussitôt repris par un type courroucé qui m’a dit on ne dit pas « un aigle » mais « un oiseau de couleur ». Nous en sommes là.

  54. Ben moi, j’aime bien regarder l’Heure des pros. Ça me rappelle les Guignols de l’Info, sauf que là il n’y a pas besoin de marionnettes vu que les intervenants par leurs postures et gesticulations se suffisent à eux-mêmes.
    Tout y est excessif, caricatural. Du pur délire.
    Et puis Pascal Praud en PPDA c’est quelque chose ! 😁

  55. @ Herman Kerhost | 12 décembre 2020 à 15:40
    Herman à 15:40… un samedi après-midi à Quimper…
    J’ai vérifié la météo, à 15:40 à Quimper, il pleuvait, après-midi bretonne maussade, un ennui breton mortel, alors notre ami Herman s’est remis à se rêver une vie américaine, il s’est vu au McDo de l’aéroport de Détroit, quelle idée tout de même, descendre d’un avion pour se précipiter au McDo.
    Notre Herman y a vu des noirs qui ne savaient pas porter le masque, stupéfiant, moi je serais revenu à Quimper par le premier vol. Subito, dare-dare, derechef et fissa.
    Notre Herman est tellement poreux qu’il reprend par capillarité les thèmes de son mentor : les noirs sont des c*ns.

  56. @ Ninive
    « Enfin je me demande pourquoi les Français sont aussi peu solidaires entre eux contre l’adversité ambiante ? »
    En grande partie parce que tout a été fait pour les diviser par tout un travail de sape idéologique révolutionnaire : concepts de « droite » et de « gauche » (et maintenant de prétendue extrême droite) invoqués à tout propos, oppositions sociales, opposition entre « populistes » et fausses élites, et désormais désintégration du peuple de France par l’importation d’une myriade de communautés inassimilables et souvent hostiles.
    Le peuple français actuel n’a plus rien à voir avec celui qui a fait bloc en 1914 contre un autre envahisseur.

  57. Antoine Marquet

    @ Jérôme
    Vous assénez une leçon de choses en partant d’une position erronée. Où avez-vous vu que le 4e arbitre a hélé l’adjoint de l’entraîneur de la manière que vous décrivez ? La vidéo est en ligne. Ce 4e arbitre s’est adressé à l’arbitre central et pour désigner un noir au milieu de blancs il a dit « le noir » dans sa langue… Imaginez un blanc au milieu de deux ou trois noirs, vous le désigneriez probablement par sa couleur et s’il était chinois ou rouquin, alors vos leçons de maintien… Morale de l’histoire : lorsqu’on monte au cocotier il faut avoir les fesses propres.

  58. @ Savonarole
    « J’ai vérifié la météo, à 15:40 à Quimper, il pleuvait, après-midi bretonne maussade… »
    Vous ne comprenez rien au charme de la pluie. Le must, c’est en Irlande. Petit crachin de quinze minutes, léger et rafraîchissant. Suivi d’une éclaircie d’une quinzaine de minutes, qui permet d’apprécier le soleil réchauffant la peau tout en fraîcheur: température d’environ quinze degrés, idéale pour ne pas étouffer sous la chaleur, et se promener légèrement vêtu. Et le cycle recommence sans fin.
    En somme, les charmes du sauna basse température. J’me dois de vous le dire, Savo, les basses températures, c’est le futur du goût et de l’esthétisme.

  59. Herman Kerhost

    @ Savonarole | 12 décembre 2020 à 17:34
    « Les noirs sont des c*ns »
    C’est votre conclusion.
    En revanche, Savonarole, lui, je peux le dire, est un c*n.

  60. Mais enfin, pourquoi s’énerver sur le sujet ? Toutes les publicités montrent des noirs, métis, quarterons, octavons, de moins en moins de blancs. Il y a consensus. Le blanc, le caucasien ne fait plus recette. Le Français n’est pas un matheux, tant s’en faut, le Camerounais, oui, dixit JJSS dans le Défi américain, alors ne faisons pas la fine bouche.
    Des footballeurs, race discutable, rejouent la Case de l’oncle Tom pour rien, eh bien tant mieux, ils ne seront jamais Othello, ils n’arriveront pas au stade supérieur, noyés dans l’argent, ils utilisent les réflexes des conditionnés du succès payant, rien de gratuit. Ils resteront les esclaves du l’argent noir, enfin du black quoi, comment dire, du grisbi lugubre.
    L’excès se condamne lui-même, comme les féministes ou les hommes politiques dans leurs délires verbaux.
    Libera me, Domine, de morte aeterna, in die illa tremenda………..

  61. @ jack
    « Sur un autre sujet, avant de parler de racisme il faudrait bien distinguer ce qui relève de l’offense. Par exemple le qualificatif « toubab » employé pour les personnes à peau blanche n’est pas considéré comme péjoratif. »
    Disons que cela a pu être le cas il y a longtemps, en Afrique.
    https://www.breizh-info.com/2017/03/01/63520/babtou-insulte-raciste/
    Mais quand des gens qui ne sont pas des « toubabs » injurient les « babtous » sur les réseaux sociaux, voire quand certains se mettent par exemple à une dizaine pour donner des coups de pied dans la tête d’un « babtou » projeté à terre, nous changeons de registre et nous tombons alors dans ce qui devrait normalement être qualifié de racisme.
    Mais dans ce sens-là, les antiracistes autoproclamés semblent ne rien remarquer d’anormal…

  62. @ Jérôme | 12 décembre 2020 à 12:41
    « Tout est trop prévisible sur ce blog.
    Le couillon raciste « couillonne », l’intellectuel prétentieux « prétentionne », le macroneuneu-trognoniste « macrotrognonise »… le plus comique demeure les grosses ficelles que vous employez dans vos billets. Tout est suscité mais si finement. Enfin finement, n’exagérons pas, mais tout d’même, je m’y suis laissé prendre. A vous penser sage, c’est dire. »
    Je trouve toujours pathétiques ces gens qui, sur ce blog comme ailleurs, se sentent obligés de donner une leçon de subtilité en préliminaire de leur contribution dans laquelle on n’en trouve pas la moindre trace.
    La pédanterie des crétins est un fléau, pire que le coronavirus.

  63. Mary Preud'homme

    @ genau | 12 décembre 2020 à 19:35
    « Toutes les publicités montrent des noirs, métis, quarterons, octavons, de moins en moins de blancs. Il y a consensus. Le blanc, le caucasien ne fait plus recette ».
    Si c’est le cas, ce n’est même pas du racisme mais la résurgence d’une terminologie datant de plus de deux siècles que les colons blancs des Antilles employaient pour catégoriser leurs esclaves, selon leur ascendance et couleur de peau, sachant que le terme de racisme n’existait pas encore à l’époque ! Sans compter que cette multiplication des couleurs n’était due qu’à la fornication des blancs qui engrossaient leurs esclaves comme des porcs et sans complexe !
    On a d’ailleurs eu droit chez nous plus récemment, de 1939 à 1945, sous l’ère hitlérienne, au même genre de malades mentaux et dangereux psychopathes s’employant à classifier méthodiquement les Juifs, Tsiganes, etc. en les réduisant à l’état de sous-hommes nuisibles à la société, à sucer jusqu’à l’os en les spoliant de tous leurs biens et familles et jusqu’aux nouveau-nés avant de les éliminer par millions !
    Au fait, comment doit-on appeler selon vos critères des enfants dont la mère est blanche de souche, le père métis, ce dernier étant lui-même issu d’un père dont les parents étaient respectivement franco-africains pour la branche paternelle et amérindiens pour la branche maternelle ?

