Décryptage #01- Macron entre solidarité et ambition!

 

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Voir les Commentaires (10)
  1. Cher Philippe,
    Toujours intéressant ce que vous dites.
    J’attends votre billet sur Jean-Louis Debré au sujet duquel nous avions échangé.
    Je ne vois pas le bras droit bouger, certes il n’est pas dans la poche comme chez Jamel Debbouze, mais sans mouliner à outrance, cela manque un peu. Mais je préfère votre sens de la repartie à celui de JD.
    Au niveau de Macron, il serait intéressant de savoir si la journaliste de Paris Match ayant interviewé le couple est issue de l’école de Valérie Massonneau, et dans ce cas, on peut avoir une idée sur la suite des événements.

  2. Il paraît que c’est déjà Attali qui avait propulsé le jeune couple Hollande-Royal auprès de Mitterrand. Ce génial découvreur de talent recommence avec le jeune Macron en qui il voit un futur président.
    Le pur-sang sort de la même écurie. Il y a chez lui aussi de l’aplomb, de l’ambition, et comme un tout petit grain qui fait entre autres que l’on ne sait pas trop s’il est de droite ou de gauche. Ce qui est d’ailleurs la marque d’un homme de gauche au pouvoir. D’où j’en conclus qu’il est authentiquement de gauche, ce qui me donne déjà une idée de ce qu’il pourrait faire s’il montait encore en grade – comme Premier ministre ou président, les deux échelons qui lui restent à gravir.

  3. E M je n’ai pas vu sa « vision » moi ; sinon je trouve très bien ce format pour vos interventions

  4. Bonjour, je suis d’accord avec sbriglia, il vaut mieux éviter de lire une feuille. J’ajouterais une minute en plus.

  5. Il devrait déjà être sorti de cet écartèlement qui brouille son image.
    J’ai trouvé que son projet pour l’instant concerne plus l’organisation de son mouvement que le redressement de la France. Je ne pense pas qu’à son niveau il confonde les moyens et les objectifs, donc j’attends qu’il parle de ses objectifs pour juger vraiment, mais pour moi, jusqu’à preuve du contraire, c’est un homme de dossier, de cabinet, et pas un homme de terrain ni un leader. Je me demande s’il n’est pas à contre-emploi, mais c’est la mode. Avec Hollande on ne peut pas dire que le contre-emploi soit une réussite. Wait and see.

  6. Philippe, bonne initiative… mais regardez la caméra et non le prompteur (je plaisante pour le prompteur !)…
    « Quousque tandem abutere, Philippus, camera vostra !… »

  7. J’ai cru comprendre que vous nous demandiez notre avis sur cette nouvelle formule ?
    Elle est intéressante si elle conserve le format court qu’elle a aujourd’hui.
    Un format à l’oral qui pourrait être le symétrique du format tweet à l’écrit !
    Pas plus de trois minutes, qui est la durée des chansons de variétés.
    Au-delà la concentration divague et on perd le fil.
    Mais je ne suis pas un auditif, donc un avis minoritaire probablement.

  8. Je pense qu’Emmanuel Macron a bien compris que les citoyens n’en peuvent plus de cette dualité entre la gauche et la droite, complètement stérile voire destructrice, les uns détricotant systématiquement ce que les autres ont fait dès qu’ils arrivent au pouvoir.
    En parallèle au mouvement Macron, Alexandre Jardin et quelques autres personnalités ont lancé l’idée d’une primaire citoyenne avec pour candidats des personnes compétentes issues de la société civile. Une solution pour les Français, de plus en plus nombreux, qui ne vont plus voter à force d’être déçus par les partis politiques qui passent leur temps à s’invectiver et à se reprocher leur incurie.
    L’année 2017 sera chaude en France. En cause le climat de plus en plus détestable qui règne dans le petit monde mégalomaniaque de la politique.

  9. Alex paulista

    Puisqu’on est dans les détails de forme, il faudrait trouver une salle qui génère moins d’écho.
    Mais le format est bon, court, clair et direct.

  10. Robert Marchenoir

    « Celles et ceux », qu’il convient évidemment d’écrire cell-e-s et ceu-x (ou quelque chose comme ça, je n’ai pas mon dictionnaire de politiquement correct sous la main).

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