  64. Mary Preud'homme

    @ Herman Kerhost 12 décembre 18:50
    Voila ce qu’avait écrit Savonarole le 12 décembre à 17:34 :
    « Notre Herman est tellement poreux qu’il reprend par capillarité les thèmes de son mentor : les noirs sont des c*ns. »
    Et que vous interprétez « subito presto » et sans plus réfléchir, comme une affirmation dudit Savonarole, alors qu’au contraire il ne faisait qu’ironiser concernant les thèmes favoris et ressassés jusqu’à la surdose par votre mentor vénéré, ne cessant de nous gaver à longueur de posts au sujet de la prétendue infériorité congénitale des Noirs et leur QI de bulot !
    Autrement dit vous confondez le fonctionnaire jusqu’au slip qui a proféré des absurdités se retranchant lâchement au passage derrière l’anonymat et des liens foireux, avec celui qui au contraire les a moquées et rejetées avec humour !
    Et si vous voulez mon avis des c*ns il y en a partout, quelle que soit leur couleur de peau ! Et il y a beau temps que je ne me gêne pas (moi-même) pour traiter de c*n quiconque le mérite, nonobstant ses origines. La meilleure façon selon moi de n’être pas raciste en ne privilégiant, ménageant, condamnant ou absolvant personne en fonction de ses origines, de son âge ou de sa couleur de peau… Mais sachant reconnaître, le cas échéant, tantôt ses mérites, tantôt ses fautes… À commencer dans ma propre famille et la façon d’élever mes propres enfants ou de donner l’exemple à mes petits-enfants.

  65. Herman Kerhost

    @ Mary Preud’homme | 12 décembre 2020 à 22:36
    D’abord, vous commencez à me casser les pieds, vous, Savonarole, ou Achille, à prétendre que Robert Marchenoir serait mon mentor. Je n’ai pas de mentor. J’aime beaucoup le style et le fond des commentaires de Robert Marchenoir, c’est tout. Contrairement à vous, et à d’autres, je sais lire, et le travail de Robert (je me permets…), ici, est comparable à celui d’un journaliste. Grâce à lui j’ai appris mille choses. Parfois (rarement) je ne suis pas d’accord avec lui, mais je ne le fais pas forcément savoir, n’ayant pas forcément le temps, ni l’envie. Il a assez de casse-pieds sur le dos…
    « alors qu’au contraire il ne faisait qu’ironiser concernant les thèmes favoris et ressassés jusqu’à la surdose par votre mentor vénéré, ne cessant de nous gaver à longueur de posts au sujet de la prétendue infériorité congénitale des Noirs et leur QI de bulot ! »
    Ça reste l’interprétation de Savonarole. Robert Marchenoir n’a jamais dit non plus que « les noirs sont des cons ». Et c’est aussi votre responsabilité de déduire des chiffres de la répartition raciale des QI, que les noirs ont « un QI de bulots ». Personne n’a dit cela ici. Ces chiffres sont exacts. Je ne les connaissais pas. Déduire de la présentation de ces chiffres que les noirs sont des cons, c’est de la responsabilité de Savonarole. Pas de la mienne. Et, puis, relisez bien cette phrase:
    « Notre Herman est tellement poreux qu’il reprend par capillarité les thèmes de son mentor : les noirs sont des c*ns. »
    Savonarole dit explicitement que ce que je viens de décrire revient à dire que « les noirs sont des cons ». C’est vous qui ne savez pas lire.
    Et je ne reprends pas les thèmes d’un autre. Je décris des scènes vécues. Aucune théorie, aucun chiffre. Juste l’observation de simples faits. Se déroulant devant mes yeux. Et je suis certain que je ne suis pas le seul sur ce blog à avoir observé ce phénomène.
    De toute façon, c’est stupide de votre part de réagir ainsi à cette « conversation ». Savonarole est un troll (et vous prétendez qu’il ne faut pas « nourrir le troll »). Et s’il défend les noirs (bien qu’il n’en ait rien à cirer, comme du reste), alors vous serez sa groupie, puisqu’on est dans ce genre de petit jeu débile.

  66. @ Savonarole | 12 décembre 2020 à 17:34
    Malheur à qui ose s’en prendre à son seigneur et maître, aussitôt Herman Kerhost fond sur l’outrecuidant qui se permet ce genre de familiarité.
    Il me fait un peu penser à ces pitbulls dressés pour attaquer au moindre mot de leur maître.
    Ce qui est curieux c’est que, pour quelqu’un qui vit aux Etats-Unis, il n’utilise jamais la moindre expression américaine ainsi que le font les intervenants de ce blog qui, eux, ont vraiment vécu dans ce pays. C’est devenu pratiquement un réflexe auquel il est difficile d’échapper.
    Son vocabulaire à lui est obstinément franchouillard.
    Je le soupçonne de connaître des USA ce que lui apprennent les documentaires de France 5 et de ARTE qu’il visionne le soir après sa rude journée d’employé à la mairie de Quimper 🙂

  67. @ Mary Preud’homme | 12 décembre 2020 à 21:34
    « Au fait, comment doit-on appeler selon vos critères des enfants dont la mère est blanche de souche, le père métis, ce dernier étant lui-même issu d’un père dont les parents étaient respectivement franco-africains pour la branche paternelle et amérindiens pour la branche maternelle ? »
    Réponse : un camaïeu de noir !
    https://www.galerie-creation.com/tableau-peinture-sur-toile-acrylique-camaieu-bleu-personnages-acrylique-bebe-p-114313.html
    Ne vous fâchez pas Mary, le dimanche je m’autorise une ou deux âneries volontaires.
    Les autres jours, elles sont involontaires, et de surcroît à l’insu de mon plein gré !

  68. Patrice Charoulet

    RACISME
    Sur le terrain de foot dont il a été parlé il n’y a pas eu de racisme. Si dans une langue étrangère qui n’est pas la nôtre un mot veut dire « Noir » et nous fait penser à un mot français qu’il ne faut pas utiliser car il a une connotation dépréciative, il n’y avait pas de quoi, en effet, en faire des tonnes.
    Quelle aubaine ce fut pour les vrais racistes de langue française ! On a pu s’en donner à cœur joie.
    En réalité, le racisme est partout, sur notre globe, sauf sur ce terrain de foot.
    Il n’y a sans doute pas plus de racisme (avoué ou proclamé ou honteux) ici que sur d’autre blogs.
    On répondra simplement à qui soutiendrait que « le racisme ne veut rien dire », que le racisme peut aisément se définir. Est in-dé-nia-ble-ment raciste qui porte un jugement sur un être humain dès son berceau au motif qu’il serait Juif, Noir, Jaune… ou Blanc. Et qui, dans la foulée, a des conduites injustes, agressives (parfois criminelles) à l’encontre de cette personne.
    Il y a trente-six façons de contourner, de gommer, de nier cette évidence. J’ai connu une époque où quantité de gens disaient : « Je ne suis pas raciste, mais… ». Nous en avons à présent en France (et donc ici) pour nous dire : « Je suis raciste et je suis bien content de l’être ». Une autre catégorie nous dit : « Le racisme ne veut rien dire. » Un troisième groupe nous dit : « Nous sommes des Blancs, des Français, des catholiques, et nous avons bien raison de nous méfier des Noirs, des étrangers, des gens qui ont d’autres croyances religieuses que les nôtres… De nous méfier, d’éviter, de ne pas louer notre logement, de ne pas embaucher, de souhaiter l’expulsion, l’arrestation… mais ne venez pas nous reprocher d’être racistes … »
    Je suis extrêmement minoritaire (mais pas seul dans mon cas). Je pense n’être pas raciste. C’est comme ça. Je l’ai dit, je le redis. Je ne porte de jugement (comme on doit le faire dans les prétoires) que sur une personne à la fois. Noir, Jaune, Blanc, Homme, Femme, professeur, juge, avocat, journaliste, homme politique…Je n’ai pas d’avis général. J’attends de connaître, j’attends les paroles, j’attends les conduites. Si un Noir est une ordure, je le penserai, en me moquant bien de sa couleur. Je pense le plus grand mal d’Amin Dada et de Bokassa. Je pense aussi le plus grand mal du Blanc Hitler et du Blanc Staline. La couleur de la peau est vraiment de peu d’importance.
    Le groupe raciste de ce blog aura beau me vouer aux gémonies, me haïr, tenter de me tourner en dérision, on ne les changera pas. Et ils ne me changeront pas.

  69. Mary Preud'homme

    @ Tipaza | 13 décembre 2020 à 09:19
    Pas mal du tout le dégradé de bleu, ce qui me fait penser par association d’idées au Noël bleu chanté par Elvis Presley. Vu le contexte covid, c’est tout à fait d’actualité :
    https://youtu.be/3KK6sMo8NBY

  70. @ Achille | 13 décembre 2020 à 08:03
    Bonjour Achille,
    Comme toujours, je suis harcelé dès que j’ouvre la boîte à claques.
    Deviro ayant disparu, ce Deviro à qui j’ai fait un sort funeste, il est mort, il ne me reste plus que ce brave gars de Quimper, Herman Kerhost, le toutou de son maître, qui dès qu’on le siffle aboie et frétille du croupion.
    J’ai apprécié le soutien de Mary Preud’homme, toujours perspicace, mais cela aurait été remettre une pièce dans le Wurlitzer de notre enfance. Une polémique à n’en plus finir. Je me suis abstenu.
    Par contre, déception de lire ce maître de l’alignement de mots et formules qu’est Mitshane, qui soudain a abandonné son libre arbitre, son esprit critique, sa liberté d’expression pour aller quémander l’appui d’une bande de voyous qui infestent ce blog. Il abuse de ses cheveux blancs, un juin 40 à lui tout seul. Un petit collabo. Pourvu que survivent ses qautre pattes de mouches tous les 15 jours. Mitshane n’est qu’une illusion.
    Comme souvent, la même question me taraude, « qu’est-ce que je fais ici ? ».

  71. « A-t-on encore le droit de les juger ridicules ? »
    Les juger je ne sais pas mais constater qu’ils le sont est une réalité.

  72. Patrice Charoulet

    RACISME (suite)
    Je viens de gribouiller ici quelques mots intitulés « Racisme ». Cela fait, j’ai continué à lire les Mémoires de Catherine Clément, mariée à 20 ans, mère à 21 ans, Normalienne, reçue première à l’agrég de philo à 22 ans. Je tombe à l’instant, page 170, sur ces faits : on la nomme, pour son premier poste, au lycée de Beauvais. On lui confie notamment une maths élém. Le premier jour, à son entrée dans cette classe, elle voit au tableau, écrit à la craie : « Rallumez les fours ! ».
    Aux cours suivants, elle n’enseigna pas de philosophie ; elle lut à ses élèves, en entier, « Le Dernier des Justes » d’André Schwarz-Bart.
    Ensuite, elle donna ses cours de philo.

  73. @ Savonarole
    « Comme souvent, la même question me taraude, « qu’est-ce que je fais ici ? ». »
    Soyez le bienvenu, pèlerin, en ce havre vous graciant d’un répit bien opportun face aux tribulations de nos mornes existences.
    « Comme toujours, je suis harcelé dès que j’ouvre la boîte à claques. »
    Mouais. Ce n’est pas exactement comme si vous étiez en première ligne pour pacifier la zone de conflit.
    « il ne me reste plus que ce brave gars de Quimper, Herman Kerhost, le toutou de son maître, qui dès qu’on le siffle aboie et frétille du croupion. »
    Les toutous peuvent avoir un surprenant degré d’initiative.

  74. Herman Kerhost

    @ Achille | 13 décembre 2020 à 08:03
    Vous êtes véritablement un crétin fini, Achille. Comment peut-on, à la fois, avoir eu une carrière d' »ingénieur » (c’est vous qui le dites, moi je demande à voir…) et avoir une pensée aussi simpliste ?
    Comme s’il y avait besoin d’avoir vécu aux Etats-Unis pour pouvoir glisser, ici ou là, une expression américaine… Je vous décerne la palme d’or de l’ingénieur ingénu. Surtout qu’il y a de fortes chances pour que ce soit exactement l’inverse qui soit vrai: ce sont les franchouillards bien de chez nous qui aiment faire les malins en causant américain sur un blog français. Ils pensent que ça fait style.
    Et puis, quel est donc le but de ce trollage intempestif ? Qu’est-ce que vous voulez que ça me fasse que vous pensiez que je vis à Quimper ou à Los Angeles, hein ?
    Intéressez-vous plutôt à votre pote Savonarole. La seule personne qui dit avoir vécu aux Etats-Unis, ici, et dont on peut sérieusement douter que ce soit vrai, c’est lui. Je me souviens encore de sa réflexion hilarante sur le fait qu’aux USA il n’y avait pas de Robert Marchenoir (c’était à l’époque, pas si lointaine, où il lui faisait de la lèche*). Alors que ce commentateur fait plus exception en France où ce sont les fouineurs semant le désordre comme Savonarole qui sont légion.
    D’ailleurs, le fait qu’il aille faire des recherches sur Internet pour trouver une information sur mon vécu passé français, censé invalider celui de mon présent américain, en dit plus sur les motivations troubles de ce troll que sur une vérité qu’il tenterait de rétablir.
    En fait Savonarole me fait penser à ceux qui disent détester l’Amérique mais qui joueraient au Loto pour gagner un voyage vers ce pays si détesté…
    Par ailleurs, vous êtes dans la projection, Achille. Je suis intervenu sur ce fil en faveur de Mitsahne, et non de Robert Marchenoir. C’est vous qui venez en aide, en insultant (aboyant ?) les commentateurs, à votre ami Savonarole dès que quelqu’un tente de contredire ce troll, en reprenant les thèmes favori de votre « maître ».
    *Comme lorsqu’il déclarait, le 4 juin 2016 à 20:07, ceci:
    « Marchenoir nous dépasse d’une tête, la brutalité de ses analyses est remarquable, c’est un guerrier, un centurion, alors que nous ne sommes que de simples commentateurs ».

  75. @ F68.10|13 décembre 2020 à 16:36
    « Soyez le bienvenu, pèlerin, en ce havre vous graciant d’un répit bien opportun face aux tribulations de nos mornes existences »
    Au fond vous êtes un gentil, comme on disait au Moyen Âge. Je me suis peut-être mépris sur vous. Je le regrette.
    La participation à un blog ne laisse que très peu transparaître ce que nous sommes vraiment.
    Souvent, « dans la brute assoupie un ange se réveille » (Victor Hugo, Booz endormi).
    Bien à vous.

  76. @ Herman Kerhost | 13 décembre 2020 à 17:09
    Ben oui, je suis ingénieur, mais j’évite de l’étaler sur ce blog car cela n’intéresse personne d’autant qu’il est difficile, vous imaginez bien, sur un blog comme celui-ci de parler d’électromagnétisme et de traitement du signal.
    Que vous travailliez vraiment aux USA, franchement je m’en fiche. Ce qui m’agace chez vous, c’est que vous n’intervenez que pour polémiquer et agresser tous ceux qui s’en prennent à votre « gourou ». Le reste du temps vous ne commentez aucun billet.
    Il serait bon que vous essayiez de penser par vous-même et non pas systématiquement d’approuver béatement ce que dit Marchenoir, y compris lorsqu’il tient des propos stupides, notamment sur le QI des Noirs.
    J’ai travaillé dans ma vie active avec des ingénieurs noirs, arabes, asiatiques et je peux vous assurer que leur QI était très respectable, surtout si on devait le comparer au vôtre.
    Alors fichez-nous la paix avec vos états d’âme qui n’intéressent personne et qui ne servent qu’à semer la zizanie sur ce blog.

  77. Mary Preud'homme

    @ Herman Kerhost | 13 décembre 2020 à 17:09 (dernier paragraphe)
    Vous tenez bien vos fiches sur les commentateurs de ce blog, en parfait petit kapo à la botte de Marchenoir qui cependant nous répète à longueur de temps qu’il déteste les fonctionnaires zélés de votre espèce !
    Mais bon !
    Ceci étant, j’espère que vous vous rendez compte qu’en nous rapportant les propos (flatteurs) tenus par Savonarole au sujet de votre idole il y a quatre ans, vous venez de vous tirer une balle dans le pied ! Etait-ce bien là en effet le comportement habituel d’un troll que d’encenser un nouveau venu, ou au contraire celui d’un intervenant sincère comme beaucoup d’entre nous, fidèles de longue date à ce blog, qui accueillaient sans arrière-pensées une nouvelle plume acérée, avant de comprendre qu’ils s’étaient fait piéger par un troll de la pire espèce et cette fois un vrai ?

  78. @ Robert Marchenoir
    « En ce qui la concerne, je ne vois pas de quoi elle se plaint : c’est déjà fait (à l’instar de la copine à Claude Luçon) »
    Laquelle ?
    Je vous fais parvenir un échantillonnage dites-moi votre préférée !

  79. Cet après-midi j’ai joué aux dames avec un homme noir (du moins il en avait la couleur…).
    Je lui ai dit qu’il me demandait de jouer à un jeu sexiste, et pour le punir j’ai repeint les pions noirs en vert en lui disant que c’était écolo et que du coup si je gagnais je ne serais pas obligée de mettre un genou à terre.
    Là-dessus il me dit qu’il est écolo 🙁 !!
    Je vais peut-être prendre un verre ou deux de blanc ce soir… 😀

  80. Et Othello, tue-t-il parce qu’il est maure, ou parce qu’il est jaloux ? Pourtant la blanche Desdémone lui est fidèle, allons, interrogeons Iago, il nous éclairera, et avec la douce victime des errances rivales, souvenons-nous sous les branches du saule, que le jubilant Rossini s’intéressa aussi à la tragédie.
    https://www.youtube.com/watch?v=FQ9glKglWjo
    Et vive la douceur sans rancœur, et notre cher professeur.

  81. @ Achille
    Ne renversez pas les rôles, ce n’est vraiment pas Herman Kerhost qui sème la zizanie sur le blog !
    Vous ne vous rendez pas compte que ce genre d’accusation n’est pas sérieux, et risque de vous faire passer pour un rigolo ? Déjà que vous vous prenez pour Hercule Poirot et déduisez doctement du vocabulaire d’HK qu’il ne vit pas aux USA ! Bizarre, bizarre.

  82. @ Savonarole
    « Au fond vous êtes un gentil, comme on disait au Moyen Âge. Je me suis peut-être mépris sur vous. Je le regrette. »
    Je prends note. Mais je vous en prie: prenez votre temps pour changer d’opinion ; rien ne presse ; et veuillez ne pas regretter ce qui n’importe au fond que marginalement peu.
    (Mais oui, je le concède, je peux être très raide quand on me brosse le poil dans le mauvais sens.)
    « Souvent, « dans la brute assoupie un ange se réveille » (Victor Hugo, Booz endormi). »
    Je reste hostile à la religion, vous le savez, ainsi qu’à son substrat mythologique, que je ne rejette culturellement pourtant pas, mais qui suscite ma suspicion dans son utilisation publique. Il faut toutefois reconnaître à Hugo le souci de se transporter au-delà de l’horizon politique et temporel de son temps – temps qui l’a déçu, me semble-t-il… – avec La Légende des siècles. Les questions importantes ne disparaissent en effet pas, même quand on se contente de rejeter les idées religieuses du temps passé ou du temps présent.
    Cela étant, la poésie n’est pas vraiment ma forme d’art préférée. Je lui préfère nettement la musique. Heureusement que ces formes ne sont pas foncièrement incompatibles. N’ayant une fibre littéraire que très sélective, je suis en effet sensible aux adaptations en tout genre. (Et suis tout autant heureux que des idées foireuses – comme le prévisible massacre en son THX Dolby Surround du Paradis Perdu de Milton – ne se réalisent pas…)

  83. @ Lucile | 13 décembre 2020 à 21:10
    Ce n’est pas parce que Savonarole vous a renvoyé une paire de fois à vos préciosités qu’il faut vous croire obligée de vous mêler de la conversation.
    HK, comme vous l’appelez m’a suffisamment provoqué sur ce blog pour que je lui dise ma façon de penser comme bon me semble. Alors ne vous mêlez pas de ça. Il me déplairait d’être désagréable avec vous.

  84. @ Patrice Charoulet
    Quand vous n’attaquez pas la liberté des autres, votre parole se libère. Ainsi, vous combattez bien mieux le racisme en en appelant à votre expérience et aux principes qu’à la loi.
    En effet, chaque humain est unique et un monde à soi seul… Chaque fois que c’est possible, il faut donc traiter chacun comme un individu et non le membre d’un groupe.

  85. Herman Kerhost

    @ Lucile | 13 décembre 2020 à 21:10
    Merci Lucile. On fait difficilement mieux (ou pire), en effet, dans l’inversement des rôles.
    —————————-
    @ Mary Preud’homme | 13 décembre 2020 à 18:59
    Vous êtes complètement folle, Mary Preud’homme. Stupide et folle.

  86. @ Lucile 13/12 à 21 h 10
    « Ne renversez pas les rôles, ce n’est vraiment pas Herman Kerhost qui sème la zizanie sur le blog ! »
    En tout cas si c’est lui, il n’est pas le seul !
    D’ailleurs que ferions-nous sans les zizanistes ?
    Vous seriez la première à vous mettre à tourner dans votre cage.

  87. @ Lucile
    Vous n’avez pas besoin des disputes pour exister. En passant, tant que j’y suis, Mary Preud’homme n’a pas besoin de défendre des gens infériorisés pour exister, Herman Kerhost de Robert Marchenoir pour exister, Achille de Macron pour exister. Si j’oublie une personne injustement dénigrée, je lui présente mes plus profondes excuses.
    Bref, tout le monde ici est assez riche intérieurement, a trop de centres d’intérêts pour se limiter à un seul !
    Je m’adresse à vous parce que c’est plus fragrant chez vous que chez d’autres et que vous ne rendez pas le mal pour le bien… Je n’ai pas besoin de mobiliser mon courage, j’en ai quand même trop besoin ailleurs pour le gaspiller.
    Et puis, en somme, il faut remarquer qu’on critique des gens présumés dépendre d’une seule chose mais qu’on méconnaît des gens capables de penser au-delà de leur cercle.
    Vous avez dit Giscard, j’ajoute Roosevelt, pour les pauvres. Mon capable de ne pas s’enfermer dans des limites, homme d’Etat si injustement mal vu, est Dioclétien dont l’esprit vraiment supérieur embrassait tout : la guerre et la paix, l’administration et la religion, et le courage surmontait la naissance obscure, puis l’attrait du pouvoir… Il a renoncé au pouvoir suprême pour le bien de l’Empire.
    Pas par peur d’être assassiné, par pour gagner le paradis, non… Pour le bien de l’Empire.
    Je voudrais qu’on reconnaisse mieux les mérites de chacun, en somme… Les vôtres vont assez loin pour m’inspirer cette ode au mérite.

  88. @ Jérôme
    « Tout est trop prévisible sur ce blog »
    Votre long, arrogant et inutile commentaire est la meilleure matérialisation du phénomène à la mode : quand il n’y a pas assez de racisme pour diviser, on va le créer de toutes pièces. Deux arbitres roumains dont un crie à l’autre « le noir là-bas » pour lui désigner un individu s’agitant sur le banc de touche. Ça aurait été un blond, il aurait dit « le blond ». Ou le chinois, le gros, le nain, et quoi encore ?
    Les peuples de l’Est ne ressentent pas cette frilosité française où toute référence à la race constitue un terrain miné – dans la foulée il l’a simplement utilisée pour identification rapide.
    Le monde devient fou et ce constant besoin que certains ont de nous rappeler qu’il y a des races finira par transformer tout le monde en raciste. Mais c’est peut-être votre but.

  89. @ Achille 13 décembre 2020 à 21:10
    Si vous accusez quelqu’un sur le blog, c’est publiquement, devant tout le monde. Ce n’est pas une conversation privée, et à partir du moment où je suis prise à témoin, j’y assiste, ce n’est pas moi qui me crois obligée de m’en mêler, j’y suis mêlée de fait ; par conséquent, si j’estime que vous m’enfumez, j’ai le droit de vous faire savoir que ça ne prend pas.
    J’essayais de le dire avec humour, mais si vous préférez la mauvaise humeur, c’est votre choix.
    Je me contrefiche de ce que vous pensez de mon style, et s’il est trop précieux pour vous. Ne comptez pas sur moi pour essayer de copier le vôtre, je ne sais pas utiliser les emojis.
    —————————————————-
    @ Caserte | 14 décembre 2020 à 08:27
    Les opinions divergentes, pas de problème, au contraire, bien d’accord sur ce point.

  90. @ Lucile | 14 décembre 2020 à 11:24
    « J’essayais de le dire avec humour, mais si vous préférez la mauvaise humeur, c’est votre choix. »
    Ma mauvaise humeur je la destine uniquement à ceux qui sont désagréables avec moi.
    D’une façon générale je préfère échanger avec les gens qui ne sont pas agressifs.
    Même si je ne suis d’accord avec aucun de vos commentaires, je vous garde, malgré tout, en bonne estime. Preuve que je sais faire la part des choses entre les idées de chacun et la façon dont elles sont exposées, notamment sur ce blog.
    Concernant Hercule Poirot, je vous signale, à toutes fins utiles, qu’il réussit à dénouer chacune de ses enquêtes, ce qui prouve que ses petites cellules grises fonctionnent à merveille. Les miennes, je pense, également. 😉 (et un petit émoji pour conclure)

  91. Herman Kerhost

    @ Achille
    « Ce qui m’agace chez vous, c’est que vous n’intervenez que pour polémiquer »
    C’est faux. C’est vous qui passez votre temps à « polémiquer », comme vous dites, en intervenant de plus 36 fois par jour. Le tout en reprochant aux autres la longueur de leur commentaires, ou leurs ‘obsessions« .
    « tous ceux qui s’en prennent à votre « gourou ». »
    Pour la millième fois, je n’ai pas de « gourou ». Juste des commentateurs préférés. Pour de très bonnes raisons. Et désolé de vous le dire, mais vous n’en faites pas partie. Je ne suis pas fan de la pensée émoticône…
    « Le reste du temps vous ne commentez aucun billet. »
    Y a t-il une obligation de commenter les billets ? C’est un droit d’entrée dans le cercle fermé des commentateurs ? D’autant qu’encore une fois, c’est faux. Je commente quand j’ai le temps de commenter, point.
    « Il serait bon que vous essayiez de penser par vous-même »
    Je pense comme je veux. Mais avant de penser il est bon de savoir des choses, et vous (par exemple), vous refusez de le faire. La preuve:
    « et non pas systématiquement d’approuver béatement ce que dit Marchenoir, y compris lorsqu’il tient des propos stupides, notamment sur le QI des Noirs. »
    Robert Marchenoir ne tient pas des « propos stupides » sur le QI des noirs ». Il rapporte les chiffres de la répartition des QI sur la planète. Chiffres établis scientifiquement par des gens très sérieux. Pourquoi ne pas dire qu’il tient des propos stupides sur le QI des Asiatiques de l’Est, qui ont un QI supérieur aux nôtres, hein ? C’est vous qui faites une fixette sur les noirs…
    Peut-être seriez-vous un peu plus au courant si, au lieu de dénigrer des « liens », vous cliquiez dessus une fois de temps en temps. Figurez-vous que je clique aussi sur vos liens. Hélas, je n’apprends pas grand-chose en le faisant puisque je tombe immanquablement sur Twitter, et ses « polémiques stériles« .
    Par ailleurs, votre témoignage sur le fait que vous avez travaillé avec des noirs, des arabes, etc. ne prouve rien. Moi aussi j’peux le faire ! Je le redis, la gymnastique intellectuelle dont vous faites preuve ici (et encore une fois dans ce commentaire) n’est pas digne d’un ingénieur à la retraite. Peu importe le domaine où celui-ci aurait exercé. Vous manquez sérieusement de bon sens.
    ————————————————–
    @ Ninive | 14 décembre 2020 à 11:03
    Merci.
    ————————————————–
    @ Savonarole (@ F68.10)
    « Au fond vous êtes un gentil, comme on disait au Moyen Âge. Je me suis peut-être mépris sur vous. Je le regrette. »
    « Je prends note » (F68.10)
    Vous ne devriez pas, F68.10. Il y a de fortes chances qu’il n’en pense pas un mot. Demain il vous crachera dessus. Il est comme ça, il ne peut pas s’empêcher. En tout cas ne croyez surtout pas qu’il le regrette, c’est impossible.

  92. Herman Kerhost

    @ Achille
    « Ce n’est pas parce que Savonarole vous a renvoyé une paire de fois à vos préciosités qu’il faut vous croire obligée de vous mêler de la conversation. »
    Ça, ce n’est pas « semer la zizanie » dans les commentaires. Juste une politesse en passant, n’est-ce pas ?
    Ce n’est pas parce que Lucile vous a mis une fessée devant tout le monde qu’il faut vous sentir obligé d’essayer de la rabaisser. Il est vrai qu’elle plane largement au-dessus de « vos » préciosités…

  93. @ Herman Kerhost | 14 décembre 2020 à 13:24
    Pour résumer la situation, vous ne m’appréciez pas et moi je ne vous apprécie pas non plus. Donc inutile d’épiloguer davantage.
    À l’avenir le mieux est encore d’éviter d’échanger entre nous, cela nous fait perdre du temps à tous les deux.
    Je vous laisse car, si j’en crois le décalage horaire entre Paris et Los Angeles, il est 5 h du matin chez vous.
    Je ne voudrais pas gâcher votre sommeil. 🙂

  94. @ Achille | 14 décembre 2020 à 13:57
    Votre sagesse vous honore, votre nouvel ami a reçu de telles fessées qu’il vaut mieux le laisser cautériser son arrière-train.

  95. @ Herman Kerhost
    « Vous ne devriez pas, F68.10. Il y a de fortes chances qu’il n’en pense pas un mot. Demain il vous crachera dessus. »
    Si on ne joue pas, il n’y a pas de jeu. Et j’ai quand même plutôt l’habitude de me faire cracher dessus. Je ne suis pas à cela près.
    « Il est comme ça, il ne peut pas s’empêcher. En tout cas ne croyez surtout pas qu’il le regrette, c’est impossible. »
    J’ai toujours pensé qu’il fallait dîner avec le diable. En choisissant ses couverts. Même quand, un peu comme moi, on pratique le cosplay de Temelechus. Et puis, au fond, y’en a bien qui nous expliquent que Satan sera sauvé, non ?
    De toute manière, si je me retrouve face a des comportements que je n’apprécie pas, j’argumenterai à la pelle. Mais, en présence de comportements à peu près corrects, je tiens à avoir des comportements à peu près corrects.

  96. @ Savonarole 13/12 à15h38
    « Mitsahne qui a abandonné son libre arbitre, son esprit critique, sa liberté d’expression, pour aller quémander l’appui d’une bande de voyous qui infestent ce blog ».
    Je n’ai jamais quémandé quoi que ce soit, j’ai simplement remercié quelques intervenants de leurs témoignages sympathiques limités à un moment donné.
    Le fait que vous les traitiez de voyous en bloc et sans nuance décrit parfaitement votre façon d’écrire : avec des grâces d’arroseuse municipale, vous essayez d’imiter le moine dominicain dont vous portez le pseudo, qui excitait le peuple contre les vices du clergé. Je crois me souvenir qu’il est mort brûlé, c’est dans l’abus de vertu que l’on rencontre les pires excès.
    Au moins, votre brutalité scripturale vous met à l’abri de la formule que je lis le plus sur ce blog : « vous m’avez mal lu » ou « vous avez mal interprété ma phrase » ! Quand on débarque au saloon avec un colt dans chaque main et un couteau planqué dans chaque manche, forcément, les clients se disent « désabusementés » et leur « buvabilité » s’en ressent. Le patron du saloon ne dira rien et mettra votre agressivité sur le compte de votre « besoin enfantin, impérissable, de vous approuver vous-même ».
    Il pourra aller jusqu’à pasticher une formule célèbre : monsieur Savonarole, vous n’avez pas le monopole des heurts !
    Un autre dira : il ne sent rien mais il fouette !
    Je n’abuse pas de mon âge. Plus on vit longuement, plus il faut se préparer à mourir rapidement. Mais je ne fais pas encore partie des ruines qu’il faut raser.

  97. Il y a sur ce blog Herman Kerhost, ce Breton américanophile ayant comme supporter Ninive (pour l’heure vous m’enthousiasmez) et Lucile la psy de ce blog, contre Achille, Savonarole et Mary.
    La partie va être serrée cependant j’ai engagé des paris avec quelques ami(e)s à dix contre un des deux groupes.
    Je vais suivre cette compète de près. Il y a des sommes en jeu…
    « A-t-on encore le droit de les juger ridicules ? » 😉

  98. Herman Kerhost

    @ Achille | 14 décembre 2020 à 13:57
    « Pour résumer la situation, vous ne m’appréciez pas et moi je ne vous apprécie pas non plus. Donc inutile d’épiloguer davantage. »
    Je ne vois pas ce qui vous permet de conclure cela.
    « À l’avenir le mieux est encore d’éviter d’échanger entre nous, cela nous fait perdre du temps à tous les deux.
    Je fais ce que je veux de mon temps, cela ne vous regarde pas.
    « Je vous laisse car, si j’en crois le décalage horaire entre Paris et Los Angeles, il est 5 h du matin chez vous… Je ne voudrais pas gâcher votre sommeil. 🙂 »
    Et voilà, il est tombé dans le panneau ! Ceci dit vous auriez pu aussi choisir Detroit…
    Vous êtes si prévisible ! Et toujours dépourvu de bon sens. Ainsi donc, puisqu’il serait 5 heures du matin à Los Angeles, il me serait impossible de commenter, car à cette heure-là tout le monde dort. C’est donc que Herman vit en réalité à… Quimper ! Sauf que, un peu plus bas, et je ne doute pas que ce commentaire vous ait échappé, j’ai répondu à Lucile et à Ninive à… 4:31 du matin, heure française !…
    Votre ami (gourou ?) Savonarole, lui, sait très que cette histoire est du pipeau. La seule raison qui le pousse à suggérer que je mens, que je suis un mythomane qui s’est inventé une vie en Amérique, est qu’il aimerait en savoir plus… Il pense que je vais finir par céder à ses provocations, et satisfaire son besoin d’en savoir plus…
    Après m’avoir dit que je ne l’intéressais plus, Savonarole s’est mis à faire des recherches avec mon nom sur internet (sans doute s’ennuie-t-il, tout seul, à Barcelone), et vous pensez que je vais maintenant livrer le nom de la ville où j’habite ?
    —————————–
    Puisque personne ne s’est lancé dans une analyse des faits dont j’ai été témoin, et que j’ai rapporté dans ces colonnes. Je veux dire, en dehors de « les noirs sont des cons » (Savonarole), je m’y mets…
    Non, la conclusion qu’il faut en tirer (du fait que beaucoup de noirs, soit ne mettent pas de masque, soit le portent de façon inappropriée) n’est pas que « les noirs sont des cons ».
    Je connais des personnes très intelligentes qui refusent de porter le masque. De nombreux blancs refusent de porter le masque.
    Le problème – et on se rapproche ainsi du thème du billet – c’est que plus personne n’ose plus rien dire aux noirs, de peur de passer pour un raciste. Et c’est même en plaidant cette cause, comme je l’ai déjà dit, qu’ils se défendent pour continuer à ne pas porter le masque.
    Le type qui recevait le public qui venait se faire tester n’était pas un c*n, lui non plus: il travaille dans un laboratoire d’analyses médicales ! Il fallait voir le sourire gêné de sa collègue qui passait derrière son dos pour venir saisir un objet sur son bureau… Si ce type avait été blanc, bien sûr qu’il se serait fait remonter les bretelles par sa hiérarchie ! Et il en était de même dans le McDo de l’aéroport, fréquenté par des milliers de voyageurs…
    L’antiracisme tue. Et il tue d’abord les noirs, comme on peut le voir avec les chiffres du Covid. Le politiquement correct est un crime contre l’esprit, en plus d’être un crime tout court. Et un cheminement psychologique qui mène à l’hypocrisie générale.
    Et cela ne concerne pas que le Covid. Les noirs qui résistent aux arrestations et qui ainsi se mettent en danger de mort, le font aussi à cause de l’anti-racisme, qui les pousse à imaginer que les policiers n’ont pas le droit de les arrêter, car ce serait raciste d’agir ainsi.
    Donc aujourd’hui, nous en sommes arrivés à la situation que ce sont les supposés « racistes » qui défendent réellement la vie des noirs…

  99. @ breizmabro | 14 décembre 2020 à 17:53
    Je ne suis pas psy, je ne l’ai jamais été, mais si je l’étais je ne voudrais sûrement pas être la psy du blog.

  100. Herman Kerhost

    @ Savonarole | 14 décembre 2020 à 14:47
    « Votre sagesse vous honore, votre nouvel ami a reçu de telles fessées qu’il vaut mieux le laisser cautériser son arrière-train. »
    Le manque total de lucidité. L’arrogance du petit esprit, sale, médiocre, revanchard et pervers (narcissique ?). La recherche absolue en toute occasion du petit truc qui pourrait faire mal (raté). Quel homme, ce Savonarole…

  101. L’accusation de racisme est devenue le recours simpliste desdits « racisés », parce que des idéologues leur ont présenté cela comme la raison ultime de tous leurs déboires.
    Nul à l’école ? Racisme. Suspect pour des policiers ? Racisme. En faute sur un terrain de foot ? Racisme.
    Ça occulte parfaitement le sujet : ainsi, on n’ose plus se demander si l’individu noir désigné par les arbitres était bien en faute.
    Et l’attitude est tellement grossière et puérile qu’elle autorise l’authentique racisme, notamment quand les mêmes footballeurs s’autorisent à dire à des arbitres roumains toute la haine qu’ils ont pour les populations roms, ce qui, par contre, ne gêne personne.

  102. @ Lucile 14 décembre 23h16
    « Je ne suis pas psy, je ne l’ai jamais été, mais si je l’étais je ne voudrais sûrement pas être la psy du blog. »
    Vous laissez un pactole considérable sur le bord du chemin. Car il faut bien convenir qu’il y a en ce lieu une clientèle potentielle de premier choix qui ne demande qu’analyse sur analyse.
    Et il y a du lourd, de l’habituel dans les commentaires … des monstres authentiques grouillent… un vrai bonheur.
    Et puis quand même ce serait belle œuvre que de rendre service à tous ces pauvres gens trop souvent saisis d’une logorrhée logomachique qui embargaille les commentaires.

  103. @ Herman Kerhost
    Je suis d’accord quand vous dites que de peur d’être raciste, on tolère beaucoup plus d’infractions à la règle de la part de certains que d’autres. Permettez-moi cependant de vous donner mon opinion au sujet du lien entre la COVID et les comportements individuels. Ce n’est qu’une hypothèse, mais elle se renforce selon moi un peu tous les jours.
    Il est vrai que les Afro-Américains ont largement plus de conduites à risque que les Caucasiens aux USA, mais pas les Asiatiques. Et pourtant eux aussi sont plus touchés par la COVID que les Caucasiens. Donc l’argument selon lequel ils en meurent davantage en raison de leurs comportements mérite d’être examiné de plus près.
    Je suis très réticente à l’égard de l’idée que les gens attrapent la COVID parce qu’ils n’observent pas à la lettre tous les rituels mis en place pour la contrer. Ces rituels agissent sur la diffusion de la maladie, mais peut-être pas autant qu’on le croit. Ils élèvent pour les personnes à risque leurs chances d’en réchapper, au moins un tout petit peu, et ne sont donc pas négligeables à titre individuel. Ils étalent aussi peut-être la maladie dans le temps en la retardant, quoique les spécialistes ne soient pas entièrement d’accord sur la question, estimant que l’influence des conditions climatiques est beaucoup plus importante. Une épidémie finit par se se répandre, c’est normal, même en respectant un niveau d’hygiène correct, et on ne peut pas isoler les gens les uns des autres à perpétuité.
    Les Afro-Américains, les Hispaniques et les Asiatiques, en dehors du fait qu’ils sont plus touchés par la COVID que les Blancs, ont en commun d’avoir une peau plus foncée, donc d’être plus carencés en vitamine D, et cela dans la même proportion qu’ils attrapent la COVID, et qu’ils en meurent davantage. C’est vrai aussi pour les personnes âgées. Cette fragilité accrue à l’infection ne paraît pas due au hasard vu le besoin important en vitamine D des cellules qui dans notre sang s’attaquent aux virus, en particulier aux virus provoquant des problèmes respiratoires. Ces cellules sont munies de récepteurs à vitamine D, c’est leur fuel. Depuis le début, certains médecins le répètent, on commence enfin à les écouter officiellement, du moins dans certains pays.
    On met en place toute une stratégie paralysante pour étaler la progression de la maladie dans le temps et donc soulager les hôpitaux. On est en train avec cette expérience inouïe du confinement généralisé, de déglinguer toutes sortes de mécanismes nécessaires pour faire tenir ensemble la société. On le sait, mais on estime le sacrifice inévitable en raison de la gravité de la COVID.
    La grippe de Hong Kong, due elle aussi à un coronavirus, quand elle est survenue en deux vagues en 1968-1969, a fait entre 1 et 4 millions de morts, pour une population mondiale je pense à moitié moins nombreuse que maintenant (à vérifier). Sa dangerosité paraît donc du même ordre que celle de l’épidémie actuelle. La grippe de Hong Kong décimait principalement des personnes âgées et des nourrissons. Et pourtant la société d’alors a continué vaillamment à fonctionner, on ne nous a pas obligés à signer des papiers de sortie pour aller travailler, on n’a pas condamné des milliers de petites entreprises à la ruine, on n’a pas mis en berne le moral de la population, ni fait peur aux enfants. Et nous nous en sommes sortis.
    Avec des raisonnements comme ceux que nous tenons à l’heure actuelle, il faudrait interdire les bains de mer et en piscine, vu le nombre de morts par noyade en été, interdire les transports maritimes et les véhicules motorisés, sans oublier les trottinettes (là je serais d’accord en ville), interdire aussi le travail, vu le nombre d’accidents du travail.
    On baigne dans un scenario comme on en trouve dans la science-fiction, avec ces opérations spectaculaires et mondialement partagées grâce à une couverture médiatique dépassant largement celle des premiers pas de l’homme sur la Lune. Une véritable saga. Les grands moyens. Le suspense permanent. Nos leaders tentent héroïquement de nous faire traverser la mer Rouge, et nous suivons, munis de gris-gris dont le caractère obsessionnel ne peut échapper à personne. Les rituels sont d’une précision raffinée, tout est daté, chiffré, programmé : sorties de telle heure à telle heure, plages et forêts interdites, drones, masques pour les enfants à l’école, 30 personnes à la messe, papier signé avec heure de sortie, fin du papier signé le 15 au matin, rayon d’1 km autour de chez soi, puis de 20 à partir de telle date…
    Inculqués de concert avec la culpabilisation des individus, ces gestes installent en nous l’idée que nous avons entièrement prise sur cette épidémie. Si c’était prouvé, passe encore. Mais il y a de fortes raisons d’en douter.
    Je sais que le doute qui m’assaille va à rebrousse-poil de l’opinion générale, et peut partant être vu comme allant à l’encontre de l’intérêt public, aussi je l’expose rarement, craignant d’être prise pour une rebelle. Mais je pense que Justice au Singulier peut être le lieu pour le faire sans nuire à l’ordre public ni au moral de la population. Étant dans la tranche d’âge qui a tout à gagner à ne pas choper ce virus, j’évite les lieux publics le plus possible, porte un masque en société, et suis les prescriptions de la faculté et du gouvernement à la lettre. Mais pour les jeunes en bonne santé qui ont au maximum 3 chances sur 10 000 d’en mourir, je pense que de s’être confrontés au virus les rendra plus forts pour lutter contre la prochaine épidémie, surtout les enfants qui n’ont vraiment pas intérêt à grandir dans un monde aseptisé s’ils veulent développer leurs défenses immunitaires. Ils n’ont pas intérêt non plus à ce que la dépression économique latente ravage leurs espérances personnelles et professionnelles. On sacrifie le futur au présent, je ne suis pas certaine que ce soit un bon calcul.
    Maintenant que le pli est pris, cette réaction omnipotente pourtant démentie par les faits, risque de recommencer la fois prochaine. Les media seront encore plus propagandistes et le monde des big data nous rendra encore plus dociles devant la doxa officielle.
    Je souligne que je ne prône pas la désobéissance, j’obéis comme tout le monde, même aux âneries. Mais j’espère que les media feront une petite place aux questions plutôt qu’aux certitudes satisfaites, quand nous en serons sortis.

  104. Non, pas « ridicules »… néfastes ! Dans cette affaire, la seule personne que je soutienne, pour laquelle j’éprouve même de la compassion, est Sebastian Coltescu, le quatrième arbitre. Le ciel lui est tombé sur la tête. Sans raison. Sans la moindre faute de sa part. Parce que l’un des dirigeants de l’équipe turque n’avait aucun respect pour l’arbitre de champ, il a demandé à celui-ci de le sanctionner et a désigné le trublion en employant le terme « negru ».
    Et alors ? Les deux hommes sont Roumains et, fait troublant, se parlent en roumain… Dans cette belle langue latine, cousine de la nôtre, ce mot a-t-il une connotation péjorative ? Comme celle de « nègre », aujourd’hui, en français. Ce qui ne fut pas toujours le cas… « Negru » se traduit « Noir » en français. Pas « Nègre ». Ni « Négro ». Si le quatrième arbitre avait dit « cret’ », il n’y aurait eu aucune protestation… « Cret » en roumain signifie « crépu »… Ce qui, cette fois, en français et probablement en roumain, n’est pas un mot neutre. Mais la phonétique n’aurait pas permis de hurler au racisme… Et de déclencher un raz-de-marée médiatique, particulièrement indécent.
    Néfaste ce sieur Webo, qui, non seulement commet une faute qui mérite sanction, mais cherche – et parvient – à envenimer la situation en prétendant avoir été injurié par les propos du quatrième arbitre, dont, faute de connaître le roumain, il n’a pas compris un traître mot. Il a entendu deux sons contigus : « Né-gru »…. Il ne lui en fallait pas plus… L’homme possède, paraît-il, un palmarès de champion, mais le fair-play lui est inconnu. Le carton rouge qu’il a récupéré est plus qu’insuffisant.
    Néfastes ces joueurs « négri » et « albi » qui, tout aussi ignorants de la langue roumaine que Webo, ont réagi en meute, sans aucun recul. Le sieur Mbappé, au QI que l’on dit exceptionnel, s’est comporté en chef de bande. L’aura que ses dribbles lui valent ne l’autorise pas, comme de trop nombreux artistes, à sortir de son champ de compétence pour s’ériger en juge, en porte-parole, ou en donneur de leçons. D’autant qu’il ne semble pas avoir eu à souffrir personnellement d’actes de racisme et qu’il est grassement payé par un Etat pas particulièrement exemplaire en matière de Droits de l’Homme. A-t-il osé la moindre désapprobation auprès du président qatari du PSG ?
    Que des footballeurs s’engagent pour une cause humanitaire, comme n’importe quel citoyen, qu’il y consacre du temps et leur fortune, soit ! Mais prétendre, comme un autre de ces demi-dieux, Demba Ba, attaquant du club turc né à Sèvres, que « les sportifs ont un pouvoir qu’[ils] ne [connaissent] même pas » est méprisant vis-à-vis de leurs supporters.
    Néfaste l’UEFA, qui blâme l’un de ses salariés sans le moindre début d’enquête, et l’ensemble des autorités sportives – y compris la ministre française -, qui ont aussitôt participé à la curée sans nuance ni prudence. Dans cette affaire, les instances du football se drapent dans l’indignation, alors qu’elles n’ont jamais pris de décisions fortes – l’exclusion d’un club d’une compétition par exemple – pour faire cesser les comportements odieux d’une partie des spectateurs.
    « Respect », « respect » et encore « respect »… Un mot… Il a fleuri sur les stades, sur les maillots, dans les discours… Rien de plus… Et, cette fois, la soumission à la « bien-pensance » en acceptant que des joueurs sous son contrôle s’agenouillent, poing levé ! Ce geste, emprunté aux Black Lives Matter (*) n’a rien de sportif, rien d’humanitaire, rien d’émotionnel. Il est politique et donc contraire à la charte olympique.
    La bêtise étant contagieuse, il sera repris… Et rien ne dit que, l’an prochain, lors des Jeux de Tokyo, le CIO saura résister au Comité olympique et para-olympique américain qui, déjà, a décidé de ne pas sanctionner ceux de ses athlètes qui, pendant la compétition, par des déclarations, par un geste, manifesteraient une opinion politique ou religieuse…
    L’information est passée quelque peu inaperçue : la semaine dernière, le président britannique du World Athletics, l’instance internationale qui regroupe les fédérations nationales d’athlétisme, a décerné son Prix du Président 2020 aux trois athlètes qui, à Mexico, en 1968, sur le podium des récompenses, avaient défié le CIO en brandissant un poing ganté de noir pour protester contre les discriminations raciales aux Etats-Unis. Les JO sont déjà mis à mal par le monde du commerce. Si la politique s’y introduit encore un peu plus, c’en sera fini du magnifique rêve de Pierre de Coubertin.
    Néfastes enfin les dizaines de journalistes sportifs et autres qui, à la minute même où l’incident s’est produit, dans un ensemble parfait, ont instantanément révélé leur talent jusqu’alors méconnu d’experts en linguistique et d’éditorialistes chevronnés ayant un avis sur tout et le reste. C’était sûr, le monde allait s’écrouler… Il y aurait un avant et un après « le 8 décembre », le racisme ne survivait pas à cette héroïsme des joueurs …
    Pas un seul n’a osé émettre l’hypothèse qu’il n’y avait franchement pas le feu au lac et que, le Parc des Princes plein comme un œuf, les « enfants gâtés » n’auraient rien tenté, conspués qu’ils auraient été s’ils avaient fait mine de sortir. Colère noire des uns, colère blanche des autres – pardon, je n’ai pas résisté… – mais pensée unique pour tous… à tel point qu’il n’était plus utile de changer ce chaîne pour diversifier ses sources. Toutes, en boucle, diffusait le grand air de l’outrage irréparable…
    Néfastes tous ces acteurs qui, sans aucun temps de réflexion, ont fait d’un « carton » tout juste à relater sur le compte rendu de l’arbitre, un événement mondial totalement démesuré.
    Néfaste pour le foot, déjà décrié pour ses dérives financières, ses salaires mirifiques et ses mercenaires apatrides.
    Néfaste pour le monde sportif qui, s’il veut continuer à défendre les valeurs olympiques et rester un havre de paix sur une planète en perpétuel conflit, ne soit pas se laisser entraîner dans de tels combats douteux, mais, au contraire, imposer sa voix…
    Néfaste pour les médias qui, eux aussi, par la faute de quelques-uns, se taillent jour après jour une réputation, au mieux, d’amateurisme, au pire, de soumission.
    Néfaste enfin pour Sebastian Coltescu, qui, jamais, ne pourra oublier cette soirée au Parc des Princes, où il était venu tout simplement pour « faire son job ». Et il l’a fait ! N’en déplaise à tous ces « offusqués », « indignés », « choqués »… paranos et mal embouchés.

  105. @ Lucile 15 décembre 14h51
    Un peuple sans éducation ne se sort jamais bien d’une épidémie.
    Si je peux me permettre de vous résumer !
    —————————————-
    @ Ninive
    Caserte, Ninive, tout cela ce sont des mots… des villes, des royaumes, des empires.
    Pour ce qui est des pseudos vous pourrez en parler ici où l’on trouve des spécialistes fameux !
    Bonne journée Ninive.

  106. Herman Kerhost

    @ Lucile | 15 décembre 2020 à 14:51
    Pardon Lucile d’avoir mis tout ce temps à vous répondre.
    J’ai essayé de trouver les chiffres du taux d’Asiatiques parmi la population infectée, comparés à leur proportion dans la population. Tout ce que j’ai trouvé est le nombre de cas grave, ou le nombre de morts.
    J’ai finalement cherché à savoir où ils vivaient, et il se trouve qu’ils vivent principalement dans les endroits les plus touchés par le Covid, comme Los Angeles (Californie), ou New York, etc. Ailleurs aussi mais dans de faibles proportions. Cela pourrait suffire à expliquer qu’ils soient plus touchés, eux aussi (s’ils le sont). Sans compter leurs liens avec la Chine…
    Le fait de ne pas porter le masque, ou de ne pas se laver les mains, est évidemment un des facteurs décisifs de l’avancée du virus. Le masque vous protège peu, mais vous empêche d’expulser des particules dans l’air (ou entre deux tranches de pain au McDo…). Ce n’est pas parce que certains ne comprennent pas comment ils ont été contaminés que cela relativise cette évidence.
    Les noirs vivent beaucoup entre eux, ici. Le mélange avec la population blanche n’est pas aussi important qu’en France. Et s’ils ne suivent pas les consignes avec le masque (ou le lavage des mains), il ne faut pas s’étonner que le virus les ait contaminés en masse.
    Je n’arrive pas à retrouver les derniers chiffres que j’avais lus, mais de mémoire, ils étaient deux fois plus nombreux (peut-être plus) à être contaminés, par rapport aux blancs.

  107. @ Herman Kerhost | 19 décembre 2020 à 14:43
    Vous verrez des courbes intéressantes sur le taux de vitamine D chez les Caucasiens, les Noirs et les Mexicains aux USA dans une vidéo de YouTube datée du 10 décembre, intitulée :
    « Vitamin D and COVID 19: The Evidence for Prevention and Treatment of Coronavirus (SARS CoV 2) »
    par MEDCRAM (Medical Lectures explained clearly)
    Professor Roger Seheult, MD
    (Désolée, mais avec leur nouvelle présentation, je ne parviens plus à mettre de lien pour les vidéos de YouTube).
    Je trouve cette vidéo particulièrement bien faite. À la minute 14, il y a un diagramme sur la question des races. Je ne me rappelle plus où j’avais trouvé le même genre d »indications sur les Asiatiques aux USA ou en Grande-Bretagne (péninsule indienne et Extrême-Orient), toujours à propos de la résistance au coronavirus.
    En dehors des comportements, de la pyramide d’âges et des taux de vitamine D dans le sang, il y a des différences de virus (mutations) et des différences climatiques qui expliquent sans doute aussi les différences dans la manière dont l’épidémie sévit à différents endroits de la terre, avec des taux d’infection très différents pour des gens de mêmes races. Ainsi les Africains sont assez peu touchés, comparativement aux Afro-Américains. Il semble aussi que des populations qui avaient été épargnées jusque-là, ayant encore pas mal de sujets « susceptibles » en circulation, subissent à l’heure actuelle une flambée.
    Pour ce qui est du non-respect des gestes barrières, le Daily Mail hier soir s’en donnait à cœur joie au sujet du président de la République français, avec, en fin d’article, pas moins de 5 photos où on le voyait distribuer des poignées de main et accolades dont certaines à un chef d’Etat âgé donc vulnérable. Tout cela pour dire qu’il n’y a pas que les Africains à qui on n’ose pas faire de remarques.

  108. Robert Marchenoir

    @ Herman Kerhost
    @ Lucile
    Noirs et Covid : en Afrique, ils sont beaucoup moins touchés que l’Europe et les États-Unis (très majoritairement blancs, malgré l’impression qu’on peut en avoir vu l’omniprésence de leurs jérémiades). Motif : la fermeture des frontières, beaucoup plus pratiquée qu’en Occident, et, surtout, la prépondérance extrême des jeunes au sein de la population.
    En Occident, ils sont nettement plus touchés que les Blancs. Motif : leur comportement, comme l’a souligné Herman Kerhost. Masque absent ou mal porté (c’est flagrant aussi en France), propension à la promiscuité, au contact physique, aux rassemblements…
    Le joker « anti-raciste » joue certainement (*), mais les tares sociales des intéressés sont primordiales : un faible quotient intellectuel moyen (70 en Afrique, 85 pour les Noirs américains) entraîne l’incompréhension des mécanismes de la transmission, et fait privilégier la pensée magique : le Covid est une maladie de Blancs.
    ______
    (*) Comme tend à le montrer l’affaire Michel Zecler. Il faut rappeler que demander à un non-blanc de porter un masque fait courir un risque mortel.

  109. Les joueurs du PSG ont réussi à se débarrasser de Tuchel. C’est même Mbappé qui a officialisé le départ avant toute annonce du management. Les joueurs rebelles ont dépassé les limites de l’insolence depuis longtemps. Ridicules, gâtés, insolents, ils ont tous les défauts des êtres immatures.

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